• Pour la santé et le climat, plus un sou pour l’aéroport de Dole-Tavaux !
    Le drame de Valence vient nous rappeler que le dérèglement climatique, dont l’être humain est responsable, est un problème majeur posé à l’humanité toute entière.  Les émissions mondiales de gaz à effet de serre ne cessent pourtant d’augmenter et l’année 2024 sera probablement la plus chaude jamais enregistrée. La Terre se réchauffe. Les calottes glaciaires fondent. Les catastrophes climatiques se font plus fréquentes, plus intenses. Les écosystèmes sont menacés et les réfugiés climatiques déjà une réalité.  Parce que l’aviation et la croissance incontrôlée du trafic aérien sont une menace pour le climat, face à l’urgence et à la nécessaire réduction des émissions de gaz à effet de serre, il faut réduire le trafic aérien et fermer les aéroports non indispensables.  Dole-Tavaux, un des aéroports de trop En 2007, la loi transfère au profit des collectivités 150 aérodromes et aéroports appartenant à l’État qui n’ose fermer ceux-ci malgré leur peu d’utilité. L’aéroport de Dole-Tavaux fait depuis sa reprise par le département du Jura de multiples débats et controverses, qui amènent à douter sérieusement du bien fondé et de la légalité des aides publiques à un équipement qui ne remplit aucune mission de service public. La réglementation européenne (lignes directrices de 2014) prévoyait par dérogation que les aides d'État aux aéroports non rentables soient supprimés à compter d’avril 2024. Si un sursis jusqu'en 2027  a été arraché par le secteur aérien au prétexte de la pandémie de Covid-19, il reste nécessaire de réviser  les lignes directrices européennes pour les rendre conformes aux objectifs du pacte vert . Centrées sur la question de la concurrence, elles ne répondent en effet pas du tout au besoin d'atténuer l'impact climatique et environnemental de l'aérien. Suite aux dégradations de la piste de Tavaux  constatées dès 2018, on a découvert que cette dernière n’était pas conforme aux prescriptions de sécurité. Il y a donc aujourd’hui nécessité de la refaire en totalité pour un montant de travaux estimé à 7 500 000 €.  Au moment même où le Conseil Régional de Bourgogne-Franche-Comté retire la plateforme du schéma régional aéroportuaire annexé au SRADDET, l’État, après avoir longtemps refusé, cède finalement aux demandes répétées du Département du Jura et annonce un soutien de 2 000 000 € . Faisant fi de l'impact climatique et environnemental de l'aéronautique, avec le soutien de ses voisins (Départements de Côte d'Or, de Saône et Loire, Métropole de Dijon ...), le Département du Jura projette de développer de nouvelles dessertes et une augmentation du trafic de 40 avions par an est envisagée au cours de chacune des 10 prochaines années. Le trafic actuel étant de 388 rotations par an, cela représenterait un doublement d'ici 2034 !   “🚨 Il y a urgence à convaincre les décideurs : l'appel d'offres est lancé et les travaux de reconstruction de la piste sont programmés  entre mai et juillet 2025 !” Au nom de l’urgence climatique, ONG environnementales, consommateurs, usagers des transports et acteurs politiques comme de nombreux citoyens exhortent les décideurs à atterrir… pour réfléchir La fin de vie de la piste est l'occasion de raccrocher ... La course au développement de l’aérien condamne notre avenir à toutes et tous. S’il ne s’agit pas de dire que plus aucun avion ne doit voler, il est impératif de réduire le trafic aérien. L’argent public doit permettre d’optimiser l’usage des aéroports internationaux en jouant la complémentarité des moyens de déplacement. En Bourgogne Franche-Comté, la fédération régionale des associations de protection de la nature et de l’environnement France Nature Environnement engage des recours contentieux contre l’État et les collectivités locales qui entendent relancer la plateforme aéroportuaire de Dole-Tavaux. Le levier juridique, associé à la mobilisation citoyenne, est un levier qui a déjà fait ses preuves pour lutter contre la crise climatique, c’est pourquoi nous avons besoin de vous. Accordant une victoire historique à l’association suisse « Aînées pour la protection du climat » , la Cour Européenne des Droits de l’Homme condamne la Suisse pour inaction climatique , reconnaissant que le changement climatique constitue une menace pour les droits fondamentaux des citoyens et citoyennes. Aidez-nous dans ce combat !  C’est uniquement grâce à la générosité et l’engagement des donatrices et donateurs que notre collectif peut, en toute indépendance, mettre en lumière les conséquences néfastes du développement des vols commerciaux à Dole, passer à la loupe les délibérations des collectivités locales, alerter le grand public, saisir les tribunaux et exiger des décisions politiques en cohérence avec l'urgence climatique et environnementale. Je fais un don  Agissons pour la santé de toutes et tous : signez cette pétition et alertez en partageant l’information à vos connaissances. Merci d’agir avec nous pour rendre notre mobilité plus soutenable. “Cette campagne est une initiative commune de : Serre Vivante, FNE Bourgogne Franche-Comté, Agir Pour l'Environnement, Cyberacteurs, la Fédération Nationale des Associations d'Usagers des Transports (Fnaut) Bourgogne Franche-Comté, Les Amis de la Terre de Côte d'Or, groupe local Greenpeace Dijon, Attac Jura, Confédération Paysanne du Jura, Les Écologistes de Franche Comté, les Écologistes du Pays dolois, Dole Ecologie, NPA 39, Rester sur Terre, ALTERNATIBA Besançon, Action non-violente COP21 Besançon, …”
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    Créée par Serre Vivante, association membre de France Nature Environnement Picture
  • Transports publics Gratuits & Performants - Grand Poitiers
