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STOP AU BETON - NON à l'urbanisation de 12 ha de surfaces agricoles et naturelles à HEMUn projet d’envergure dit « la Tribonnerie 2 » est envisagé (finalisation des études automne 2021) sur les terres cultivées de la Tribonnerie entre la rue de la Tribonnerie, la rue du Général Leclerc et la voie rapide (M6d). Il est prévu la construction de 250 à 300 logements ! Un projet sur près de 12 hectares de terres cultivées et naturelles et qui impactera en réalité plus de 20 hectares. Un projet qui - supprimerait des terres cultivées et naturelles de manière irréversible ; - impacterait la biodiversité du territoire ; - amènerait près de 600 voitures supplémentaires sur des axes déjà saturés (22 000 voitures par jour sur la voie rapide) ; - augmenterait la pollution de l'air déjà largement au-dessus de la valeur limite réglementaire (les particules PM 2,5 sont au double de la valeur et les PM 10 les dépasse largement) ; - élèverait les risques d’inondation (suppression de prairies potentiellement humides, suppression d’une zone tampon à proximité de la Marque) ; - mettrait en tension les services publics et privés (écoles, absence de transports en commun adaptés et dimensionnés, équipements…). Alors même, que la loi climat a été votée le 4 mai 2021 et dont l’objectif est de diviser par 2 le rythme d’artificialisation des sols notant que la biodiversité, le réchauffement climatique, le cycle de l’eau et les terres jouent un rôle crucial pour la planète. Alors même que le SCoT (schéma de cohérence territoriale) de l’arrondissement de Lille a pour objectif de réduire la consommation d’espaces agricoles et naturels. Alors même que le PLU 2 (Plan local d’urbanisme) de la MEL adopté le 12 décembre 2019 rappelle les objectifs d’ « utilisation économe des espaces naturels, la préservation des espaces affectés aux activités agricoles et forestières et la protection des sites, des milieux et paysages naturels » Pour rappel, la MEL bénéficie d'un des plus faibles taux d'espace naturel national soit environ 15% de son territoire. Ce projet va donc à l’encontre de toutes ces orientations et objectifs. Il est à contre sens des enjeux actuels ! « L'artificialisation des sols est aujourd'hui l'une des causes premières du changement climatique et de l'érosion de la biodiversité », dit le ministère de la Transition écologique. La transformation d'un espace naturel en sol artificialisé modifie, voire détruit, l'habitat des espèces animales ou végétales. Un sol artificialisé n'absorbe plus de CO2 et participe donc à la hausse des températures. Il perd également sa capacité à absorber l'eau de pluie, multipliant ainsi les risques d'inondations. Sur le plan agricole, l'artificialisation des sols limite la production alimentaire. Enfin, afin d'être accessibles et fonctionnels, ces terrains nécessitent quantité d'entretien et d'efforts d'aménagement, comme la construction de nouvelles routes. L’argument principal de la commune de Hem et de la MEL est de pouvoir répondre à une demande de logements, notamment les logements sociaux. Il existe sur la MEL de nombreux espaces (friches industrielles, friches commerciales, entrepôts…) encore non exploités, à valoriser et sur lesquels des nouvelles constructions ne supprimeraient pas d’espaces agricoles et naturels. Ces zones doivent être priorisées. La planification doit se faire aussi de façon régionale ! Pendant que la Métropole Européenne de Lille attire les entreprises, les commerces et l’activité ; les villes moyennes aux alentours sont parfois à la peine (perte ou stabilisation de la population, manque de dynamisme du marché de l’emploi et des commerces…). La MEL n’a pas vocation à devenir une région à elle seule ! Un autre projet est possible, répondant aux enjeux actuels et à l’urgence écologique, avec la création d’un grand espace naturel composé de forêts, de prairie et d’un espace de promenade (piétons et vélos), de biodiversité, d’agriculture locale type maraichage bio, qui préserverait les zones humides et la biodiversité, qui laisserait mieux respirer les habitants et proposerait une alimentation saine et locale. Le PLU 2 doit être modifié ; la zone concernée AUDM (urbanisation différée) doit être requalifiée en zone naturelle (NP). Pour faire entendre votre VOIX, signez cette pétition. Partagez là ! Rejoignez le collectif citoyen «la Tribonnerie autrement» : [email protected] https://www.facebook.com/latribonnerieautrement244 sur 300 SignaturesCréée par La Tribonnerie Autrement
