-
Sauvons les trains de nuit Paris – Berlin et Paris – Vienne !Il n’est pas acceptable que les 2 seuls trains de nuit internationaux qui desservent la France à l’année disparaissent. Chacun des acteurs dispose d’une marge pour agir et chacun peut faire un pas pour relancer véritablement les trains de nuit internationaux. Nous, signataires de la pétition, demandons : - aux opérateurs SNCF, ÖBB et DB de déployer complètement l’offre annoncée avec 2 trains de nuit quotidiens, un vers Vienne et un vers Berlin, ce qui améliorera la fiabilité et l’équilibre économique. L’Autriche fournit les rames, qui représentent une grande part du coût des trains de nuit. Pour la SNCF, c’est donc une opportunité à ne pas manquer pour enfin tester les trains de nuit internationaux à pleine capacité. C’est une étape nécessaire pour permettre d’autres déploiements à l’avenir, vers Copenhague, Malmö, Barcelone, Madrid, Milan, Venise, Rome, Prague, etc. - à l’État français de continuer à soutenir ces trains, quitte à renégocier le montant de la subvention, en contrepartie d’un engagement à faire rouler le train tous les jours. - à l’UE d’autoriser plus clairement les subventions aux trains internationaux, au moins temporairement, sur la période où le kérosène reste défiscalisé. L’UE pourrait subventionner les trains de nuit pour équilibrer la concurrence avec l’avion et reconstruire le réseau des trains de nuit après 2 décennies de sous-investissement. C’est une action urgente pour disposer d’une alternative au moment où l’avion va devenir plus cher. Vite, il y a urgence, signez la pétition aujourd’hui pour montrer notre attachement à un mode de voyage bas-carbone ! 1ers signataires : • Oui au train de nuit • Rester sur terre63 669 sur 75 000 SignaturesCréée par Oui au train de nuit
-
Annecy : Campus XXL sans voiture, enfants sans futurL’avenir du Grand Annecy se joue aujourd’hui avec la validation du PLUi (Plan Local d'Urbanisme intercommunal) et des décisions importantes concernant le projet de TCSPi (Transport Collectif en Site Propre intégral) dit de Haute Mobilité. La pollution de l’air à Annecy particulièrement préoccupante Dans son dernier rapport en date, Santé Publique France juge la pollution de l’air en Haute-Savoie, et notamment à Annecy, particulièrement préoccupante. La situation dans le Grand Annecy est jugée même pire que dans la vallée de l’Arve, avec une pollution chronique, moins visible et plus sournoise, exposant la santé humaine quotidiennement à une qualité de l’air médiocre. Le rapport de Santé Publique France dénombre chaque année dans le Grand Annecy 121 morts dus aux particules fines PM2,5 et 53 morts dus au NO2 (dioxyde d’azote), marqueur du trafic routier, soit 174 morts représentant 13.6% de la mortalité dans l’Agglo. La pollution de l’air nous affecte tous, mais touche particulièrement les enfants. Les enfants ont une fréquence de respiration plus rapide que les adultes et leur organisme en pleine croissance y est beaucoup plus sensible que celui des adultes, avec des risques de développer des pathologies, telles que des allergies, de l’asthme, de l’eczéma, mais aussi de l’obésité et des syndromes dépressifs, alerte l’UNICEF. La priorité du Grand Annecy doit être de réduire la pollution de l’air sur les axes les plus exposés, comme la Rocade, et pour les personnes les plus vulnérables, comme les enfants. Un site propre pour les bus entre Vignières et le PAE des Glaisins contre-productif Le projet de TCSPi prévoit cinq axes, intégralement en site propre. De l’aveu même de Didier Sarda, Vice-Président aux Mobilités du Grand Annecy, le bureau d’étude en charge du projet estime que le site propre ne se justifie pas partout. Le site propre intégral est donc un choix politique, dicté par des considérations d’image du Grand Annecy. Sur l’axe 1, entre Vignières et les Glaisins, la circulation est fluide et des bus en site propre mettraient le même temps que les bus de la ligne 1 actuelle, sans site propre. Le choix de ne faire passer plus que les bus au campus et de reporter tout le trafic vers la route de Thônes, la rue du Lachat et le chemin des Chapelaines, va créer d’importants bouchons dans lesquels se retrouveront coincés les bus des lignes 4 et 5 desservant respectivement le PAE des Glaisins et le campus. Au final, les usagers des bus de la ligne 1 ne gagneront pas de temps dans leurs trajets quand ceux des lignes 4 et 5 en perdront. Quelle que soit la solution retenue, site propre ou non, il est totalement inacceptable d’avoir un report du trafic vers 3 crèches, 4 écoles et 1 collège. La délocalisation des parkings du campus inefficace La Ville d’Annecy, voulant profiter d’un effet d’aubaine, a négocié avec le Département de la Haute-Savoie la construction d’un parking silo de 650 