• Droit à l'alimentation - pour l'ouverture de Conseils Locaux de l'Alimentation
    Le droit à l’alimentation a été réaffirmé en France par l’introduction de l’article 230-1 du code rural précisant que “La politique publique de l’alimentation vise à assurer à la population l’accès, dans des conditions économiques acceptables par tous, à une alimentation sûre diversifiée, en quantité suffisante, de bonne qualité gustative et nutritionnelle, produite dans des conditions durables. Elle vise à offrir à chacun les conditions du choix de son alimentation en fonction de ses souhaits, de ses contraintes et de ses besoins nutritionnels, pour son bien-être et sa santé.” Aucune de ces conditions ne sont respectées aujourd’hui par le gouvernement ! · Une France qui a faim : 1/3 des français·es ne mangent pas 3 repas équilibrés par jour, faute de moyen, En 2021, environ 3,5 millions de personnes ont dû avoir recours à l’aide alimentaire. · Un système agricole qui broie les agriculteur·trices et leurs terres… : 1 à 2 paysan·nes se suicide tous les jours en France, Ce sont les premiers à souffrir de produits phytosanitaires · … à l’origine d’une destruction environnementale massive et qui menace notre sécurité alimentaire : Le secteur agricole représente 19% des émissions de la France 58% de la consommation d’eau douce en France est due à l’agriculture 10 à 30% de baisse de rendement agricole ont été observés pour certaines filières en 2022 (Rapport du Haut conseil pour le Climat, Juin 2023). Ce système agro-industriel capitaliste est à bout de souffle, à la fois dangereux et contraire à la logique d'adaptation au dérèglement climatique. Notre gouvernement, par son inaction climatique, son soutien à l’agro-business et la guerre sociale qu’il impose aux plus pauvres, laisse une partie de sa population dans la faim, mine la santé des plus précaires, tue ses agriculteur·trices, détruit les terres qui nous nourrissent et menace notre souveraineté alimentaire. Des solutions démocratiques existent et montrent déjà leur efficacité ! Pour que cesse l’ensemble de ces violences dont sont victimes les producteur·trices, les consommateur·trices et l’environnement, nous demandons la mise en place de Conseils Locaux de l’Alimentation. Ces conseils, initiés par les collectivités, seront ensuite gérés de manière démocratique par les citoyen·nes. Ces instances collectives sont une occasion de s’approprier les questions alimentaires, de rencontrer des producteur·trices locaux pour favoriser une agriculture durable. Les Conseils Locaux de l’Alimentation ont pour objectif d’initier la mise en place d’une Sécurité Sociale de l’Alimentation Durable par la démocratie participative pour donner accès à tous·tes à une alimentation choisie tout en permettant à terme d’assurer un revenu juste et digne aux paysan·nes ! Parce que nous allons nous battre pour que soit respecté notre droit à l’alimentation, signons cette pétition !
    4 sur 100 Signatures
    Créée par Riposte Alimentaire Tours
  • Les trottoirs pour les piétons et une vraie piste pour les cyclistes sur le pont Saint-Esprit !
    En effet, depuis les travaux de 2018 liés au Tram’bus, les expérimentations de circulation en place donnent lieu à une cohabitation malheureuse et dangereuse entre piétons et cyclistes, tandis que les bus sont régulièrement bloqués dans les embouteillages avec les voitures. Cette situation, qui dure depuis près de six ans, met en péril la sécurité de tous les usagers et nuit à la qualité de vie dans nos quartiers.  C’est pourquoi nous demandons sans attendre des espaces séparés et sûrs pour les piétons et cyclistes, afin de faire du pont Saint-Esprit un véritable lieu de passage dynamique, bénéfique à toute la communauté.  Il est temps de rendre le pont Saint-Esprit accessible, sûr et accueillant pour tous les Bayonnais.
