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TOUJOURS NON AUX FORAGES PÉTROLIERS DANS LE SUD SEINE-ET-MARNE COMME AILLEURSLa société Bridge Énergies (ex Bridgeoil) exploite depuis 2012 une concession d’hydrocarbures à Nonville, près de la forêt de Fontainebleau. À trois reprises, en 2017, 2019 et 2020, elle a demandé d’étendre sa concession aux communes voisines*. Peine perdue à l’époque grâce à la mobilisation d’Environnement Bocage Gâtinais (EBG), des élus, de la population et de la régie Eau de Paris qui s’inquiétait des risques de pollution de l’eau potable distribuée aux habitants locaux et à quelque 180 000 Parisiens. Hélas, le 27 décembre 2023, Bridge Énergies a remporté la mise : la superficie de sa concession peut être multipliée par cinq ! Ainsi en a décidé en octobre 2023 le tribunal administratif de Poitiers saisi par le Conseil d’État et cette décision a été entérinée par le gouvernement. EBG, affiliée à France Nature Environnement Seine-et-Marne, continue de s’opposer aux projets de Bridge Énergies potentiellement dangereux pour la nappe phréatique et pour les habitants qui subissent des odeurs nauséabondes et des nuisances sonores lors des forages. Par ailleurs, ce projet engendrera inévitablement une augmentation des émissions des gaz à effet de serre, aggravant encore plus le réchauffement climatique. Notre association soutient fermement la démarche d’Eau de Paris qui veut préserver la qualité de l’eau et vous demande de marquer votre solidarité en signant notre pétition qui sera transmise à la préfecture de Seine-et-Marne et aux services de l’État. -------- * Nonville, Darvault, La Genevraye, Nanteau-sur-Lunain, Treuzy-Levelay, Villemaréchal, Villemer… Voici la QR code à imprimer pour relayer la pétition : https://www.greenvoice.fr/assets/uploads/2024/06/qr-code-agir-greenvoice.png36 088 sur 40 000 SignaturesCréée par Environnement Bocage Gâtinais
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NON à la construction du nouveau terminal croisière au Havre !Actuellement, nul ne peut nier le dérèglement climatique, lié aux activités humaines. Depuis des dizaines d’années, de nombreux traités internationaux préconisent la réduction des émissions des gaz à effet de serre, responsables de ces catastrophes climatiques. Pourtant de nombreux projets, tributaires des énergies fossiles, nocifs pour la planète, sont à l’ordre du jour. Notamment, ce projet de nouveau terminal croisière au Havre, porté par le Groupement d’Intérêt Public (GIP) Le Havre Croisière. Ce projet, voulu par la communauté urbaine Le Havre Seine Métropole et HAROPA, sera financé avec le soutien de la Région Normandie, par des fonds publics à hauteur de 100 millions d’euros. Ce projet augmenterait de manière significative, le nombre de navires en escale au Havre passant de 131 escales en 2019 à 200/240 à l’horizon 2030 (source :Autorité Environnementale). "Vitrine pour le territoire et le port" ce projet se dit "global et vertueux". Laissant seulement 27% de zones végétalisées, il aura une emprise au sol de 73% de bétonisation: bâti, voirie, parking nécessaires pour garer les 80 cars qui emmèneront les croisiéristes dans les lieux touristiques normands déjà saturés Étretat, Mont Saint Michel, Giverny... ou à Paris pour quelques heures. Les bateaux de croisières polluent : Une étude de Transport et Environnement (T&E) montre qu’en 2022, les 218 navires de croisière situés en Europe ont émis autant d’oxydes de soufre (SOx) qu’un milliard de véhicules sur la même période. Entre 2019 et 2022, le nombre de navires en service a augmenté de près d’un quart. Parallèlement, les émissions de SOx liées à ces bateaux ont augmenté de 9%, celles d’oxydes d’azote (NOx) de 18% et celles de particules fines (PM 2.5) de 25%. Les bateaux de croisières ignorent la sobriété : -L’électrification des quais, imposée par l’Europe pour 2030, ne supprimera pas la pollution des navires à quai non équipés pour ce branchement. -Actuellement, dans les ports déjà électrifiés de nombreux bateaux équipés refusent ce branchement pour des raisons d’économie. Comme de nombreux ports: Amsterdam, Venise, Barcelone, Marseille… Nous, citoyens du Havre et des environs, refusons l’augmentation des escales de ces géants des mers, énergivores et hyper-polluants. L’activité de croisière ne peut constituer une perspective d’avenir pour notre territoire. Plus nous accueillerons ces immeubles flottants au Havre, plus il y aura de pollution atmosphérique et marine et plus la consommation d’électricité augmentera au détriment des besoins de la population. Qu’en est-il de la recommandation de sobriété énergétique, prônée par le gouvernement? Il est d’intérêt général de concevoir des projets qui, sur le long terme, prennent en compte la sobriété énergétique et le respect de la nature. L’argent public ne doit pas financer ce projet néfaste à la planète. Il faut y renoncer !4 422 sur 5 000 SignaturesCréée par Collectif Stop Croisières
