• De la sécurité pour les cyclistes à Villard-Bonnot!
    Actuellement, il est extrêmement dangereux de se déplacer à vélo ou à trottinette dans Villard-Bonnot: -l'axe principal (RD 523) est très étroit -il comporte latéralement des places de stationnement pour automobile, mais aucune piste cyclable dans les endroits les plus dangereux -le trafic y est souvent très dense, avec des semi-remorques, des tracteurs, des cars, et un effet de saturation le matin aux heures des écoles -la visibilité y est mauvaise avec des pentes et des virages. Or la commune ne respecte pas la loi en matière d'aménagement pour les cyclistes: -cet axe a été rebitumé l'été 2024, en traçant au sol des places de stationnement pour automobiles mais aucune piste cyclable, -alors qu'il est obligatoire de prévoir des aménagements cyclables à chaque rénovation d’axe routier en agglomération, selon l’article L228-2 du Code de l’Environnement, issu de la Loi sur l’Air et l’Utilisation Rationnelle de l’Energie (LAURE) de 1996, puis mis à jour et précisé par la Loi d’Orientation des Mobilités (LOM) en 2019). Nous, cyclistes habitant Villard-Bonnot, usagers de modes doux (vélos, trottinettes...) circulant sur l'axe RD 523 au sein de Villard-Bonnot, exigeons que la commune respecte la loi grâce à la mise en place par la mairie de deux pistes cyclables latérales, afin de pouvoir circuler en sécurité sur cet axe. L'espace nécessaire pour ce faire sera à prendre sur l'espace de stationnement réservé actuellement aux automobiles, en créant des aires de stationnement à la périphérie de la commune comme le font les communes de Provence, des Alpes-Maritimes, ou de Corse, dont les ruelles en escaliers ne permettent factuellement pas aux automobiles d'y circuler. 
    6 sur 100 Signatures
    Créée par Jean P.
  • POUR UNE PISTE CYCLABLE SECURISEE DE GONDECOURT A NOYELLES EN PASSANT PAR HOUPLIN-ANCOISNE
    Depuis plusieurs années l’association environnementale Ahvenir milite pour cette piste cyclable. Ses demandes sont restées sans réponse, de la MEL d’une part, des conseillers départementaux du canton d’autre part. En effet cet axe est partagé entre le département du Nord et la Métropole Européenne de Lille et c'est pour cela que nous interpelons ces deux collectivités. Pourquoi cette demande ? L’usage du vélo se développe ces dernières années et c’est heureux. C’est bon pour la santé, la planète et le portemonnaie. C’est aussi utile dans la région lilloise, très embouteillée matin et soir, en permettant de réduire le nombre des véhicules. Et l’axe, constitué par les D147 à Gondecourt, rues Lebas et Lampin à Houplin-Ancoisne, rue d’Houplin à Noyelles, est particulièrement concerné par cette circulation qui met en danger cyclistes et piétons pour lesquels n’existent aucun aménagement routier. Dans ces différentes villes les personnes utilisant le vélo pour aller travailler, en particulier vers Lille et sa banlieue, sont de plus en plus nombreux. Nombreux aussi sont les collégiens et lycéens qui souhaiteraient se rendre d’Houplin-Ancoisne à Gondecourt pour rejoindre leur établissement scolaire et qui y renoncent compte-tenu du danger constitué par la circulation automobile sur une route étroite et sinueuse. Nous demandons donc que les deux collectivités se mettent d’accord pour constituer une vraie piste cyclable bidirectionnelle sur cet axe. Cette pétition, initiée par l’association environnementale Ahvenir, est soutenue par de nombreux citoyens. Elle est adressée aux présidents du département du Nord et de la Métropole Européenne de Lille. Nous comptons donc sur vous, messieurs les présidents, pour faire avancer cette demande de piste cyclable.
    302 sur 400 Signatures
    Créée par Ahvenir
  • Pollution de l'air et mobilités : ne sacrifions pas les plus vulnérables
    En 2025, 100% des Français sont exposés à des niveaux de pollution supérieurs aux recommandations de l’OMS pour au moins un polluant atmosphérique (1). Poisons invisibles et silencieux, les polluants s’infiltrent dans tout l’organisme et peuvent être impliqués dans le développement de pathologies respiratoires, cardiovasculaires, métaboliques… ou même neurodégénératives.  Les enfants sont particulièrement vulnérables à cette pollution, qui est responsable de près de 20 % des nouveaux cas de maladies respiratoires chez les 0-17 ans. C’est encore pire dans les zones où le trafic est dense : à Paris, la pollution routière est responsable à elle seule de près d’un cas d’asthme infantile sur trois - des chiffres saisissants, alors que 11 000 enfants de moins de trois ans sont hospitalisés chaque année en urgence pour asthme.  Les plus précaires - qui sont pourtant en moyenne moins véhiculés - sont également plus exposés. A Paris, le risque de mourir de la pollution de l’air est ainsi 5 fois plus élevé pour les plus pauvres. Pour répondre à cette urgence sanitaire et sociale, plusieurs outils, bien que perfectibles, ont déjà fait leurs preuves, motivés par la perspective des ZFE : développer l'offre de transports collectifs avec une tarification solidaire, renforcer les aides à l'achat pour un véhicule moins polluant, améliorer les infrastructures cyclables et aider à l'achat d'un vélo… Partout où ces leviers ont été actionnés, la qualité de l'air s’est améliorée (2) : à Paris, à Lyon, à Strasbourg, à Montpellier… Pourtant, aujourd'hui, ces outils sont menacés. Alors que les collectivités concernées appellent à de la cohérence et à de la continuité, la menace de la suppression des ZFE plane et s'accompagne déjà de reculs massifs : division par deux des aides à l'achat de véhicules électriques, diminution de 80% du fonds vélo, rabot de plus d'un milliard d'euros pour le fonds vert destiné aux collectivités. Ce retour en arrière est inacceptable. Reculer, c’est sacrifier la santé de dizaines de milliers de Français. C’est rester sourd à l’urgence sanitaire et sociale. C’est abandonner les plus précaires, et ne rien résoudre aux inégalités de mobilités.   