    637 sur 800 Signatures
    Créée par Txirrind'Ola
  • Stop aux liens plastiques des poubelles, protégeons notre santé et l'environnement
    Ces liens causent des dommages irréparables; il est temps d'agir, en mettant fin à cette pollution évitable. 1. Impact Environnemental Grave Les liens détachables des sacs poubelles, souvent non-recyclables, augmentent significativement notre empreinte plastique. Leur petite taille les rend difficiles à ramasser et à recycler, favorisant ainsi leur accumulation dans l'environnement. Ces liens en plastique ne se dégradent pas et peuvent subsister dans l'environnement pendant des siècles, contaminant nos sols et nos cours d'eau. Chaque année, 8 millions de tonnes de plastique finissent dans nos océans. Les créatures marines, y compris des espèces en danger comme les tortues marines et les cétacés, confondent souvent ces liens avec de la nourriture. Leur ingestion peut être fatale. Les oiseaux, pris au piège, peuvent subir des mutilations ou mourir d'épuisement et de faim. La sécurité de notre biodiversité est en jeu. Ce n'est pas seulement une pollution visuelle, c'est une crise écologique. 2. Danger pour la santé humaine Pour nous, les humains, ces liens représentent un risque direct. Les liens en plastique peuvent causer des coupures et des blessures, en particulier pour les enfants. Ils peuvent également être ingérés accidentellement par des jeunes enfants, ce qui peut entraîner des étouffements ou des occlusions intestinales. Ils sont potentiellement dangereux pour les Seniors provoquant des chutes accidentelles par amoncellement sur les trottoirs. De plus, en se décomposant, ils se transforment en microplastiques, infiltrant la chaîne alimentaire et impactant notre santé de manière encore inconnue et imprévisible. Selon l'étude menée par l'université de Newcastle en 2019, 52.000 microparticules de plastique finissent dans nos assiettes chaque année. Malgré ça, la production de plastique augmente de 4% par an depuis 2000. Chaque lien abandonné peut devenir une menace invisible mais persistante. 3. Difficultés de recyclage Actuellement, le recyclage des liens en plastique est complexe et coûteux, et la plupart finissent dans nos décharges ou incinérateurs, libérant des toxines dans l'air et le sol. Beaucoup d'entre eux sont irrécupérables, car dispersés en fragments dans nos campagnes. Nous avons des alternatives viables et respectueuses de l'environnement, telles que des liens en matériaux biodégradables ou des sacs avec fermetures intégrées. 4. Existence d'alternatives Des solutions existent déjà : de nombreux fabricants proposent des sacs poubelles équipés de liens biodégradables ou compostables. Ces alternatives sont non seulement efficaces mais aussi bénéfiques pour notre environnement. Déjà, grâce à la Directive (UE) 2019/904, les fabricants sont tenus de solidariser les bouchons aux bouteilles en plastique. Adopter ces alternatives est un pas vers un mode de vie plus sûr et durable pour chacun de nous. Conclusion L'interdiction des liens en plastique dans les sacs poubelles est une action cruciale pour protéger notre planète et assurer un avenir sain pour les générations à venir. Votre signature sur cette pétition peut pousser l'Union européenne à agir à la veille des élections européennes. Ensemble, faisons entendre notre voix pour un changement positif. Signez cette pétition maintenant et partagez-la largement. Chaque signature compte, chaque action compte – et rapproche notre communauté d'un environnement plus propre et plus sûr pour nous tous.
    6 sur 100 Signatures
    Créée par Bianca M.
  • TOUJOURS NON AUX FORAGES PÉTROLIERS DANS LE SUD SEINE-ET-MARNE COMME AILLEURS
    ,La société Bridge Énergies (ex Bridgeoil) exploite depuis 2012 une concession d’hydrocarbures à Nonville, près de la forêt de Fontainebleau. À trois reprises, en 2017, 2019 et 2020, elle a demandé d’étendre sa concession aux communes voisines*. Peine perdue à l’époque grâce à la mobilisation d’Environnement Bocage Gâtinais (EBG), des élus, de la population et de la régie Eau de Paris qui s’inquiétait des risques de pollution de l’eau potable distribuée aux habitants locaux et à quelque 180 000 Parisiens. Hélas, le 27 décembre 2023, Bridge Énergies a remporté la mise : la superficie de sa concession peut être multipliée par cinq ! Ainsi en a décidé en octobre 2023 le tribunal administratif de Poitiers saisi par le Conseil d’État et cette décision a été entérinée par le gouvernement. EBG, affiliée à France Nature Environnement Seine-et-Marne, continue de s’opposer aux projets de Bridge Énergies potentiellement dangereux pour la nappe phréatique et pour les habitants qui subissent des odeurs nauséabondes et des nuisances sonores lors des forages.  Par ailleurs, ce projet engendrera inévitablement une augmentation des émissions des gaz à effet de serre, aggravant encore plus le réchauffement climatique. Notre association soutient fermement la démarche d’Eau de Paris qui veut préserver la qualité de l’eau et vous demande de marquer votre solidarité en signant notre pétition qui sera transmise à la préfecture de Seine-et-Marne et aux services de l’État. -------- * Nonville, Darvault, La Genevraye, Nanteau-sur-Lunain, Treuzy-Levelay, Villemaréchal, Villemer…
    1 893 sur 2 000 Signatures
    Créée par Environnement Bocage Gâtinais
  • NON à la construction du nouveau terminal croisière au Havre !
