• SAINT-NAZAIRE : pour des repas sains à la cantine !
    Aujourd’hui, deux fois trop de viande et de produits laitiers sont servis aux enfants dans les cantines scolaires, en comparaison des quantités recommandées par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES). Saint-Nazaire n'échappe pas à ce constat. La surconsommation de viande et de produits industriels peut entraîner une augmentation des maladies, comme l’obésité, le diabète, des maladies cardio-vasculaires… Cette surconsommation a également des effets dévastateurs sur la planète (déforestation, émissions de gaz à effet de serre, pollution des eaux…). Au contraire, diminuer la quantité de viande peut permettre de réduire le coût des repas, et en conséquence augmenter la part des produits de qualité, pour que valeurs nutritionnelles et plaisirs gustatifs soient également au menu. Face à ce constat, il est grand temps d’agir ! Monsieur Samzun, nous vous demandons d'introduire dès maintenant : - Deux menus sans viande ni poisson pour tou.te.s par semaine, dont un exclusivement végétal (composé de céréales, légumineuses…mais sans fromage ni oeuf)* ; - Une option menu sans viande ni poisson les autres jours de la semaine ; - Une majorité de produits frais, bio et locaux. Certaines villes ont déjà pris les devants, comme c’est le cas à Lille, Grenoble, Paris 2 ou encore Mouans-Sartoux qui ont entre 20 et 50 % de produits bio et déjà 2 menus végétariens par semaine en moyenne. Si ces villes ont déjà opéré une transition végétale des cantines scolaires pourquoi pas Saint-Nazaire ? OUI, Saint-Nazaire doit être exemplaire. Notre ville doit jouer son rôle dans la lutte contre le réchauffement climatique et faire de la santé des enfants une priorité. * La nouvelle loi “Agriculture et Alimentation” prévoit uniquement l'introduction d’un repas végétarien hebdomadaire dans les cantines scolaires, à titre d’expérimentation, pour une durée de deux ans.
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    Créée par Raphaël B.
  • Plus de Bio dans les cantines de Wattignies : Maire de Wattignies Alain Pluss
    Aujourd’hui, deux fois trop de viande et de produits laitiers sont servis aux enfants dans les cantines scolaires, en comparaison des quantités recommandées par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES). Wattignies n'échappe pas à ce constat. La surconsommation de viande et de produits industriels peut entraîner une augmentation des maladies, comme l’obésité, le diabète, des maladies cardio-vasculaires… Cette surconsommation a également des effets dévastateurs sur la planète (déforestation, émissions de gaz à effet de serre, pollution des eaux…). Au contraire, diminuer la quantité de viande peut permettre de réduire le coût des repas, et en conséquence augmenter la part des produits de qualité, pour que valeurs nutritionnelles et plaisirs gustatifs soient également au menu. Face à ce constat, il est grand temps d’agir ! Certaines villes ont déjà pris les devants, comme c’est le cas à Lille, Grenoble, Paris 2 ou encore Mouans-Sartoux qui ont entre 20 et 50 % de produits bio et déjà 2 menus végétariens par semaine en moyenne. Si ces villes ont déjà opéré une transition végétale des cantines scolaires pourquoi pas Wattignies. Notre cantine scolaire doit jouer son rôle dans la lutte contre le réchauffement climatique et faire de la santé des enfants une priorité. * La nouvelle loi “Agriculture et Alimentation” prévoit uniquement l'introduction d’un repas végétarien hebdomadaire dans les cantines scolaires, à titre d’expérimentation, pour une durée de deux ans.
    161 sur 200 Signatures
    Créée par Francine H.
  • SAINT-LEU : Trop de viande dans les cantines = danger!
