• Où sont les 30 000 points d’eau potable prévus par la loi ?
    La pollution plastique est un fléau environnemental et sanitaire majeur, due en partie au recours irraisonné à la bouteille plastique, premier déchet plastique à usage unique retrouvé sur les plages en Europe.(2) C’est bien face à cette urgence, que la loi AGEC a décrété un objectif de zéro emballage plastique à usage unique en 2040 et une réduction de 50% des bouteilles en plastique en 2030 ! Vous avez une responsabilité majeure dans le succès ou l’échec de cet objectif car le développement des points d’eau est l’une des mesures phares prévues par la loi. Nous, associations de protection de l’environnement, de consommateurs, entreprises engagées, parlementaires, scientifiques, citoyens, acteurs publics et entreprises engagées, nous vous interpellons pour vous demander la mise en place avant l’été 2023 de ces points d'eau et l’information des visiteurs via une signalétique visible. Plus largement, la bouteille plastique constitue une aberration à plusieurs titres : - 15 milliards de bouteilles plastiques sont vendues en France par an - Fabriquée à partir de pétrole, la bouteille plastique est émettrice de gaz à effets de serre sur tout son cycle de vie - Des études évoquent 3 litres d’eau pour la fabrication d’une seule bouteille d’eau ! L’eau embouteillée contribue ainsi à assécher les nappes phréatiques. - Les bouteilles en plastique sont contaminées par des microplastiques, qui constituent un risque sanitaire. - Le coût de l'eau vendue en bouteille plastique est prohibitif dans les lieux accueillant du public et inadmissible, puisque l’accès gratuit à l’eau potable est obligatoire. Pour l’exemple, en gare, le prix moyen est de 2 euros à 2,50 euros pour une bouteille de 50 cl d’eau, soit plus de 8 euros pour une famille de 4 personnes. Selon les estimations du Ministère de la transition écologique, près de 30 000 points d’eau devraient être ouverts en France dans des lieux de forte affluence, notamment vos établissements. Or, force est de constater que vous n’êtes pas au rendez-vous. Nous vous rappelons que des sanctions(1) sont prévues en cas de non respect de la loi et que la complaisance par rapport à des difficultés techniques souvent largement exagérées(3), ne pourra pas durer. A l’approche de l’été, qui risque d’être à nouveau très chaud du fait du dérèglement climatique, nous vous demandons d’appliquer enfin la loi et de permettre aux millions de personnes qui passent par vos établissements de pouvoir s’hydrater facilement, sans recourir à la bouteille plastique onéreuse et polluante. Ces points d’eau devront être pérennisés et valorisés pour accompagner durablement cette transition nécessaire. Signez et partagez cette pétition pour demander aux établissements accueillant du public d’ouvrir et de signaler les points d’eau prévus par la loi avant l’été 2023. *** (1) Article L541-15-10 - Code de l'environnement https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000043974900, Article 77 - LOI n° 2020-105 du 10 février 2020 relative à la lutte contre le gaspillage et à l'économie circulaire https://www.legifrance.gouv.fr/loda/article_lc/JORFARTI000041553842 et décret n° 2020-1724 https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000042753962 Article D541-340 - Code de l'environnement https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000042883671 Article L171-8 - Code de l'environnement https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000038846886 (2) selon l’étude d’impact de la commission européenne (3) Reporterre, Fabienne Loiseau, 22/02/2023 : https://eau-iledefrance.fr/gares-et-metros-peinent-a-installer-des-fontaines-a-eau/?fbclid=IwAR0f95nackeuJieBAuoeSc0K3iM8_7A8kVnkYk8kLzWA29SWmH057zuQZPs *** Premiers signataires : Surfrider Foundation Europe, Zero Waste France, Arthur Le Vaillant (navigateur), Association Water Map, Objectif Zéro Plastique, Orléans Zéro Plastique, Circulab, M. & Mme Recyclage, La Fresque du Plastique, MerTerre, Swim for Change, World Cleanup Day, UAE (L'Union des professionnels du traitement de l'eau), Biocoop, Ekō, Behring
    127 sur 5 000 Signatures
    Créée par No Plastic In My Sea Picture
  • Comme à Amsterdam, le trafic aérien à Roissy doit être plafonné pour la santé et le climat !
