• NON A L'ANTENNE RELAIS 5G A PROXIMITE DES HABITATIONS
    Nous, habitants vivant autour du stade de l'Eperon, nous interrogeons sur le bien-fondé de l'implantation d'une antenne relais. Nous sommes choqués par l'acceptation de la proposition de SRR d'installer un pylône de 20 mètres de hauteur à proximité de l'école maternelle et primaire, des habitations, et du stade. Nous nous inquiétons des conséquences de l'exposition aux ondes électromagnétiques, notamment pour les personnes les plus vulnérables : nos enfants, dont le cerveau est en développement, ainsi que les personnes âgées ou malades. Afin de protéger notre santé, notre cadre de vie, nos paysages et notre environnement, nous demandons l'annulation de cette autorisation accordée à SFR.
    114 sur 200 Signatures
    Créée par Jean Hugues I.
  • Les transports publics gratuits, maintenant!
    Devenons des voyageurs & voyageuses sans tickets ! Billetterie et abonnements ne représentent pour Mulhouse Agglo que 15 % du coût total de la gestion de Soléa. Les 85 % restant sont fournis par l’impôt. Nous constatons que les réalisations partielles mise en place par l’intercommunalité ne répondent pas aux besoins. Les collectivités & l’État peuvent mieux faire ! Exigeons de nos élus-es locaux qu’ils & qu’elles assurent de nouveaux droits pour toutes & tous les usagers des transports publics - Des liaisons rapides entre Mulhouse et les vallées vosgiennes, ainsi que le Sundgau ; - Des liaisons rapides avec l’Allemagne et la Suisse ; - Etendre le réseau Tram à Bollwiller, puis en direction du Sundgau, Ottmarsheim, Morschwiller… - Coordonner les correspondances entre Soléa & la SNCF ; - Améliorer les horaires pour les nuits, les dimanches & jours fériés, ainsi que les périodes de vacances scolaires. SAG (Sud Alsace Gratuité pour les transports publics) Collectif adhérent à l'UGDT Pour nous contacter : [email protected] https://www.greenvoice.fr/assets/uploads/2025/02/68-Haut-Rhin-intercos-2019.png Carte des EPCI du Haut-Rhin au 1er janvier 2019.
    81 sur 100 Signatures
    Créée par jean-jacques G.
  • Non au futur stade du PSG sur une zone de nature exceptionnelle à SQY !
    Le Contexte : La communauté d’agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines affirme sa volonté d’offrir 50 hectares de nature, situés sur l’Île de Loisirs, en plein cœur de l'agglomération, pour y construire un stade entre 50.000 et 90.000 places, destiné à remplacer le parc des Princes. En effet, celui-ci, propriété de la Ville de Paris, serait jugé trop petit pour les ambitions du PSG version Qatar. Si l'agglomération ne voit pas de limite (en référence à une pleine page de publicité, dans le journal l’Équipe du 16 décembre 2024, vantant SQY comme n’ayant pas de limite et prête à tout pour accueillir le stade du club parisien), nous en avons identifié quelques-unes. Des limites écologiques, puisque cette construction de béton et de bitume, viendra altérer et artificialiser 50ha de nature situés dans ce poumon vert que constitue l’Île de Loisirs.  A l’heure où le GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat) et l’IPBES (groupe international d'experts sur la biodiversité) affirment la nécessité de préserver les puits de carbone et les zones de biodiversité, afin de contrer les effets du dérèglement climatique, à l’heure où le rythme de l’artificialisation des sols devrait être divisé par 10 selon l’ADEME et respecter la loi Climat et Résilience visant le ZAN, Zéro Artificialisation Nette, il s’agit là non seulement d’un Grand Projet Inutile mais d’un projet néfaste pour l’avenir des humains et des non-humains : Pour la biodiversité, outre la destruction de 50 ha de sols riches en organismes vivants, les nuisances sonores et lumineuses vont aussi impacter tous les espaces aux alentours, dont la zone Natura 2000 et condamner la faune restante. La destruction de ce puits de carbone et son artificialisation renforceront les effets des îlots de chaleur délétères aux niveaux des quartiers d’habitation environnants. La pollution de l’air augmentera, liée aux transports nécessaires des supporters, qui viendraient essentiellement en voitures individuelles. Rappelons que cette base de loisirs a déjà été amputée de 4,3 ha pour construire le vélodrome national à partir de 2011. Des limites financières : L’état des finances de l’État et les répercussions sur les besoins de financement des collectivités locales, ne sont pas compatibles avec ce projet, qui est loin de répondre aux besoins essentiels et prioritaires des citoyens. Même si les propriétaires du PSG, financent l’essentiel du gros œuvre, il y aura immanquablement des frais importants qui resteront à la charge de SQY : accès, transports, infrastructures (fourniture d’eau et d’énergie), nettoyage, et… campagnes de communication. De plus, le centre commercial associé entrera en concurrence frontale avec les commerces situés en centre ville de Montigny qui sont déjà en souffrance. Le gain économique présupposé est à mettre dans la balance de la vivabilité de notre territoire dans le temps. Des limites citoyennes : Cet espace est aussi un poumon vert indispensable aux habitants, tout particulièrement aux habitants de Montigny des quartiers populaires des Prés et du Pas du Lac (quartier coincé entre les deux voies rapides très fréquentées que sont l’A12 et la RN10), ainsi que pour les habitants de Trappes. Pour ces habitants, qui n'ont pas été concertés, c’est le seul espace vert qui soit à moins de 1 km, accessible en mobilité active grâce à des passerelles et de multiples entrées piétons.  Pour toutes ces raisons, signez dès maintenant cette pétition et montrons rapidement notre opposition aux décideurs.
