• Porge : libérez-nous du tout-voiture !
    Notre territoire et celles et ceux qui y vivent souffrent de la pollution de l’air, qui constitue aujourd’hui une urgence sanitaire établie. Le trafic routier porte une responsabilité toute particulière en ce qui concerne les émissions de polluants atmosphériques dangereux pour la santé et doit absolument être restreint. Le trafic routier est également l’un des premiers secteurs émetteur de gaz à effet de serre à l’échelle de notre agglomération. L’urgence climatique nous impose d’agir rapidement et de sortir de notre dépendance collective au pétrole, au transport routier et à la voiture individuelle. C'est un enjeu essentiel et pour autant l’abandon des véhicules polluants et de la logique du tout-voiture ne doit laisser personne sur le carreau. Évidemment, nous savons qu’il n’est pas toujours facile de se passer de sa voiture, mais nous pensons qu’il est de la responsabilité de nos élu.es de nous en donner les moyens, en développant les alternatives et en accompagnant le changement, notamment pour les plus fragiles d’entre nous. Mme Brana, il est grand temps d’agir pour la transition écologique et pour une mobilité urbaine adaptée aux crises sanitaire et climatique. Nous vous demandons donc : - de programmer et d’organiser la sortie des véhicules polluants dans notre ville/intercommunalité, à travers la mise en oeuvre d’une Zone à Faibles Emissions sur un périmètre géographique ambitieux, en intégrant les différentes catégories de véhicules polluants, en particulier les véhicules individuels, fixant notamment un cap de sortie du diesel à horizon 2025 et de l’essence à horizon 2030 ; - de prendre des mesures visant à réduire la place dédiée à la voiture dans notre ville/intercommunalité (mise en place de “rues scolaires”, mise en place ou développement des zones piétonnes et des zones à trafic limité, généralisation de la baisse des vitesses à 30 km/h et baisse de la vitesse sur les rocades, réduction du stationnement en voirie, etc.) et de réguler notamment la présence des véhicules les plus encombrants comme les SUV ; - d’avancer sur des mesures visant à maîtriser la demande en déplacements comme l’abandon des projets de nouvelles zones commerciales en périphérie ; - d’abandonner tout projet de nouvelle infrastructure routière/autoroutière ou d’extension des capacités routières ; - de continuer à développer la solution vélo (plan vélo ambitieux à hauteur de 30€/an/hab minimum, mise en place d’un réseau express vélo métropolitain, activation des autres leviers d’un système vélo performant : stationnement sécurisé, intermodalité avec les transports en commun, services de location courte et longue durée, apprentissage pour tous, ateliers de réparation, etc.) ; - de renforcer et pérenniser les dispositions temporaires qui ont été mises en place en faveur du vélo et des piétons dans le contexte covid ; - de continuer à développer le réseau de transports en commun (amélioration des fréquences et amplitudes horaires, mise en place de couloirs réservés pour les autobus, mutualisation des systèmes de billettique entre les différentes offres de transports collectifs et avec les services de mobilités alternatifs, développement des transports urbains en site propre notamment vers/entre les quartiers périphériques denses mal desservis, etc.) ; - de mettre en place une tarification sociale et solidaire basée sur les ressources pour les transports en commun ; - de prévoir un accompagnement et des aides à la transition, pour soutenir les particuliers et les professionnels dans le changement de véhicule ou, mieux, de moyen de transport ; de faire preuve d’exemplarité concernant la flotte des transports en commun et de la ville : optimiser et rationaliser les déplacements au sein de la collectivité et engager une véritable politique de mobilité durable. Il reste beaucoup à faire dans nos grandes villes françaises sur ce sujet de la lutte contre la pollution automobile, comme l’a démontré un classement des villes* publié en amont des élections municipales de 2020 par le Réseau Action Climat, Unicef France et Greenpeace France. La crise sanitaire Covid que nous traversons a mis une nouvelle fois en lumière la nécessité absolue d’avancer rapidement sur ces enjeux de mobilité urbaine. Sortir du tout-voiture, du diesel et de l’essence et prioriser d’autres manières de se déplacer en ville demande du courage politique et c’est indispensable pour faire face à l’urgence sanitaire et climatique. Maintenant que les élections sont passées, nous vous demandons de passer rapidement à l’action pour lutter de manière ambitieuse contre la pollution automobile, en commençant par honorer vos promesses de campagne sur ces enjeux [le cas échéant si promesses il y a eu] et en prenant en compte nos demandes dans ce texte. Je vous prie d’agréer, Madame la Maire, l’expression de ma considération distinguée. *Source : https://www.greenpeace.fr/lutte-contre-la-pollution-de-lair-classement-des-12-plus-grandes-agglomerations-francaises/
    44 sur 100 Signatures
    Créée par vincent b.
  • Non à la construction d'un aéroport international au coeur des Pyrénées - Victoire !
