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Stop au projet d'extension de l'aéroport Nantes Atlantique: un désastre climatique et sanitaireNous, citoyen·nes du collectif du Livre Blanc pour le Climat, sommes scandalisé·es par le projet d'aménagement de l'aéroport Nantes-Atlantique, qui permettrait l'accueil de 11,4 millions de passagers par an à l'horizon 2040 (contre 7,2 millions en 2019). L'aménagement prévoit même des réserves foncières afin d'agrandir l'aérogare et accueillir jusqu'à 15 millions de passagers et passagères par an en cas de forte demande. Ce projet est un non-sens climatique, sanitaire et économique. À l’heure où le trafic aérien est durablement affecté par la crise sanitaire et économique, investir 400 millions d’euros pour développer les capacités d’accueil de l’aéroport, au-delà des conséquences climatiques, est une hérésie. Le projet d'aménagement coûte ainsi : - Entre 120 et 150 M€ d’investissements pour mettre l’aéroport en conformité avec la réglementation - 300 M€ pour la rénovation de l’aérogare existante afin d'accueillir 11,4 millions de passagers à l'horizon 2040 - 100 M€ supplémentaire pour pouvoir accueillir tous ces passagers dans de bonnes conditions À l’heure où le transport aérien représente déjà 7% de l’empreinte carbone nationale (1) et qu'il continue de croître, que prendre l’avion est au moins 40 fois plus polluant qu’utiliser le train sur une distance nationale (2) et que les avions « verts » électriques ou à hydrogène n'ont pas démontré leur faisabilité et n’auraient qu'un impact limité, il est urgent de réduire le trafic aérien et les émissions de gaz à effet de serre du secteur pour se mettre en cohérence avec les objectifs de l'Accord de Paris. Il est impensable que l’Etat soutienne ce projet d'extension dont on peut estimer qu'il émettrait, en pleine capacité, entre 0,4 et 0,9 million de tonnes équivalent CO2 supplémentaires par an. À l’heure où la santé des populations survolées est déjà dramatiquement impactée par le trafic de Nantes-Atlantique, il n’est pas admissible d'augmenter encore le trafic aérien de l'aéroport. Si l'Etat s'engage à prendre un certain nombre de mesures pour tenter de baisser les nuisances sonores et sanitaires (couvre-feu de nuit 24h-6h, aides complémentaires pour les riverain·es, études d'impacts, augmentation de la hauteur de survol), l'augmentation de 50% du nombre de passagers par rapport aux chiffres de 2019, voire son doublement va clairement affecter la santé des populations survolées et des riverain·es de l'aéroport. Pour rappel, dans un avis datant de 2004, le Conseil supérieur d’hygiène publique de France estimait que le bruit des avions ou d'un aéronef constitue un problème de santé publique. De nouvelles études confirment qu'une exposition au bruit des avions crée un risque de mortalité plus élevé sur l’ensemble des maladies cardiovasculaires et affecte l'état de santé de manière générale (3). En 2008, la déclaration d'utilité publique du transfert de Notre-Dame-des-Landes publiait le chiffre de 56,000 vols par an comme seuil acceptable pour les riverain·es de l'aéroport Nantes Atlantique. En 2019, ce seuil acceptable était depuis longtemps dépassé pour l'aéroport de Nantes-Atlantique avec 63,200 vols commerciaux (+ 9,000 vols non commerciaux) pour 7,2 millions de passagers. À l’heure où la Convention citoyenne pour le climat demande l’arrêt des extensions d’aéroports et que d’autres extensions aéroportuaires ont été stoppées en Europe (Bristol, Madrid, Barcelone, Copenhague), il