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STOP à encore plus de béton dans nos campagnes !La ville de Nandy (77176) veut construire sur une partie du plateau de Rougeau, un nouveau quartier, dénommé lot Mercure, avec 108 logements, principalement des collectifs de trois étages, ainsi qu’un centre commercial, doté d’une pharmacie. Ces terres (4,3 hectares) appartiennent à l’EPA Sénart, et à ce jour, sont cultivées par un agriculteur. Ce projet d’urbanisation est la réponse à la fermeture de la zone commerciale qui était située au cœur de la ville, quartier des Bois, et qui aujourd’hui est en partie devenue une friche urbaine. Nous, ADE - Association de Défense de l’Environnement de Sénart et environs -, pensons qu’il est plus urgent de réhabiliter l’ancienne zone commerciale au cœur de la cité et à proximité de ses habitants, plutôt que de la délocaliser en plein champs. Et pour les raisons suivantes : Préserver nos terres productives et consolider les objectifs du Plan Alimentaire Territorial développé par l’agglomération Grand paris Sud (GPS). Prévenir une augmentation du trafic routier sur la D 346 et la D 50, et de la pollution. Préserver la biodiversité et nos paysages ruraux patrimoniaux. https://www.ade-senartetenvirons.com/26 sur 100 SignaturesCréée par Cathy B.
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Un plat végan quotidien au Restaurant UniversitaireLes aliments d'origine animale, en particulier la viande rouge et les produits laitiers, sont généralement associés aux émissions de gaz à effet de serre les plus élevées. En revanche, des aliments comme les fruits et légumes, les céréales complètes, les noix et les lentilles utilisent généralement moins d'énergie, de terres et d'eau. Donc ils ont une empreinte en gaz à effet de serre plus faible que les produits d'origine animale. Pour être précis, une alimentation végétarienne réduit les émissions CO2 de presque 50%, alors que une alimentation vegan les réduit de 70%. (1,5) Mais l'aspect du climat est loin d'être la seule raison pour introduire un plat vegan au resto. Concernant l'homicide des animaux, il y a des chiffres difficiles à imaginer - pour donner un exemple: en 2021, environ 202 millions de poulets étaient tués chaque jour, ce qui fait 140 000 poulets tués chaque minute. (3) Pour illustrer les souffrances que nous causons aux animaux d'élevage : Une vache ne produit normalement que 4 à 8 litres de lait par jour, juste assez pour son veau. Mais pour maintenir la production dans l’industrie laitière, elle est presque constamment enceinte, donc doit donner naissance à un veau chaque année et elle est obligée de produire 25 à 50 litres par jour. Ceci épuise son corps énormément de manière qu'elle ne vit en moyenne que 5 ans, même si elle pourrait vivre 20 ans. Et est-il vraiment acceptable que des veaux de moins de 8 mois soient tués dans l’industrie du veau uniquement parce qu'ils sont mâles et ainsi inutile à la production laitière? (4) Ou que, pour la même raison, 330 millions de poussins mâles sont broyés vivants chaque année dans l'UE- après seulement quelques heures de vie? (9) https://www.l214.com/fichiers/images/visuels/HD/bovin-abattoir-2.jpg Nous sommes responsables de cette cruauté en consommant et même en payant pour des produits liés à la souffrance animale. Mais nous avons aussi le choix dans notre vie quotidienne de soutenir ou de réduire ainsi que d'éviter cette surconsommation inhumaine. Ce choix devrait aussi être possible au restaurant universitaire. Pourquoi un plat végan (= végétalien) quotidien ? 1. Réduction de l'impact environnemental : comme le montre une étude publiée dans Nature en 2022, une alimentation vegan pourrait réduire l'impact environnemental de la nourriture de 70% → Aujourd'hui, cela est plus important que jamais ! (5) 2. Éthique et protection des animaux : le véganisme évite la souffrance et l'exploitation des animaux en refusant leur utilisation pour la nourriture. Ceci va avec un respect profond pour toutes les formes de vie. 3. Soutien à la biodiversité : en éliminant les produits d'origine animale, on contribue à la préservation des habitats naturels et à la biodiversité en réduisant la pression exercée sur les écosystèmes pour l'élevage et la culture de fourrage (2, 7, 8) 4. Santé améliorée : une alimentation à base de plantes est riche en nutriments, vitamines et fibres, ce qui peut réduire le risque de maladies chroniques comme les maladies cardiaques, le diabète et certains cancers (6) 5. Découverte culinaire : un plat végan peut être la transformation d’un plat qui contient des produits d’animal en quelque chose de goût similaire. Mais la cuisine végan offre beaucoup plus que ca : elle permet de découvrir des produits et combinaisons dans tout les couleurs imaginables. Nous revendiquons l'introduction d'un plat végan dans le restaurant universitaire - chaque jour. Selon nous, il est grand temps de rendre l'offre de la cantine durable et orientée vers l'avenir, afin de réduire à la fois l'empreinte écologique et éviter la souffrance des animaux. Signez maintenant pour faire partie du changement ! Sources (1)Food and Climate Change: Healthy diets for a healthier planet | United Nations (se réfèrent aux sources suivantes:Climate Change 2022: Mitigation of Climate Change , Chapter 12: Cross sectoral perspectives) (2) Environmental Impacts of Food Production - Our World in Data (3)https://ourworldindata.org/how-many-animals-get-slaughtered-every-day (4)https://www.tierschutzbund.de/en/animals-topics/animals-in-agriculture/cattle/dairy-cows/ (5)https://www.science.org/doi/10.1126/science.aaq0216 (6)https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC10052889/ (7)https://ourworldindata.org/drivers-of-deforestation (8)https://www.nature.com/articles/s43016-023-00795-w (9)https://www.europarl.europa.eu/RegData/etudes/ATAG/2022/739246/EPRS_ATA(2022)739246_EN.pdf41 sur 100 SignaturesCréée par maryline b.