Au contraire, nous avons besoin de plus de solutions et non de moins. En France, 15 millions de personnes sont aujourd’hui en situation de précarité mobilité. Leur problème, ce n’est pas les ZFE, mais le manque d’alternatives concrètes à la voiture individuelle. Il est indispensable et urgent de débloquer des investissements pour pallier ce manque : aides à l’achat de véhicules électriques (neufs ou d’occasion) et de vélos, développement des transports en commun… Nous avons besoin de politiques publiques ambitieuses, équitables et efficaces pour réduire la pollution, protéger les plus vulnérables, et accompagner le développement de la mobilité durable pour toutes et tous.  La séquence à venir est décisive : dans les semaines qui viennent, les responsables politiques vont décider de l'avenir des ZFE, mais aussi déterminer des priorités d'investissement pour les transports, à travers le dispositif Ambition France Transports.  Nous leur demandons de la cohérence : maintenir les ZFE, renforcer les outils associés, et garantir des financements pérennes pour la mobilité durable. Nous avons les moyens d’agir. Signez la pétition aujourd’hui pour demander au gouvernement et aux parlementaires des mesures fortes en faveur de la santé de toutes et tous, et des investissements pour des transports sains et durables. Vite, il y a urgence, le maintien ou non des ZFE sera décidé à l’Assemblée Nationale à partir du 30 mai. Respirer un air pur et se déplacer librement sont des droits, pas des privilèges ! Pétition lancée par : - Alliance des Collectivités Qualité de l'Air - Clean Cities France - Fédération française des Usagères et Usagers de la Bicyclette - France Nature Environnement - Fondation pour la Nature et l'Homme - Réseau Action Climat - Respire - Secours Catholique Sources : (1) https://www.atmo-france.org/ (2) https://cleancitiescampaign.org/research-list/lez-essential-guide/
    4 729 sur 5 000 Signatures
    Créée par Collectif pour la qualité de l'air
  • Aéroport de St Etienne - Loire : STOP au gaspillage d’argent public
    UN AEROPORT INUTILE DE TROP Cette année 2025, ce sera encore 1,2 millions d’€ injectés dans cet aéroport fantôme. Or, depuis 2017, aucune ligne régulière ne dessert l’aéroport. Et pour cause, l’aéroport international de Lyon St Exupéry (10,5 millions de passagers/an) n’est qu’à 90 km. Mais, pour les élus locaux, qu’importe les réalités socio-économiques, il en va de « l’image de marque » du territoire. UN PUITS SANS FOND Chaque année, des millions d’€ sont versés par le Département de la Loire, St-Etienne Métropole, Loire Forez Agglomération, CC Forez-Est et la CCI. Avec le désengagement de l’Etat, c’est plusieurs centaines de milliers d’€ qui vont alourdir davantage les charges de cet aéroport. DES FINANCEURS EN DIFFICULTES BUDGETAIRES Avec les difficultés financières du Département de la Loire (principal contributeur financier de l’aéroport) qui souhaite se recentrer sur ses compétences obligatoires, les administrateurs de l’aéroport en appellent désormais à la générosité de la Région Auvergne Rhône-Alpes pour alimenter ce tonneau des Danaïdes.  Demander à la Région qu’elle sauve cet aéroport fantôme est une provocation dans un contexte de contraintes budgétaires croissantes. LA PRIORITE, C'EST LA MOBILITE DU QUOTIDIEN, PAS L'AVION Car en matière de mobilité, la priorité est toute autre pour les ligériens : tous les jours, 80 000 véhicules bouchonnent aux portes de St-Etienne sur l’A72, faute de transport en commun suffisamment calibré. La Région, responsable des mobilités, laisse se dégrader le train de banlieue forézien qui transporte 350 000 passagers/an avec son lot de retards, annulations, manque de places. Beaucoup préfèrent prendre la voiture dans des conditions de circulations difficiles plutôt que de prendre le risque d’utiliser le TER trop peu fiable.  La Région doit agir en faveur des salariés, lycéens et étudiants qui prennent le train et désirent simplement arriver à l’heure au travail ou en cours. La priorité n’est pas d’aider des footballeurs ou des excursionnistes à voyager avec plus de confort. POUR LA DEFENSE DES SERVICES PUBLICS LIGERIENS REELLEMENT NECESSAIRES Les subventions en faveur de l’aéroport doivent être réaffectées sur d’autres politiques publiques plus urgentes : - fiabiliser l’offre train TER entre le Forez et St Etienne (Région AURa)  - aider les maisons de retraites et les collèges en déficit (Département de la Loire) - accélérer le projet de Service Express Régional Métropolitain (St-Etienne Métropole) - intégrer un volet mobilité au Plan d’Urbanisme Intercommunal  (Forez-Est) - développer des pistes cyclables dans la centralité montbrisonnaise (LFA) POUR UNE MEILLEURE UTILISATION DE L'ARGENT PUBLIC À travers cette pétition, nous souhaitons ouvrir un débat sur l’usage des subventions publiques et la définition même du service public local. Nous déplorons que la séance de débat budgétaire du syndicat de l’aéroport soit prononcée à huis-clos pour empêcher le public d’assister aux échanges.  Signez cette pétition pour demander une gestion transparente et plus utile de l’argent public dans le Sud-Loire.  Non au gaspillage des fonds publics ligériens dans l’aéroport de St Etienne Loire.  Non à l’intervention financière de la Région pour sauver coûte que coûte cet aérogouffre.