    ✈️ Le gouvernement des Pays-Bas a pris une décision historique : plafonner le trafic de l’aéroport d’Amsterdam-Schiphol à 440 000 mouvements/an, en dessous du niveau de 2019, pour protéger les riverains et le climat. Nous demandons une mesure identique à l’aéroport de Roissy, qui connaît un trafic similaire à celui d’Amsterdam-Schiphol (environ 500 000 mouvements/an en 2019). En effet, la situation sanitaire est critique autour de Roissy, le plus grand aéroport d’Europe en nombre de vols, de jour comme de nuit. Dans une tribune, plus de 100 professionnels de santé dénoncent le grave impact sanitaire du bruit aérien, avec jusqu’à trois années de vie en bonne santé perdues sous les couloirs aériens de cet aéroport et 1,4 millions de Franciliens exposés à un niveau de bruit aérien qui dépasse le seuil recommandé par l’OMS. 🌎 De plus, la baisse du trafic aérien est nécessaire pour tenir nos engagements climatiques car les progrès technologiques et les carburants alternatifs ne suffiront pas, comme le soulignent l’ADEME, le Haut conseil pour le climat et l'étude Aviation-climat de l’ISAE SUPAERO. L’aéroport de Roissy pèse lourdement dans le bilan carbone de notre pays : près de 4 % de nos émissions de CO2 ! Et beaucoup plus si on intègre - comme nous devrions le faire - l’effet sur le climat des traînées de condensation et des oxydes d’azote émis en altitude. Le trafic aérien ne peut plus continuer à croître - à Roissy comme sur les autres plateformes françaises et européennes - et doit même décroître, sans report sur d’autres aéroports, pour protéger la santé et le climat. 🙌 Signez et partagez cette pétition ! Grâce à vous, nous avons remporté une grande victoire avec l'abandon du projet d'extension de Roissy, le Terminal 4. Mobilisons-nous à nouveau ! Ensemble, nous pouvons obtenir une décision politique comme à Amsterdam. ** Premiers signataires ** ADVOCNAR, collectif Non au T4, Greenpeace, Alternatiba Paris, FNE IDF, Réseau environnement santé, Notre affaire à tous, Rester sur Terre, UFCNA, UECNA, CGT de l'aéronautique, les Amis de la Terre Val d'Oise, Greenpeace Paris, Val d'Oise environnement, SOS vallée de Montmorency, CIRENA, FNE Seine et Marne, AREC, DIRAP, Environnement 93, MNLE-93NEP, Aulnay environnement, ONASA, CSNA, Amis de la Terre Val de Bièvre, Pensons l'aéronautique pour demain, coordination des luttes locales d'Ile de France. Références : - Tribune "Plus de 100 professionnels de santé alertent sur le bruit aérien" (le Monde) : https://bit.ly/3JYinCE - Scénarios de transition écologique du secteur aérien (Ademe) : https://bit.ly/3LHdOhd - Référentiel Aviation-Climat (ISAE SUPAERO) : https://bit.ly/3Z5hn3Z - Rapport annuel du Haut conseil pour le climat (2022).
    5 116 sur 6 000 Signatures
    Créée par ADVOCNAR et Collectif Non au T4
  • NON A LA MEGA PLATEFORME LIDL DU MAS DE BAGUAI
    Pour ces raisons de gigantisme et de destruction de la biodiversité nous demandons l'abandon de ce projet aux conséquences négatives multiples : - circulation de centaines de semi-remorque en plus par jour, entrainant pollutions de l'air et nuisances sonores, davantage d'insécurité routière et de dégradation onéreuse des routes ; -artificialisation des sols et inadaptation au changement climatique (perte de biodiversité, suppression de la capacité des sols à capter le carbone, à retenir les inondations...) ; -consommation de beaucoup d’espace pour peu d’emplois, au détriment de l’implantation de PME ; - anticipation erronée sur la création d’emploi alors que ces méga plateformes sont destinées à être robotisées à l’avenir - impact négatif sur le tourisme et l'attractivité de la ville. Agissons maintenant, signez pour dire stop au béton ! rejoignez nous sur VIVE GARRIGUE
    127 sur 200 Signatures
    Créée par christian v.
  • Monsieur le Ministre des transports, abandonnez le projet d’A31 bis !
    L’A 31 bis, pourquoi est-ce une très mauvaise idée ? Ce projet est totalement inefficace et coûteux : dérouler du macadam réduira les bouchons juste un temps car cette autoroute, à nouveau attractive, verra son trafic augmenter et les bouchons revenir (1). Ce projet qui voudrait traverser des zones habitées denses, porte atteinte à notre santé - 40 000 décès / an (5000 décès en Grand-Est) sont dûs à une exposition aux particules fines (PM2,5), en partie issues des gaz d’échappement, pneus et freins. Cette exposition c’est aussi 8 mois d’espérance de vie en moins. - 14 % des cancers du poumon , 24 % des AVC et 8 à 13 % des cancers du sein (5) sont liés à l’exposition à ces PM2,5. Le diagnostic d’asthme chez l’enfant augmente aussi de 50 % (6). - L’exposition à l’oxyde d’azote issue du trafic routier est quant à elle responsable de 7000 décès / an (7) et augmente le risque de cancer du sein de 9% - L’exposition au bruit favorise l’hypertension. Ce projet bafoue les intérêts des utilisateurs potentiels C’est dix ans de travaux, donc dix ans de bouchons décuplés. À la fin, c’est l’évidence d’un péage en plus pour un gain de temps incertain. Ce projet porte atteinte au climat et à la biodiversité Camions, véhicules particuliers utilitaires génèrent près de 30% des émissions de gaz à effet de serre en France. En favorisant l’augmentation du trafic routier, l’État va à l’encontre de l’Accord de Paris (2015) et des orientations de l’Union Européenne (2021) qui ont fixé à 40 % puis à 55 % la réduction globale des émissions GES d’ici 2030, et la neutralité carbone en 2050. Il est urgent de réduire nos émissions de gaz à effet de serre dès maintenant. Il est scandaleux d’envisager la traversée d’une forêt classée pour sa biodiversité. Plus les mesures contre le dérèglement climatique tardent plus les solutions seront pénibles et coûteuses. A-t-on d’autres choix ? Oui ! Consacrons les 2 milliards € de l’A 31 bis dans ces alternatives plus réalistes, plus modernes, plus responsables et plus rapidement mises en œuvre ! 