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CONTRE les coupes d'arbres excessives ! Forêt sinistrée !Depuis 4 ans, 18 parcelles sur 95 se retrouvent ainsi déboisées et replantées. Si cette logique persiste, on peut craindre que près de la moitié de la forêt de La Malmaison sera rasée dans les cinq ans à venir ! II y a URGENCE car les prélèvements de l'ONF et les coupes excèdent la croissance naturelle de la forêt et mettent à mal la reconstitution du couvert végétal pourtant vital pour réguler les températures, filtrer les polluants aériens, capturer le CO2... C'est vital pour le bien-être et la santé des populations des zones urbaines à proximité et protéger la biodiversité. Le dérèglement climatique (températures élevées, sécheresse, inondations et maladies qui en découlent..) compromet la croissance naturelle et l'efficacité des replantations massives. Nous demandons aussi la mise en place d'une sylviculture plus douce qui favorise le maintien d'un couvert végétal continu et préserve la biodiversité, au moyen de coupes plus sélectives c'est à dire : - le ciblage des coupes sur les arbres malades repérés individuellement comme dangereux, sans écrasements des sols, ni broyage, ni labourage - le maintien de tous les arbres sains sur pied. - la suppression de l’objectif assigné à l’ONF d’exploitation économique des forêts péri-urbaines pour alimenter la filière bois énergie et l’exportation des grumes.350 sur 400 SignaturesCréée par DOMINIQUE D.
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[Auxerre] Stop à l'agression publicitaire et au gaspillage énergétique !Il est plus que temps de nous interroger sur nos usages de publicités superflues, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. ⚡️ Les panneaux publicitaires sont inutiles, n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. ⚡️ Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme en moyenne l’équivalent des besoins d’un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager(1) : laisser tous ces écrans allumés est un gaspillage absurde, en plus d’une atteinte à la biodiversité. Notre territoire a le pouvoir d’aller plus loin à travers le règlement local de publicité et les contrats qu'elle signe avec les afficheurs afin de montrer l’exemple pour être à la hauteur des enjeux environnementaux. 🛑Auxerre doit prendre les mesures suivantes. 👉Nous demandons : - Le retrait de tous les panneaux publicitaires de 2m2 rétro-éclairés, dans le nouveau contrat à venir avec un afficheur en janvier 2025. - Le retrait des écrans LED publicitaires quelque soit leur taille dans l'agglomération auxerroise. - L’extinction des panneaux lumineux des arrêts de bus en continu. - L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture des magasins. - L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés. 💡 Nous demandons ces mesures, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre dans le cadre du renouvellement de l'afficheur de la ville en janvier 2025. D’autres villes comme Lyon ou Paris ont déjà mis en place des mesures fortes pour réduire leur consommation énergétique et s’inscrire dans le sens d’une sobriété choisie et responsable. 🌟 Auxerre aussi doit s’inscrire dans le sens de l’Histoire et mettre en place des solutions ambitieuses ! Source : 1 - Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer).2 054 sur 3 000 SignaturesCréée par Extinction Rebellion Auxerre
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Non à la navette autonome Beti à Crest & en Vallée de la Drôme, pour d'autres projets de sociétéAu lieu de subir constamment les décisions unilatérales des élus locaux et de se soumettre aux logiques capitalistes et technologiques sans avenir, il est important de se réunir pour lutter ensemble et faire grandir des projets de sociétés vivables et désirables, socialement justes et écologiquement soutenables. Les catastrophes sociales, écologiques, climatiques en cours méritent bien mieux que du solutionnisme technologique. On a besoin de vraies améliorations sociales et politiques, pas de robots « high tech ». Et si on mettait fin à la résignation et la soumission par rapport à tous ces projets présentés abusivement comme bons et inéluctables ? Ce projet aberrant de navette autonome Beti est une bonne occasion pour commencer à se relever, réfléchir et agir. Une pétition n’est qu’un (très) modeste début en ce sens. C’est à nous toustes d’aller beaucoup plus loin ensemble, le plus loin possible.143 sur 200 SignaturesCréée par Groupe écolo e.
