• Nous avons notre mot à dire sur l'aménagement du coeur-village !
    Mi-juillet une réunion a été organisée par Monsieur le Maire et les Services Techniques Municipaux pour répondre au courrier de mécontentement d'un groupe d'habitants voisins du Petit-Bois; ces citoyens s'étonnaient que l' annonce d'une consultation dans le dernier bulletin municipal l'Echo ( n°141, Vive la biodiversité !: voir ici  [voir "Consultation pour une aire de jeux", page 3] ) sur le remplacement de l'aire de jeux des jardins de la Mairie ( Espace Vert Protégé ) par une nouvelle aire de stationnement et de la solution d'accompagnement envisagée ne se soit pas concrétisée.    Aucune information n'a été fournie  jusqu'en juillet sur l'évolution de ce projet ; nous avons été alertés par les premières réponses aux questions qu'ont suscitées l'aménagement effectué en juin dans le Petit Bois :  • une "sente" (qui se révèle bétonnée) y a été tracée …  • préparation d'une "clairière" côté Allée des fermes, dans une zone soi-disant protégée selon le PLU …  • les Services Municipaux prévoit d'y installer une aire de jeux réduite (un "bateau de pirates"), se substituant partiellement aux équipements en place dans les jardins à l'arrière de la Mairie, qui donnent entière satisfaction aux habitants de la commune. … La "consultation" publique s'est en fait limitée à recueillir l'avis des enfants  du groupes scolaire Les Saules sur le choix de l'équipement de jeux (*) nous informe publiquement le n° 142 de rentrée de l'Echo de Collégien (distribué fin août; voir pages 2 et 3), en même temps qu'il annonce le "choix" ( la décision arbitraire des Services municipaux ) de son installation dans le Petit-Bois. 1) Le premier motif d'opposition à ce  projet, exprimé d'entrée lors de la réunion, est l'extension qui semble parfaitement inutile du nombre de places de stationnement, déjà conséquent, aux alentours de la Mairie.  En fait, nous l'avons appris lors de cette même réunion, le raisonnement technocratique des responsables des Services concernés est qu'il faut prévoir 3x10 places de stationnement supplémentaires pour les 9 praticiens médicaux et l'espace kiné que la future Maison de santé pluridisciplinaire ( quelques infos ici ) devrait accueillir, après le déplacement de la Maison de l'enfance de l'aile du bâtiment voisin de la Mairie qu'elle occupe actuellement (**).  • Les Collégeois demandaient de sauvegarder l'offre de soins préexistante lors des départs en retraite des praticiens établis aux abords de la Maire… les participants à la réunion ont découvert à cette occasion que Collégien va accueillir un centre médical potentiellement surdimensionné pour la commune, si le projet de la CA Marne & Gondoire se réalise pleinement. Il devra recevoir des patients de communes environnantes,  motorisés : pour quel (sur) bénéfice pour la commune et ses habitants ? Une nouvelle surprise pour la population !  • Un inventaire des places du "cœur de village" aboutit au constat du doublement effectif des places de stationnement à moins de 250 m de la place Morvan (plus de 200 places au total), suite aux aménagements actuels (rappelés dans le dernier ° de l'Echo de Collégien) ou à venir (Petit-Bois). La solution proposée lors de la réunion de limiter la durée de stationnement ( "zone bleue" ) sur la totalité de la cinquantaine de places actuelle autour de la Mairie (***) paraît LA solution pour résoudre ce besoin (supposé / à vérifier lors du fonctionnement de la future Maison de la Santé en 2025) de places supplémentaires de stationnement  … et nous réclamons une réponse (argumentée) à cette proposition. 2) Le second motif d'opposition à ce projet est la protection de la biodiversité et de l'unique espace naturel restant au "cœur village" de Collégien, le Petit-Bois.  Cet espace naturel est en position très précaire, au vu des aménagements récents et des projets à venir: • le projet de parking aménagé (annoncé dans le bulletin municipal n°139 ( ici, page 5 ) remplaçant un emplacement historique pour forains (fêtes communales, passages de cirques) et qui permet de soulager les nouveaux problèmes de stationnement résidentiel, • la "sente" bétonnée réalisé ces dernières semaines, qui  double,  en serpentant au milieu du bois pour le même usage de raccordement à l'Allée des Fermes, l'allée existante du Petit-bois, • l'équipement que les Services Techniques s'empressent ( avant même la date annoncée des travaux ) de préparer en dégageant sévèrement la "clairière" au bord de l'Allée des Fermes va évidemment induire une occupation renforcée et dommageable  de cet espace jusque là naturel.     Comme le rappelait opportunément le numéro 141 de l'Echo de Collégien, le respect de la biodiversité n'est pas qu'un sujet à la mode !  Il est indispensable de limiter autant que possible les effets néfastes de la nécessaire évolution de notre commune, de "mettre en accord les paroles et les actes", dans chaque projet.    C'est pourquoi l'installation du "Bateau de pirate" en face de l'école des Saules,  l'autre emplacement envisagé par la Municipalité, sur la place jouxtant le plateau d'évolution, proche de la future Maison de l' Enfance, est largement plus   pertinente et nous demandons également la révision du projet imposé par les Service municipaux. Pour dire non au tout-voiture dans Collégien,  non à la bétonnisation de nos espaces verts,   non  aux aménagements coûteux et inutiles,  SIGNEZ CETTE PETITION!   notas: *: Monsieur le Maire a présenté ses excuses sur cette erreur de communication lors de la réunion / le DGS (Directeur Général des Services municipaux) soutient qu'il ne faut pas lire dans le bulletin municipal l'annonce d'une consultation publique **: la Maison de l'enfance sera déplacée auparavant à côté du groupe scolaire Les Saules dans un bâtiment en cours de construction ***:  "15 places sont occupées en journée par les employés municipaux" ont précisé les Services municipaux; leur demander de stationner dans les parkings périphériques libéreraient la moitié des places estimées nécessaires ! la Municipalité n'a pas répondu à la proposition faite en cours de réunion de stationnement réglementé "zone bleue" sur les places existantes à l'arrière de la Maire 
    2 of 100 Signatures
    Created by Collégeois p.