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Ne sacrifions pas notre territoire : protegeons Colonzelle !• Un avis défavorable des experts : La Chambre d'Agriculture et la Direction Départementale des Territoires (DDT) de la Drôme se sont prononcées défavorablement à l'encontre de ce projet, soulignant que le terrain possède un potentiel agricole. • Une menace pour notre patrimoine agricole : Nos terres cultivables ne sont pas seulement des sols fertiles, elles sont le fruit de générations d'agriculteurs. Sacrifier ces terres pour un projet industriel, c'est renier l'histoire de notre village et mettre en péril son identité rurale. • Une altération irréversible de notre paysage : L'installation de panneaux solaires sacrifierait notre territoire, modifiant profondément l'identité visuelle de notre village et dénaturant le cadre paisible et harmonieux qui fait partie intégrante de notre patrimoine. • Une menace pour la biodiversité locale : Ce projet perturbera les écosystèmes naturels environnants, mettant en danger la faune et la flore locales qui contribuent à l'équilibre écologique. • Un bénéfice dérisoire pour la commune : Ce projet ne rapporterait à la commune que 4000 € de loyer par an. Les retombées fiscales, estimées à 8000 € par an, seront répartis entre le département, la CCEPPG et la commune. Des sommes bien faibles au regard des enjeux économiques, écologiques et patrimoniaux pour notre communauté. • Ne laissons pas cet héritage à nos enfants : En autorisant ce projet, nous risquons de léguer à nos générations futures un territoire appauvri et dénaturé, dépourvu des richesses agricoles et culturelles qui font la force de notre village. • Des alternatives existent : Il est possible de développer les énergies renouvelables tout en préservant notre héritage agricole, en favorisant des installations sur des terrains non exploités comme les friches industrielles, les toitures de bâtiments ou d'autres espaces adaptés. Nous ne pouvons pas permettre que ce projet avance sans exprimer notre opposition collective. Sacrifier notre territoire et son héritage agricole n'est pas une fatalité. Votre voix compte, et ensemble, nous pouvons protéger notre village, ses terres, sa biodiversité, son paysage et son avenir !68 sur 100 SignaturesCréée par Colonzelle : préservons nos Terres et Paysages !.
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NON au stade BMX à Annecy pour les championnats du monde de cyclisme 2027La Ville d’Annecy s'est portée candidate pour accueillir l'épreuve de BMX des championnats du monde de cyclisme 2027 et a envisagé en toute confidentialité, avec visiblement la volonté d’aller vite et de se dispenser de toute concertation des Annéciens, la construction pour l'événement d’un stade de BMX de 8600 places à Annecy-le-Vieux, devant l’Espace Rencontre. La volonté de rendre toujours plus attractif un territoire déjà saturé Alors qu’Annecy accueille plus de 3 millions de touristes et 400 événements par an, les championnats du monde de cyclisme 2027 ont pour objectif d’accroître toujours plus l’attractivité du territoire grâce à l’audience internationale de l’événement. Ce surtourisme se fait au détriment de la qualité de vie des Annéciens et de la possibilité de se loger à un prix abordable à cause du développement de l’offre de meublés touristiques comme Airbnb. La destruction d’un espace naturel riche en biodiversité Le site pour la construction du stade a été choisi pour pouvoir diffuser de belles images en mondiovision avec la forêt et les montagnes en arrière-plan, en passant par pertes et profits, mais surtout profits, la destruction d'un espace naturel riche en biodiversité, dans le prolongement du Bois des Glaisins, classé avec de nombreuses espèces protégées. Et tout ça, pour 15 malheureux jours de compétition ! Un gaspillage d’argent public Le BMX, s’il est un sport respectable, reste confidentiel et le stade ne doit servir après les championnats du monde qu’à une poignée d’adeptes dont on se sert pour cautionner le projet, alors que la ville d'Annecy dispose déjà d'une piste de BMX à Cran-Gevrier, pour laquelle un projet de rénovation était en cours, et manque par ailleurs de tant d’autres équipements. La construction d'un nouveau stade est un gaspillage d'argent public insupportable, alors que les épreuves peuvent très bien être relocalisées sur un site existant, comme à Saint-Quentin-en-Yvelines qui accueillera déjà les épreuves sur piste après l'abandon du projet de Vélodrôme Arena à La Roche-sur-Foron. De plus, la piste prévue à Annecy-le-Vieux sera construite en grande partie sur l'emprise d'espaces de stationnement que la Ville envisage de compenser, en toute vraisemblance par un