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Non à l'Ecoparc du Genevois, sauvons les terres agricolesLe Projet « d’éco parc » du Genevois: 25 hectares de terres agricoles condamnées alors que Saint Julien a déjà perdu 73% de ses surfaces labourables en 10 ans. (source: chambre agriculture, Etude d’impact P122) 25 hectares qui disparaissent pour que s’installent des entreprises ou des commerces aux emplois précaires. Un coût d’aménagement de 11,7 millions d’euros qui sera supporté par les contribuables. Des conséquences désastreuses: La mort de 25hectares de terres agricoles broyées sous le béton alors que nous pourrions y produire une nourriture locale pour répondre aux défis de la souveraineté alimentaire et d’une nourriture de qualité pour tous, en mettant en place des jardins partagés et/ou un pôle agricole de proximité. Une menace de plus pour les commerces et la vie du centre ville de Saint Julien déjà en difficulté. La destruction d’un territoire de bocage repère de biodiversité aux portes de Saint Julien alors que l’urbanisation a déjà détruit des nombreux espaces naturels ces dernières années « L’éco parc », n’a donc d’écologique que le nom. Alors pour la biodiversité, pour un centre ville dynamique, pour produire une nourriture de qualité : refusons ce projet!201 sur 300 SignaturesCréée par Emilie W.
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Des arbres et une coulée verte à Saint-MandéOn pense aujourd’hui à demain. On plante aujourd’hui pour demain. A défaut de pouvoir éviter le choc du réchauffement climatique, on voudrait pouvoir l’amortir. Et vivre dès maintenant dans des villes plus accueillantes, plus conviviales, et plus résilientes.2 843 sur 3 000 SignaturesCréée par Des arbres dans nos rues
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Stop à la répression des activistes climat !Malgré les signaux catastrophiques de l'accélération du dérèglement climatique, le gouvernement français continue d'avancer à contre-courant de cette urgence, notamment en poursuivant les projets d'extensions d'aéroports. Dans le même temps, depuis le début du quinquennat Macron, l'augmentation de la répression de tout mouvement social, dont le mouvement climat, est frappante. Cette intrusion sur le tarmac de l’aéroport de Roissy le 3 octobre 2020, nous l’avons menée en connaissance de cause. Parce que nous avions épuisé tous les autres recours, c’est avec nos corps que nous avons voulu faire barrage. Nous avons pleinement conscience des risques auxquels nous expose la désobéissance civile et c'est bien la démesure des sanctions exigées à notre encontre que nous dénonçons. D'ailleurs, le bien-fondé de notre revendication a été reconnu par l'Etat, qui a officiellement annoncé l'abandon du projet de terminal à Roissy quelques mois plus tard ! Suite à cette action, en parallèle des 7 activistes aujourd'hui en procès, 84 militant·es, ont reçu une sanction administrative. Le préfet délégué à la sécurité des aéroports a décidé de sanctionner les activistes présent·es sur le tarmac par une amende de 750€. Le choix de réprimer les activistes est un donc choix délibéré de ce représentant de l’État qui n’a pas tenu compte du caractère revendicatif et légitime de cette action. Pire ! L'Etat a choisi de prononcer l’amende la plus élevée possible, insensible à nos revendications. En asphyxiant financièrement les mouvements de contestation, l'Etat exerce en réalité des tentatives d'intimidation des activistes dans leurs indispensables efforts de