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La Mer commence ICILes mers et les océans paient déjà un lourd tribut en étant fortement impactés par les hausses des températures. Comme nous le savons les 3/4 des déchets marins sont au fond, invisibles, formant un tapis qui asphyxie la vie sous-marine, en l'anéantissant. Ce sont aujourd’hui des milliers de tonnes de déchets qui menacent les écosystèmes. Ces écosystèmes sont essentiels pour l'équilibre climatique, la biodiversité et les populations locales. Nous ne pouvons pas ignorer cette destruction sans agir, il n’y a pas une minute à perdre ! La bonne nouvelle, c’est que des solutions existent ! Nous demandons à la métropole d’agir à nos côtés : => sur l’axe préventif, avec : > des campagnes d’information efficaces sur la question du plastique, le seul déchet qui ne disparait jamais, mais qui se fragmente en micro plastiques, que l’on retrouve par transport atmosphérique jusqu’aux lacs isolés en altitude, et que nous devons impérativement arrêter d’utiliser au maximum, > une campagne d’information et de sensibilisation sur la différence entre égout et réseau pluvial urbain, réseaux unitaires et séparatifs, et les conséquences d’une pollution des réseaux pluviaux > des interventions dans les écoles, > une sensibilisation auprès des commerçants et des industriels, > et surtout en en priorité immédiate, un travail de réduction à la source des déchets en limitant sur le territoire tous les emballages, entre autres, et en mettant en place une vraie politique zéro déchet. => Sur l’axe correctif également, avec : > un état des lieux sur la pollution chimique, et un plan d’action précis pour limiter les rejets des industriels, > des actions montrant une vraie prise de conscience collective sur les conséquences de l’eutrophisation (rejet de matière organique dans les cours d’eau qui tue littéralement toute la vie qui s’y trouve par prolifération végétale et consommation de tout l’oxygène, appelé plus communément : pollution aux eaux usées), > des ramassages et quantification de déchets réguliers, > l'installation de filets récupérateurs de déchets solides sur les exutoires et avaloirs stratégiques, > une aide au développement de la filière « gestion et tri » des flux récupérés par ces filets, > l’adaptation des bassins d’orages pour gérer les volumes d’eau colossaux et éviter la saturation des stations d’épuration mais aussi le débordement des réseaux unitaires dans les cours d’eau, > la remise en état des réseaux d’eaux usées pour diminuer la pollution des nappes phréatiques, > une meilleure surveillance des réseaux pour identifier les ruptures de canalisation et des interventions plus rapides, > la suppression des trop nombreux rejets d’eaux usées directement dans les cours d’eaux, ou encore sur les réseaux pluviaux, > la mise en sécurité des réseaux d’évacuation des eaux usés simplement posés dans le fond de ces cours d’eau … > une étude technique systématique de faisabilité de réemploi des eaux grises (eaux de la douche ou de vaisselles pour alimenter les WC par exemple) devrait être systématiquement envisagé pour les constructions neuves des collectivités, tant le sujet de l’eau potable et notre responsabilité à en préserver la ressource est cruciale. > des récupérateurs d’eau de pluie et panneaux solaires en collectivité, Il y a tant de sujets à aborder, tant de mesures à mettre en place, il est temps de se mettre ensemble en mouvement ! Afin d’entrer en action à vos côtés, collectivement et efficacement sur des sujets aussi variés que transversaux, nous demandons la création en urgence d’un CONSEIL DE PROTECTION ENVIRONNEMENTAL, déjà validé pour certains élu.e.s, constitué d’élus et d’associations de protections environnementales. Ce format de réunion de travail régulières est indispensable pour une communication efficace entre les services municipaux qui ont à gérer tous ces sujets transversaux, mais aussi pour permettre aux problématiques locales de remonter : les comités de quartiers, association de riverain.es sont les premiers témoins de ces problématiques locales, et pourront d'une façon extrêmement efficace, les faire remonter et constater aux services municipaux via les associations, qui pourront ainsi mieux anticiper les mesures à envisager, et les rendre efficaces. Les associations sont disponibles et compétentes, volontaires et investies dans leur rôle, à la hauteur de l’urgence à laquelle nous devons tous faire face. Nous avons déjà échangé avec les élus locaux sur ce sujet et aimerions que le projet, ambitieux et novateur, voit le jour rapidement dans la métropole de Montpelier. Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin !3 152 sur 4 000 SignaturesCréée par Collectif B.A.M. B.