    La Chambre de commerce d’Andorre prévoit de construire un aéroport international en plein coeur des alpages pyrénéens, à 2000 m d'altitude. Cet aéroport est conçu pour accueillir des avions de type A320 ou Boeing 737 et jusqu'à 500 000 passagers par an. Il est destiné à développer un tourisme de LUXE ciblant une clientèle fortunée originaire d’Europe, de Russie, du Moyen-Orient et d’Asie et à attirer des investissements étrangers. Nous, habitants andorrans, catalans, français et espagnols de la région pyrénéenne, et nous tous habitants de la Terre, soutenus par des associations de défense de l'environnement, nous opposons fermement à ce projet qui va à l'encontre des objectifs de lutte contre le RECHAUFFEMENT climatique, de protection de la biodiversité et de l'environnement. Nous refusons que des intérêts purement économiques alimentent la fuite en avant d’une croissance sans limites du trafic aérien. A l’heure où le secteur aérien représente déjà 6,4% des émissions de CO2 de la France, et alors que les solutions de décarbonation de l'aviation n'ont pas fait leurs preuves et n’auraient qu'un impact trop tardif et trop limité face à l’URGENCE climatique, construire de nouveaux aéroports va à l'encontre des objectifs de l'Accord de Paris. À l’heure où la BIODIVERSITE s’effondre, il est inacceptable de mettre en danger de nombreuses espèces végétales et animales par un projet entraînant d’énormes nuisances sonores, le bétonnage de la montagne et la pollution de zones humides. A l'heure où les touristes et les vacanciers viennent chercher à la montagne le calme et l'air pur qu'ils ne trouvent plus dans les villes, est-il bien opportun de créer des NUISANCES sonores et de nouvelles pollutions dans un endroit encore préservé, qui affecteront également toute l’année les habitants de la Principauté et des régions environnantes ? A l’heure où le réchauffement climatique rend de plus en plus incertain l'ENNEIGEMENT des Pyrénées, est-il bien raisonnable de construire un aéroport destiné pour une bonne part à amener des skieurs « au pied des pistes » ? A l'heure où l'on s'interroge sur la viabilité économique des trop nombreux petits aéroports, est-il bien fondé d'en construire un nouveau ?  A l'heure où le gouvernement français souhaite revitaliser l'offre de TRAINS de nuit, est-il logique de concurrencer la ligne historique Paris - Latour-de-Carol qui dessert la Principauté ? Il est encore temps d’agir et de dire NON à la construction d’un aéroport international en Andorre. Signez et partagez cette campagne pour demander l’abandon du projet. Ensemble, faisons en sorte que ce non-sens climatique, environnemental, social et économique ne voie pas le jour. SOUTIENS : Greenpeace France, Alternatiba, ANV-COP21, Mountain Wilderness France, Mountain Wilderness Catalunya, Rester sur Terre (Stay Grounded), AndRail - Plataforma pel ferrocarril a Andorra, Confederación de Ecologistas en Acción, Un Climat de Changement, Ceretània, Bien vivre en Pyrénées catalanes... __ En català __ No a la construcció d’un aeroport internacional al cor dels Pirineus. Renúncia a la construcció d’un aeroport internacional a Andorra, al cor de les muntanyes pirinenques: un despropòsit climàtic, ambiental, social i econòmic. Per què hem d’actuar ara? La Cambra de Comerç d’Andorra té previst construir un aeroport internacional al cor de les pastures pirinenques, a 2000 m d’altitud. Aquest aeroport està dissenyat per allotjar avions tipus A320 o Boeing 737 i fins a 500.000 passatgers a l'any. Es pretén desenvolupar un turisme de LUXE dirigit a una clientela rica d’Europa, Rússia, Orient Mitjà i Àsia i atraure inversions estrangeres. Nosaltres, habitants andorrans, catalans, francesos i espanyols de la regió dels Pirineus, i tots els habitants de la Terra, recolzats per associacions per a la defensa del medi ambient, ens oposem fermament a aquest projecte que va en contra dels objectius de la lluita: ESCALFAMENT climàtic, protecció de la biodiversitat i del medi ambient. Ens neguem a permetre que els interessos purament econòmics alimentin la precipitació d'un creixement il·limitat del trànsit aeri. En un moment en què el sector de l’aviació ja representa el 6,4% de les emissions de CO2 de França i, tot i que les solucions de descarbonització de l’aviació no han estat demostrades, i que tindrien un impacte massa tardà i massa limitat davant de l’EMERGÈNCIA climàtica, la construcció de nous aeroports va en contra dels objectius de l'Acord de París. En un moment en què la BIODIVERSITAT s’enfonsa, és inacceptable posar en perill moltes espècies de plantes i animals per un projecte que provoca una enorme contaminació acústica, el formigonat de les muntanyes i la contaminació dels aiguamolls. En un moment en què els turistes i els estiuejants venen a la muntanya a buscar aire tranquil i pur que ja no troben a les ciutats, és realment adequat crear MOLÈSTIES acústiques i nova contaminació en un lloc encara preservat, que també afectarà els habitants del Principat i de les regions circumdants durant tot l'any? En un moment en què l'escalfament global fa que el nivell d’INNIVACIÓ al Pirineu sigui cada vegada més incert, és realment raonable construir un aeroport destinat principalment a portar els esquiadors "a peu de pistes"? En un moment en què ens preguntem sobre la viabilitat econòmica dels aeroports petits, que ja són massa nombrosos, està justificat construir-ne un de nou? En un moment en què el govern francès vol revitalitzar l'oferta nocturna de TRENS, és lògic competir amb la línia històrica París - Latour-de-Carol que dona servei al Principat? Encara som a temps d’actuar i dir NO a la construcció d’un aeroport internacional a Andorra. Firmeu i compartiu aquesta campanya per exigir l’abandonament del projecte. Junts, assegurem-nos que aquest despropòsit climàtic, ambiental, social i econòmic no vegi la llum del dia.
