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Non au Surf Park à Talmont Saint-Hilaire.PÉTITION CITOYENNE Non à la méga-piscine de surf à Talmont-Saint Hilaire à Mesdames Cécilia Segarra et Mary-Lou Laurent qui portent le projet de la société «Les Frangines», à Madame Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition écologique, à Monsieur Maxence de Rugy, maire de Talmont-Saint Hilaire, à Madame Annick Billon, sénatrice de Vendée, à Madame Béatrice Bellamy, députée de la circonscription Roche Sud, à Monsieur Alain Lebœuf, président du Conseil départemental, à Madame Christelle Morançais, présidente du Conseil régional des Pays de la Loire, à Monsieur Fabrice Rigoulet-Roze, préfet de Région Pays de la Loire, à Monsieur Gérard Gavory, préfet de la Vendée. Le promoteur (Société Les Frangines) projette la création d'un complexe sportif avec une méga-piscine à vagues pour surfeurs à Talmont-Saint Hilaire, commune voisine des Sables d'Olonne. Le site est à 250 m de l'océan et très proche de spots de surf reconnus. Nous, collectif ACdevagues à Talmont et les citoyens pétitionnaires, - nous refusons l'artificialisation ou imperméabilisation de 7380 m² pour la construction d'une piscine à vagues de surf de technologie Wavegarden Cove complétée d'espaces commerciaux et de restauration en plus de la surface déjà occupée par l'aquarium. Cet ensemble jouxte une zone Natura 2000 qui risque d'être mise en danger par le bruit et les vibrations des pompes et moteurs (capables de générer de 300 à 600 vagues par heure), la fréquentation importante, l'organisation d'évènements et la circulation routière augmentée. Ce complexe utilisera de l'eau de mer dessalée sans que soient précisés le volume d'eau concerné ni la technique utilisée (opération énergivore et créatrice de déchets). En cas de fuite des bassins, il y a un risque de salinisation des sols du bois de La Mine situé en aval du projet Le permis de construire présente beaucoup d'approximations (traitement des eaux : présence de désinfectants ou pas, volume de pompage existant insuffisant, évacuations des vidanges et trop pleins dues aux fortes pluies inexistantes, consommation énergétique, présence d'une fosse de plongée de 40 m de profondeur, évaluation des incidences Natura 2000 ignorée pourtant obligatoire pour garantir la préservation de la biodiversité de ces zones protégées …) - nous refusons ce projet Illégitime et indécent moralement, socialement et écologiquement, au regard des détériorations climatiques et de l'atteinte à la biodiversité. Les scientifiques du monde entier le martèlent : il faut diminuer fortement notre pression sur l'environnement et donc s'interdire tout nouveau projet non-essentiel qui émet des gaz à effet de serre, consomme de l'eau et de l'énergie en grande quantité et bétonne la Terre. - nous refusons ce projet aberrant et anachronique à l'heure où l'urgence climatique, la préservation des ressources et de la biodiversité sont au centre des préoccupations mondiales. Notre futur dépend des décisions prises localement ici et aujourd'hui. Que dire de la présence d'un tel parc d'attraction à quelques minutes d'un site appelé à devenir « Grand site de France » ? La communauté de communes Vendée Grand Littoral a par ailleurs mis en place un Plan Climat Air Énergie Territorial dont l'objectif 5.1 est de «limiter l'artificialisation des sols sur le long terme, dans une logique d'économie circulaire et de solidarité territoriale». Alors, faut-il accepter ce projet inutile, non essentiel et énergivore qui risque d'accentuer une surpopulation déjà existante ? Tout ça à 250 m de l'océan, sans aucune étude environnementale sérieuse… Au vu de ces constats, nous demandons à Monsieur Maxence de Rugy, maire de Talmont-Saint-Hilaire et président de la Communauté de communes, d’agir auprès de la société « Les Frangines" pour qu’elle renonce à leur projet de surf park. Par ma signature, moi aussi je dis non à la méga-piscine à vagues de Talmont Saint Hilaire. Pour continuer à être informé Facebook et Instagram : ACdevagues Talmont Saint Hilaire.1 557 sur 2 000 SignaturesCréée par AC de vagues à Talmont C.