    1 730 sur 2 000 Signatures
    Créée par AIMES - Alternative IgnyMontaine Ecologique et Solidaire
  • NON A L'ARTIFICIALISATION ET A L'ABATTAGE DES ARBRES DU SECTEUR MOULIN NEUF A LAMBESC
    https://www.greenvoice.fr/assets/uploads/2025/01/PHOTO-AERIENNE-OAP.jpg Pourquoi cet étalement urbain dans un secteur déjà impacté par la construction récente de 2 résidences particulièrement denses et quasi imperméabilisées, sans qu’aucun espace naturel n’ait été préservé ?                                                                            - Étalement urbain sur des terres cultivées (champ, chênaie) alors que la commune se doit de respecter la loi ZAN (Zéro Artificialisation nette) et de réduire sa consommation d’espace de 55% d’ici 2031                                                                                  - Multiplication de logements dans un secteur dépourvu d’infrastructures : services, commerces, transports en commun.                                                                                                          Pourquoi cette frénésie de construction (+ de 390 logements environ en - de 10 ans) dans une commune :                                                                                                                         - qui ne constitue pas une zone d’emploi ;                                                                                 - qui est éloignée des principaux centres actifs de la métropole ;  - qui est peu desservie par les transports en commun   - dont le réseau routier vers les zones d’activité est saturé Faute d’emploi local et de transport en commun « le tout voiture longue distance » reste la seule solution pour les trajets domicile-travail.                                                                                                          Pourquoi la destruction de plus de la moitié d’une chênaie ?                                              Bois abritant des chênes blancs à croissance très lente, âgés d’une quarantaine d’années. Ces chênes truffiers ont la particularité de vivre plus de 500 ans, d’être rustiques et de bien résister à la sécheresse, comparativement aux autres essences de chênes.    Pourquoi l’abattage d’une haie de vieux cyprès servant de brise-vent et de refuge à de nombreux oiseaux ?   Ces arbres sont nos meilleurs alliés pour limiter les effets du dérèglement climatique et constituent un réservoir de biodiversité périurbain. QUEL EST L’IMPACT DE CE PROJET ? Ce projet porte atteinte à la qualité de vie des riverains, des Lambescains et à la biodiversité :      •  Il défigure le paysage rural du secteur ; •  Il prive les citoyens de l’effet « climatiseur » offert par l’écosystème du bois et de la haie ; il remplace un îlot de fraîcheur par un îlot de chaleur en milieu périurbain ; •  Il est particulièrement destructeur de la qualité de l’air ; •  Il empêche l’infiltration de l’eau dans les sols en cas de fortes pluies ; •  Il détruit tout un écosystème riche en flore et en faune. Il prive de nombreuses espèces  (oiseaux, insectes, écureuils, campagnols, chauves-souris …) d’abris et de nourritures ; •  Il vient accroître le trafic routier dans la commune, sur la D7 (vers Aix) et l’A51 (Aix-Marseille) déjà fortement embouteillées aux heures de pointe, générant stress, bruit, pollutions et CO2.    Toutes ces aberrations écologiques ne respectent pas le code de l’urbanisme, le PLUI (Plan Local d’Urbanisme Intercommunal) et ne prennent pas en considération l’urgence climatique et le déclin de la biodiversité. Nous, Association pour la Préservation des Quartiers Moulin Neuf et Gargory Sud à Lambesc Est, soutenus par : France Nature Environnement FNE13,  l’association la Parole aux citoyens, demandons : • De réduire le nombre de logements de ce projet (30 logements/ha)  de privilégier la réhabilitation des logements anciens et l’utilisation des logements vacants : 249 logements vacants à Lambesc (source INSEE 2020) ;  •   De réduire le nombre de bâtiments en R+2 (RDC +2 étages) ; •  De préserver intégralement haies, masses boisées et de sanctuariser la chênaie en la classant en «Espace Boisé Protégé » ;  •  De préserver le caractère rural du chemin de Saint Marc (chemin de promenade familiale et  sportive) tel qu’il se présente actuellement. Nous demandons que ce projet aux conséquences néfastes à notre santé, au climat et à la biodiversité soit reconsidéré.  Pensons à l’avenir des générations futures. Dès à présent, signez cette pétition et diffusez-la le plus largement possible. Merci pour votre soutien.