    7 967 sur 8 000 Signatures
    Créée par Collectif Non à l'aéroport d'Andorre
  • NON à la nouvelle zone industrielle de Hoerdt, avec l'EPSAN, de Reichstett jusqu'à l'autoroute
    Les élus de la Basse Zorn ont voté "POUR" un projet de réalisation d'une nouvelle zone industrielle qui s'étendrait de Reichstett jusqu'à l'autoroute de Hoerdt, en englobant l'hôpital de Hoerdt. Au départ le sujet ne comporte que la réhabilitation de l'hôpital EPSAN. Mais ne trouvant personne intéressé pour le moment, et aucune idée de réaffectation de ce site magnifique et riche d'une biodiversité incroyable, les élus ont accepté de sacrifier l'hôpital et les terres agricoles autour à l'entreprise Brownfields. Cette nouvelle zone propulserait l'ensemble avec les nombreuses zones existantes autour, au rang de "plus grande zone d'activité du grand Est". Faisons savoir aux élus que ce n'est pas le bon choix, et qu'il y a d'autres solutions. merci de SIGNER cette pétition pour stopper ce projet! demain il sera trop tard... Vous pouvez consulter le site www.bassezornvivant.fr et écrire un mail à [email protected] pour avoir plus d’informations.
    1 971 sur 2 000 Signatures
    Créée par Basse Zorn Vivant
  • Changez la circulation automobile dans Vendargues avant qu'il ne soit trop tard
    Tout le monde est d'accord pour dire que Vendargues est un calvaire à pied, en poussette, pour les personnes à mobilités réduites, les enfants, à vélo seul ou en famille, en trottinettes.... Mais Vendargues profite aux voitures pressées de couper Vendargues pour éviter le trafic de plus en plus dense de la 113, la RD65 etc... Y a-t-il moins de bouchons depuis que WAZE donne l'idée aux voitures de passer par Vendargues ? NON... Résultat : Vitesse excessive, surcharge et usure prématurée des rues (nos impôts locaux), nuisances (bruit, pollution), insécurité routière... La population de Vendargues et des villages alentours grossit très vite ! Donc si rien ne change, Vendargues va continuer à subir ce trafic néfaste. Il faut absolument inverser la tendance MAINTENANT avant qu'un accident grave, voir mortel, nous impose le changement de manière tragique... Donnons à nos enfants une ville désirable où il fait bon se déplacer à pied. - Supprimons la possibilité de couper Vendargues de part en part pour aller "plus vite" ou gagner 1 minute de temps de trajet... - Libérons de l'espace pour la marche et le vélo en changeant certains sens de circulations et en passant des rues en sens unique (au stade par ex..). - Permettons à chacun d'aller aux commerces, à l'école ou au stade à pied, en poussette, ou en vélo, en toute sécurité (donc séparé du trafic auto). Vendargues ne fait que 2Km de large maximum... Aujourd'hui il faut agir vite et avec audace en ce sens. Les solutions existent : - création de Rues Scolaires aux abords des écoles pour sécuriser à 100% les écoliers - mettre en place un nouveau plan de circulation anti transit dont le principe est très simple : en créant de petits détours (les accès riverains restent bien sûr possibles) calculés de manière à ce que Vendargues ne puisse plus être un raccourci pour les trajets de transit, on supprime totalement les raccourcis opportunistes et on rend les rues de Vendargues tranquilles, plus agréables à vivre pour ses habitants. En France entière la marche et le vélo se refont une place dans l'espace public. Profitons de cet élan. Beau succès que l'Allée des Acacias (passé en sens unique, de la Cave coopérative vers le coeur de village) pacifiée pour tout le monde. D'autres solutions plus simples, moins onéreuses sont possibles, afin de rendre la vie des Vendarguois plus agréable et plus sûre. Votre service urbanisme/travaux et vous, avez à disposition : - Les services d'Urbanisme et mobilités actives de la Métropole Montpellier 3M - Artivistes, association spécialiste dans les ateliers collaboratifs citoyens - Vélocité, association spécialisée dans le développement du vélo à Montpellier et alentours Vous avez TOUT pour agir. Et cette pétition vient vous dire combien les habitants de Vendargues attendent avec impatience ce changement !