    1 170 sur 2 000 Signatures
    Créée par Forez Agir Picture
  • Les transports publics gratuits, maintenant!
    Devenons des voyageurs & voyageuses sans tickets ! Billetterie et abonnements ne représentent pour Mulhouse Agglo que 15 % du coût total de la gestion de Soléa. Les 85 % restant sont fournis par l’impôt. Nous constatons que les réalisations partielles mise en place par l’intercommunalité ne répondent pas aux besoins. Les collectivités & l’État peuvent mieux faire ! Exigeons de nos élus-es locaux qu’ils & qu’elles assurent de nouveaux droits pour toutes & tous les usagers des transports publics : - Des liaisons rapides entre Mulhouse et les vallées vosgiennes, ainsi que le Sundgau ; - Des liaisons rapides avec l’Allemagne et la Suisse ; - Etendre le réseau Tram à Bollwiller, puis en direction du Sundgau, Ottmarsheim, Morschwiller… - Coordonner les correspondances entre Soléa & la SNCF ; - Améliorer les horaires pour les nuits, les dimanches & jours fériés, ainsi que les périodes de vacances scolaires. SAG (Sud Alsace Gratuité pour les transports publics) Collectif adhérent à l'UGDT Pour nous contacter : [email protected] https://www.greenvoice.fr/assets/uploads/2025/02/carte-68-intercom_page-0001.jpg Carte des EPCI du Haut-Rhin au 1er janvier 2019. https://www.greenvoice.fr//assets/uploads/2025/02/Carte-de-France-des-transports-publics-gratuits_page-0001-e1740752046494.jpg
    1 689 sur 2 000 Signatures
    Créée par jean-jacques G.
  • Oui à un Contournement apaisé à l'Ouest de Montpellier ! Non à l'autoroute urbaine (COM Vinci) !
    L'État a confié à Vinci-ASF la création d'une autoroute urbaine de 6,2 km traversant du nord au sud l'ouest de Montpellier et Saint-Jean-de-Védas.  Vinci le déclare dans ses écrits devant la justice, premier objectif du COM : « assurer une continuité du grand itinéraire autoroutier entre l’A 75 et l’A9 vers Clermont-Ferrand, dans la logique de l’orientation globale nord/sud et sud/nord de la concession ASF. » Les autres objectifs, « meilleure fluidité et sécurité du trafic sur l’A 709, meilleure desserte de la zone urbaine de Montpellier, rendre leur vocation urbaine aux voiries métropolitaines restantes aujourd’hui congestionnées – en renforcement de la vocation première de l’A709 », sont essentiellement destinés à faire passer le projet auprès des autorités locales. Au demeurant, l’A 709 est déjà saturée ! Le début des travaux est prévu pour 2026 pour une livraison 2030. Le Collectif AutreCOM s’est constitué pour proposer une alternative viable au projet Vinci qui ne répond pas selon nous, aux besoins réels de mobilité locale. Notre collectif demande que le projet du COM soit réévalué au regard des enjeux climatiques, sociaux et environnementaux actuels, et pour anticiper les besoins en mobilités sur le long terme. Les déplacements pendulaires autosolistes provoquent la surcharge de cette voirie. Pour soustraire un nombre significatif de véhicules et y fluidifier le trafic, les solutions passent à la fois par le traitement des zones névralgiques dûment repérées et par le développement massif des transports collectifs périurbains en site propre tout au long du trajet avec un accès facile aux pôles d’échanges, ainsi que des pistes cyclables. Nos associations proposent que la maîtrise d’ouvrage soit prise en charge par les collectivités locales et non par un acteur privé.                              POURQUOI S’OPPOSER AU COM VINCI? Fluidification du trafic local et liaison autoroutière : deux objectifs peu compatibles L’emprise au sol prévue irait jusqu’à 10 voies sur une de ses trois sections, pour un gain de temps pour les usagers de 3% sur le trajet soit quelques minutes à peine. Pourtant la part du trafic de transit actuel est évaluée à seulement 10 %, dont 4% de poids lourds (PL). Ce projet démesuré et couteux (>300 millions d’euros) est conçu pour permettre un triplement du nombre de véhicules (de 25 000 à plus de 70 000 véhicules par jour) : le COM est en effet un des chaînons manquants de cet axe européen qui doit traverser la France depuis le Nord de l’Europe et le Havre, éviter l’Ile de France, en allant jusqu’au Sud vers les ports de Méditerranée et l’Italie. Il attirerait donc des milliers de PL et les flux touristiques, comme ceux qui saturent déjà la vallée du Rhône. Dans ces conditions, l’objectif d’amélioration du trafic local semble totalement illusoire. Agissons ensemble ! Merci de signer et diffuser cette pétition ! Pour plus d’info sur notre opposition et sur notre projet alternatif, rendez-vous ici et sur les réseaux sociaux facebook  et  instagram Avec de nouveaux recours et évènements, 2025  sera une année cruciale pour notre collectif. Participez à la collecte de dons sur Hello Asso. https://www.helloasso.com/associations/action-climat-montpellier/collectes/mobilisation-contre-le-com
    3 519 sur 4 000 Signatures
    Créée par Collectif AutreCOM
  • RN88 : STOP à la destruction de 190ha d'espaces naturels