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Pour des conditions d’apprentissage dignes à l’école à LyonUne école inadaptée : un frein à l’apprentissage Les vagues de froid, les périodes de canicule prolongées et les températures extrêmes affectent la concentration des élèves et rendent les conditions de travail des enseignant·es et du personnel des écoles plus difficiles. Ces situations extrêmement difficiles en été à cause du manque d'adaptation et d'isolation du bâti vont s'aggraver avec les conséquences du réchauffement climatiques Un gaspillage énergétique évitable Alors que notre école est encore chauffée au gaz ou au fioul, une énergie fossile très émettrice de gaz à effet de serre, il y a aussi une surconsommation énergétique, liée à une mauvaise isolation et à des équipements vieillissants, ce qui alourdit inutilement la facture de notre commune. Pourtant, des solutions existent : une rénovation énergétique de notre école permettrait de réduire drastiquement la consommation d’énergie, tout en améliorant le confort quotidien des élèves et du personnel éducatif. Nous demandons : De manière urgente : • La mise à disposition publique du DPE • L'organisation d'un audit énergétique • Publier cet audit énergétique et de s’engager sur un plan d’action d’ici [date] • De trouver une solution d’urgence pour permettre la tenue des cours dans les cas de grand froid/grand chaud • autre A plus long terme, De faire de notre école un moteur de la transition écologique, au service du bien-être des élèves et du corps enseignant, et garants d’un avenir meilleur, avec par exemple la mise en place : • d’une étude de faisabilité pour installer des panneaux solaires sur les toits du/des bâtiments de l’école • d’un DPE A, B ou C • d’une cour végétalisée pour lutter contre les îlots de chaleur urbains Nous demandons à nos élus de prioriser la rénovation énergétique des écoles et d’y consacrer les moyens nécessaires. Ensemble, faisons de notre école un lieu exemplaire, à la fois respectueux de la planète et garant d’un avenir meilleur pour les générations futures. Signez cette pétition pour dénoncer la situation actuelle et soutenir la rénovation thermique de notre école !5 sur 100 SignaturesCréée par Maelis L.
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DEMANDE DE SUSPENSION DU CONTRAT OLYMPIQUE ALPES 2030Parce que le projet JEUX OLYMPIQUES ET PARALYMPIQUES 2030 aura un très fort impact sur l’environnement, notamment sur les écosystèmes montagnards fragiles et encore fragilisés par le réchauffement climatique. Parce que, accentuant encore notre dépendance au tourisme lié à la neige, il accroît la vulnérabilité de l’économie montagnarde au réchauffement climatique. Parce qu’il est en totale contradiction avec notre constitution et des conventions internationales, les présidents des régions AURA et PACA et le CNOSF, porteurs du projet J.O.P. 2030 n’ayant à aucun moment respecté leurs obligations d’information et de consultation du public. Parce que les garanties financières exorbitantes exigées par le C.I.O. et les financements publics très conséquents qui vont être engagés par l’État et les régions AURA et PACA, doivent être débattues et validées par des représentantes et représentants du peuple souverain. Parce que l’aberration environnementale, le déni démocratique et la gabegie financière constitutifs du projet J.O.P. 2030 ne doivent pas, ne peuvent pas rester sans réponse ni action. Pour toutes ces raisons, nous, Collectif Citoyen JOP 2030, engagé(es) en faveur de la démocratie et de la transparence de la vie publique, allons déposer une « péti-motion » auprès du COJOP 2030, et de la région AURA, le 16 mai 2025 demandant la suspension du projet J.O.P. 2030 le temps que soit organisée une véritable consultation du public sur l’ensemble du projet.3 840 sur 4 000 SignaturesCréée par Collectif Citoyen JOP 2030
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Aéroport de St Etienne - Loire : STOP au gaspillage d’argent publicUN AEROPORT INUTILE DE TROP Cette année 2025, ce sera encore 1,2 millions d’€ injectés dans cet aéroport fantôme. Or, depuis 2017, aucune ligne régulière ne dessert l’aéroport. Et pour cause, l’aéroport international de Lyon St Exupéry (10,5 millions de passagers/an) n’est qu’à 90 km. Mais, pour les élus locaux, qu’importe les réalités socio-économiques, il en va de « l’image de marque » du territoire. UN PUITS SANS FOND Chaque année, des millions d’€ sont versés par le Département de la Loire, St-Etienne Métropole, Loire Forez Agglomération, CC Forez-Est et la CCI. Avec le désengagement de l’Etat, c’est plusieurs centaines de milliers d’€ qui vont alourdir davantage les charges de cet aéroport. DES FINANCEURS EN DIFFICULTES BUDGETAIRES Avec les difficultés financières du Département de la Loire (principal contributeur financier de l’aéroport) qui souhaite se recentrer