    133 sur 200 Signatures
    Créée par Maxime D. Picture
  • Il est urgent d’abandonner les vols courts au départ de Nice
    Pour respecter les Accords de Paris, des mesures fortes doivent être prises concernant le secteur aérien qui représente vraisemblablement plus de 7% de notre empreinte carbone nationale, et dont le trafic double tous les 15 ans (1). Parmi les leviers d’action pour réduire l’empreinte carbone du secteur, supprimer les vols courts constituerait un premier levier à actionner au niveau national. En effet, selon une étude du RAC, “la suppression des vols qui se font en moins de 6 heures en train permettrait de diminuer de plus de 80% les émissions de CO2 issues des vols métropolitains et d’environ 6% les émissions de l’ensemble des vols au départ de la France”. (2) Selon une étude menée par Greenpeace portant sur 15 connexions aériennes parmi les plus utilisées (alors qu’une alternative en train existe en moins de 6 heures et sans changement), la différence en termes d’émissions de CO2eq par passager entre l’avion et le train est considérable (pour un même trajet). Pour la moitié des connexions étudiées, le trajet en avion est au moins 60 fois plus émetteur que le même trajet en train. (3) Il est donc impératif d’abandonner l’avion pour les trajets qui peuvent être faits en train, largement moins polluant, tout en investissant en parallèle pour une véritable relance du ferroviaire. Nous demandons également que soient anticipées les conséquences sociales de cette mesure, en protégeant les travailleur-ses impacté-es et leurs droits, en les formant et en accompagnant leur reconversion vers des emplois ou des secteurs plus adaptés au défi climatique quand cela sera nécessaire, et en les associant aux réflexions et aux décisions​. A ce sujet la mesure actuellement prévue sur ce sujet dans le cadre de la loi Climat est largement insuffisante : elle ne permettrait au mieux que la fermeture de 5 connexions sur la centaine de connexions aériennes intérieures existantes. Dans ce contexte, nous devons continuer à exiger des décideurs politiques locaux et nationaux qu’ils relèvent le niveau d’ambition sur ce sujet de la suppression des vols courts. A notre échelle, nous demandons la suppression des lignes aériennes suivantes, pour lesquelles une alternative en train de moins de 6 heures existe : - Suppression du vol [Nice]-[Lyon] : une alternative en train en moins de 6h existe - Suppression du vol [Nice]-[Paris] : une alternative en train en moins de 6h existe Les crises sanitaire et climatique imposent de repenser en profondeur le secteur aérien. Alors que la loi Climat est encore en cours d’examen parlementaire et que des échéances électorales arrivent aux niveaux local et national, signez la pétition pour demander des solutions de transport d'avenir, moins carbonées et accessibles à tous, pour une société soutenable et juste. Signer, c’est affirmer son soutien aux alternatives à l’avion, exiger la fermeture des lignes aériennes mentionnées, et s’engager à ne pas y avoir recours à titre individuel. Merci pour votre soutien ! Sources : (1) "Climat : pouvons-nous (encore) prendre l’avion ?" - Rapport B&L évolution ( https://www.bl-evolution.com/Docs/200721_Etude-BLevolution_Climat-Aviation.pdf ) (2) Rapport du RAC https://bit.ly/3jIGWoi (3) Rapport de Greenpeace : https://bit.ly/3u7bvIs
    1 107 sur 2 000 Signatures
    Créée par Nicole B.
  • Il est urgent d’abandonner les vols courts au départ de Lille
    Pour respecter les Accords de Paris, des mesures fortes doivent être prises concernant le secteur aérien qui représente vraisemblablement plus de 7% de notre empreinte carbone nationale, et dont le trafic double tous les 15 ans (1). Parmi les leviers d’action pour réduire l’empreinte carbone du secteur, supprimer les vols courts constituerait un premier levier à actionner au niveau national. En effet, selon une étude du RAC, “la suppression des vols qui se font en moins de 6 heures en train permettrait de diminuer de plus de 80% les émissions de CO2 issues des vols métropolitains et d’environ 6% les émissions de l’ensemble des vols au départ de la France”. (2) Selon une étude menée par Greenpeace portant sur 15 connexions aériennes parmi les plus utilisées (alors qu’une alternative en train existe en moins de 6 heures et sans changement), la différence en termes d’émissions de CO2eq par passager entre l’avion et le train est considérable (pour un même trajet). Pour la moitié des connexions étudiées, le trajet en avion est au moins 60 fois plus émetteur que le même trajet en train. (3) Il est donc impératif d’abandonner l’avion pour les trajets qui peuvent être faits en train, largement moins polluant, tout en investissant en parallèle pour une véritable relance du ferroviaire. Nous demandons également que soient anticipées les conséquences sociales de cette mesure, en protégeant les travailleur-ses impacté-es et leurs droits, en les formant et en accompagnant leur reconversion vers des emplois ou des secteurs plus adaptés au défi climatique quand cela sera nécessaire, et en les associant aux réflexions et aux décisions​. A ce sujet la mesure actuellement prévue sur ce sujet dans le cadre de la loi Climat est largement insuffisante : elle