    811 sur 1 000 Signatures
    Créée par Association pour la Préservation des Quartiers Moulin Neuf et Gargory Sud à Lambesc
  • Sauvons deux sequoias et d'autres essences à Ecommoy (Sarthe)
    Les effets combinés de l'évapotranspiration et de l'ombrage des arbres contribuent localement à baisser significativement la température de l'air et à lutter contre les îlots de chaleur urbain. La température peut être abaissée de 7 °C entre le milieu de la rue et la zone ombragée, dixit le rapport de la cour des comptes en 2024 (sources : https://www.ccomptes.fr/sites/default/files/2024-03/20240312-RPA-2024-CDVI-adaptation-villes-changement-climatique.pdf) De façon générale, vous le savez sans doute, les arbres de grande taille ont une meilleure capacité à stocker du carbone (donc, à capter le carbone de l'air pour réduire le CO2 dans l'atmosphère), à diminuer la pollution atmosphérique, et permettent d'éviter plus efficacement le ruissellement des eaux pluviales. En effet, les arbres ayant un diamètre de tronc plus grand ont une plus grande biomasse ligneuse (quantité de bois), ce qui leur permet de stocker davantage de carbone que les plus petits arbres. De la même manière, l'interception des précipitations et des polluants atmosphériques augmenterait avec la plus grande taille de la canopée (les cimes des arbres dominants) et la surface foliaire totale (surface totale de toutes les feuilles) associée à une plus grande taille. Les grands arbres sont donc généralement plus efficaces que les plus petits pour fournir ces services de régulation, indispensables en milieu urbain et surtout dans un contexte de changements climatiques (sources : Alison Munson, écologue et Anaïs Paré, professionnelle de recherche pour la Chaire de recherche sur l'arbre urbain et son milieu (CRAUM)). Un petit article de presse glâné sur la captation du CO2 par le sequoia : https://www.ouest-france.fr/leditiondusoir/2024-03-19/menace-en-californie-le-sequoia-geant-se-plait-en-europe-et-c-est-une-bonne-nouvelle-pour-le-climat-2ac1391d-3e2d-4074-9a83-de291e7686eb Résumé de cet article de l’AFP mars 2024  : - le sequoia a la capacité de séquestrer plus de carbone que d’autres espèces. - Nous avons constaté que les séquoias géants britanniques sont bien adaptés au Royaume-Uni et sont capables de capter une grande quantité de dioxyde de carbone (CO2) également », explique Ross Holland, auteur principal de l’étude, par l’université britannique UCL Pour respecter les accords de Paris et limiter le réchauffement climatique, il faudra atteindre la neutralité carbone en 2050. Nous demandons à conserver TOUS les arbres présents sur la parcelle du futur projet de ludo-médiathèque à Ecommoy. Cette pétition est portée par des habitant.e.s d'Ecommoy, du bassin de la communauté de communes de l'Orée de Bercé Bélinois, le GNSA sarthois (Groupe National de Surveillance des Arbres) et le groupe local Greenpeace Sarthe
    136 sur 200 Signatures
    Créée par maryline b.
  • Oui à un Contournement apaisé à l'Ouest de Montpellier ! Non à l'autoroute urbaine (COM Vinci) !