sur ses compétences obligatoires, les administrateurs de l’aéroport en appellent désormais à la générosité de la Région Auvergne Rhône-Alpes pour alimenter ce tonneau des Danaïdes. Demander à la Région qu’elle sauve cet aéroport fantôme est une provocation dans un contexte de contraintes budgétaires croissantes. LA PRIORITE, C'EST LA MOBILITE DU QUOTIDIEN, PAS L'AVION Car en matière de mobilité, la priorité est toute autre pour les ligériens : tous les jours, 80 000 véhicules bouchonnent aux portes de St-Etienne sur l’A72, faute de transport en commun suffisamment calibré. La Région, responsable des mobilités, laisse se dégrader le train de banlieue forézien qui transporte 350 000 passagers/an avec son lot de retards, annulations, manque de places. Beaucoup préfèrent prendre la voiture dans des conditions de circulations difficiles plutôt que de prendre le risque d’utiliser le TER trop peu fiable. La Région doit agir en faveur des salariés, lycéens et étudiants qui prennent le train et désirent simplement arriver à l’heure au travail ou en cours. La priorité n’est pas d’aider des footballeurs ou des excursionnistes à voyager avec plus de confort. POUR LA DEFENSE DES SERVICES PUBLICS LIGERIENS REELLEMENT NECESSAIRES Les subventions en faveur de l’aéroport doivent être réaffectées sur d’autres politiques publiques plus urgentes : - fiabiliser l’offre train TER entre le Forez et St Etienne (Région AURa) - aider les maisons de retraites et les collèges en déficit (Département de la Loire) - accélérer le projet de Service Express Régional Métropolitain (St-Etienne Métropole) - intégrer un volet mobilité au Plan d’Urbanisme Intercommunal (Forez-Est) - développer des pistes cyclables dans la centralité montbrisonnaise (LFA) POUR UNE MEILLEURE UTILISATION DE L'ARGENT PUBLIC À travers cette pétition, nous souhaitons ouvrir un débat sur l’usage des subventions publiques et la définition même du service public local. Nous déplorons que la séance de débat budgétaire du syndicat de l’aéroport soit prononcée à huis-clos pour empêcher le public d’assister aux échanges. Signez cette pétition pour demander une gestion transparente et plus utile de l’argent public dans le Sud-Loire. Non au gaspillage des fonds publics ligériens dans l’aéroport de St Etienne Loire. Non à l’intervention financière de la Région pour sauver coûte que coûte cet aérogouffre.475 sur 500 SignaturesCréée par Forez Agir
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Protégeons la nappe phréatique de CampbonLa mise en place de cet entrepôt logistique est un non sens au vu de la trajectoire de réduction des émissions de gaz à effet de serre que la France se doit d'atteindre. La zone choisie pour cette implantation est - loin des axes routiers (7km) - à proximité immédiate d'un bourg (500m du pôle enfance, 300m d'un foyer d'accueil pour personnes agées) - sur un périmètre PROTEGE (arrêté préfectoral du 8 août 2000) de toute extension d'activité industrielle en raison de la présence de la nappe phréatique Cette nappe contribue à une alimentation en eau de qualité de l'ensemble du bassin nazairien ainsi que prochainement du sud Loire. Nous demandons l'annulation de l'autorisation d'exploitation de cette plateforme. Un recours gracieux a été envoyé au préfet début avril. Il a deux mois pour se prononcer. Mobilisons nous afin d'exiger des études d'impact : nous ne voulons pas d'un Bolloré Logistic ou d'un nouveau Lubrizol qui mettrait en danger la santé des riverains et de l'ensemble des habitants alimentés en eau potable.16 sur 100 SignaturesCréée par ANTOINE G.
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Rendez les subventions 80,000 € à FNE, LPO & Arthropologia, Mr le président du Rhône !Cette décision, qui représente un retrait total de 80 000 € de subventions, aura des conséquences concrètes sur des actions de terrain menées depuis de nombreuses années au service de l’intérêt général. Ces associations environnementales jouent un rôle essentiel dans la sensibilisation du public, l’éducation à l’environnement, la préservation de la biodiversité, et le dialogue avec les collectivités territoriales. Elles sont composées de scientifiques, de naturalistes passionnés et de bénévoles investis, qui œuvrent dans un esprit de collaboration et de construction positive. A l'heure où la crise environnementale s'accélère, il est essentiel de donner à ces acteurs la possibilité d'agir concrètement sur le terrain pour préserver la biodiversité et nos conditions de vie. Signez la pétition (cochez la case "oui, tenez-moi au courant" pour recevoir nos emails et avancer ensemble sur la suite de la campagne) et interpellez monsieur Christophe Guilloteau. Merci pour votre soutien Sources : - Communiqué de presse de France Nature Environnement Rhône, LPO et Arthropologia - Article du Monde, 15 avril 2025365 sur 400 SignaturesCréée par Fabrice B.
