• Oui à un Contournement apaisé à l'Ouest de Montpellier ! Non à l'autoroute urbaine (COM Vinci) !
    L'État a confié à Vinci-ASF la création d'une autoroute urbaine de 6,2 km traversant du nord au sud l'ouest de Montpellier et Saint-Jean-de-Védas.  Vinci le déclare dans ses écrits devant la justice, premier objectif du COM : « assurer une continuité du grand itinéraire autoroutier entre l’A 75 et l’A9 vers Clermont-Ferrand, dans la logique de l’orientation globale nord/sud et sud/nord de la concession ASF. » Les autres objectifs, « meilleure fluidité et sécurité du trafic sur l’A 709, meilleure desserte de la zone urbaine de Montpellier, rendre leur vocation urbaine aux voiries métropolitaines restantes aujourd’hui congestionnées – en renforcement de la vocation première de l’A709 », sont essentiellement destinés à faire passer le projet auprès des autorités locales. Au demeurant, l’A 709 est déjà saturée ! Le début des travaux est prévu pour 2026 pour une livraison 2030. Le Collectif AutreCOM s’est constitué pour proposer une alternative viable au projet Vinci qui ne répond pas selon nous, aux besoins réels de mobilité locale. Notre collectif demande que le projet du COM soit réévalué au regard des enjeux climatiques, sociaux et environnementaux actuels, et pour anticiper les besoins en mobilités sur le long terme. Les déplacements pendulaires autosolistes provoquent la surcharge de cette voirie. Pour soustraire un nombre significatif de véhicules et y fluidifier le trafic, les solutions passent à la fois par le traitement des zones névralgiques dûment repérées et par le développement massif des transports collectifs périurbains en site propre tout au long du trajet avec un accès facile aux pôles d’échanges, ainsi que des pistes cyclables. Nos associations proposent que la maîtrise d’ouvrage soit prise en charge par les collectivités locales et non par un acteur privé.                              POURQUOI S’OPPOSER AU COM VINCI? Fluidification du trafic local et liaison autoroutière : deux objectifs peu compatibles L’emprise au sol prévue irait jusqu’à 10 voies sur une de ses trois sections, pour un gain de temps pour les usagers de 3% sur le trajet soit quelques minutes à peine. Pourtant la part du trafic de transit actuel est évaluée à seulement 10 %, dont 4% de poids lourds (PL). Ce projet démesuré et couteux (>300 millions d’euros) est conçu pour permettre un triplement du nombre de véhicules (de 25 000 à plus de 70 000 véhicules par jour) : le COM est en effet un des chaînons manquants de cet axe européen qui doit traverser la France depuis le Nord de l’Europe et le Havre, éviter l’Ile de France, en allant jusqu’au Sud vers les ports de Méditerranée et l’Italie. Il attirerait donc des milliers de PL et les flux touristiques, comme ceux qui saturent déjà la vallée du Rhône. Dans ces conditions, l’objectif d’amélioration du trafic local semble totalement illusoire. Agissons ensemble ! Merci de signer et diffuser cette pétition ! Pour plus d’info sur notre opposition et sur notre projet alternatif, rendez-vous ici et sur les réseaux sociaux facebook  et  instagram Avec de nouveaux recours et évènements, 2025  sera une année cruciale pour notre collectif. Participez à la collecte de dons sur Hello Asso. https://www.helloasso.com/associations/action-climat-montpellier/collectes/mobilisation-contre-le-com
    237 sur 300 Signatures
    Créée par Collectif AutreCOM
  • Pour une montagne habitable, non aux Jeux Olympiques et Paralympiques d'hiver 2030 dans les Alpes !