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Non à l'autoroute A154-A120 !Monsieur le Ministre des Transports, Monsieur Le Ministre de la Transition Ecologique et de la cohésion des territoires, Notre collectif est né en janvier 2023 pour venir renforcer les actions des associations membres de la FEEL (Fédération Environnement Eure-et-Loir) contre ce projet anachronique, voici pourquoi : 👉 Alors que l’État a pris des engagements bas carbone, ce projet est aux antipodes des enjeux de réduction de gaz à effet de serre : il a été pensé il y a plus de 20 ans et ne serait réalisé qu’à horizon 2030 ! La DUP (Déclaration d'Utilité Publique) de 2018 et son chiffrage à plus d'1 milliard d'euros et 350 000 tonnes de CO2 sont hors sujet aujourd'hui ! 👉 Avant toute chose, chaque mètre de bitume pompe 1 litre d’eau de nos nappes phréatiques qui sont chaque année de plus en plus menacées, et empêchent nos agriculteurs de produire à plein régime (-40% de droit à irrigation en 6 ans). La ressource en eau va devenir si rare qu’on sera bientôt rationnés et tout supplément de surface artificialisée contribue directement à augmenter les problèmes de graves inondations en alternance avec de graves sécheresses ! 👉 Ce projet va à l'encontre des objectifs que la France s’est fixés en matière d’artificialisation : 660 hectares de terres agricoles seraient artificialisées, et 90 hectares d’espaces forestiers traversés. Au total : 750 hectares de terres fertiles seraient ainsi menacées. Par ailleurs, la destruction massive d’habitats naturels affecterait directement la faune et la flore, donc la chaîne alimentaire dont nous faisons partie. 👉 Les fortes pollutions de l’air et les nuisances sonores attendues dans les 35 communes limitrophes affecteraient de plein fouet les riverains et riveraines, en plus d’augmenter l’accidentologie dans les villages, ce qui obligerait les mamans à déposer les enfants en voiture contre poussettes et vélos aujourd'hui…. 👉 Poussé par des élus locaux, notamment sur Chartres et Dreux, ce projet n’a aucune cohérence économique : d’une part au vu du coût pour le concessionnaire (qui aura besoin d’une énorme subvention d’équilibre), d’autre part pour les 35 communes qui devraient prendre en charge toutes les mesures d’accompagnement, et enfin pour les Euréliens navigant tous les jours entre Chartres et Dreux qui ne voudront pas sacrifier leur budget vacances pour payer le péage pour leur trajet quotidien (prix du simple trajet à 6 €) et qui contourneront l’autoroute, comme de nombreux PL, en passant par les villages (presque 100 communes sont concernées) Pour ces raisons, nous demandons aux collectivités locales et à l’État d'agir : notre collectif exige un arrêt du projet d'autoroute afin de préserver le cadre de vie eurélien et régional, et s’associe bien entendu à l’arrêt de tous les projets autoroutiers en France avec la Déroute des Routes car ils contribuent à tuer progressivement nos ressources naturelles en France, eau, agriculture et biodiversité ! D'ici peu, vous allez nous annoncer la liste des projets autoroutiers maintenus par le gouvernement. L'Etat n'ayant encore rien engagé sur ce projet, il est encore temps de le stopper. Nous vous demandons, Monsieur le Ministre des Transports, de bien vouloir entendre cet appel citoyen massif afin de vous éviter un nouvel A69 ici en Eure-et-Loir, à une heure de la capitale. Pour les mêmes raisons, nous vous demandons, Monsieur Le Ministre de la Transition Écologique et de la Cohésion des Territoires, de bien vouloir revoir votre liste des 167 projets sortis de la loi ZAN afin de conserver l’esprit dans lequel cette loi ZAN a été votée pour réduire les surfaces artificialisables de la France. Ce ministère doit protéger tous les français, dans la durée, des impacts directs de cette artificialisation sur le dérèglement climatique et sur les catastrophes “dites naturelles” pour lesquelles nous sommes évidemment responsables. STOP ! Comment pouvez-vous qualifier ces projets destructeurs de projets d’envergure nationale et européenne d’intérêt général majeur alors qu’ils menacent directement nos ressources et sont accélérateurs de catastrophes “naturelles” ? Ces projets n’ont par ailleurs pas été sélectionnés de façon démocratique mais arbitraire, et ce, au détriment de tous les vivants sur le sol français ! Si vous avez des enfants et des petits-enfants et que vous vous souciez de leur avenir, vous DEVEZ abandonner ce projet d'autoroute d’une autre époque, et investir dès maintenant et massivement dans la réouverture des petites lignes de train et dans le fret ferroviaire, comme engagé dans le Contrat Plan Etat Région de l'été 2023. Nous sommes de plus en plus nombreux en Eure et Loir à dire NON au projet de mise en concession de nos RN12 et RN154 : je suis agricultrice bio et ma baisse de ressource en eau menace