est temps que la France et nos décideur·euse·s politiques nationaux et locaux prennent position contre ces projets. Une quinzaine de projets d'extensions existent actuellement sur notre territoire. Malheureusement, le projet de loi issu des travaux de la convention citoyenne pour le climat prévoit explicitement le maintien du projet d'aménagement de l'aéroport Nantes-Atlantique. Nous refusons la fuite en avant d’une croissance sans limite du trafic aérien et demandons : - L’abandon pur et simple du projet d'aménagement actuel de l'aéroport Nantes-Atlantique visant à augmenter les capacités d’accueil de cet aéroport - Le développement d’alternatives plus cohérentes avec le défi climatique. Il faut investir dans le développement des modes de transport les moins polluants et notamment la relance du ferroviaire pour avoir une offre de trains de jour et de nuit de qualité et pouvoir ainsi faciliter l’abandon des vols courts, comme par exemple la connexion aérienne Paris-Nantes (concernée par l’interdiction annoncée par le gouvernement dont la portée réelle reste néanmoins à confirmer) ou la connexion aérienne Nantes - Lyon (560 854 passagers en 2019, + 55% de passagers par rapport en 2014, et 37 kt CO2 émises en 2019, alors que le trajet est possible en train en 4h24 et représente pour un passager 50 fois moins d’émissions d'eq. CO2 qu’en avion) (4). À l’heure de l’urgence climatique et alors qu’il reste beaucoup à faire pour développer des alternatives moins émettrices, nous ne laisserons pas des intérêts privés nous voler notre avenir et notre santé. Signez et partagez cette campagne pour demander l’abandon du projet et mettre fin à cette dérive climatique ! Cette pétition est portée par le collectif du Livre Blanc pour le Climat, document co-rédigé par plusieurs associations et citoyen·nes nantais. Ce document présente les mesures nécessaires pour respecter la trajectoire climatique définie lors des Accords de Paris: https://alternatiba.eu/nantes/wp-content/uploads/sites/7/2020/01/LivreBlancClimatNantes280120.pdf Sources : (1) B&L Evolution https://www.bl-evolution.com/publication/climat-pouvons-nous-encore-prendre-lavion/ (2) https://ecolab.ademe.fr/apps/transport (3) https://theconversation.com/quels-sont-les-effets-du-bruit-des-avions-sur-notre-sante-148219 (4) https://www.greenpeace.fr/mettre-fin-aux-vols-courts-cest-long/ Crédit image : C.Bski5,090 of 6,000 SignaturesCreated by Livre Blanc Pour le Climat N.
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M. Christian Estrosi, Libérez nous du tout voiture !Plus de cyclistes et un ZFE c'est l'opportunité: - de réduire la pollution de l'air et la pollution sonore -Respecter les engagements de limitation de hausse des températures de 1.5°C - Limiter les embouteillages - Limiter le coût d'entretien des infrastructures routières - Avoir une population en meilleure santé (500 morts prématurés par an) - Développer une économie de proximité - Développer l'attractivité de notre région pour attirer un tourisme plus respectueux de l'environnement Est ce que vous laisseriez votre enfant se rendre à l'école ou au collège à vélo ou votre grand mère faire son marché à vélo ? la réponse est trop souvent non et à juste titre. Il n'y a que peu d'alternatives au tout voiture dans de nombreux déplacements alors même que le vélo avec l'électrique démocratise encore plus ce déplacement accessible à tous. La métropole a un rôle déterminant à jouer dans cette transition275 of 300 SignaturesCreated by Vincent G.