    Les Alpes Françaises ont été sélectionnées par le CIO (Comité International Olympique) pour accueillir les Jeux Olympiques et Paralympiques d'hiver en 2030. Décidée sans concertation, construite en un temps records, absente de tout programme électoral et de tout budget - qu'il soit local ou national -, la candidature des Alpes françaises a été portée par les présidents des régions Auvergne-Rhône-Alpes (AURA) et Provence-Alpes-Côtes-d'Azur (PACA), par le Président de la République et par quelques personnalités locales souhaitant tirer leur épingle des jeux.  A l'heure du réchauffement climatique, le déni est devenu un sport de compétition et nous voyons se nouer autour des JOP d'hiver 2030 les mécanismes de l'échec écologique de nos sociétés : l'action des lobbys avec la complicité des politiciens, le mépris de la démocratie et le refus du changement vers une montagne et des pratiques sportives plus résilientes. Les populations semblent d’ailleurs partager largement ce constat, comme en témoigne le sondage réalisé par le magazine de montagne Alpine Mag : à la question “Etes-vous pour ou contre l’organisation des Jeux Olympiques d’Hiver 2030 dans les Alpes” 89% des milliers de répondants se sont positionnés contre.  Ces jeux font peser plusieurs périls sur les régions hôtes : • endettement des territoires pour des investissements en faveur du tourisme hivernal • dépendance accrue aux ressources des sports d'hiver, pourtant voués à une disparition programmée à court, moyen ou long terme, • fragilisation et artificialisation de milieux naturels et agricoles • perturbation du cycle de l'eau avec la construction de retenues d'eau pour assurer l'approvisionnement en neige de culture • spéculation immobilière et gentrification de la montagne • contribution massive au réchauffement climatique (3 millions de tonnes de CO2 en moyenne pour trois semaines de fête) Sous couvert d’une grande fête sportive internationale, les JOP produisent du déficit public et des ravages sociaux, écologiques et démocratiques. Ils font peser la menace d'une montagne inhabitable pour les habitants les plus modestes. Le projet de JOP 2030 n'est pas en adéquation avec les besoins des habitants des régions Auvergne-Rhône-Alpes et Provence-Alpes-Côtes-d'Azur. Les montagnes ne sont pas un parc d'attraction, nous voulons des investissements pour : • se préparer au réchauffement climatique (digues, restauration des terrains de montagne etc.) et notamment entretenir les routes du quotidien, abîmées de plus en plus durement chaque année par le réchauffement climatique. Nous ne voulons pas de tunnels sous les ronds points, de 2X2 voies, de rocades etc. utiles uniquement pour les quelques week-end congestionnés lors des vacances d'hiver! • isoler les logements et construire des logements sociaux tout de suite (nous ne voulons pas attendre la transformation en logements d'un hypothétique village olympique niché en haut d'un fort...) • développer le transport ferroviaire du quotidien (nous ne voulons pas d'une ligne rapide entre Marseille et Briançon) • soutenir les activités économiques d'avenir : activités agricoles (élevage, maraîchage, pastoralisme), éco-construction (nous rappelons que la Région PACA a retiré son soutien à la création d'une haute école du bois dans les Hautes-Alpes... ), services du soin, industries décarbonées, culture etc. • développer enfin un autre imaginaire pour l'avenir de la montagne que celui de l'or blanc.  Toutes les dérives décrites ne sont pas spécifiques à cette édition 2030 dans les Alpes, le fonctionnement des Jeux et du CIO est problématique depuis très longtemps et amène partout les mêmes difficultés : corruption, endettement périlleux, gentrification, gabegie écologique.  Signez la pétition et retrouvez le collectif NO JO surhttps://no-jo.fr/ Cette pétition est un des moyens de lutte essentiel contre l'organisation des JOP, et plus largement pour un débat sur les événements olympiques. D'autres moyens sont utilisés par les collectifs contre les JOP : recours juridiques, pression ou dialogue avec les élus, réunions publiques, manifestations, blocages etc. Tous ces moyens sont utiles pour dénoncer l'obstination à poursuivre un modèle économique destructeur. Pour des informations détaillées sur l'impact des JOP de Paris et d'ailleurs :https://saccage2024.noblogs.org/ Signez la pétition et retrouvez le collectif NO JO sur https://no-jo.fr/
    353 sur 400 Signatures
    Créée par Collectif NO JO Alpes
  • Ammoniac : les données cachées par l'Etat, un scandale sanitaire et environnemental