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Non au projet photovoltaïque au sol au sein du hameau Tout Vent à Maurens !- Un projet qui est né en janvier 2024, sur une prairie de 13 730 m² appartenant à un particulier ne résidant pas sur la commune. Cette dernière est classée ZAEnR (zone d’accélération des énergies renouvelables) en octobre 2024, sans concertation préalable des riverains. - Un projet qui échappe à nombre de procédures depuis la loi n°2023-175 du 10 mars 2023 : en raison de la taille et de la puissance de la future centrale photovoltaïque (964 kWc par an), aucune demande de permis de construire n'est nécessaire. Aucune étude environnementale ne sera par ailleurs effectuée, une demande de dérogation au cas par cas ayant déjà été formulée et acceptée. Alors même que le site se situe à proximité des bois et d'un ruisseau, en contrebas. - Une altération irréversible de notre paysage : l'installation de panneaux photovoltaïques au sol va venir sacrifier notre environnement, modifiant profondément l'identité visuelle de notre lieu-dit et dénaturant le cadre paisible et harmonieux qui prévaut jusqu'à maintenant. - Une menace pour la biodiversité locale : ce projet va perturber les écosystèmes naturels environnants, mettant en danger la faune et la flore locales qui contribuent à l'équilibre écologique. - Un projet lourd de conséquences pour les riverains : * nuisances visuelles : dégradation significative du paysage local, reflet éblouissant du soleil sur les panneaux * nuisances sonores : bruit permanent émis par les transformateurs électriques, onduleurs, ventilateurs, certaines maisons et jardins environnants étant situés à quelques mètres seulement des futures infrastructures * hausse des températures ressenties à proximité * risque d’incendie accru au sein d’une zone boisée et habitée * routes locales non adaptées aux travaux envisagés. - Un bénéfice dérisoire pour la commune : ce projet rapporterait à la commune moins de 700€ de loyer par an... Cette somme est bien négligeable au regard des enjeux économiques, écologiques et patrimoniaux pour notre communauté. - Ne laissons pas cet héritage à nos enfants : en autorisant ce type de projet, nous risquons de léguer à nos générations futures un territoire appauvri, dénaturé, dépourvu de richesses naturelles et culturelles. - Des alternatives existent : il est parfaitement possible de développer les énergies renouvelables tout en préservant notre environnement naturel, en favorisant les installations sur des terrains incultes, dégradés ou artificialisés, sur des friches industrielles, les toitures de bâtiments (publics ou privés), les parkings de supermarchés ou d'autres espaces adaptés. Nous ne pouvons pas permettre que ce projet avance sans exprimer notre opposition collective. Votre voix compte, ensemble nous pouvons protéger notre environnement, nos villages, nos espaces naturels, sa biodiversité. Et c’est maintenant qu’il faut montrer notre détermination. Ce que nous ferons pour Tout Vent aujourd’hui évitera peut-être une prolifération de ce type de projet en contradiction complète avec l’esprit et les valeurs prônés par les énergies renouvelables.183 sur 200 SignaturesCréée par FABIENNE M.
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Un désastre écologique dans les AlpesDans un contexte de crise climatique mondiale, alors que chaque euro et chaque décision publique doivent s’inscrire dans une logique de sobriété écologique, le chantier de la ligne ferroviaire Lyon – Saint-Jean-de-Maurienne du projet Lyon-Turin illustre tragiquement l’exact opposé. Ce projet, dont la légitimité repose sur des hypothèses vieilles de 35 ans, cumule aujourd’hui surcoûts, retards abyssaux, et surtout, des effets environnementaux désastreux qui en font une aberration climatique et écologique. 1. Une atteinte irréversible aux écosystèmes alpins La construction des 190 km de tunnels nécessaires à ce projet, notamment sous les massifs de Belledonne et de Chartreuse, va entraîner : • La destruction massive de terres agricoles : ces zones, déjà rares dans les vallées alpines, seront bétonnées à jamais, menaçant la souveraineté alimentaire locale. • La fragmentation et la disparition d’habitats naturels : l’écosystème alpin, riche mais fragile, sera irrémédiablement perturbé par les travaux, les pollutions sonores, lumineuses et les poussières générées. • L’assèchement ou la pollution de nombreuses sources d’eau : les chantiers ont déjà montré leur capacité à altérer durablement les nappes phréatiques, au risque d’impacter la biodiversité aquatique et l’usage humain. • L'émission massive de gaz à effet de serre : le creusement des tunnels générera à lui seul plus de 10 millions de tonnes de CO₂, une empreinte carbone impossible à compenser avant 2067 voire 2092 selon les estimations officielles – et ce, dans le meilleur des cas. 2. Un projet dépassé par les réalités technologiques et climatiques Les arguments avancés dans les années 1990 pour justifier cette nouvelle infrastructure sont aujourd’hui caducs : • Le fret routier est en pleine mutation : les camions électriques et hydrogènes, imposés par les normes européennes de 2024, représenteront la majorité du trafic dès 2040. L'avantage écologique du rail s’amenuise fortement dans ce contexte. • Les prévisions de trafic étaient fausses : contrairement aux projections alarmistes de saturation, le trafic fret transalpin est resté quasi stable depuis 30 ans. La voie historique du Fréjus, modernisable à moindre coût, reste sous-utilisée. Construire aujourd’hui une ligne aussi coûteuse pour une promesse climatique dans… 60 ans, c’est tout simplement irresponsable. 