• NON à une nouvelle suppression de poste d'enseignant.e à Jules Ferry, Mauriac
    Madame l’Inspectrice, Nous, représentants des parents d’élèves de l’école Jules Ferry de Mauriac, vous adressons ce courrier pour exprimer notre vive inquiétude concernant la suppression possible d’un poste d’enseignant à la rentrée prochaine. En effet, cette perspective inquiète profondément les familles et l’équipe pédagogique, d’autant plus qu’un poste a déjà été supprimé cette année. La suppression d’un second poste aurait des conséquences importantes sur la qualité de l’enseignement, dans un contexte où les besoins spécifiques des élèves augmentent de manière significative. Notre école connaît une évolution, marquée par l’accueil, depuis cette année, d’une classe externalisée de l’Institut Médico-Éducatif (IME). Cette initiative, saluée par tous, reflète la vocation inclusive de l’école (un dispositif ULIS existe déjà au sein de l’école) mais s’accompagne également de défis pédagogiques accrus. De plus, comme dans de nombreuses écoles, les enseignants doivent faire face à une augmentation significative du nombre d’élèves à besoins éducatifs particuliers, nécessitant un accompagnement renforcé et des moyens humains adaptés. La réduction des effectifs enseignants compromettrait directement leur capacité à accompagner ces élèves dans les meilleures conditions. En parallèle, la commune de Mauriac s’investit pleinement dans l’amélioration des infrastructures scolaires. Des travaux d’amélioration du bâtiment ont déjà été réalisés, et d’autres sont programmés pour les mois à venir. Cet engagement de la municipalité témoigne d’une volonté forte de soutenir l’éducation et de garantir un cadre d’apprentissage de qualité pour les enfants. L’Association des Parents d’Élèves (APE) de l’école Jules Ferry est également particulièrement active. Grâce à ses actions, les élèves bénéficient régulièrement de financements pour des projets pédagogiques et des activités éducatives enrichissantes. L’APE est un véritable moteur pour dynamiser la vie scolaire et renforcer l’attractivité de l’établissement. Dans ce contexte, nous estimons qu’une suppression de poste serait en contradiction avec les efforts conjoints de l’ensemble des acteurs de la communauté éducative – enseignants, parents, élus locaux – pour offrir à nos enfants les meilleures conditions d’apprentissage possibles. Nous sommes convaincus que cet engagement collectif mérite d’être accompagné par une reconnaissance institutionnelle, notamment en maintenant l’ensemble des postes nécessaires pour garantir un enseignement de qualité. Nous vous remercions par avance pour l’attention que vous porterez à notre demande et restons à votre disposition pour échanger avec vous sur les spécificités et les besoins de notre école. Nous espérons également que notre inquiétude sera relayée à votre successeur.  Dans l’attente de votre retour, nous vous prions d’agréer, Madame l’Inspectrice, l’expression de nos salutations respectueuses.   Les représentants des parents d’élèves de l’école Jules Ferry.
    20 sur 100 Signatures
    Créée par Caroline G.