  • Les trottoirs pour les piétons et une vraie piste pour les cyclistes sur le pont Saint-Esprit !
    En effet, depuis les travaux de 2018 liés au Tram’bus, les expérimentations de circulation en place donnent lieu à une cohabitation malheureuse et dangereuse entre piétons et cyclistes, tandis que les bus sont régulièrement bloqués dans les embouteillages avec les voitures. Cette situation, qui dure depuis près de six ans, met en péril la sécurité de tous les usagers et nuit à la qualité de vie dans nos quartiers.  C’est pourquoi nous demandons sans attendre des espaces séparés et sûrs pour les piétons et cyclistes, afin de faire du pont Saint-Esprit un véritable lieu de passage dynamique, bénéfique à toute la communauté.  Il est temps de rendre le pont Saint-Esprit accessible, sûr et accueillant pour tous les Bayonnais.
    1,181 of 2,000 Signatures
    Created by Txirrind'Ola
  • Non à la navette autonome Beti à Crest & en Vallée de la Drôme, pour d'autres projets de société
    Au lieu de subir constamment les décisions unilatérales des élus locaux et de se soumettre aux logiques capitalistes et technologiques sans avenir, il est important de se réunir pour lutter ensemble et faire grandir des projets de sociétés vivables et désirables, socialement justes et écologiquement soutenables. Les catastrophes sociales, écologiques, climatiques en cours méritent bien mieux que du solutionnisme technologique. On a besoin de vraies améliorations sociales et politiques, pas de robots « high tech ». Et si on mettait fin à la résignation et la soumission par rapport à tous ces projets présentés abusivement comme bons et inéluctables ? Ce projet aberrant de navette autonome Beti est une bonne occasion pour commencer à se relever, réfléchir et agir. Une pétition n’est qu’un (très) modeste début en ce sens. C’est à nous toustes d’aller beaucoup plus loin ensemble, le plus loin possible.
    138 of 200 Signatures
    Created by Groupe écolo e.
  • Non à l'autoroute A154-A120 !
    Monsieur le Ministre des Transports, Monsieur Le Ministre de la Transition Ecologique et de la cohésion des territoires, Notre collectif est né en janvier 2023 pour venir renforcer les actions des associations membres de la FEEL (Fédération Environnement Eure-et-Loir) contre ce projet anachronique, voici pourquoi : 👉 Alors que l’État a pris des engagements bas carbone, ce projet est aux antipodes des enjeux de réduction de gaz à effet de serre : il a été pensé il y a plus de 20 ans et ne serait réalisé qu’à horizon 2030 ! La DUP (Déclaration d'Utilité Publique) de 2018 et son chiffrage à plus d'1 milliard d'euros et 350 000 tonnes de CO2 sont hors sujet aujourd'hui ! 👉 Avant toute chose, chaque mètre de bitume pompe 1 litre d’eau de nos nappes phréatiques qui sont chaque année de plus en plus menacées, et empêchent nos agriculteurs de produire à plein régime (-40% de droit à irrigation en 6 ans). La ressource en eau va devenir si rare qu’on sera bientôt rationnés et tout supplément de surface artificialisée contribue directement à augmenter les problèmes de graves inondations en alternance avec de graves sécheresses ! 👉 Ce projet va à l'encontre des objectifs que la France s’est fixés en matière d’artificialisation : 660 hectares de terres agricoles seraient artificialisées, et 90 hectares d’espaces forestiers traversés. Au total : 750 hectares de terres fertiles seraient ainsi menacées. Par ailleurs, la destruction massive d’habitats naturels affecterait directement la faune et la flore, donc la chaîne alimentaire dont nous faisons partie. 👉 Les fortes pollutions de l’air et les nuisances sonores attendues dans les 35 communes limitrophes affecteraient de plein fouet les riverains et riveraines, en plus d’augmenter l’accidentologie dans les villages, ce qui obligerait les mamans à déposer les enfants en voiture contre poussettes et vélos aujourd'hui…. 👉 Poussé par des élus locaux, notamment sur Chartres et Dreux, ce projet n’a aucune cohérence économique : d’une part au vu du coût pour le concessionnaire (qui aura besoin d’une énorme subvention d’équilibre), d’autre part pour les 35 communes qui devraient prendre en charge toutes les mesures d’accompagnement, et enfin pour les Euréliens navigant tous les jours entre Chartres et Dreux qui ne voudront pas sacrifier leur budget vacances pour payer le péage pour leur trajet quotidien (prix du simple trajet à 6 €) et qui contourneront l’autoroute, comme de nombreux PL, en passant par les villages (presque 100 communes sont concernées) Pour ces raisons, nous demandons aux collectivités locales et à l’État d'agir : notre collectif exige un arrêt du projet d'autoroute afin de préserver le cadre de vie eurélien et régional, et s’associe bien entendu à l’arrêt de tous les projets autoroutiers en France avec la Déroute des Routes car ils contribuent à tuer progressivement nos ressources naturelles en France, eau, agriculture et biodiversité ! D'ici peu, vous allez nous annoncer la liste des projets autoroutiers maintenus par le gouvernement. L'Etat n'ayant encore rien engagé sur ce projet, il est encore temps de le stopper. Nous vous demandons, Monsieur le Ministre des Transports, de bien vouloir entendre cet appel citoyen massif afin de vous éviter un nouvel A69 ici en Eure-et-Loir, à une heure de la capitale.  