3. Une dépense publique ruineuse et injustifiée Le coût de la seule portion française Lyon–St Jean-de-Maurienne est désormais estimé à plus de 15 milliards d’euros, soit trois fois les estimations initiales. Cet investissement : • Ne profite pas aux usagers du quotidien, notamment les 2 millions d’habitants de la région Rhône-Alpes qui subissent encore des voies ferrées vétustes, lentes, à voie unique (entre Lyon, Chambéry, Annecy, Grenoble). • Ignore les recommandations des institutions : la Cour des Comptes européenne, le Comité d’Orientation des Infrastructures (COI) ou encore la jurisprudence récente sur les projets A69 et A680 pointent tous les failles écologiques, juridiques et économiques du projet. • Viole les principes fondamentaux de la Déclaration d’Utilité Publique, désormais obsolète (2013) et juridiquement fragile au regard des atteintes à la biodiversité. 4. Une alternative rationnelle existe Plutôt que creuser des tunnels pour un projet livré en 2045 (ou 2050 ?), des solutions de bon sens sont proposées : • Moderniser l’axe Dijon – Ambérieux – Modane, déjà fonctionnel. • Doubler les voies existantes sur les tronçons clés (Lyon–Chambéry, Aix–Annecy). • Investir dans des infrastructures TER fiables pour les trajets du quotidien. • Réduire massivement les émissions dès 2030, sans attendre 2092. Avec 12 milliards d’euros d’économie à la clé, ces solutions permettent un impact écologique positif immédiat, tout en répondant réellement aux besoins des habitants. Conclusion Le projet Lyon–Turin, dans sa portion française, n’est pas un projet d’avenir. C’est un héritage du passé, une vision centralisée et productiviste des grands travaux, déconnectée des urgences climatiques contemporaines. À l’heure où chaque euro public doit être un levier vers un monde soutenable, continuer ce chantier revient à investir dans un désastre écologique dont nous ne pourrons ni racheter le coût environnemental, ni effacer les cicatrices laissées dans nos montagnes.73 sur 100 SignaturesCréée par philippe S.
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Non au projet de doublement de l'incinérateur de Nantes de la Prairie de MauvesINCINÉRATEUR XXL À NANTES 🔴 Des centaines de camions supplémentaires, avec la surpopulation touristique l’été de la côte vendéenne et la presqu’île Guérandaise 🔴 Un danger pour notre santé et celle de nos enfants : particules fines, métaux lourds, dioxines, PFAS… 🔴 Un risque pour la biodiversité et le futur « éco-quartier » de 2700 logements de Doulon-Gohards 🔴 Un projet imposé, un débat biaisé, sans réelle concertation Vers un fiasco financier et écologique porté par les élus Nantais ? ❌ Le système Tri’Sac fierté nantaise depuis 2013 (en cours de démantèlement) a coûté plusieurs dizaine de millions d’€, sans jamais avoir fonctionné correctement. ❌ Une aberration écologique défendue par ceux-là mêmes qui se disent écologistes et qui ont laissé les ressourceries existantes fermer. ❌ Un projet annoncé à 270 Millions en 2022 , 310 Millions avec les coûts annexes, combien demain ? Des Alternatives Existent : ► Le développement du tri des déchets à la source doit être une priorité. ► Plus de ressourceries, c’est moins de déchets ► La centrale de Cordemais (près de Nantes) pourrait accueillir une unité de valorisation énergétique hors zone urbaine 📢 REJOIGNEZ-NOUS, FAITES ENTENDRE VOTRE VOIX Une réunion publique est prévue début juillet 2025, et l'enquête publique en fin d'année 2025. Il est urgent de se mobiliser ! Nous demandons : - L’abandon du projet de doublement de l’incinérateur de la Prairie de Mauves - La prolongation de la durée de vie de l’incinérateur actuel pour une dizaine d’années (scenario 1 du dossier de la concertation préalable) : elle permet de temporiser et de mettre à profit ce temps pour : • ne pas lancer un projet surdimensionné (tout axé sur l’incinération) et engager l’avenir pour 40 ans ; • mettre en œuvre une politique audacieuse de réduction des déchets à incinérer : tri des déchets à la source, ressourceries. L’argent public doit y être orienté plutôt que de privilégier l’incinération ; • évaluer la baisse du volume des déchets : tri des biodéchets, abandon du système Tri’Sac,… ; • attendre les conclusions du point d’étape du PRPGD (Plan Régional de Prévention et de Gestion des Déchets) ; • connaître les conclusions des études sur les PFAS (polluants éternels) générés par l’incinération. - Une politique locale des traitements des déchets de la part de tous les acteurs du projet : la construction d’incinérateurs plus petits, mieux maîtrisables, moins dangereux au plus près des lieux de production. La centrale de Cordemais (près de Nantes) pourrait accueillir une unité de valorisation énergétique hors zone urbaine.71 sur 100 SignaturesCréée par Pascal P.
