• Sortons des énergies fossiles lors de la COP 30 !!!
    Bonjour, les états continuent dans le tout fossile même si les énergies renouvelables se développent peu à peu. Il faut faire vite, nous n’avons plus le temps, nous sommes déjà en train de dépasser les 1,5 degrés de réchauffement et nous sommes sur une trajectoire de plus 4 degrés pour 2100. Il faut arrêter d’urgence les énergies fossiles responsables en grande partie du dérèglement climatique et donc de la fonte des glaciers, de la banquise, des inondations, des canicules, des tempêtes extrêmes, de la destruction de la biodiversité et plein d’autres catastrophes. Développons les énergies renouvelables en respectant la biodiversité ! Donc raser une forêt pour mettre des panneaux solaires, c’est non ! Ça n’a pas de sens. Demandons aux politiques et aux industriels de vraies mesures lors de cette COP 30. Sortons des énergies fossiles et remplaçons les par des énergies renouvelables.  De l’énergie oui mais pas en détruisant notre avenir !!!
    3 sur 100 Signatures
    Créée par Alexandre R.
  • Urgent !!! Non à l’envoi des dauphins du marineland dans un autre delphinarium en Espagne !
    Bonjour, l’Espagne vient d’autoriser l’exportation des dauphins du marineland vers ses delphinariums. Le problème c’est que les conditions de captivité en Espagne sont bien pires qu’en France qui ne sont déjà pas bonnes. Le but de la fermeture du marineland est l’arrêt de l’exploitation des cétacés pour le spectacle. Ça n’a pas de sens si on les envoie faire des spectacles ailleurs. Huit dauphins risquent d’être envoyés à Selwo Marina qui a des bassins en très mauvais état et de trop petites tailles.  Mobilisons nous contre le transfert de ces dauphins en Espagne. Il y a des solutions comme des sanctuaires qui sont déjà en construction donc pas besoin de leur faire vivre pire que ce qu’ils ont déjà vécu !
    16 sur 100 Signatures
    Créée par Alexandre R.
  • Sauvons les trains de nuit Paris – Berlin et Paris – Vienne !
    Il n’est pas acceptable que les 2 seuls trains de nuit internationaux qui desservent la France à l’année disparaissent. Chacun des acteurs dispose d’une marge pour agir et chacun peut faire un pas pour relancer véritablement les trains de nuit internationaux. Nous, signataires de la pétition, demandons : - aux opérateurs SNCF, ÖBB et DB de déployer complètement l’offre annoncée avec 2 trains de nuit quotidiens, un vers Vienne et un vers Berlin, ce qui améliorera la fiabilité et l’équilibre économique. L’Autriche fournit les rames, qui représentent une grande part du coût des trains de nuit. Pour la SNCF, c’est donc une opportunité à ne pas manquer pour enfin tester les trains de nuit internationaux à pleine capacité. C’est une étape nécessaire pour permettre d’autres déploiements à l’avenir, vers Copenhague, Malmö, Barcelone, Madrid, Milan, Venise, Rome, Prague, etc. - à l’État français de continuer à soutenir ces trains, quitte à renégocier le montant de la subvention, en contrepartie d’un engagement à faire rouler le train tous les jours. - à l’UE d’autoriser plus clairement les subventions aux trains internationaux, au moins temporairement, sur la période où le kérosène reste défiscalisé. L’UE pourrait subventionner les trains de nuit pour équilibrer la concurrence avec l’avion et reconstruire le réseau des trains de nuit après 2 décennies de sous-investissement. C’est une action urgente pour disposer d’une alternative au moment où l’avion va devenir plus cher. Vite, il y a urgence, signez la pétition aujourd’hui pour montrer notre attachement à un mode de voyage bas-carbone ! 1ers signataires :  • Oui au train de nuit • Rester sur terre 
    65 109 sur 75 000 Signatures
    Créée par Oui au train de nuit
  • Pour un véritable débat citoyen et participatif sur notre avenir énergétique
    Face aux défis du changement climatique et de la transition énergétique, il est crucial que toutes les voix soient entendues. Nous souhaitons un processus démocratique incluant citoyens, experts, collectivités, associations et acteurs économiques.
    17 sur 100 Signatures
    Créée par jean R.