    Actuellement, nul ne peut nier le dérèglement climatique, lié aux activités humaines. Depuis des dizaines d’années, de nombreux traités internationaux préconisent la réduction des émissions des gaz à effet de serre, responsables de ces catastrophes climatiques. Pourtant de nombreux projets, tributaires des énergies fossiles, nocifs pour la planète, sont à l’ordre du jour. Notamment, ce projet de nouveau terminal croisière au Havre, porté par le Groupement d’Intérêt Public (GIP) Le Havre Croisière. Ce projet, voulu par la communauté urbaine Le Havre Seine Métropole et HAROPA, sera financé avec le soutien de la Région Normandie, par des fonds publics à hauteur de 100 millions d’euros. Ce projet augmenterait de manière significative, le nombre de navires en escale au Havre passant de 131 escales en 2019 à 200/240 à l’horizon 2030 (source :Autorité Environnementale). "Vitrine pour le territoire et le port" ce projet se dit "global et vertueux". Laissant seulement 27% de zones végétalisées, il aura une emprise au sol de 73% de bétonisation: bâti, voirie, parking nécessaires pour garer les 80 cars qui emmèneront les croisiéristes dans les lieux touristiques normands déjà saturés Étretat, Mont Saint Michel, Giverny... ou à Paris pour quelques heures. Les bateaux de croisières polluent : Une étude de Transport et Environnement (T&E) montre qu’en 2022, les 218 navires de croisière situés en Europe ont émis autant d’oxydes de soufre (SOx) qu’un milliard de véhicules sur la même période. Entre 2019 et 2022, le nombre de navires en service a augmenté de près d’un quart. Parallèlement, les émissions de SOx liées à ces bateaux ont augmenté de 9%, celles d’oxydes d’azote (NOx) de 18% et celles de particules fines (PM 2.5) de 25%. Les bateaux de croisières ignorent la sobriété : -L’électrification des quais, imposée par l’Europe pour 2030, ne supprimera pas la pollution des navires à quai non équipés pour ce branchement. -Actuellement, dans les ports déjà électrifiés de nombreux bateaux équipés refusent ce branchement pour des raisons d’économie. Comme de nombreux ports: Amsterdam, Venise, Barcelone, Marseille… Nous, citoyens du Havre et des environs, refusons l’augmentation des escales de ces géants des mers, énergivores et hyper-polluants. L’activité de croisière ne peut constituer une perspective d’avenir pour notre territoire. Plus nous accueillerons ces immeubles flottants au Havre, plus il y aura de pollution atmosphérique et marine et plus la consommation d’électricité augmentera au détriment des besoins de la population. Qu’en est-il de la recommandation de sobriété énergétique, prônée par le gouvernement? Il est d’intérêt général de concevoir des projets qui, sur le long terme, prennent en compte la sobriété énergétique et le respect de la nature. L’argent public ne doit pas financer ce projet néfaste à la planète. Il faut y renoncer !
    4 236 sur 5 000 Signatures
    Créée par Collectif Stop Croisières
  • CONTRE les coupes d'arbres excessives ! Forêt sinistrée !
    Depuis 4 ans, 18 parcelles sur 95 se retrouvent ainsi déboisées et replantées. Si cette logique persiste, on peut craindre que près de la moitié de la forêt de La Malmaison sera rasée dans les cinq ans à venir ! II y a URGENCE car les prélèvements de l'ONF et les coupes excèdent la croissance naturelle de la forêt et mettent à mal la reconstitution du couvert végétal pourtant vital pour réguler les températures, filtrer les polluants aériens, capturer le CO2... C'est vital pour le bien-être et la santé des populations des zones urbaines à proximité et protéger la biodiversité. Le dérèglement climatique (températures élevées, sécheresse, inondations et maladies qui en découlent..) compromet la croissance naturelle et l'efficacité des replantations massives. Nous demandons aussi la mise en place d'une sylviculture plus douce qui favorise le maintien d'un couvert végétal continu et préserve la biodiversité, au moyen de coupes plus sélectives c'est à dire : - le ciblage des coupes sur les arbres malades repérés individuellement comme dangereux, sans écrasements des sols, ni broyage, ni labourage - le maintien de tous les arbres sains sur pied. - la suppression de l’objectif assigné à l’ONF d’exploitation économique des forêts péri-urbaines pour alimenter la filière bois énergie et l’exportation des grumes.