1. Faisons du Sillon lorrain un laboratoire européen des mobilités du 21° siècle, un modèle des transitions urgentes qui s’imposent à nous ! 2. Nous voulons un Réseau Express Métropolitain à haute fréquence, rapide, confortable, attractif qui nous fera oublier les TER actuels : le réseau existe ! 3. Nous devons repenser les mobilités rurales et créer des gares multi-modales (TER-auto-bus-vélo…) 4. Nous voulons que soient suffisamment taxés les poids-lourds pour rendre attractifs les transports ferroviaire et fluvial. Que la voie ferrée Lérouville-Longuyon soit consacrée au fret. 5. Que soient organisés et développés le co-voiturage et le télétravail 6. Repensons nos territoires pour réduire les nécessités de déplacements Monsieur Clément Beaune, soyez modernes : pensez au futur. Madame, Monsieur, si vous partagez notre analyse, merci de signer la pétition ! Ne tardez pas, car le ministre prendra sa décision dans les semaines qui viennent. Sources : (1) https://theconversation.com/plus-de-capacite-routiere-plus-de-trafic-il-faut-revenir-a-la-loi-fondamentale-de-la-congestion-pour-mieux-la-combattre-124836 (2) https://www.santepubliquefrance.fr/presse/2021/pollution-de-l-air-ambiant-nouvelles-estimations-de-son-impact-sur-la-sante-des-francais (3) European Society for Medical Oncology - septembre 2022 (4) https://www.lemonde.fr/planete/article/2022/09/30/la-pollution-de-l-air-accroit-le-risque-d-avc-de-maladies-cardiovasculaires-et-de-deces_6143872_3244.html (5) https://www.atmo-france.org/actualite/correlation-averee-entre-pollution-atmospherique-et-cancer-du-sein (6) https://www.aphp.fr/actualite/liens-entre-asthme-et-pollution-le-point-sur-les-travaux-menes-lap-hp (7) https://www.lemonde.fr/planete/article/2022/10/04/cancers-du-sein-une-nouvelle-etude-souligne-l-impact-de-la-pollution-de-l-air_6144410_3244.html
    558 sur 600 Signatures
    Créée par Alternatives 31
  • Non au muselage de notre association de défense de l'eau
    La préfecture a donc choisi de mettre à mal notre liberté d'expression en nous retirant des subventions, et également en nous excluant de tous les comités de gestion de l'eau auxquels nous participions jusqu'à présent et dans lesquels nous faisions entendre une voix déjà minoritaire en faveur de l'eau potable et des milieux aquatiques. Ce qui nous est en fait reproché, c'est notre position contre des projets de méga-bassines (immenses réserves d'eau à usage agricole, pompées dans les nappes phréatiques surexploitées). En effet, nous estimons qu'il doit y avoir un débat démocratique sur ce sujet concernant tout le monde. Plusieurs recours gagnés contre ces projets, montrent d'ailleurs que la controverse est vive ¹. C'est également attesté par la position de plus en plus fréquente des scientifiques à l'encontre de ces projets ². Etant donnée notre mission sociale et notre expertise sur le sujet ³, il est aussi du devoir de l’APIEEE d’alerter la population et les pouvoirs publics lorsque nous identifions des projets qui menacent la ressource en eau de notre territoire. Par ailleurs, cette sanction est particulièrement injuste car la subvention retirée est une subvention Fonjep (Jeunesse et Education Populaire) qui nous est accordée pour faire des animations nature auprès des enfants ou d'autres publics, du territoire, ce que nous faisons avec zèle : une centaine d'animations et plus de 1500 personnes sensibilisées en 2022. QUE DEMANDONS-NOUS ? Nous demandons que ces sanctions soient levées ce qui permettrait : - de remettre une pluralité d'opinion dans les comités de gestion de l'eau et de conforter la liberté d'expression - de continuer à lutter pour l'eau et le vivant - de sauver un emploi (dans un bassin d'emploi sinistré classé en ZRR ou Zone de Revitalisation Rurale) - de continuer nos animations nature dans une région où l'offre est rare IL Y A URGENCE Cette sanction menace directement la survie de notre association. Ce type d’actions effectuées pour museler les associations d’intérêt général est inacceptable. Signez notre pétition pour afficher votre soutien et demander la levée de ces sanctions. En attendant, pour nous aider financièrement et participer au maintien d’une partie de nos missions, vous pouvez aussi nous faire un don ici : https://www.helloasso.com/associations/apieee/collectes/suppression-de-subvention-pour-cause-de-militantisme --- ¹ https://www.ne17.fr/annulation-rs-boutonne ² https://www.ouest-france.fr/nouvelle-aquitaine/mauze-sur-le-mignon-79210/pour-florence-habets-multiplier-les-bassines-est-une-mal-adaptation-au-changement-climatique-c0a562ac-8f2a-11ed-af4b-47da76a71818 ³ L’association APIEEE a pour missions : - l’étude et la protection des nappes d’eau naturelle de tous types et de leur environnement, cours d’eau de tous type et leur environnement, tant sur les notions de quantité et de qualité ; - la promotion d’une politique de l’eau cohérente, soucieuse des équilibres naturels et de l’intérêt général ; - la formation et l’information des adhérents et du public intéressé par les problématiques d’eau et de son environnement ; - l’initiation et l’éducation à l’environnement et aux sciences de la nature ; - l'examen de la pertinence économique et sociale de projets utilisant des deniers publics ou non, et qui concerne directement ou indirectement les domaines de l’eau, de l’environnement, de l’aménagement du territoire et de l’urbanisme, susceptibles de porter atteinte aux intérêts défendus par l’APIEEE.