mon activité, je suis père de 2 enfants et agriculteur, et mon exploitation va être coupée en deux sans compensation, je suis maman d'une petite fille en poussette dans un village calme aujourd'hui mais qui demain sera traversé par des convois de poids lourds, je suis ingénieur en génie civil à la retraite et je travaille sur des alternatives ferroviaires, je suis papa de deux enfants et maire d'un village sacrifié au coeur d'une vallée classée, je suis agriculteur conventionnel et ma propriété deviendra invendable quand les poids-lourds passeront sous mes fenêtres pour éviter de payer l'autoroute, je suis étudiant et vraiment inquiet pour mon avenir, je suis habitant d’un village d’Eure-et-Loir et je ne veux pas d’une plateforme logistique dans mon jardin. Et vous, Madame, Monsieur, chers concitoyens Euréliens, pourquoi vous opposez-vous à ce projet d'autoroute en Eure-et-Loir ? Contactez-nous, signez et partagez cette pétition adressée à nos deux ministres. Le Collectif Non A154 A12012 319 sur 15 000 SignaturesCréée par Le Collectif Non A154 A120
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#Oui la consigne mixte nationale en 20261) PROBLÈME Malgré les efforts de collecte depuis 30 ans, nous ne sommes pas sur la bonne trajectoire : - Taux de collecte des bouteilles plastique : 60% (objectif : 90% 2029) - Taux de collecte des canettes : 45% (objectif : 90% 2029) - Taux de réemploi : moins de 3% (objectif 10% 2027) = 8 milliards de bouteilles plastique et canettes perdues chaque année 2) DEMANDE Mettre en place de la CONSIGNE MIXTE pour réemploi et recyclage des boissons à l'échelle nationale en 2026. La consigne mixte est LA COMBINAISON GAGNANTE, permettant d'intégrer les emballages pour réemploi et pour recyclage de boissons à travers un dispositif unique et national, accessible à tous, et permettant de collecter plus de 90% des emballages pour les remployer ou les recycler. Il s'agit de LA MEILLEURE OPTION pour assurer la viabilité économique du système, développer l'offre du réemploi, créer un réseau national performant, tout en accompagnant les consommateurs dans leurs habitudes de consommation vers le réemploi. Une SOLUTION CONCRÈTE ET EFFICACE permettant de gagner sur la réduction des emballages à usage unique via le réemploi et d'augmenter significativement la performance de collecte et la qualité de la matière pour le recyclage. Il y aura plus de 20 systèmes de consigne en Europe en 2025, et nous ? 3/ URGENCE Malgré 5 années de sondages nationaux démontrant le soutien massif de la population à la consigne des boissons (9 Français sur 10), nous attendons toujours... La loi française prévoit la possibilité d'une consigne mixte depuis 2020, mais ne l'applique pas (art. 66, loi AGEC). La future réglementation européenne sur les emballages et déchets d'emballages (PPWR) prévoit aussi les conditions d'application d'une consigne sur les bouteilles plastiques et les canettes pour les pays les moins performants, dont la France, mais nous pourrions perdre de nombreuses années avant qu'une décision gouvernementale soit prise. Cela se traduirait par des années et des investissements perdues dans le réemploi ainsi que de voir une consigne pour recyclage être imposée par l'Europe sans être articulée avec celle pour réemploi. Une opportunité manquée! Nous demandons au Premier Ministre de prendre la décision en 2024 d'appliquer la loi AGEC afin qu'un système soit en place en 2026, seule option permettant de corriger in extremis notre trajectoire environnementale et atteindre les objectifs. Monsieur Le Premier Ministre, avec nous, et tous les signataires de cette pétition, dites #OUI LA CONSIGNE !945 sur 1 000 SignaturesCréée par Alexis E.
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Nos quartiers ont besoin d'une bouffée d'air !Comment pouvons-nous ne pas nous indigner ? Particules fines, quartiers bétonnés, autoroutes et usines à proximité de nos écoles… Depuis toujours, on étouffe. Il aura fallu attendre les JO 2024 pour mettre en lumière la différence de traitement de nos quartiers. Les athlètes auront le droit de respirer un air plus propre, mais évidemment… pas nous ! Même si la dernière analyse sur l’exposition des quartiers populaires à la pollution de l’air date de 1995, les statistiques récentes nous alarment : La surexposition aux particules fines tue entre 40 000 et 100 000 personnes chaque année en France. Surtout dans nos banlieues, où les gens ont 3 fois plus de risques de décéder après un épisode de pollution. L’injustice ne s’arrête pas là, puisque les enfants de familles modestes sont plus exposés et plus vulnérables : 3 enfants sur 4 respirent un air pollué. Que notre message soit clair, notre santé ne sera dorénavant plus laissée pour compte. En Seine-Saint-Denis et dans de nombreuses villes de banlieues, la pollution nous expose à