ne permettrait au mieux que la fermeture de 5 connexions sur la centaine de connexions aériennes intérieures existantes. Dans ce contexte, nous devons continuer à exiger des décideurs politiques locaux et nationaux qu’ils relèvent le niveau d’ambition sur ce sujet de la suppression des vols courts. A notre échelle, nous demandons la suppression des lignes aériennes suivantes, pour lesquelles une alternative en train de moins de 6 heures existe : Suppression du vol Lille-Lyon : une alternative en train de 3h existe Suppression du vol Lille-Strasbourg : une alternative en train de 4h existe Suppression du vol Lille-Marseille : une alternative en train de 5h existe Suppression du vol Lille-Bordeaux : une alternative en train de 5h existe Suppression du vol Lille-Nantes : une alternative en train de 5h30 existe Suppression du vol Lille-Montpellier : une alternative en train de 5h existe Suppression du vol Lille-Brest : une alternative en train de 5h50 existe Les crises sanitaire et climatique imposent de repenser en profondeur le secteur aérien. Alors que la loi Climat est encore en cours d’examen parlementaire et que des échéances électorales arrivent aux niveaux local et national, signez la pétition pour demander des solutions de transport d'avenir, moins carbonées et accessibles à tous, pour une société soutenable et juste. Signer, c’est affirmer son soutien aux alternatives à l’avion, exiger la fermeture des lignes aériennes mentionnées, et s’engager à ne pas y avoir recours à titre individuel. Merci pour votre soutien ! Sources : (1) "Climat : pouvons-nous (encore) prendre l’avion ?" - Rapport B&L évolution ( https://www.bl-evolution.com/Docs/200721_Etude-BLevolution_Climat-Aviation.pdf ) (2) Rapport du RAC https://bit.ly/3jIGWoi (3) Rapport de Greenpeace : https://bit.ly/3u7bvIs
    1 426 sur 2 000 Signatures
    Créée par Mina D.
  • Il est urgent d’abandonner les vols courts au départ de Bâle-Mulhouse
    Pour respecter les Accords de Paris, des mesures fortes doivent être prises concernant le secteur aérien qui représente vraisemblablement plus de 7% de notre empreinte carbone nationale, et dont le trafic double tous les 15 ans (1). Parmi les leviers d’action pour réduire l’empreinte carbone du secteur, supprimer les vols courts constituerait un premier levier à actionner au niveau national. En effet, selon une étude du RAC, “la suppression des vols qui se font en moins de 6 heures en train permettrait de diminuer de plus de 80% les émissions de CO2 issues des vols métropolitains et d’environ 6% les émissions de l’ensemble des vols au départ de la France”. (2) Selon une étude menée par Greenpeace portant sur 15 connexions aériennes parmi les plus utilisées (alors qu’une alternative en train existe en moins de 6 heures et sans changement), la différence en termes d’émissions de CO2eq par passager entre l’avion et le train est considérable (pour un même trajet). Pour la moitié des connexions étudiées, le trajet en avion est au moins 60 fois plus émetteur que le même trajet en train. (3) Il est donc impératif d’abandonner l’avion pour les trajets qui peuvent être faits en train, largement moins polluant, tout en investissant en parallèle pour une véritable relance du ferroviaire. Nous demandons également que soient anticipées les conséquences sociales de cette mesure, en protégeant les travailleur-ses impacté-es et leurs droits, en les formant et en accompagnant leur reconversion vers des emplois ou des secteurs plus adaptés au défi climatique quand cela sera nécessaire, et en les associant aux réflexions et aux décisions​. A ce sujet la mesure actuellement prévue sur ce sujet dans le cadre de la loi Climat est largement insuffisante : elle ne permettrait au mieux que la fermeture de 5 connexions sur la centaine de connexions aériennes intérieures existantes. Dans ce contexte, nous devons continuer à exiger des décideurs politiques locaux et nationaux qu’ils relèvent le niveau d’ambition sur ce sujet de la suppression des vols courts. A notre échelle, nous demandons la suppression des lignes aériennes suivantes, pour lesquelles une alternative en train de moins de 6 heures existe : - Suppression des vols [Bâle-Mulhouse - Paris] : une alternative en train en moins de 4h existe. - Suppression des vols [Bâle-Mulhouse - Montpellier] : une alternative en train en moins de 6h existe. Les crises sanitaire et climatique imposent de repenser en profondeur le secteur aérien. Alors que la loi Climat est encore en cours d’examen parlementaire et que des échéances électorales arrivent aux niveaux local et national, signez la pétition pour demander des solutions de transport d'avenir, moins carbonées et accessibles à tous, pour une société soutenable et juste. Signer, c’est affirmer son soutien aux alternatives à l’avion, exiger la fermeture des lignes aériennes mentionnées, et s’engager à ne pas y avoir recours à titre individuel. Merci pour votre soutien ! Sources : (1) "Climat : pouvons-nous (encore) prendre l’avion ?" - Rapport B&L évolution ( https://www.bl-evolution.com/Docs/200721_Etude-BLevolution_Climat-Aviation.pdf ) (2) Rapport du RAC https://bit.ly/3jIGWoi (3) Rapport de Greenpeace : https://bit.ly/3u7bvIs
    1 003 sur 2 000 Signatures