    🚌 Des transports publics performants et gratuits à Grand Poitiers : une nécessité 🌍 À Grand Poitiers, le réseau de bus Vitalis a bien des défauts : • ⏰ Horaires de vacances scolaires inadaptés aux travailleur•euses et étudiant•es • 💸 Tarifs ne correspondant pas à la réalité sociale et démographique de Grand Poitiers • 📍 Quartiers et communes périphériques mal desservies • ♿ Accessibilité incertaine pour les personnes en situation de handicap, notamment en heures de pointe • 🌙 Service réduit voire absent en soirée, la nuit et en fin de semaine... Pourtant, le droit au déplacement est un droit inaliénable. Pouvoir aller où l’on veut, quand on veut, pour exercer une activité scolaire, professionnelle, associative, culturelle ou pour se promener librement doit être garanti et défendu ! 🆓 La gratuité des transports donnerait ces possibilités à tous et toutes. Mais prise seule, elle serait insuffisante. Il faut développer un réseau de transports publics : • 🚍 Accessibles • 🕒 Denses et fréquents • ⚡ Rapides • 🆓 Gratuits • 🤝 Définis par et pour les habitant•es en concertation avec les travailleur•ses du réseau. 📈 La gratuité du service permettrait : • 🏫 Une meilleure accessibilité aux services publics • 👫 Une plus grande participation à la vie collective et aux évènements culturels • 🌱 Des bienfaits écologiques et de santé publique (🚶‍♂️ Une ville sans voiture = une ville apaisée !) 🚲 Le vélo c'est bien, mais... tout le monde ne peut pas en posséder ou en faire, pour des raisons de logistique de stockage, coût économique ou problèmes de santé. Nous réclamons : • 🔄 Une meilleure desserte des quartiers et communes périphériques • 🌙 Un meilleur service de soirée/nuit et le dimanche (plus de fréquence et meilleure desserte) • 🆓 La gratuité des transports publics pour une égalité d'accès ! 🌍 Et oui, la gratuité c’est possible ! De nombreuses villes ont déjà fait ce choix : Dunkerque, Montpellier, Aubagne, Calais, Châteauroux... À Grand Poitiers, cela pourrait être financé en grande partie par le Versement Mobilité des entreprises qui existe déjà. En 2020, Poitiers Collectif (liste élue à la municipalité) déclarait vouloir changer Poitiers : “Nous devons tendre vers la gratuité des bus” et “plus aucune décision politique ne doit être prise qui n’irait pas dans le sens de la transition écologique”. Face à l’urgence sociale et climatique, nous demandons que ces engagements soient tenus !  🌍🔥 N'hésitez pas à interpeller vos élu•es municipaux pour que le sujet soit abordé en conseil de Grand Poitiers.
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    Créée par Transports Gratuits Grand Poitiers Picture
  • 12 Milliards de nos impôts pour 140 km de tunnels inutiles
    Dans le cadre du projet Lyon-Turin, sur la partie française entre Lyon et Saint Jean de Maurienne, il est envisagé pour le fret ferroviaire, d’abandonner la voie actuelle pour creuser près de 140 km de tunnels en traversant entre autre les montagnes de la Chartreuse, de Belledonne et du Glandon. Cette solution : ·         est démesurée, avec 6 doubles tunnels inutiles, ·         provoque un gaspillage de plus de 12 milliards d’euros, ·         va détruire de multiples écosystèmes, assécher des communes, et pénaliser lourdement les agriculteurs.          Il existe une alternative économisant 12 Milliards et respectant les souhaits des habitants et préservant les écosystèmes : ·         Economiser 12 milliards de dépenses inutiles pour creuser les tunnels du Glandon, de Belledonne et de la Chartreuse, ·         Se contenter du double tunnel prévu entre la Tour-du-Pin et Chambéry (tunnel de Dullin-L’épine) car il s’agit de la partie où les trains ne roulent qu’à 59 km/h, ·         Abandonner les 104,8 km des doubles tunnels intitulés Chartreuse, Belledonne et Glandon ·         Abandonner les 35,2 km des doubles tunnels (Bourgoin-Ruy , Sainte Blandine, La-Bâtie-Montgascon) car ils sont dans une zone de plaine où les TER roule déjà à une moyenne de 97 km/h, ·         Réinvestir vers des projets plus performants écologiquement, et qui correspondent aux besoins des français : ·         Réinvestir dans les trains régionaux afin de diminuer rapidement les flots de  véhicules en Rhône Alpes,  ·         Satisfaire les besoins des usagers qui constatent une fiabilité très incertaine (84,7 % des TER arrivent à l’heure en Rhône Alpes) et des temps de transports trop important entre La Tour-du-Pin et Chambéry,  ·         Pénaliser lourdement les transports par poids lourds pour inciter au fret ferroviaire (comme l’a fait la Suisse), ·         Livrer la solution dès 2030 et non pas en 2040 voire 2050 selon le projet Lyon-Turin qui dérape constamment.   Question : quels sont les besoins des habitants ? ·         Améliorer les trains régionaux (*) car ils sont très peu fiables, et sont particulièrement lents dans le  secteur La Tour-du-Pin - Chambéry, ·         Supprimer le plus possible la circulation autoroutière dans les différentes vallées qui provoque de multiples pollutions (CO2 et particules fines) en la reportant très rapidement (pour les camions) sur le fret ferroviaire, ·         Ne pas attendre 2040/2050 comme le prévoit le Lyon -Turin pour avoir des camions sur les trains, ·         Ne pas abimer la montagne, notamment les sources d’eau, les forêts, et les ressources des agriculteurs. (*) les trains régionaux : Lyon-Chambéry, Lyon-Grenoble, Chambéry-Annecy, Chambéry-Saint Jean de Maurienne) Question : Pourquoi le coût est-il pharaonique ? L'estimation du coût global du Lyon-Turin est passée : ·         de 12 milliards d'euros en 2002, ·         à 26,1 milliards d'euros, en 2012 (Cour des Comptes Française), ·         à environ 30 milliards avec l’inflation en 2020 (cour des comptes européenne) ·         estimation sommaire à 34 milliards. Le coût du seul tunnel de base (*1) est passé :  ·         de 5,2 milliards d’euros en 