    4 273 sur 5 000 Signatures
    Créée par Association pour la Protection, l’Information et l’Etude de l’eau et de son environnement (APIEEE)
  • Mesdames et messieurs les députés, interdisez les vols en jet privé !
    Mesdames et Messieurs les députés, ´ Le 6 avril prochain, vous aurez à vous prononcer sur l’interdiction des vols en jet privé : il est grand temps de les empêcher de nuire. Les conclusions des scientifiques du climat sont sans appel : nous allons vers une catastrophe civilisationnelle si nous ne réduisons pas, dès maintenant et très rapidement, nos émissions de gaz à effet de serre. Pour de nombreux usages, ce n’est pas chose aisée : ces émissions sont intrinsèquement liées à notre vie de tous les jours : nous nourrir, nous chauffer, aller au travail. Ce n’est pas le cas des vols en jet privé. Hormis pour les usages répondant à une réelle utilité sociale comme les urgences médicales, nous pouvons largement nous passer de ce moyen de transport qui pollue sans commune mesure ! Aujourd’hui, 1 avion sur 10 décollant sur le sol français est un jet privé (2), alors que leurs passagers émettent de 5 à 14 fois plus de gaz à effet de serre qu’en avion de ligne et que cette industrie est en plein essor (3). Pire, ils ne sont pas concernés par l’interdiction par la loi Climat et Résilience des vols courts réalisables en train en moins de 2h30, alors que des TGV existent sur 70 à 80% des itinéraires les plus empruntés en jet privé (4). Est-ce cela, “l’esprit de justice sociale” promis par cette loi ? Dans cette course contre la montre pour notre survie, chaque dixième de degré gagné, chaque tonne de CO2 non émise compte : commençons par les mesures dont l’acceptabilité sociale est forte ! Choqués par les allers-retours d’hommes et de femmes politiques (5) et autres personnalités (6), les Françaises et les Français en ont assez de voir le budget carbone national grevé par le comportement inconséquent d’une poignée de privilégiés, dont 1 vol équivaut à plusieurs mois d’émissions d’un Français moyen ! (7) Cette mesure est un premier pas indispensable pour que l’ensemble des Françaises et des Français se sente concerné par les réductions d’émissions indispensables pour respecter l’Accord de Paris. De nombreuses études (8) le montrent : sans sentiment de justice, sans réduction des inégalités, il n’est pas possible d’exiger de l’ensemble de la population qu’elle fasse des efforts ! En outre, il faut réduire fortement les émissions sonores et atmosphériques de l'aviation commerciale qui sont le fait d'une toute petite minorité de privilégiés (seulement 1% de la population mondiale est responsable de 50% des émissions de ce secteur). En l'absence de solutions technologiques suffisantes à court ou moyen terme, cela ne peut être fait qu'en réduisant l'offre et la demande, par exemple en stoppant toute extension d’aéroport et en instituant une taxe progressive sur les grands voyageurs (9). Mesdames et Messieurs les députés, en tant que représentants de la Nation, le 6 avril prochain, prenez une décision historique et de bon sens : interdisez les vols en jets privés ! Sources : (1) https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/16/textes/l16b0885_proposition-loi.pdf (2) https://www.transportenvironment.org/discover/private-jets-can-the-super-rich-supercharge-zero-emission-aviation/ (3) https://www.mediapart.fr/journal/france/280822/le-leader-francais-du-jet-prive-brule-la-planete-en-toute-impunite (4) https://france.attac.org/se-mobiliser/criminels-climatiques/article/pourquoi-bloquer-les-jets-prives (5) https://agir.greenvoice.fr/petitions/castex-procuration (6) https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2022/09/06/jets-prives-visualisez-les-trajets-les-plus-frequents-ou-les-plus-courts-en-france_6140407_4355770.html (7) https://www.transportenvironment.org/discover/private-jets-can-the-super-rich-supercharge-zero-emission-aviation/ (8) https://theconversation.com/pourquoi-crier-au-scandale-a-chaque-fois-quune-personnalite-utilise-un-jet-prive-181456 (9) https://rester-sur-terre.org/making-excessive-flyers-pay/ *** Premiers signataires : Charlène Fleury (Rester sur Terre), Lou Chesné (porte-parole d’Attac), Romain Morizot (Ingénieur Aéronautique), Capucine Saulpic (Non à l’agrandissement de l’aéroport de Lille), Stuart Page (Atterrissons d'urgence, Montpellier), Thierry Bitouzé et Airy Chrétien (Collectif citoyen 06, Nice), Yves Tuffet (Rester sur Terre), Erwan Sammier, Bernard Schéou (enseignant-chercheur), Jean Sireyjol (Association TaCa agir pour le Climat), Jean-Baptiste Dusson & François-Joseph Grimault (Résistance climatique), Florence Joly (Stop Extension Aéroport Marseille Provence, Marseille), Cannelle Dos Reis (Alternatiba Lille, Amis de la Terre Lille), Jean-François Julliard (Greenpeace France), Vincent Querre & Sabrina Marsant (Les Braises, lutte contre l'aéroport de Libourne/Saint Émilion), Gilliane Le Gallic (Alofa Tuvalu), Véronique Sinou (Les Amis de la Terre Bouches-du-Rhône), Kaïna Privet (Scientifiques en rébellion), Dominique Bonnet (Attac Aix-en-Provence), Zoé Pélegry (Action non-violente COP21), Rémi Donaint (Alternatiba), Alexandre Gondran (Ingénieur des Études et de l'Exploitation de l'Aviation Civile, ENAC Toulouse), Chantal Beer-Demander (UFCNA), Pascal Gassiot (Collectif PAD - Pensons l’Aéronautique pour Demain - Toulouse), Lucie Chhieng (parole-parole d'Alternatiba Paris), Jérôme Favrel (CCNAAT), Dominique Lazarski (présidente de l’UECNA - Union européenne contre les nuisances aériennes et de l’ADERA pour la protection des riverains de l’aéroport de Beauvais-Tillé), Françoise Brochot (Présidente de l’ADVOCNAR - Défense des riverains de Roissy CDG et le Bourget), Audrey Boehly (porte-parole du collectif Non au T4), Pascale R. (Collectif Non à l'aéroport d'Andorre), Tatiana Guille et Charles de Lacombe (porte-paroles Alternatiba / ANV Rhône)
    38 339 sur 40 000 Signatures
    Créée par Charlène F. Picture
  • Non à l'extension de l'aérodrome des sables d'Olonne.