  • Il est urgent d’abandonner les vols courts au départ de Rennes
    Pour respecter les Accords de Paris, des mesures fortes doivent être prises concernant le secteur aérien qui représente vraisemblablement plus de 7% de notre empreinte carbone nationale, et dont le trafic double tous les 15 ans (1). Parmi les leviers d’action pour réduire l’empreinte carbone du secteur, supprimer les vols courts constituerait un premier levier à actionner au niveau national. En effet, selon une étude du RAC, “la suppression des vols qui se font en moins de 6 heures en train permettrait de diminuer de plus de 80% les émissions de CO2 issues des vols métropolitains et d’environ 6% les émissions de l’ensemble des vols au départ de la France”. (2) Selon une étude menée par Greenpeace portant sur 15 connexions aériennes parmi les plus utilisées (alors qu’une alternative en train existe en moins de 6 heures et sans changement), la différence en termes d’émissions de CO2eq par passager entre l’avion et le train est considérable (pour un même trajet). Pour la moitié des connexions étudiées, le trajet en avion est au moins 60 fois plus émetteur que le même trajet en train. (3) Il est donc impératif d’abandonner l’avion pour les trajets qui peuvent être faits en train, largement moins polluant, tout en investissant en parallèle pour une véritable relance du ferroviaire. Nous demandons également que soient anticipées les conséquences sociales de cette mesure, en protégeant les travailleur-ses impacté-es et leurs droits, en les formant et en accompagnant leur reconversion vers des emplois ou des secteurs plus adaptés au défi climatique quand cela sera nécessaire, et en les associant aux réflexions et aux décisions​. A ce sujet la mesure actuellement prévue sur ce sujet dans le cadre de la loi Climat est largement insuffisante : elle ne permettrait au mieux que la fermeture de 5 connexions sur la centaine de connexions aériennes intérieures existantes. Dans ce contexte, nous devons continuer à exiger des décideurs politiques locaux et nationaux qu’ils relèvent le niveau d’ambition sur ce sujet de la suppression des vols courts. A notre échelle, nous demandons la suppression des lignes aériennes suivantes, pour lesquelles une alternative en train de moins de 6 heures existe : - Suppression des vols [Rennes - Paris] : une alternative en train de moins de 2h30 existe - Suppression des vols [Rennes - Lyon] : une alternative en train de moins de 4h existe - Suppression des vols [Rennes - Marseille] : une alternative en train de moins de 6h existe Les crises sanitaire et climatique imposent de repenser en profondeur le secteur aérien. Alors que la loi Climat est encore en cours d’examen parlementaire et que des échéances électorales arrivent aux niveaux local et national, signez la pétition pour demander des solutions de transport d'avenir, moins carbonées et accessibles à tous, pour une société soutenable et juste. Signer, c’est affirmer son soutien aux alternatives à l’avion, exiger la fermeture des lignes aériennes mentionnées, et s’engager à ne pas y avoir recours à titre individuel. Merci pour votre soutien ! Sources : (1) "Climat : pouvons-nous (encore) prendre l’avion ?" - Rapport B&L évolution ( https://www.bl-evolution.com/Docs/200721_Etude-BLevolution_Climat-Aviation.pdf ) (2) Rapport du RAC https://bit.ly/3jIGWoi (3) Rapport de Greenpeace : https://bit.ly/3u7bvIs
    1 069 sur 2 000 Signatures
    Créée par Alternatiba Rennes
  • Il est urgent d’abandonner les vols courts au départ de Strasbourg
    Pour respecter les Accords de Paris, des mesures fortes doivent être prises concernant le secteur aérien qui représente vraisemblablement plus de 7% de notre empreinte carbone nationale, et dont le trafic double tous les 15 ans (1). Parmi les leviers d’action pour réduire l’empreinte carbone du secteur, supprimer les vols courts constituerait un premier levier à actionner au niveau national. En effet, selon une étude du RAC, “la suppression des vols qui se font en moins de 6 heures en train permettrait de diminuer de plus de 80% les émissions de CO2 issues des vols métropolitains et d’environ 6% les émissions de l’ensemble des vols au départ de la France”. (2) Selon une étude menée par Greenpeace portant sur 15 connexions aériennes parmi les plus utilisées (alors qu’une alternative en train existe en moins de 6 heures et sans changement), la différence en termes d’émissions de CO2eq par passager entre l’avion et le train est considérable (pour un même trajet). Pour la moitié des connexions étudiées, le trajet en avion est au moins 60 fois plus émetteur que le même trajet en train. (3) Il est donc impératif d’abandonner l’avion pour les trajets qui peuvent être faits en train, largement moins polluant, tout en investissant en parallèle pour une véritable relance du ferroviaire. Nous demandons également que soient anticipées les conséquences sociales de cette mesure, en protégeant les travailleur-ses impacté-es et leurs droits, en les formant et en accompagnant leur reconversion vers des emplois ou des secteurs plus adaptés au défi climatique quand cela sera nécessaire, et en les associant aux réflexions et aux décisions​. A ce sujet la mesure actuellement prévue sur ce sujet dans le cadre de la loi