    Sachons-le : avec l’entrée en vigueur de la loi EGALIM, les mairies doivent s’engager à proposer un menu végétarien par semaine dans les écoles maternelles et élémentaires. Nous demandons deux menus de ce type et de privilégier les produits de qualité, frais, locaux et bio, sur les autres jours. Des menus constitués de céréales (blé, riz…), de légumineuses (lentilles, haricots…) et de légumes peuvent apporter tout ce qu’il faut en matière de protéines, mais également de fer, calcium, etc. L’important est que nos enfants aient accès, de manière EGALE, à une alimentation diversifiée et de qualité. Notre île regorge de fruits et légumes savoureux, mettons-les à l’honneur dans les assiettes de nos marmailles ! Cette transition est nécessaire, tant pour la santé de nos enfants, que pour la protection de l’environnement et le développement de filières agricoles durables à la Réunion. Les conséquences de cette surconsommation de viande sont nombreuses : déforestation, pollution des eaux, obésité, diabète, augmentation des risques cardiovasculaires … L'élevage représente 14% des émissions de gaz à effet de serre. Certaines villes ont déjà pris les devants (Lille, Grenoble), pourquoi pas nous ? Monsieur le Maire, vous aussi montrez l’exemple à la Réunion, vous pouvez agir pour défendre la santé des enfants, notre île et la planète. Nous comptons sur vous !
    282 sur 300 Signatures
    Créée par Groupe local G.
  • Urgence climatique : + de légumes et moins de viande dans les écoles niçoises !
    Votée en octobre 2018, la loi agriculture et alimentation prévoit l’instauration d’un repas végétarien ( sans viande ni poisson ) dans toutes les cantines scolaires à partir de novembre 2019. Vu l’urgence climatique et sanitaire, nous demandons à la mairie de Nice, signataire du pacte finances-climat, d’aller plus loin et de montrer l’exemple : 1/ Introduire deux repas végétariens par semaine à l’horizon 2020 Certaines communes montrent déjà la voie: Grenoble, Lille, Paris. Il est urgent de rééquilibrer l’apport en protéines. Les légumineuses, lentilles, pois chiches, etc. sont d’excellentes alternatives mais pour qu'elles soient pleinement adoptées par les enfants il faut savoir les cuisiner et former le personnel de cantine en ce sens et adapter les chaînes d’approvisionnement. Nous souhaitons également que la Végé-partie, une fois par mois, devienne 100% composée de protéines végétales à titre expérimental. 2/ Augmenter à 50% la part de bio d’ici fin 2020 La qualité des repas servis à la cantine peut encore être améliorée en favorisant le local et le bio, pour garantir une alimentation sans pesticides, sans OGM, sans additifs chimiques. De plus, la viande coûte cher. En consommer moins permet de dégager du budget pour acheter des produits de meilleure qualité : consommer moins, mais mieux ! 3/ Réduire le gaspillage Même si des efforts sont faits, avec 110g de gaspillage en moyenne par repas, il faut à tout prix réussir à réduire ce qui est jeté et cela se fera aussi ressentir sur le budget ! L’école est un lieu d’éducation, cela passe évidemment par l'assiette. A Lille, grâce aux menus végétariens, les équipes ont constatées une réduction de 40% du gaspillage ! Demandons à Mr Estrosi, maire de Nice, de mettre fin à la surconsommation de viande et de protéines animales dans les écoles. Merci pour l’engagement dont vous ferez preuve en signant ce manifeste ! Le collectif Cantine Verte Nice : FCPE 06, Jeudi Vert, l’AVF Nice et Greenpeace Nice
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    Créée par Collectif Cantine Verte Nice Picture
  • Pour des cantines d'école primaire vertes à Toulouse