dénonciation de l’inaction politique face à l’urgence climatique. Et le gouvernement ne compte pas s'arrêter en si bon chemin dans sa répression démesurée ! Un projet de loi, porté par les ministres de la Transition écologique, de l'Economie et des Transports, a été adopté le 13 septembre. Cette loi, qui prévoit des sanctions accrues en cas d'intrusion sur des pistes aéroportuaires, cible très clairement les activistes climat, cherche à garantir que d'autres actions de ce type n’auront pas lieu. Il ouvre la voie à une répression systématique des actions de désobéissance civile, alors même qu'elles permettent de faire évoluer le droit dans le sens du bien commun. Pourtant, tant que le gouvernement faillira à prendre des mesures radicales et efficaces pour garantir la réduction des émissions de gaz à effet de serre, il sera de notre devoir de nous opposer à tout projet climaticide. Nous ne céderons pas à ses nombreuses tentatives de nous faire taire. Nous demandons, Messieurs le Président de la République, le ministre de l'Intérieur et le ministre de la Justice, l'arrêt des procédures administratives arbitraires et la fin de la répression des activistes non-violent·es, dont l'action est non seulement légitime, mais surtout nécessaire. N'hésitez pas à partager cette pétition à vos proches et à votre entourage ! Sources : https://reporterre.net/Plutot-que-reduire-le-trafic-aerien-le-gouvernement-veut-reprimer-les-activistes https://www.mediapart.fr/journal/france/140921/une-loi-criminalisant-l-activisme-climatique-passe-en-catimini Soutiens à cette pétition : Alternatiba/ANV-Cop 21 Greenpeace France Les Amis de la Terre Extinction Rebellion Collectif Non au T4 Notre Choix Crédit photo : Julien Hélaine19 398 sur 20 000 SignaturesCréée par Alternatiba Paris
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Pour réduire la pollution par les particules fines, mortellesLes interessés sont apparemment insensibles aux conséquences de cette habitude devenue normale et perpétrée partout et tout le temps. Il me semble qu'une campagne de sensibilisation par les médias pourrait être une première initiative. Ensuite un décret pour déclarer cette incroyable habitude en tant qu 'infraction121 sur 200 SignaturesCréée par Michel E.
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M. le Maire de Saint-Nazaire : libérez-nous du tout-voiture !Notre territoire et celles et ceux qui y vivent souffrent de la pollution de l’air, qui constitue aujourd’hui une urgence sanitaire établie. Le trafic routier porte une responsabilité toute particulière en ce qui concerne les émissions de polluants atmosphériques dangereux pour la santé et doit absolument être restreint. Le trafic routier est également l’un des premiers secteurs émetteur de gaz à effet de serre à l’échelle de notre agglomération. L’urgence climatique nous impose d’agir rapidement et de sortir de notre dépendance collective au pétrole, au transport routier et à la voiture individuelle. C'est un enjeu essentiel et pour autant l’abandon des véhicules polluants et de la logique du tout-voiture ne doit laisser personne sur le carreau. Évidemment, nous savons qu’il n’est pas toujours facile de se passer de sa voiture, mais nous pensons qu’il est de la responsabilité de nos élu.es de nous en donner les moyens, en développant les alternatives et en accompagnant le changement, notamment pour les plus fragiles d’entre nous. Monsieur David Samzun, il est grand temps d’agir pour la transition écologique et pour une mobilité urbaine adaptée aux crises sanitaire et climatique. Nous vous demandons donc : - de programmer et d’organiser la sortie des véhicules polluants dans notre ville/intercommunalité, à travers la mise en oeuvre d’une Zone à Faibles Emissions sur un périmètre géographique ambitieux, en intégrant les différentes catégories de véhicules polluants, en particulier les véhicules individuels, fixant notamment un cap de sortie du diesel à horizon 2025 et de l’essence à horizon 2030 ; - de prendre des mesures visant à