parking silo dont le seul coût devrait s'élever à plusieurs millions d'euros. Un passage en force et un mépris du débat démocratique Le projet a été mené dans le plus grand secret par le Département de la Haute-Savoie et la Ville d’Annecy. Les élus annéciens ont été amenés à donner un avis de façon électronique entre le 4 et le 6 mars, seulement quelques jours après avec reçu une information sommaire sur le projet. En ce qui concerne la concertation des habitants, elle s’est limitée à une réunion d’information réservée aux seuls riverains, du moins ceux qui avaient eu la chance de recevoir une lettre d’invitation pour le moins évasive, sans que la presse soit conviée.337 sur 400 SignaturesCréée par LES GLAISINS D.
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NON A LA VAISSELLE EN PLASTIQUE DANS LES CANTINES SCOLAIRES !A travers cette pétition, nous appelons le gouvernement à renoncer à l’adoption de ce projet de décret* qui vise à autoriser la vaisselle en plastique dans les cantines scolaires et les lieux accueillant des jeunes enfants - dont le milieu hospitalier - en contrariété avec l’esprit de la loi. *Projet de décret portant modification de la définition des contenants alimentaires de cuisson, de réchauffe et de service mentionnée à l’article D. 541-338 du code de l’environnement ⚠️ Un retour en arrière dangereux pour la santé des enfants Les lois EGalim et Agec avaient interdit ces plastiques pour une raison simple : ils libèrent des substances toxiques au contact des aliments chauds, gras ou acides, mettant en danger la santé des enfants. Aujourd’hui, sous la pression des lobbies du plastique, plutôt que de préciser les termes de la loi et d’en défendre l’esprit, le gouvernement envisage de limiter son champ d’application via un projet de décret. Revenir en arrière, c’est exposer des millions d’enfants à des risques chimiques avérés ! ♻️ Une menace pour l’environnement Le plastique, même réutilisable, reste un polluant majeur. En réduisant les restrictions sur son usage, nous retardons encore l’objectif de réduction des déchets plastiques et contribuons à une crise environnementale déjà alarmante. Remettre du plastique dans les cantines, c’est faire un cadeau à l’industrie pétrochimique aux dépens de la planète. ✊ Nous demandons l’abandon immédiat de ce projet de décret ! Nous appelons le gouvernement à respecter l’esprit des lois EGalim et AGEC, et à renforcer les mesures visant à éliminer l’usage du plastique au profit d’alternatives sûres et durables. Nos enfants méritent mieux qu’une alimentation contaminée par des plastiques dangereux !19 593 sur 20 000 SignaturesCréée par Zero Waste France et Cantine sans plastique
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NON aux CSR, cessons de brûler du plastique !OPPOSITION AU PROJET D’INCINERATION DE CSR à Plouvara. « La société Kerval a déjà fait des présentations dans la majorité des différentes communes environnantes. Lors de ces rencontres, tous les points positifs ont été vendus aux élus. Cependant, il n’en est rien des impacts néfastes incombant à de tels projets industriels. » indique Pierre Sylvestre, Président de l’A.V.I.E. « Un commercial ne vous dira pas que son produit vendu peut impacter votre santé ou celle de vos enfants. », ajoute-t ’il. Les articles de journaux initiés par les principaux acteurs ont assuré que tous les voyants étaient au vert, avant même que les présentations de Kerval ne soient faites. Pour l’association de défense, c’est impensable d’être aussi sûr de la viabilité d’un projet, avant que la population ne soit consultée et au courant des risques encourus. Suite à la rencontre avec le maire de Plouvara et sa 1ère adjointe à qui les questions et craintes des riverains ont été exposées lors d’un entretien, le 29 janvier 2025, ce dernier a répondu « faire confiance aux industriels porteurs du projet » ; Est-ce vraiment une réponse entendable de la part d’un édile sur un sujet aussi important que la santé publique de ses riverains et des habitants des communes alentours ? Les gens se posent des questions, alors que les élus ne s’en posent apparemment aucune sur Plouvara. Il est intéressant de souligner, que les porteurs de projet Kerval, Mr Orveillon, directeur de la Communication, et Mr Moulin, ont assumé leur choix le 7 février 2025 dernier durant leur présentation avant le conseil municipal de Plerneuf : « oui nous allons polluer, mais nous respectons les normes ». Réalisant l’ampleur de ce projet sur la commune, se questionnant sur ses différents impacts induits, et constatant l’orientation unilatérale des porteurs de projet, quelques riverains ont décidé d’entamer des recherches et d’informer la population de manière plus