    Cela fait déjà plusieurs années que la Mairie de Toulouse se préoccupe de fournir des produits issus de l'agriculture biologique, d'origine locale et même des options végétariennes de temps en temps. Anticipant l’entrée en vigueur de la loi EGALIM, la Mairie de Toulouse s’est engagée à proposer un menu végétarien par semaine dès le mois de juin. Il s’agit d’une étape importante vers une alimentation plus saine pour les enfants et plus respectueuse de l’environnement. L’engagement de la Mairie de Toulouse est à saluer, mais cela ne suffit pas. Face à l’urgence sanitaire, environnementale et climatique, une transformation plus ambitieuse est nécessaire. Deux menus végétariens et de qualité sont un minimum. Pourquoi est-ce important de proposer des repas végétariens dans les cantines scolaires ? Les repas végétariens, de qualité et équilibrés, sont pratiquement absents des cantines françaises. C'est pourquoi Greenpeace et l'Association Végétarienne de France (AVF) ont lancé fin 2017 une campagne visant à réduire la quantité de viande consommée et d’en améliorer la qualité, en commençant par la restauration scolaire. Il est urgent de changer nos habitudes de consommation et l'avenir, ce sont nos enfants. La restauration scolaire a un impact particulièrement fort sur l’éducation au goût et la promotion d’habitudes alimentaires saines et responsables. Les impacts de notre surconsommation de viande sont nombreux : déforestation en Amérique du Sud, pollution des eaux, résistance aux antibiotiques, obésité et maladies cardiovasculaires... L’élevage représente également 14 % de nos émissions de gaz à effet de serre. Le constat est accablant. Inverser la tendance est urgent ; d’ailleurs, la diversification des sources de protéines est l’une des manières les plus efficaces de réduire notre impact environnemental et de rétablir une balance nutritionnelle plus saine. Mettre en place deux repas végétariens par semaine, c'est bon pour tout le monde : pour la santé des enfants, pour la protection de l'environnement, mais également pour le développement de filières agricoles durables. Une fois par semaine c'est bien, mais deux, n’est-ce pas trop pour un enfant ? Avant toute chose, que l’on soit bien clair. En France, nous ne souffrons pas de nos carences, mais bien de nos excès : 37 % des adultes et 13 % des enfants présentent des problèmes de surpoids, sans compter l’obésité. Ceci est dû à une alimentation trop riche en produits carnés, ultra transformés, trop gras, trop sucrés et trop salés. Un plat de pâtes duquel nous aurions retiré le steak haché serait effectivement faible sur le plan nutritionnel. En revanche, des menus constitués de céréales (blé, riz…), de légumineuses (lentilles, pois chiches, haricots…) et de légumes peuvent apporter tout ce qu’il faut aux enfants en matière de protéines (les enfants en consomment de toute façon beaucoup trop en France – le double des recommandations scientifiques), mais également de fer, de calcium, etc. L’important est que les enfants aient accès à une alimentation diversifiée et de qualité. Et la suite ? Montpellier, Lille, Paris 19e et Grenoble sont déjà engagées pour plus de menus végétariens : à Toulouse de montrer à son tour l’exemple. Notre ville est située au cœur de l'Occitanie, une région agricole de qualité : nous avons tout pour réussir et être, ici aussi, moteurs du changement en faveur d’une alimentation plus durable ! Allez Toulouse, un repas végétarien par semaine c'est bien, mais deux c'est mieux !
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    Créée par Groupe Local de Greenpeace Toulouse Picture
  • Plus de repas végétariens pour tous les enfants dans les écoles primaires de Chambéry !