des dangers constants pour notre santé au quotidien : troubles respiratoires, asthme, allerges, anxiété, cancers, maladies cardiovasculaires… Il est temps que les autorités prennent leurs responsabilités et engagent des politiques qui comprennent le danger de la pollution de l’air. C’est pourquoi nous réclamons des mesures d'urgence et des investissements massifs pour les transports en commun, les ZFE et les espaces verts : 1/ Nous appelons à des mesures concrètes pour améliorer le réseau de transports en commun et le rendre à la fois efficace et abordable pour tous les franciliens. Afin d'encourager la population à délaisser les voitures individuelles, l'accessibilité financière des transports en commun est nécessaire pour garantir l'égalité d'accès aux déplacements et pour réduire les inégalités sociales en matière de mobilité. 2/ Nous insistons également sur l'importance d'appliquer des exigences de justice sociale aux mesures de réduction du trafic routier. Environ 13 millions de Français.es sont estimé.es en situation de “précarité mobilité”, et dépendent entièrement de leur voiture ou ne disposent pas de moyen de transport régulier. Les bénéfices sanitaires des zones à faibles émissions (ZFE) doivent bénéficier à tous les habitants, en particulier ceux des quartiers populaires. De plus, il est crucial de créer des espaces verts et sans voitures accessibles à tous·tes, en particulier dans les quartiers populaires et près des écoles. L’initiative des "Rues aux écoles" est un exemple concret de mesures visant à protéger nos enfants des dangers de la circulation motorisée et de la pollution pour leur bien-être et leur sécurité. 3/ Nous demandons une transparence totale dans l’accès des données sur la qualité de l'air au public, notamment pour une meilleure prise en compte des enjeux sociaux dans les études d’impact dans les quartiers populaires. Nous insistons sur la nécessité d'assurer aux citoyens concernés un accès à la justice pour contester les actions de l'État et leur garantir le droit à la compensation et à la réparation des dommages liés à la santé. Une réelle implication des personnes vulnérables est indispensable dans l’élaboration des politiques de santé environnementale pour que chacun·e puisse contribuer aux décisions qui façonnent son cadre de vie. En signant cette pétition, vous soutenez notre détermination à défendre notre droit à un environnement sain, et contribuez avec nous à exiger des actions concrètes de la part des autorités. Cette pétition a servi de point de départ à la discussion que nous, les jeunes, avons porté auprès des élus franciliens dans le cadre du Parlement Génération Climat à l’Académie du Climat le 30 mars 2024, à présent allons plus loin. Rejoignez-nous dans notre combat contre la pollution de l’air ! Rania et Corentin de Banlieue Climat, Maël de Pour Un Réveil Ecologique et Léo de Oxfam Paris. (1) Analyse RESPIRE Carte IDF 2013-2019 (respire-asso.org) (2) À l’aube des J.O 2024, où en est la qualité de l’air à Paris ? | CNRS Terre & Univers Teqoya J0 2024 - Village athlètes air purifié (teqoya.fr) (3) « L’écologie, un truc de bourgeois » Socialter, n°62, février-mars 2024, page 44 (socialter.fr) (4) Karn Vohra, Alina Vodonos, Joel Schwartz, Eloise A. Marais, Melissa P. Sulprizio, Loretta J. Mickley, Global mortality from outdoor fine particle pollution generated by fossil fuel combustion: Results from GEOS-Chem, Environmental Research, Volume 195, 2021, 110754, ISSN 0013-9351, https://doi.org/10.1016/j.envres.2021.110754. (5) De l'Injustice Sociale dans l'Air - Rapport de l'UNICEF et Réseau Action Climat (6) La pollution de l'air en 10 questions (ademe.fr) (7) Rapport Mobilités Solidaires : pour un passage à l'échelle - Laboratoire de la Mobilité Inclusive (mobiliteinclusive.com) (8) Baromètre : 13,3 millions de Français en situation de précarité mobilité (fnh.org) (9) Plus de 200 « rues aux écoles » dans Paris - Ville de Paris www.greenvoice.fr/assets/uploads/2024/03/CLT.png3 458 sur 4 000 SignaturesCréée par Banlieues Climat, Pour un Réveil Ecologique, Oxfam Paris
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Pour des politiques locales solidaires et écologiques dans l'AubeLe contexte : Aujourd'hui, nous sommes de plus en plus nombreux.ses à appeler à une transition de notre société face aux grands enjeux qui la menacent : changement climatique, chute de la biodiversité, explosion des inégalités, déficit démocratique, etc. Or, pour agir, le niveau individuel est insuffisant. Il faut donc changer d'échelle et de politiques. Au niveau local, le Pacte pour la Transition offre donc de nombreuses opportunités pour engager les élus et structurer les politiques locales. Le Pacte pour la transition : Co-créé par 54 Mouvements Citoyens, ces collectifs ont interrogé des citoyens et des experts afin de co-rédiger 3 principes