    L'État a confié à Vinci-ASF la création d'une autoroute urbaine de 6,2 km traversant du nord au sud l'ouest de Montpellier et Saint-Jean-de-Védas.  Vinci le déclare dans ses écrits devant la justice, premier objectif du COM : « assurer une continuité du grand itinéraire autoroutier entre l’A 75 et l’A9 vers Clermont-Ferrand, dans la logique de l’orientation globale nord/sud et sud/nord de la concession ASF. » Les autres objectifs, « meilleure fluidité et sécurité du trafic sur l’A 709, meilleure desserte de la zone urbaine de Montpellier, rendre leur vocation urbaine aux voiries métropolitaines restantes aujourd’hui congestionnées – en renforcement de la vocation première de l’A709 », sont essentiellement destinés à faire passer le projet auprès des autorités locales. Au demeurant, l’A 709 est déjà saturée ! Le début des travaux est prévu pour 2026 pour une livraison 2030. Le Collectif AutreCOM s’est constitué pour proposer une alternative viable au projet Vinci qui ne répond pas selon nous, aux besoins réels de mobilité locale. Notre collectif demande que le projet du COM soit réévalué au regard des enjeux climatiques, sociaux et environnementaux actuels, et pour anticiper les besoins en mobilités sur le long terme. Les déplacements pendulaires autosolistes provoquent la surcharge de cette voirie. Pour soustraire un nombre significatif de véhicules et y fluidifier le trafic, les solutions passent à la fois par le traitement des zones névralgiques dûment repérées et par le développement massif des transports collectifs périurbains en site propre tout au long du trajet avec un accès facile aux pôles d’échanges, ainsi que des pistes cyclables. Nos associations proposent que la maîtrise d’ouvrage soit prise en charge par les collectivités locales et non par un acteur privé.                              POURQUOI S’OPPOSER AU COM VINCI? Fluidification du trafic local et liaison autoroutière : deux objectifs peu compatibles L’emprise au sol prévue irait jusqu’à 10 voies sur une de ses trois sections, pour un gain de temps pour les usagers de 3% sur le trajet soit quelques minutes à peine. Pourtant la part du trafic de transit actuel est évaluée à seulement 10 %, dont 4% de poids lourds (PL). Ce projet démesuré et couteux (>300 millions d’euros) est conçu pour permettre un triplement du nombre de véhicules (de 25 000 à plus de 70 000 véhicules par jour) : le COM est en effet un des chaînons manquants de cet axe européen qui doit traverser la France depuis le Nord de l’Europe et le Havre, éviter l’Ile de France, en allant jusqu’au Sud vers les ports de Méditerranée et l’Italie. Il attirerait donc des milliers de PL et les flux touristiques, comme ceux qui saturent déjà la vallée du Rhône. Dans ces conditions, l’objectif d’amélioration du trafic local semble totalement illusoire. Agissons ensemble ! Merci de signer et diffuser cette pétition ! Pour plus d’info sur notre opposition et sur notre projet alternatif, rendez-vous ici et sur les réseaux sociaux facebook  et  instagram Avec de nouveaux recours et évènements, 2025  sera une année cruciale pour notre collectif. Participez à la collecte de dons sur Hello Asso. https://www.helloasso.com/associations/action-climat-montpellier/collectes/mobilisation-contre-le-com
    3 312 sur 4 000 Signatures
    Créée par Collectif AutreCOM
  • Pour une montagne habitable, non aux Jeux Olympiques et Paralympiques d'hiver 2030 dans les Alpes !
    Les Alpes Françaises ont été sélectionnées par le CIO (Comité International Olympique) pour accueillir les Jeux Olympiques et Paralympiques d'hiver en 2030. Décidée sans concertation, construite en un temps records, absente de tout programme électoral et de tout budget - qu'il soit local ou national -, la candidature des Alpes françaises a été portée par les présidents des régions Auvergne-Rhône-Alpes (AURA) et Provence-Alpes-Côtes-d'Azur (PACA), par le Président de la République et par quelques personnalités locales souhaitant tirer leur épingle des jeux.  A l'heure du réchauffement climatique, le déni est devenu un sport de compétition et nous voyons se nouer autour des JOP d'hiver 2030 les mécanismes de l'échec écologique de nos sociétés : l'action des lobbys avec la complicité des politiciens, le mépris de la démocratie et le refus du changement vers une montagne et des pratiques sportives plus résilientes. Les populations semblent d’ailleurs partager largement ce constat, comme en témoigne le sondage réalisé par le magazine de montagne Alpine Mag : à la question “Etes-vous pour ou contre l’organisation des Jeux Olympiques d’Hiver 2030 dans les Alpes” 89% des milliers de répondants se sont positionnés contre.  