    125 sur 200 Signatures
    Créée par DOMINIQUE D.
  • [Auxerre] Stop à l'agression publicitaire et au gaspillage énergétique !
    Il est plus que temps de nous interroger sur nos usages de publicités superflues, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. ⚡️ Les panneaux publicitaires sont inutiles, n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. ⚡️ Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme en moyenne l’équivalent des besoins d’un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager(1) : laisser tous ces écrans allumés est un gaspillage absurde, en plus d’une atteinte à la biodiversité. Notre territoire a le pouvoir d’aller plus loin à travers le règlement local de publicité et les contrats qu'elle signe avec les afficheurs afin de montrer l’exemple pour être à la hauteur des enjeux environnementaux. 🛑Auxerre doit prendre les mesures suivantes. 👉Nous demandons : - Le retrait de tous les panneaux publicitaires de 2m2 rétro-éclairés, dans le nouveau contrat à venir avec un afficheur en janvier 2025. - Le retrait des écrans LED publicitaires quelque soit leur taille dans l'agglomération auxerroise. - L’extinction des panneaux lumineux des arrêts de bus en continu. - L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture des magasins. - L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés. 💡 Nous demandons ces mesures, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre dans le cadre du renouvellement de l'afficheur de la ville en janvier 2025. D’autres villes comme Lyon ou Paris ont déjà mis en place des mesures fortes pour réduire leur consommation énergétique et s’inscrire dans le sens d’une sobriété choisie et responsable. 🌟 Auxerre aussi doit s’inscrire dans le sens de l’Histoire et mettre en place des solutions ambitieuses ! Source : 1 - Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer).
    60 sur 100 Signatures
    Créée par Extinction Rebellion A.
  • Non à la navette autonome Beti à Crest & en Vallée de la Drôme, pour d'autres projets de société
    Au lieu de subir constamment les décisions unilatérales des élus locaux et de se soumettre aux logiques capitalistes et technologiques sans avenir, il est important de se réunir pour lutter ensemble et faire grandir des projets de sociétés vivables et désirables, socialement justes et écologiquement soutenables. Les catastrophes sociales, écologiques, climatiques en cours méritent bien mieux que du solutionnisme technologique. On a besoin de vraies améliorations sociales et politiques, pas de robots « high tech ». Et si on mettait fin à la résignation et la soumission par rapport à tous ces projets présentés abusivement comme bons et inéluctables ? Ce projet aberrant de navette autonome Beti est une bonne occasion pour commencer à se relever, réfléchir et agir. Une pétition n’est qu’un (très) modeste début en ce sens. C’est à nous toustes d’aller beaucoup plus loin ensemble, le plus loin possible.
    110 sur 200 Signatures
    Créée par Groupe écolo e.