  • Annecy : Campus XXL sans voiture, enfants sans futur
    L’avenir du Grand Annecy se joue aujourd’hui avec la validation du PLUi (Plan Local d'Urbanisme intercommunal) et des décisions importantes concernant le projet de TCSPi (Transport Collectif en Site Propre intégral) dit de Haute Mobilité. La pollution de l’air à Annecy particulièrement préoccupante Dans son dernier rapport en date, Santé Publique France juge la pollution de l’air en Haute-Savoie, et notamment à Annecy, particulièrement préoccupante. La situation dans le Grand Annecy est jugée même pire que dans la vallée de l’Arve, avec une pollution chronique, moins visible et plus sournoise, exposant la santé humaine quotidiennement à une qualité de l’air médiocre. Le rapport de Santé Publique France dénombre chaque année dans le Grand Annecy 121 morts dus aux particules fines PM2,5 et 53 morts dus au NO2 (dioxyde d’azote), marqueur du trafic routier, soit 174 morts  représentant 13.6% de la mortalité dans l’Agglo. La pollution de l’air nous affecte tous, mais touche particulièrement les enfants. Les enfants ont une fréquence de respiration plus rapide que les adultes et leur organisme en pleine croissance y est beaucoup plus sensible que celui des adultes, avec des risques de développer des pathologies, telles que des allergies, de l’asthme, de l’eczéma, mais aussi de l’obésité et des syndromes dépressifs, alerte l’UNICEF. La priorité du Grand Annecy doit être de réduire la pollution de l’air sur les axes les plus exposés, comme la Rocade, et pour les personnes les plus vulnérables, comme les enfants. Un site propre pour les bus entre Vignières et le PAE des Glaisins contre-productif Le projet de TCSPi prévoit cinq axes, intégralement en site propre. De l’aveu même de Didier Sarda, Vice-Président aux Mobilités du Grand Annecy, le bureau d’étude en charge du projet estime que le site propre ne se justifie pas partout. Le site propre intégral est donc un choix politique, dicté par des considérations d’image du Grand Annecy. Sur l’axe 1, entre Vignières et les Glaisins, la circulation est fluide et des bus en site propre mettraient le même temps que les bus de la ligne 1 actuelle, sans site propre. Le choix de ne faire passer plus que les bus au campus et de reporter tout le trafic vers la route de Thônes, la rue du Lachat et le chemin des Chapelaines, va créer d’importants bouchons dans lesquels se retrouveront coincés les bus des lignes 4 et 5 desservant respectivement le PAE des Glaisins et le campus. Au final, les usagers des bus de la ligne 1 ne gagneront pas de temps dans leurs trajets quand ceux des lignes 4 et 5 en perdront. Quelle que soit la solution retenue, site propre ou non, il est totalement inacceptable d’avoir un report du trafic vers 3 crèches, 4 écoles et 1 collège. La délocalisation des parkings du campus inefficace La Ville d’Annecy, voulant profiter d’un effet d’aubaine, a négocié avec le Département de la Haute-Savoie la construction d’un parking silo de 650 places dans le périmètre de l’Espace Rencontre en contre-partie de la construction du stade BMX de 8600 pour les championnats du monde de cyclisme 2027. Son objectif est que ce parking serve pour le campus, alors qu'il serait distant de 1 à 2km des différents établissements universitaires et donc trop éloignés. La priorité du Grand Annecy doit être d’inciter fortement à l’utilisation des modes de déplacement doux et des transports collectifs, et les besoins en stationnement sur le campus devront être prévus in situ, dans le périmètre même du campus, sans chercher à déplacer les nuisances liées à la voiture plutôt que de réduire sa place en ville. L'inaction du Grand Annecy dans la lutte contre la pollution de l’air intolérable Le Grand Annecy communique beaucoup  sur la nécessité de lutter contre la pollution de l’air, mais il n’agit pas et parfois il aggrave même la situation : • Les études réalisées dans le cadre du projet de TCSPi préconisaient de prioriser l’axe 2 Seynod-Pringy, où il y a la plus forte densité de population, et aussi la pollution de l’air la plus importante. Le Grand Annecy a préféré donner la priorité sur l’axe 1 Duingt-Glaisins, qui dessert la rive ouest du lac, le campus et le PAE des Glaisins, privilégiant la santé de l’économie à celle des habitants. • La mise en place d’une zone à faible émission mobilité (ZFE-m) a pour objectif principal de réduire la pollution de l’air pour les personnes les plus exposées. Or, les axes de transit mis en place, vers lesquels sont redirigées les voitures les plus polluantes, sont précisément déjà les plus fréquentés et les plus pollués, et la ZFE n’a fait qu’aggraver la pollution de l’air pour les habitants vivant au bord.   • Le projet de campus XXL sans voiture viendra, quant à lui, exposer les enfants de 3 crèches, 4 écoles et 1 collège à des niveaux de pollution de l’air particulièrement nocifs pour leur santé, à un endroit où la situation est aujourd’hui acceptable ; et cela aux seules fins de verdir l’image d’Annecy, ce qui est d’un cynisme insupportable. La responsabilité pénale de l’exécutif du Grand Annecy pourrait être engagée.