Ces jeux font peser plusieurs périls sur les régions hôtes : • endettement des territoires pour des investissements en faveur du tourisme hivernal • dépendance accrue aux ressources des sports d'hiver, pourtant voués à une disparition programmée à court, moyen ou long terme, • fragilisation et artificialisation de milieux naturels et agricoles • perturbation du cycle de l'eau avec la construction de retenues d'eau pour assurer l'approvisionnement en neige de culture • spéculation immobilière et gentrification de la montagne • contribution massive au réchauffement climatique (3 millions de tonnes de CO2 en moyenne pour trois semaines de fête) Sous couvert d’une grande fête sportive internationale, les JOP produisent du déficit public et des ravages sociaux, écologiques et démocratiques. Ils font peser la menace d'une montagne inhabitable pour les habitants les plus modestes. Le projet de JOP 2030 n'est pas en adéquation avec les besoins des habitants des régions Auvergne-Rhône-Alpes et Provence-Alpes-Côtes-d'Azur. Les montagnes ne sont pas un parc d'attraction, nous voulons des investissements pour : • se préparer au réchauffement climatique (digues, restauration des terrains de montagne etc.) et notamment entretenir les routes du quotidien, abîmées de plus en plus durement chaque année par le réchauffement climatique. Nous ne voulons pas de tunnels sous les ronds points, de 2X2 voies, de rocades etc. utiles uniquement pour les quelques week-end congestionnés lors des vacances d'hiver! • isoler les logements et construire des logements sociaux tout de suite (nous ne voulons pas attendre la transformation en logements d'un hypothétique village olympique niché en haut d'un fort...) • développer le transport ferroviaire du quotidien (nous ne voulons pas d'une ligne rapide entre Marseille et Briançon) • soutenir les activités économiques d'avenir : activités agricoles (élevage, maraîchage, pastoralisme), éco-construction (nous rappelons que la Région PACA a retiré son soutien à la création d'une haute école du bois dans les Hautes-Alpes... ), services du soin, industries décarbonées, culture etc. • développer enfin un autre imaginaire pour l'avenir de la montagne que celui de l'or blanc.  Toutes les dérives décrites ne sont pas spécifiques à cette édition 2030 dans les Alpes, le fonctionnement des Jeux et du CIO est problématique depuis très longtemps et amène partout les mêmes difficultés : corruption, endettement périlleux, gentrification, gabegie écologique.  Signez la pétition et retrouvez le collectif NO JO surhttps://no-jo.fr/ Cette pétition est un des moyens de lutte essentiel contre l'organisation des JOP, et plus largement pour un débat sur les événements olympiques. D'autres moyens sont utilisés par les collectifs contre les JOP : recours juridiques, pression ou dialogue avec les élus, réunions publiques, manifestations, blocages etc. Tous ces moyens sont utiles pour dénoncer l'obstination à poursuivre un modèle économique destructeur. Pour des informations détaillées sur l'impact des JOP de Paris et d'ailleurs :https://saccage2024.noblogs.org/ Signez la pétition et retrouvez le collectif NO JO sur https://no-jo.fr/
    10 893 sur 15 000 Signatures
    Créée par Collectif NO JO Alpes
  • Ammoniac : les données cachées par l'Etat, un scandale sanitaire et environnemental
    ❌ Pourquoi le manque de transparence sur l'ammoniac est un scandale ?  1️⃣. 👩‍⚕️☣️​​​​​​​🌬️ D'abord parce que l'ammoniac est dangereux pour la santé des populations... L'ammoniac menace la santé humaine. A forte dose, c'est un gaz toxique aux effets dévastateurs sur la santé : il irrite gravement les voies respiratoires, les yeux et la peau, et peut causer des brûlures chimiques et des lésions pulmonaires. Ses émissions quotidiennes contribuent à la formation de particules fines (PM2.5), responsables, selon Santé Publique France, de plus de 40.000 décès prématurés chaque année en France métropolitaine. Une exposition répétée, même à faible dose, aux particules fines provoquent des pathologies respiratoires (asthmes, bronchites chroniques) et cardiovasculaires, et aggravent les risques de mortalité prématurée, particulièrement chez les personnes vulnérables. Les  populations rurales et les travailleurs et travailleuses agricoles sont en première ligne.   🌍🍃​​​​​​​ ​​​​​​​... et pour l'environnement.  L'ammoniac perturbe aussi les écosystèmes et la qualité de l’air.​​​​​​​ Il affecte la vie aquatique en apportant de façon excessive des nutriments et favorise les proliférations de cyanobactéries et asphyxie les espèces sensibles vivant en eaux douces. Dans les eaux côtières, l'azote ammoniacal favorise la prolifération des algues opportunistes engendrant marées vertes et eaux colorées. ​​   2️⃣ 🏛️ L'État est hors-la-loi La non-publication de ces données est contraire aux textes suivants qui imposent aux États membres de garantir la transparence et la disponibilité des informations environnementales.  1. Directive 2003/4/CE relative à l’accès à l’information en matière d’environnement, transposée en droit français par l’article L124-1 du Code de l’environnement. 2. La Convention d’Aarhus, ratifiée par la France, qui impose la mise à disposition de données actualisées sur l’environnement. 3. Article 7 de la Charte de l’environnement, intégré au bloc de constitutionnalité, qui garantit à tous et toutes le droit d’accéder aux informations relatives à l’environnement. L’absence de publication entrave gravement le droit des citoyen•ne•s a être informé•e•s des risques pour leur santé et pour l’environnement. 3️⃣​​​​​​​ L'élevage industriel est largement responsable des émissions d'ammoniac. Cacher les données ne résout pas le problème.   