  • La Mer commence ICI
    Les mers et les océans paient déjà un lourd tribut en étant fortement impactés par les hausses des températures. Comme nous le savons les 3/4 des déchets marins sont au fond, invisibles, formant un tapis qui asphyxie la vie sous-marine, en l'anéantissant. Ce sont aujourd’hui des milliers de tonnes de déchets qui menacent les écosystèmes. Ces écosystèmes sont essentiels pour l'équilibre climatique, la biodiversité et les populations locales. Nous ne pouvons pas ignorer cette destruction sans agir, il n’y a pas une minute à perdre ! La bonne nouvelle, c’est que des solutions existent ! Nous demandons à la métropole d’agir à nos côtés : => sur l’axe préventif, avec : > des campagnes d’information efficaces sur la question du plastique, le seul déchet qui ne disparait jamais, mais qui se fragmente en micro plastiques, que l’on retrouve par transport atmosphérique jusqu’aux lacs isolés en altitude, et que nous devons impérativement arrêter d’utiliser au maximum, > une campagne d’information et de sensibilisation sur la différence entre égout et réseau pluvial urbain, réseaux unitaires et séparatifs, et les conséquences d’une pollution des réseaux pluviaux > des interventions dans les écoles, > une sensibilisation auprès des commerçants et des industriels, > et surtout en en priorité immédiate, un travail de réduction à la source des déchets en limitant sur le territoire tous les emballages, entre autres, et en mettant en place une vraie politique zéro déchet. => Sur l’axe correctif également, avec : > un état des lieux sur la pollution chimique, et un plan d’action précis pour limiter les rejets des industriels, > des actions montrant une vraie prise de conscience collective sur les conséquences de l’eutrophisation (rejet de matière organique dans les cours d’eau qui tue littéralement toute la vie qui s’y trouve par prolifération végétale et consommation de tout l’oxygène, appelé plus communément : pollution aux eaux usées), > des ramassages et quantification de déchets réguliers, > l'installation de filets récupérateurs de déchets solides sur les exutoires et avaloirs stratégiques, > une aide au développement de la filière « gestion et tri » des flux récupérés par ces filets, > l’adaptation des bassins d’orages pour gérer les volumes d’eau colossaux et éviter la saturation des stations d’épuration mais aussi le débordement des réseaux unitaires dans les cours d’eau, > la remise en état des réseaux d’eaux usées pour diminuer la pollution des nappes phréatiques, > une meilleure surveillance des réseaux pour identifier les ruptures de canalisation et des interventions plus rapides, > la suppression des trop nombreux rejets d’eaux usées directement dans les cours d’eaux, ou encore sur les réseaux pluviaux, > la mise en sécurité des réseaux d’évacuation des eaux usés simplement posés dans le fond de ces cours d’eau … > une étude technique systématique de faisabilité de réemploi des eaux grises (eaux de la douche ou de vaisselles pour alimenter les WC par exemple) devrait être systématiquement envisagé pour les constructions neuves des collectivités, tant le sujet de l’eau potable et notre responsabilité à en préserver la ressource est cruciale. > des récupérateurs d’eau de pluie et panneaux solaires en collectivité, Il y a tant de sujets à aborder, tant de mesures à mettre en place, il est temps de se mettre ensemble en mouvement ! Afin d’entrer en action à vos côtés, collectivement et efficacement sur des sujets aussi variés que transversaux, nous demandons la création en urgence d’un CONSEIL DE PROTECTION ENVIRONNEMENTAL, déjà validé pour certains élu.e.s, constitué d’élus et d’associations de protections environnementales. Ce format de réunion de travail régulières est indispensable pour une communication efficace entre les services municipaux qui ont à gérer tous ces sujets transversaux, mais aussi pour permettre aux problématiques locales de remonter : les comités de quartiers, association de riverain.es sont les premiers témoins de ces problématiques locales, et pourront d'une façon extrêmement efficace, les faire remonter et constater aux services municipaux via les associations, qui pourront ainsi mieux anticiper les mesures à envisager, et les rendre efficaces. Les associations sont disponibles et compétentes, volontaires et investies dans leur rôle, à la hauteur de l’urgence à laquelle nous devons tous faire face. Nous avons déjà échangé avec les élus locaux sur ce sujet et aimerions que le projet, ambitieux et novateur, voit le jour rapidement dans la métropole de Montpelier. Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin !
    2 982 sur 3 000 Signatures
    Créée par Collectif B.A.M. B.
  • Non à l'autoroute A154-A120 !