  • RN88 : STOP à la destruction de 190ha d'espaces naturels
    Début 2020, sur fond de campagne électorale, Laurent Wauquiez alors Président de la Région Auvergne - Rhône-Alpes (AURA), annonce la reprise d'un projet vieux de 30 ans : la construction de la déviation de 2 bourgs de la RN88. La déclaration d'utilité publique du projet, abandonné depuis par l'Etat, est alors périmée depuis 2007. Le projet coûtera 226 millions d'euros selon la Région AURA qui en finance 90%. Il coûtera en réalité probablement beaucoup plus, entre 500 et 600 millions d'euros selon ses opposant·es. L'augmentation du trafic routier aura également un impact sur la pollution de l'air, l'augmentation des émissions de gaz à effet de serre, et la pollution sonore. Pendant et après les travaux, la biodiversité est et sera lourdement impactée par la disparition de corridors écologiques et la destruction d'habitats de plus de 100 espèces animales et végétales. Un collectif d'habitant·es, de paysan·nes et de défenseur·euses du vivant s'est autour de "La Lutte des Sucs" pour défendre l'arrêt de ce projet mortifère. Depuis 5 ans, 5 nouvelles espèces protégées ont été découvertes sur le site : le Crossope aquatique (un amphibien à enjeu fort), le Campagnol amphibie (un rongeur à enjeu fort), le Cuivré des marais (un papillon à enjeu fort), le Crapaud Calamite (un amphibien à enjeu modéré), et le Triton palmé (un amphibien non cité dans l'étude d'impact). Pourtant, alors que le maître d'ouvrage ne possède pas la maîtrise foncière des terrains pour les zones de compensation environnementale, les travaux ont débuté avec l'abattage de dizaines d'hectares de forêts, la destruction de murets anciens, la défavorabilisation de terres agricoles, et la construction de plusieurs ouvrages d'art. En 5 ans, de nombreux recours ont été déposés devant la justice, notamment par France Nature Environnement, mais après une annulation partielle de l'autorisation environnementale par le Tribunal administratif de Clermont-Ferrand fin 2024, le processus judiciaire est amené à se poursuivre en Cour d'appel pour obtenir son annulation totale. Nous n'avons pas le temps d'attendre. Nous, collectifs et associations en soutien à la Lutte des Sucs qui se bat contre la destruction de ces écosystèmes, demandons au Préfet de Haute-Loire de suspendre les travaux et à la Région Auvergne - Rhône-Alpes de mettre en étude des solutions alternatives respectueuses de l'environnement. Pour le même prix, il est possible de penser des liaisons de bus cadencées entre Saint-Étienne et le Puy-en-Velay, développer le fret ferroviaire, penser de petites déviations des 2 bourgs en 2x1 voie ou en limiter la vitesse à 30km/h. Ces alternatives crédibles et moins onéreuses (proposées par plusieurs organisations) n'ont pourtant jamais été envisagées sérieusement par la Région AURA. Il est encore temps, mais il est urgent d'agir : seulement une petite partie du projet est sortie de terre, mais d'ici début 2026, le plus gros des travaux risque de mettre définitivement en péril les écosystèmes. Mobilisons-nous pour stopper ce projet ! Crédit photo : LR - rue43120
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    Créée par Greenpeace Clermont-Ferrand & La Lutte des Sucs Picture
  • Stop Tomorrowland Alpe d'Huez
    • Surexploitation des ressources et inconscience écologique : La moitié au moins des festivalier.es viennent en avion : la seule empreinte carbone des vols en avion liés au festival excède 6 000 tonnes équivalent CO2 (en 2022), un chiffre bien supérieur à celui de l’empreinte carbone annuelle de la commune d’Huez. A cela s'ajoutent les statues géantes de glace, la neige artificielle en mars, les scènes dans un environnement de haute montagne fragile, les nuisances sonores, etc. • Argent roi pour un événement élitiste : le festival s’adresse aux plus aisé.es avec des places de 875 euros à 7000 euros la semaine. Qui a les moyens de débourser des centaines, voire des milliers d’euros pour cet événement ? • Modèle économique archaïque : ce festival n’est pas nécessaire à la vie économique de la station, mais accroît sa dépendance économique au tourisme. En effet, tous.tes les commerçant.es ne bénéficient pas également de la supposée « manne économique » qu’est censée être le TL Winter. • Gaspillage d’argent public : le contribuable paie largement  (plusieurs millions d’euros chaque année) pour l’organisation, via les subventions de la région, du département, de la communauté de communes, etc. (plus d’infos sur les subventions sur notre site). Chaque année, la mairie de l’Alpe d’Huez subventionne le festival à hauteur de plus de 2M d’euros (un chiffre voué à augmenter), lorsque la société belge Tomorrowland engrange un chiffre d’affaire de 25M d’euros par an. Un « coup de pouce » indécent pour une commune de cette taille.   • Mascarade culturelle : peu accessible aux habitant.es de la région, le bénéfice culturel local est plus que discutable. Mais TL Winter, c’est surtout le symbole des giga-évènements culturels ou sportifs (comme il en existe d’autres dans notre région) qui exploitent les cimes jusqu’au dernier filon économique que les promoteurs peuvent en tirer. TL Winter, c’est le symbole d’un imaginaire selon lequel on peut abîmer la montagne et ses écosystèmes pour pouvoir s’amuser, tels des ressources économiques sans remettre en question les impacts qu’on cause. TL Winter, c’est un symbole de la maladaptation au changement climatique : une diversification des activités dans les territoires de montagne, oui, mais pas réservée aux plus aisé.es, au détriment des écosystèmes et sur le dos du contribuable ! Notre imaginaire : un monde sans giga-festival comme le Tomorrowland Winter Nous souhaitons pouvoir prendre le temps de réfléchir collectivement à ce que nous souhaitons pour nos territoires. Nous souhaitons nous poser des questions cruciales : quelle montagne voulons-nous pour demain ? Quels évènements culturels ? Jusqu’à où avons-nous le droit d’exploiter notre environnement pour le bénéfice de quelques-uns ? Un festival qui respecte nos valeurs c'est : • un festival qui limite au maximum son impact environnemental avec une réflexion réelle sur tous les postes d’émissions carbone et pressions anthropiques sur l’écosystème local ; • un festival qui se soucie de la protection des milieux fragiles (ici la montagne) ; • un festival accessibles à toustes, gratuit ou avec des prix accessibles ; • un festival bénéficiant réellement à toustes les acteurices locaux ; • un festival basé sur une véritable implication des acteur.ices locaux dans les prises de décisions et le consentement de la population du territoire pour le mettre en place. Qui sommes-nous ? Notre collectif s’est formé en octobre 2023, faisant suite à des mobilisations des acteurs environnementaux et culturels de la région. Parmi nous, des militante·e·s de différentes associations et mouvements écologistes et sociaux sont présent·es... Mais pas que !  Nous avons mené de nombreuses mobilisations, afin de visibiliser les impacts multiples du TL Winter. Tractages entre Huez, l’Oisans et Grenoble, campagnes d’affichages, deux concerts de soutien (afin de ne pas seulement s’opposer mais aussi proposer, fédérer 😉), et une manifestation en mars 2024 à l’Alpe d’Huez à l’ouverture de la 4ème édition du festival. “Diffusez cette pétition à vos proches, vos cercles amicaux, familiaux et militants et parlez-en autour de vous. Le festival se déroulera du 15 au 22 mars 2025. Nous pouvons dire STOP et faire entendre notre voix ! Ensemble, nous disons à l’Alpe d’Huez : Enjoy your last Tomorrowland ! ” Pour plus d'informations sur les enjeux de la lutte : https://stop-tomorrowland-alpedhuez.fr Pour suivre les actualités/événements : - Facebook - Instagram - Mastodon
    375 sur 400 Signatures
    Créée par Collectif Stop Tomorrowland Alpe d'Huez
  • Sauvons l'accès aux plaines brûlées depuis Chastreix-Sancy!
    Zone d’estives et de randonnée l’été, zone de ski nordique, raquettes et chiens de traineau l’hiver, les Plaines Brûlées s’étendent de Chastreix-Sancy au Capucin qui surplombe la ville du Mont-Dore . Cet espace naturel préservé est située sur les communes de Chastreix et La Tour d’Auvergne. Le 20 décembre débuteront les vacances scolaires, marquant le début de la saison touristique hivernale. A cette date, si neige, les domaines nordiques Sancy Ouest ouvriront. Cependant, le  passage sur les sentiers historiques traversant le terrain jouxtant la station de Chastreix-Sancy et sur lequel passent des pistes de ski de fond et raquettes, est désormais interdit, rendant impossible le départ depuis la station. Le passage des marcheurs, trailleurs, VTTistes, cavaliers, est également impossible depuis ce printemps. Plusieurs commerces, producteurs de Saint-Nectaire, prestataires d'activités, hébergeurs de Chastreix et des communes alentours sont déjà ou seront directement ou indirectement impactés par cette fermeture. Les tentatives de négociation des pouvoirs publics locaux n'ont pas abouti. La commune, la Réserve Naturelle de Chastreix-Sancy et ses acteurs socio-économiques sont en train de bâtir une stratégie de diversification 4 saisons de l'offre touristique. Cet élément vient fragiliser leur travail. Ainsi il y a urgence à se mobiliser. Les pouvoirs publics doivent agir pour réouvrir l'accès aux sentiers historiques. Cet incident local n'est pas le premier conflit d'accès à la Nature sur le Massif ou sur le territoire national.  C'est aussi pour cette raison que s'est monté le collectif citoyen Touche pas à mon Sancy, regroupant des socioprofessionnels, des agriculteurs, des pratiquants et prestataires d'activités de Pleine Nature, et des citoyens qui souhaitent défendre les accès à la Montagne. 
