Destinataire(s) : Monsieur le Maire d'Argenteuil, le promoteur Fiminco, le préfet du Val d'Oise
Rénovons Jean Vilar, salle des fêtes, publique, pour les Argenteuillais et leurs voisins
Le Comité Jean Vilar et des associations argenteuillaises manifestent son opposition , contre un projet immobilier en bord de Seine, où un centre commercial, un multiplexe, une salle de spectacle de 1500 places et 150 logements remplaceraient l'actuelle salle de spectacle, un parking public et un jardin public avec des arbres centenaires. Ce projet est contesté car il est en zone inondable, son gigantisme défigurera les bords de Seine et l'île Héloïse, et il augmentera grandement la circulation automobile, donc la pollution en détruisant un des poumons verts de la ville.
Pourquoi faut-il agir maintenant ?
En 2016, le conseil municipal d'Argenteuil (banlieue parisienne, 115 000 habitants, sur des bords de Seine peints par Claude Monet notamment) a autorisé la vente de la salle Jean Vilar et son jardin à un promoteur immobilier (FIMINCO) pour construire un complexe immobilier et commercial.
Ce projet immobilier vise à démolir une salle de spectacle (la salle Jean Vilar, construite en 1970, qui nécessite des travaux de remise aux normes), et une salle de réunion associative de 150 places(la salle Pierre Dux), à raser le parc public avec des arbres notamment centenaires, et privatiser un parking aujourd'hui public.
En défigurant l'Île Héloïse,la mairie autorise le promoteur à construire sur place sur 40 2OO m² de surface au plancher:
-Un multiplexe cinéma de 40m de haut (équivalent de 13 étages),
-Une salle de spectacle privatisée,
-Un centre commercial et une galerie marchande,
-Un parking privé de 400 places.
-3 grandes tours de 30m de haut (équivalent de 10 étages) avec 155 logements,
-L'abattage d'un ensemble arboré remarquable, de grands arbres anciens voire centenaires.
Une enquête publique environnementale a été menée en 2019, le commissaire-enquêteur a rendu un avis négatif, la MRAE a rendu un avis qui demandait des précisions, mais le préfet du Val d'Oise a validé quand même ce projet en août 2019. Le Comité Jean Vilar, avec Val d'Oise Environnement et l'association EVA et des riverains, ont assigné le préfet du Val d'Oise pour contester sa décision.
Le maire d'Argenteuil a accordé le permis de construire, malgré l'opposition de plus de 7500 Argenteuil signataires d'une première pétition.
Les signataires demandent donc l'abandon de ce projet, que le préfet retire son autorisation environnementale, que le Maire d'Argenteuil n'autorise pas le permis de construire, que le promoteur renonce à ce projet.
Ce projet immobilier vise à démolir une salle de spectacle (la salle Jean Vilar, construite en 1970, qui nécessite des travaux de remise aux normes), et une salle de réunion associative de 150 places(la salle Pierre Dux), à raser le parc public avec des arbres notamment centenaires, et privatiser un parking aujourd'hui public.
En défigurant l'Île Héloïse,la mairie autorise le promoteur à construire sur place sur 40 2OO m² de surface au plancher:
-Un multiplexe cinéma de 40m de haut (équivalent de 13 étages),
-Une salle de spectacle privatisée,
-Un centre commercial et une galerie marchande,
-Un parking privé de 400 places.
-3 grandes tours de 30m de haut (équivalent de 10 étages) avec 155 logements,
-L'abattage d'un ensemble arboré remarquable, de grands arbres anciens voire centenaires.
Une enquête publique environnementale a été menée en 2019, le commissaire-enquêteur a rendu un avis négatif, la MRAE a rendu un avis qui demandait des précisions, mais le préfet du Val d'Oise a validé quand même ce projet en août 2019. Le Comité Jean Vilar, avec Val d'Oise Environnement et l'association EVA et des riverains, ont assigné le préfet du Val d'Oise pour contester sa décision.
Le maire d'Argenteuil a accordé le permis de construire, malgré l'opposition de plus de 7500 Argenteuil signataires d'une première pétition.
Les signataires demandent donc l'abandon de ce projet, que le préfet retire son autorisation environnementale, que le Maire d'Argenteuil n'autorise pas le permis de construire, que le promoteur renonce à ce projet.