    Début 2020, sur fond de campagne électorale, Laurent Wauquiez alors Président de la Région Auvergne - Rhône-Alpes (AURA), annonce la reprise d'un projet vieux de 30 ans : la construction de la déviation de 2 bourgs de la RN88. La déclaration d'utilité publique du projet, abandonné depuis par l'Etat, est alors périmée depuis 2007. Le projet coûtera 226 millions d'euros selon la Région AURA qui en finance 90%. Il coûtera en réalité probablement beaucoup plus, entre 500 et 600 millions d'euros selon ses opposant·es. L'augmentation du trafic routier aura également un impact sur la pollution de l'air, l'augmentation des émissions de gaz à effet de serre, et la pollution sonore. Pendant et après les travaux, la biodiversité est et sera lourdement impactée par la disparition de corridors écologiques et la destruction d'habitats de plus de 100 espèces animales et végétales. Un collectif d'habitant·es, de paysan·nes et de défenseur·euses du vivant s'est autour de "La Lutte des Sucs" pour défendre l'arrêt de ce projet mortifère. Depuis 5 ans, 5 nouvelles espèces protégées ont été découvertes sur le site : la Crossope aquatique (une musaraigne à enjeu fort), le Campagnol amphibie (un rongeur à enjeu fort), le Cuivré des marais (un papillon à enjeu fort), le Crapaud Calamite (un amphibien à enjeu modéré), et le Triton palmé (un amphibien non cité dans l'étude d'impact). Pourtant, alors que le maître d'ouvrage ne possède pas la maîtrise foncière des terrains pour les zones de compensation environnementale, les travaux ont débuté avec l'abattage de dizaines d'hectares de forêts, la destruction de murets anciens, la défavorabilisation de terres agricoles, et la construction de plusieurs ouvrages d'art. En 5 ans, de nombreux recours ont été déposés devant la justice, notamment par France Nature Environnement, mais après une annulation partielle de l'autorisation environnementale par le Tribunal administratif de Clermont-Ferrand fin 2024, le processus judiciaire est amené à se poursuivre en Cour d'appel pour obtenir son annulation totale. Nous n'avons pas le temps d'attendre. Nous, collectifs et associations en soutien à la Lutte des Sucs qui se bat contre la destruction de ces écosystèmes, demandons au Préfet de Haute-Loire de suspendre les travaux et à la Région Auvergne - Rhône-Alpes de mettre en étude des solutions alternatives respectueuses de l'environnement. Pour le même prix, il est possible de penser des liaisons de bus cadencées entre Saint-Étienne et le Puy-en-Velay, développer le fret ferroviaire, penser de petites déviations des 2 bourgs en 2x1 voie ou en limiter la vitesse à 30km/h. Ces alternatives crédibles et moins onéreuses (proposées par plusieurs organisations) n'ont pourtant jamais été envisagées sérieusement par la Région AURA. Il est encore temps, mais il est urgent d'agir : seulement une petite partie du projet est sortie de terre, mais d'ici début 2026, le plus gros des travaux risque de mettre définitivement en péril les écosystèmes. Mobilisons-nous pour stopper ce projet ! Crédit photo : LS - rue43120 Personnalités et organisations soutenant la pétition (màj 22/02/2025) : • Geneviève AZAM, économiste et maîtresse de conférences à l'Université Toulouse-Jean-Jaurès • Audrey BOEHLY, journaliste scientifique • Nicolas BONNET, député du Puy-de-Dôme • Catherine BONY, Conseillère régionale Auvergne Rhône Alpes  • Julien CHAPUIS, biologiste et cofondateur du collectif Loire Sentinelle  • Marie CHUREAU, activiste pour le climat • Renaud DAUMAS, paysan et conseiller régional • Étienne DAVODEAU, auteur de bande dessinée • France Nature Environnement AuRA  • France Nature Environnement Haute-Loire (43) • Fabienne GRÉBERT, Conseillère régionale, Présidente du groupe des écologistes à la Région Auvergne-Rhône-Alpes  • Greenpeace Clermont-Ferrand  • François JARRIGE, historien • Michel JARRY, président de France Nature Environnement AuRA • La Lutte des Sucs • MC danse pour le climat, techno-activiste • Maxime MEYER, Conseiller régional, Co-président du groupe des écologistes à la Région Auvergne-Rhône-Alpes  • Corinne MOREL DARLEUX, essayiste et romancière • Barbara RÉTHORÉ, biologiste et cofondatrice du collectif Loire Sentinelle • Andrée TAURINYA, députée de la Loire • Audrey VERNON, comédienne • Vincent VERZAT, Partager c'est sympa
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    Créée par Greenpeace Clermont-Ferrand & La Lutte des Sucs Picture
  • Sauvons la piste cyclable Carabacel-Désambrois qui relie le Sud-Est au Nord de NICE
    Cet élément majeur de l’aménagement cyclable de la ville est prévu dans les moindres détails dans les documents d'urbanisme de Nice (1), il est indispensable au réseau cyclable existant du « centre-ville » et reliera les quartiers du Sud-Est (Le port, Riquier, St Roch) au Nord de la ville, ainsi que la fac de St Jean d’Angély à celle de Valrose.   Sa prolongation au Nord de Désambrois, simplement ébauchée au PLU, semblait se concrétiser en 2022 avec un premier tronçon déposé au permis de construire de l’aménagement de la place Jeanne-d’Arc et accepté par la ville de Nice. Mais, coup de théâtre, cette voie cyclable place Jeanne d’Arc a été abandonnée en cours de travaux, entraînant la stupeur des associations de défense du vélo et de l’environnement. Pire encore, lors du discours d’inauguration de cette place (2), M. Estrosi, maire de Nice et M. Nofri, délégué aux transports et à la Mobilité nous ont fait comprendre que c’est toute la piste cyclable "Carabacel-Désambrois" et sa prolongation vers le Nord qui allaient être supprimés dans le plan vélo 2025.    Dans le contre la montre déjà mal engagé face au réchauffement climatique tout renoncement serait désastreux. Les Niçois, prêts à prendre leur part dans cette course pour peu qu’on leur en donne les moyens ne comprendraient pas cet abandon. Signez cette pétition pour le maintien de la piste cyclable « Carabacel-Désambrois », primordiale pour le développement du vélo à Nice. Campagne soutenue par : "Nice à Vélo", "Alternatiba", "Terre bleue" et "Oxfam" *** Sources : (1) Voir le résumé du PDU-POA issu du PLU métropolitain en vigueur / 3. Plan Déplacements Urbains (PDU) / POA / PDU / Annexe 2 (2) Nice Matin du 24/10/2024
    3 197 sur 4 000 Signatures
    Créée par Groupe local de Greenpeace Nice
  • Pour la santé et le climat, plus un sou pour l’aéroport de Dole-Tavaux !