    La Mairie de Chambéry a confié la restauration scolaire à SODEXO et laisse depuis 2018 aux parents le choix, à la rentrée, et pour toute l’année, entre les formules "avec" ou "sans viande". Mais "sans viande ne veut pas dire "végétarien" car du poisson est la plupart du temps proposé comme alternative. Les enfants ont aussi régulièrement des œufs (non bio, non locaux), des « fromages » panés sous différentes formes et des boulettes de soja (non bio, non locales). Aujourd’hui nous savons que la pêche industrielle est dévastatrice pour les milieux marins, et que l’élevage industriel de viande (ou de poisson) : - a un impact désastreux sur l’environnement : il produit 14,5% des émissions mondiales de gaz à effet de serre, participe à la pollution des eaux et les cultures pour l'alimentation des animaux, souvent OGM, sont responsables d’une grande part de la déforestation. - nuit aussi à notre santé : une alimentation trop riche en graisses et en protéines animales peut entraîner une augmentation des maladies (obésité, diabète, maladies cardio-vasculaires…) et une résistance aux antibiotiques, utilisés massivement dans les élevages industriels. - provoque la souffrance animale dans les élevages en batterie, les fermes-usines, les chaînes d’abattage industrielles… Au vu de l’urgence climatique et sanitaire, nous demandons à la ville de Chambéry d’aller plus loin : - en proposant deux menus végétariens par semaine, sans viande ni poisson, à TOUS LES ENFANTS - en instaurant un cahier des charges clair pour la viande : production locale, d’origine biologique ou issue d’élevages responsables et nourrie sans OGM, - en augmentant la part de produits locaux et bio (aujourd’hui de 20 à 30% seulement malgré une promesse de 60%) en augmentant la part des protéines végétales autres que le soja . Nous ne demandons pas la suppression totale de la viande, mais une amélioration globale de la qualité des repas, et ce, pour la santé des enfants, pour le goût, pour la mise en valeur des filières locales et respectueuses de l’environnement. La collectivité, achetant moins de viande et de poisson, pourra basculer cet argent sur les produits bio et locaux - dont la viande - sans augmenter le coût des repas. Les municipalités comme Grenoble ou Lille ont déjà mis en place avec succès deux repas végétariens par semaine dans leurs cantines. Si c’est possible ailleurs, pourquoi pas à Chambéry ? Signez cette pétition pour demander à la Mairie d’aller plus loin et proposer aux enfants chambériens une alimentation de meilleure qualité, tout en préservant la planète et en encourageant la production locale !
    418 sur 500 Signatures
    Créée par Groupe Local de Greenpeace Chambéry
  • Pour des menus végétariens dans les écoles primaires de Nancy
    - La pêche et l’élevage industriels ont des effets dévastateurs sur la planète (déforestation, émissions de gaz à effet de serre, pollution des eaux, etc.). Ils sont également à l’origine d’"antibiorésistance”, un phénomène qui rend nos antibiotiques de moins en moins efficaces pour lutter contre certaines bactéries. A tel point que l’Organisation Mondiale de la Santé a déclaré ce problème "d’enjeu sanitaire majeur”. - Une alimentation trop riche en graisses et en protéines animales peut entraîner une augmentation des maladies (obésité, diabète, maladies cardio-vasculaires, etc.). Les bonnes habitudes alimentaires doivent être prises dès l’enfance. Nous, groupe local de Greenpeace à Nancy, menons une campagne sur la restauration scolaire de notre ville qui délivre 5000 repas par jour. Dans ce cadre, nous échangeons avec la mairie pour l’encourager à mettre en place des menus végétariens* dans les cantines des écoles maternelles et primaires. La mairie de Nancy a déjà mis en place 43 % de produits locaux et 15 % de produits bio. Elle projette d’atteindre 75% de bio et 75 % de local, mais à l’horizon 2030 seulement. Elle s’est aussi engagée à mettre en place un menu végétarien obligatoire, par semaine, dès septembre 2019, comme le demande la Loi EGAlim. Compte tenu des urgences environnementales et climatiques auxquelles nous faisons face, nous demandons à la mairie d’aller plus loin et de passer à deux menus végétariens pour tous, par semaine, d’ici la fin de l’année. Notre proposition : - Un menu végétarien avec un repas à base de protéines végétales (en combinant légumineuses : pois chiches, lentilles, ... et céréales : blé, ...) - Un menu végétarien avec un repas à base de protéines animales (oeufs, produits laitiers, etc.) Soit 2 menus végétariens par semaine. En introduisant plus de végétal, la ville pourra également dégager du budget et investir dans l’achat de produits frais, bio et locaux. Soutenez cette démarche dès aujourd'hui : 1. en signant ce manifeste ; 2. en venant visiter notre Foodtruck, le week-end du 22/23 juin 2019. De plus amples informations à venir sur notre manifeste et notre page Facebook : https://www.facebook.com/GreenpeaceNancy/
    526 sur 600 Signatures
    Créée par Groupe Local de Greenpeace Nancy
  • Moins de viande dans les cantines scolaires d’Angers, des aliments bio et locaux pour nos enfants !