réduire la place dédiée à la voiture dans notre ville/intercommunalité (mise en place de “rues scolaires”, mise en place ou développement des zones piétonnes et des zones à trafic limité, généralisation de la baisse des vitesses à 30 km/h et baisse de la vitesse sur les rocades, réduction du stationnement en voirie, etc.) et de réguler notamment la présence des véhicules les plus encombrants comme les SUV ; - d’abandonner tout projet de nouvelle infrastructure routière/autoroutière ou d’extension des capacités routières ; - de continuer à développer la solution vélo (plan vélo ambitieux à hauteur de 30€/an/hab minimum, mise en place d’un réseau express vélo métropolitain, activation des autres leviers d’un système vélo performant : stationnement sécurisé, intermodalité avec les transports en commun, services de location courte et longue durée, apprentissage pour tous, ateliers de réparation, etc.) ; - de continuer à développer le réseau de transports en commun (amélioration des fréquences et amplitudes horaires, mise en place de couloirs réservés pour les autobus, mutualisation des systèmes de billettique entre les différentes offres de transports collectifs et avec les services de mobilités alternatifs, développement des transports urbains en site propre notamment vers/entre les quartiers périphériques denses mal desservis, etc.) ; - de prévoir un accompagnement et des aides à la transition, pour soutenir les particuliers et les professionnels dans le changement de véhicule ou, mieux, de moyen de transport ; Il reste beaucoup à faire dans nos grandes villes françaises sur ce sujet de la lutte contre la pollution automobile, comme l’a démontré un classement des villes* publié en amont des élections municipales de 2020 par le Réseau Action Climat, Unicef France et Greenpeace France. La crise sanitaire Covid que nous traversons a mis une nouvelle fois en lumière la nécessité absolue d’avancer rapidement sur ces enjeux de mobilité urbaine. Sortir du tout-voiture, du diesel et de l’essence et prioriser d’autres manières de se déplacer en ville demande du courage politique et c’est indispensable pour faire face à l’urgence sanitaire et climatique. Maintenant que les élections sont passées, nous vous demandons de passer rapidement à l’action pour lutter de manière ambitieuse contre la pollution automobile, en commençant par honorer vos promesses de campagne sur ces enjeux et en prenant en compte nos demandes dans ce texte. Je vous prie d’agréer, Monsieur le Maire, l’expression de ma considération distinguée. *Source : https://www.greenpeace.fr/lutte-contre-la-pollution-de-lair-classement-des-12-plus-grandes-agglomerations-francaises/75 sur 100 SignaturesCréée par Sylvie A.
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Monsieur Pascal Thévenot, Maire de Vélizy-Villacoublay : libérez-nous du tout-voiture !Notre territoire et celles et ceux qui y vivent souffrent de la pollution de l’air, qui constitue aujourd’hui une urgence sanitaire établie. Le trafic routier porte une responsabilité toute particulière en ce qui concerne les émissions de polluants atmosphériques dangereux pour la santé et doit absolument être restreint. Le trafic routier est également l’un des premiers secteurs émetteur de gaz à effet de serre à l’échelle de notre agglomération. L’urgence climatique nous impose d’agir rapidement et de sortir de notre dépendance collective au pétrole, au transport routier et à la voiture individuelle. C'est un enjeu essentiel et pour autant l’abandon des véhicules polluants et de la logique du tout-voiture ne doit laisser personne sur le carreau. Évidemment, nous savons qu’il n’est pas toujours facile de se passer de sa voiture, mais nous pensons qu’il est de la responsabilité de nos élu.es de nous en donner les moyens, en développant les alternatives et en accompagnant le changement, notamment pour les plus fragiles d’entre nous. Monsieur Thévenot, il est grand temps d’agir pour la transition écologique et pour une mobilité urbaine adaptée aux crises