    Le drame de Valence vient nous rappeler que le dérèglement climatique, dont l’être humain est responsable, est un problème majeur posé à l’humanité toute entière.  Les émissions mondiales de gaz à effet de serre ne cessent pourtant d’augmenter et l’année 2024 sera probablement la plus chaude jamais enregistrée. La Terre se réchauffe. Les calottes glaciaires fondent. Les catastrophes climatiques se font plus fréquentes, plus intenses. Les écosystèmes sont menacés et les réfugiés climatiques déjà une réalité.  Parce que l’aviation et la croissance incontrôlée du trafic aérien sont une menace pour le climat, face à l’urgence et à la nécessaire réduction des émissions de gaz à effet de serre, il faut réduire le trafic aérien et fermer les aéroports non indispensables.  Dole-Tavaux, un des aéroports de trop En 2007, la loi transfère au profit des collectivités 150 aérodromes et aéroports appartenant à l’État qui n’ose fermer ceux-ci malgré leur peu d’utilité. L’aéroport de Dole-Tavaux fait depuis sa reprise par le département du Jura de multiples débats et controverses, qui amènent à douter sérieusement du bien fondé et de la légalité des aides publiques à un équipement qui ne remplit aucune mission de service public. La réglementation européenne (lignes directrices de 2014) prévoyait par dérogation que les aides d'État aux aéroports non rentables soient supprimés à compter d’avril 2024. Si un sursis jusqu'en 2027  a été arraché par le secteur aérien au prétexte de la pandémie de Covid-19, il reste nécessaire de réviser  les lignes directrices européennes pour les rendre conformes aux objectifs du pacte vert . Centrées sur la question de la concurrence, elles ne répondent en effet pas du tout au besoin d'atténuer l'impact climatique et environnemental de l'aérien. Suite aux dégradations de la piste de Tavaux  constatées dès 2018, on a découvert que cette dernière n’était pas conforme aux prescriptions de sécurité. Il y a donc aujourd’hui nécessité de la refaire en totalité pour un montant de travaux estimé à 7 500 000 €.  Au moment même où le Conseil Régional de Bourgogne-Franche-Comté retire la plateforme du schéma régional aéroportuaire annexé au SRADDET, l’État, après avoir longtemps refusé, cède finalement aux demandes répétées du Département du Jura et annonce un soutien de 2 000 000 € . Faisant fi de l'impact climatique et environnemental de l'aéronautique, avec le soutien de ses voisins (Départements de Côte d'Or, de Saône et Loire, Métropole de Dijon ...), le Département du Jura projette de développer de nouvelles dessertes et une augmentation du trafic de 40 avions par an est envisagée au cours de chacune des 10 prochaines années. Le trafic actuel étant de 388 rotations par an, cela représenterait un doublement d'ici 2034 !   “🚨 Il y a urgence à convaincre les décideurs : l'appel d'offres est lancé et les travaux de reconstruction de la piste sont programmés  entre mai et juillet 2025 !” Au nom de l’urgence climatique, ONG environnementales, consommateurs, usagers des transports et acteurs politiques comme de nombreux citoyens exhortent les décideurs à atterrir… pour réfléchir La fin de vie de la piste est l'occasion de raccrocher ... La course au développement de l’aérien condamne notre avenir à toutes et tous. S’il ne s’agit pas de dire que plus aucun avion ne doit voler, il est impératif de réduire le trafic aérien. L’argent public doit permettre d’optimiser l’usage des aéroports internationaux en jouant la complémentarité des moyens de déplacement. En Bourgogne Franche-Comté, la fédération régionale des associations de protection de la nature et de l’environnement France Nature Environnement engage des recours contentieux contre l’État et les collectivités locales qui entendent relancer la plateforme aéroportuaire de Dole-Tavaux. Le levier juridique, associé à la mobilisation citoyenne, est un levier qui a déjà fait ses preuves pour lutter contre la crise climatique, c’est pourquoi nous avons besoin de vous. Accordant une victoire historique à l’association suisse « Aînées pour la protection du climat » , la Cour Européenne des Droits de l’Homme condamne la Suisse pour inaction climatique , reconnaissant que le changement climatique constitue une menace pour les droits fondamentaux des citoyens et citoyennes. Aidez-nous dans ce combat !  C’est uniquement grâce à la générosité et l’engagement des donatrices et donateurs que notre collectif peut, en toute indépendance, mettre en lumière les conséquences néfastes du développement des vols commerciaux à Dole, passer à la loupe les délibérations des collectivités locales, alerter le grand public, saisir les tribunaux et exiger des décisions politiques en cohérence avec l'urgence climatique et environnementale. Je fais un don  Agissons pour la santé de toutes et tous : signez cette pétition et alertez en partageant l’information à vos connaissances. Merci d’agir avec nous pour rendre notre mobilité plus soutenable. “Cette campagne est une initiative commune de : Serre Vivante, FNE Bourgogne Franche-Comté, Agir Pour l'Environnement, Cyberacteurs, la Fédération Nationale des Associations d'Usagers des Transports (Fnaut) Bourgogne Franche-Comté, Les Amis de la Terre de Côte d'Or, groupe local Greenpeace Dijon, Attac Jura, Confédération Paysanne du Jura, Les Écologistes de Franche Comté, les Écologistes du Pays dolois, Dole Ecologie, NPA 39, Rester sur Terre, Union Écologique et Sociale du Jura (UES), Union Fédérale contre les Nuisances de l’Aéroport de Strasbourg-Entzheim (UFNASE) , Association Contre les Nuisances Aériennes de Roissy-Charles de Gaulle et du Bourget (ADVOCNAR), ALTERNATIBA Besançon, Action non-violente COP21 Besançon, …”