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Pour le démantèlement de l'aéroport d'AvignonC'est un aéroport inutile et coûteux qui ne sert quasiment qu'aux jets privés et qui pollue notre territoire et récupère l'argent public. Par ailleurs, pour respecter nos accords en matière climatique, il faut a minima supprimer la moitié des aéroports en France et baisser drastiquement le trafic aérien. L'aéroport d'Avignon fait partie des aéroports les moins utiles. Avec une surface plus grande qu'Avignon intra-muros, son terrain pourrait laisser fleurir de beaux projets citoyens dans le respect de l'environnement et focalisé sur les enjeux de demain: adaptation au changement climatique, autonomie alimentaire, résilience, poumon vert de fraîcheur.1,605 of 2,000 SignaturesCreated by Wo Con ! & Extinction Rebellion Avignon
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RESPIRONS EN MARNE ET GONDOIRENotre territoire et celles et ceux qui y vivent souffrent de la pollution de l’air, qui constitue aujourd’hui une urgence sanitaire établie. Le trafic routier porte une responsabilité toute particulière en ce qui concerne les émissions de polluants atmosphériques dangereux pour la santé et doit absolument être restreint. Le trafic routier est également l’un des premiers secteurs émetteur de gaz à effet de serre à l’échelle de notre agglomération. L’urgence climatique nous impose d’agir rapidement et de sortir de notre dépendance collective au pétrole, au transport routier et à la voiture individuelle. C'est un enjeu essentiel et pour autant l’abandon des véhicules polluants et de la logique du tout-voiture ne doit laisser personne sur le carreau. Évidemment, nous savons qu’il n’est pas toujours facile de se passer de sa voiture, mais nous pensons qu’il est de la responsabilité de nos élu.es de nous en donner les moyens, en développant les alternatives et en accompagnant le changement, notamment pour les plus fragiles d’entre nous. Président de l'agglomération, il est grand temps d’agir pour la transition écologique et pour une mobilité urbaine adaptée aux crises sanitaire et climatique. Nous vous demandons donc : - de programmer et d’organiser la sortie des véhicules polluants dans notre ville/intercommunalité, à travers la mise en oeuvre d’une Zone à Faibles Emissions sur un périmètre géographique ambitieux, en intégrant les différentes catégories de véhicules polluants, en particulier les véhicules individuels, fixant notamment un cap de sortie du diesel à horizon 2025 et de l’essence à horizon 2030 ; - de prendre des mesures visant à réduire la place dédiée à la voiture dans notre ville/intercommunalité (mise en place de “rues scolaires”, mise en place ou développement des zones piétonnes et des zones à trafic limité, généralisation de la baisse des vitesses à 30 km/h et baisse de la vitesse sur les rocades, réduction du stationnement en voirie, etc.) et de réguler notamment la présence des véhicules les plus encombrants comme les SUV ; - d’avancer sur des mesures visant à maîtriser la demande en déplacements comme l’abandon des projets de nouvelles zones commerciales en périphérie ; - d’abandonner tout projet de nouvelle infrastructure routière/autoroutière ou d’extension des capacités routières ; - de continuer à développer la solution vélo (plan vélo ambitieux à hauteur de 30€/an/hab minimum, mise en place d’un réseau express vélo métropolitain, activation des autres leviers d’un système vélo performant : stationnement sécurisé, intermodalité avec les transports en commun, services de location courte et longue durée, apprentissage pour tous, ateliers de réparation, etc.) ; - de renforcer et pérenniser les dispositions temporaires qui ont été mises en place en faveur du vélo et des piétons dans le contexte covid ; - de continuer à développer le réseau de transports en commun (amélioration des fréquences et amplitudes horaires, mise en place de couloirs réservés pour les autobus, mutualisation des systèmes de billettique entre les différentes offres de transports collectifs et avec les services de mobilités alternatifs, développement des transports urbains en site propre notamment vers/entre les quartiers périphériques denses mal desservis, etc.) ; - de mettre en place une tarification sociale et solidaire basée sur les ressources pour les transports en commun ; - de prévoir un accompagnement et des aides à la transition, pour soutenir les particuliers et les professionnels dans le changement de véhicule ou, mieux, de moyen de transport ; de faire preuve d’exemplarité concernant la flotte des transports en commun et de la ville : optimiser et rationaliser les déplacements au sein de la collectivité et engager une véritable politique de mobilité durable. Il reste beaucoup à faire dans nos grandes villes françaises sur ce sujet de la lutte contre la pollution automobile, comme l’a démontré un classement des villes* publié en amont des élections municipales de 2020 par le Réseau Action Climat, Unicef France et Greenpeace France. La crise sanitaire Covid que nous traversons a mis une nouvelle fois en lumière la nécessité absolue d’avancer rapidement sur ces enjeux de mobilité urbaine. Sortir du tout-voiture, du diesel et de l’essence et prioriser d’autres manières de se déplacer en ville demande du courage politique et c’est indispensable pour faire face à l’urgence sanitaire et climatique. Maintenant que les élections sont passées, nous vous demandons de passer rapidement à l’action pour lutter de manière ambitieuse contre la pollution automobile, en commençant par honorer vos promesses de campagne sur ces enjeux et en prenant en compte nos demandes dans ce texte. Je vous prie d’agréer, l’expression de ma considération distinguée. *Source : https://www.greenpeace.fr/lutte-contre-la-pollution-de-lair-classement-des-12-plus-grandes-agglomerations-francaises/102 of 200 SignaturesCreated by PHILIPPE L.