    5 377 sur 6 000 Signatures
    Créée par Collectif Touche pas à mon Sancy
  • Sauvons la piste cyclable Carabacel-Désambrois qui relie le Sud-Est au Nord de NICE
    Cet élément majeur de l’aménagement cyclable de la ville est prévu dans les moindres détails dans les documents d'urbanisme de Nice (1), il est indispensable au réseau cyclable existant du « centre-ville » et reliera les quartiers du Sud-Est (Le port, Riquier, St Roch) au Nord de la ville, ainsi que la fac de St Jean d’Angély à celle de Valrose.   Sa prolongation au Nord de Désambrois, simplement ébauchée au PLU, semblait se concrétiser en 2022 avec un premier tronçon déposé au permis de construire de l’aménagement de la place Jeanne-d’Arc et accepté par la ville de Nice. Mais, coup de théâtre, cette voie cyclable place Jeanne d’Arc a été abandonnée en cours de travaux, entraînant la stupeur des associations de défense du vélo et de l’environnement. Pire encore, lors du discours d’inauguration de cette place (2), M. Estrosi, maire de Nice et M. Nofri, délégué aux transports et à la Mobilité nous ont fait comprendre que c’est toute la piste cyclable "Carabacel-Désambrois" et sa prolongation vers le Nord qui allaient être supprimés dans le plan vélo 2025.    Dans le contre la montre déjà mal engagé face au réchauffement climatique tout renoncement serait désastreux. Les Niçois, prêts à prendre leur part dans cette course pour peu qu’on leur en donne les moyens ne comprendraient pas cet abandon. Signez cette pétition pour le maintien de la piste cyclable « Carabacel-Désambrois », primordiale pour le développement du vélo à Nice. Campagne soutenue par : "Nice à Vélo", "Alternatiba", "Terre bleue" et "Oxfam" *** Sources : (1) Voir le résumé du PDU-POA issu du PLU métropolitain en vigueur / 3. Plan Déplacements Urbains (PDU) / POA / PDU / Annexe 2 (2) Nice Matin du 24/10/2024
    488 sur 500 Signatures
    Créée par Groupe local de Greenpeace Nice
  • Non à l’incinérateur plastiques à montpellier !
    Pourquoi c’est important d’agir maintenant ? En avril 2024, la Métropole de Montpellier a voté la rédaction d’un cahier des charges pour la création d’un incinérateur à plastiques sur la zone d’AMETYST. En juillet 2025, la Métropole de Montpellier devra voter le renouvellement de la Délégation de Service Public (DSP) pour la création de cet incinérateur. Pourquoi ce projet va à l’encontre de l’environnement, de la santé, des finances, … anti-tout ? Cette installation peut paraître séduisante : élimination de déchets qui sinon auraient été enfouis, diminution de la consommation d’énergie fossile et baisse du coût des transports en camion dans la Région, création d’emplois, etc … Tout cela dans le but de créer un réseau de chaleur. Mais nous n’avons pas d’industrie sur Montpellier et même si cela était dans les projets, aucune industrie ne nécessite de sacrifier des populations. A l’encontre de la santé publique : Les chaudières CSR génèrent des émissions de multiples polluants. Des études ont clairement démontré le lien entre la pollution de l’air et l’augmentation des maladies respiratoires et cardiovasculaires.  A l’encontre de la qualité de l'air : Montpellier souffre déjà d’une qualité de l'air souvent dégradée, et un tel projet CSR, associé aux problèmes d’AMETYST et à la pollution suite au trafic routier provoquerait  un effet cocktail qui aggraverait la santé des habitants de Montpellier et de ses alentours. A l’encontre des objectifs climatiques : Le projet ne semble pas aligné avec les objectifs ambitieux de la ville en matière de transition énergétique et de réduction des gaz à effet de serre. Nous estimons que des solutions plus durables et moins polluantes doivent être privilégiées.  