    NON AU COUT EXHORBITANT DU PROJET. 4.5 millions d’euros HT soit 5% du budget de l’Agglomération, afin de satisfaire 13 membres de l’aéroclub et une société ayant un salarié ,celle ci prenant des vacataires l’été. Il y a eu 760 000 € d’achat par l’Agglomération en 2018 ,de parcelles autour de l'aérodrome, avant de présenter le projet. NON AU DEVELOPPEMENT DE L'AERODROME, NON SENS ECONOMIQUE ET ENVIRONNEMENTAL. L’Agglomération n’envisage pas un projet d’optimisation de l’aérodrome, mais un développement du Trafic par la mise en place d’un TAXI-WAY ce qui augmentera les rotations par la diminution des temps d’attente au décollage et à l’atterrissage ! Une plateforme en ligne (Openfly) propose dès aujourd’hui des vols commerciaux. L’agglomération veut développer l’aviation d’affaires via ces plateformes numériques. Elle propose déjà la gratuité du stationnement aux avions ! (Nous pouvons le prouver) ! La rentabilité financière concernant ce projet est inexistante ,l'agglomération est incapable de communiquer sur le sujet. NON A LA DEGRADATION DE NOTRE ENVIRONNEMENT Les 32 hectares concernant l'aérodrome ne pourraient ils pas servir: à loger les personnes qui ont besoin de travailler sur l'agglomération? ou à le transformer en une zone d’activité économique vertueuse et compatible avec les enjeux climatiques ? Les besoins dans les métiers de la transition ne manquent pas ! Cette superficie pourrait ou peut aussi devenir une zone d'éco-logement, cela permettrait à l'agglomération de prouver concrètement son engagement environnemental . NON AUX NUISANCES SONORES. Avec une augmentation de 10 décibels, la mortalité augmente de 18 % et la mortalité dû aux infarctus du myocarde augmente de 28% (étude de L’OMS, article du Monde du 10/12/2022). NON A LA POLLUTION Un petit avion de type Cessna ou équivalent consomme en moyenne entre 30 et 35 litres de carburant à l’heure, soit 80 kg de CO2 dans l’air ! (il faut 2 ans à un arbre pour absorber cette quantité). L’enrobé de la piste prévue dans le projet de l’agglo, (11000 m² représente 77 tonnes de CO² dans l’air, il faut 1 hectare de foret pendant 5 ans pour absorber cette pollution ! NON A L’INSECURITE : Le rapport d’activité du Bureau d'enquête aérienne (BEA),concernant l’année 2021. a enregistré 221 accidents dont 36 mortels, ayant entraîné le décès de 57 personnes et des blessures graves à 50 personnes. Les 221 accidents se répartissent ainsi selon l’activité : avions (80), hélicoptères (8), planeurs et motoplaneurs (14), ballons (4), ULM (105). On nous présente le projet au prétexte qu’il y a un souci de sécurité. Arrêtons tout de suite l’activité actuelle de l’aérodrome si il y a vraiment un soucis de sécurité ,c’est de la responsabilité du gestionnaire ! L’aérodrome est dans une zone fortement urbanisée entourée de campings et d’habitations. Les avions et hélicoptères survolent les zones habitées en toute impunité, c’est de l’inconscience ! A l’heure de l’urgence climatique et alors qu’il reste beaucoup à faire pour développer des projets viables économiquement, socialement et environnementalement, nous ne laisserons pas des intérêts privés nous voler notre avenir et notre santé. Nous avons déjà agi, en remettant en main propre à M. le vice-président de l’Agglomération deux lettres demandant la suppression de l’autogire et de l’hélicoptère sur l’aérodrome des sables d'Olonne. Nous attendons sa réponse ! Nous refusons la charte de bonne conduite en l’état, Elle n’est pas adaptée et fait abstraction du bien être des sablais ! Vous pouvez signer la pétition sur notre page Facebook : dca-des-Olonnes et de partager celle ci. Vous pouvez si vous le souhaitez adhérer à l'association en allant sur notre site internet : https://www.dca-des-olonnes.fr. Nous avons besoin de vous pour s’opposer à ce projet et le faire avorter . Le seul moyen est de signer cette pétition et de la partager autour de vous !
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    Créée par PHILIPPE J.