places dans le périmètre de l’Espace Rencontre en contre-partie de la construction du stade BMX de 8600 pour les championnats du monde de cyclisme 2027. Son objectif est que ce parking serve pour le campus, alors qu'il serait distant de 1 à 2km des différents établissements universitaires et donc trop éloignés. La priorité du Grand Annecy doit être d’inciter fortement à l’utilisation des modes de déplacement doux et des transports collectifs, et les besoins en stationnement sur le campus devront être prévus in situ, dans le périmètre même du campus, sans chercher à déplacer les nuisances liées à la voiture plutôt que de réduire sa place en ville. L'inaction du Grand Annecy dans la lutte contre la pollution de l’air intolérable Le Grand Annecy communique beaucoup sur la nécessité de lutter contre la pollution de l’air, mais il n’agit pas et parfois il aggrave même la situation : • Les études réalisées dans le cadre du projet de TCSPi préconisaient de prioriser l’axe 2 Seynod-Pringy, où il y a la plus forte densité de population, et aussi la pollution de l’air la plus importante. Le Grand Annecy a préféré donner la priorité sur l’axe 1 Duingt-Glaisins, qui dessert la rive ouest du lac, le campus et le PAE des Glaisins, privilégiant la santé de l’économie à celle des habitants. • La mise en place d’une zone à faible émission mobilité (ZFE-m) a pour objectif principal de réduire la pollution de l’air pour les personnes les plus exposées. Or, les axes de transit mis en place, vers lesquels sont redirigées les voitures les plus polluantes, sont précisément déjà les plus fréquentés et les plus pollués, et la ZFE n’a fait qu’aggraver la pollution de l’air pour les habitants vivant au bord. • Le projet de campus XXL sans voiture viendra, quant à lui, exposer les enfants de 3 crèches, 4 écoles et 1 collège à des niveaux de pollution de l’air particulièrement nocifs pour leur santé, à un endroit où la situation est aujourd’hui acceptable ; et cela aux seules fins de verdir l’image d’Annecy, ce qui est d’un cynisme insupportable. La responsabilité pénale de l’exécutif du Grand Annecy pourrait être engagée.253 sur 300 SignaturesCréée par LES GLAISINS DE LA COLÈRE
-
STOP au Méga canal Seine-Nord Europe, projet inutile et destructeur à 10 milliards d'eurosLes premiers travaux préparatoires, déjà dévastateurs, ont commencé : le temps presse ! https://www.greenvoice.fr/assets/uploads/2025/09/deux-photos.jpg Deux exemples au nord de Compiègne. À gauche : détournement du cours de l'Oise pour faire la place au projet de méga canal ! À droite : début des terrassements de la première des sept écluses monumentales du projet. Photos MCNM. IL N’EST JAMAIS TROP TARD ! Tous les "grands projets inutiles et imposés" qui ont été arrêtés par le passé l'ont été alors que d'importantes opérations étaient déjà lancées et que leurs promoteurs prétendaient qu’il était trop tard pour les stopper. LE PROJET SEINE-NORD EUROPE Un canal artificiel de 107 km entre Compiègne et la région de Cambrai, qui vise à permettre aux grands bateaux fluviaux belges et néerlandais de desservir la région parisienne. Cela alors que le canal du Nord assure déjà cette liaison à moyen gabarit, et qu'il n'est utilisé qu'au quart de sa capacité. Chiffré à 8 milliards d'euros en 2024, le coût du méga canal dépasse les 10 milliards quand on tient compte des travaux annexes occultés. UN CANAL GÉANT INUTILE Il est le projet de tous les superlatifs : les plus grands terrassements de France (10 fois le tunnel sous la Manche), les écluses parmi les plus hautes d’Europe, des digues allant jusqu’à 40 m de haut, des retenues d’eau correspondant à 55 fois la mégabassine de Sainte-Soline, une emprise de plus de 3 300 ha… Cela alors que l'utilité du projet, porté par la Région, est remise en cause au plus haut niveau de l'État, entre autres par l'Inspection générale des finances et le Conseil général de l'environnement et du développement durable. 1 MILLION DE CAMIONS EN MOINS ? NON, 8 MILLIONS DE CAMIONS EN PLUS ! La promesse "écologique" du canal – retirer des autoroutes 1 million de camions par an – est irréalisable : ce transfert est impossible entre deux modes de transport qui se complètent mais ne se remplacent pas. En réalité, le projet Seine-Nord Europe est un instrument au service de la mondialisation. Sa rentabilité est basée sur une augmentation continue et irréaliste des flux de transports, laquelle correspondrait, si l’on tient compte des propres données de la Société du canal, à 8 millions de camions supplémentaires en 2035 sur les routes du Nord-Ouest européen ! LE MENSONGE DES CRÉATIONS D'EMPLOIS Sans étude de marché, la Société du canal fait une promesse qui ne l'engage guère : la création de 50 000 emplois… en 2070. Les retombées d'un fumeux « effet réseau ». Évidemment, le transport de gravier ou de blé par bateaux de 3 000 tonnes (plutôt que par 800 tonnes sur le canal du Nord actuel) n’est pas de nature à permettre la réindustrialisation des Hauts-de-France. LE DÉNI DU DÉRÈGLEMENT CLIMATIQUE Chaque année, la navigation fluviale européenne connaît déjà des arrêts dus au manque d'eau, mais le dérèglement climatique ne semble pas inquiéter la Société du canal. Celle-ci utilise une méthode de calcul contraire aux préconisations de Météo France et qui ne prend pas en compte la possibilité de sécheresses à répétition, lesquelles pourraient un jour empêcher l'alimentation en eau du canal. PRÈS DE 300 ESPÈCES PROTÉGÉES MENACÉES Le projet du canal passe sur des zones sauvages, dont plusieurs zones Natura 2000, et entraîne la destruction d’habitats de près de 300 espèces protégées, comme la cigogne noire, le balbuzard pêcheur, ou encore le guêpier d’Europe, allant même jusqu'à les éradiquer sur des secteurs entiers. LA SOUVERAINETÉ ALIMENTAIRE DES HAUTS-DE-FRANCE ENTRAVÉE Avec son emprise totale de 3 300 ha, le méga canal détruirait au moins 2 500 ha de terres agricoles, parmi les plus riches de France. Une surface qui, cultivée en maraîchage, pourrait fournir des paniers de légumes à plus de 400 000 personnes ! POUR LA DÉFENSE DU TRANSPORT FLUVIAL Plutôt que consacrer 10 milliards d'euros au méga canal, il est impératif de procurer à Voies navigables de France (VNF) les quelque 200 millions qui lui manquent chaque année pour entretenir et moderniser le réseau fluvial et pour préserver, entre autres, notre batellerie artisanale. Côté grand gabarit, la région parisienne devrait logiquement être alimentée par Le Havre et la Seine, et non par Anvers ou Rotterdam via le projet Seine-Nord Europe. … ET LA DÉFENSE DU TRANSPORT FERROVIAIRE Le chemin de fer est le mode le plus respectueux du climat, mais son réseau se dégrade et il a besoin d'investissements massifs. La puissance publique ne doit pas lui imposer la concurrence ruineuse d'un grand canal dont les études montrent qu'il prendrait plus de trafic au fer qu'à la route. UN AVENIR DÉSIRABLE POUR LES HAUTS-DE-FRANCE Plutôt que d’être contraintes à payer un canal inutile, les collectivités territoriales devraient consacrer leurs moyens à arrêter la destruction de leurs services publics : maternités, écoles, transports en commun, logement… ⚠️ Il y a urgence ! Chaque jour qui passe, les travaux du canal détruisent des écosystèmes et gaspillent des fonds publics. Signez la pétition ! ------------------------------- • INFORMEZ-VOUS, PARTICIPEZ : www.megacanal.org voir la vidéo de 14 minutes : https://vimeo.com/1072990174/247cd33f44 • SOUTENEZ FINANCIÈREMENT NOTRE LUTTE ET NOS RECOURS EN JUSTICE : www.helloasso.com/associations/protection-du-territoire-seine-escaut/formulaires/1 ------------------------------- Pétition soutenue par Greenpeace France et Greenpeace Lille1 449 sur 2 000 SignaturesCréée par le collectif Méga Canal Non Merci (MCNM)
-
De la sécurité pour les cyclistes à Villard-Bonnot!Actuellement, il est extrêmement dangereux de se déplacer à vélo ou à trottinette dans Villard-Bonnot: -l'axe principal (RD 523) est très étroit -il comporte latéralement des places de stationnement pour automobile, mais aucune piste cyclable dans les endroits les plus dangereux -le trafic y est souvent très dense, avec des semi-remorques, des tracteurs, des cars, et un effet de saturation le matin aux heures des écoles -la visibilité y est mauvaise avec des pentes et des virages. Or la commune ne respecte pas la loi en matière d'aménagement pour les cyclistes: -cet axe a été rebitumé l'été 2024, en traçant au sol des places de stationnement pour automobiles mais aucune piste cyclable, -alors qu'il est obligatoire de prévoir des aménagements cyclables à chaque rénovation d’axe routier en agglomération, selon l’article L228-2 du Code de l’Environnement, issu de la Loi sur l’Air et l’Utilisation Rationnelle de l’Energie (LAURE) de 1996, puis mis à jour et précisé par la Loi d’Orientation des Mobilités (LOM) en 2019). Nous, cyclistes habitant Villard-Bonnot, usagers de modes doux (vélos, trottinettes...) circulant sur l'axe RD 523 au sein de Villard-Bonnot, exigeons que la commune respecte la loi grâce à la mise en place par la mairie de deux pistes cyclables latérales, afin de pouvoir circuler en sécurité sur cet axe. L'espace nécessaire pour ce faire sera à prendre sur l'espace de stationnement réservé actuellement aux automobiles, en créant des aires de stationnement à la périphérie de la commune comme le font les communes de Provence, des Alpes-Maritimes, ou de Corse, dont les ruelles en escaliers ne permettent factuellement pas aux automobiles d'y circuler.123 sur 200 SignaturesCréée par Jean P.