    256 sur 300 Signatures
    Créée par LES GLAISINS DE LA COLÈRE
  • STOP au Méga canal Seine-Nord Europe, projet inutile et destructeur à 10 milliards d'euros
    Les premiers travaux préparatoires, déjà dévastateurs, ont commencé : le temps presse ! https://www.greenvoice.fr/assets/uploads/2025/09/deux-photos.jpg Deux exemples au nord de Compiègne. À gauche : détournement du cours de l'Oise pour faire la place au projet de méga canal ! À droite : début des terrassements de la première des sept écluses monumentales du projet. Photos MCNM. IL N’EST JAMAIS TROP TARD ! Tous les "grands projets inutiles et imposés" qui ont été arrêtés par le passé l'ont été alors que d'importantes opérations étaient déjà lancées et que leurs promoteurs prétendaient qu’il était trop tard pour les stopper. LE PROJET SEINE-NORD EUROPE Un canal artificiel de 107 km entre Compiègne et la région de Cambrai, qui vise à permettre aux grands bateaux fluviaux belges et néerlandais de desservir la région parisienne. Cela alors que le canal du Nord assure déjà cette liaison à moyen gabarit, et qu'il n'est utilisé qu'au quart de sa capacité. Chiffré à 8 milliards d'euros en 2024, le coût du méga canal dépasse les 10 milliards quand on tient compte des travaux annexes occultés. UN CANAL GÉANT INUTILE Il est le projet de tous les superlatifs : les plus grands terrassements de France (10 fois le tunnel sous la Manche), les écluses parmi les plus hautes d’Europe, des digues allant jusqu’à 40 m de haut, des retenues d’eau correspondant à 55 fois la mégabassine de Sainte-Soline, une emprise de plus de 3 300 ha… Cela alors que l'utilité du projet, porté par la Région, est remise en cause au plus haut niveau de l'État, entre autres par l'Inspection générale des finances et le Conseil général de l'environnement et du développement durable.   1 MILLION DE CAMIONS EN MOINS ?  NON, 8 MILLIONS DE CAMIONS EN PLUS ! La promesse "écologique" du canal – retirer des autoroutes 1 million de camions par an – est irréalisable : ce transfert est impossible entre deux modes de transport qui se complètent mais ne se remplacent pas. En réalité, le projet Seine-Nord Europe est un instrument au service de la mondialisation. Sa rentabilité est basée sur une augmentation continue et irréaliste des flux de transports, laquelle correspondrait, si l’on tient compte des propres données de la Société du canal, à 8 millions de camions supplémentaires en 2035 sur les routes du Nord-Ouest européen ! LE MENSONGE DES CRÉATIONS D'EMPLOIS  Sans étude de marché, la Société du canal fait une promesse qui ne l'engage guère : la création de 50 000 emplois… en 2070. Les retombées d'un fumeux « effet réseau ». Évidemment, le transport de gravier ou de blé par bateaux de 3 000 tonnes (plutôt que par 800 tonnes sur le canal du Nord actuel) n’est pas de nature à permettre la réindustrialisation des Hauts-de-France.  LE DÉNI DU DÉRÈGLEMENT CLIMATIQUE  Chaque année, la navigation fluviale européenne connaît déjà des arrêts dus au manque d'eau, mais le dérèglement climatique ne semble pas inquiéter la Société du canal. Celle-ci utilise une méthode de calcul contraire aux préconisations de Météo France et qui ne prend pas en compte la possibilité de sécheresses à répétition, lesquelles pourraient un jour empêcher l'alimentation en eau du canal. PRÈS DE 300 ESPÈCES PROTÉGÉES MENACÉES Le projet du canal passe sur des zones sauvages, dont plusieurs zones Natura 2000, et entraîne la destruction d’habitats de près de 300 espèces protégées, comme la cigogne noire, le balbuzard pêcheur, ou encore le guêpier d’Europe, allant même jusqu'à les éradiquer sur des secteurs entiers. LA SOUVERAINETÉ ALIMENTAIRE DES HAUTS-DE-FRANCE ENTRAVÉE  Avec son emprise totale de 3 300 ha, le méga canal détruirait au moins 2 500 