  • Construisons 600 voitures de trains de nuit pour relancer 30 lignes
    Suite aux mobilisations « Oui au train de nuit » depuis 2016, plusieurs rapports officiels ont confirmé la pertinence de relancer les trains de nuit. Depuis 2020, leur relance est un succès, avec une hausse de la fréquentation, en France comme en Europe. Malheureusement, au cours des années 2010, le parc des voitures-couchettes, voitures-lits et voitures sièges inclinables a été très largement détruit et ferraillé. Seules 111 voitures-couchettes, âgées de près de 45 ans, ont été sauvegardées. En plus de la rénovation de ces voitures, il est nécessaire d'en construire de nouvelles pour relancer davantage de lignes. Mais construire des trains neufs prend de 5 à 8 ans. Le rapport du Conseil d'orientation des Infrastructures (COI) [https://bit.ly/3mk9OZm] publié en février 2023 rappelle qu’« il y a donc urgence à statuer, dès 2023 » pour pouvoir relancer les lignes avant 2030. De nombreuses lignes de nuit ont été supprimées dans les années 2010, sans justification suffisante. En particulier tous les trains de nuit sur les transversales régions-régions (sans changement à Paris) ont été démantelés. Or c'est sur ces liaisons que les temps de trajet en train sont les plus longs. Par exemple, un trajet Hendaye-Nice en journée demande plus de 10 heures de trajet, avec changement. C'est là que les trains de nuit sont le plus pertinents. Dans les faits, le gouvernement prévoit surtout des trains de nuit Nord-Sud. Il a négligé les trains de nuit Est-Ouest. De nombreuses lignes région-région sont donc à relancer, entres autres au départ de Genève-Lyon vers différentes destinations de la façade atlantique. En 2019, le collectif « Oui au train de nuit » a estimé les besoins de matériel de nuit à 600 voitures neuves [https://bit.ly/3IGuxy6], ce qui a été confirmé en 2021 par le rapport gouvernemental sur les Trains d’Équilibre du Territoire [https://bit.ly/3KMrjfh]. Ce "rapport TET" a montré qu’un réseau d’environ 25 lignes mutualiserait les moyens et gagnerait en visibilité et en efficacité : les 25 lignes ne coûteraient pas plus en fonctionnement que les 4 lignes actuelles. Ce serait donc une forte augmentation de l'offre à coût constant. Malgré cela, l’État tente de réduire l’ambition et de reporter dans le temps. Au lieu des 600 voitures, l’État a annoncé fin 2021 la construction de seulement 300 voitures [https://bit.ly/3Zsowfs]. Il a ensuite reporté la décision à 2022, puis à 2023-2024 [https://bit.ly/3Zc7VN0]. En février 2023 le « rapport COI » propose de scinder ces 300 voitures en deux lots… pour peut-être éventuellement n’en financer qu’un seul (150 voitures). A travers ces réductions, l’État réduit la desserte des zones de montagnes. Il renonce aussi à financer les trains de nuit internationaux. Alors que les enjeux d’économies d’énergie et de climat s’affirment d’année en année, il est au contraire nécessaire d’augmenter l’ambition, a minima au niveau du rapport TET (600 voitures). Et même aller plus loin : commander davantage de matériel pour compléter le schéma des dessertes et doubler certaines lignes (jusqu’à 5 trains par nuit circulaient par le passé sur Paris-Nice). « Oui au train de nuit » a évalué que 1200 voitures pourraient s’avérer nécessaires d’ici 2035 (voir un résumé de l’ensemble des besoins [https://blogs.mediapart.fr/ouiautraindenuit/blog/040323/letat-oublie-les-trains-de-nuit-est-ouest-nouvelle-petition]). Ajouter une « extension de commande » optionnelle à 1200 voitures ne coûte rien à l’État. Par contre cela sécuriserait l’approvisionnement dans la situation actuelle de pénurie de trains de nuit en Europe. Nous, signataires de la pétition, demandons à l’État d’augmenter l’ambition pour les trains de nuit pour : 1) Financer dès 2023 la construction de 600 voitures, avec une extension optionnelle à 1200 voitures. 2) Créer de nouvelles lignes de nuit région-région, en particulier sur les transversales Est-Ouest. 3) Mieux desservir l’ensemble des territoires excentrés et de montagne. 4) Prévoir aussi du matériel pour relancer des trains de nuit internationaux en coopération avec les pays voisins et/ou les opérateurs.