Pour les mêmes raisons, nous vous demandons, Monsieur Le Ministre de la Transition Écologique et de la Cohésion des Territoires, de bien vouloir revoir votre liste des 167 projets sortis de la loi ZAN afin de conserver l’esprit dans lequel cette loi ZAN a été votée pour réduire les surfaces artificialisables de la France. Ce ministère doit protéger tous les français, dans la durée, des impacts directs de cette artificialisation sur le dérèglement climatique et sur les catastrophes “dites naturelles” pour lesquelles nous sommes évidemment responsables. STOP !  Comment pouvez-vous qualifier ces projets destructeurs de projets d’envergure nationale et européenne d’intérêt général majeur alors qu’ils menacent directement nos ressources et sont accélérateurs de catastrophes “naturelles” ? Ces projets n’ont par ailleurs pas été sélectionnés de façon démocratique mais arbitraire, et ce, au détriment de tous les vivants sur le sol français ! Si vous avez des enfants et des petits-enfants et que vous vous souciez de leur avenir, vous DEVEZ abandonner ce projet d'autoroute d’une autre époque, et investir dès maintenant et massivement dans la réouverture des petites lignes de train et dans le fret ferroviaire, comme engagé dans le Contrat Plan Etat Région de l'été 2023.  Nous sommes de plus en plus nombreux en Eure et Loir à dire NON au projet de mise en concession de nos RN12 et RN154 :  je suis agricultrice bio et ma baisse de ressource en eau menace mon activité, je suis père de 2 enfants et agriculteur, et mon exploitation va être coupée en deux sans compensation,  je suis maman d'une petite fille en poussette dans un village calme aujourd'hui mais qui demain sera traversé par des convois de poids lourds,  je suis ingénieur en génie civil à la retraite et je travaille sur des alternatives ferroviaires,  je suis papa de deux enfants et maire d'un village sacrifié au coeur d'une vallée classée,  je suis agriculteur conventionnel et ma propriété deviendra invendable quand les poids-lourds passeront sous mes fenêtres pour éviter de payer l'autoroute,  je suis étudiant et vraiment inquiet pour mon avenir,  je suis habitant d’un village d’Eure-et-Loir et je ne veux pas d’une plateforme logistique dans mon jardin.  Et vous, Madame, Monsieur, chers concitoyens Euréliens, pourquoi vous opposez-vous à ce projet d'autoroute en Eure-et-Loir ? Contactez-nous, signez et partagez cette pétition adressée à nos deux ministres.  Le Collectif Non A154 A120
    12,243 of 15,000 Signatures
    Created by Le Collectif Non A154 A120
  • Non aux nouveaux échangeurs A7
    S’appuyant sur des chiffres fantaisistes, des études orientées, affublant le béton et le goudron de vertus écologiques, le concessionnaire Vinci ressort un vieux projet de construction de plusieurs nouveaux demi-échangeurs sur l’Autoroute A7, notamment à Saint Rambert d’Albon et Saint-Barthélémy-de-Vals dans la Drôme.  Les villages du nord Drôme ne sont ni enclavés, ni sous-développés. Alors pourquoi donner la priorité au trafic routier ?  ⛔ En plus de son inutilité, ce projet aurait des conséquences désastreuses pour la région :  ⚠️Ce serait ouvrir le territoire à encore plus d’artificialisation des terres nourricières et de la spéculation qui l’accompagne, par des entreprises fragilisées par leur dépendances aux flux mondiaux instables. ⚠️ Ce serait augmenter le trafic de l’autoroute mais aussi et surtout de tout le réseau secondaire et communal, avec des villes et villages déjà asphyxiés par les camions et les voitures : Saint Sorlin, Manthes, Moras en Valloire, tous les villages de la Galaure, les communes le long de l’axe Romans / Saint Donat / Bren / Saint Barthélémy, les villages d’Andancette et Andance, les hameaux du Creux de la Thine et de Villeneuve de Vals. Saint Vallier et Sarras peuvent s’apprêter à revivre l’enfer des embouteillages de triste mémoire. ⚠️ Ce serait augmenter le trafic et augmenter la pollution atmosphérique, la pollution des sols et des nappes phréatiques. ⚠️ Ce serait signer l’arrêt de mort de la biodiversité. Ce serait afficher clairement que les derniers couples de bruant ortolan, espèce protégée d’oiseau emblématique des Fouillouises, peuvent mourir comme le révélateur du mépris des politiques locales aux autres vivants. ⛔ Non au gaspillage d’argent public ! L’argent public serait mieux employé à développer d’autres politiques qui favoriseraient la souveraineté alimentaire, qui soutiendraient l’initiative locale en la rendant moins dépendante des grandes agglomérations et des flux mondialisés. Cela pourrait être au service de politiques pour renforcer les modes de déplacement doux : en relançant le ferroviaire sur les deux rives du Rhône et faisant des gares de Sarras, Saint Vallier, Andance, Andancette et Saint Rambert des lieux de vie, en réalisant un réseau de voies cyclables maillant tout le territoire, ou encore en réutilisant le Rhône même pour de courtes distances. Autant de propositions concrètes à réaliser rapidement qui permettraient de penser qualité de vie et projection dans le futur avec plus de sérénité. Le projet qui devait avoir lieu à Saint-Paul-Trois-Châteaux a été suspendu : il est encore possible de stopper ceux du nord de la Drôme ! Signez cette pétition pour dire stop avec nous, et partagez-là autour de vous !
    221 of 300 Signatures
    Created by Point de Bascule, Vivre et Assez
  • NON au parking de la honte à Angers !