sanitaire et climatique. Nous vous demandons donc : - de continuer à développer la solution vélo (plan vélo ambitieux à hauteur de 30€/an/hab minimum, mise en place d’un réseau express vélo métropolitain, activation des autres leviers d’un système vélo performant : stationnement sécurisé, intermodalité avec les transports en commun, services de location courte et longue durée, apprentissage pour tous, ateliers de réparation, etc.) ; - de continuer à développer le réseau de transports en commun, notamment à Vélizy bas, qui manque cruellement d'une offre de transports en commun adaptée (amélioration des fréquences et amplitudes horaires, mise en place de couloirs réservés pour les autobus, mutualisation des systèmes de billettique entre les différentes offres de transports collectifs et avec les services de mobilités alternatifs, développement des transports urbains en site propre notamment vers/entre les quartiers périphériques denses mal desservis, etc.) ; - de prévoir un accompagnement et des aides à la transition, pour soutenir les particuliers et les professionnels dans le changement de véhicule ou, mieux, de moyen de transport ; de faire preuve d’exemplarité concernant la flotte des transports en commun et de la ville : optimiser et rationaliser les déplacements au sein de la collectivité et engager une véritable politique de mobilité durable. Il reste beaucoup à faire dans nos grandes villes françaises sur ce sujet de la lutte contre la pollution automobile, comme l’a démontré un classement des villes* publié en amont des élections municipales de 2020 par le Réseau Action Climat, Unicef France et Greenpeace France. La crise sanitaire Covid que nous traversons a mis une nouvelle fois en lumière la nécessité absolue d’avancer rapidement sur ces enjeux de mobilité urbaine. Sortir du tout-voiture, du diesel et de l’essence et prioriser d’autres manières de se déplacer en ville demande du courage politique et c’est indispensable pour faire face à l’urgence sanitaire et climatique. Maintenant que les élections sont passées, nous vous demandons de passer rapidement à l’action pour lutter de manière ambitieuse contre la pollution automobile, en commençant par honorer vos promesses de campagne sur ces enjeux et en prenant en compte nos demandes dans ce texte. Je vous prie d’agréer, Monsieur Thévenot, l’expression de ma considération distinguée. *Source : https://www.greenpeace.fr/lutte-contre-la-pollution-de-lair-classement-des-12-plus-grandes-agglomerations-francaises/76 sur 100 SignaturesCréée par Lucie C.
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Mr le Maire : libérez-nous du tout-voiture !Notre territoire et celles et ceux qui y vivent souffrent de la pollution de l’air, qui constitue aujourd’hui une urgence sanitaire établie. Le trafic routier porte une responsabilité toute particulière en ce qui concerne les émissions de polluants atmosphériques dangereux pour la santé et doit absolument être restreint. Le trafic routier est également l’un des premiers secteurs émetteur de gaz à effet de serre à l’échelle de notre agglomération. L’urgence climatique nous impose d’agir rapidement et de sortir de notre dépendance collective au pétrole, au transport routier et à la voiture individuelle. C'est un enjeu essentiel et pour autant l’abandon des véhicules polluants et de la logique du tout-voiture ne doit laisser personne sur le carreau. Évidemment, nous savons qu’il n’est pas toujours facile de se passer de sa voiture, mais nous pensons qu’il est de la responsabilité de nos élu.es de nous en donner les moyens, en développant les alternatives et en accompagnant le changement, notamment pour les plus fragiles d’entre nous. M Bayrou, il est grand temps d’agir pour la transition écologique et pour une mobilité urbaine adaptée aux crises sanitaire et climatique. Nous vous demandons donc : - de programmer et d’organiser la sortie des véhicules polluants dans notre ville, à travers la mise en oeuvre d’une Zone à Faibles Emissions sur un périmètre géographique