En 2023, l'enquête en trois volets du collectif Bretagne Contre les Fermes Usines a révélé une réalité inquiétante : la Bretagne(1) est l'une des régions les plus polluée par l'ammoniac en Europe. Près de 94% des émissions d'ammoniac proviennent de l'agriculture intensive, notamment des élevages industriels et de l'utilisation massives d'engrais azotés. Chaque année, la Bretagne émet(2) environ 5800 tonnes d'ammoniac, soit 56% des émissions nationales. Ces chiffres sont alarmants. Notre analyse avait démontré des concentrations particulièrement élevées d'ammoniac dans certaines zones, conduisant aux dépassements réguliers des seuils en particules fines, largement au-dessus des recommandations sanitaires de l'OMS. Les départements du Finistère et des Côtes d'Armor sont parmi les plus touchés, avec des taux immédiatement corrélés à la densité des élevages industriels. Certaines communes bretonnes se classent tristement parmi les zones les plus émettrices d'ammoniac en France.Ces données soulignent l'urgence d'une action publique forte pour réduire les émissions d'ammoniac, garantir la santé des habitant•e•s et protéger les écosystèmes bretons.L'opacité des chiffres de 2023 laisse penser que l’État protège les intérêts économiques du secteur agro-industriel au détriment de notre santé, de l’environnement et des travailleurs et travailleuses agricoles.​ ​​​​​4️⃣ 🏛️📝 Les données sont nécessaires pour mettre en place des politiques publiques qui garantissent la protection des populations L'Etat a une responsabilité de protection des populations. La France, championne d'Europe en émission d'ammoniac, s'est engagée à réduire ses émissions d'ammoniac. Cacher les données ne résout pas le problème... Si la cause des émissions est bien connue, il est urgent d'agir pour la transformation du modèle agricole vers l'élevage paysan afin de protéger les populations.                     👀 👀 Face à ce manque de transparence, nous demandons : 👀👀 👉 La ​​​​​​​publication immédiate des données 2023 sur l'ammoniac pour informer la population et garantir la transparence. 👉 L'installation de 3 stations rurales de mesure des niveaux de pollution de l'air par l'ammoniac par département breton et la publication du nombre de jours de dépassement des seuils de particules fines. 👉Une règlementation stricte et des sanctions pour les émetteurs, incluant un obligation de déclaration annuelle dès 1t/an d'ammoniac et des contrôles réels et réguliers des installations classées pour la protection de l’environnement (ICPE). 👉Un programme ambitieux d'accompagnement à la reconversion pour les exploitants d'élevage industriel vers des pratiques paysannes plus respectueuses de l'environnement et de la santé.                                                                           ********** 🔥 Assez de silences complices, assez d’inaction ! Ne laissons pas advenir une catastrophe sanitaire et écologique que l'État tente de cacher. Exigeons la transparence : signez cette pétition pour protéger notre santé, notre milieu rural, et notre avenir.
    3 552 sur 4 000 Signatures
    Créée par Bretagne Contre les fermes usines
  • Monsieur le Maire, sauvons les arbres de notre centre-ville !
    Historique : Le 29 Novembre 2021, le comité de quartier du centre-ville a signalé :  • de nombreux arbres mourants sur l'Avenue Marie Curie en entrée de ville (200 chênes).  • la disparition de la moitié des 44 arbres sur les parkings/trottoirs du boulevard Pierre Mendès France et la présence de goudron sur une dizaine d'arbres survivants. Cet abattage semble correspondre à une procédure irrégulière. Nous n'avons pas eu connaissance d'arrêté municipal ou préfectoral, ou d'arrêté d'abattage dans le cadre de travaux. Le 1er juin 2022, le comité de quartier du centre-ville a signalé 8 pieds d'arbres sur-minéralisés sur la nouvelle Place Fulgence Bienvenue.  Si on ajoute les 16 arbres abattus Rue Henry de Montfreid pour la réalisation de nouveaux stationnements, le bilan est négatif pour ce quartier. Au total : • Au moins 16 arbres sont en danger immédiat et plusieurs dizaines sont mourants. • Au moins 28 arbres ont été abattu et non remplacés.  Rappels utiles :  Les arbres sont vivants et ils ont besoin d'un apport en eau et en nutriments pour s'épanouir en ville : laisser un espace végétalisé et perméable au pied de l'arbre est indispensable pour sa survie à long terme. De la végétation pousse au pied de l’arbre, le nourrit, et inversement. L’arbre capte l’eau plus facilement et devient plus résistant.  Préserver les arbres du centre-ville, c'est conserver notre titre de Ville des Parcs et Jardins, et c'est lutter efficacement contre les ilots de chaleur urbaine l'été. Situation actuelle : Depuis les signalements du comité de quartier il y a 3/4 ans, rien de concret ne fut réalisé par la commune pour remédier à la situation en dehors de la pose de pots géants Av. Pierre Mendès France à la place des arbres abattus. La foret urbaine plantée par EpaMarne en entrée de ville ne compensera pas cette perte située dans d'autres lieux.  Nos demandes : Par conséquent, nous, citoyennes et citoyens de la ville, indépendamment des comités, associations et partis, demandons publiquement à la mairie de Bussy-saint-Georges  : 1. d'aménager les pieds des arbres sur la place Fulgence Bienvenue et le boulevard Pierre Mendès France : retirer les goudrons/revêtements et laisser au minimum 1m2 de terre. Protéger ces zones de tout stationnement.  2. de remplacer les arbres abattus ou malades par des essences variées, adaptées à la ville et résistantes au changement climatique. Ce remplacement doit être réalisé dans la même rue.    3. de demander au plus vite à EpaMarne un remplacement des arbres mourants Avenue Marie Curie avant la fin de la ZAC pour que cela ne soit pas à la ville de payer.  4. de généraliser ces bonnes pratiques aux autres quartiers de la commune. 