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Pour des conditions d’apprentissage dignes à l’école à ParisUne école inadaptée : un frein à l’apprentissage Les vagues de froid, les périodes de canicule prolongées et les températures extrêmes affectent la concentration des élèves et rendent les conditions de travail des enseignant·es et du personnel des écoles plus difficiles. Ces situations extrêmement difficiles en été à cause du manque d'adaptation et d'isolation du bâti vont s'aggraver avec les conséquences du réchauffement climatiques Un gaspillage énergétique évitable Alors que notre école est encore chauffée au gaz ou au fioul, une énergie fossile très émettrice de gaz à effet de serre, il y a aussi une surconsommation énergétique, liée à une mauvaise isolation et à des équipements vieillissants, ce qui alourdit inutilement la facture de notre commune. Pourtant, des solutions existent : une rénovation énergétique de notre école permettrait de réduire drastiquement la consommation d’énergie, tout en améliorant le confort quotidien des élèves et du personnel éducatif. Nous demandons de manière urgente : • La mise à disposition publique du DPE • L'organisation d'un audit énergétique • Publier cet audit énergétique et de s’engager sur un plan d’action d’ici [date] • De trouver une solution d’urgence pour permettre la tenue des cours dans les cas de grand froid/grand chaud • ... A plus long terme, nous souhaitons faire de notre école un moteur de la transition écologique, au service du bien-être des élèves et du corps enseignant, et garants d’un avenir meilleur, avec par exemple la mise en place : • d’une étude de faisabilité pour installer des panneaux solaires sur les toits du/des bâtiments de l’école • d’un DPE A, B ou C • d’une cour végétalisée pour lutter contre les îlots de chaleur urbains Nous demandons à nos élus de prioriser la rénovation énergétique des écoles et d’y consacrer les moyens nécessaires. Ensemble, faisons de notre école un lieu exemplaire, à la fois respectueux de la planète et garant d’un avenir meilleur pour les générations futures. Signez cette pétition pour dénoncer la situation actuelle et soutenir la rénovation thermique de notre école !5 sur 100 SignaturesCréée par Elodie F.
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Hellfest : une extension jusqu'à PLU soif ?Le saviez-vous ? Le site actuel du festival est situé à 95 % sur des terres agricoles et des zones humides : zonages sur lesquels l’artificialisation des sols est strictement interdite. Et pourtant, des enrobés et du béton ont été coulés partout sur le site, pour les besoins du festival… sans permis de construire ! La situation est désormais embarrassante pour les services de l’État qui ont fermé les yeux pendant 10 ans : le deuxième festival de France est en situation d’illégalité sur son occupation du territoire ! Et si la révision du PLU était leur porte de sortie ? Ce nouveau PLU proposé par la mairie de Clisson prévoit : - la transformation de 15,4 ha de terres agricoles (dont 2 ha de zones humides classées) en "zone de loisirs" à l'année, au profit de Hellfest Productions - une extension du site à l’année, sur de nouvelles zones agricoles, en impactant toujours les zones humides et le versant de la Moine, portant la surface du site à 21 ha (sans compter les 40 ha de parkings également en zone agricole sur la commune de Gorges) - l'autorisation de nouvelles constructions sur le site actuel et au-delà et l'imperméabilisation des sols jusqu'à 70%. Le projet de Hellfest Productions est d'installer un parc d’attractions ouvert toute l’année : manèges, attractions, brasserie, hôtellerie, parkings… La plupart des terres agricoles ne leur appartiennent pourtant pas, mais sont louées à différents propriétaires, voire occupées illégalement. Il n’y a eu aucune concertation avec les habitant·es pour ce projet touristique gigantesque, ni évaluation de ses impacts sur l’environnement, les transports, le logement, le commerce de centre-ville, la vie culturelle locale, la sécurité... dans une petite ville de 7500 habitant·es. La mairie de Clisson a déjà accordé un permis de construire et autorisé l’ouverture de la brasserie Hellcity, ouverte 7j/7 pour 600 couverts, alors que l'assainissement