A l’encontre de la démocratie : Les citoyens n’ont pas été suffisamment consultés sur ce projet, qui pourrait pourtant avoir un impact direct sur leur quotidien. Nous exigeons de la transparence de la part de nos politiques, une meilleure information et une réelle participation de la population.  A l’encontre des expériences passées : Dans plusieurs villes et collectivités, citoyens, médecins, associations et politiques s’associent contre l’implantation ou l’arrêt de telles chaudières CSR dans leurs villes. Les études menées montrent bien les conséquences néfastes qu’il est encore temps d’éviter. Ce que nous demandons : 1. L’arrêt immédiat du projet : Nous demandons la suspension du projet d’implantation de cette chaudière CSR jusqu’à la mise en place d’une consultation publique approfondie et d’une étude d’impact indépendante, prenant en compte l’ensemble des risques environnementaux et sanitaires. Nous souhaitons déposer un moratoire. 2. Une étude d'impact environnemental transparente : Il est crucial que cette étude prenne en compte les émissions potentielles de polluants (particules fines, oxydes d'azote, dioxyde de soufre, etc.), l'impact sur la qualité de l'air, de l'eau et des sols, ainsi que les risques de contamination des écosystèmes locaux.  3. La prise en compte de l’avis des citoyens : Avant toute décision finale, une véritable concertation avec les citoyens.ennes de Montpellier et des communes avoisinantes doit avoir lieu, afin de recueillir les préoccupations et les propositions des habitants.  4. Une alternative durable : Nous demandons à ce que des alternatives écologiques et innovantes, respectueuses de l’environnement et de la santé des citoyens, soient étudiées et proposées en lieu et place de cette chaudière CSR.  OUI le sujet des déchets est une priorité mondiale sur laquelle il est urgent de réellement ouvrir les débats, NON leur traitement ne doit pas être envisagé à n’importe quel prix. Nous demandons la mise en place d’une vraie stratégie Zéro Déchet afin de les réduire à la source, et ne pas aggraver le scandale environnemental par un scandale sanitaire. Et ailleurs comment ça se passe ?  • En Haute-Loire, un courrier de l’Ordre des Médecins a alerté le Préfet sur les conséquences néfastes sur la santé et la lutte continue, avec les élus locaux. • A Marseille, après 1 an de bataille et d’étude réalisé par le collectif “MARSEILLE SANS CSR”, l’incinérateur d’ARKEMA est abandonné. • A Lannemezan, le collectif “NESTE PLATEAU SANS CSR” continue la lutte avec les industriels alors que de nombreux maires et élus sont contre le projet. • A Ivry-sur-Seine fait polémique car les émissions de dioxines ne sont pas contrôlées comme elles devraient l’être. • En Charente, les députés ont transmis un moratoire sur la construction de nouveaux incinérateurs au Ministère de la Transition Écologique.. Depuis la directive de 2008, l'Union européenne fait de la réduction des déchets à la source la priorité des politiques publiques et dispose que « les États membres prennent les mesures nécessaires pour assurer que la gestion des déchets se fait sans mettre en danger la santé humaine et sans nuire à l'environnement ». Ensemble, exigeons une politique énergétique plus respectueuse de notre environnement et de notre santé. Nous appelons toutes les personnes, associations, et institutions concernées par l’avenir de notre ville à rejoindre cette mobilisation et à signer cette pétition. Il est impératif que les décisions qui affectent notre qualité de vie soient prises de manière démocratique et éclairée.  Fait à Montpellier, le 02/12/2024
    354 sur 400 Signatures
    Créée par Montpellier Sans CSR
  • La centrale ou la crèche ... il faut choisir !