    Pourquoi faut-il agir maintenant ? Monsieur le Ministre des Transports, Monsieur Le Ministre de la Transition Ecologique et de la cohésion des territoires, Notre collectif est né en janvier 2023 pour venir renforcer les actions des associations membres de la FEEL (Fédération Environnement Eure-et-Loir) contre ce projet anachronique, voici pourquoi : 👉 Alors que l’État a pris des engagements bas carbone, ce projet est aux antipodes des enjeux de réduction de gaz à effet de serre : il a été pensé il y a plus de 20 ans et ne serait réalisé qu’à horizon 2030 ! La DUP (Déclaration d'Utilité Publique) de 2018 et son chiffrage à plus d'1 milliard d'euros et 350 000 tonnes de CO2 sont hors sujet aujourd'hui ! 👉 Avant toute chose, chaque mètre de bitume pompe 1 litre d’eau de nos nappes phréatiques qui sont chaque année de plus en plus menacées, et empêchent nos agriculteurs de produire à plein régime (-40% de droit à irrigation en 6 ans). La ressource en eau va devenir si rare qu’on sera bientôt rationnés et tout supplément de surface artificialisée contribue directement à augmenter les problèmes de graves inondations en alternance avec de graves sécheresses ! 👉 Ce projet va à l'encontre des objectifs que la France s’est fixés en matière d’artificialisation : 660 hectares de terres agricoles seraient artificialisées, et 90 hectares d’espaces forestiers traversés. Au total : 750 hectares de terres fertiles seraient ainsi menacées. Par ailleurs, la destruction massive d’habitats naturels affecterait directement la faune et la flore, donc la chaîne alimentaire dont nous faisons partie. 👉 Les fortes pollutions de l’air et les nuisances sonores attendues dans les 35 communes limitrophes affecteraient de plein fouet les riverains et riveraines, en plus d’augmenter l’accidentologie dans les villages, ce qui obligerait les mamans à déposer les enfants en voiture contre poussettes et vélos aujourd'hui…. 👉 Poussé par des élus locaux, notamment sur Chartres et Dreux, ce projet n’a aucune cohérence économique : d’une part au vu du coût pour le concessionnaire (qui aura besoin d’une énorme subvention d’équilibre), d’autre part pour les 35 communes qui devraient prendre en charge toutes les mesures d’accompagnement, et enfin pour les Euréliens navigant tous les jours entre Chartres et Dreux qui ne voudront pas sacrifier leur budget vacances pour payer le péage pour leur trajet quotidien (prix du simple trajet à 6 €) et qui contourneront l’autoroute, comme de nombreux PL, en passant par les villages (presque 100 communes sont concernées) Pour ces raisons, nous demandons aux collectivités locales et à l’État d'agir : notre collectif exige un arrêt du projet d'autoroute afin de préserver le cadre de vie eurélien et régional, et s’associe bien entendu à l’arrêt de tous les projets autoroutiers en France avec la Déroute des Routes car ils contribuent à tuer progressivement nos ressources naturelles en France, eau, agriculture et biodiversité ! D'ici peu, vous allez nous annoncer la liste des projets autoroutiers maintenus par le gouvernement. L'Etat n'ayant encore rien engagé sur ce projet, il est encore temps de le stopper. Nous vous demandons, Monsieur le Ministre des Transports, de bien vouloir entendre cet appel citoyen massif afin de vous éviter un nouvel A69 ici en Eure-et-Loir, à une heure de la capitale. Pour les mêmes raisons, nous vous demandons, Monsieur Le Ministre de la Transition Écologique et de la Cohésion des Territoires, de bien vouloir revoir votre liste des 167 projets sortis de la loi ZAN afin de conserver l’esprit dans lequel cette loi ZAN a été votée pour réduire les surfaces artificialisables de la France. Ce ministère doit protéger tous les français, dans la durée, des impacts directs de cette artificialisation sur le dérèglement climatique et sur les catastrophes “dites naturelles” pour lesquelles nous sommes évidemment responsables. STOP ! Comment pouvez-vous qualifier ces projets destructeurs de projets d’envergure nationale et européenne d’intérêt général majeur alors qu’ils menacent directement nos ressources et sont accélérateurs de catastrophes “naturelles” ? Ces projets n’ont par ailleurs pas été sélectionnés de façon démocratique mais arbitraire, et ce, au détriment de tous les