    118 sur 200 Signatures
    Créée par Mathieu C.
  • SAUVONS NOS INSTALLATIONS SPORTIVES A GRAND BOIS 974
    1/ Mobilisons-nous pour préserver les installations sportives de Grand Bois, menacées de destruction au profit d'un autre projet près de l'école Raymond Mondon.  Nous disons NON à cette destruction et exigeons la réhabilitation des complexes sportifs existants, comprenant les terrains de football, de basket et de handball. 2/ En refusant la destruction des installations sportives de Grand Bois, nous défendons un lieu vital de rassemblement et de partage qui renforce les liens sociaux, offre une alternative saine aux écrans pour les jeunes, et contribue à un cadre de vie exceptionnel pour toutes les générations.  3/ Nous avons 2 mois pour annuler cette décision
    179 sur 200 Signatures
    Créée par COLLECTIF DE DÉFENSE DES INTÉRÊTS SAINT-PIERROIS
  • NON à une nouvelle suppression de poste d'enseignant.e à Jules Ferry, Mauriac
    Madame l’Inspectrice, Nous, représentants des parents d’élèves de l’école Jules Ferry de Mauriac, vous adressons ce courrier pour exprimer notre vive inquiétude concernant la suppression possible d’un poste d’enseignant à la rentrée prochaine. En effet, cette perspective inquiète profondément les familles et l’équipe pédagogique, d’autant plus qu’un poste a déjà été supprimé cette année. La suppression d’un second poste aurait des conséquences importantes sur la qualité de l’enseignement, dans un contexte où les besoins spécifiques des élèves augmentent de manière significative. Notre école connaît une évolution, marquée par l’accueil, depuis cette année, d’une classe externalisée de l’Institut Médico-Éducatif (IME). Cette initiative, saluée par tous, reflète la vocation inclusive de l’école (un dispositif ULIS existe déjà au sein de l’école) mais s’accompagne également de défis pédagogiques accrus. De plus, comme dans de nombreuses écoles, les enseignants doivent faire face à une augmentation significative du nombre d’élèves à besoins éducatifs particuliers, nécessitant un accompagnement renforcé et des moyens humains adaptés. La réduction des effectifs enseignants compromettrait directement leur capacité à accompagner ces élèves dans les meilleures conditions. En parallèle, la commune de Mauriac s’investit pleinement dans l’amélioration des infrastructures scolaires. Des travaux d’amélioration du bâtiment ont déjà été réalisés, et d’autres sont programmés pour les mois à venir. Cet engagement de la municipalité témoigne d’une volonté forte de soutenir l’éducation et de garantir un cadre d’apprentissage de qualité pour les enfants. L’Association des Parents d’Élèves (APE) de l’école Jules Ferry est également particulièrement active. Grâce à ses actions, les élèves bénéficient régulièrement de financements pour des projets pédagogiques et des activités éducatives enrichissantes. L’APE est un véritable moteur pour dynamiser la vie scolaire et renforcer l’attractivité de l’établissement. Dans ce contexte, nous estimons qu’une suppression de poste serait en contradiction avec les efforts conjoints de l’ensemble des acteurs de la communauté éducative – enseignants, parents, élus locaux – pour offrir à nos enfants les meilleures conditions d’apprentissage possibles. Nous sommes convaincus que cet engagement collectif mérite d’être accompagné par une reconnaissance institutionnelle, notamment en maintenant l’ensemble des postes nécessaires pour garantir un enseignement de qualité. Nous vous remercions par avance pour l’attention que vous porterez à notre demande et restons à votre disposition pour échanger avec vous sur les spécificités et les besoins de notre école. Nous espérons également que notre inquiétude sera relayée à votre successeur.  Dans l’attente de votre retour, nous vous prions d’agréer, Madame l’Inspectrice, l’expression de nos salutations respectueuses.   Les représentants des parents d’élèves de l’école Jules Ferry.