complète. Il y a urgence car il sera bien trop tard à l'heure de l’enquête publique, pour commencer à mettre en lumière tout ce qu’on ne veut pas nous dire aujourd’hui. Les porteurs de projet nous annoncent une chaudière CSR traitant 33000 tonnes annuelles de “déchets non dangereux” souhaitant ainsi rassurer et se dédouaner d’entrer davantage dans les détails. Ces structures industrielles présentées comme des “Unités de Valorisation Energétique”, pour faire plus joli, ne sont rien de moins que des incinérateurs ! Si l’on vous parle de meubles, de plastiques, de papiers et cartons non recyclables, de textiles, qui vont servir à faire des CSR, on éveille peu la vigilance, les questionnements. Par contre, si l’on nous annonce : “Nous allons brûler des Parabens, Retardateurs de flamme, Phtalates, Bisphénols PVC, éthers de Glycol, PFAS, etc...”, les gens risquent de se poser davantage de questions, c’est embêtant pour continuer à vendre un projet tranquillement. Quant à évoquer la réalité des polluants sortants de l’usine, mieux vaut se retrancher derrière le fait que l’on va respecter la réglementation, plutôt que d’annoncer que l’on n’applique pas le principe de précaution qui voudrait que l’on vérifie la toxicité de toutes les substances qu’on laisse partir en fumée et en cendres, car c’est techniquement impossible. Donc on filtre ce que l’on peut ! On n'évoque pas les centaines de molécules non traitées car non réglementées. Ce sont autant de noms et de sigles qui ne parlent pas forcément à la majorité d’entre nous mais qui ont un impact fort sur notre santé, sur la vie de nos enfants et petits enfants. Les polluants sont dispersés par le vent pour les fumées et par lixiviation (Entraînement des sels solubles par l'eau qui circule dans le sol de haut en bas) pour les mâchefers qui servent en sous-couche routière ou en cimenterie. On les retrouve donc dans l’air, dans le sol, puis dans l’eau. Ils contaminent ensuite progressivement tous les organismes qui respirent, mangent, et boivent ! En résumé : Les végétaux, les animaux (sauvages, d’élevage et domestiques), et les humains. Et comme ils ont la faculté de s’accumuler, la consommation de ces végétaux et animaux contaminés nous contaminent un peu plus. On connait néanmoins certaines substances issues de la combustion des déchets, dont les études ont montré la nocivité : PFAS, Particules Fines et Ultra Fines, Polluants Organiques résistants, Dioxines, Furanes, Hydrocarbures Aromatiques Polycycliques, microplastiques, agrégats de métaux lourds... Tous se retrouvent dans les fumées, mâchefers et/ou REFIOM de sortie d’incinérateurs, et ont un impact sur la santé humaine et l’environnement. Certains sont reconnus cancérogènes, perturbateurs endocriniens, métaboliques et/ou immunitaires. Ils peuvent être, en fonction des doses d’exposition, facteur de malformation congénitales, de mortinaissances, d’infertilité, d’obésité, de diabète, voire mortels sur les animaux de laboratoire. Chez l’humain on peut les retrouver dans le lait maternel et le placenta, et par conséquent, déjà présents dans les organismes des nouveaux nés. Il faut savoir que pour produire de la tomate à l’échelle industrielle on produit hors sol dans des solutions nutritives artificielles et avec l’utilisation d’énergie supplémentaire pour un éclairage rose fuchsia vu à des kilomètres à la ronde ! A cela s’ajoute encore une fois une artificialisation des sols, rejoignant les 60000ha qui disparaissent chaque année en France. A l’heure où les Jeunes Agriculteurs peinent à avoir accès au foncier, comment peut-on laisser disparaître 15 hectares d’un seul tenant en fermant les yeux ? D’un point de vue économique pour les serres, il a été annoncé « des emplois pour nos enfants et petits-enfants», de l’ordre de 200 emplois à terme. Il faut rappeler que dans le schéma d’une serre industrielle, la main-d’œuvre est tout sauf locale. En France, chaque année, on a recours à une grosse proportion de main-d’œuvre étrangère chez les maraichers et légumiers, pour différentes raisons ; ces tâches agricoles sont souvent physiquement pénibles avec des conditions climatiques variables, un salaire relativement bas, et des logements inadéquats (précaires et surpeuplés). Nous espérons avoir convaincu et fédéré les signataires de cette pétition et nous vous remercions de l’intérêt que vous portez à notre démarche.2 667 sur 3 000 SignaturesCréée par Association L'A.V.I.E