ambitieux, en intégrant les différentes catégories de véhicules polluants, en particulier les véhicules individuels, fixant notamment un cap de sortie du diesel à horizon 2025 et de l’essence à horizon 2030 ; - de prendre des mesures visant à réduire la place dédiée à la voiture dans notre ville/intercommunalité (mise en place de “rues scolaires”, mise en place ou développement des zones piétonnes et des zones à trafic limité, généralisation de la baisse des vitesses à 30 km/h et baisse de la vitesse sur les rocades, réduction du stationnement en voirie, etc.) et de réguler notamment la présence des véhicules les plus encombrants comme les SUV ; - d’avancer sur des mesures visant à maîtriser la demande en déplacements comme l’abandon des projets de nouvelles zones commerciales en périphérie ; - d’abandonner tout projet de nouvelle infrastructure routière/autoroutière ou d’extension des capacités routières ; - de continuer à développer la solution vélo (plan vélo ambitieux à hauteur de 30€/an/hab minimum, mise en place d’un réseau express vélo métropolitain, activation des autres leviers d’un système vélo performant : stationnement sécurisé, intermodalité avec les transports en commun, services de location courte et longue durée, apprentissage pour tous, ateliers de réparation, etc.) ; - de renforcer et pérenniser les dispositions temporaires qui ont été mises en place en faveur du vélo et des piétons dans le contexte covid ; - de continuer à développer le réseau de transports en commun (amélioration des fréquences et amplitudes horaires, mise en place de couloirs réservés pour les autobus, mutualisation des systèmes de billettique entre les différentes offres de transports collectifs et avec les services de mobilités alternatifs, développement des transports urbains en site propre notamment vers/entre les quartiers périphériques denses mal desservis, etc.) ; - de mettre en place une tarification sociale et solidaire basée sur les ressources pour les transports en commun ; - de prévoir un accompagnement et des aides à la transition, pour soutenir les particuliers et les professionnels dans le changement de véhicule ou, mieux, de moyen de transport ; de faire preuve d’exemplarité concernant la flotte des transports en commun et de la ville : optimiser et rationaliser les déplacements au sein de la collectivité et engager une véritable politique de mobilité durable. Il reste beaucoup à faire dans nos grandes villes françaises sur ce sujet de la lutte contre la pollution automobile, comme l’a démontré un classement des villes* publié en amont des élections municipales de 2020 par le Réseau Action Climat, Unicef France et Greenpeace France. La crise sanitaire Covid que nous traversons a mis une nouvelle fois en lumière la nécessité absolue d’avancer rapidement sur ces enjeux de mobilité urbaine. Sortir du tout-voiture, du diesel et de l’essence et prioriser d’autres manières de se déplacer en ville demande du courage politique et c’est indispensable pour faire face à l’urgence sanitaire et climatique. Maintenant que les élections sont passées, nous vous demandons de passer rapidement à l’action pour lutter de manière ambitieuse contre la pollution automobile, en commençant par honorer vos promesses de campagne sur ces enjeux et en prenant en compte nos demandes dans ce texte. Je vous prie d’agréer, Monsieur le maire, l’expression de ma considération distinguée. *Source : https://www.greenpeace.fr/lutte-contre-la-pollution-de-lair-classement-des-12-plus-grandes-agglomerations-francaises/46 sur 100 SignaturesCréée par joel g.
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Mise en place de Bennes adapté aux recyclageLe communauté urbaine de CAENLAMER, ont distribués a tous les habitants du territoires, des nouveaux bacs jaune pour le recyclage. Mais ou sont les notre? On nous incite a toujours faire attention a trié ses déchets. Comment cela est-il possible quand le bac le plus prés se trouve a plus de 300 mètre?48 sur 100 SignaturesCréée par Annie L.