    ❌ Pourquoi le manque de transparence sur l'ammoniac est un scandale ?  1️⃣. 👩‍⚕️☣️​​​​​​​🌬️ D'abord parce que l'ammoniac est dangereux pour la santé des populations... L'ammoniac menace la santé humaine. A forte dose, c'est un gaz toxique aux effets dévastateurs sur la santé : il irrite gravement les voies respiratoires, les yeux et la peau, et peut causer des brûlures chimiques et des lésions pulmonaires. Ses émissions quotidiennes contribuent à la formation de particules fines (PM2.5), responsables, selon Santé Publique France, de plus de 40.000 décès prématurés chaque année en France métropolitaine. Une exposition répétée, même à faible dose, aux particules fines provoquent des pathologies respiratoires (asthmes, bronchites chroniques) et cardiovasculaires, et aggravent les risques de mortalité prématurée, particulièrement chez les personnes vulnérables. Les  populations rurales et les travailleurs et travailleuses agricoles sont en première ligne.   🌍🍃​​​​​​​ ​​​​​​​... et pour l'environnement.  L'ammoniac perturbe aussi les écosystèmes et la qualité de l’air.​​​​​​​ Il affecte la vie aquatique en apportant de façon excessive des nutriments et favorise les proliférations de cyanobactéries et asphyxie les espèces sensibles vivant en eaux douces. Dans les eaux côtières, l'azote ammoniacal favorise la prolifération des algues opportunistes engendrant marées vertes et eaux colorées. ​​   2️⃣ 🏛️ L'État est hors-la-loi La publication de ces données est contraire aux textes suivants qui imposent aux États membres de garantir la transparence et la disponibilité des informations environnementales.  1. Directive 2003/4/CE relative à l’accès à l’information en matière d’environnement, transposée en droit français par l’article L124-1 du Code de l’environnement. 2. La Convention d’Aarhus, ratifiée par la France, qui impose la mise à disposition de données actualisées sur l’environnement. 3. Article 7 de la Charte de l’environnement, intégré au bloc de constitutionnalité, qui garantit à tous et toutes le droit d’accéder aux informations relatives à l’environnement. L’absence de publication entrave gravement le droit des citoyen•ne•s a être informé•e•s des risques pour leur santé et pour l’environnement. 3️⃣​​​​​​​ L'élevage industriel est largement responsable des émissions d'ammoniac. Cacher les données ne résout pas le problème.   En 2023, l'enquête en trois volets du collectif Bretagne Contre les Fermes Usines a révélé une réalité inquiétante : la Bretagne(1) est l'une des régions les plus polluée par l'ammoniac en Europe. Près de 94% des émissions d'ammoniac proviennent de l'agriculture intensive, notamment des élevages industriels et de l'utilisation massives d'engrais azotés. Chaque année, la Bretagne émet(2) environ 5800 tonnes d'ammoniac, soit 56% des émissions nationales. Ces chiffres sont alarmants. Notre analyse avait démontré des concentrations particulièrement élevées d'ammoniac dans certaines zones, conduisant aux dépassements réguliers des seuils en particules fines, largement au-dessus des recommandations sanitaires de l'OMS. Les départements du Finistère et des Côtes d'Armor sont parmi les plus touchés, avec des taux immédiatement corrélés à la densité des élevages industriels. Certaines communes bretonnes se classent tristement parmi les zones les plus émettrices d'ammoniac en France.Ces données soulignent l'urgence d'une action publique forte pour réduire les émissions d'ammoniac, garantir la santé des habitant•e•s et protéger les écosystèmes bretons.L'opacité des chiffres de 2023 laisse penser que l’État protège les intérêts économiques du secteur agro-industriel au détriment de notre santé, de l’environnement et des travailleurs et travailleuses agricoles.​ ​​​​​4️⃣ 🏛️📝 Les données sont nécessaires pour mettre en place des politiques publiques qui garantissent la protection des populations L'Etat a une responsabilité de protection des populations. La France, championne d'Europe en émission d'ammoniac, s'est engagée à réduire ses émissions d'ammoniac. Cacher les données ne résout pas le problème... Si la cause des émissions est bien connue, il est urgent d'agir pour la transformation du modèle agricole vers l'élevage paysan afin de protéger les populations.                     👀 👀 Face à ce manque de transparence, nous demandons : 👀👀 👉 La ​​​​​​​publication immédiate des données 2023 sur l'ammoniac pour informer la population et garantir la transparence. 👉 L'installation de 3 stations rurales de mesure des niveaux de pollution de l'air par l'ammoniac par département breton et la publication du nombre de jours de dépassement des seuils de particules fines. 👉Une règlementation stricte et des sanctions pour les émetteurs, incluant un obligation de déclaration annuelle dès 1t/an d'ammoniac et des contrôles réels et réguliers des installations classées pour la protection de l’environnement (ICPE). 👉Un programme ambitieux d'accompagnement à la reconversion pour les exploitants d'élevage industriel vers des pratiques paysannes plus respectueuses de l'environnement et de la santé.                                                                           ********** 🔥 Assez de silences complices, assez d’inaction ! Ne laissons pas advenir une catastrophe sanitaire et écologique que l'État tente de cacher. Exigeons la transparence : signez cette pétition pour protéger notre santé, notre milieu rural, et notre avenir.
    446 sur 500 Signatures
    Créée par Bretagne Contre les fermes usines
  • Monsieur le Maire, sauvons les arbres de notre centre-ville !