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Mr le Président de l’intercommunalité du Bassin de Brive : libérez-nous du tout-voiture !Notre territoire et celles et ceux qui y vivent souffrent de la pollution de l’air, qui constitue aujourd’hui une urgence sanitaire établie. Le trafic routier porte une responsabilité toute particulière en ce qui concerne les émissions de polluants atmosphériques dangereux pour la santé et doit absolument être restreint. Le trafic routier est également l’un des premiers secteurs émetteur de gaz à effet de serre à l’échelle de notre agglomération. L’urgence climatique nous impose d’agir rapidement et de sortir de notre dépendance collective au pétrole, au transport routier et à la voiture individuelle. C'est un enjeu essentiel et pour autant l’abandon des véhicules polluants et de la logique du tout-voiture ne doit laisser personne sur le carreau. Évidemment, nous savons qu’il n’est pas toujours facile de se passer de sa voiture, mais nous pensons qu’il est de la responsabilité de nos élu.es de nous en donner les moyens, en développant les alternatives et en accompagnant le changement, notamment pour les plus fragiles d’entre nous. Mr le Président de la CABB, il est grand temps d’agir pour la transition écologique et pour une mobilité urbaine adaptée aux crises sanitaire et climatique. Nous vous demandons donc : - de prendre des mesures visant à réduire la place dédiée à la voiture dans notre ville et intercommunalité (mise en place de “rues scolaires”, mise en place ou développement des zones piétonnes et des zones à trafic limité, généralisation de la baisse des vitesses à 30 km/h et baisse de la vitesse sur les rocades, réduction du stationnement en voirie, etc.) et de réguler notamment la présence des véhicules les plus encombrants comme les SUV ; - d’avancer sur des mesures visant à maîtriser la demande en déplacements comme l’abandon des projets de nouvelles zones commerciales en périphérie ; - de continuer à développer la solution vélo (plan vélo ambitieux à hauteur de 30€/an/hab minimum, mise en place d’un réseau express vélo métropolitain, activation des autres leviers d’un système vélo performant : stationnement sécurisé, intermodalité avec les transports en commun, services de location courte et longue durée, apprentissage pour tous, ateliers de réparation, etc.) ; - de développer un réseau de covoiturage urbain et péri-urbain sur l'intercommunalité, comme cela vous a déjà été proposé. Il reste beaucoup à faire dans nos grandes villes françaises sur ce sujet de la lutte contre la pollution automobile, comme l’a démontré un classement des villes* publié en amont des élections municipales de 2020 par le Réseau Action Climat, Unicef France et Greenpeace France. La crise sanitaire Covid que nous traversons a mis une nouvelle fois en lumière la nécessité absolue d’avancer rapidement sur ces enjeux de mobilité urbaine. Sortir du tout-voiture, du diesel et de l’essence et prioriser d’autres manières de se déplacer en ville demande du courage politique et c’est indispensable pour faire face à l’urgence sanitaire et climatique. Maintenant que les élections sont passées, nous vous demandons de passer rapidement à l’action pour lutter de manière ambitieuse contre la pollution automobile, en commençant par honorer vos promesses de campagne sur ces enjeux le cas échéant si promesses il y a eu] et en prenant en compte nos demandes dans ce texte. Je vous prie d’agréer, Monsieur le Maire, Président de l'intercommunalité, l’expression de ma considération distinguée. *Source : https://www.greenpeace.fr/lutte-contre-la-pollution-de-lair-classement-des-12-plus-grandes-agglomerations-francaises/52 of 100 SignaturesCreated by Patrice L.