    NON AU PARKING DE LA HONTE ! Non au parking-aspirateur à voitures de M.Béchu au pied du château ! A l’instar de M. Macron, M. Verchère (Maire d'Angers), la majorité municipale et M. Béchu (1er adjoint et ministre en charge de l’écologie) « adorent la bagnole » !  Il y a maintenant urgence car le permis de démolir de la caserne de l’académie est déposé et le 18 mars, le chantier a commencé par un abattage scandaleux de 8 grands ormes en cette période pré-printanière de nidification. Là doit être édifié un parking de 300 places au cœur du quartier historique de l’Esvière sous prétexte de végétalisation du parking du château, de la place de l'académie et de la suppression des 147 places de stationnement. Il faut maintenant assumer de faire disparaître quelques places de parking et inciter à un changement réel de mode de déplacement. La ville a pourtant investi sur 2 nouvelles lignes de tramway pour près de 250 millions d’euros et des parkings relais sont à disposition, quitte à en augmenter le nombre de places. Cependant dans une logique passéiste, M. Béchu avait promis qu’aucune place de stationnement ne serait perdue. Ce parking est donc symptomatique de l’archaïsme de la ville en matière d’occupation de la voiture aux dépens des mobilités douces. Ce projet est anachronique à l’heure où la majorité des villes françaises n’édifient plus de parking en centre-ville et piétonnisent les espaces de vie. Tel un bulldozer sourd et borné, la municipalité refuse tout dialogue avec les opposants dans une posture anti-démocratique.  Pourtant, depuis plusieurs années des associations et collectifs citoyens engagés pour l’écologie et le patrimoine historique alertent sur ce projet coûteux, inutile et délétère au regard de l’urgence écologique :  • Le parking est un gaspillage d’argent public. 8,5 millions d’euros sont annoncés alors que, d’après des relevés officiels, le taux d’occupation des 5 parkings aux alentours est très loin de la saturation (548 places libres en moyenne de décembre 2023 à mai 2024) avec un constat similaire sur l’ensemble des parkings angevins (1841 places libres en moyenne sur la même période). Et sans compter la voirie !   • L’impact d’un tel ouvrage dans ce quartier tranquille aux rues étroites serait catastrophique sur le plan de la sécurité, de la pollution sonore et atmosphérique (augmentation des mortelles particules fines PM2.5 et du NO2). Cela nuirait gravement à la santé des enfants de l’école mitoyenne de la Blancheraie et des habitant.es dans un contexte où les normes européennes évoluent pour des objectifs plus ambitieux dès 2030 !   • Le site revêt un intérêt archéologique très important après un diagnostic réalisé en 2023 et mériterait des fouilles approfondies avant tout projet de construction. Le rapport suite à l'enquête publique dans le cadre du Plan de sauvegarde et de mise en valeur fait état d'un projet peu en phase avec les objectifs de mobilités douces et de préservation du patrimoine du plan ! • Il est temps maintenant d'abandonner ce type d'immeuble "à voitures" et de réserver ces espaces fonciers pour des immeubles "à humains" dans une ville à la population en constante augmentation. Alors qu’Angers affirme sa volonté d’œuvrer ardemment pour la transition écologique et que son ancien maire est devenu ministre de l’écologie, nous vous demandons Mesdames et Messieurs les élu·e·s l’abandon définitif de ce projet. Car d’autres projets alternatifs positifs autour de l’humain sont à inventer dans ce quartier en réhabilitant les bâtiments existants vers des usages de vie (habitations, locaux associatifs, tiers lieux…).  Le collectif NON au Parking Silo - Avec le soutien d'Extinction Rebellion Angers, Justice Climatique Angers & Greenpeace Angers
    3,194 of 4,000 Signatures
    Created by Collectif NON au parking silo !.
  • STOP aux entrepôts logistiques en Sarthe... ni ici, ni ailleurs !
    La crise sanitaire a rappelé l'importance de la sécurité de l'approvisionnement alimentaire et du maintien d'une agriculture forte et qualitative. Dans ce contexte, la préservation des terres agricoles est essentielle. Or l'artificialisation des sols au détriment de l'agriculture se poursuit, en raison notamment de l'étalement urbain, du développement des transports et des infrastructures, et de la spéculation foncière. La concentration des terres aux mains de grosses sociétés continue, à l'opposé du modèle d'agriculture à caractère familial qui assurerait e la souveraineté alimentaire de notre pays. Une véritable politique foncière agricole permettrait de mieux maîtriser et réguler l'évolution du foncier agricole. (Source : La Cour des Comptes - https://www.ccomptes.fr/fr/publications/les-leviers-de-la-politique-fonciere-agricole ). Chaque année, en France, entre 200 et 300 km² sont imperméabilisés, soit 2 à 3 fois la taille de la ville de Paris (Source : https://fne.asso.fr/dossiers/artificialisation-des-terres-enjeux-et-solutions). Pour les politiques de presque tous les bords, construire des entrepôts signifie créer de l’emploi, notamment dans les zones périurbaines au fort taux de chômage. Mais les nouveaux postes, souvent intérimaires, restent très précaires. Dans le cas d’Amazon, le solde s’avère même négatif. Le développement de l’entreprise américaine aurait engendré la destruction de 8 400 emplois dans le secteur du commerce de détail en France en 2019 selon un rapport des Amis de la terre. (source https://reporterre.net/Une-coalition-contre-la-folle-expansion-des-entrepots-logistiques - Lien vers le rapport : https://www.amisdelaterre.org/wp-content/uploads/2022/03/rapport-emploi-e-commerce-vdef.pdf). Or les promoteurs immobiliers font des réserves et spéculent sur les terres qui vont devenir de plus en plus rares et chères. Antoine Tostain, patron de Tostain & Laffineur, affirme : “ tout le monde a construit en même temps dans un marché de croissance, ce n’est plus le cas aujourd’hui (...) Il recense plus de 6 méga entrepôts de plus de 100 000 m² disponibles en France dont 3 dans la région du Nord." Par exemple 11 sites logistiques de plus petites tailles sont toujours vides dans la métropole de Lille (source : article paru dans la voix du nord - le 5 Février 2024) Les groupes investissent donc sans certitude de trouver des locataires. (source : https://reporterre.net/Pourquoi-les-entrepots-logistiques-poussent-comme-des-champignons). La problématique supplémentaire du bâtiment non utilisé est « avec quel argent public » va-t-on le maintenir en état et/ou le démonter ? » Avant que les terres ne deviennent plus rares et chères, le marché des entrepôts logistiques s’accélère à coups de spéculation. Ces énormes bâtiments vides gâchent la vie, et la vue, des habitants et risquent de rester vides ! Nicolas Rimbaud, enseignant-chercheur à l’Institut de géographie et d’aménagement de Nantes Université, note lui une croissance de ces entrepôts sur les dix dernières années sur notre territoire : « Quand on regarde les chiffres des permis de construire, on voit une forte hausse. On est passé, il y a une dizaine d'années, d’environ 3 millions de mètres carrés d'entrepôts qui étaient construits à actuellement plus de 5 millions de mètres carrés construits sur les dernières années. Cela découle du fait qu'il a de plus en plus de besoins en services logistiques et c'est essentiellement la consommation qui porte ces besoins-là. Que ce soit le e-commerce ou la consommation traditionnelle en magasin. Ces entrepôts vont se mettre à proximité des bassins de consommation, ce qui va expliquer leur géographie, mais pas pour autant au milieu des grandes villes. Ils vont chercher un compromis entre le foncier le moins cher et l'accès le plus rapide aux marchés de consommation. » (source : https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/la-terre-au-carre/la-terre-au-carre-du-mardi-13-fevrier-2024-8516140). « Si chacun se tire la bourre pour attraper le peu de foncier qu’il y aura, ça va être la guerre. » Charles Fournier, député (Les Écologistes) d’Indre-et-Loire, à l’initiative de la mission d’information sur les entrepôts XXL, est inquiet. Le développement des entrepôts logistiques s’est tellement accéléré ces dernières années — l’envolée du commerce en ligne aidant —, que les surfaces construites sont, chaque année, supérieures aux constructions de bureaux et de commerces. Et ce, dans une certaine opacité. (source : https://reporterre.net/Entrepots-logistiques-un-etalement-en-toute-opacite). Par exemple, parmi tous les projets, depuis 2021, dans la zone d'activité du Coutier, à Cherré-Au (Sarthe), le groupe GLP veut construire deux entrepôts logistiques d'une surface totale d'environ 130.000 m2. Au terme de l'enquête publique, le commissaire enquêteur vient d'émettre un avis défavorable. Il a notamment émis des réserves sur les précédentes études concernant l'impact des travaux, le trafic routier, le respect de la faune et la flore, les nuisances sonores, etc. Il reconnaît que la logistique est nécessaire à l’économie. Cependant, "le développement de centres dédiés exclusivement au transport « tout camions » non-conformes aux enjeux environnementaux et aux réductions d’émissions de CO2, sans recherche de solutions alternatives et sans schémas stratégiques déclinés dans les documents d’urbanisme (SCOT, PLUI) n’est pas en accord avec les objectifs de transition énergétique", peut-on lire dans les conclusions de l'enquête publique. Sans compter que le groupe siongapourien GLP a vu sa notation financière (Fitch) dégradée en Novembre 2023 au niveau BB, ce qui signifie « forte probabilité de défaut de paiement (sic) »
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    Created by Stop Amazon et son monde
  • Pour le TER au prix du covoiturage
    Les prix des Trains Express Régionaux (TER) sont souvent incompréhensibles pour les usagers et plus encore pour les non-usagers. Certains usagers experts ou les abonnés payent parfois un prix attractif. A l’inverse, les voyageurs « occasionnels » sont confrontés au « plein tarif », environ deux fois plus cher que le covoiturage : « Je suis allé à la gare et, vu le prix du billet TER, finalement j’ai pris ma voiture », témoigne un habitué de l’automobile. Le covoiturage est la référence des prix En France 83 % des courtes distances se font en voiture individuelle. Dans la ruralité et sur les villes moyennes l’usage de la voiture est la norme et le principal concurrent du train. Pour ceux qui recherchent une alternative, la référence est donc le covoiturage. Pour que les voyageurs se reportent vers le train, le prix a besoin d’être compétitif avec le covoiturage. Le prix est le critère n°1 pour un grand nombre d’usagers D’autres critères sont aussi à améliorer, comme les fréquences des trains, l’amplitude horaire jusqu’en fin de journée, ou encore l’accessibilité des gares en particulier en vélo et en transports en commun. Toutefois, plusieurs études ont montré que, pour un grand nombre d’usagers, le prix est le critère n°1. Améliorer l’équilibre économique en remplissant les trains Le prix du covoiturage est déjà le prix de vente moyen du TER. Le généraliser permettra de proposer un tarif attractif et de remplir les TER pour mieux couvrir les coûts fixes élevés du ferroviaire et améliorer ainsi l’équilibre économique. La moitié des voyageurs sont des occasionnels et ils génèrent les 3/4 des recettes Actuellement, les voyageurs occasionnels payent bien trop cher : bien qu’ils ne représentent que la moitié des usagers, ils génèrent à eux seuls les 3/4 des recettes. Cependant, depuis 20 ans, ils ont tendance à fuir le TER en particulier à cause du prix. Agir pour la transition Actuellement si 80 % des Français utilisent peu le TER, c’est parce qu’ils prennent la voiture. Réduire les prix pour les voyageurs occasionnels facilite le report modal depuis la route, ce qui apporte un bénéfice fort pour la transition écologique dans les transports. A l’étranger, des trains régionaux sont déjà « au prix du covoiturage » A l’étranger, certains réseaux de trains régionaux sont déjà « au prix du covoiturage » par exemple en région Catalogne, où le train régional est dans la pratique peu concurrencé par le covoiturage, ou encore en Italie. La complexité tarifaire génère des barrières d’entrée Pour tenter de pallier le manque d’attractivité du « plein tarif », les régions, qui sont décisionnaires sur les TER, proposent une multitude d’autres tarifs promotionnels. Cependant, la complexité des réductions qui varient d’une région à l’autre est une barrière d'entrée pour les non-initiés. Promouvoir l’accès au service public ferroviaire pour