    Notre Maire s'apprête à transformer un bourg paisible dans un environnement agricole à coup de bétonnières...  Les nuisances causées par une autre installation de ce groupe implanté à Caen la Mer sont bien connues, alors même qu'elle est beaucoup plus éloignée des habitations !  Alors pourquoi vouloir coller cette installation à proximité immédiate d'enfants et d'habitants et exposer leur santé et leur bien être alors que des terrains plus éloignés sont disponibles ? Le permis de construire étant déjà accordé, les travaux peuvent débuter à tout moment, mais il est encore temps de leur faire entendre raison ! Soutenez notre pétition Contre la Centrale à Béton de Thue et Mue ! 
    9 sur 100 Signatures
    Créée par Association Thue M Nature
  • Poursuivons notre lutte contre le poulailler industriel géant de Peyrins (Drôme)
    Pour soutenir les associations qui portent les actions en justice.  Chaque signature compte !           Pour protéger notre environnement  - Pollution actuelle amplifiée : eau, air, odeurs, mouches, bruit, ... - 698 camions/an et tracteurs sur des petites routes dont l'entretien incombe à tous. - 14 218 kg/an d'ammoniac (nocif pour les bronches). - Impact de l'épandage (nitrates, phosphates, antibiotiques) sur 10 communes de la Drôme des collines, pollution des sols, de l'air et de l'eau (nappes phréatiques) par 1596 tonnes de fumier par an répandus sur plus de 300ha ! - Consommation d'eau entre 11 000 et 15 000 m3 (équivalent à la consommation de plus de 100 foyers.) alors que l’exploitation se trouve dans un bassin où l’eau est rationnée. - Nourriture des poulets à base de soja importé d’Amérique (25%) favorisant la déforestation et de maïs issue de l’agriculture intensive (pesticides et engrais synthétiques).        Pour lutter contre la maltraitance animale : - 21 poulets au m², soit une surface de moins d'une feuille A4 par poulet. - Les poulets sont enfermés sans voir la lumière du jour, engraissés pendant 37 jours  (sélection génétique à forte croissance).       Pour soutenir les revenus de nos éleveurs : L’éleveur vend le kilogramme de poulet à 28 centimes au géant industriel DUC, filiale du groupe néerlandais PLUKON. L’éleveur est endetté sur 15 ans. Il subit des variations de charges (gaz, électricité, eau) qu’il ne maîtrise pas. Quant à DUC le donneur d’ordres, seul client de l’éleveur, il peut modifier à tous moments les quantités livrées et le nombre de livraison par an.  D’autres modèles économiques existent permettant à l’éleveur de maitriser sa production et de proposer un produit de qualité à un prix décent.            Où en sommes-nous ?   Le permis de construire a été refusé par le Conseil Municipal de Peyrins. Dans le cadre de l’enquête publique, 223 avis sur 255 se sont déclarés opposés à ce projet. Pourtant, le préfet a suivi l'avis de l'enquêteur public et donné son autorisation à ce projet  La FRAPNA, associée avec des habitants proches, va déposer un recours début décembre devant le Tribunal Administratif, bloquant le démarrage du chantier. La décision du tribunal administratif pourra faire l’objet d’un appel si le tribunal confirme la décision du préfet.   L'Association « Prévention Environnement Santé Drôme des Collines » (PESDC) porte cette pétition afin de soutenir les associations qui actent en justice. Soutenue par : FRAPNA Drôme Nature Environnement, Générations Futures, Protégeons le Mont Vanille Royans Vercors, ASET, Greenpeace Grenoble, Écologie au quotidien...
    639 sur 800 Signatures
    Créée par Association Prévention Environnement Santé Drôme des Collines
  • STOP au projet d'une déchetterie de 10 000 m² sur des terres agricoles à St Clément de Régnat !
    Le PLUi (Plan Local d'Urbanisme intercommunal) de Plaine Limagne Communauté prévoit le reclassement de la parcelle concernée actuellement classée agricole en zone constructible. La parcelle est en cours d'acquisition. Il est donc urgent de se mobiliser !  