2002, ·         à 9,6 milliards d'euros au printemps 2023  ·         à 11,4 milliards d’euros selon TELT en juillet 2024. L’aménagement des voies françaises (entre Lyon et Saint Jean de Maurienne)  ·         est estimée à 15 milliards d'euros, en juillet 2022, par Jean Castex, ·         actualisation à 16,38 milliards (inflation de 9,2% entre 07/2022 et 07/2024).Question : Quelles conséquences sur l’environnement ? On constate actuellement, avec seulement 22% des tunnels  creusés entre Saint Jean de Maurienne et l’Italie (Suze) : ->  Un asséchement des sources de plusieurs villages rendant l’agriculture problématique, -> Le creusement d’un tunnel en 2019, a selon Médiapart, vidé de son eau un pan de montagne dans la vallée de la Maurienne, en Savoie, provoquant l’accélération de l’affaissement du barrage du Pont des chèvres, situé à Orelle en Maurienne, -> Pour creuser les 6 doubles tunnels que nous jugeons inutiles, soit au total 140 km de tunnels, 800.000 poids lourds devront évacuer les 8,5 millions de m3 de gravats.  Question : Pourquoi la ligne actuelle n’est pas satisfaisante ? Actuellement, les trains sont particulièrement lents entre La tour du Pin  et Chambéry. Moyennes actuelles constatées : ·         59 km/h par TER entre la Tour-du-Pin et Chambéry (*1) ·         97 km/h: par TER entre Lyon et la Tour-du-Pin (*2) ·         109 km/h par TGV entre Chambéry et Saint Jean de Maurienne (*3) Actuellement, le trajet Lyon Chambéry- Saint Jean de Maurienne dure 2h10  ·         En train, 181 km, en 2h10, soit une moyenne de 83 km/heure ·         En voiture (selon Mappy), 1h55 heures soit une moyenne de 94 km/h (avec 23,2 euros de péage)   Hypothèse 1 : Rénovation des lignes existantes avec le nouveau double tunnel de Dullin-l’épine : 1h49 Scénario où l’on n’ajoute que le double tunnel Dullin-L’épine sur la partie où aujourd’hui les trains sont anormalement lents. Hypothèse des nouveaux temps de transport : ·         Lyon - Chambéry : 1h10 pour 105 km, (moyenne de 90 km/h), ·         Chambéry - Saint Jean de Maurienne : 39 minutes par TGV pour 75 km (moyenne de 115 km/h), ·         il faudrait donc 1heure 49 entre Lyon et Saint Jean de Maurienne, ·         Donc 6 minutes plus rapide qu’en voiture ! ·         30,4 km de tunnels creusés dans ce scénario (tunnel de Dullin doublé pour fret et voyageurs)   Hypothèse 2 avec les nouveaux tunnels (*1): 1h14 ·         on suppose qu’une hypothétique ligne plus directe ne ferait que 160 km avec 6 doubles tunnels ·         on suppose que le train pourrait rouler à une vitesse moyenne de 130 km/h ·         il faudrait donc 1heure 14 entre Lyon et Saint Jean de Maurienne  ·         170,4 km de tunnels creusés dans ce scénario (30,4 pour Dullin-L’épine et 140 km pour les 6 autres) Différence entre les 2 scénarios environ 35 minutes  (*1) les 7 tunnels prévus dans le projet Lyon-Turin entre Lyon et Saint Jean de Maurienne sont  des tunnels doubles pour les voyageurs et le fret : Le double tunnel qui nous semble utile (30,4 km): Dullin-L'Épine de 15,2 km débouchant sur la cluse de Chambéry, Les 6 doubles tunnels qui nous semblent inutiles (140 km): Bourgoin-Ruy (7,1 km), Sainte Blandine (2,1 km), La-Bâtie-Montgascon (8,4 km),  Chartreuse (24,7 km), Belledonne (19,7 km), Glandon (8km).
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    Créée par philippe S.
  • Nous avons notre mot à dire sur l'aménagement du coeur-village !
    Mi-juillet une réunion a été organisée par Monsieur le Maire et les Services Techniques Municipaux pour répondre au courrier de mécontentement d'un groupe d'habitants voisins du Petit-Bois; ces citoyens s'étonnaient que l' annonce d'une consultation dans le dernier bulletin municipal l'Echo ( n°141, Vive la biodiversité !: voir ici  [voir "Consultation pour une aire de jeux", page 3] ) sur le remplacement de l'aire de jeux des jardins de la Mairie ( Espace Vert Protégé ) par une nouvelle aire de stationnement et de la solution d'accompagnement envisagée ne se soit pas concrétisée.    Aucune information n'a été fournie  jusqu'en juillet sur l'évolution de ce projet ; nous avons été alertés par les premières réponses aux questions qu'ont suscitées l'aménagement effectué en juin dans le Petit Bois :  • une "sente" (qui se révèle bétonnée) y a été tracée …  • préparation d'une "clairière" côté Allée des fermes, dans une zone soi-disant protégée selon le PLU …  • les Services Municipaux prévoit d'y installer une aire de jeux réduite (un "bateau de pirates"), se substituant partiellement aux équipements en place dans les jardins à l'arrière de la Mairie, qui donnent entière satisfaction aux habitants de la commune. … La "consultation" publique s'est en fait limitée à recueillir l'avis des enfants  du groupes scolaire Les Saules sur le choix de l'équipement de jeux (*) nous informe publiquement le n° 142 de rentrée de l'Echo de Collégien (distribué fin août; voir pages 2 et 3), en même temps qu'il annonce le "choix" ( la décision arbitraire des Services municipaux ) de son installation dans le Petit-Bois. 1) Le premier motif d'opposition à ce  projet, exprimé d'entrée lors de la réunion, est l'extension qui semble parfaitement inutile du nombre de places de stationnement, déjà conséquent, aux alentours de la Mairie.  En fait, nous l'avons appris lors de cette même réunion, le raisonnement technocratique des responsables des Services concernés est qu'il faut prévoir 3x10 places de stationnement supplémentaires pour les 9 praticiens médicaux et l'espace kiné que la future Maison de santé pluridisciplinaire ( quelques infos ici ) devrait accueillir, après le déplacement de la Maison de l'enfance de l'aile du bâtiment voisin de la Mairie qu'elle occupe actuellement (**).  • Les Collégeois demandaient de sauvegarder l'offre de soins préexistante lors des départs en retraite des praticiens établis aux abords de la Maire… les participants à la réunion ont découvert à cette occasion que Collégien va accueillir un centre médical potentiellement surdimensionné pour la commune, si le projet de la CA Marne & Gondoire se réalise pleinement. Il devra recevoir des patients de communes environnantes,  motorisés : pour quel (sur) bénéfice pour la commune et ses habitants ? Une nouvelle surprise pour la population !  • Un inventaire des places du "cœur de village" aboutit au constat du doublement effectif des places de stationnement à moins de 250 m de la place Morvan (plus de 200 places au total), suite aux aménagements actuels (rappelés dans le dernier ° de l'Echo de Collégien) ou à venir (Petit-Bois). La solution proposée lors de la réunion de limiter la durée de stationnement ( "zone bleue" ) sur la totalité de la cinquantaine de places actuelle autour de la Mairie (***) paraît LA solution pour résoudre ce besoin (supposé / à vérifier lors du fonctionnement de la future Maison de la Santé en 2025) de places supplémentaires de stationnement  … et nous réclamons une réponse (argumentée) à cette proposition. 2) Le second motif d'opposition à ce projet est la protection de la biodiversité et de l'unique espace naturel restant au "cœur village" de Collégien, le Petit-Bois.  Cet espace naturel est en position très précaire, au vu des aménagements récents et des projets à venir: • le projet de parking aménagé (annoncé dans le bulletin municipal n°139 ( ici, page 5 ) remplaçant un emplacement historique pour forains (fêtes communales, passages de cirques) et qui permet de soulager les nouveaux problèmes de stationnement résidentiel, • la "sente" bétonnée réalisé ces dernières semaines, qui  double,  en serpentant au milieu du bois pour le même usage de raccordement à l'Allée des Fermes, l'allée existante du Petit-bois, • l'équipement que les Services Techniques s'empressent ( avant même la date annoncée des travaux ) de préparer en dégageant sévèrement la "clairière" au bord de l'Allée des Fermes va évidemment induire une occupation renforcée et dommageable  de cet espace jusque là naturel.     Comme le rappelait opportunément le numéro 141 de l'Echo de Collégien, le respect de la biodiversité n'est pas qu'un sujet à la mode !  Il est indispensable de limiter autant que possible les effets néfastes de la nécessaire évolution de notre commune, de "mettre en accord les paroles et les actes", dans chaque projet.    C'est pourquoi l'installation du "Bateau de pirate" en face de l'école des Saules,  l'autre emplacement envisagé par la Municipalité, sur la place jouxtant le plateau d'évolution, proche de la future Maison de l' Enfance, est largement plus   pertinente et nous demandons également la révision du projet imposé par les Service municipaux. Pour dire non au tout-voiture dans Collégien,  non à la bétonnisation de nos espaces verts,   non  aux aménagements coûteux et inutiles,  SIGNEZ CETTE PETITION!   notas: *: Monsieur le Maire a présenté ses excuses sur cette erreur de communication lors de la réunion / le DGS (Directeur Général des Services municipaux) soutient qu'il ne faut pas lire dans le bulletin municipal l'annonce d'une consultation publique **: la Maison de l'enfance sera déplacée auparavant à côté du groupe scolaire Les Saules dans un bâtiment en cours de construction ***:  "15 places sont occupées en journée par les employés municipaux" ont précisé les Services municipaux; leur demander de stationner dans les parkings périphériques libéreraient la moitié des places estimées nécessaires ! la Municipalité n'a pas répondu à la proposition faite en cours de réunion de stationnement réglementé "zone bleue" sur les places existantes à l'arrière de la Maire 
    18 sur 100 Signatures
    Créée par Collégeois p.
  • Les trottoirs pour les piétons et une vraie piste pour les cyclistes sur le pont Saint-Esprit !
    En effet, depuis les travaux de 2018 liés au Tram’bus, les expérimentations de circulation en place donnent lieu à une cohabitation malheureuse et dangereuse entre piétons et cyclistes, tandis que les bus sont régulièrement bloqués dans les embouteillages avec les voitures. Cette situation, qui dure depuis près de six ans, met en péril la sécurité de tous les usagers et nuit à la qualité de vie dans nos quartiers.  C’est pourquoi nous demandons sans attendre des espaces séparés et sûrs pour les piétons et cyclistes, afin de faire du pont Saint-Esprit un véritable lieu de passage dynamique, bénéfique à toute la communauté.  Il est temps de rendre le pont Saint-Esprit accessible, sûr et accueillant pour tous les Bayonnais.
    1 198 sur 2 000 Signatures
    Créée par Txirrind'Ola
  • Non à la navette autonome Beti à Crest & en Vallée de la Drôme, pour d'autres projets de société
    Au lieu de subir constamment les décisions unilatérales des élus locaux et de se soumettre aux logiques capitalistes et technologiques sans avenir, il est important de se réunir pour lutter ensemble et faire grandir des projets de sociétés vivables et désirables, socialement justes et écologiquement soutenables. Les catastrophes sociales, écologiques, climatiques en cours méritent bien mieux que du solutionnisme technologique. On a besoin de vraies améliorations sociales et politiques, pas de robots « high tech ». Et si on mettait fin à la résignation et la soumission par rapport à tous ces projets présentés abusivement comme bons et inéluctables ? Ce projet aberrant de navette autonome Beti est une bonne occasion pour commencer à se relever, réfléchir et agir. Une pétition n’est qu’un (très) modeste début en ce sens. C’est à nous toustes d’aller beaucoup plus loin ensemble, le plus loin possible.
    143 sur 200 Signatures
    Créée par Groupe écolo e.
  • Non à l'autoroute A154-A120 !