-
POUR UNE PISTE CYCLABLE SECURISEE DE GONDECOURT A NOYELLES EN PASSANT PAR HOUPLIN-ANCOISNEDepuis plusieurs années l’association environnementale Ahvenir milite pour cette piste cyclable. Ses demandes sont restées sans réponse, de la MEL d’une part, des conseillers départementaux du canton d’autre part. En effet cet axe est partagé entre le département du Nord et la Métropole Européenne de Lille et c'est pour cela que nous interpelons ces deux collectivités. Pourquoi cette demande ? L’usage du vélo se développe ces dernières années et c’est heureux. C’est bon pour la santé, la planète et le portemonnaie. C’est aussi utile dans la région lilloise, très embouteillée matin et soir, en permettant de réduire le nombre des véhicules. Et l’axe, constitué par les D147 à Gondecourt, rues Lebas et Lampin à Houplin-Ancoisne, rue d’Houplin à Noyelles, est particulièrement concerné par cette circulation qui met en danger cyclistes et piétons pour lesquels n’existent aucun aménagement routier. Dans ces différentes villes les personnes utilisant le vélo pour aller travailler, en particulier vers Lille et sa banlieue, sont de plus en plus nombreux. Nombreux aussi sont les collégiens et lycéens qui souhaiteraient se rendre d’Houplin-Ancoisne à Gondecourt pour rejoindre leur établissement scolaire et qui y renoncent compte-tenu du danger constitué par la circulation automobile sur une route étroite et sinueuse. Nous demandons donc que les deux collectivités se mettent d’accord pour constituer une vraie piste cyclable bidirectionnelle sur cet axe. Cette pétition, initiée par l’association environnementale Ahvenir, est soutenue par de nombreux citoyens. Elle est adressée aux présidents du département du Nord et de la Métropole Européenne de Lille. Nous comptons donc sur vous, messieurs les présidents, pour faire avancer cette demande de piste cyclable.1 941 sur 2 000 SignaturesCréée par Ahvenir
-
Pollution de l'air et mobilités : ne sacrifions pas les plus vulnérablesEn 2025, 100% des Français sont exposés à des niveaux de pollution supérieurs aux recommandations de l’OMS pour au moins un polluant atmosphérique (1). Poisons invisibles et silencieux, les polluants s’infiltrent dans tout l’organisme et peuvent être impliqués dans le développement de pathologies respiratoires, cardiovasculaires, métaboliques… ou même neurodégénératives. Les enfants sont particulièrement vulnérables à cette pollution, qui est responsable de près de 20 % des nouveaux cas de maladies respiratoires chez les 0-17 ans. C’est encore pire dans les zones où le trafic est dense : à Paris, la pollution routière est responsable à elle seule de près d’un cas d’asthme infantile sur trois - des chiffres saisissants, alors que 11 000 enfants de moins de trois ans sont hospitalisés chaque année en urgence pour asthme. Les plus précaires - qui sont pourtant en moyenne moins véhiculés - sont également plus exposés. A Paris, le risque de mourir de la pollution de l’air est ainsi 5 fois plus élevé pour les plus pauvres. Pour répondre à cette urgence sanitaire et sociale, plusieurs outils, bien que perfectibles, ont déjà fait leurs preuves, motivés par la perspective des ZFE : développer l'offre de transports collectifs avec une tarification solidaire, renforcer les aides à l'achat pour un véhicule moins polluant, améliorer les infrastructures cyclables et aider à l'achat d'un vélo… Partout où ces leviers ont été actionnés, la qualité de l'air s’est améliorée (2) : à Paris, à Lyon, à Strasbourg, à Montpellier… Pourtant, aujourd'hui, ces outils sont menacés. Alors que les collectivités concernées appellent à de la cohérence et à de la continuité, la menace de la suppression des ZFE plane et s'accompagne déjà de reculs massifs : division par deux des aides à l'achat de véhicules électriques, diminution de 80% du fonds vélo, rabot de plus d'un milliard d'euros pour le fonds vert destiné aux collectivités. Ce retour en arrière est inacceptable. Reculer, c’est sacrifier la santé de dizaines de milliers de Français. C’est rester sourd à l’urgence sanitaire et sociale. C’est abandonner les plus précaires, et ne rien résoudre aux inégalités de mobilités. Au contraire, nous avons besoin de plus de solutions et non de moins. En France, 15 millions de personnes sont aujourd’hui en situation de précarité mobilité. Leur problème, ce n’est pas les ZFE, mais le manque d’alternatives concrètes à la voiture individuelle. Il est indispensable et urgent de débloquer des investissements pour pallier ce manque : aides à l’achat de véhicules électriques (neufs ou d’occasion) et de vélos, développement des transports en commun… Nous avons besoin de politiques publiques ambitieuses, équitables et efficaces pour réduire la pollution, protéger les plus vulnérables, et accompagner le développement de la mobilité durable pour toutes et tous. La séquence à venir est décisive : dans les semaines qui viennent, les responsables politiques vont décider de l'avenir des ZFE, mais aussi déterminer des priorités d'investissement pour les transports, à travers le dispositif Ambition France Transports. Nous leur demandons de la cohérence : maintenir les ZFE, renforcer les outils associés, et garantir des financements pérennes pour la mobilité durable. Nous avons les moyens d’agir. Signez la pétition aujourd’hui pour demander au gouvernement et aux parlementaires des mesures fortes en faveur de la santé de toutes et tous, et des investissements pour des transports sains et durables. Vite, il y a urgence, le maintien ou non des ZFE sera décidé à l’Assemblée Nationale à partir du 30 mai. Respirer un air pur et se déplacer librement sont des droits, pas des privilèges ! Pétition lancée par : - Alliance des Collectivités Qualité de l'Air - Clean Cities France - Fédération française des Usagères et Usagers de la Bicyclette - France Nature Environnement - Fondation pour la Nature et l'Homme - Réseau Action Climat - Respire - Secours Catholique Sources : (1) https://www.atmo-france.org/ (2) https://cleancitiescampaign.org/research-list/lez-essential-guide/8 600 sur 9 000 SignaturesCréée par Collectif pour la qualité de l'air