    Historique : Le 29 Novembre 2021, le comité de quartier du centre-ville a signalé :  • de nombreux arbres mourants sur l'Avenue Marie Curie en entrée de ville (200 chênes).  • la disparition de la moitié des 44 arbres sur les parkings/trottoirs du boulevard Pierre Mendès France et la présence de goudron sur une dizaine d'arbres survivants. Cet abattage semble correspondre à une procédure irrégulière. Nous n'avons pas eu connaissance d'arrêté municipal ou préfectoral, ou d'arrêté d'abattage dans le cadre de travaux. Le 1er juin 2022, le comité de quartier du centre-ville a signalé 8 pieds d'arbres sur-minéralisés sur la nouvelle Place Fulgence Bienvenue.  Si on ajoute les 16 arbres abattus Rue Henry de Montfreid pour la réalisation de nouveaux stationnements, le bilan est négatif pour ce quartier. Au total : • Au moins 16 arbres sont en danger immédiat et plusieurs dizaines sont mourants. • Au moins 28 arbres ont été abattu et non remplacés.  Rappels utiles :  Les arbres sont vivants et ils ont besoin d'un apport en eau et en nutriments pour s'épanouir en ville : laisser un espace végétalisé et perméable au pied de l'arbre est indispensable pour sa survie à long terme. De la végétation pousse au pied de l’arbre, le nourrit, et inversement. L’arbre capte l’eau plus facilement et devient plus résistant.  Préserver les arbres du centre-ville, c'est conserver notre titre de Ville des Parcs et Jardins, et c'est lutter efficacement contre les ilots de chaleur urbaine l'été. Situation actuelle : Depuis les signalements du comité de quartier il y a 3/4 ans, rien de concret ne fut réalisé par la commune pour remédier à la situation en dehors de la pose de pots géants Av. Pierre Mendès France à la place des arbres abattus. La foret urbaine plantée par EpaMarne en entrée de ville ne compensera pas cette perte située dans d'autres lieux.  Nos demandes : Par conséquent, nous, citoyennes et citoyens de la ville, indépendamment des comités, associations et partis, demandons publiquement à la mairie de Bussy-saint-Georges  : 1. d'aménager les pieds des arbres sur la place Fulgence Bienvenue et le boulevard Pierre Mendès France : retirer les goudrons/revêtements et laisser au minimum 1m2 de terre. Protéger ces zones de tout stationnement.  2. de remplacer les arbres abattus ou malades par des essences variées, adaptées à la ville et résistantes au changement climatique. Ce remplacement doit être réalisé dans la même rue.    3. de demander au plus vite à EpaMarne un remplacement des arbres mourants Avenue Marie Curie avant la fin de la ZAC pour que cela ne soit pas à la ville de payer.  4. de généraliser ces bonnes pratiques aux autres quartiers de la commune. 
    43 sur 100 Signatures
    Créée par Mathieu C.
  • SAUVONS NOS INSTALLATIONS SPORTIVES A GRAND BOIS 974
    1/ Mobilisons-nous pour préserver les installations sportives de Grand Bois, menacées de destruction au profit d'un autre projet près de l'école Raymond Mondon.  Nous disons NON à cette destruction et exigeons la réhabilitation des complexes sportifs existants, comprenant les terrains de football, de basket et de handball. 2/ En refusant la destruction des installations sportives de Grand Bois, nous défendons un lieu vital de rassemblement et de partage qui renforce les liens sociaux, offre une alternative saine aux écrans pour les jeunes, et contribue à un cadre de vie exceptionnel pour toutes les générations.  3/ Nous avons 2 mois pour annuler cette décision
    157 sur 200 Signatures
    Créée par COLLECTIF DE DÉFENSE DES INTÉRÊTS SAINT-PIERROIS
  • NON à une nouvelle suppression de poste d'enseignant.e à Jules Ferry, Mauriac
    Madame l’Inspectrice, Nous, représentants des parents d’élèves de l’école Jules Ferry de Mauriac, vous adressons ce courrier pour exprimer notre vive inquiétude concernant la suppression possible d’un poste d’enseignant à la rentrée prochaine. En effet, cette perspective inquiète profondément les familles et l’équipe pédagogique, d’autant plus qu’un poste a déjà été supprimé cette année. La suppression d’un second poste aurait des conséquences importantes sur la qualité de l’enseignement, dans un contexte où les besoins spécifiques des élèves augmentent de manière significative. Notre école connaît une évolution, marquée par l’accueil, depuis cette année, d’une classe externalisée de l’Institut Médico-Éducatif (IME). Cette initiative, saluée par tous, reflète la vocation inclusive de l’école (un dispositif ULIS existe déjà au sein de l’école) mais s’accompagne également de défis pédagogiques accrus. De plus, comme dans de nombreuses écoles, les enseignants doivent faire face à une augmentation significative du nombre d’élèves à besoins éducatifs particuliers, nécessitant un accompagnement renforcé et des moyens humains adaptés. La réduction des effectifs enseignants compromettrait directement leur capacité à accompagner ces élèves dans les meilleures conditions. En parallèle, la commune de Mauriac s’investit pleinement dans l’amélioration des infrastructures scolaires. Des travaux d’amélioration du bâtiment ont déjà été réalisés, et d’autres sont programmés pour les mois à venir. Cet engagement de la municipalité témoigne d’une volonté forte de soutenir l’éducation et de garantir un cadre d’apprentissage de qualité pour les enfants. L’Association des Parents d’Élèves (APE) de l’école Jules Ferry est également particulièrement active. Grâce à ses actions, les élèves bénéficient régulièrement de financements pour des projets pédagogiques et des activités éducatives enrichissantes. L’APE est un véritable moteur pour dynamiser la vie scolaire et renforcer l’attractivité de l’établissement. Dans ce contexte, nous estimons qu’une suppression de poste serait en contradiction avec les efforts conjoints de l’ensemble des acteurs de la communauté éducative – enseignants, parents, élus locaux – pour offrir à nos enfants les meilleures conditions d’apprentissage possibles. Nous sommes convaincus que cet engagement collectif mérite d’être accompagné par une reconnaissance institutionnelle, notamment en maintenant l’ensemble des postes nécessaires pour garantir un enseignement de qualité. Nous vous remercions par avance pour l’attention que vous porterez à notre demande et restons à votre disposition pour échanger avec vous sur les spécificités et les besoins de notre école. Nous espérons également que notre inquiétude sera relayée à votre successeur.  Dans l’attente de votre retour, nous vous prions d’agréer, Madame l’Inspectrice, l’expression de nos salutations respectueuses.   Les représentants des parents d’élèves de l’école Jules Ferry.