et 32 mesures sur lesquelles les mouvements se sont mis d’accord. Aujourd'hui, ces mesures sont proposées aux communes et intercommunalités de l'Aube, afin qu’ils s'engagent sur chacune d'elles. Le Plan d'actions du Pacte : Premier semestre 2024 1. Faire connaître localement le Pacte au plus grand nombre en nous appuyant sur les réseaux locaux et plateforme.s de pétition Deuxième semestre 2024 : 2. Soumettre les mesures du Pacte aux communes et intercommunalités 3. Faire signer le Pacte 4. Evaluer la politique menée par un cabinet externe spécialisé (à la charge des communes) 5. Planifier leurs actions 2025/2026 : 6. Evaluer la progression à 6 mois, un an, deux ans Communiquer aux médias et signataires le respect des engagements à chaque étape LES 3 PRINCIPES : # Principe A : Sensibilisation et formation à la transition Impulser et soutenir des actions de sensibilisation et de formation sur la transition auprès de différents publics : élu·es, agent·es territoriaux, jeunes, habitant·es, acteurs économiques, etc. # Principe B : Co-construction des politiques locales Engager un processus de construction collective des politiques locales, en associant élu·es, citoyen·nes, agent·es et représentant·es des acteurs locaux, notamment pour la mise en œuvre et le suivi des engagements du Pacte pour la Transition. # Principe C : Intégration des impacts à long terme et de l’urgence climatique et sociale Pour répondre à l'urgence climatique et sociale, intégrer des critères environnementaux et sociaux, ainsi que les impacts à long terme décisifs dans les arbitrages des projets locaux et dans l’organisation de la commune et ses groupements. PARMI LES 32 MESURES : - Appuyer la structuration de filières paysannes, bio et locales, rémunératrices pour les agriculteurs et agricultrices. - Se doter d’une politique ambitieuse d’achats publics responsables (incluant des dispositions sociales, environnementales et locales) - Préserver et mobiliser le foncier agricole et accompagner l'installation de nouveaux agriculteurs et agricultrices dans une logique paysanne. - Proposer une alimentation biologique, moins carnée, locale et équitable dans la restauration collective. - Préserver et développer les trames vertes (couvert végétal), bleues (cycles de l'eau), brunes (sol) et noires (éclairage) pour redonner sa place au vivant sur le territoire. - Protéger la ressource en eau, en assurer une meilleure qualité et un accès garanti à toutes et tous, en la considérant comme un bien commun. - Renforcer l’offre, l’accès et l’attractivité des transports en commun sur le territoire et prioriser les mobilités actives (marche, vélo) dans l’espace public - Alimenter les bâtiments et l’éclairage publics en énergie 100% renouvelable et locale - Et, les autres en ligne sur le site : https://www.pacte-transition.org/#mesures63 sur 100 SignaturesCréée par Collectif Solidaire et Ecologique d.
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Non aux nouveaux échangeurs A7S’appuyant sur des chiffres fantaisistes, des études orientées, affublant le béton et le goudron de vertus écologiques, le concessionnaire Vinci ressort un vieux projet de construction de plusieurs nouveaux demi-échangeurs sur l’Autoroute A7, notamment à Saint Rambert d’Albon et Saint-Barthélémy-de-Vals dans la Drôme. Les villages du nord Drôme ne sont ni enclavés, ni sous-développés. Alors pourquoi donner la priorité au trafic routier ? ⛔ En plus de son inutilité, ce projet aurait des conséquences désastreuses pour la région : ⚠️Ce serait ouvrir le territoire à encore plus d’artificialisation des terres nourricières et de la spéculation qui l’accompagne, par des entreprises fragilisées par leur dépendances aux flux mondiaux instables. ⚠️ Ce serait augmenter le trafic de l’autoroute mais aussi et surtout de tout le réseau secondaire et communal, avec des villes et villages déjà asphyxiés par les camions et les voitures : Saint Sorlin, Manthes, Moras en Valloire, tous les villages de la Galaure, les communes le long de l’axe Romans / Saint Donat / Bren / Saint Barthélémy, les villages d’Andancette et Andance, les hameaux du Creux de la Thine et de Villeneuve de Vals. Saint Vallier et Sarras peuvent s’apprêter à revivre l’enfer des embouteillages de triste mémoire. ⚠️ Ce serait augmenter le trafic et augmenter la pollution atmosphérique, la pollution des sols et des nappes phréatiques. ⚠️ Ce serait signer l’arrêt de mort de la biodiversité. Ce serait afficher clairement que les derniers couples de bruant ortolan, espèce protégée d’oiseau emblématique des Fouillouises, peuvent mourir comme le révélateur du mépris des politiques locales aux autres vivants. ⛔ Non au gaspillage d’argent public ! L’argent public serait mieux employé à développer d’autres politiques qui favoriseraient la souveraineté alimentaire, qui soutiendraient l’initiative