ha de terres agricoles, parmi les plus riches de France. Une surface qui, cultivée en maraîchage, pourrait fournir des paniers de légumes à plus de 400 000 personnes ! POUR LA DÉFENSE DU TRANSPORT FLUVIAL Plutôt que consacrer 10 milliards d'euros au méga canal, il est impératif de procurer à Voies navigables de France (VNF) les quelque 200 millions qui lui manquent chaque année pour entretenir et moderniser le réseau fluvial et pour préserver, entre autres, notre batellerie artisanale. Côté grand gabarit, la région parisienne devrait logiquement être alimentée par Le Havre et la Seine, et non par Anvers ou Rotterdam via le projet Seine-Nord Europe. … ET LA DÉFENSE DU TRANSPORT FERROVIAIRE Le chemin de fer est le mode le plus respectueux du climat, mais son réseau se dégrade et il a besoin d'investissements massifs. La puissance publique ne doit pas lui imposer la concurrence ruineuse d'un grand canal dont les études montrent qu'il prendrait plus de trafic au fer qu'à la route. UN AVENIR DÉSIRABLE POUR LES HAUTS-DE-FRANCE  Plutôt que d’être contraintes à payer un canal inutile, les collectivités territoriales devraient consacrer leurs moyens à arrêter la destruction de leurs services publics : maternités, écoles, transports en commun, logement… ⚠️ Il y a urgence ! Chaque jour qui passe, les travaux du canal détruisent des écosystèmes et gaspillent des fonds publics. Signez la pétition ! ------------------------------- • INFORMEZ-VOUS, PARTICIPEZ : www.megacanal.org voir la vidéo de 14 minutes : https://vimeo.com/1072990174/247cd33f44 • SOUTENEZ FINANCIÈREMENT NOTRE LUTTE ET NOS RECOURS EN JUSTICE : www.helloasso.com/associations/protection-du-territoire-seine-escaut/formulaires/1 ------------------------------- Pétition soutenue par Greenpeace France et Greenpeace Lille
    1 501 sur 2 000 Signatures
    Créée par le collectif Méga Canal Non Merci (MCNM) Picture
  • La ferme cueillette de Servigny toujours en danger : AGIR AVANT LE 8 OCTOBRE 2025
    Mme la Préfète de l’Essonne, Représentant de L’Etat sur le projet de SCoT de Grand Paris Sud  M. le Directeur de l’Établissement Public d’Aménagement (EPA) de Sénart   Madame, Monsieur   Au printemps 2024, des milliers de citoyens exprimaient par la signature d’une pétition leur opposition au projet de l’Établissement Public d’Aménagement (EPA) de Sénart amputant de 35 ha de terres, la ferme-cueillette de Servigny, pour y installer une nouvelle zone industrielle, mettant gravement en péril les équilibres économiques et agronomiques de l’exploitation agricole.    Les signataires demandaient la sanctuarisation de la Ferme-Cueillette de Servigny et de ses terres car :  • Elle propose ses productions maraîchères et fruitières en circuit-court par de la vente directe ;  • Elle apporte des réponses aux enjeux du changement climatique et de la perte de biodiversité (haies, non-labour, engrais verts …) • Elle est un lieu de rencontre et de lien social ; • Elle permet de sensibiliser les enfants des écoles à l’agriculture nourricière ; • Elle concourt à la protection des terres fertiles, aux bonnes pratiques ;  • Elle répond ainsi aux objectifs de la stratégie agricole et alimentaire de Grand Paris Sud. En février 2025, les élus de la communauté d’agglomération de Grand Paris Sud Seine Essonne Sénart, votaient, à l’unanimité, le projet de Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT), document de planification stratégique pour le territoire, maintenant les 35 ha de la ferme cueillette par leur inscription en espace agricole. Préalablement à l’enquête publique, qui se déroule du 8 septembre au 8 octobre 2025, sur 42 Personnes Publiques Associées s’étant exprimées sur le projet de SCoT, seules 3 ont exprimé un avis défavorable. Le Conseil Régional d’Île-de-France a donné un avis favorable.  