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    Créée par Oui au train de nuit !. Picture
  • LES SHADOCKS DU NORD, menace sur les nappes phréatiques
    Les nappes phréatiques de la région lilloise sont à un niveau très bas, un risque de sécheresse est annoncé pour cet été. Depuis presque 2 ans, la construction d'un immeuble à Loos-lez-Lille nécessite de pomper l'eau de la nappe phréatique. - il y a d'abord eu des articles dans "La Voix du Nord" pour dénoncer ce scandale * - on nous a expliqué que la nappe phréatique n'était pas celle qui alimente Lille, alors que les champs captants qui alimentent la nappe de Lille sont à 1 km. Il serait bien étonnant qu'il n'y ait pas de communications entre ces nappes. - Ensuite il a été dit que le pompage de l'eau s'arrêterait lorsque le bâtiment aurait 4 étages, puisque cela est comme un bateau, quand le poids de l'immeuble sera suffisant pour compenser la pression de l'eau il ne sera plus nécessaire de pomper. Le gros œuvre est terminé, mais les pompes sont toujours en action. - Une relance de "La Voix du Nord", une alerte auprès de France3 et un courrier auprès du Préfet du Nord restent sans réponses. Il est urgent d'agir, puisque le bâtiment est construit et que les promesses d'arrêter les pompes ne sont pas tenues, il est raisonnable de penser qu'elles ne seront jamais arrêtées et qu'elles seront dissimulées dans les sous-sol de l'immeuble. * Liste des articles de La Voix du Nord - Février 2020 : https://www.lavoixdunord.fr/712490/article/2020-02-19/loos-le-garage-et-la-maison-de-la-place-thiers-demolis-pour-permettre-la Avril 2021 : https://www.lavoixdunord.fr/988491/article/2021-04-23/loos-des-fondations-d-immeubles-en-construction-sous-les-eaux - Mai 2021 : https://www.lavoixdunord.fr/1000081/article/2021-05-08/le-chantier-immobilier-loosois-de-la-place-thiers-doit-reprendre-avant-le-debut - Aout 2021 : https://www.lavoixdunord.fr/1052902/article/2021-08-04/les-pompes-toujours-l-oeuvre-sur-les-chantiers-de-construction-de-loos - Mai 2022 : https://www.lavoixdunord.fr/1181026/article/2022-05-19/meme-en-periode-de-secheresse-l-eau-du-chantier-immobilier-de-loos-continue-de Remerciements à La Voix du Nord pour ces alertes. Elles semblent malheureusement insuffisantes.
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    Créée par Hubert D. Picture
  • Pour une Convention Citoyenne Havraise pour le Climat & la Justice Sociale
    Pour une planification territoriale à la hauteur des enjeux, exigeons une Convention Citoyenne de la Métropole Havraise pour le Climat & la Justice Sociale La « crise climatique », l’« urgence écologique » … On nous en parle chaque jour ! Pourtant il est extrêmement difficile de nous rendre compte de la façon dont ces réalités bouleversent effectivement nos vies, ici, dès aujourd’hui. Le Havre Seine Métropole est particulièrement impacté car l’habitat, l’activité économique et l’emploi sont directement mis en jeu: - Nos zones d’habitat et d’activités industrielles et portuaires installées au raz de l’eau sont inévitablement promises aux submersions marines : les scientifiques prévoient des élévations de l’eau à + 180 cm d’ici 2100 (et alertent sur la grave erreur des documents prescripteurs de l’Etat qui ne prévoient que + 40 cm). Dans ces conditions, Il y a impossibilité de maintenir les façons actuelles de construire et d’habiter. - Nos emplois dépendent d’une industrie carbonée contrainte à une conversion rapide…mais freinée par une logique de profit immédiat contradictoire avec l’Intérêt Général. - L’impératif fixé par le GIEC de réduire de façon drastique nos consommations mondiales de matière et d’énergie interroge l’évolution des activités portuaires et logistiques. - Erosion du vivant, appauvrissement des sols, crise de l’eau : la chute de productivité agricole guette avec à la clef le risque alimentaire et sanitaire. - Les plus fragiles d’entre nous sont en première ligne : sans agir sérieusement et immédiatement, une crise sociale d’une ampleur inédite est inévitable. - Etc. Devons-nous continuer d’appeler à une « Transition Ecologique » ? Non. En fait, c’est une transformation sociale intégrale qui s’impose. Ici, une conversion territoriale vitale est à opérer. Elle nous concerne toutes et tous, pour chaque moment de notre vie : nous devons donc en décider ! Il s’agit d’un défi. Nous n’avons pas le droit à l’erreur. Continuer de laisser l’initiative aux intérêts privés et à la « loi du marché » si souvent divergents de l’Intérêt Général est pour le moins incertain… Il faut planifier ! Les Havrais et leurs voisins en ont vu d’autres ! Ils sont aptes à planifier les innovations sociales, techniques, politiques et économiques capables de perpétuer leur territoire. Par chance, la loi impose à l’échelle de la Communauté Urbaine un modèle pertinent de Planification Territoriale auquel les habitants et acteurs du territoire doivent être associés. Il s’agit du Plan Climat Air Energie Territorial [PCAET] en cours d’élaboration pour les six prochaines années. Par malheur, cette planification se réalise au Havre de façon précipitée et incomplète, dans le mépris total de cette obligation de participation citoyenne (la preuve ? …Ça vous a échappé !). Nous exigeons une planification sérieuse visant une transformation sociale à hauteur des enjeux. A cette fin, nous exigeons l’installation d’une Convention Citoyenne, modèle de Participation Citoyenne considéré comme le plus abouti à ce jour: des habitants tirés au sort, représentatifs du territoire, sont accompagnés durant plusieurs mois par des collèges d’experts (scientifiques, juristes…) pour comprendre la nature et l’ampleur des phénomènes en cours, proposer de nouvelles voies d’adaptation et de développement à la fois efficientes et acceptables pour toutes et tous. Cet exigeant exercice de leur droit politique par les citoyens est efficace sur deux points essentiels : - Il engendre des solutions plus pertinentes que celles produites par les institutions habituelles - Il suscite un intérêt médiatique utile à informer et mobiliser durablement la population Aucune transformation juste ne sera possible sans un exercice fort de la démocratie : signons & diffusons !
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    Créée par Xavier L.