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La Rue est à Nous ! Les AndelysPour permettre à notre ville de respirer ... La grande avenue est plantée d'Arbres, et le parc public retrouvera pour quelques heures, tranquillité, sérénité où il sera bon de se retrouver en famille , entre amis tout en gardant les gestes barrières...40 of 100 SignaturesCreated by isabelle c.
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Ville de Valence et son agglo : Non au "tout-voiture"Notre territoire, et celles et ceux qui y vivent subissent la pollution de l’air, qui constitue aujourd’hui une urgence sanitaire établie. Le trafic routier qui ne cesse de s’accroître porte une responsabilité toute particulière en ce qui concerne les émissions de polluants atmosphériques dangereux pour la santé, les dépenses d'argent représentées, et doit arriver à être réduit. Le "tout-automobile" a des conséquences négatives sur la qualité de vie dans notre agglomération, au niveau visuel comme au niveau sonore, de plus il engendre aussi de l'insécurité routière. Il faut nous sortir de notre trop importante dépendance à la voiture individuelle. C'est un enjeu essentiel, sans pour autant que l’abandon des véhicules polluants et de la logique du tout-voiture ne portent préjudice dans certains cas, (par exemple à ceux qui n’auraient aucune autre possibilité de déplacement, ou qui serait nécessaire à leur métier). Nous savons qu’il n’est pas toujours facile de se passer de sa voiture, mais nous pensons qu’il est de la responsabilité de nos élu.e.s de nous en donner les moyens, en développant les alternatives et en accompagnant le changement, pour tous, et notamment pour les plus fragiles d’entre nous. Monsieur le Maire de la ville de Valence et Président de Valence-Romans-Agglo, nous vous remercions d’agir en faveur de la transition écologique et pour une mobilité urbaine plus saine, plus adaptée à la crise sanitaire et climatique. Nous comptons sur vous et vous en remercions. Nous vous prions donc : - de prendre des mesures visant à réduire la place dédiée à la voiture dans notre agglomération (mise en place de “rues scolaires”, mise en place ou développement des zones piétonnes et des zones à trafic limité, généralisation de la baisse des vitesses en ville à 30 km/h, et baisse de la vitesse sur les rocades, réduction du stationnement en voirie, accroissement de la sécurité, etc.) ; - d’abandonner tout projet de nouvelle infrastructure routière/autoroutière ou d’extension des capacités routières, et concerter avant tout projet les organismes ou associations telles que l' "Association R.E.V.V.". - de continuer à développer la solution vélo (plan vélo ambitieux à hauteur de 30€/an/hab minimum, mise en place d’un réseau express vélo métropolitain, activation des autres leviers d’un système vélo performant : stationnement sécurisé, accroissement des emplacements d’arceaux vélos, intermodalité avec les transports en commun, services de location courte et longue durée, apprentissage pour tous, ateliers de réparation, etc.) ; - de continuer à développer les transports en commun entre Valence et toute son agglomération, notamment la ligne ferroviaire entre Valence et Romans (amélioration des fréquences et amplitudes horaires, mutualisation des systèmes de billettique entre les différentes offres de transports alternatifs, développement des transports urbains en site propre notamment vers/entre les quartiers périphériques denses mal desservis, etc.) ; Il reste beaucoup à faire dans nos grandes villes françaises sur ce sujet de la lutte contre l'omniprésence et la dépendance automobile. La crise sanitaire « Covid » que nous traversons a mis une nouvelle fois en lumière la nécessité absolue d’avancer rapidement sur les enjeux de mobilité urbaine. Mais Créer des alternatives à la voiture individuelle pour se déplacer