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Stop au Greenwashing du bambou : un frein pour l’agriculture paysanneIl y a quelques mois, l’entreprise France Bamboo faisait l’acquisition de plus de 50 hectares de terres à St-Antonin-Noble-Val (Tarn et Garonne) pour y implanter une vaste monoculture de bambous géants. Sur le papier tout semble relever de la belle histoire, cette entreprise fondée en 2023 par deux associés issus de l’immobilier et de la finance, annonce sur son site internet, vouloir « s’associer à la nature, pour construire ensemble un avenir durable » et contribuer à la « lutte contre le réchauffement climatique » (1). S’appuyant sur la capacité des bambous à séquestrer le CO2, les promoteurs de cette monoculture se donnent pour mission de « recréer des puits carbone dans nos régions ». Derrière cette initiative charitable et verdoyante, se cache en réalité un véritable greenwashing qui trouve dans le récit de la transition écologique, un nouvel eldorado ! Planter des bambous ne contribuera pas à ralentir le réchauffement climatique et pourrait même l’aggraver. La monétisation du carbone ou l’illusion de la transition écologique La culture du bambou repose en partie sur un modèle économique illusoire : la vente de crédits carbone (produit financier adossé à la séquestration du CO2). Après la plantation de ses premiers hectares de bambous cette année, l’entreprise France Bamboo annonce ses ambitions industrielles basées sur ce système : « Ce n'est que le début ! Notre vision est claire : atteindre 1 500 hectares cultivés dans 10 ans et capturer 4,5 millions de tonnes de CO2 au cours des 20 prochaines années » (2). En se fondant sur ces chiffres et une fourchette basse du prix du carbone en 2030 (3), cette activité pourrait rapporter à l'entreprise plusieurs millions d’euros par an. Au-delà de ces chiffres de séquestration fantaisistes au regard de la littérature scientifique (4), cette activité est jugée totalement inefficace pour sauver le climat. De nombreux experts comme Jean-Marc Jancovici (5) ou encore récemment la Science-based target initiative (SBTi) du Pacte mondial des Nations-Unies (6) ont conclu que le système de la compensation et des crédits carbone s’avère aussi inefficace que dangereux. Il donne l’illusion aux entreprises qu’elles pourraient continuer à émettre toujours plus de gaz à effet de serre dans l’atmosphère sans dégrader le climat, simplement en plantant massivement des arbres ou du bambou pour compenser leurs émissions (pour plus d'informations). Un potentiel désastre pour la biodiversité et les sols Dans le même temps, l’exploitation du bambou géant, une espèce traçante et envahissante, représente un risque écologique majeur. Sa capacité à se propager dans les cultures avoisinantes et à envahir les écosystèmes locaux, notamment les berges de cours d’eau, menace la biodiversité. L’expansion de cette plante pourrait altérer les sols et causer la destruction des forêts adjacentes comme le révèle une étude scientifique (7). À St-Antonin-Noble-Val, le manque de garanties quant à la gestion de ces risques, ainsi que l’absence de plans clairs pour la remise en état des terres après l’exploitation, ne font qu’aggraver l’inquiétude des habitants. Le bambou n’est pas une culture adaptée à notre terroir et ses impacts à long terme sur les sols pourraient être dévastateurs pour les exploitations agricoles locales. La perspective de terres rendues inexploitables pour des années en raison des racines profondes et des rhizomes de bambous est inacceptable. Empêchons l’industrie du bambou de dévorer nos terres et menacer l’agriculture paysanne Le développement d’entreprises du bambou comme France Bamboo ou Horizom, qui ambitionne de planter prochainement 50 000 hectares de bambou sur des terres agricoles (8), illustre une dynamique industrielle qui mettra à mal l’équilibre écologique et social de nos territoires. Nous le voyons déjà dans les gorges de l’Aveyron, avec l'implantation de France Bamboo qui s’est concrétisée aux dépens de petits agriculteurs. C’est pourtant sur eux que repose l’agriculture de demain... Ces nouvelles générations, conscientes des enjeux écologiques, garantiront notre souveraineté alimentaire par la diversité et la résilience de leurs cultures. Alors qu’un quart des agriculteurs ont plus de 60 ans et que 13 millions d’hectares pourraient changer de propriétaire dans les dix prochaines années (9), l’arrivée de ces industriels est une réelle menace. La taille et le prix de vente des exploitations sont devenus colossaux et inaccessibles pour la majorité des jeunes paysans qui souhaiteraient s’installer. Un moratoire en urgence Face à ces menaces graves, nous demandons en urgence un moratoire sur toute nouvelle implantation de monoculture de bambou tant que les impacts écologiques et sociaux des implantations en cours n’auront pas été évalués dans la durée et de manière indépendante. Signez cette pétition pour refuser que nos terres soient traités comme un terrain d’expérimentation pour une course au profit sous couvert d’une fausse transition écologique. Pour aller plus loin, lire l'article du média Off Investigation.2 354 sur 3 000 SignaturesCréée par Collectif Stop Bambou