    3 276 sur 4 000 Signatures
    Créée par Serre Vivante, association membre de France Nature Environnement Picture
  • Transports publics Gratuits & Performants - Grand Poitiers
    🚌 Des transports publics performants et gratuits à Grand Poitiers : une nécessité 🌍 À Grand Poitiers, le réseau de bus Vitalis a bien des défauts : • ⏰ Horaires de vacances scolaires inadaptés aux travailleur•euses et étudiant•es • 💸 Tarifs ne correspondant pas à la réalité sociale et démographique de Grand Poitiers • 📍 Quartiers et communes périphériques mal desservies • ♿ Accessibilité incertaine pour les personnes en situation de handicap, notamment en heures de pointe • 🌙 Service réduit voire absent en soirée, la nuit et en fin de semaine... Pourtant, le droit au déplacement est un droit inaliénable. Pouvoir aller où l’on veut, quand on veut, pour exercer une activité scolaire, professionnelle, associative, culturelle ou pour se promener librement doit être garanti et défendu ! 🆓 La gratuité des transports donnerait ces possibilités à tous et toutes. Mais prise seule, elle serait insuffisante. Il faut développer un réseau de transports publics : • 🚍 Accessibles • 🕒 Denses et fréquents • ⚡ Rapides • 🆓 Gratuits • 🤝 Définis par et pour les habitant•es en concertation avec les travailleur•ses du réseau. 📈 La gratuité du service permettrait : • 🏫 Une meilleure accessibilité aux services publics • 👫 Une plus grande participation à la vie collective et aux évènements culturels • 🌱 Des bienfaits écologiques et de santé publique (🚶‍♂️ Une ville sans voiture = une ville apaisée !) 🚲 Le vélo c'est bien, mais... tout le monde ne peut pas en posséder ou en faire, pour des raisons de logistique de stockage, coût économique ou problèmes de santé. Nous réclamons : • 🔄 Une meilleure desserte des quartiers et communes périphériques • 🌙 Un meilleur service de soirée/nuit et le dimanche (plus de fréquence et meilleure desserte) • 🆓 La gratuité des transports publics pour une égalité d'accès ! 🌍 Et oui, la gratuité c’est possible ! De nombreuses villes ont déjà fait ce choix : Dunkerque, Montpellier, Aubagne, Calais, Châteauroux... À Grand Poitiers, cela pourrait être financé en grande partie par le Versement Mobilité des entreprises qui existe déjà. En 2020, Poitiers Collectif (liste élue à la municipalité) déclarait vouloir changer Poitiers : “Nous devons tendre vers la gratuité des bus” et “plus aucune décision politique ne doit être prise qui n’irait pas dans le sens de la transition écologique”. Face à l’urgence sociale et climatique, nous demandons que ces engagements soient tenus !  🌍🔥 N'hésitez pas à interpeller vos élu•es municipaux pour que le sujet soit abordé en conseil de Grand Poitiers.
    2 195 sur 3 000 Signatures
    Créée par Transports Gratuits Grand Poitiers Picture
  • 12 Milliards de nos impôts pour 140 km de tunnels inutiles
    Dans le cadre du projet Lyon-Turin, sur la partie française entre Lyon et Saint Jean de Maurienne, il est envisagé pour le fret ferroviaire, d’abandonner la voie actuelle pour creuser près de 140 km de tunnels en traversant entre autre les montagnes de la Chartreuse, de Belledonne et du Glandon. Cette solution : ·         est démesurée, avec 6 doubles tunnels inutiles, ·         provoque un gaspillage de plus de 12 milliards d’euros, ·         va détruire de multiples écosystèmes, assécher des communes, et pénaliser lourdement les agriculteurs.          Il existe une alternative économisant 12 Milliards et respectant les souhaits des habitants et préservant les écosystèmes : ·         Economiser 12 milliards de dépenses inutiles pour creuser les tunnels du Glandon, de Belledonne et de la Chartreuse, ·         Se contenter du double tunnel prévu entre la Tour-du-Pin et Chambéry (tunnel de Dullin-L’épine) car il s’agit de la partie où les trains ne roulent qu’à 59 km/h, ·         Abandonner les 104,8 km des doubles tunnels intitulés Chartreuse, Belledonne et Glandon ·         Abandonner les 35,2 km des doubles tunnels (Bourgoin-Ruy , Sainte Blandine, La-Bâtie-Montgascon) car ils sont dans une zone de plaine où les TER roule déjà à une moyenne de 97 km/h, ·         Réinvestir vers des projets plus performants écologiquement, et qui correspondent aux besoins des français : ·         Réinvestir dans les trains régionaux afin de diminuer rapidement les flots de  véhicules en Rhône Alpes,  ·         Satisfaire les besoins des usagers qui constatent une fiabilité très incertaine (84,7 % des TER arrivent à l’heure en Rhône Alpes) et des temps de transports trop important entre La Tour-du-Pin et Chambéry,  ·         Pénaliser lourdement les transports par poids lourds pour inciter au fret ferroviaire (comme l’a fait la Suisse), ·         Livrer la solution dès 2030 et non pas en 2040 voire 2050 selon le projet Lyon-Turin qui dérape constamment.   