    Monsieur le Ministre des Transports, Monsieur Le Ministre de la Transition Ecologique et de la cohésion des territoires, Notre collectif est né en janvier 2023 pour venir renforcer les actions des associations membres de la FEEL (Fédération Environnement Eure-et-Loir) contre ce projet anachronique, voici pourquoi : 👉 Alors que l’État a pris des engagements bas carbone, ce projet est aux antipodes des enjeux de réduction de gaz à effet de serre : il a été pensé il y a plus de 20 ans et ne serait réalisé qu’à horizon 2030 ! La DUP (Déclaration d'Utilité Publique) de 2018 et son chiffrage à plus d'1 milliard d'euros et 350 000 tonnes de CO2 sont hors sujet aujourd'hui ! 👉 Avant toute chose, chaque mètre de bitume pompe 1 litre d’eau de nos nappes phréatiques qui sont chaque année de plus en plus menacées, et empêchent nos agriculteurs de produire à plein régime (-40% de droit à irrigation en 6 ans). La ressource en eau va devenir si rare qu’on sera bientôt rationnés et tout supplément de surface artificialisée contribue directement à augmenter les problèmes de graves inondations en alternance avec de graves sécheresses ! 👉 Ce projet va à l'encontre des objectifs que la France s’est fixés en matière d’artificialisation : 660 hectares de terres agricoles seraient artificialisées, et 90 hectares d’espaces forestiers traversés. Au total : 750 hectares de terres fertiles seraient ainsi menacées. Par ailleurs, la destruction massive d’habitats naturels affecterait directement la faune et la flore, donc la chaîne alimentaire dont nous faisons partie. 👉 Les fortes pollutions de l’air et les nuisances sonores attendues dans les 35 communes limitrophes affecteraient de plein fouet les riverains et riveraines, en plus d’augmenter l’accidentologie dans les villages, ce qui obligerait les mamans à déposer les enfants en voiture contre poussettes et vélos aujourd'hui…. 👉 Poussé par des élus locaux, notamment sur Chartres et Dreux, ce projet n’a aucune cohérence économique : d’une part au vu du coût pour le concessionnaire (qui aura besoin d’une énorme subvention d’équilibre), d’autre part pour les 35 communes qui devraient prendre en charge toutes les mesures d’accompagnement, et enfin pour les Euréliens navigant tous les jours entre Chartres et Dreux qui ne voudront pas sacrifier leur budget vacances pour payer le péage pour leur trajet quotidien (prix du simple trajet à 6 €) et qui contourneront l’autoroute, comme de nombreux PL, en passant par les villages (presque 100 communes sont concernées) Pour ces raisons, nous demandons aux collectivités locales et à l’État d'agir : notre collectif exige un arrêt du projet d'autoroute afin de préserver le cadre de vie eurélien et régional, et s’associe bien entendu à l’arrêt de tous les projets autoroutiers en France avec la Déroute des Routes car ils contribuent à tuer progressivement nos ressources naturelles en France, eau, agriculture et biodiversité ! D'ici peu, vous allez nous annoncer la liste des projets autoroutiers maintenus par le gouvernement. L'Etat n'ayant encore rien engagé sur ce projet, il est encore temps de le stopper. Nous vous demandons, Monsieur le Ministre des Transports, de bien vouloir entendre cet appel citoyen massif afin de vous éviter un nouvel A69 ici en Eure-et-Loir, à une heure de la capitale.  Pour les mêmes raisons, nous vous demandons, Monsieur Le Ministre de la Transition Écologique et de la Cohésion des Territoires, de bien vouloir revoir votre liste des 167 projets sortis de la loi ZAN afin de conserver l’esprit dans lequel cette loi ZAN a été votée pour réduire les surfaces artificialisables de la France. Ce ministère doit protéger tous les français, dans la durée, des impacts directs de cette artificialisation sur le dérèglement climatique et sur les catastrophes “dites naturelles” pour lesquelles nous sommes évidemment responsables. STOP !  Comment pouvez-vous qualifier ces projets destructeurs de projets d’envergure nationale et européenne d’intérêt général majeur alors qu’ils menacent directement nos ressources et sont accélérateurs de catastrophes “naturelles” ? Ces projets n’ont par ailleurs pas été sélectionnés de façon démocratique mais arbitraire, et ce, au détriment de tous les vivants sur le sol français ! Si vous avez des enfants et des petits-enfants et que vous vous souciez de leur avenir, vous DEVEZ abandonner ce projet d'autoroute d’une autre époque, et investir dès maintenant et massivement dans la réouverture des petites lignes de train et dans le fret ferroviaire, comme engagé dans le Contrat Plan Etat Région de l'été 2023.  Nous sommes de plus en plus nombreux en Eure et Loir à dire NON au projet de mise en concession de nos RN12 et RN154 :  je suis agricultrice bio et ma baisse de ressource en eau menace mon activité, je suis père de 2 enfants et agriculteur, et mon exploitation va être coupée en deux sans compensation,  je suis maman d'une petite fille en poussette dans un village calme aujourd'hui mais qui demain sera traversé par des convois de poids lourds,  je suis ingénieur en génie civil à la retraite et je travaille sur des alternatives ferroviaires,  je suis papa de deux enfants et maire d'un village sacrifié au coeur d'une vallée classée,  je suis agriculteur conventionnel et ma propriété deviendra invendable quand les poids-lourds passeront sous mes fenêtres pour éviter de payer l'autoroute,  je suis étudiant et vraiment inquiet pour mon avenir,  je suis habitant d’un village d’Eure-et-Loir et je ne veux pas d’une plateforme logistique dans mon jardin.  Et vous, Madame, Monsieur, chers concitoyens Euréliens, pourquoi vous opposez-vous à ce projet d'autoroute en Eure-et-Loir ? Contactez-nous, signez et partagez cette pétition adressée à nos deux ministres.  Le Collectif Non A154 A120
    12 321 sur 15 000 Signatures
    Créée par Le Collectif Non A154 A120
  • Non aux nouveaux échangeurs A7
    S’appuyant sur des chiffres fantaisistes, des études orientées, affublant le béton et le goudron de vertus écologiques, le concessionnaire Vinci ressort un vieux projet de construction de plusieurs nouveaux demi-échangeurs sur l’Autoroute A7, notamment à Saint Rambert d’Albon et Saint-Barthélémy-de-Vals dans la Drôme.  Les villages du nord Drôme ne sont ni enclavés, ni sous-développés. Alors pourquoi donner la priorité au trafic routier ?  ⛔ En plus de son inutilité, ce projet aurait des conséquences désastreuses pour la région :  ⚠️Ce serait ouvrir le territoire à encore plus d’artificialisation des terres nourricières et de la spéculation qui l’accompagne, par des entreprises fragilisées par leur dépendances aux flux mondiaux instables. ⚠️ Ce serait augmenter le trafic de l’autoroute mais aussi et surtout de tout le réseau secondaire et communal, avec des villes et villages déjà asphyxiés par les camions et les voitures : Saint Sorlin, Manthes, Moras en Valloire, tous les villages de la Galaure, les communes le long de l’axe Romans / Saint Donat / Bren / Saint Barthélémy, les villages d’Andancette et Andance, les hameaux du Creux de la Thine et de Villeneuve de Vals. Saint Vallier et Sarras peuvent s’apprêter à revivre l’enfer des embouteillages de triste mémoire. ⚠️ Ce serait augmenter le trafic et augmenter la pollution atmosphérique, la pollution des sols et des nappes phréatiques. ⚠️ Ce serait signer l’arrêt de mort de la biodiversité. Ce serait afficher clairement que les derniers couples de bruant ortolan, espèce protégée d’oiseau emblématique des Fouillouises, peuvent mourir comme le révélateur du mépris des politiques locales aux autres vivants. ⛔ Non au gaspillage d’argent public ! L’argent public serait mieux employé à développer d’autres politiques qui favoriseraient la souveraineté alimentaire, qui soutiendraient l’initiative locale en la rendant moins dépendante des grandes agglomérations et des flux mondialisés. Cela pourrait être au service de politiques pour renforcer les modes de déplacement doux : en relançant le ferroviaire sur les deux rives du Rhône et faisant des gares de Sarras, Saint Vallier, Andance, Andancette et Saint Rambert des lieux de vie, en réalisant un réseau de voies cyclables maillant tout le territoire, ou encore en réutilisant le Rhône même pour de courtes distances. Autant de propositions concrètes à réaliser rapidement qui permettraient de penser qualité de vie et projection dans le futur avec plus de sérénité. Le projet qui devait avoir lieu à Saint-Paul-Trois-Châteaux a été suspendu : il est encore possible de stopper ceux du nord de la Drôme ! Signez cette pétition pour dire stop avec nous, et partagez-là autour de vous !