Climat est largement insuffisante : elle ne permettrait au mieux que la fermeture de 5 connexions sur la centaine de connexions aériennes intérieures existantes. Dans ce contexte, nous devons continuer à exiger des décideurs politiques locaux et nationaux qu’ils relèvent le niveau d’ambition sur ce sujet de la suppression des vols courts. A notre échelle, nous demandons la suppression des lignes aériennes suivantes, pour lesquelles une alternative en train de moins de 6 heures existe : - Suppression des vols [Strasbourg - Lyon] : : une alternative en train de moins de 4h existe - Suppression des vols [Strasbourg - Marseille]; [Strasbourg - Bordeaux] ; [Strasbourg - Montpellier] : une alternative en train de moins de 6h existe Les crises sanitaire et climatique imposent de repenser en profondeur le secteur aérien. Alors que la loi Climat est encore en cours d’examen parlementaire et que des échéances électorales arrivent aux niveaux local et national, signez la pétition pour demander des solutions de transport d'avenir, moins carbonées et accessibles à tous, pour une société soutenable et juste. Signer, c’est affirmer son soutien aux alternatives à l’avion, exiger la fermeture des lignes aériennes mentionnées, et s’engager à ne pas y avoir recours à titre individuel. Merci pour votre soutien ! Sources : (1) "Climat : pouvons-nous (encore) prendre l’avion ?" - Rapport B&L évolution ( https://www.bl-evolution.com/Docs/200721_Etude-BLevolution_Climat-Aviation.pdf ) (2) Rapport du RAC https://bit.ly/3jIGWoi (3) Rapport de Greenpeace : https://bit.ly/3u7bvIs
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  • Il est urgent d’abandonner les vols courts au départ de Marseille
    Pour respecter les Accords de Paris, des mesures fortes doivent être prises concernant le secteur aérien qui représente vraisemblablement plus de 7% de notre empreinte carbone nationale, et dont le trafic double tous les 15 ans (1). Parmi les leviers d’action pour réduire l’empreinte carbone du secteur, supprimer les vols courts constituerait un premier levier à actionner au niveau national. En effet, selon une étude du RAC, “la suppression des vols qui se font en moins de 6 heures en train permettrait de diminuer de plus de 80% les émissions de CO2 issues des vols métropolitains et d’environ 6% les émissions de l’ensemble des vols au départ de la France”. (2) Selon une étude menée par Greenpeace portant sur 15 connexions aériennes parmi les plus utilisées (alors qu’une alternative en train existe en moins de 6 heures et sans changement), la différence en termes d’émissions de CO2eq par passager entre l’avion et le train est considérable (pour un même trajet). Pour la moitié des connexions étudiées, le trajet en avion est au moins 60 fois plus émetteur que le même trajet en train. (3) Il est donc impératif d’abandonner l’avion pour les trajets qui peuvent être faits en train, largement moins polluant, tout en investissant en parallèle pour une véritable relance du ferroviaire. Nous demandons également que soient anticipées les conséquences sociales de cette mesure, en protégeant les travailleur-ses impacté-es et leurs droits, en les formant et en accompagnant leur reconversion vers des emplois ou des secteurs plus adaptés au défi climatique quand cela sera nécessaire, et en les associant aux réflexions et aux décisions​. A ce sujet la mesure actuellement prévue sur ce sujet dans le cadre de la loi Climat est largement insuffisante : elle ne permettrait au mieux que la fermeture de 5 connexions sur la centaine de connexions aériennes intérieures existantes. Dans ce contexte, nous devons continuer à exiger des décideurs politiques locaux et nationaux qu’ils relèvent le niveau d’ambition sur ce sujet de la suppression des vols courts. A notre échelle, nous demandons la suppression des lignes aériennes suivantes, pour lesquelles une alternative en train de moins de 6 heures existe : - Suppression des vols : [Marseille - Lyon] : une alternative en train de moins de 2h30 existe - Suppression des vols : [Marseille - Paris]; [Marseille - Toulouse] : une alternative en train de moins de 4h existe - Suppression des vols : [Marseille - Lille] ; [Marseille - Strasbourg] ; [Marseille - Rennes] ; [Marseille - Bordeaux] ; [Marseille - Tours] : une alternative en train de moins de 6h existe Les crises sanitaire et climatique imposent de repenser en profondeur le secteur aérien. Alors que la loi Climat est encore en cours d’examen parlementaire et que des échéances électorales arrivent aux niveaux local et national, signez la pétition pour demander des solutions de transport d'avenir, moins carbonées et accessibles à tous, pour une société soutenable et juste. Signer, c’est affirmer son soutien aux alternatives à l’avion, exiger la fermeture des lignes aériennes mentionnées, et s’engager à ne pas y avoir recours à titre individuel. Merci pour votre soutien ! Sources : (1) "Climat : pouvons-nous (encore) prendre l’avion ?" - Rapport B&L évolution ( https://www.bl-evolution.com/Docs/200721_Etude-BLevolution_Climat-Aviation.pdf ) (2) Rapport du RAC https://bit.ly/3jIGWoi (3) Rapport de Greenpeace : https://bit.ly/3u7bvIs
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    Créée par Brigitte D.