    53 sur 100 Signatures
    Créée par Caroline G.
  • RN88 : STOP à la destruction de 190ha d'espaces naturels
    Début 2020, sur fond de campagne électorale, Laurent Wauquiez alors Président de la Région Auvergne - Rhône-Alpes (AURA), annonce la reprise d'un projet vieux de 30 ans : la construction de la déviation de 2 bourgs de la RN88. La déclaration d'utilité publique du projet, abandonné depuis par l'Etat, est alors périmée depuis 2007. Le projet coûtera 226 millions d'euros selon la Région AURA qui en finance 90%. Il coûtera en réalité probablement beaucoup plus, entre 500 et 600 millions d'euros selon ses opposant·es. L'augmentation du trafic routier aura également un impact sur la pollution de l'air, l'augmentation des émissions de gaz à effet de serre, et la pollution sonore. Pendant et après les travaux, la biodiversité est et sera lourdement impactée par la disparition de corridors écologiques et la destruction d'habitats de plus de 100 espèces animales et végétales. Un collectif d'habitant·es, de paysan·nes et de défenseur·euses du vivant s'est autour de "La Lutte des Sucs" pour défendre l'arrêt de ce projet mortifère. Depuis 5 ans, 5 nouvelles espèces protégées ont été découvertes sur le site : le Crossope aquatique (un amphibien à enjeu fort), le Campagnol amphibie (un rongeur à enjeu fort), le Cuivré des marais (un papillon à enjeu fort), le Crapaud Calamite (un amphibien à enjeu modéré), et le Triton palmé (un amphibien non cité dans l'étude d'impact). Pourtant, alors que le maître d'ouvrage ne possède pas la maîtrise foncière des terrains pour les zones de compensation environnementale, les travaux ont débuté avec l'abattage de dizaines d'hectares de forêts, la destruction de murets anciens, la défavorabilisation de terres agricoles, et la construction de plusieurs ouvrages d'art. En 5 ans, de nombreux recours ont été déposés devant la justice, notamment par France Nature Environnement, mais après une annulation partielle de l'autorisation environnementale par le Tribunal administratif de Clermont-Ferrand fin 2024, le processus judiciaire est amené à se poursuivre en Cour d'appel pour obtenir son annulation totale. Nous n'avons pas le temps d'attendre. Nous, collectifs et associations en soutien à la Lutte des Sucs qui se bat contre la destruction de ces écosystèmes, demandons au Préfet de Haute-Loire de suspendre les travaux et à la Région Auvergne - Rhône-Alpes de mettre en étude des solutions alternatives respectueuses de l'environnement. Pour le même prix, il est possible de penser des liaisons de bus cadencées entre Saint-Étienne et le Puy-en-Velay, développer le fret ferroviaire, penser de petites déviations des 2 bourgs en 2x1 voie ou en limiter la vitesse à 30km/h. Ces alternatives crédibles et moins onéreuses (proposées par plusieurs organisations) n'ont pourtant jamais été envisagées sérieusement par la Région AURA. Il est encore temps, mais il est urgent d'agir : seulement une petite partie du projet est sortie de terre, mais d'ici début 2026, le plus gros des travaux risque de mettre définitivement en péril les écosystèmes. Mobilisons-nous pour stopper ce projet ! Crédit photo : LR - rue43120
    190 sur 200 Signatures
    Créée par Greenpeace Clermont-Ferrand & La Lutte des Sucs Picture
  • Stop Tomorrowland Alpe d'Huez
    • Surexploitation des ressources et inconscience écologique : La moitié au moins des festivalier.es viennent en avion : la seule empreinte carbone des vols en avion liés au festival excède 6 000 tonnes équivalent CO2 (en 2022), un chiffre bien supérieur à celui de l’empreinte carbone annuelle de la commune d’Huez. A cela s'ajoutent les statues géantes de glace, la neige artificielle en mars, les scènes dans un environnement de haute montagne fragile, les nuisances sonores, etc. • Argent roi pour un événement élitiste : le festival s’adresse aux plus aisé.es avec des places de 875 euros à 7000 euros la semaine. Qui a les moyens de débourser des centaines, voire