-
Aéroport de St Etienne - Loire : STOP au gaspillage d’argent publicUN AEROPORT INUTILE DE TROP Cette année 2025, ce sera encore 1,2 millions d’€ injectés dans cet aéroport fantôme. Or, depuis 2017, aucune ligne régulière ne dessert l’aéroport. Et pour cause, l’aéroport international de Lyon St Exupéry (10,5 millions de passagers/an) n’est qu’à 90 km. Mais, pour les élus locaux, qu’importe les réalités socio-économiques, il en va de « l’image de marque » du territoire. UN PUITS SANS FOND Chaque année, des millions d’€ sont versés par le Département de la Loire, St-Etienne Métropole, Loire Forez Agglomération, CC Forez-Est et la CCI. Avec le désengagement de l’Etat, c’est plusieurs centaines de milliers d’€ qui vont alourdir davantage les charges de cet aéroport. DES FINANCEURS EN DIFFICULTES BUDGETAIRES Avec les difficultés financières du Département de la Loire (principal contributeur financier de l’aéroport) qui souhaite se recentrer sur ses compétences obligatoires, les administrateurs de l’aéroport en appellent désormais à la générosité de la Région Auvergne Rhône-Alpes pour alimenter ce tonneau des Danaïdes. Demander à la Région qu’elle sauve cet aéroport fantôme est une provocation dans un contexte de contraintes budgétaires croissantes. LA PRIORITE, C'EST LA MOBILITE DU QUOTIDIEN, PAS L'AVION Car en matière de mobilité, la priorité est toute autre pour les ligériens : tous les jours, 80 000 véhicules bouchonnent aux portes de St-Etienne sur l’A72, faute de transport en commun suffisamment calibré. La Région, responsable des mobilités, laisse se dégrader le train de banlieue forézien qui transporte 350 000 passagers/an avec son lot de retards, annulations, manque de places. Beaucoup préfèrent prendre la voiture dans des conditions de circulations difficiles plutôt que de prendre le risque d’utiliser le TER trop peu fiable. La Région doit agir en faveur des salariés, lycéens et étudiants qui prennent le train et désirent simplement arriver à l’heure au travail ou en cours. La priorité n’est pas d’aider des footballeurs ou des excursionnistes à voyager avec plus de confort. POUR LA DEFENSE DES SERVICES PUBLICS LIGERIENS REELLEMENT NECESSAIRES Les subventions en faveur de l’aéroport doivent être réaffectées sur d’autres politiques publiques plus urgentes : - fiabiliser l’offre train TER entre le Forez et St Etienne (Région AURa) - aider les maisons de retraites et les collèges en déficit (Département de la Loire) - accélérer le projet de Service Express Régional Métropolitain (St-Etienne Métropole) - intégrer un volet mobilité au Plan d’Urbanisme Intercommunal (Forez-Est) - développer des pistes cyclables dans la centralité montbrisonnaise (LFA) POUR UNE MEILLEURE UTILISATION DE L'ARGENT PUBLIC À travers cette pétition, nous souhaitons ouvrir un débat sur l’usage des subventions publiques et la définition même du service public local. Nous déplorons que la séance de débat budgétaire du syndicat de l’aéroport soit prononcée à huis-clos pour empêcher le public d’assister aux échanges. Signez cette pétition pour demander une gestion transparente et plus utile de l’argent public dans le Sud-Loire. Non au gaspillage des fonds publics ligériens dans l’aéroport de St Etienne Loire. Non à l’intervention financière de la Région pour sauver coûte que coûte cet aérogouffre.4 805 sur 5 000 SignaturesCréée par Forez Agir
-
Les transports publics gratuits, maintenant!Devenons des voyageurs & voyageuses sans tickets ! Billetterie et abonnements ne représentent pour Mulhouse Agglo que 15 % du coût total de la gestion de Soléa. Les 85 % restant sont fournis par l’impôt. Nous constatons que les réalisations partielles mise en place par l’intercommunalité ne répondent pas aux besoins. Les collectivités & l’État peuvent mieux faire ! Exigeons de nos élus-es locaux qu’ils & qu’elles assurent de nouveaux droits pour toutes & tous les usagers des transports publics : - Des liaisons rapides entre Mulhouse et les vallées vosgiennes, ainsi que le Sundgau ; - Des liaisons rapides avec l’Allemagne et la Suisse ; - Etendre le réseau Tram à Bollwiller, puis en direction du Sundgau, Ottmarsheim, Morschwiller… - Coordonner les correspondances entre Soléa & la SNCF ; - Améliorer les horaires pour les nuits, les dimanches & jours fériés, ainsi que les périodes de vacances scolaires. SAG (Sud Alsace Gratuité pour les transports publics) Collectif adhérent à l'UGDT Pour nous contacter : [email protected] https://www.greenvoice.fr/assets/uploads/2025/02/carte-68-intercom_page-0001.jpg Carte des EPCI du Haut-Rhin au 1er janvier 2019. https://www.greenvoice.fr//assets/uploads/2025/02/Carte-de-France-des-transports-publics-gratuits_page-0001-e1740752046494.jpg1 705 sur 2 000 SignaturesCréée par jean-jacques G.