    Parce que la santé de nos enfants, de nos adolescents est une priorité, Parce qu'il est urgent de préserver l'environnement, Parce que l'équilibre des enfants et celui de notre planète n'attendent pas, Nous demandons à notre Maire, M. Christophe Béchu et à l'EPARC de se montrer pionniers sur le sujet et d’aller plus loin que ce que préconise la loi en instaurant sans plus tarder deux repas sans viande ni poisson par semaine, incluant un composé de protéines végétales (lentilles, pois-chiches…) ainsi qu’une option quotidienne végétarienne (sans viande ni poisson) les autres jours, en utilisant une majorité de produits frais, bio et locaux. Pour la santé de nos enfants et celle de la planète, il faut sortir de la surconsommation de viande. La mise en place de deux repas végétariens obligatoires hebdomadaires dans les cantines scolaires serait une preuve de l'intérêt que porte notre ville à l'équilibre et la santé de nos enfants ET de notre planète. D’autres villes ont déjà sauté le pas : les municipalités de Grenoble et Lille ont par exemple déjà mis en place avec succès deux repas végétariens par semaine dans leurs cantines. Pourquoi pas Angers ? La mairie d’Angers et l’EPARC ont l’opportunité d’agir. Poussez-les à la saisir : signez cette pétition pour leur montrer que nous voulons des enfants et une planète en bonne santé !
    716 sur 800 Signatures
    Créée par Groupe Local de Greenpeace Angers
  • 2 repas végétariens par semaine, OF COURSE Le Mans peut le faire !
    DEUX FOIS TROP ! Aujourd’hui, deux fois trop de viande et de produits laitiers sont servis aux enfants dans les cantines scolaires, en comparaison avec les quantités recommandées par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES). Or, la surconsommation de viande a des conséquences sur la santé des enfants, entraînant entre autres surpoids et obésité. Elle a aussi des effets dévastateurs sur la planète puisque l’élevage industriel est responsable de 14,5% des émissions mondiales de gaz à effet de serre. Par ailleurs, il est prouvé que la viande est l’un des aliments les plus gaspillés et la fréquentation des cantines augmente les jours où un repas sans viande est proposé. La viande coûte cher. En consommer moins permet de dégager du budget pour acheter des produits bio et de meilleure qualité. A partir de novembre 2019, la loi Alimentation prévoit l’instauration d’un menu végétarien obligatoire par semaine dans toutes les cantines scolaires. Certaines villes ont déjà pris les devants en allant plus loin que ce cadre réglementaire : Lille et Grenoble proposent déjà beaucoup de produits bio et deux menus végétariens par semaine en moyenne dans leurs cantines scolaires. Au Mans, la cuisine centrale sert plus de 10 000 repas par jour dont 8 000 à destination des crèches et écoles primaires. C’est pourquoi nous, citoyen-ne-s et parents d’élèves, demandons aux élu-e-s de la ville du Mans : 1/ D’INTRODUIRE DEUX REPAS VÉGÉTARIENS PAR SEMAINE AVANT FIN 2019 Il est urgent de favoriser la consommation de protéines végétales, par rapport aux protéines d’origine animale. Lentilles, pois chiches, etc sont d’excellentes alternatives, bonnes pour la santé des enfants et goûteuses. Mais il faut savoir les cuisiner et former le personnel de cantine. 2/ D’AUGMENTER LA PART DU BIO DANS TOUTE LA RESTAURATION SCOLAIRE Aujourd’hui au Mans, la part du bio est de 17%. La qualité des repas servis à la cantine doit être améliorée : il est urgent d’augmenter la part de local et de bio, pour garantir une alimentation sans pesticides, sans OGM, ni additifs chimiques à nos enfants. Mesdames et Messieurs les élu-e-s, un peu d’audace et d’engagement pour nos enfants. Ils méritent des repas de qualité aujourd’hui et une planète respirable demain ! OF COURSE Le Mans peut être une ville exemplaire pour la transition écologique. Faites en sorte qu’elle le soit : nous comptons sur vous ! #OfCourseLeMans #CantineVerte
    578 sur 600 Signatures
    Créée par Groupe Local de Greenpeace Le Mans