des milliers d’euros pour cet événement ? • Modèle économique archaïque : ce festival n’est pas nécessaire à la vie économique de la station, mais accroît sa dépendance économique au tourisme. En effet, tous.tes les commerçant.es ne bénéficient pas également de la supposée « manne économique » qu’est censée être le TL Winter. • Gaspillage d’argent public : le contribuable paie largement  (plusieurs millions d’euros chaque année) pour l’organisation, via les subventions de la région, du département, de la communauté de communes, etc. (plus d’infos sur les subventions sur notre site). Chaque année, la mairie de l’Alpe d’Huez subventionne le festival à hauteur de plus de 2M d’euros (un chiffre voué à augmenter), lorsque la société belge Tomorrowland engrange un chiffre d’affaire de 25M d’euros par an. Un « coup de pouce » indécent pour une commune de cette taille.   • Mascarade culturelle : peu accessible aux habitant.es de la région, le bénéfice culturel local est plus que discutable. Mais TL Winter, c’est surtout le symbole des giga-évènements culturels ou sportifs (comme il en existe d’autres dans notre région) qui exploitent les cimes jusqu’au dernier filon économique que les promoteurs peuvent en tirer. TL Winter, c’est le symbole d’un imaginaire selon lequel on peut abîmer la montagne et ses écosystèmes pour pouvoir s’amuser, tels des ressources économiques sans remettre en question les impacts qu’on cause. TL Winter, c’est un symbole de la maladaptation au changement climatique : une diversification des activités dans les territoires de montagne, oui, mais pas réservée aux plus aisé.es, au détriment des écosystèmes et sur le dos du contribuable ! Notre imaginaire : un monde sans giga-festival comme le Tomorrowland Winter Nous souhaitons pouvoir prendre le temps de réfléchir collectivement à ce que nous souhaitons pour nos territoires. Nous souhaitons nous poser des questions cruciales : quelle montagne voulons-nous pour demain ? Quels évènements culturels ? Jusqu’à où avons-nous le droit d’exploiter notre environnement pour le bénéfice de quelques-uns ? Un festival qui respecte nos valeurs c'est : • un festival qui limite au maximum son impact environnemental avec une réflexion réelle sur tous les postes d’émissions carbone et pressions anthropiques sur l’écosystème local ; • un festival qui se soucie de la protection des milieux fragiles (ici la montagne) ; • un festival accessibles à toustes, gratuit ou avec des prix accessibles ; • un festival bénéficiant réellement à toustes les acteurices locaux ; • un festival basé sur une véritable implication des acteur.ices locaux dans les prises de décisions et le consentement de la population du territoire pour le mettre en place. Qui sommes-nous ? Notre collectif s’est formé en octobre 2023, faisant suite à des mobilisations des acteurs environnementaux et culturels de la région. Parmi nous, des militante·e·s de différentes associations et mouvements écologistes et sociaux sont présent·es... Mais pas que !  Nous avons mené de nombreuses mobilisations, afin de visibiliser les impacts multiples du TL Winter. Tractages entre Huez, l’Oisans et Grenoble, campagnes d’affichages, deux concerts de soutien (afin de ne pas seulement s’opposer mais aussi proposer, fédérer 😉), et une manifestation en mars 2024 à l’Alpe d’Huez à l’ouverture de la 4ème édition du festival. “Diffusez cette pétition à vos proches, vos cercles amicaux, familiaux et militants et parlez-en autour de vous. Le festival se déroulera du 15 au 22 mars 2025. Nous pouvons dire STOP et faire entendre notre voix ! Ensemble, nous disons à l’Alpe d’Huez : Enjoy your last Tomorrowland ! ” Pour plus d'informations sur les enjeux de la lutte : https://stop-tomorrowland-alpedhuez.fr Pour suivre les actualités/événements : - Facebook - Instagram - Mastodon
    4 719 sur 5 000 Signatures
    Créée par Collectif Stop Tomorrowland Alpe d'Huez
  • Sauvons l'accès aux plaines brûlées depuis Chastreix-Sancy!