    2 927 sur 3 000 Signatures
    Créée par Point de Bascule, Vivre et Assez
  • NON au parking de la honte à Angers !
    NON AU PARKING DE LA HONTE ! Non au parking-aspirateur à voitures de M.Béchu au pied du château ! A l’instar de M. Macron, M. Verchère (Maire d'Angers), la majorité municipale et M. Béchu (1er adjoint et ministre en charge de l’écologie) « adorent la bagnole » !  Il y a maintenant urgence car le permis de démolir de la caserne de l’académie est déposé et le 18 mars, le chantier a commencé par un abattage scandaleux de 8 grands ormes en cette période pré-printanière de nidification. Là doit être édifié un parking de 300 places au cœur du quartier historique de l’Esvière sous prétexte de végétalisation du parking du château, de la place de l'académie et de la suppression des 147 places de stationnement. Il faut maintenant assumer de faire disparaître quelques places de parking et inciter à un changement réel de mode de déplacement. La ville a pourtant investi sur 2 nouvelles lignes de tramway pour près de 250 millions d’euros et des parkings relais sont à disposition, quitte à en augmenter le nombre de places. Cependant dans une logique passéiste, M. Béchu avait promis qu’aucune place de stationnement ne serait perdue. Ce parking est donc symptomatique de l’archaïsme de la ville en matière d’occupation de la voiture aux dépens des mobilités douces. Ce projet est anachronique à l’heure où la majorité des villes françaises n’édifient plus de parking en centre-ville et piétonnisent les espaces de vie. Tel un bulldozer sourd et borné, la municipalité refuse tout dialogue avec les opposants dans une posture anti-démocratique.  Pourtant, depuis plusieurs années des associations et collectifs citoyens engagés pour l’écologie et le patrimoine historique alertent sur ce projet coûteux, inutile et délétère au regard de l’urgence écologique :  • Le parking est un gaspillage d’argent public. 8,5 millions d’euros sont annoncés alors que, d’après des relevés officiels, le taux d’occupation des 5 parkings aux alentours est très loin de la saturation (548 places libres en moyenne de décembre 2023 à mai 2024) avec un constat similaire sur l’ensemble des parkings angevins (1841 places libres en moyenne sur la même période). Et sans compter la voirie !   • L’impact d’un tel ouvrage dans ce quartier tranquille aux rues étroites serait catastrophique sur le plan de la sécurité, de la pollution sonore et atmosphérique (augmentation des mortelles particules fines PM2.5 et du NO2). Cela nuirait gravement à la santé des enfants de l’école mitoyenne de la Blancheraie et des habitant.es dans un contexte où les normes européennes évoluent pour des objectifs plus ambitieux dès 2030 !   • Le site revêt un intérêt archéologique très important après un diagnostic réalisé en 2023 et mériterait des fouilles approfondies avant tout projet de construction. Le rapport suite à l'enquête publique dans le cadre du Plan de sauvegarde et de mise en valeur fait état d'un projet peu en phase avec les objectifs de mobilités douces et de préservation du patrimoine du plan ! • Il est temps maintenant d'abandonner ce type d'immeuble "à voitures" et de réserver ces espaces fonciers pour des immeubles "à humains" dans une ville à la population en constante augmentation. Alors qu’Angers affirme sa volonté d’œuvrer ardemment pour la transition écologique et que son ancien maire est devenu ministre de l’écologie, nous vous demandons Mesdames et Messieurs les élu·e·s l’abandon définitif de ce projet. Car d’autres projets alternatifs positifs autour de l’humain sont à inventer dans ce quartier en réhabilitant les bâtiments existants vers des usages de vie (habitations, locaux associatifs, tiers lieux…).  Le collectif NON au Parking Silo - Avec le soutien d'Extinction Rebellion Angers, Justice Climatique Angers & Greenpeace Angers
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    Créée par Collectif NON au parking silo !.
  • STOP aux entrepôts logistiques en Sarthe... ni ici, ni ailleurs !