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NON aux EPR2 à Bugey, NON à 2 réacteurs de plus à côté de LyonNous dénonçons l’agrandissement du site nucléaire de Bugey qui entraine une surconcentration de rejets de gaz et effluents chimiques et radioactifs dans l’air et l’eau. Nous refusons toute nouvelle installation sur ce territoire à la fois agricole et industriel, territoire qui va être défiguré alors que le tourisme est un levier de développement des territoires voisins du département de l’Ain. Ces réacteurs mettraient en péril les eaux du Rhône dont nous dépendons tou.tes et la vie du fleuve, par sa consommation d'eau et par l'élévation de température, incompatibles avec l'évolution attendue à cause du dérèglement climatique. Compte-tenu de ces risques réels et des dégâts irréversibles sur la population et l’environnement, nous appelons EDF et le gouvernement à abandonner immédiatement le projet de construction de deux nouveaux réacteurs EPR2 à Bugey. Pourquoi faut-il agir maintenant ? Dangers environnementaux et industriels : Un cocktail explosif 1. La proximité des sites Seveso et le risque d’accident majeur. La centrale atomique actuelle avec ses quatre vieux réacteurs de 900 MW chacun en fonctionnement est située à côté du parc industriel de la plaine de l’Ain (PIPA) qui comprend quatre sites classés dangereux c’est-à-dire Seveso seuil haut. Ajouter 2 réacteurs deux fois plus puissants (1 670 MW chacun) à proximité de cette zone particulièrement sensible constitue un risque supplémentaire. En cas d'incident sur le site nucléaire actuel ou l'un de ces sites Seveso, les conséquences pourraient être aggravées, augmentant la probabilité d’accidents en cascade et d'un scénario catastrophe. Les réacteurs EPR en fonctionnement sont peu nombreux dans le monde et présentent des défauts de conception. Un accident majeur entraînerait l’évacuation de millions de personnes pour des décennies, et impacterait des villes comme Lyon ou Genève. En ignorant les leçons des catastrophes passées, telles que Fukushima ou Tchernobyl, l’État se montre irresponsable et expose la population à des dangers inutiles et inhumains. La sécurité des habitants, ainsi que celle des travailleurs de ces installations, serait gravement compromise par la cohabitation entre une nouvelle centrale nucléaire et ces infrastructures à hauts risques. 2. Le risque de rupture du barrage de Vouglans, sur l’Ain. Le site de Bugey est situé dans une zone vulnérable aux inondations, d’une part par le Rhône en cas de crue centennale, d’autre part par l’Ain, en cas de rupture du barrage de Vouglans (la troisième retenue d'eau de France) situé à environ 80 kilomètres du site nucléaire actuel et futur. 3. Risque de perte de source d’eau froide. Même si EDF se veut rassurant en ne parlant que de la consommation d’eau pour les aéroréfrigérants des EPR 2, il est acté que le niveau du Rhône va connaître de plus en plus de périodes avec des débits réduits en raison de la disparition progressive des glaciers qui l’alimentent. Un partage de la ressource en eau entre l’eau potable pour la métropole lyonnaise, les besoins croissants en irrigation agricole, les besoins des autres centrales nucléaires en aval et des autres industries sera nécessaire. Tous ces besoins seront plus importants à la même période, c’est à dire en cas de canicule et de sécheresse, et vont entrer en concurrence au moment où le Rhône sera au plus bas. Sans oublier, les usages faits par nos voisins suisses sur lesquels nous n’aurons aucun contrôle. Le site du Bugey avec les plus faibles débits du Rhône sur sa partie française, associés aux enjeux de biodiversité et des autres usages de l'eau, n'est pas approprié à l'installation de deux réacteurs EPR2 qui devraient fonctionner jusqu'au siècle prochain. Nous demandons à l'Etat de renoncer à ce projet. Nature et agriculture sacrifiées Ce projet d'EPR2 va accaparer directement 220 ha de terres agricoles, de zones naturelles et de carrières (initialement prévues pour être rendues à l'agriculture et à la nature) et indirectement 150 ha supplémentaires pour des logements, parkings, voiries ... De nombreux emplois non pérennes et non locaux Nous dénonçons également les discours trompeurs concernant les prétendus emplois créés, qui ne seront ni durables ni réellement locaux. Cette venue pour quelques années seulement de très nombreux travailleurs français et étrangers va déstabiliser le marché local de l'emploi (concurrence