  • Il est urgent d’abandonner les vols courts au départ de Lyon
    Pour respecter les Accords de Paris, des mesures fortes doivent être prises concernant le secteur aérien qui représente vraisemblablement plus de 7% de notre empreinte carbone nationale, et dont le trafic double tous les 15 ans (1). Parmi les leviers d’action pour réduire l’empreinte carbone du secteur, supprimer les vols courts constituerait un premier levier à actionner au niveau national. En effet, selon une étude du RAC, “la suppression des vols qui se font en moins de 6 heures en train permettrait de diminuer de plus de 80% les émissions de CO2 issues des vols métropolitains et d’environ 6% les émissions de l’ensemble des vols au départ de la France”. (2) Selon une étude menée par Greenpeace portant sur 15 connexions aériennes parmi les plus utilisées (alors qu’une alternative en train existe en moins de 6 heures et sans changement), la différence en termes d’émissions de CO2eq par passager entre l’avion et le train est considérable (pour un même trajet). Pour la moitié des connexions étudiées, le trajet en avion est au moins 60 fois plus émetteur que le même trajet en train. (3) Il est donc impératif d’abandonner l’avion pour les trajets qui peuvent être faits en train, largement moins polluant, tout en investissant en parallèle pour une véritable relance du ferroviaire. Nous demandons également que soient anticipées les conséquences sociales de cette mesure, en protégeant les travailleur-ses impacté-es et leurs droits, en les formant et en accompagnant leur reconversion vers des emplois ou des secteurs plus adaptés au défi climatique quand cela sera nécessaire, et en les associant aux réflexions et aux décisions​. A ce sujet la mesure actuellement prévue sur ce sujet dans le cadre de la loi Climat est largement insuffisante : elle ne permettrait au mieux que la fermeture de 5 connexions sur la centaine de connexions aériennes intérieures existantes. Dans ce contexte, nous devons continuer à exiger des décideurs politiques locaux et nationaux qu’ils relèvent le niveau d’ambition sur ce sujet de la suppression des vols courts. A notre échelle, nous demandons la suppression des lignes aériennes suivantes, pour lesquelles une alternative en train de moins de 6 heures existe : - Suppression des vols [Lyon - Marseille] & [Lyon - Paris], une alternative en train en moins de 2h30 existe - Suppression des vols [Lyon - Rennes]; [Lyon - Strasbourg] ; [Lyon - Lille], une alternative en train en moins de 4h existe - Suppression des vols [Lyon- Nantes]; [Lyon - Toulouse] ; [Lyon - Nice]; [Lyon - Caen] ; [Lyon - Poitiers] ; [Lyon - Bordeaux] ; [Lyon - La Rochelle ; [Lyon - Limoges] : une alternative en train en moins de 6h existe Les crises sanitaire et climatique imposent de repenser en profondeur le secteur aérien. Alors que la loi Climat est encore en cours d’examen parlementaire et que des échéances électorales arrivent aux niveaux local et national, signez la pétition pour demander des solutions de transport d'avenir, moins carbonées et accessibles à tous, pour une société soutenable et juste. Signer, c’est affirmer son soutien aux alternatives à l’avion, exiger la fermeture des lignes aériennes mentionnées, et s’engager à ne pas y avoir recours à titre individuel. Merci pour votre soutien ! Sources : (1) "Climat : pouvons-nous (encore) prendre l’avion ?" - Rapport B&L évolution ( https://www.bl-evolution.com/Docs/200721_Etude-BLevolution_Climat-Aviation.pdf ) (2) Rapport du RAC https://bit.ly/3jIGWoi (3) Rapport de Greenpeace : https://bit.ly/3u7bvIs
    2 037 sur 3 000 Signatures
    Créée par Noelle S.
  • Non à la rocade Sud de La Roche-sur-Yon
    Quartier de Saint-André d'Ornay à La Roche-sur-Yon (Vendée), la densité du trafic pose problème.  Mais la rocade Sud n’est pas la solution, au contraire : elle est un problème de plus et à l’heure de l’urgence climatique une aberration écologique ! Créer cette rocade ce serait :  -  saccager la Vallée de l’Ornay, sa faune et sa flore, sacrifier des terres agricoles,  artificialiser des sols précieux et priver de tranquillité riverains, randonneurs et promeneurs -  déplacer le problème  -  amener à brève échéance des pressions en termes d’urbanisation de la zone.  Nous demandons l’arrêt immédiat des travaux engagés, au nom de l’urgence climatique et environnementale. Nous demandons par ailleurs que soit respecté et renforcé l’arrêté municipal interdisant la traversée de Saint-André d'Ornay aux poids lourds (sauf desserte locale). Nous demandons enfin que soient engagées une vraie réflexion sur la mobilité à l’échelle de l’agglomération de La Roche-sur-Yon, en y associant les habitant·e·s. Nous n’avons pas de planète B. NON au petit contournement sud de La Roche-sur-Yon, OUI à une solution alternative efficace et durable !
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    Créée par Collectif Sauvons la vallée L'Ornay Picture