-
Oui à un Contournement apaisé à l'Ouest de Montpellier ! Non à l'autoroute urbaine (COM Vinci) !L'État a confié à Vinci-ASF la création d'une autoroute urbaine de 6,2 km traversant du nord au sud l'ouest de Montpellier et Saint-Jean-de-Védas. Vinci le déclare dans ses écrits devant la justice, premier objectif du COM : « assurer une continuité du grand itinéraire autoroutier entre l’A 75 et l’A9 vers Clermont-Ferrand, dans la logique de l’orientation globale nord/sud et sud/nord de la concession ASF. » Les autres objectifs, « meilleure fluidité et sécurité du trafic sur l’A 709, meilleure desserte de la zone urbaine de Montpellier, rendre leur vocation urbaine aux voiries métropolitaines restantes aujourd’hui congestionnées – en renforcement de la vocation première de l’A709 », sont essentiellement destinés à faire passer le projet auprès des autorités locales. Au demeurant, l’A 709 est déjà saturée ! Le début des travaux est prévu pour 2026 pour une livraison 2030. Le Collectif AutreCOM s’est constitué pour proposer une alternative viable au projet Vinci qui ne répond pas selon nous, aux besoins réels de mobilité locale. Notre collectif demande que le projet du COM soit réévalué au regard des enjeux climatiques, sociaux et environnementaux actuels, et pour anticiper les besoins en mobilités sur le long terme. Les déplacements pendulaires autosolistes provoquent la surcharge de cette voirie. Pour soustraire un nombre significatif de véhicules et y fluidifier le trafic, les solutions passent à la fois par le traitement des zones névralgiques dûment repérées et par le développement massif des transports collectifs périurbains en site propre tout au long du trajet avec un accès facile aux pôles d’échanges, ainsi que des pistes cyclables. Nos associations proposent que la maîtrise d’ouvrage soit prise en charge par les collectivités locales et non par un acteur privé. POURQUOI S’OPPOSER AU COM VINCI? Fluidification du trafic local et liaison autoroutière : deux objectifs peu compatibles L’emprise au sol prévue irait jusqu’à 10 voies sur une de ses trois sections, pour un gain de temps pour les usagers de 3% sur le trajet soit quelques minutes à peine. Pourtant la part du trafic de transit actuel est évaluée à seulement 10 %, dont 4% de poids lourds (PL). Ce projet démesuré et couteux (>300 millions d’euros) est conçu pour permettre un triplement du nombre de véhicules (de 25 000 à plus de 70 000 véhicules par jour) : le COM est en effet un des chaînons manquants de cet axe européen qui doit traverser la France depuis le Nord de l’Europe et le Havre, éviter l’Ile de France, en allant jusqu’au Sud vers les ports de Méditerranée et l’Italie. Il attirerait donc des milliers de PL et les flux touristiques, comme ceux qui saturent déjà la vallée du Rhône. Dans ces conditions, l’objectif d’amélioration du trafic local semble totalement illusoire. Agissons ensemble ! Merci de signer et diffuser cette pétition ! Pour plus d’info sur notre opposition et sur notre projet alternatif, rendez-vous ici et sur les réseaux sociaux facebook et instagram Avec de nouveaux recours et évènements, 2025 sera une année cruciale pour notre collectif. Participez à la collecte de dons sur Hello Asso. https://www.helloasso.com/associations/action-climat-montpellier/collectes/mobilisation-contre-le-com4 417 sur 5 000 SignaturesCréée par Collectif AutreCOM
-
RN88 : STOP à la destruction de 190ha d'espaces naturelsDébut 2020, sur fond de campagne électorale, Laurent Wauquiez alors Président de la Région Auvergne - Rhône-Alpes (AURA), annonce la reprise d'un projet vieux de 30 ans : la construction de la déviation de 2 bourgs de la RN88. La déclaration d'utilité publique du projet, abandonné depuis par l'Etat, est alors périmée depuis 2007. Le projet coûtera 226 millions d'euros selon la Région AURA qui en finance 90%. Il coûtera en réalité probablement beaucoup plus, entre 500 et 600 millions d'euros selon ses opposant·es. L'augmentation du trafic routier aura également un impact sur la pollution de l'air, l'augmentation des émissions de gaz à effet de serre, et la pollution sonore. Pendant et après les travaux, la biodiversité est et sera lourdement impactée par la disparition de corridors écologiques et la destruction d'habitats de plus de 100 espèces animales et végétales. Un collectif d'habitant·es, de paysan·nes et de défenseur·euses du vivant s'est autour de "La Lutte des Sucs" pour défendre l'arrêt de ce projet mortifère. Depuis 5 ans, 5 nouvelles espèces protégées ont été découvertes sur le site : la Crossope aquatique (une musaraigne à enjeu fort), le Campagnol amphibie (un rongeur à enjeu fort), le Cuivré des marais (un papillon à enjeu fort), le Crapaud Calamite (un amphibien à enjeu modéré), et le Triton palmé (un amphibien non cité dans l'étude d'impact). Pourtant, alors que le maître d'ouvrage ne possède pas la maîtrise foncière des terrains pour les zones de compensation environnementale, les travaux ont débuté avec l'abattage de dizaines d'hectares de forêts, la destruction de murets anciens, la défavorabilisation de terres agricoles, et la construction de plusieurs ouvrages d'art. En 5 ans, de nombreux recours ont été déposés devant la justice, notamment par France Nature Environnement, mais après une annulation partielle de