tous Les TER sont un service public financé par les pouvoirs publics. Le contribuable paye environ 70 % des coûts des TER. Le passager paye les 30 % restants. La solidarité pour l’accès pour tous au service public du TER passe donc avant tout par la fiscalité. Pour des questions de préservation de la vie privée, il n’est guère souhaitable de varier en doublon le prix du billet en fonction des revenus exacts de chacun. Notons que la moitié des Français les plus riches ne sont pas disposés à payer plus cher, d’autant qu’ils sont davantage motorisés. Par ailleurs, les « tarifications sociales » censées atténuer l’impact du « plein tarif » se heurtent au « non recours au droit » à cause là aussi de la complexité des démarches administratives pour accéder aux cartes TER à tarification sociale. Au final « le TER au prix du covoiturage » améliore l’accès au service public du TER pour tous. Inclure la ruralité La ruralité manque de solutions de transports, comme le rappelle la révolte des « gilets jaunes ». Au moment où les prix du carburant augmentent pour les automobilistes, il est important que le service public ferroviaire soit clairement perçu comme accessible à tous. De nombreux résidents des petites villes et de la ruralité, surtout s’ils sont éloignés des gares, ont besoin de prendre le train à une fréquence d’une dizaine de voyages par an, ce qui ne justifie pas un abonnement. Les tarifs ont d’ailleurs tout particulièrement besoin d'être inclusifs aussi pour tous les usagers très occasionnels qui pour l'instant sont éloignés du train. Faire payer plus cher ceux qui prennent peu le train a pour effet de renforcer le sentiment de dépendance à la voiture, très présent dans la ruralité et sur les villes moyennes. Nous demandons aux régions de : * réaliser une étude pour savoir quel prix du TER serait attractif pour les voyageurs occasionnels. et pour les nombreux français qui pour l'instant ne prennent pas le TER. * lancer une tarification TER s’approchant progressivement du « prix du covoiturage », pour tous, sans barrières d'entrée. A l’État et la SNCF : * de promouvoir l’émergence des tarifications simples et attractives pour les trains TER. Retrouvez notre article complet ici Premières organisations signataires : Extinction Rebellion France, Alternatiba, CNR, Carfree.fr, Coordination Ferroviaire Bretonne (12 associations), Kernavélo (29), Aurail (18 assos en AURA), UT du Haut Allier (43), Étoile Ferroviaire de Veynes (05), Défense de la gare d'Assier (12), CDRIC (31), CADE (64), Osez le vélo (65), UT Perpignan-Portbou (66). Associations : merci de nous contacter pour cosigner !
    8,252 of 9,000 Signatures
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  • STOP Océane 3 : NON à l’extension d’une zone d’activités au nord d’Angers
    Océane 1, 2, 3... Mais ça s'arrêtera quand?! Dans le viseur, un patrimoine rural de 150 ha de terres fertiles et cultivées, de zones humides ou boisées, de haies et de prairies, de hameaux et de fermes à Verrières en Anjou. Éparpillés à l'intérieur de ce vaste périmètre, 40 ha disparaîtraient sous le goudron, pour implanter des bâtiments industriels dont tout le monde ignore la finalité. Angers Loire Métropole (ALM) s'obstine à poursuivre ce projet, en dépit de l’urgence écologique actuelle et des préoccupations citoyennes sur le sujet, en contradiction avec la trajectoire Zéro Artificialisation Nette des sols de la loi climat et résilience, et à contresens du Projet Alimentaire Territorial pour l’agriculture locale. Conserver chaque hectare de cette zone naturelle et agricole au nord d’Angers est indispensable. En voici les principales raisons : - L'Océane 1 et sa récente extension ouest (110 ha déjà artificialisés) créent de nombreuses nuisances pour les riverains : bruit, pollution atmosphérique et lumineuse, flux incessant de camions... Avec ce projet, Verrières en Anjou se verrait totalement encerclée par les entrepôts industriels. - Les emplois nouvellement créés dans ce genre d'infrastructures sont souvent précaires (la récente grève de salarié.e.s de l'entreprise Action témoigne de conditions de travail catastrophiques), et généralement associés à des licenciements massifs dans d'autres zones géographiques. - Une énorme voirie traverserait la zone pour relier l’entrepôt Action à la plateforme Geodis, augmentant encore le trafic routier et constituant une rupture nette de la continuité des espaces naturels. - L’agriculture existante sur place (70 ha dont la moitié en bio) est une activité économique réelle et essentielle, elle contribue à une filière alimentaire locale et doit être soutenue sur des terres qui, d'après des agriculteurs locaux, sont tout bonnement « les meilleures de la commune »! - Ailleurs sur l'agglomération, plusieurs hectares de friches industrielles et commerciales sont inutilisées. Les réhabiliter et utiliser les réserves foncières capitalisées par ALM doivent être une priorité. Préservons notre environnement! Ne le vendons pas à une croissance économique aveugle ! - L’artificialisation des sols est la première cause d'extinction de la biodiversité. Les Pays de la Loire sont déjà la 4e région la plus artificialisée de France. - Le périmètre d’étude comprend 26 hectares de zones humides, et 18% de ces fragiles écosystèmes seraient situés en pleine zone d'aménagement, ou tout simplement détruits! Plusieurs espèces protégées dont le grand-capricorne et la barbastelle d'Europe sont répertoriées localement. - La mise en œuvre du projet réduirait de 26% la largeur de la ceinture verte à l'est d'Angers (pourtant essentielle face au réchauffement climatique) qui relie les basses vallées angevines à la vallée de la Loire. En conséquence, NOUS, citoyen.ne.s, riverain.e.s, militant.e.s, collectifs et associations, syndicats et partis politiques, demandons, par cette pétition adressée à Angers Loire Métropole, l’abandon du projet Océane 3. En signant cette pétition, vous pourrez choisir de recevoir des informations concernant l'évolution de la mobilisation, prendre part aux débats publics, et participer à des actions citoyennes contre ce projet. - Il est urgent d'agir ! Collectif Stop Océane 3
    1,640 of 2,000 Signatures
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  • Pour la santé et le climat, il faut plafonner le trafic aérien !