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Favoriser les alternatives à la voiture pour mieux respirer à Saint-Michel sur OrgeLe projet actuel s’articule principalement autour de la construction d’un parking béton de 450 places en plein centre-ville. Ceci va provoquer une augmentation importante du trafic automobile dans des rues déjà très étroites et souvent saturées aux heures de pointe (Rue de Montlhéry, rue de Ste Geneviève) et rendre dangereuse la circulation des piétons et des cyclistes. De plus, pour ces derniers, le projet n'a prévu aucun itinéraire pour relier les différents quartiers de St Michel à la gare. C’est pourquoi, nous demandons un réexamen du projet qui prenne réellement en compte l’avis des habitants de la ville et en particulier des riverains de la gare et des usagers du RER, autour des objectifs suivants : - Abandonner le projet de construction du parking de 450 places. - Réduire fortement la vitesse des voitures en ville et favoriser les déplacements non polluants. - Revoir la politique de stationnement aux abords de la gare en lançant une réelle concertation. - Mettre en place une politique ambitieuse pour la pratique du vélo ainsi que tous les services associés pour en faciliter l’usage. - Organiser des évènements et des dispositifs de sensibilisation pour inciter au changement de pratique. - Améliorer qualitativement les fréquences et les amplitudes horaires des transports en commun et mettre en place une tarification solidaire basée sur les ressources pour tous les services de transport. Nous vous invitons à signer cette pétition pour contribuer, à travers les objectifs ci-dessus, à l’élaboration d’un nouveau projet respectueux de notre santé, de l’environnement et de notre qualité de vie. Association de quartier 3A3G (Association pour l'Avenir des quartiers Ancien, Gare, Glaises, Grouettes) Contact : [email protected]453 sur 500 SignaturesCréée par Association 3A3G ..
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Pour des mobilités douces sécurisée à Soisy-sous-MontmorencyQu'il s'agisse de notre bien être, de notre santé ou de rendre notre ville plus agréable, les arguments ne manquent pas pour encourager le développement des mobilités douces. Individuellement il est difficile d'agir, aussi nous avons décidé de nous mobiliser en créant un collectif de citoyen pour porter un message commun auprès de la municipalité et avoir un poids suffisamment conséquent pour que nos revendications se concrétisent en actions réelles. Si vous voulez en savoir plus ou nous échanger avec nous, vous pouvez nous contacter en écrivant à [email protected].585 sur 600 SignaturesCréée par Soisy R.
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Pour une régulation de la publicité dans la ville de NiceLa Convention citoyenne pour le climat proposait d’interdire la publicité pour les produits qui émettent le plus de GES. Or, la loi votée par l'Assemblée nationale se concentre finalement sur les publicités pour les énergies fossiles (pétrole, charbon, gaz) et non sur les produits les utilisant, ce qui est totalement inefficace du fait de la quasi absence de publicités concernant ces secteurs (qui ont tout intérêt à ne pas en faire) [2].. C’est aussi la fin des avions avec banderoles publicitaires, une pratique jugée « anachronique »[3] et largement minoritaire et qui a par conséquent un impact quasi nul. Les publicités pour les produits dont l'empreinte carbone indirecte mais bien réelle est fatal à notre Climat vont donc continuer sans régulation. Nous continuerons de voir dans la ville de Nice les publicités pour les smartphones et tablettes numériques dont l'impact démesuré sur les ressources et sur le climat est connu [4], ou encore pour les SUV, véhicules surdimensionnés polluant 20% plus qu'un véhicule standard.