Question : quels sont les besoins des habitants ? ·         Améliorer les trains régionaux (*) car ils sont très peu fiables, et sont particulièrement lents dans le  secteur La Tour-du-Pin - Chambéry, ·         Supprimer le plus possible la circulation autoroutière dans les différentes vallées qui provoque de multiples pollutions (CO2 et particules fines) en la reportant très rapidement (pour les camions) sur le fret ferroviaire, ·         Ne pas attendre 2040/2050 comme le prévoit le Lyon -Turin pour avoir des camions sur les trains, ·         Ne pas abimer la montagne, notamment les sources d’eau, les forêts, et les ressources des agriculteurs. (*) les trains régionaux : Lyon-Chambéry, Lyon-Grenoble, Chambéry-Annecy, Chambéry-Saint Jean de Maurienne) Question : Pourquoi le coût est-il pharaonique ? L'estimation du coût global du Lyon-Turin est passée : ·         de 12 milliards d'euros en 2002, ·         à 26,1 milliards d'euros, en 2012 (Cour des Comptes Française), ·         à environ 30 milliards avec l’inflation en 2020 (cour des comptes européenne) ·         estimation sommaire à 34 milliards. Le coût du seul tunnel de base (*1) est passé :  ·         de 5,2 milliards d’euros en 2002, ·         à 9,6 milliards d'euros au printemps 2023  ·         à 11,4 milliards d’euros selon TELT en juillet 2024. L’aménagement des voies françaises (entre Lyon et Saint Jean de Maurienne)  ·         est estimée à 15 milliards d'euros, en juillet 2022, par Jean Castex, ·         actualisation à 16,38 milliards (inflation de 9,2% entre 07/2022 et 07/2024).Question : Quelles conséquences sur l’environnement ? On constate actuellement, avec seulement 22% des tunnels  creusés entre Saint Jean de Maurienne et l’Italie (Suze) : ->  Un asséchement des sources de plusieurs villages rendant l’agriculture problématique, -> Le creusement d’un tunnel en 2019, a selon Médiapart, vidé de son eau un pan de montagne dans la vallée de la Maurienne, en Savoie, provoquant l’accélération de l’affaissement du barrage du Pont des chèvres, situé à Orelle en Maurienne, -> Pour creuser les 6 doubles tunnels que nous jugeons inutiles, soit au total 140 km de tunnels, 800.000 poids lourds devront évacuer les 8,5 millions de m3 de gravats.  Question : Pourquoi la ligne actuelle n’est pas satisfaisante ? Actuellement, les trains sont particulièrement lents entre La tour du Pin  et Chambéry. Moyennes actuelles constatées : ·         59 km/h par TER entre la Tour-du-Pin et Chambéry (*1) ·         97 km/h: par TER entre Lyon et la Tour-du-Pin (*2) ·         109 km/h par TGV entre Chambéry et Saint Jean de Maurienne (*3) Actuellement, le trajet Lyon Chambéry- Saint Jean de Maurienne dure 2h10  ·         En train, 181 km, en 2h10, soit une moyenne de 83 km/heure ·         En voiture (selon Mappy), 1h55 heures soit une moyenne de 94 km/h (avec 23,2 euros de péage)   Hypothèse 1 : Rénovation des lignes existantes avec le nouveau double tunnel de Dullin-l’épine : 1h49 Scénario où l’on n’ajoute que le double tunnel Dullin-L’épine sur la partie où aujourd’hui les trains sont anormalement lents. Hypothèse des nouveaux temps de transport : ·         Lyon - Chambéry : 1h10 pour 105 km, (moyenne de 90 km/h), ·         Chambéry - Saint Jean de Maurienne : 39 minutes par TGV pour 75 km (moyenne de 115 km/h), ·         il faudrait donc 1heure 49 entre Lyon et Saint Jean de Maurienne, ·         Donc 6 minutes plus rapide qu’en voiture ! ·         30,4 km de tunnels creusés dans ce scénario (tunnel de Dullin doublé pour fret et voyageurs)   Hypothèse 2 avec les nouveaux tunnels (*1): 1h14 ·         on suppose qu’une hypothétique ligne plus directe ne ferait que 160 km avec 6 doubles tunnels ·         on suppose que le train pourrait rouler à une vitesse moyenne de 130 km/h ·         il faudrait donc 1heure 14 entre Lyon et Saint Jean de Maurienne  ·         170,4 km de tunnels creusés dans ce scénario (30,4 pour Dullin-L’épine et 140 km pour les 6 autres) Différence entre les 2 scénarios environ 35 minutes  (*1) les 7 tunnels prévus dans le projet Lyon-Turin entre Lyon et Saint Jean de Maurienne sont  des tunnels doubles pour les voyageurs et le fret : Le double tunnel qui nous semble utile (30,4 km): Dullin-L'Épine de 15,2 km débouchant sur la cluse de Chambéry, Les 6 doubles tunnels qui nous semblent inutiles (140 km): Bourgoin-Ruy (7,1 km), Sainte Blandine (2,1 km), La-Bâtie-Montgascon (8,4 km),  Chartreuse (24,7 km), Belledonne (19,7 km), Glandon (8km).
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    Créée par philippe S.
  • Nous avons notre mot à dire sur l'aménagement du coeur-village !