et hausse des salaires) et l'économie locale (envolée des prix des loyers, de l'immobilier, de la restauration, etc.). La fin du chantier aura un goût amer. Coût non maîtrisé, hausse du prix de l’électricité. Les EPR sont un fiasco industriel et économique avéré, comme en témoignent les retards et surcoûts astronomiques des projets en France et à l’étranger. Le coût de l’EPR de Flamanville est passé de 3,3 à 23,7 Mds d’Euros. La cour des comptes a calculé qu’il ne sera jamais rentable. Aucune industrie ne se lance dans un tel investissement sans en avoir assuré le financement et comme le coût des EPR2 ne cesse d’être revu à la hausse, la facture risque d’être salée pour les consommateurs. De plus, le coût du kilowattheure nucléaire dépasse désormais celui des énergies renouvelables, rendant cette technologie non seulement risquée mais également peu pertinente. Nous demandons au gouvernement d’abandonner ce projet dangereux et de privilégier des solutions énergétiques plus sûres et durables comme les énergies renouvelables. Une transition énergétique avec un mix basé sur les énergies renouvelables est possible, et essentielle pour assurer un avenir sûr et durable à notre région, tout en étant rapide à mettre en œuvre et générant de nouveaux emplois. La transition passe aussi par la rénovation des bâtiments, action génératrice d’emplois massifs et d’économies d’énergies. 💥 Citoyen·es du Bugey, d’Auvergne-Rhône-Alpes, de France nous devons pouvoir choisir l'avenir énergétique de notre région et pays, avec l'objectif de laisser un territoire sûr et viable à nos enfants. Mobilisez-vous à nos côtés pour dire NON à ce projet nucléaire imposé ! Nous avons l’opportunité d’affirmer notre opposition au projet et de faire prendre conscience largement des dangers qui pèsent sur notre territoire en participant largement au débat de la Commission Nationale de Débat Public (CNDP), ouvert du 28 janvier 2025 au 15 mai 2025. L’enjeu est de taille, mobilisons-nous ! 👉 Vite, il y a urgence, signez la pétition pour dire NON aux EPR 2 à Bugey et partagez-la autour de vous.3 346 sur 4 000 SignaturesCréée par COLLECTIF CONTRE LES EPR2 AU BUGEY S.
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Menace sur nos forêts: NON au projet de méga-scierie à Vichy agglomération !Il faut agir vite car une Déclaration de Projet a été votée en Conseil Communautaire en août 2024. Mais si la mobilisation est massive, les décideurs pourront encore revoir ou annuler le projet. Les enjeux sont considérables: Méga-scierie, méga-déforestation : Pour rentabiliser une méga-scierie, il faut abattre 15 à 20 ha de forêt par jour, à une époque où les arbres, gardiens du climat, sont déjà menacés par les feux de forêt, le réchauffement climatique et l’urbanisation. Dégradation des paysages et du cadre de vie : Le bois de Charmeil, l’un des derniers poumons verts de l'agglomération de Vichy, labellisé « cœur de nature », va être réduit et fragilisé par le projet, de même que les somptueux paysages forestiers de la Montagne Bourbonnaise. En cas de chaudières à bois, compter encore plus d’émissions de CO2 et de particules fines, et en cas de chimie du végétal, à la fois des nuisances, des pollutions, et un bilan carbone désastreux. Car au-delà de la méga-scierie, les porteurs de projet entendent installer « toute la filière bois » dans cette zone industrielle. Pollution de l’eau et des sols : Outre les conséquences sur la qualité de l'air, beaucoup de produits chimiques utilisés dans l’industrie du bois sont cancérigènes et/ou neurotoxiques, et viendraient aggraver la situation de nappes et de sols déjà pollués. N’oublions pas que même les eaux de Vichy sont dégradées par tous les projets industriels de l’agglomération. La nouvelle route à construire pour desservir le site prétend avoir pour objectif le contournement nord-ouest de Vichy. Mais les graves atteintes aux milieux naturels qu’occasionnerait ce projet routier (35 ha de zones humides impactés, entre le projet et sa desserte routière), ont suscité des mises en garde de l’Autorité Environnementale et du Conseil National de Protection de la Nature, ainsi qu'un avis défavorable de l’Enquête Publique. Des élus et des citoyens écartés du débat : manque de transparence, blocus de l’information en Conseil Communautaire, procédures bâillon, déni du droit d'accès aux documents communicables… Depuis le début, cette ré-industrialisation, qui s’habille de mots creux comme « vertueux » ou « durable », est opaque et bafoue les principes de la démocratie environnementale.64 sur 100 SignaturesCréée par Collectif Stop Méga-scierie à Montpertuis