[5] Face au non-respect de la volonté citoyenne et en raison de la crise écologique en cours, il est nécessaire d'agir dès maintenant et de manière beaucoup plus ferme. C'est pourquoi nous faisons appel à la municipalité pour prendre en compte cet impératif et s'engager dans une démarche durable et pérenne en limitant la publicité. Face à toutes les injonctions écologiques de la Municipalité et la nécessité de rentrer dans son plan Climat local, il est essentiel que M. Estrosi prenne des mesures pour limiter la publicité, et ce dès aujourd'hui. D'autres villes l'ont déjà fait... G. Kassab, maire de São Polo, fait voter en 2006 une loi interdisant tout affichage publicitaire dans l'espace publique pour lutter contre « la pollution visuelle ». Une étude menée cinq ans après montre que 0% des Paulistanos jugent cette mesure bénéfique[6]. A l'instar de la ville brésilienne, Grenoble est, dès 2014, la première grande ville européenne « sans pub ». La municipalité plante une cinquantaine d'arbres à la place des panneaux publicitaire et met en place des lieux d'affichages citoyens et culturels raisonnés [7]. Suivant l'exemple de ces villes pionnières, d'autres villes ont ébauché la même démarche. C'est le cas par exemple de Lyon qui veut supprimer les panneaux numériques très énergivores [8]. En effet, un panneau avec une face numérique consomme 7 fois plus que le plus énergivore des mobiliers non numériques et un panneau avec deux faces numériques consomme 13 fois plus. Soit entre 68 000 et 12 600 kWh/an. Ce qui est équivaut autant que 32 réfrigérateurs-congélateurs combinés [9]. Les plus grandes métropoles françaises comme Marseille [10], Lille [11], Paris [12], Bordeaux [13] ont également indiqué vouloir faire le nécessaire pour limiter drastiquement l'envahissement visuel de l'espace public. Ceci est sans compter qu'une étude a montré que les accidents étaient 25 à 29% plus élevés sur les portions de routes avec des affichages numériques qui déconcentrent les conducteurs. De ce fait, la Belgique a interdit les panneaux numériques en bord de route [9]. Plus récemment, et dans une lutte assumée contre le réchauffement climatique, Amsterdam interdit les publicités pour les énergies fossiles et les avions [14]. N'attendons pas que les choses se fassent. Devant l'urgence climatique en cours, il est important de prendre des décision durables rapidement. Prenons modèle sur les municipalités qui, s'opposant à la surconsommation, ont décidé de limiter la surabondance de la publicité, non nécessaire à notre épanouissement personnel, voir de la supprimer totalement. Chers élus municipaux, veuillez choisir le camp des Justes en écoutant vos concitoyens et refusez de prendre part à l'écocide en cours. ANV-COP21 06 & XR 06 1. https://propositions.conventioncitoyennepourleclimat.fr/objectif/reguler-la-publicite-pourreduire-les-incitations-a-la-surconsommation/ 2. https://www.linfodurable.fr/politique/loi-climat-lencadrement-de-la-pub-muscle-par-les-deputes-24933 3. https://www.linfodurable.fr/politique/loi-climat-lassemblee-sonne-le-glas-pour-les-avionspublicitaires-24941 4. https://theshiftproject.org/wp-content/uploads/2018/11/Rapport-final-v8-WEB.pdf 5. https://www.capital.fr/auto/automobile-greenpeace-epingle-les-suv-a-louverture-du-salon-de-francfort-1349650 6. http://www.slate.fr/lien/48139/sao-paulo-ville-sans-pub-paris 7. https://www.ecoco2.com/blog/grenoble-premiere-ville-europeenne-sans-publicite/ 8. https://www.ouest-france.fr/auvergne-rhone-alpes/lyon-69000/lyon-la-metropole-ecologiste-veutinterdire-les-ecrans-de-publicite-numeriques-531a2760-8d72-11eb-b4f4-a825bc036020 9. https://stop-pub.video/pourquoi/ 10. https://www.francebleu.fr/infos/societe/marseille-va-interdire-les-publicites-numeriques-danstout-le-centre-ville-1613581323 11. https://www.francebleu.fr/infos/societe/lille-dit-non-aux-panneaux-publicitaires-numeriques-1572602573 12. https://www.leparisien.fr/paris-75/la-ville-de-paris-veut-en-finir-avec-la-publicite-numeriquedans-les-rues-28-03-2021-8430080.php 13. https://www.nouvelobs.com/conso/20210401.OBS42181/pourquoi-la-mairie-ecolo-debordeaux-veut-interdire-les-ecrans-de-pub-dans-ses-commerces.html 14. https://www.cnews.fr/monde/2020-12-22/amsterdam-interdit-la-pub-pour-les-energies-fossileset-lavion-une-premiere241 sur 300 SignaturesCréée par ANV-COP21 06 & XR 06
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