    La folle croissance de l’aérien doit cesser. Elle n’est soutenable ni pour le climat, ni pour les millions de personnes qui subissent nuit et jour le bruit et la pollution des aéronefs. Victimes de ces nuisances et victimes présentes et futures du réchauffement climatique, nous demandons le plafonnement des mouvements à la baisse ainsi qu’un couvre-feu, dans tous les aéroports, aérodromes et héliports de France. Nous ne pouvons plus tolérer que notre santé, notre bien-être et l’avenir de l’humanité passent très loin derrière les intérêts du secteur aérien. Malgré les slogans du secteur, l’avion silencieux, décarboné et non polluant n’est pas pour demain. Il n’y a donc pas d’autre solution à court et moyen terme que de mettre un coup d’arrêt à la croissance du trafic aérien et de le réduire progressivement pour limiter ses impacts à la fois sanitaires et climatiques. Un tel changement de cap n'étant pas sans conséquences sur l'emploi, il doit prendre en compte la reconversion des travailleurs et travailleuses concerné-es. Confrontés à l’aggravation des bouleversements climatiques et à la dégradation de la santé des populations, indignés par la persistance d’exemptions fiscales injustes et privilèges de tous ordres en matière réglementaire, par l’insignifiance des mesures prises à la suite de la Convention citoyenne pour le climat, nous sommes de plus en plus nombreux-ses, en France et en Europe, à nous mobiliser pour la réduction du trafic aérien et de ses impacts. Afin d’éviter le report des nuisances d’une plateforme à l’autre, nous demandons que les restrictions soient appliquées de manière coordonnée. En 2022, le gouvernement des Pays-Bas a pris une décision historique : plafonner le trafic de l’aéroport d’Amsterdam-Schiphol à 440 000 mouvements/an, en dessous du niveau de 2019, pour protéger les riverains et le climat. C’est pourquoi, Monsieur le ministre délégué en charge des transports, nous demandons que la France suive elle aussi une voie courageuse et prenne enfin des mesures concrètes dans les aéroports, les aérodromes et les héliports français, à savoir : la limitation du nombre de mouvements, la généralisation des couvre-feux et des dispositions qui orienteront à la baisse le bruit, la pollution de l’air et les émissions de CO2. *** Références : - Tribune “Pour la santé et le climat, un plafonnement des aéroports s’impose” | FranceInfo : https://www.francetvinfo.fr/economie/aeronautique/tribune-pour-la-sante-et-le-climat-plus-de-70-associations-environnementales-appellent-a-reduire-progressivement-le-trafic-aerien_5810564.html - Tribune "Plus de 100 professionnels de santé alertent sur le bruit aérien" (le Monde) : https://bit.ly/3JYinCE - Scénarios de transition écologique du secteur aérien de l'ADEME : https://bit.ly/3LHdOhd - Référentiel Aviation-Climat (ISAE SUPAERO) : https://bit.ly/3Z5hn3Z - Rapport annuel du Haut conseil pour le climat (2023) : https://www.hautconseilclimat.fr/publications/rapport-annuel-2023-acter-lurgence-engager-les-moyens/
    24,748 of 25,000 Signatures
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  • On veut du fret ferroviaire
    Alors que le transport est le secteur le plus polluant au monde, le ferroviaire est notre meilleur allié pour aider à réduire nos émissions de gaz à effet de serre. Pourtant, le gouvernement déraille et roule une fois de plus à contresens de toute logique. Son nouveau projet ? Liquider Fret SNCF, l’acteur historique du fret ferroviaire, le transport de marchandises sur rail à faibles émissions. Avec comme seul crédo la concurrence, le gouvernement est en train de dilapider un outil clé de la transition écologique. Liquider Fret SNCF, c’est : - Menacer 5 000 emplois. 500 postes vont être supprimés et le reste va être fortement bousculé par la disparition de l’entreprise Fret SNCF. - Augmenter les camions sur les routes. Faute de repreneurs sur certains flux, les entreprises préféreront changer de moyen de transport et repasser sur les routes. - Privatiser les profits, socialiser les pertes. Les flux les plus intéressants seront repris par des entreprises étrangères mais l’entretien restera à la charge du contribuable. Aux côtés de SUD-Rail, l’Alliance écologique et sociale et Alternatiba Paris demandent de : - Créer un service public unifié et cohérent du transport ferroviaire et routier des marchandises ; - Prélever 1  milliard d’euros par an sur les profits réalisés sur les sociétés d’autoroutes pour les investir dans le développement des infrastructures ferroviaires fret ; - Fixer une écotaxe pour les poids lourds en transit qui refuseraient la solution du report modal, destinée à alimenter un fonds national d’investissement à destination de projets de fret ferroviaire et maritime ; - Interdire les nouvelles constructions de zones logistiques si celles-ci ne sont pas embranchées au réseau ferré. Vite, il y a urgence à agir : Fret SNCF pourrait disparaître d’ici la fin de l’année 2024 ! Pour le climat et pour l’emploi, je défends le fret ferroviaire et signe la pétition !