Mme la Préfète, au titre de représentant de l’Etat sur le projet de SCoT et M. le Directeur de l’EPA de Sénart, vous avez émis un avis défavorable sur celui-ci. Ce document : •  A été élaboré et voté à l’unanimité par le Conseil communautaire représentant 23 communes et plus de 360 000 habitants ; • Est approuvé par les élus de Sénart (ancienne ville nouvelle) qui ont demandé à l’EPA, par une motion le 24 juin 2025, sans succès, de revoir sa position; •  Répond aux besoins des habitants du territoire; • Est soutenu par les associations.   Ainsi, élus, habitants et associations sont confrontés à un déni démocratique face à une Zone d’Aménagement Concerté (ZAC) conçue il y a plus de 30 ans sur un modèle aujourd’hui dépassé.   Si on peut adhérer à la mise en œuvre d’une politique industrielle, créatrice d’emplois, celle-ci ne peut se faire par l’utilisation de terres agricoles de qualité, au détriment d’un lieu correspondant aux attentes et à l’intérêt de la population. Des alternatives peuvent être proposées par l’EPA. Nous demandons, dans le SCoT, le maintien des 35 ha en espace agricole, dans le respect des avis des élus, de la population et de ses associations. Copie : M. Bisson, Président de Communauté d’Agglomération de Grand Paris Sud             M. Raffalli, Vice-président en charge de l’aménagement, des grands projets, de l’habitat et du   logement de Grand Paris Sud          Pétition proposée par un collectif de quatorze associations     Alternatiba Sénart 77  LPO (Ligue de Protection des Oiseaux) - Grand Paris Sud ADE (Association de Défense de l’Environnement de Sénart et environs) ARNASSEN (Association pour la reconnaissance de Noisement) C-E-E (Corbeil-Essonnes-Environnement) TESSA (Transition Écologique et Sociale de Sénart et Alentours) Vergers Vivants de Lieusaint ABC (Association des Bois du Canton) ENDANA -Ressourcerie ERON (Education et Recherche sur les Oiseaux et la Nature) SOS Batraciens Les Coquelicombs SEE (Soisy-Etiolles- Environnement) La Voix du Village (Evry-Courcouronnes) Avec le soutien de FNE77 (France Nature Environnement Seine-et-Marne) et ENE ( Essonne Nature Environnement) En apportant votre signature, vous soutenez la conservation de terres agricoles fertiles, le maintien d’une exploitation de proximité, vertueuse et engagée pour les générations à venir. Grand Paris Sud : projet de SCoT  
    10 761 sur 15 000 Signatures
    Créée par Sauvons SERVIGNY
  • STOP AU MASSACRE DES TROUPEAUX DE VACHES
    La situation est très grave, puisque si tous les cheptels viennent à être touché (grandes races de vaches comprises, Labels)  il n'y aura plus de lait de nos campagnes, plus de produits laitiers de qualité, de bons fromages... Une biodiversité et des produits locaux de qualité qui disparaîtront. Ce ne sont pas les élevages industriels qui ont été touchés mais les élevages en plein air de qualité. Les prés de campagne avec leurs vaches disparaîtront également, ainsi que les fermes et les éleveurs. - Détresse des éleveurs et agriculteurs. Les nouveaux éleveurs ne pourront pas repartir, les jeunes se voient surendettés. - Destruction de l'agriculture paysanne et Familiale. C'est aussi tout le bon fruit du travail de Génération d'Eleveurs et d'Agriculteurs qui disparaît, sans respect ! C'est la ruines des fermes et la détresse paysanne. La France doit être informée de ce qui se passe dans nos campagnes.   Plusieurs départements s'organisent contre l'abattage total. Plusieurs Groupes et Collectifs sont mobilisés et essayent de faire barrage à l'euthanasie totale des animaux. Les Syndicats, Coordination Rurale, Confédération paysanne, Collectif du 47 !  Vos signatures récoltées aussi auprès de Greenpeace, lutteront contre ce massacre, et aideront les éleveurs. Merci pour eux.