    La crise sanitaire a rappelé l'importance de la sécurité de l'approvisionnement alimentaire et du maintien d'une agriculture forte et qualitative. Dans ce contexte, la préservation des terres agricoles est essentielle. Or l'artificialisation des sols au détriment de l'agriculture se poursuit, en raison notamment de l'étalement urbain, du développement des transports et des infrastructures, et de la spéculation foncière. La concentration des terres aux mains de grosses sociétés continue, à l'opposé du modèle d'agriculture à caractère familial qui assurerait e la souveraineté alimentaire de notre pays. Une véritable politique foncière agricole permettrait de mieux maîtriser et réguler l'évolution du foncier agricole. (Source : La Cour des Comptes - https://www.ccomptes.fr/fr/publications/les-leviers-de-la-politique-fonciere-agricole ). Chaque année, en France, entre 200 et 300 km² sont imperméabilisés, soit 2 à 3 fois la taille de la ville de Paris (Source : https://fne.asso.fr/dossiers/artificialisation-des-terres-enjeux-et-solutions). Pour les politiques de presque tous les bords, construire des entrepôts signifie créer de l’emploi, notamment dans les zones périurbaines au fort taux de chômage. Mais les nouveaux postes, souvent intérimaires, restent très précaires. Dans le cas d’Amazon, le solde s’avère même négatif. Le développement de l’entreprise américaine aurait engendré la destruction de 8 400 emplois dans le secteur du commerce de détail en France en 2019 selon un rapport des Amis de la terre. (source https://reporterre.net/Une-coalition-contre-la-folle-expansion-des-entrepots-logistiques - Lien vers le rapport : https://www.amisdelaterre.org/wp-content/uploads/2022/03/rapport-emploi-e-commerce-vdef.pdf). Or les promoteurs immobiliers font des réserves et spéculent sur les terres qui vont devenir de plus en plus rares et chères. Antoine Tostain, patron de Tostain & Laffineur, affirme : “ tout le monde a construit en même temps dans un marché de croissance, ce n’est plus le cas aujourd’hui (...) Il recense plus de 6 méga entrepôts de plus de 100 000 m² disponibles en France dont 3 dans la région du Nord." Par exemple 11 sites logistiques de plus petites tailles sont toujours vides dans la métropole de Lille (source : article paru dans la voix du nord - le 5 Février 2024) Les groupes investissent donc sans certitude de trouver des locataires. (source : https://reporterre.net/Pourquoi-les-entrepots-logistiques-poussent-comme-des-champignons). La problématique supplémentaire du bâtiment non utilisé est « avec quel argent public » va-t-on le maintenir en état et/ou le démonter ? » Avant que les terres ne deviennent plus rares et chères, le marché des entrepôts logistiques s’accélère à coups de spéculation. Ces énormes bâtiments vides gâchent la vie, et la vue, des habitants et risquent de rester vides ! Nicolas Rimbaud, enseignant-chercheur à l’Institut de géographie et d’aménagement de Nantes Université, note lui une croissance de ces entrepôts sur les dix dernières années sur notre territoire : « Quand on regarde les chiffres des permis de construire, on voit une forte hausse. On est passé, il y a une dizaine d'années, d’environ 3 millions de mètres carrés d'entrepôts qui étaient construits à actuellement plus de 5 millions de mètres carrés construits sur les dernières années. Cela découle du fait qu'il a de plus en plus de besoins en services logistiques et c'est essentiellement la consommation qui porte ces besoins-là. Que ce soit le e-commerce ou la consommation traditionnelle en magasin. Ces entrepôts vont se mettre à proximité des bassins de consommation, ce qui va expliquer leur géographie, mais pas pour autant au milieu des grandes villes. Ils vont chercher un compromis entre le foncier le moins cher et l'accès le plus rapide aux marchés de consommation. » (source : https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/la-terre-au-carre/la-terre-au-carre-du-mardi-13-fevrier-2024-8516140). « Si chacun se tire la bourre pour attraper le peu de foncier qu’il y aura, ça va être la guerre. » Charles Fournier, député (Les Écologistes) d’Indre-et-Loire, à l’initiative de la mission d’information sur les entrepôts XXL, est inquiet. Le développement des entrepôts logistiques s’est tellement accéléré ces dernières années — l’envolée du commerce en ligne aidant —, que les surfaces construites sont, chaque année, supérieures aux constructions de bureaux et de commerces. Et ce, dans une certaine opacité. (source : https://reporterre.net/Entrepots-logistiques-un-etalement-en-toute-opacite). Par exemple, parmi tous les projets, depuis 2021, dans la zone d'activité du Coutier, à Cherré-Au (Sarthe), le groupe GLP veut construire deux entrepôts logistiques d'une surface totale d'environ 130.000 m2. Au terme de l'enquête publique, le commissaire enquêteur vient d'émettre un avis défavorable. Il a notamment émis des réserves sur les précédentes études concernant l'impact des travaux, le trafic routier, le respect de la faune et la flore, les nuisances sonores, etc. Il reconnaît que la logistique est nécessaire à l’économie. Cependant, "le développement de centres dédiés exclusivement au transport « tout camions » non-conformes aux enjeux environnementaux et aux réductions d’émissions de CO2, sans recherche de solutions alternatives et sans schémas stratégiques déclinés dans les documents d’urbanisme (SCOT, PLUI) n’est pas en accord avec les objectifs de transition énergétique", peut-on lire dans les conclusions de l'enquête publique. Sans compter que le groupe siongapourien GLP a vu sa notation financière (Fitch) dégradée en Novembre 2023 au niveau BB, ce qui signifie « forte probabilité de défaut de paiement (sic) »
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    Créée par Stop Amazon et son monde
  • Pour le TER au prix du covoiturage
    Les prix des Trains Express Régionaux (TER) sont souvent incompréhensibles pour les usagers et plus encore pour les non-usagers. Certains usagers experts ou les abonnés payent parfois un prix attractif. A l’inverse, les voyageurs « occasionnels » sont confrontés au « plein tarif », environ deux fois plus cher que le covoiturage : « Je suis allé à la gare et, vu le prix du billet TER, finalement j’ai pris ma voiture », témoigne un habitué de l’automobile. Le covoiturage est la référence des prix En France 83 % des courtes distances se font en voiture individuelle. Dans la ruralité et sur les villes moyennes l’usage de la voiture est la norme et le principal concurrent du train. Pour ceux qui recherchent une alternative, la référence est donc le covoiturage. Pour que les voyageurs se reportent vers le train, le prix a besoin d’être compétitif avec le covoiturage. Améliorer l’équilibre économique en remplissant les trains Le prix du covoiturage est déjà le prix de vente moyen du TER. Le généraliser permettra de proposer un tarif attractif et d'augmenter la fréquentation pour mieux couvrir les coûts fixes élevés du ferroviaire et améliorer ainsi l’équilibre économique. La moitié des voyageurs sont des occasionnels et ils génèrent les 3/4 des recettes Actuellement, les voyageurs occasionnels payent bien trop cher : bien qu’ils ne représentent que la moitié des usagers, ils génèrent à eux seuls les 3/4 des recettes. Cependant, depuis 20 ans, ils ont tendance à fuir le TER en particulier à cause du prix. Le prix est un critère déterminant pour un grand nombre d’usagers D’autres critères sont aussi à améliorer, comme les fréquences des trains, l’amplitude horaire jusqu’en fin de journée, ou encore