l'autorisation environnementale par le Tribunal administratif de Clermont-Ferrand fin 2024, le processus judiciaire est amené à se poursuivre en Cour d'appel pour obtenir son annulation totale. Nous n'avons pas le temps d'attendre. Nous, collectifs et associations en soutien à la Lutte des Sucs qui se bat contre la destruction de ces écosystèmes, demandons au Préfet de Haute-Loire de suspendre les travaux et à la Région Auvergne - Rhône-Alpes de mettre en étude des solutions alternatives respectueuses de l'environnement. Pour le même prix, il est possible de penser des liaisons de bus cadencées entre Saint-Étienne et le Puy-en-Velay, développer le fret ferroviaire, penser de petites déviations des 2 bourgs en 2x1 voie ou en limiter la vitesse à 30km/h. Ces alternatives crédibles et moins onéreuses (proposées par plusieurs organisations) n'ont pourtant jamais été envisagées sérieusement par la Région AURA. Il est encore temps, mais il est urgent d'agir : seulement une petite partie du projet est sortie de terre, mais d'ici début 2026, le plus gros des travaux risque de mettre définitivement en péril les écosystèmes. Mobilisons-nous pour stopper ce projet ! Crédit photo : LS - rue43120 Personnalités et organisations soutenant la pétition (màj 22/02/2025) : • Geneviève AZAM, économiste et maîtresse de conférences à l'Université Toulouse-Jean-Jaurès • Audrey BOEHLY, journaliste scientifique • Nicolas BONNET, député du Puy-de-Dôme • Catherine BONY, Conseillère régionale Auvergne Rhône Alpes • Julien CHAPUIS, biologiste et cofondateur du collectif Loire Sentinelle • Marie CHUREAU, activiste pour le climat • Renaud DAUMAS, paysan et conseiller régional • Étienne DAVODEAU, auteur de bande dessinée • France Nature Environnement AuRA • France Nature Environnement Haute-Loire (43) • Fabienne GRÉBERT, Conseillère régionale, Présidente du groupe des écologistes à la Région Auvergne-Rhône-Alpes • Greenpeace Clermont-Ferrand • François JARRIGE, historien • Michel JARRY, président de France Nature Environnement AuRA • La Lutte des Sucs • MC danse pour le climat, techno-activiste • Maxime MEYER, Conseiller régional, Co-président du groupe des écologistes à la Région Auvergne-Rhône-Alpes • Corinne MOREL DARLEUX, essayiste et romancière • Barbara RÉTHORÉ, biologiste et cofondatrice du collectif Loire Sentinelle • Andrée TAURINYA, députée de la Loire • Audrey VERNON, comédienne • Vincent VERZAT, Partager c'est sympa26 683 sur 30 000 SignaturesCréée par Greenpeace Clermont-Ferrand & La Lutte des Sucs
-
Sauvons la piste cyclable Carabacel-Désambrois qui relie le Sud-Est au Nord de NICECet élément majeur de l’aménagement cyclable de la ville est prévu dans les moindres détails dans les documents d'urbanisme de Nice (1), il est indispensable au réseau cyclable existant du « centre-ville » et reliera les quartiers du Sud-Est (Le port, Riquier, St Roch) au Nord de la ville, ainsi que la fac de St Jean d’Angély à celle de Valrose. Sa prolongation au Nord de Désambrois, simplement ébauchée au PLU, semblait se concrétiser en 2022 avec un premier tronçon déposé au permis de construire de l’aménagement de la place Jeanne-d’Arc et accepté par la ville de Nice. Mais, coup de théâtre, cette voie cyclable place Jeanne d’Arc a été abandonnée en cours de travaux, entraînant la stupeur des associations de défense du vélo et de l’environnement. Pire encore, lors du discours d’inauguration de cette place (2), M. Estrosi, maire de Nice et M. Nofri, délégué aux transports et à la Mobilité nous ont fait comprendre que c’est toute la piste cyclable "Carabacel-Désambrois" et sa prolongation vers le Nord qui allaient être supprimés dans le plan vélo 2025. Dans le contre la montre déjà mal engagé face au réchauffement climatique tout renoncement serait désastreux. Les Niçois, prêts à prendre leur part dans cette course pour peu qu’on leur en donne les moyens ne comprendraient pas cet abandon. Signez cette pétition pour le maintien de la piste cyclable « Carabacel-Désambrois », primordiale pour le développement du vélo à Nice. Campagne soutenue par : "Nice à Vélo", "Alternatiba", "Terre bleue" et "Oxfam" *** Sources : (1) Voir le résumé du PDU-POA issu du PLU métropolitain en vigueur / 3. Plan Déplacements Urbains (PDU) / POA / PDU / Annexe 2 (2) Nice Matin du 24/10/20243 256 sur 4 000 SignaturesCréée par Groupe local de Greenpeace Nice
-
Pour la santé et le climat, plus un sou pour l’aéroport de Dole-Tavaux !Le drame de Valence vient nous rappeler que le dérèglement climatique, dont l’être humain est responsable, est un problème majeur posé à l’humanité toute entière. Les émissions mondiales de gaz à effet de serre ne cessent pourtant d’augmenter et l’année 2024 sera probablement la plus chaude jamais enregistrée. La Terre se réchauffe. Les calottes glaciaires fondent. Les catastrophes climatiques se font plus fréquentes, plus intenses. Les écosystèmes sont menacés et les réfugiés climatiques déjà une réalité. Parce que l’aviation et la croissance incontrôlée du trafic aérien sont une menace pour le climat, face à l’urgence et à la nécessaire réduction des émissions de gaz à effet de serre, il faut réduire le trafic aérien et fermer les aéroports non indispensables. Dole-Tavaux, un des aéroports de trop En 2007, la loi transfère au profit des collectivités 150 aérodromes