  • Cantines de Clermont-Ferrand : ensemble pour la santé des enfants et de la planète
    Cette surconsommation de viande et de produits laitiers : - Détruit la planète : l’élevage est synonyme de déforestation, d’émissions de gaz à effet de serre, de pollution des eaux… - Nuit au bien-être animal : les animaux élevés de façon industrielle souffrent dans les élevages en batterie, les ferme-usines, dans les chaînes d’abattage industrielles… - Impacte notre santé : une alimentation trop riche en graisses et en protéines animales peut entraîner une augmentation des maladies (obésité, diabète… et donc maladies cardio-vasculaires) A partir du 1er novembre, la ville de Clermont-Ferrand sera tenue de proposer un menu végétarien par semaine dans ses écoles (loi EGAlim). Au vu de l’urgence climatique et sanitaire à laquelle nous faisons face, nous demandons à la ville de Clermont-Ferrand d’aller plus loin en proposant 2 menus végétariens par semaine et de proposer, pour les autres menus composés de viande, une viande de qualité (prise en compte de critères tels que la taille de l’exploitation, type d’exploitation, type d’alimentation des animaux et circuit court). De plus, les menus végétariens devaient être composés avec un maximum de produits locaux et bio. D’autres villes ont déjà sauté le pas : les municipalités Grenoble et Lille ont par exemple déjà mis en place avec succès 2 repas végétariens par semaine dans leurs cantines. Pourquoi pas Clermont-Ferrand ? Monsieur le maire, vous aussi, vous pouvez agir pour défendre la sante des enfants et de la planète. Nous comptons sur vous !
    465 sur 500 Signatures
    Créée par Groupe Local de Greenpeace Clermont-Ferrand
  • Pour des repas plus sains dans les cantines de Poitiers !
    Les enfants mangent aujourd’hui deux fois trop de viande dans les cantines scolaires par rapport aux recommandations des autorités sanitaires. Et cela a un impact dramatique sur notre environnement et la santé de nos enfants. En effet, l’élevage industriel nuit à la planète : il est synonyme de déforestation, d’émissions de gaz à effet de serre ou encore de pollution des eaux. L'excès de consommation de viande est mauvais pour la santé. Les études scientifiques le montrent : l'excès de viande augmente les affections cardio-vasculaires, les risques de cancer ou encore de diabète qui touche désormais 6,4 millions de personnes en France. Chez les enfants en particulier, la surconsommation de produits laitiers peut aggraver les risques de surpoids et d’obésité. Depuis septembre 2018, l'expérimentation d'au moins un menu végétarien par semaine dans les cantines scolaires est lancée. Ainsi, la commune de Poitiers propose depuis peu un repas végétarien de manière hebdomadaire. Bien que cette démarche soit positive, elle ne suffit pas. Au vu de l’urgence climatique, environnementale et sanitaire à laquelle nous sommes confrontés, nous demandons à la ville d'instaurer sans plus tarder un deuxième repas végétarien dans les cantines. Attention, il ne s'agit pas là de laisser tomber une source d'énergie mais bel et bien de la troquer contre une autre source équivalente pour donner aux enfants l'équilibre nutritionnel dont ils ont besoin. Moins de repas carnés et plus de repas végé dans les cantines scolaires, c'est possible et nécessaire ! La mairie propose également deux produits bio par semaine et un repas entièrement bio une fois par mois. C’est trop peu. Nous demandons à ce que la mairie s’engage publiquement et lance au plus vite un plan d’action pour fournir d’ici la fin de l’année une majorité de produits frais, bio et locaux. Demandez à la mairie de passer à deux menus végétariens et d’augmenter la part de produits bio et locaux dans nos écoles. Signez cette pétition ! Cette offre est déjà en place dans plusieurs villes telles que Grenoble ou Lille : pourquoi pas à Poitiers ? Notre ville doit elle aussi s'engager afin de protéger la santé de nos enfants et de notre planète !