    2 751 sur 3 000 Signatures
    Créée par Chris R et Sylviane C
  • POUR L'INVENTAIRE ET LE CONTRÔLE SANITAIRE DES ZONES DE BAIGNADE DES RIVIÈRES DU VAR
    Le contrôle sanitaire des eaux de baignade en mer est usuel, celui des eaux de rivière est exceptionnel alors que les risques sont aussi importants. Nous vous invitons à signer cette pétition afin de mobiliser nos élus sur l'équité mer et rivière sur le suivi de la qualité des eaux de baignade. 
    550 sur 600 Signatures
    Créée par Eau voleurs Picture
  • STOP!.... STOP AUX PLASTIQUES
    Nous citoyens européens devons faire entendre notre volonté. Cette pétition en la signant en est un moyen fort,  comme pour la "loi DUPLOMB", de dire à nos politiques et insdustriels que cela doit changer. Pas demain, pas au prochain coloque sur le plastique planétaire qui aura lieu on ne sait quand,  pas dans dix ans... TOUT DE SUITE. Notre planète et notemment les océans et l'ensemble du  monde animal, nous sommes  en train de CREVER, du fait d'hommes et de femmes qui n'ont aucun scrupule à faire du BIZNESS, sur notre Mort programmée. Nous tuons nos enfants dès à présent tous les jours à petite dose. STOP!!. Je suis un simple citoyen de 64 ans  qui ne sait plus comment sensibiliser, comment convaincre,  comment dire que c'est notre engagement. Ce sont nos voix qui doivent  dire, haut et fort: STOP AUX PLASTIQUES ! 
    299 sur 300 Signatures
    Créée par Robert S.
  • Non à la construction d’un 2ᵉ incinérateur. Protégeons notre santé et notre environnement
    NON à la construction d'un 2e incinérateur du Sourn : protégeons notre santé et notre environnement Sous le mot “extension” se cache en réalité la construction d’un 2ᵉ incinérateur, doublant ainsi les émissions polluantes. Les seuils sont mesurés à la sortie de chaque cheminée : deux cheminées = pollution multipliée par deux. Déjà, l’an passé, des dépassements de normes ont été relevés avec une seule cheminée. Avec deux, le risque est certain. Ce projet prévoit de passer de 25 000 à 60 000 tonnes de déchets brûlés par an, dont 68 % de déchets d’activités économiques (DAE), changeant la vocation initiale du site. Conséquences directes : • Plus de camions = plus de bruit, pollution, risques routiers. • Plus de fumées toxiques = particules fines, dioxines, métaux lourds. • Plus de nuisances sonores : broyeur à marteaux (85–105 dB), vibrations, fonctionnement continu 24h/24. • Plus de pollution = atteintes à l’air, aux sols, aux potagers et à la biodiversité. Les effets sur la santé sont connus et documentés : maladies respiratoires, cancers, troubles hormonaux, atteintes au développement des enfants. Même avec des filtres, aucun incinérateur n’est 100 % sûr. Ce 2ᵉ four fonctionnerait en continu à plus de 1 000 °C, jour et nuit, week-ends compris, générant fumées et bruit sans interruption. Le site, géré par une société privée, privilégiera la rentabilité plutôt que la santé publique. L’énergie produite serait surtout revendue à un industriel local (Lactalis), comme avec le premier four. Des alternatives existent : renforcer le tri, développer le compostage, réduire les déchets à la source. Et si une nouvelle unité est nécessaire, elle doit être implantée sur un autre territoire industriel, pour répartir équitablement les nuisances et éviter un cumul dangereux. Nous demandons : 1. Gel immédiat du projet de 2ᵉ incinérateur au Sourn. 2. Étude d’impact sanitaire indépendante avant toute décision. 3. Recherche et mise en œuvre d’alternatives durables à l’incinération massive. 📢 Signez la pétition pour dire NON à ce projet dangereux et OUI à un avenir plus sain et durable pour notre communauté. Votre voix compte : c’est ensemble que nous pouvons protéger notre santé, notre environnement et l’avenir de nos enfants.