locale en la rendant moins dépendante des grandes agglomérations et des flux mondialisés. Cela pourrait être au service de politiques pour renforcer les modes de déplacement doux : en relançant le ferroviaire sur les deux rives du Rhône et faisant des gares de Sarras, Saint Vallier, Andance, Andancette et Saint Rambert des lieux de vie, en réalisant un réseau de voies cyclables maillant tout le territoire, ou encore en réutilisant le Rhône même pour de courtes distances. Autant de propositions concrètes à réaliser rapidement qui permettraient de penser qualité de vie et projection dans le futur avec plus de sérénité. Le projet qui devait avoir lieu à Saint-Paul-Trois-Châteaux a été suspendu : il est encore possible de stopper ceux du nord de la Drôme ! Signez cette pétition pour dire stop avec nous, et partagez-là autour de vous !2 927 sur 3 000 SignaturesCréée par Point de Bascule, Vivre et Assez
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NON au parking de la honte à Angers !NON AU PARKING DE LA HONTE ! Non au parking-aspirateur à voitures de M.Béchu au pied du château ! A l’instar de M. Macron, M. Verchère (Maire d'Angers), la majorité municipale et M. Béchu (1er adjoint et ministre en charge de l’écologie) « adorent la bagnole » ! Il y a maintenant urgence car le permis de démolir de la caserne de l’académie est déposé et le 18 mars, le chantier a commencé par un abattage scandaleux de 8 grands ormes en cette période pré-printanière de nidification. Là doit être édifié un parking de 300 places au cœur du quartier historique de l’Esvière sous prétexte de végétalisation du parking du château, de la place de l'académie et de la suppression des 147 places de stationnement. Il faut maintenant assumer de faire disparaître quelques places de parking et inciter à un changement réel de mode de déplacement. La ville a pourtant investi sur 2 nouvelles lignes de tramway pour près de 250 millions d’euros et des parkings relais sont à disposition, quitte à en augmenter le nombre de places. Cependant dans une logique passéiste, M. Béchu avait promis qu’aucune place de stationnement ne serait perdue. Ce parking est donc symptomatique de l’archaïsme de la ville en matière d’occupation de la voiture aux dépens des mobilités douces. Ce projet est anachronique à l’heure où la majorité des villes françaises n’édifient plus de parking en centre-ville et piétonnisent les espaces de vie. Tel un bulldozer sourd et borné, la municipalité refuse tout dialogue avec les opposants dans une posture anti-démocratique. Pourtant, depuis plusieurs années des associations et collectifs citoyens engagés pour l’écologie et le patrimoine historique alertent sur ce projet coûteux, inutile et délétère au regard de l’urgence écologique : • Le parking est un gaspillage d’argent public. 8,5 millions d’euros sont annoncés alors que, d’après des relevés officiels, le taux d’occupation des 5 parkings aux alentours est très loin de la saturation (548 places libres en moyenne de décembre 2023 à mai 2024) avec un constat similaire sur l’ensemble des parkings angevins (1841 places libres en moyenne sur la même période). Et sans compter la voirie ! • L’impact d’un tel ouvrage dans ce quartier tranquille aux rues étroites serait catastrophique sur le plan de la sécurité, de la pollution sonore et atmosphérique (augmentation des mortelles particules fines PM2.5 et du NO2). Cela nuirait gravement à la santé des enfants de l’école mitoyenne de la Blancheraie et des habitant.es dans un contexte où les normes européennes évoluent pour des objectifs plus ambitieux dès 2030 ! • Le site revêt un intérêt archéologique très important après un diagnostic réalisé en 2023 et mériterait des fouilles approfondies avant tout projet de construction. Le rapport suite à l'enquête publique dans le cadre du Plan de sauvegarde et de mise en valeur fait état d'un projet peu en phase avec les objectifs de mobilités douces et de préservation du patrimoine du plan ! • Il est temps maintenant d'abandonner ce type d'immeuble "à voitures" et de réserver ces espaces fonciers pour des immeubles "à humains" dans une ville à la population en constante augmentation. Alors qu’Angers affirme sa volonté d’œuvrer ardemment pour la transition écologique et que son ancien maire est devenu ministre de l’écologie, nous vous demandons Mesdames et Messieurs les élu·e·s l’abandon définitif de ce projet. Car d’autres projets alternatifs positifs autour de l’humain sont à inventer dans ce quartier en réhabilitant les bâtiments existants vers des usages de vie (habitations, locaux associatifs, tiers lieux…). Le collectif NON au Parking Silo - Avec le soutien d'Extinction Rebellion Angers, Justice Climatique Angers & Greenpeace Angers3 240 sur 4 000 SignaturesCréée par Collectif NON au parking silo !.
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