    1 032 sur 2 000 Signatures
    Créée par Groupe Local de Greenpeace Poitiers
  • Paris : pour des repas sains à la cantine !
    Aujourd'hui en France, les enfants comme les adultes consomment deux fois trop de protéines. A l'école, rien que pour le déjeuner, la viande et les produits laitiers servis représentent à eux seuls entre 200 et 400% des apports en protéines conseillés par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation (ANSES). Suite à ce constat nous avons découvert que des représentants de l’industrie et des filières viande et lait prennent part à la rédaction des recommandations nutritionnelles adressées aux gestionnaires de cantine. Ne nous laissons pas dicter le contenu des assiettes de nos enfants par les lobbies ! La consommation excessive de protéines animales favorise le surpoids chez l’enfant et peut avoir des conséquences négatives sur sa santé à l’âge adulte : plusieurs études associent la consommation de viande rouge ou transformée à une augmentation du risque de mortalité liée à une maladie cardiovasculaire ou un cancer. A l’inverse une alimentation végétale ferait diminuer ces risques. Outre cette question de santé publique, c’est une question de santé planétaire : déforestation, perte de la biodiversité, pollution des sols et des eaux, etc. Notre alimentation impacte l’environnement et le climat bien plus qu’on ne le croit. L’élevage représente plus de 14 % des émissions globales de gaz à effet de serre, ce qui est comparable aux émissions du secteur des transports. Il est grand temps d’agir ! Végétaliser les menus des cantines, c’est : - favoriser une alimentation équilibrée en accord avec les recommandations scientifiques nutritionnelles, - assurer aux enfants une bonne santé, - réduire notre empreinte écologique. Diminuer la quantité de viande peut également permettre de réduire le coût des repas, et en conséquence de substituer des produits industriels à bas prix par des produits de qualité, bio et éco-responsables, pour que valeurs nutritionnelles et plaisirs gustatifs soient également au menu. Le Plan Alimentation Durable de la ville de Paris, et la loi Agriculture et Alimentation qui a été votée en septembre à l’Assemblée nationale et qui instaure un repas végétarien par semaine dans les cantines, ont montré une prise de conscience généralisée des effets néfastes de la production industrielle de viande et de la surconsommation de produits carnés. Néanmoins, ces textes parlent d’expérimentation et ne sont pas toujours contraignants. Si nous voulons agir pour la transition de nos modèles agricoles et alimentaires, il nous faut miser sur le courage et l’engagement de nos décideurs locaux. Certaines villes ont déjà pris les devants en allant plus loin que le cadre réglementaire, comme c’est le cas à Lille et Grenoble, qui ont entre 20 et 50 % de produits bio et déjà 2 menus végétariens par semaine en moyenne. N’attendez plus, notre capitale doit être exemplaire en la matière, nous pouvons être un modèle à suivre ! Avec plus de 22 millions de repas servis chaque année dans la restauration scolaire, Paris peut, grâce à votre action, jouer un rôle moteur dans la lutte contre le réchauffement climatique et pour une meilleure qualité alimentaire ! Cette pétition a été créée par le Groupe Local de Greenpeace Paris
    4 181 sur 5 000 Signatures
    Créée par Groupe local Greenpeace de Paris