n'est pas aux normes ! La station d’épuration de Gorges ne semble même pas dimensionnée pour ce projet, pourtant validé par la Ville de Clisson ! Les enjeux sanitaires et environnementaux sont très préoccupants. Les nuisances sonores de la brasserie se font déjà entendre, y compris le dimanche… mais les riverain·es ont peur de se fâcher avec le patron du Hellfest, Benjamin BARBAUD, à qui tout a été permis pendant des années, et à qui les autorités s’apprêtent aujourd’hui à dérouler le tapis rouge des autorisations et « mises en conformité ». En plus du site du festival, la Chambre d’agriculture a laissé faire la dégradation de 37 ha de zones agricoles sur le site sensible de l’Oiselinière à Gorges, transformé en 2ème plus grand parking de France après celui de Disneyland. Une antenne 5G sur une zone humide à Gorges est en projet pour satisfaire la consommation des usagers à venir sur le site... Jusqu'où ça va aller ? Si les terres agricoles actuellement occupées illégalement sont transformées en "zone de loisirs", ce ne pourrait être que le début ! Mme LUNEAU, maire de Clisson, M. CORNU, président de Clisson Sèvre et Maine Agglo, M. RIGOULET-ROZE, préfet de Loire-Atlantique et des Pays de la Loire, Nous, collectif citoyen et habitant·es du territoire, vous demandons de ne pas laisser Hellfest Productions, déjà hors-la-loi, poursuivre son expansionnisme, sans d'abord concerter les Clissonnaises et Clissonnais. Il ne s'agit pas d'une opposition à l’événement ponctuel qu’est le festival Hellfest. Un festival de 4 jours pourrait parfaitement laisser réversibles les terres agricoles et les sols - qui sont des biens communs. Il s’agit de réclamer un moratoire, un référendum sur l’avenir de Clisson, qui n’est pas seulement une « Rock City », et dont les habitant·es ne souhaitent pas qu’elle devienne le « Puy du Fou du métal ». Les Clissonnaises et Clissonnais vivent ici pour le cadre de vie préservé, la nature, les rivières, la tranquillité, le patrimoine, la diversité et la richesse de la vie associative, les commerces de proximité… qui sont d’ores et déjà menacés par les projets démesurés de Hellfest Productions. Mme LUNEAU, maire de Clisson, M. CORNU, président de Clisson Sèvre et Maine Agglo, M. RIGOULET-ROZE, préfet de Loire-Atlantique et des Pays de la Loire, Merci de revoir les ambitions d'expansion et de développement à l'année du site du Hellfest et de prendre au sérieux les avis éclairés de la MRAE (Mission Régionale d'Autorité Environnementale), des associations environnementales et des habitant·es. Merci de défendre l’intérêt général des habitant·es, et les biens communs que sont les sols, l'eau, la faune et la flore, devant les intérêts financiers d’une minorité. Merci de revenir sur les permissions et expansions accordées aux projets de développement de Hellfest Productions dans le cadre du nouveau PLU. Merci de programmer : - de réelles études d’impact environnemental sur les sites concernés et ceux à proximité - une concertation avec les habitant·es et pas seulement les riverain·es sur l’impact d’un tel projet sur la commune de Clisson, et plus largement sur le territoire du Vignoble nantais : assainissement, mobilités et transports, commerces, tranquillité publique, sécurité etc. - une étude globale de l’impact d’un parc d’attractions à l’année dans le cadre de la révision du SCoT (Schéma de Cohérence Territorial : enquête publique en mai) - la demande de réparation à Hellfest Productions pour les atteintes environnementales avérées, notamment la restauration des espaces naturels et agricoles dégradés - la suspension de l’autorisation d’ouverture de la brasserie Hellcity, en attendant la mise en conformité de l’assainissement, pour des raisons de sécurité sanitaire et environnementale. Enfin, merci de traiter Hellfest Productions comme chacun·e d’entre nous, sans passe-droit ni complaisance. Il en va de votre crédibilité en tant que représentant·es de la République et garant·es du respect de la loi et de l’ordre public. Lien vers le dossier de Mediapart sur ce sujet ici. Enquête publique sur le PLU avant le 2 mai : c'est important de donner notre avis en rencontrant le commissaire-enquêteur en mairie ou en lui écrivant. Infos ici.1 467 sur 2 000 SignaturesCréée par Collectif C.