  • NON AU PROJET SUR L'ANCIEN AÉROPORT DE SAINT BRIEUC SITUÉ AUX PLAINES VILLES À PLOUFRAGAN
    Bétonisation massive, suppression de terres agricoles, disparition de ruisseaux, le risque de perte complète de la trame verte pourtant si nécessaire à la vie animale et végétale naturelle à protéger. (120 hectares) La zone des Plaines Villes, au nord de Ploufragan, évolue. L’aérodrome, qui occupait le site de 1939 aux années 80, laisse aujourd’hui place à de l’habitat et à des activités tertiaires, prémisses d’un nouveau quartier. Sa surface appartient pour la plus grande partie à la Chambre de commerce et d’industrie des Côtes d’Armor et est situé à 95% sur le territoire de Ploufragan. Dans cette friche la VIE s'est installée : plus de 42 oiseaux nichent dont certains sont sur la liste rouge. Sans compter les plantes, des insectes, des chauves-souris, reptiles, vipères, faune sauvage... Regardez ce film : https://www.youtube.com/watch?v=ZeBL3t8t-Hs&t=19s et sur Youtube : https://www.youtube.com/user/yannlemeur J'ai demandé à des associations de protection de la Nature de réaliser des inventaires. VivArmor Nature, la Ligue pour la protection des Oiseaux, le Centre d'études ornithologique des Côtes d'Armor et l'association pour la protection de la faune Sauvage. Car pour moi je ne peux pas faire grand chose : qu'en parler c'est pourquoi je réalise cette pétition. C’est pourquoi nous lançons un appel à toutes et tous ! Signez la pétition et faites-la circuler dans vos réseaux ! Votre soutien et vos propositions nous permettront de présenter des projets répondants aux besoins des habitants de nos collectivités. MERCI C'est un lieu magique ! Auteur : yann Le Meur
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    Créée par yann L.
  • STOP CROISIERES GRANDE RADE DE TOULON
    A quai, un tel mastodonte émet autant de dioxyde d'azote et de particules fines que 30.000 voitures roulant à 30 km/heure et autant d'oxyde de soufre que plusieurs millions de voitures diesel. Il consomme 8 à 10 fois plus de carburant qu'un ferry. Autoriser 100 de ces paquebots géants à faire escale équivaut à rajouter 800 à 1.000 escales de ferry aux 1.200 déjà programmées à Toulon. Mais cette fois à La Seyne-sur-Mer. Sur un quai qui n'est même pas électrifié. Le centre de Toulon et les quartiers adjacents au port sont déjà asphyxiés par les ferries et le flux des véhicules embarquant et débarquant. Un objet laissé sur le balcon s’y recouvre de suie en 24h. Les particules que contiennent les fumées sont responsables de maladies respiratoires. Nous ne pouvons pas laisser cette situation empirer ni s’étendre à La Seyne-sur-Mer. Les citoyens seront bientôt soumis à une zone à faible émission (ZFE) en ville. Mais quel sens cela a-t-il si, juste à côté, la pollution explose ? L’électrification des quais, entreprise par la municipalité après des années de réclamations, ne résoudra pas tout, loin s’en faut : les navires trop anciens ne sont pas équipés pour se brancher - mais le port les accueille quand même - et les ferries, en été surtout, font une escale à la fois trop courte et trop énergivore pour pouvoir couper les machines. Il y a urgence : dès ce printemps, MSC, l'armateur qui cause tant de soucis à Marseille, ouvrira une tête de ligne au môle d'armement de la Seyne, c'est-à-dire que les passagers y embarqueront et débarqueront 26 fois dans la saison. En mer comme à quai, c'est toute la Méditerranée qui est mise en danger par les rejets de ces véritables villes flottantes. Selon l'ONG Transport et Environnement, les 203 paquebots qui ont sillonné les espaces maritimes européens en 2017 sont responsables de l’émission de plus de 10 millions de tonnes de dioxyde de carbone. Pire : cette flotte a rejeté 20 fois plus d’oxyde de soufre que les 260 millions de voitures qui circulent sur les routes européennes. Cerise sur le gâteau : si elles sont une source indéniable de pollution, les croisières n’ont que de maigres retombées sur l’économie locale. Les repas sont servis à bord, une bonne partie des touristes ne débarque pas (30 à 70 % selon l'élu de Marseille délégué à l'économie). Maigres, sauf peut-être pour le concessionnaire des ports qui espère augmenter de 10% les 11 millions d'euros de son chiffre d'affaire. Nous n'entendons lui sacrifier ni notre cadre de vie ni notre santé. La Méditerranée, son environnement et ses habitants doivent être préservés. Bornes électrifiées ou pas, que ce soit à La Seyne ou à Toulon, les paquebots de croisières, nous n'en voulons pas. Pour une rade vivable, pour un environnement préservé et pour la santé de tous, signez et faites signer la pétition, rejoignez la campagne Stop Croisière grande rade de Toulon. Plus d'infos sur : https://stop-croisieres.org/ Contact : [email protected] Destinataires : Lionel MOSNIER, Commandant du port de Toulon Christine ROSSO, Directrice des ports de la CCI du Var Hubert FALCO, Président du Conseil de la métropole TPM Jean-Louis MASSON, Président du Conseil départemental du Var Renaud MUSELIER, Président du conseil régional de PACA Sébastien FOREST, Directeur régional de l’environnement, de l’aménagement et du logement de PACA Christophe BÉCHU, Ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires Agnès PANNIER-RUNACHER, Ministre de la Transition énergétique
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    Créée par Collectif Climat Zéro Fossile Toulon et environ