    Zone d’estives et de randonnée l’été, zone de ski nordique, raquettes et chiens de traineau l’hiver, les Plaines Brûlées s’étendent de Chastreix-Sancy au Capucin qui surplombe la ville du Mont-Dore . Cet espace naturel préservé est située sur les communes de Chastreix et La Tour d’Auvergne. Le 20 décembre débuteront les vacances scolaires, marquant le début de la saison touristique hivernale. A cette date, si neige, les domaines nordiques Sancy Ouest ouvriront. Cependant, le  passage sur les sentiers historiques traversant le terrain jouxtant la station de Chastreix-Sancy et sur lequel passent des pistes de ski de fond et raquettes, est désormais interdit, rendant impossible le départ depuis la station. Le passage des marcheurs, trailleurs, VTTistes, cavaliers, est également impossible depuis ce printemps. Plusieurs commerces, producteurs de Saint-Nectaire, prestataires d'activités, hébergeurs de Chastreix et des communes alentours sont déjà ou seront directement ou indirectement impactés par cette fermeture. Les tentatives de négociation des pouvoirs publics locaux n'ont pas abouti. La commune, la Réserve Naturelle de Chastreix-Sancy et ses acteurs socio-économiques sont en train de bâtir une stratégie de diversification 4 saisons de l'offre touristique. Cet élément vient fragiliser leur travail. Ainsi il y a urgence à se mobiliser. Les pouvoirs publics doivent agir pour réouvrir l'accès aux sentiers historiques. Cet incident local n'est pas le premier conflit d'accès à la Nature sur le Massif ou sur le territoire national.  C'est aussi pour cette raison que s'est monté le collectif citoyen Touche pas à mon Sancy, regroupant des socioprofessionnels, des agriculteurs, des pratiquants et prestataires d'activités de Pleine Nature, et des citoyens qui souhaitent défendre les accès à la Montagne. 
    6 828 sur 7 000 Signatures
    Créée par Collectif Touche pas à mon Sancy
  • Sauvons la piste cyclable Carabacel-Désambrois qui relie le Sud-Est au Nord de NICE
    Cet élément majeur de l’aménagement cyclable de la ville est prévu dans les moindres détails dans les documents d'urbanisme de Nice (1), il est indispensable au réseau cyclable existant du « centre-ville » et reliera les quartiers du Sud-Est (Le port, Riquier, St Roch) au Nord de la ville, ainsi que la fac de St Jean d’Angély à celle de Valrose.   Sa prolongation au Nord de Désambrois, simplement ébauchée au PLU, semblait se concrétiser en 2022 avec un premier tronçon déposé au permis de construire de l’aménagement de la place Jeanne-d’Arc et accepté par la ville de Nice. Mais, coup de théâtre, cette voie cyclable place Jeanne d’Arc a été abandonnée en cours de travaux, entraînant la stupeur des associations de défense du vélo et de l’environnement. Pire encore, lors du discours d’inauguration de cette place (2), M. Estrosi, maire de Nice et M. Nofri, délégué aux transports et à la Mobilité nous ont fait comprendre que c’est toute la piste cyclable "Carabacel-Désambrois" et sa prolongation vers le Nord qui allaient être supprimés dans le plan vélo 2025.    Dans le contre la montre déjà mal engagé face au réchauffement climatique tout renoncement serait désastreux. Les Niçois, prêts à prendre leur part dans cette course pour peu qu’on leur en donne les moyens ne comprendraient pas cet abandon. Signez cette pétition pour le maintien de la piste cyclable « Carabacel-Désambrois », primordiale pour le développement du vélo à Nice. Campagne soutenue par : "Nice à Vélo", "Alternatiba", "Terre bleue" et "Oxfam" *** Sources : (1) Voir le résumé du PDU-POA issu du PLU métropolitain en vigueur / 3. Plan Déplacements Urbains (PDU) / POA / PDU / Annexe 2 (2) Nice Matin du 24/10/2024
    2 807 sur 3 000 Signatures
    Créée par Groupe local de Greenpeace Nice
  • Non à l’incinérateur plastiques à montpellier !