vivants sur le sol français ! Si vous avez des enfants et des petits-enfants et que vous vous souciez de leur avenir, vous DEVEZ abandonner ce projet d'autoroute d’une autre époque, et investir dès maintenant et massivement dans la réouverture des petites lignes de train et dans le fret ferroviaire, comme engagé dans le Contrat Plan Etat Région de l'été 2023. Nous sommes de plus en plus nombreux en Eure et Loir à dire NON au projet de mise en concession de nos RN12 et RN154 : je suis agricultrice bio et ma baisse de ressource en eau menace mon activité, je suis père de 2 enfants et agriculteur, et mon exploitation va être coupée en deux sans compensation, je suis maman d'une petite fille en poussette dans un village calme aujourd'hui mais qui demain sera traversé par des convois de poids lourds, je suis ingénieur en génie civil à la retraite et je travaille sur des alternatives ferroviaires, je suis papa de deux enfants et maire d'un village sacrifié au coeur d'une vallée classée, je suis agriculteur conventionnel et ma propriété deviendra invendable quand les poids-lourds passeront sous mes fenêtres pour éviter de payer l'autoroute, je suis étudiant et vraiment inquiet pour mon avenir, je suis habitant d’un village d’Eure-et-Loir et je ne veux pas d’une plateforme logistique dans mon jardin. Et vous, Madame, Monsieur, chers concitoyens Euréliens, pourquoi vous opposez-vous à ce projet d'autoroute en Eure-et-Loir ? Contactez-nous, signez et partagez cette pétition adressée à nos deux ministres. Le Collectif Non A154 A120
    580 sur 600 Signatures
    Créée par Le Collectif Non A154 A120
  • #Oui la consigne mixte nationale en 2026
    1) PROBLÈME Malgré les efforts de collecte depuis 30 ans, nous ne sommes pas sur la bonne trajectoire : - Taux de collecte des bouteilles plastique : 60% (objectif : 90% 2029) - Taux de collecte des canettes : 45% (objectif : 90% 2029) - Taux de réemploi : moins de 3% (objectif 10% 2027) = 8 milliards de bouteilles plastique et canettes perdues chaque année 2) DEMANDE Mettre en place de la CONSIGNE MIXTE pour réemploi et recyclage des boissons à l'échelle nationale en 2026. La consigne mixte est LA COMBINAISON GAGNANTE, permettant d'intégrer les emballages pour réemploi et pour recyclage de boissons à travers un dispositif unique et national, accessible à tous, et permettant de collecter plus de 90% des emballages pour les remployer ou les recycler. Il s'agit de LA MEILLEURE OPTION pour assurer la viabilité économique du système, développer l'offre du réemploi, créer un réseau national performant, tout en accompagnant les consommateurs dans leurs habitudes de consommation vers le réemploi. Une SOLUTION CONCRÈTE ET EFFICACE permettant de gagner sur la réduction des emballages à usage unique via le réemploi et d'augmenter significativement la performance de collecte et la qualité de la matière pour le recyclage. Il y aura plus de 20 systèmes de consigne en Europe en 2025, et nous ? 3/ URGENCE Malgré 5 années de sondages nationaux démontrant le soutien massif de la population à la consigne des boissons (9 Français sur 10), nous attendons toujours... La loi française prévoit la possibilité d'une consigne mixte depuis 2020, mais ne l'applique pas (art. 66, loi AGEC). La future réglementation européenne sur les emballages et déchets d'emballages (PPWR) prévoit aussi les conditions d'application d'une consigne sur les bouteilles plastiques et les canettes pour les pays les moins performants, dont la France, mais nous pourrions perdre de nombreuses années avant qu'une décision gouvernementale soit prise. Cela se traduirait par des années et des investissements perdues dans le réemploi ainsi que de voir une consigne pour recyclage être imposée par l'Europe sans être articulée avec celle pour réemploi. Une opportunité manquée! Nous demandons au Premier Ministre de prendre la décision en 2024 d'appliquer la loi AGEC afin qu'un système soit en place en 2026, seule option permettant de corriger in extremis notre trajectoire environnementale et atteindre les objectifs. Monsieur Le Premier Ministre, avec nous, et tous les signataires de cette pétition, dites #OUI LA CONSIGNE !
    102 sur 200 Signatures
    Créée par Alexis E.
  • Nos quartiers ont besoin d'une bouffée d'air !