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NON au projet de parc photovoltaïque sur une zone naturelle à Ménil !Le projet d'implantation d'un parc photovoltaïque à Ménil par l'entreprise IEL se situe sur le lieu dit de la Thuellière, et concernerait 12,2 hectares de terres agricoles (9 hectares de panneaux solaires implantés in fine). Le développement du parc photovoltaïque en France est important pour la transition énergétique, mais "le choix d’implantation doit se porter en priorité sur des surfaces déjà artificialisées et/ou dégradées (friches industrielles, anciennes carrières, sites présentant une pollution antérieure, zones industrielles ou artisanales...)" (Avis de l'ADEME, Mai 2022). Pourquoi sommes-nous contre ce projet, en tant que citoyen ? • La zone concernée est une ancienne zone agricole en zone humide, devenue zone naturelle (friche), elle présente de grands intérêts pour la biodiversité. • Malgré l'argumentation de l'entreprise IEL dans son étude d'impact concernant la biodiversité, l'implantation des panneaux solaires sur plus de 40% de la surface concernée aura forcément un impact sur la flore, et donc un impact sur la faune. De plus la présence d'un éclairage nocturne en permanence dans une zone naturelle préservée ne peut pas être considérée comme un impact négligeable. • Sur le volet agricole, implanter 40% de la surface au sol en panneaux solaires aura forcément un impact négatif sur la production d'herbe, et donc sur la qualité du pâturage (source INRAE, Christian Dupraz, couverture max recommandée de l'agrivoltaïsme de 25%) • Le projet agricole avancé par l'entreprise est flou. La création d'un élevage ovin géré par le lycée agricole pose de nombreuses questions quand à sa viabilité. • Le raccordement électrique est prévu de se faire à Fromentière, par câblage sous-terrain, à "13,1km" estimé par l'entreprise. Dans une logique d'économie d'énergie, ne serait-il pas plus pertinent de rapprocher le projet du point de raccordement ? L'enquête publique se termine ce vendredi 28 février... le délai est très court, mais nous avons bien l'intention de recueillir un maximum de signatures pour porter haut et fort l'avis d'une partie des citoyens locaux face à ce projet !! Vous pouvez également déposer une contribution personnelle à destination du commissaire enquêteur sur le registre du projet via ce lien : https://www.registre-dematerialise.fr/5906/246 sur 300 SignaturesCréée par Coquelico T.
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NON A L'ANTENNE RELAIS 5G A PROXIMITE DES HABITATIONSNous, habitants vivant autour du stade de l'Eperon, nous interrogeons sur le bien-fondé de l'implantation d'une antenne relais. Nous sommes choqués par l'acceptation de la proposition de SRR d'installer un pylône de 20 mètres de hauteur à proximité de l'école maternelle et primaire, des habitations, et du stade. Nous nous inquiétons des conséquences de l'exposition aux ondes électromagnétiques, notamment pour les personnes les plus vulnérables : nos enfants, dont le cerveau est en développement, ainsi que les personnes âgées ou malades. Afin de protéger notre santé, notre cadre de vie, nos paysages et notre environnement, nous demandons l'annulation de cette autorisation accordée à SFR.186 sur 200 SignaturesCréée par Jean Hugues I.
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Les transports publics gratuits, maintenant!Devenons des voyageurs & voyageuses sans tickets ! Billetterie et abonnements ne représentent pour Mulhouse Agglo que 15 % du coût total de la gestion de Soléa. Les 85 % restant sont fournis par l’impôt. Nous constatons que les réalisations partielles mise en place par l’intercommunalité ne répondent pas aux besoins. Les collectivités & l’État peuvent mieux faire ! Exigeons de nos élus-es locaux qu’ils & qu’elles assurent de nouveaux droits pour toutes & tous les usagers des transports publics : - Des liaisons rapides entre Mulhouse et les vallées vosgiennes, ainsi que le Sundgau ; - Des liaisons rapides avec l’Allemagne et la Suisse ; - Etendre le réseau Tram à Bollwiller, puis en direction du Sundgau, Ottmarsheim, Morschwiller… - Coordonner les correspondances entre Soléa & la SNCF ; - Améliorer les horaires pour les nuits, les dimanches & jours fériés, ainsi que les périodes de vacances scolaires. SAG (Sud Alsace Gratuité pour les transports publics) Collectif adhérent à l'UGDT Pour nous contacter : sag@mailusine.fr https://www.greenvoice.fr/assets/uploads/2025/02/carte-68-intercom_page-0001.jpg Carte des EPCI du Haut-Rhin au 1er janvier 2019. https://www.greenvoice.fr//assets/uploads/2025/02/Carte-de-France-des-transports-publics-gratuits_page-0001-e1740752046494.jpg1 508 sur 2 000 SignaturesCréée par jean-jacques G.
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