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Préservons les espaces naturels du lac des Garrigues et de la vallée de la Mosson (Montpellier) !1. STOPPONS LE DÉCLASSEMENT DES ESPACES BOISÉS DU LAC DES GARRIGUES ET DE LA MOSSON ! • Le lac des Garrigues, situé au cœur des Hauts de Massane dans le quartier de la Mosson à Montpellier, est entouré d'un espace boisé classé (EBC) de 9 hectares. Cet environnement abrite une biodiversité exceptionnelle, avec de nombreuses espèces animales et végétales, dont certaines protégées. La coulée verte reliant le lac à la rivière Mosson constitue un corridor écologique essentiel permettant la circulation de la faune et la dispersion de la flore. • Pourtant, la mairie de Montpellier envisage de déclasser cet espace en le faisant passer d'EBC à EVP2 (Espace Vert Protégé de niveau 2), autorisant ainsi 5% de constructions, une première étape vers une urbanisation possible à l'avenir. • Une telle décision signifierait une perte irréversible pour la nature et les habitants. Les inventaires naturalistes menés régulièrement autour du lac des Garrigues ont révélé la présence d'espèces protégées, comme : • Le Lézard ocellé (Timon lepidus), espèce rare et protégée en France • La Cistude d'Europe (Emys orbicularis), une tortue aquatique en danger • Le Chardonneret élégant (Carduelis carduelis), une espèce classée sur la liste rouge des espèces menacées, dont la population a chuté de plus de 30 % en 20 ans. À ce rythme, il est possible que nous ne puissions bientôt plus entendre leurs chants mélodieux. • De nombreux rapaces et passereaux protégés, témoignant de la richesse écologique du site. • Des chiroptères (chauves-souris) protégés, qui dépendent des espaces boisés pour leur habitat et leur alimentation. La zone allant du lac des Garrigues à la rivière Mosson constitue une trame noire essentielle pour ces chauves-souris, c’est-à-dire une zone exempte de pollution lumineuse permettant leur déplacement et leur alimentation. • Un déclassement prélude à une urbanisation rampante : en effet, le passage en EVP2 offre moins de protections, car il autorise jusqu'à 5 % de constructions sur la surface concernée, ouvrant ainsi la porte à la bétonisation. • Un espace naturel déjà affecté par : • L'installation en lettres capitales de 2 m de haut d'un gigantesque « COUCOU » façon HOLLYWOOD et d’autres structures inutiles sur un flanc de la vallée, ainsi que deux énormes damiers géants rose bonbon. • Le pompage de l’eau de la Mosson par le golf de Juvignac et le stade, sachant que notre région connaît régulièrement des épisodes de sécheresses sévères et que, en période de basses eaux, le cumul de ces prélèvements sur une même rivière peut s'avérer néfaste pour l'écosystème aquatique 2. UN PROJET INCOHERENT : LA DESTRUCTION DES TENNIS POUR BETONISER • Le projet prévoit également la destruction partielle du site des tennis pour y construire un bâtiment abritant entre autres une guinguette, situés en pleine pinède près du lac des Garrigues. • Ce club de tennis, rénové en 2022 pour 113 500 € d’argent public (du moins officiellement), joue un rôle clé dans la vie sociale du quartier en offrant : • Un espace de mixité sociale et culturelle, favorisant les échanges entre habitants • Un encouragement au sport féminin, permettant à de nombreuses jeunes filles d’accéder à la pratique sportive • Une opportunité de développement personnel pour les jeunes du quartier, les aidant à grandir dans un environnement sain et dynamique L'association "Fête le Mur" de Yannick Noah, qui gère le club, témoigne de son impact positif sur les enfants et adolescents, les aidant à s'épanouir et à accéder à des compétitions. • Détruire ces infrastructures va à l'encontre des engagements municipaux en faveur du sport et de la jeunesse. • Un risque écologique et environnemental majeur Le projet présente plusieurs dangers pour l’écosystème local : • Imperméabilisation accrue des sols, augmentant les risques de ruissellement et d'inondations lors des épisodes cévenols • Risque élevé d'incendies, la zone étant classée en "zone rouge" • Atteinte aux espèces protégées : la présence de ce bâtiment ainsi que de la guinguette perturberait les animaux qui ne pourraient plus évoluer en toute tranquillité, alors qu'ils n'ont déjà que peu d'espaces pour se réfugier • Fragilisation du couvert forestier, avec l’abattage possible d'arbres pour les travaux • Menace pour la qualité de vie des habitants, avec une dégradation du cadre naturel et une perte d'espaces de loisirs Les habitants disent NON ! Ces projets menacent un site remarquable, essentiel à l’équilibre écologique du quartier et au bien-être de ses habitants. Il est urgent de les stopper ! Signez la pétition pour préserver les espaces boisés du lac des Garrigues et de la Mosson ainsi que la zone naturelle du tennis des Garrigues ! Ajoutez votre signature et partagez ce message avec vos proches, amis et tous ceux qui souhaitent protéger notre environnement. Plus nous serons nombreux, plus nous aurons de chances de faire entendre notre voix ! Merci pour votre soutien ! Le collectif « Préservons la nature aux Hauts de Massane »1 234 sur 2 000 SignaturesCréée par Collectif Hauts-de-Massane
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