    297 sur 300 Signatures
    Créée par Stop au deuxième Four sur la zone Pontivy – Le Sourn
  • ❌ NON à la relocalisation de l’usine INOE à Carrières-sous-Poissy !
     🔥 Ce projet est une menace directe pour notre cadre de vie  INOE est une société de traitement de déchets actuellement implantée à Vernouillet. Là-bas, les habitants témoignent de nuisances graves directement liées à son activité :  • Incendies, • Odeurs nauséabondes, • Poussières de bois dans l’air, • Maladies respiratoires en hausse, • Dégradation du cadre de vie et de l’urbanisme local. Le projet à Carrières-sous-Poissy prévoit :   • 5 unités de traitement et stockage de déchets bois, verts et plastiques, • Une station-service, • Des zones de broyage et de décomposition à l’air libre, • Une plateforme logistique routière à proximité immédiate de zones d’habitation.   ⚠️ Une accumulation de risques déjà identifiés par l’État Selon les documents officiels publiés par la DRIEAT Île-de-France, la décision du 11 juillet 2025 impose à INOE une évaluation environnementale obligatoire, en raison de multiples réserves techniques et sanitaires. Ces réserves confirment ce que redoutent déjà les habitants : ➡️ ce projet est dangereux, mal encadré, et porteur de nuisances majeures. 🚨 Un projet absurde et destructeur à tous les niveaux : 1. Une catastrophe sanitaire Avec une ville en pleine croissance démographique (plus d’une naissance et demie par jour en 2025), il est irresponsable d’implanter une activité industrielle polluante à proximité immédiate d’habitations, d’écoles et d’équipements publics. Le risque sanitaire est réel et documenté. 2. Un contresens écologique majeur Le site envisagé est en bordure de Seine et du Parc du Peuple de l’Herbe, joyau écologique de 113 hectares financé par le Département. Comment justifier un tel projet destructeur à la porte même d’un espace naturel protégé ? 3. Un suicide économique et immobilier Le projet de « centralité » a fortement urbanisé la zone, avec des milliers de logements récents. L’implantation de l’usine INOE à cet endroit rendrait le secteur invivable et invendable, annihilant des années d’investissements publics et privés. L’arrivée du RER E, du Tram 13 et la construction d’un nouveau lycée à proximité sont autant d’opportunités qui seraient gâchées si le secteur devenait synonyme de pollution et de nuisances. ❗ Le choix de l’omission et de l’enfumage Nous dénonçons également l’absence totale de concertation publique sur ce dossier. Le Maire de Carrières-sous-Poissy, Eddie Aït, a tenté de minimiser – voire de nier – l’existence de ce projet. Ce n’est qu’après avoir été interpellé publiquement par des élus d’opposition qu’il a consenti à faire voter une simple motion symbolique, alors qu’une délibération contraignante aurait eu un poids juridique et politique bien supérieur. 📣 Nous exigeons :   1. L’abandon immédiat du projet d’implantation d’INOE sur le territoire de Carrières-sous-Poissy. 2. Un moratoire sur toute activité industrielle polluante au sein de l’Écopôle Seine Aval. 3. La publication de l’ensemble des documents d’étude et d’évaluation environnementale. 4. La tenue d’une concertation publique élargie, avec les habitants, les associations et les collectivités concernées.   📝 Cette pétition est adressée :   • à M. Pierre Bédier, Président de l’EPAMSA (aménageur de l’Écopôle Seine Aval) • à M. Eddie Aït, Maire de Carrières-sous-Poissy et membre du Conseil d’administration de l’EPAMSA • à M. Frédéric Rose, Préfet des Yvelines   🚫 Carrières-sous-Poissy n’est pas une poubelle Nous avons déjà payé le prix fort avec la « mer des déchets » et les activités éco-curatives existantes (Incinérateur AZALYS, station d'épuration du SIAAP, déchetteries...) . Il est temps de dire STOP ! ➡️ Signez et partagez cette pétition pour protéger notre santé, notre environnement et l’avenir de cette boucle de Seine.  
    1 414 sur 2 000 Signatures
    Créée par RSNE R.