    Pourquoi c’est important d’agir maintenant ? En avril 2024, la Métropole de Montpellier a voté la rédaction d’un cahier des charges pour la création d’un incinérateur à plastiques sur la zone d’AMETYST. En juillet 2025, la Métropole de Montpellier devra voter le renouvellement de la Délégation de Service Public (DSP) pour la création de cet incinérateur. Pourquoi ce projet va à l’encontre de l’environnement, de la santé, des finances, … anti-tout ? Cette installation peut paraître séduisante : élimination de déchets qui sinon auraient été enfouis, diminution de la consommation d’énergie fossile et baisse du coût des transports en camion dans la Région, création d’emplois, etc … Tout cela dans le but de créer un réseau de chaleur. Mais nous n’avons pas d’industrie sur Montpellier et même si cela était dans les projets, aucune industrie ne nécessite de sacrifier des populations. A l’encontre de la santé publique : Les chaudières CSR génèrent des émissions de multiples polluants. Des études ont clairement démontré le lien entre la pollution de l’air et l’augmentation des maladies respiratoires et cardiovasculaires.  A l’encontre de la qualité de l'air : Montpellier souffre déjà d’une qualité de l'air souvent dégradée, et un tel projet CSR, associé aux problèmes d’AMETYST et à la pollution suite au trafic routier provoquerait  un effet cocktail qui aggraverait la santé des habitants de Montpellier et de ses alentours. A l’encontre des objectifs climatiques : Le projet ne semble pas aligné avec les objectifs ambitieux de la ville en matière de transition énergétique et de réduction des gaz à effet de serre. Nous estimons que des solutions plus durables et moins polluantes doivent être privilégiées.  A l’encontre de la démocratie : Les citoyens n’ont pas été suffisamment consultés sur ce projet, qui pourrait pourtant avoir un impact direct sur leur quotidien. Nous exigeons de la transparence de la part de nos politiques, une meilleure information et une réelle participation de la population.  A l’encontre des expériences passées : Dans plusieurs villes et collectivités, citoyens, médecins, associations et politiques s’associent contre l’implantation ou l’arrêt de telles chaudières CSR dans leurs villes. Les études menées montrent bien les conséquences néfastes qu’il est encore temps d’éviter. Ce que nous demandons : 1. L’arrêt immédiat du projet : Nous demandons la suspension du projet d’implantation de cette chaudière CSR jusqu’à la mise en place d’une consultation publique approfondie et d’une étude d’impact indépendante, prenant en compte l’ensemble des risques environnementaux et sanitaires. Nous souhaitons déposer un moratoire. 2. Une étude d'impact environnemental transparente : Il est crucial que cette étude prenne en compte les émissions potentielles de polluants (particules fines, oxydes d'azote, dioxyde de soufre, etc.), l'impact sur la qualité de l'air, de l'eau et des sols, ainsi que les risques de contamination des écosystèmes locaux.  3. La prise en compte de l’avis des citoyens : Avant toute décision finale, une véritable concertation avec les citoyens.ennes de Montpellier et des communes avoisinantes doit avoir lieu, afin de recueillir les préoccupations et les propositions des habitants.  4. Une alternative durable : Nous demandons à ce que des alternatives écologiques et innovantes, respectueuses de l’environnement et de la santé des citoyens, soient étudiées et proposées en lieu et place de cette chaudière CSR.  OUI le sujet des déchets est une priorité mondiale sur laquelle il est urgent de réellement ouvrir les débats, NON leur traitement ne doit pas être envisagé à n’importe quel prix. Nous demandons la mise en place d’une vraie stratégie Zéro Déchet afin de les réduire à la source, et ne pas aggraver le scandale environnemental par un scandale sanitaire. Et ailleurs comment ça se passe ?  • En Haute-Loire, un courrier de l’Ordre des Médecins a alerté le Préfet sur les conséquences néfastes sur la santé et la lutte continue, avec les élus locaux. • A Marseille, après 1 an de bataille et d’étude réalisé par le collectif “MARSEILLE SANS CSR”, l’incinérateur d’ARKEMA est abandonné. • A Lannemezan, le collectif “NESTE PLATEAU SANS CSR” continue la lutte avec les industriels alors que de nombreux maires et élus sont contre le projet. • A Ivry-sur-Seine fait polémique car les émissions de dioxines ne sont pas contrôlées comme elles devraient l’être. • En Charente, les députés ont transmis un moratoire sur la construction de nouveaux incinérateurs au Ministère de la Transition Écologique.. Depuis la directive de 2008, l'Union européenne fait de la réduction des déchets à la source la priorité des politiques publiques et dispose que « les États membres prennent les mesures nécessaires pour assurer que la gestion des déchets se fait sans mettre en danger la santé humaine et sans nuire à l'environnement ». Ensemble, exigeons une politique énergétique plus respectueuse de notre environnement et de notre santé. Nous appelons toutes les personnes, associations, et institutions concernées par l’avenir de notre ville à rejoindre cette mobilisation et à signer cette pétition. Il est impératif que les décisions qui affectent notre qualité de vie soient prises de manière démocratique et éclairée.  Fait à Montpellier, le 02/12/2024
    2 821 sur 3 000 Signatures
    Créée par Montpellier Sans CSR
  • La centrale ou la crèche ... il faut choisir !
    Notre Maire s'apprête à transformer un bourg paisible dans un environnement agricole à coup de bétonnières...  Les nuisances causées par une autre installation de ce groupe implanté à Caen la Mer sont bien connues, alors même qu'elle est beaucoup plus éloignée des habitations !  Alors pourquoi vouloir coller cette installation à proximité immédiate d'enfants et d'habitants et exposer leur santé et leur bien être alors que des terrains plus éloignés sont disponibles ? Le permis de construire étant déjà accordé, les travaux peuvent débuter à tout moment, mais il est encore temps de leur faire entendre raison ! Soutenez notre pétition Contre la Centrale à Béton de Thue et Mue ! 
    18 sur 100 Signatures
    Créée par Association Thue M Nature