    36,232 of 40,000 Signatures
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  • Les trains de nuit ont besoin d’itinéraires bis en cas de travaux
    Les horaires sont dégradés sur Paris-Rodez/Aurillac Depuis 2014 et au moins jusqu'en 2030 la voie ferrée Paris-Orléans-Limoges-Toulouse (POLT) est fermée plusieurs nuits par semaine. Pour éviter les travaux, le Paris-Rodez/Aurillac circule avec des horaires de jour : il part de Paris entre 18h21 et 19h30. Dans l'autre sens, il arrive à Paris entre 8h30 et 10h53 le matin. Ces horaires sont peu attractifs. L'horizon s'obscurcit pour le Paris – Toulouse – Latour-de-Carol Le 24 mai 2023, le ministère des transports a confirmé « le cumul des travaux fait craindre une forte limitation ou une suppression à longueur d’année dès 2025 ». En effet, en 2025, les horaires du train de nuit Paris-Toulouse se dégradent fortement, avec un départ de Toulouse à 19h46 plusieurs jours par semaine. Le Paris-Latour-de-Carol sera supprimé ces jours-là, sur plusieurs mois par an. Réaliser les travaux sur une voie pour maintenir les trains sur l'autre Pour certaines catégories de travaux, une solution consiste à ne fermer qu’une seule voie sur deux pour maintenir les circulations sur la voie contigüe. Cette méthode historique est à nouveau occasionnellement pratiquée par SNCF Réseau et sa généralisation est en débat, particulièrement pour l'axe POLT. C'est la solution optimale car l’itinéraire le plus court reste disponible et les horaires sont peu perturbés. Prévoir des itinéraires bis quand les itinéraires principaux sont entièrement coupés Quand les travaux nécessitent de couper la circulation sur les deux voies simultanément, des itinéraires de détournement sont nécessaires pour maintenir les circulations. Cette solution est largement mise en œuvre pour les trains de nuit vers Toulouse/Latour-de-Carol, avec une alternance entre les itinéraires via Limoges ou via Bordeaux. Malheureusement, l’ampleur des travaux de nuit au Sud de Bordeaux sur 2025-2032 paralyse l’itinéraire via Bordeaux. De plus, cet itinéraire ne bénéficiait pas aux trains vers Rodez/Aurillac. Ouvrir les itinéraires bis Coutras-Brive, Poitiers-Limoges et Figeac-Toulouse Un autre itinéraire a été mis en œuvre en 2017 pour contourner les travaux via Coutras (Gironde)-Brive. Point positif : en 2022, SNCF Réseau a ouvert l'itinéraire bis Limoges-Périgueux-Brive. Cet itinéraire gagnera à être complété à l'avenir par d'autres itinéraire bis comme Poitiers-Limoges et Figeac-Toulouse. Le 24 mai 2023, l'État a déclaré avoir "commandé une étude à SNCF Réseau pour étudier les itinéraires alternatifs". Cette étude est pour l'instant maintenue confidentielle. Elle gagnerait au contraire à être publiée pour éclairer le débat public. L’actualisation du contrat de performance de SNCF Réseau : l’occasion d’agir Signé en avril 2022, le contrat de performance de SNCF Réseau définit les moyens alloués pour la régénération et modernisation du réseau ferroviaire. De nombreux acteurs ont critiqué l'insuffisance des financements.  En février 2023, l’État a annoncé d’un investissement de 100 Milliards d’euros. Depuis, le contrat de performance reste en attente d'actualisation pour inclure ce financement. Les trains de nuit du Sud-Est sont aussi fragilisés Pour les trains de nuit du Sud-Est (vers Cerbère-Portbou, Nice et Briançon), des itinéraires bis sont également à déployer, par exemple via Moulins. L’État a demandé à SNCF Réseau d'étudier l'itinéraire Grenoble-Veynes pour le Paris-Briançon. Là aussi, l'étude reste à publier pour éclairer le débat public. SNCF Réseau serait incapable d’ouvrir les itinéraires la nuit par manque d’agents Les études sur les itinéraires bis sont restées confidentielles, mais elles révéleraient que SNCF Réseau manque de personnel et serait donc contrainte de fermer de nombreuses voies ferrées la nuit. Cela impacte dramatiquement les trains de nuit et les trains de fret qui ont un besoin commun : parcourir de longues distances, la nuit, malgré les travaux. Besoin de commander des locomotives bimodes Pour que les trains de nuit puissent circuler sur ces itinéraires bis souvent non électrifiés, il est nécessaire que l’État commande sans délais des locomotives bimodes. Cette commande est d'autant plus urgente que le vieillissement des locomotives actuelles induit de nombreuses suppressions de train et que les délais de livraison sont d'environ 3 ans. Nous, signataires de la pétition, demandons à l’État de : 1) publier les études de SNCF Réseau sur les itinéraires bis Coutras - Brive, Poitiers-Limoges et Grenoble-Veynes. 2) donner les moyens à SNCF Réseau de maintenir des itinéraires bis pour les trains de nuit et de fret, afin de mailler à nouveau le réseau ferroviaire. 3) commander des locomotives bimodes pour emprunter plus facilement les itinéraires bis. Et à la SNCF de : 4) réaliser les travaux sur une voie de façon à maintenir les circulations sur la voie contiguë. 5) maintenir les circulations quotidiennes et des horaires optimisés pour les trains de nuit
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