    Mi-juillet une réunion a été organisée par Monsieur le Maire et les Services Techniques Municipaux pour répondre au courrier de mécontentement d'un groupe d'habitants voisins du Petit-Bois; ces citoyens s'étonnaient que l' annonce d'une consultation dans le dernier bulletin municipal l'Echo ( n°141, Vive la biodiversité !: voir ici  [voir "Consultation pour une aire de jeux", page 3] ) sur le remplacement de l'aire de jeux des jardins de la Mairie ( Espace Vert Protégé ) par une nouvelle aire de stationnement et de la solution d'accompagnement envisagée ne se soit pas concrétisée.    Aucune information n'a été fournie  jusqu'en juillet sur l'évolution de ce projet ; nous avons été alertés par les premières réponses aux questions qu'ont suscitées l'aménagement effectué en juin dans le Petit Bois :  • une "sente" (qui se révèle bétonnée) y a été tracée …  • préparation d'une "clairière" côté Allée des fermes, dans une zone soi-disant protégée selon le PLU …  • les Services Municipaux prévoit d'y installer une aire de jeux réduite (un "bateau de pirates"), se substituant partiellement aux équipements en place dans les jardins à l'arrière de la Mairie, qui donnent entière satisfaction aux habitants de la commune. … La "consultation" publique s'est en fait limitée à recueillir l'avis des enfants  du groupes scolaire Les Saules sur le choix de l'équipement de jeux (*) nous informe publiquement le n° 142 de rentrée de l'Echo de Collégien (distribué fin août; voir pages 2 et 3), en même temps qu'il annonce le "choix" ( la décision arbitraire des Services municipaux ) de son installation dans le Petit-Bois. 1) Le premier motif d'opposition à ce  projet, exprimé d'entrée lors de la réunion, est l'extension qui semble parfaitement inutile du nombre de places de stationnement, déjà conséquent, aux alentours de la Mairie.  En fait, nous l'avons appris lors de cette même réunion, le raisonnement technocratique des responsables des Services concernés est qu'il faut prévoir 3x10 places de stationnement supplémentaires pour les 9 praticiens médicaux et l'espace kiné que la future Maison de santé pluridisciplinaire ( quelques infos ici ) devrait accueillir, après le déplacement de la Maison de l'enfance de l'aile du bâtiment voisin de la Mairie qu'elle occupe actuellement (**).  • Les Collégeois demandaient de sauvegarder l'offre de soins préexistante lors des départs en retraite des praticiens établis aux abords de la Maire… les participants à la réunion ont découvert à cette occasion que Collégien va accueillir un centre médical potentiellement surdimensionné pour la commune, si le projet de la CA Marne & Gondoire se réalise pleinement. Il devra recevoir des patients de communes environnantes,  motorisés : pour quel (sur) bénéfice pour la commune et ses habitants ? Une nouvelle surprise pour la population !  • Un inventaire des places du "cœur de village" aboutit au constat du doublement effectif des places de stationnement à moins de 250 m de la place Morvan (plus de 200 places au total), suite aux aménagements actuels (rappelés dans le dernier ° de l'Echo de Collégien) ou à venir (Petit-Bois). La solution proposée lors de la réunion de limiter la durée de stationnement ( "zone bleue" ) sur la totalité de la cinquantaine de places actuelle autour de la Mairie (***) paraît LA solution pour résoudre ce besoin (supposé / à vérifier lors du fonctionnement de la future Maison de la Santé en 2025) de places supplémentaires de stationnement  … et nous réclamons une réponse (argumentée) à cette proposition. 2) Le second motif d'opposition à ce projet est la protection de la biodiversité et de l'unique espace naturel restant au "cœur village" de Collégien, le Petit-Bois.  Cet espace naturel est en position très précaire, au vu des aménagements récents et des projets à venir: • le projet de parking aménagé (annoncé dans le bulletin municipal n°139 ( ici, page 5 ) remplaçant un emplacement historique pour forains (fêtes communales, passages de cirques) et qui permet de soulager les nouveaux problèmes de stationnement résidentiel, • la "sente" bétonnée réalisé ces dernières semaines, qui  double,  en serpentant au milieu du bois pour le même usage de raccordement à l'Allée des Fermes, l'allée existante du Petit-bois, • l'équipement que les Services Techniques s'empressent ( avant même la date annoncée des travaux ) de préparer en dégageant sévèrement la "clairière" au bord de l'Allée des Fermes va évidemment induire une occupation renforcée et dommageable  de cet espace jusque là naturel.     Comme le rappelait opportunément le numéro 141 de l'Echo de Collégien, le respect de la biodiversité n'est pas qu'un sujet à la mode !  Il est indispensable de limiter autant que possible les effets néfastes de la nécessaire évolution de notre commune, de "mettre en accord les paroles et les actes", dans chaque projet.    C'est pourquoi l'installation du "Bateau de pirate" en face de l'école des Saules,  l'autre emplacement envisagé par la Municipalité, sur la place jouxtant le plateau d'évolution, proche de la future Maison de l' Enfance, est largement plus   pertinente et nous demandons également la révision du projet imposé par les Service municipaux. Pour dire non au tout-voiture dans Collégien,  non à la bétonnisation de nos espaces verts,   non  aux aménagements coûteux et inutiles,  SIGNEZ CETTE PETITION!   notas: *: Monsieur le Maire a présenté ses excuses sur cette erreur de communication lors de la réunion / le DGS (Directeur Général des Services municipaux) soutient qu'il ne faut pas lire dans le bulletin municipal l'annonce d'une consultation publique **: la Maison de l'enfance sera déplacée auparavant à côté du groupe scolaire Les Saules dans un bâtiment en cours de construction ***:  "15 places sont occupées en journée par les employés municipaux" ont précisé les Services municipaux; leur demander de stationner dans les parkings périphériques libéreraient la moitié des places estimées nécessaires ! la Municipalité n'a pas répondu à la proposition faite en cours de réunion de stationnement réglementé "zone bleue" sur les places existantes à l'arrière de la Maire 
    45 sur 100 Signatures
    Créée par Collégeois p.