    Comment pouvons-nous ne pas nous indigner ? Particules fines, quartiers bétonnés, autoroutes et usines à proximité de nos écoles… Depuis toujours, on étouffe. Il aura fallu attendre les JO 2024 pour mettre en lumière la différence de traitement de nos quartiers. Les athlètes auront le droit de respirer un air plus propre, mais évidemment… pas nous ! Même si la dernière analyse sur l’exposition des quartiers populaires à la pollution de l’air date de 1995, les statistiques récentes nous alarment : La surexposition aux particules fines tue entre 40 000 et 100 000 personnes chaque année en France. Surtout dans nos banlieues, où les gens ont 3 fois plus de risques de décéder après un épisode de pollution. L’injustice ne s’arrête pas là, puisque les enfants de familles modestes sont plus exposés et plus vulnérables : 3 enfants sur 4 respirent un air pollué. Que notre message soit clair, notre santé ne sera dorénavant plus laissée pour compte. En Seine-Saint-Denis et dans de nombreuses villes de banlieues, la pollution nous expose à des dangers constants pour notre santé au quotidien : troubles respiratoires, asthme, allerges, anxiété, cancers, maladies cardiovasculaires… Il est temps que les autorités prennent leurs responsabilités et engagent des politiques qui comprennent le danger de la pollution de l’air. C’est pourquoi nous réclamons des mesures d'urgence et des investissements massifs pour les transports en commun, les ZFE et les espaces verts : 1/ Nous appelons à des mesures concrètes pour améliorer le réseau de transports en commun et le rendre à la fois efficace et abordable pour tous les franciliens. Afin d'encourager la population à délaisser les voitures individuelles, l'accessibilité financière des transports en commun est nécessaire pour garantir l'égalité d'accès aux déplacements et pour réduire les inégalités sociales en matière de mobilité. 2/ Nous insistons également sur l'importance d'appliquer des exigences de justice sociale aux mesures de réduction du trafic routier. Environ 13 millions de Français.es sont estimé.es en situation de “précarité mobilité”, et dépendent entièrement de leur voiture ou ne disposent pas de moyen de transport régulier. Les bénéfices sanitaires des zones à faibles émissions (ZFE) doivent bénéficier à tous les habitants, en particulier ceux des quartiers populaires. De plus, il est crucial de créer des espaces verts et sans voitures accessibles à tous·tes, en particulier dans les quartiers populaires et près des écoles. L’initiative des "Rues aux écoles" est un exemple concret de mesures visant à protéger nos enfants des dangers de la circulation motorisée et de la pollution pour leur bien-être et leur sécurité. 3/ Nous demandons une transparence totale dans l’accès des données sur la qualité de l'air au public, notamment pour une meilleure prise en compte des enjeux sociaux dans les études d’impact dans les quartiers populaires. Nous insistons sur la nécessité d'assurer aux citoyens concernés un accès à la justice pour contester les actions de l'État et leur garantir le droit à la compensation et à la réparation des dommages liés à la santé. Une réelle implication des personnes vulnérables est indispensable dans l’élaboration des politiques de santé environnementale pour que chacun·e puisse contribuer aux décisions qui façonnent son cadre de vie. En signant cette pétition, vous soutenez notre détermination à défendre notre droit à un environnement sain, et contribuez avec nous à exiger des actions concrètes de la part des autorités. Cette pétition a servi de point de départ à la discussion que nous, les jeunes, avons porté auprès des élus franciliens dans le cadre du Parlement Génération Climat à l’Académie du Climat le 30 mars 2024, à présent allons plus loin. Rejoignez-nous dans notre combat contre la pollution de l’air ! Rania et Corentin de Banlieue Climat, Maël de Pour Un Réveil Ecologique et Léo de Oxfam Paris. (1) Analyse RESPIRE Carte IDF 2013-2019 (respire-asso.org) (2) À l’aube des J.O 2024, où en est la qualité de l’air à Paris ? | CNRS Terre & Univers Teqoya J0 2024 - Village athlètes air purifié (teqoya.fr) (3) « L’écologie, un truc de bourgeois » Socialter, n°62, février-mars 2024, page 44 (socialter.fr) (4) Karn Vohra, Alina Vodonos, Joel Schwartz, Eloise A. Marais, Melissa P. Sulprizio, Loretta J. Mickley, Global mortality from outdoor fine particle pollution generated by fossil fuel combustion: Results from GEOS-Chem, Environmental Research, Volume 195, 2021, 110754, ISSN 0013-9351, https://doi.org/10.1016/j.envres.2021.110754. (5) De l'Injustice Sociale dans l'Air - Rapport de l'UNICEF et Réseau Action Climat (6) La pollution de l'air en 10 questions (ademe.fr) (7) Rapport Mobilités Solidaires : pour un passage à l'échelle - Laboratoire de la Mobilité Inclusive (mobiliteinclusive.com) (8) Baromètre : 13,3 millions de Français en situation de précarité mobilité (fnh.org) (9) Plus de 200 « rues aux écoles » dans Paris - Ville de Paris www.greenvoice.fr/assets/uploads/2024/03/CLT.png
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    Créée par Banlieues Climat, Pour un Réveil Ecologique, Oxfam Paris