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    Créée par Caroline G.
  • RN88 : STOP à la destruction de 190ha d'espaces naturels
    Début 2020, sur fond de campagne électorale, Laurent Wauquiez alors Président de la Région Auvergne - Rhône-Alpes (AURA), annonce la reprise d'un projet vieux de 30 ans : la construction de la déviation de 2 bourgs de la RN88. La déclaration d'utilité publique du projet, abandonné depuis par l'Etat, est alors périmée depuis 2007. Le projet coûtera 226 millions d'euros selon la Région AURA qui en finance 90%. Il coûtera en réalité probablement beaucoup plus, entre 500 et 600 millions d'euros selon ses opposant·es. L'augmentation du trafic routier aura également un impact sur la pollution de l'air, l'augmentation des émissions de gaz à effet de serre, et la pollution sonore. Pendant et après les travaux, la biodiversité est et sera lourdement impactée par la disparition de corridors écologiques et la destruction d'habitats de plus de 100 espèces animales et végétales. Un collectif d'habitant·es, de paysan·nes et de défenseur·euses du vivant s'est autour de "La Lutte des Sucs" pour défendre l'arrêt de ce projet mortifère. Depuis 5 ans, 5 nouvelles espèces protégées ont été découvertes sur le site : le Crossope aquatique (un amphibien à enjeu fort), le Campagnol amphibie (un rongeur à enjeu fort), le Cuivré des marais (un papillon à enjeu fort), le Crapaud Calamite (un amphibien à enjeu modéré), et le Triton palmé (un amphibien non cité dans l'étude d'impact). Pourtant, alors que le maître d'ouvrage ne possède pas la maîtrise foncière des terrains pour les zones de compensation environnementale, les travaux ont débuté avec l'abattage de dizaines d'hectares de forêts, la destruction de murets anciens, la défavorabilisation de terres agricoles, et la construction de plusieurs ouvrages d'art. En 5 ans, de nombreux recours ont été déposés devant la justice, notamment par France Nature Environnement, mais après une annulation partielle de l'autorisation environnementale par le Tribunal administratif de Clermont-Ferrand fin 2024, le processus judiciaire est amené à se poursuivre en Cour d'appel pour obtenir son annulation totale. Nous n'avons pas le temps d'attendre. Nous, collectifs et associations en soutien à la Lutte des Sucs qui se bat contre la destruction de ces écosystèmes, demandons au Préfet de Haute-Loire de suspendre les travaux et à la Région Auvergne - Rhône-Alpes de mettre en étude des solutions alternatives respectueuses de l'environnement. Pour le même prix, il est possible de penser des liaisons de bus cadencées entre Saint-Étienne et le Puy-en-Velay, développer le fret ferroviaire, penser de petites déviations des 2 bourgs en 2x1 voie ou en limiter la vitesse à 30km/h. Ces alternatives crédibles et moins onéreuses (proposées par plusieurs organisations) n'ont pourtant jamais été envisagées sérieusement par la Région AURA. Il est encore temps, mais il est urgent d'agir : seulement une petite partie du projet est sortie de terre, mais d'ici début 2026, le plus gros des travaux risque de mettre définitivement en péril les écosystèmes. Mobilisons-nous pour stopper ce projet ! Crédit photo : LR - rue43120 Personnalités et organisations soutenant la pétition (màj 19/02/2025) : • Geneviève AZAM, économiste et maîtresse de conférences à l'Université Toulouse-Jean-Jaurès • Audrey BOEHLY, journaliste scientifique • Nicolas BONNET, député du Puy-de-Dôme • Catherine BONY, Conseillère régionale Auvergne Rhône Alpes  • Marie CHUREAU, activiste pour le climat • Renaud DAUMAS, paysan et conseiller régional • Étienne DAVODEAU, auteur de bande dessinée • France Nature Environnement AuRA  • France Nature Environnement Haute-Loire (43) • Fabienne GREBERT, Conseillère régionale, Présidente du groupe des écologistes à la Région Auvergne-Rhône-Alpes  • Greenpeace Clermont-Ferrand  • François JARRIGE, historien • Michel JARRY, président de France Nature Environnement AuRA • La Lutte des Sucs • MC danse pour le climat, techno-activiste • Maxime MEYER, Conseiller régional, Co-président du groupe des écologistes à la Région Auvergne-Rhône-Alpes  • Corinne MOREL DARLEUX, essayiste et romancière • Andrée TAURINYA, députée de la Loire • Audrey VERNON, comédienne • Vincent VERZAT, Partager c'est sympa
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    Créée par Greenpeace Clermont-Ferrand & La Lutte des Sucs Picture