et aéroports appartenant à l’État qui n’ose fermer ceux-ci malgré leur peu d’utilité. L’aéroport de Dole-Tavaux fait depuis sa reprise par le département du Jura de multiples débats et controverses, qui amènent à douter sérieusement du bien fondé et de la légalité des aides publiques à un équipement qui ne remplit aucune mission de service public. La réglementation européenne (lignes directrices de 2014) prévoyait par dérogation que les aides d'État aux aéroports non rentables soient supprimés à compter d’avril 2024. Si un sursis jusqu'en 2027 a été arraché par le secteur aérien au prétexte de la pandémie de Covid-19, il reste nécessaire de réviser les lignes directrices européennes pour les rendre conformes aux objectifs du pacte vert . Centrées sur la question de la concurrence, elles ne répondent en effet pas du tout au besoin d'atténuer l'impact climatique et environnemental de l'aérien. Suite aux dégradations de la piste de Tavaux constatées dès 2018, on a découvert que cette dernière n’était pas conforme aux prescriptions de sécurité. Il y a donc aujourd’hui nécessité de la refaire en totalité pour un montant de travaux estimé à 7 500 000 €. Au moment même où le Conseil Régional de Bourgogne-Franche-Comté retire la plateforme du schéma régional aéroportuaire annexé au SRADDET, l’État, après avoir longtemps refusé, cède finalement aux demandes répétées du Département du Jura et annonce un soutien de 2 000 000 € . Faisant fi de l'impact climatique et environnemental de l'aéronautique, avec le soutien de ses voisins (Départements de Côte d'Or, de Saône et Loire, Métropole de Dijon ...), le Département du Jura projette de développer de nouvelles dessertes et une augmentation du trafic de 40 avions par an est envisagée au cours de chacune des 10 prochaines années. Le trafic actuel étant de 388 rotations par an, cela représenterait un doublement d'ici 2034 ! “🚨 Il y a urgence à convaincre les décideurs : l'appel d'offres est lancé et les travaux de reconstruction de la piste sont programmés entre mai et juillet 2025 !” Au nom de l’urgence climatique, ONG environnementales, consommateurs, usagers des transports et acteurs politiques comme de nombreux citoyens exhortent les décideurs à atterrir… pour réfléchir La fin de vie de la piste est l'occasion de raccrocher ... La course au développement de l’aérien condamne notre avenir à toutes et tous. S’il ne s’agit pas de dire que plus aucun avion ne doit voler, il est impératif de réduire le trafic aérien. L’argent public doit permettre d’optimiser l’usage des aéroports internationaux en jouant la complémentarité des moyens de déplacement. En Bourgogne Franche-Comté, la fédération régionale des associations de protection de la nature et de l’environnement France Nature Environnement engage des recours contentieux contre l’État et les collectivités locales qui entendent relancer la plateforme aéroportuaire de Dole-Tavaux. Le levier juridique, associé à la mobilisation citoyenne, est un levier qui a déjà fait ses preuves pour lutter contre la crise climatique, c’est pourquoi nous avons besoin de vous. Accordant une victoire historique à l’association suisse « Aînées pour la protection du climat » , la Cour Européenne des Droits de l’Homme condamne la Suisse pour inaction climatique , reconnaissant que le changement climatique constitue une menace pour les droits fondamentaux des citoyens et citoyennes. Aidez-nous dans ce combat ! C’est uniquement grâce à la générosité et l’engagement des donatrices et donateurs que notre collectif peut, en toute indépendance, mettre en lumière les conséquences néfastes du développement des vols commerciaux à Dole, passer à la loupe les délibérations des collectivités locales, alerter le grand public, saisir les tribunaux et exiger des décisions politiques en cohérence avec l'urgence climatique et environnementale. Je fais un don Agissons pour la santé de toutes et tous : signez cette pétition et alertez en partageant l’information à vos connaissances. Merci d’agir avec nous pour rendre notre mobilité plus soutenable. “Cette campagne est une initiative commune de : Serre Vivante, FNE Bourgogne Franche-Comté, Agir Pour l'Environnement, Cyberacteurs, la Fédération Nationale des Associations d'Usagers des Transports (Fnaut) Bourgogne Franche-Comté, Les Amis de la Terre de Côte d'Or, groupe local Greenpeace Dijon, Attac Jura, Confédération Paysanne du Jura, Les Écologistes de Franche Comté, les Écologistes du Pays dolois, Dole Ecologie, NPA 39, Rester sur Terre, Union Écologique et Sociale du Jura (UES), Union Fédérale contre les Nuisances de l’Aéroport de Strasbourg-Entzheim (UFNASE) , Association Contre les Nuisances Aériennes de Roissy-Charles de Gaulle et du Bourget (ADVOCNAR), ALTERNATIBA Besançon, Action non-violente COP21 Besançon, …”5 590 sur 6 000 SignaturesCréée par Serre Vivante, association membre de France Nature Environnement
Votre consentement est important pour nous. L'utilisation de cookies, ou de technologies similaires, nous permet de vous garantir une expérience optimale sur notre site, de mieux vous connaître et d'avoir une idée précise des personnes qui visitent nos pages.
Vous êtes libre d'accepter ou de refuser l'utilisation de cookies non essentiels, qui n'ont pas d'impact sur la navigation sur ce site. En savoir plus