    491 sur 500 Signatures
    Créée par Préservons Saint Clément
  • La Garrigue : notre patrimoine collectif
    La nouvelle est tombée comme un coup de tonnerre dans un ciel pourtant serein. La mairie prévoit de détruire sept hectares de garrigue, ce joyau naturel niché le long d’un chemin de randonnée apprécié par tous, de l’enfant curieux à l’âme errante du promeneur. Cet espace, témoin de l’histoire et refuge pour une multitude de vies silencieuses, est un patrimoine collectif que l’on croyait inviolable. Sous le prétexte de transformer Marguerittes en une ville à énergie positive, la promesse de modernité semble s’acharner à effacer les racines mêmes de ce qui fait l’âme de ce village. Les chênes robustes, les arbustes de thym et de romarin qui embaument l’air, les criquets qui chantent à l’ombre des genévriers… tout cela risque de s’éteindre dans le fracas des machines et la poussière soulevée par les travaux. Et pourtant, la question s’impose : à quel prix ? Quelle ironie de vouloir créer un futur soi-disant plus « vert » en détruisant ce qui l’est déjà, authentiquement, sans artifice. Ce qui doit être un progrès s’annonce comme une amputation, un acte irréversible qui laisse un vide et un goût amer. Face à cette menace, les cœurs s’alourdissent, mais une révolte sourde s’élève. Il est temps que les voix s’unissent pour dire que Marguerittes doit rester une terre d’équilibre, où tradition et modernité coexistent sans que l’une ne dévore l’autre. Car un village sans sa garrigue est un village amputé, une histoire que l’on a renié.
    1 238 sur 2 000 Signatures
    Créée par VIGILANCE INONDATION C.
  • Pour la santé et le climat, plus un sou pour l’aéroport de Dole-Tavaux !
    Le drame de Valence vient nous rappeler que le dérèglement climatique, dont l’être humain est responsable, est un problème majeur posé à l’humanité toute entière.  Les émissions mondiales de gaz à effet de serre ne cessent pourtant d’augmenter et l’année 2024 sera probablement la plus chaude jamais enregistrée. La Terre se réchauffe. Les calottes glaciaires fondent. Les catastrophes climatiques se font plus fréquentes, plus intenses. Les écosystèmes sont menacés et les réfugiés climatiques déjà une réalité.  Parce que l’aviation et la croissance incontrôlée du trafic aérien sont une menace pour le climat, face à l’urgence et à la nécessaire réduction des émissions de gaz à effet de serre, il faut réduire le trafic aérien et fermer les aéroports non indispensables.  Dole-Tavaux, un des aéroports de trop En 2007, la loi transfère au profit des collectivités 150 aérodromes et aéroports appartenant à l’État qui n’ose fermer ceux-ci malgré leur peu d’utilité. L’aéroport de Dole-Tavaux fait depuis sa reprise par le département du Jura de multiples débats et controverses, qui amènent à douter sérieusement du bien fondé et de la légalité des aides publiques à un équipement qui ne remplit aucune mission de service public. La réglementation européenne (lignes directrices de 2014) prévoyait par dérogation que les aides d'État aux aéroports non rentables soient supprimés à compter d’avril 2024. Si un sursis jusqu'en 2027  a été arraché par le secteur aérien au prétexte de la pandémie de Covid-19, il reste nécessaire de réviser  les lignes directrices européennes pour les rendre conformes aux objectifs du pacte vert . Centrées sur la question de la concurrence, elles ne répondent en effet pas du tout au besoin d'atténuer l'impact climatique et environnemental de l'aérien. Suite aux dégradations de la piste de Tavaux  constatées dès 2018, on a découvert que cette dernière n’était pas conforme aux prescriptions de sécurité. Il y a donc aujourd’hui nécessité de la refaire en totalité pour un montant de travaux estimé à 7 500 000 €.  Au moment même où le Conseil Régional de Bourgogne-Franche-Comté retire la plateforme du schéma régional aéroportuaire annexé au SRADDET, l’État, après avoir longtemps refusé, cède finalement aux demandes répétées du Département du Jura et annonce un soutien de 2 000 000 € . Faisant fi de l'impact climatique et environnemental de l'aéronautique, avec le soutien de ses voisins (Départements de Côte d'Or, de Saône et Loire, Métropole de Dijon ...), le Département du Jura projette de développer de nouvelles dessertes et une augmentation du trafic de 40 avions par an est envisagée au cours de chacune des 10 prochaines années. Le trafic actuel étant de 388 rotations par an, cela représenterait un doublement d'ici 2034 !   “🚨 Il y a urgence à convaincre les décideurs : l'appel d'offres est lancé et les travaux de reconstruction de la piste sont programmés  entre mai et juillet 2025 !” Au nom de l’urgence climatique, ONG environnementales, consommateurs, usagers des transports et acteurs politiques comme de nombreux citoyens exhortent les décideurs à atterrir… pour réfléchir La fin de vie de la piste est l'occasion de raccrocher ... La course au développement de l’aérien condamne notre avenir à toutes et tous. S’il ne s’agit pas de dire que plus aucun avion ne doit voler, il est impératif de réduire le trafic aérien. L’argent public doit permettre d’optimiser l’usage des aéroports internationaux en jouant la complémentarité des moyens de déplacement. En Bourgogne Franche-Comté, la fédération régionale des associations de protection de la nature et de l’environnement France Nature Environnement engage des recours contentieux contre l’État et les collectivités locales qui entendent relancer la plateforme aéroportuaire de Dole-Tavaux. Le levier juridique, associé à la mobilisation citoyenne, est un levier qui a déjà fait ses preuves pour lutter contre la crise climatique, c’est pourquoi nous avons besoin de vous. Accordant une victoire historique à l’association suisse « Aînées pour la protection du climat » , la Cour Européenne des Droits de l’Homme condamne la Suisse pour inaction climatique , reconnaissant que le changement climatique constitue une menace pour les droits fondamentaux des citoyens et citoyennes. Aidez-nous dans ce combat !  C’est uniquement grâce à la générosité et l’engagement des donatrices et donateurs que notre collectif peut, en toute indépendance, mettre en lumière les conséquences néfastes du développement des vols commerciaux à Dole, passer à la loupe les délibérations des collectivités locales, alerter le grand public, saisir les tribunaux et exiger des décisions politiques en cohérence avec l'urgence climatique et environnementale. Je fais un don  Agissons pour la santé de toutes et tous : signez cette pétition et alertez en partageant l’information à vos connaissances. Merci d’agir avec nous pour rendre notre mobilité plus soutenable. “Cette campagne est une initiative commune de : Serre Vivante, FNE Bourgogne Franche-Comté, Agir Pour l'Environnement, Cyberacteurs, la Fédération Nationale des Associations d'Usagers des Transports (Fnaut) Bourgogne Franche-Comté, Les Amis de la Terre de Côte d'Or, groupe local Greenpeace Dijon, Attac Jura, Confédération Paysanne du Jura, Les Écologistes de Franche Comté, les Écologistes du Pays dolois, Dole Ecologie, NPA 39, Rester sur Terre, Union Écologique et Sociale du Jura (UES), Union Fédérale contre les Nuisances de l’Aéroport de Strasbourg-Entzheim (UFNASE) , ALTERNATIBA Besançon, Action non-violente COP21 Besançon, …”
    867 sur 1 000 Signatures
    Créée par Serre Vivante, association membre de France Nature Environnement Picture
  • For more plant-based alternatives: let's take action together at Skema BS!
    Our goal is simple: to show that it is possible to eat well, enjoy delicious meals, and respect the planet. Currently, the available vegetarian options are limited, often lack variety, and are not always budget-friendly. With your support, we hope to work with Crous Nice-Toulon to offer a more appealing and well-balanced selection that meets the needs of students. We need your help to make our voices heard! Sign our petition to show that many of us want more sustainable and diverse food options at Skema BS. Together, let's make a difference and contribute to a healthier future for ourselves and our environment. Feel free to share your recommendations in the comments! Thank you for your support! Master 1 PGE TRACK BEST students, Business Environmental and Social Transformation
    17 sur 100 Signatures
    Créée par Yselie L.