l’accessibilité des gares en particulier en vélo et en transports en commun. Toutefois, plusieurs études ont montré que, pour un grand nombre d’usagers - et malgré ce qu'en disent certains d'experts - le prix est bien évidemment un critère déterminant. Agir pour la transition Actuellement si 80 % des Français utilisent peu le TER, c’est parce qu’ils prennent la voiture. Réduire les prix pour les voyageurs occasionnels facilite le report modal depuis la route, ce qui apporte un bénéfice fort pour la transition écologique dans les transports. A l’étranger, des trains régionaux sont déjà « au prix du covoiturage » A l’étranger, certains réseaux de trains régionaux sont déjà « au prix du covoiturage » par exemple en région Catalogne, où le train régional est dans la pratique peu concurrencé par le covoiturage, ou encore en Italie. La Région Île-de-France limite le prix à 2,50€ quelle que soit la distance. La complexité tarifaire génère des barrières d’entrée Pour tenter de pallier le manque d’attractivité du « plein tarif », les régions, qui sont décisionnaires sur les TER, proposent une multitude d’autres tarifs promotionnels. Cependant, la complexité des réductions qui varient d’une région à l’autre est une barrière d'entrée pour les non-initiés. Promouvoir l’accès au service public ferroviaire pour tous Les TER sont un service public financé par les pouvoirs publics. Le contribuable paye environ 70 % des coûts des TER. Le passager paye les 30 % restants. La solidarité pour l’accès pour tous au service public du TER passe donc déjà par la fiscalité. Pour des questions de préservation de la vie privée, il n’est guère souhaitable de varier en doublon le prix du billet en fonction des revenus exacts de chacun. Notons que la moitié des Français les plus riches ne sont pas disposés à payer plus cher, d’autant qu’ils sont davantage motorisés. Par ailleurs, les « tarifications sociales » censées atténuer l’impact du « plein tarif » se heurtent au « non recours au droit » à cause là aussi de la complexité des démarches administratives pour accéder aux tarifications sociales. Au final « le TER au prix du covoiturage » améliore l’accès au service public du TER pour tous. Inclure la ruralité La ruralité manque de solutions de transports, comme le rappelle la révolte des « gilets jaunes ». Au moment où les fluctuations des prix du carburant inquiètent les automobilistes, il est important que le service public ferroviaire soit clairement perçu comme accessible à tous. De nombreux résidents des petites villes et de la ruralité, surtout s’ils sont éloignés des gares, ont besoin de prendre le train par exemple à une fréquence d’une dizaine de voyages par an, ce qui ne justifie pas un abonnement. Les tarifs ont d’ailleurs tout particulièrement besoin d'être inclusifs aussi pour tous les usagers très occasionnels qui pour l'instant sont éloignés du train. Faire payer plus cher ceux qui prennent peu le train a pour effet de renforcer le sentiment de dépendance à la voiture, très présent dans la ruralité et sur les villes moyennes. Nous demandons aux régions de : * réaliser une étude pour savoir quel prix du TER serait attractif pour les voyageurs occasionnels et pour les nombreux français qui pour l'instant ne prennent pas le TER. * lancer une tarification TER s’approchant progressivement du « prix du covoiturage », pour tous, sans barrières d'entrée. A l’État et la SNCF : * de promouvoir l’émergence des tarifications simples et attractives pour les trains TER. Retrouvez notre article complet ici Premières organisations signataires : Extinction Rebellion France, Alternatiba, CNR, Carfree.fr, Coordination Ferroviaire Bretonne (12 associations), Kernavélo (29), Aurail (18 assos en AURA), UT du Haut Allier (43), Étoile Ferroviaire de Veynes (05), Défense de la gare d'Assier (12), CDRIC (31), CADE (64), Osez le vélo (65), UT Perpignan-Portbou (66). Associations : merci de nous contacter pour cosigner !
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    Créée par Oui au train de nuit !. Picture
  • STOP Océane 3 : NON à l’extension d’une zone d’activités au nord d’Angers
    Océane 1, 2, 3... Mais ça s'arrêtera quand?! Dans le viseur, un patrimoine rural de 150 ha de terres fertiles et cultivées, de zones humides ou boisées, de haies et de prairies, de hameaux et de fermes à Verrières en Anjou. Éparpillés à l'intérieur de ce vaste périmètre, 40 ha disparaîtraient sous le goudron, pour implanter des bâtiments industriels dont tout le monde ignore la finalité. Angers Loire Métropole (ALM) s'obstine à poursuivre ce projet, en dépit de l’urgence écologique actuelle et des préoccupations citoyennes sur le sujet, en contradiction avec la trajectoire Zéro Artificialisation Nette des sols de la loi climat et résilience, et à contresens du Projet Alimentaire Territorial pour l’agriculture locale. Conserver chaque hectare de cette zone naturelle et agricole au nord d’Angers est indispensable. En voici les principales raisons : - L'Océane 1 et sa récente extension ouest (110 ha déjà artificialisés) créent de nombreuses nuisances pour les riverains : bruit, pollution atmosphérique et lumineuse, flux incessant de camions... Avec ce projet, Verrières en Anjou se verrait totalement encerclée par les entrepôts industriels. - Les emplois nouvellement créés dans ce genre d'infrastructures sont souvent précaires (la récente grève de salarié.e.s de l'entreprise Action témoigne de conditions de travail catastrophiques), et généralement associés à des licenciements massifs dans d'autres zones géographiques. - Une énorme voirie traverserait la zone pour relier l’entrepôt Action à la plateforme Geodis, augmentant encore le trafic routier et constituant une rupture nette de la continuité des espaces naturels. - L’agriculture existante sur place (70 ha dont la moitié en bio) est une activité économique réelle et essentielle, elle contribue à une filière alimentaire locale et doit être soutenue sur des terres qui, d'après des agriculteurs locaux, sont tout bonnement « les meilleures de la commune »! - Ailleurs sur l'agglomération, plusieurs hectares de friches industrielles et commerciales sont inutilisées. Les réhabiliter et utiliser les réserves foncières capitalisées par ALM doivent être une priorité. Préservons notre environnement! Ne le vendons pas à une croissance économique aveugle ! - L’artificialisation des sols est la première cause d'extinction de la biodiversité. Les Pays de la Loire sont déjà la 4e région la plus artificialisée de France. - Le périmètre d’étude comprend 26 hectares de zones humides, et 18% de ces fragiles écosystèmes seraient situés en pleine zone d'aménagement, ou tout simplement détruits! Plusieurs espèces protégées dont le grand-capricorne et la barbastelle d'Europe sont répertoriées localement. - La mise en œuvre du projet réduirait de 26% la largeur de la ceinture verte à l'est d'Angers (pourtant essentielle face au réchauffement climatique) qui relie les basses vallées angevines à la vallée de la Loire. En conséquence, NOUS, citoyen.ne.s, riverain.e.s, militant.e.s, collectifs et associations, syndicats et partis politiques, demandons, par cette pétition adressée à Angers Loire Métropole, l’abandon du projet Océane 3. En signant cette pétition, vous pourrez choisir de recevoir des informations concernant l'évolution de la mobilisation, prendre part aux débats publics, et participer à des actions citoyennes contre ce projet. - Il est urgent d'agir ! Collectif Stop Océane 3
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    Créée par Collectif Stop Océane 3