en ville demande du courage politique. Maintenant que les élections sont passées, nous vous prions d’agir rapidement contre la trop grande omniprésence de l'automobile, en commençant par honorer vos promesses de campagne sur ces enjeux et en prenant en compte nos demandes dans ce texte. Je vous prie d’agréer, Monsieur le Maire / Monsieur le Président d’intercommunalité, l’expression de ma considération distinguée. Claire Allemand Vice-Présidente de l'association REVV Roulons En Ville à Vélo - Valence et son Agglo *Source : https://www.greenpeace.fr/lutte-contre-la-pollution-de-lair-classement-des-12-plus-grandes-agglomerations-francaises/350 of 400 SignaturesCreated by Association REVV
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Saint-Dié-des-Vosges : libérez-nous du tout-voiture !Notre territoire et celles et ceux qui y vivent souffrent de la pollution de l’air, qui constitue aujourd’hui une urgence sanitaire établie. Le trafic routier porte une responsabilité toute particulière en ce qui concerne les émissions de polluants atmosphériques dangereux pour la santé et doit absolument être restreint. Le trafic routier est également l’un des premiers secteurs émetteur de gaz à effet de serre à l’échelle de notre agglomération. L’urgence climatique nous impose d’agir rapidement et de sortir de notre dépendance collective au pétrole, au transport routier et à la voiture individuelle. C'est un enjeu essentiel et pour autant l’abandon des véhicules polluants et de la logique du tout-voiture ne doit laisser personne sur le carreau. Évidemment, nous savons qu’il n’est pas toujours facile de se passer de sa voiture, mais nous pensons qu’il est de la responsabilité de nos élu.es de nous en donner les moyens, en développant les alternatives et en accompagnant le changement, notamment pour les plus fragiles d’entre nous. Monsieur Valence, il est grand temps d’agir pour la transition écologique et pour une mobilité urbaine adaptée aux crises sanitaire et climatique. Nous vous demandons donc : - de prendre des mesures visant à réduire la place dédiée à la voiture dans notre ville (mise en place de “rues scolaires”, mise en place ou développement des zones piétonnes et des zones à trafic limité, généralisation de la baisse des vitesses à 30 km/h et baisse de la vitesse sur les rocades, réduction du stationnement en voirie, etc.) et de réguler notamment la présence des véhicules les plus encombrants comme les SUV ; - d’avancer sur des mesures visant à maîtriser la demande en déplacements comme l’abandon des projets de nouvelles zones commerciales en périphérie ; - de continuer à développer la solution vélo (plan vélo ambitieux à hauteur de 30€/an/hab minimum, mise en place d’un réseau express vélo métropolitain, activation des autres leviers d’un système vélo performant : stationnement sécurisé, intermodalité avec les transports en commun, services de location courte et longue durée, apprentissage pour tous, ateliers de réparation, etc.) ; - de continuer à développer le réseau de transports en commun (amélioration des fréquences et amplitudes horaires, mise en place de couloirs réservés pour les autobus, mutualisation des systèmes de billettique entre les différentes offres de transports collectifs et avec les services de mobilités alternatifs, développement des transports urbains en site propre notamment vers/entre les quartiers périphériques denses mal desservis, etc.). Il reste beaucoup à faire dans nos villes françaises sur ce sujet de la lutte contre la pollution automobile, comme l’a démontré un classement des villes* publié en amont des élections municipales de 2020 par le Réseau Action Climat, Unicef France et Greenpeace France. La crise sanitaire Covid que nous traversons a mis une nouvelle fois en lumière la nécessité absolue d’avancer rapidement sur ces enjeux de mobilité urbaine. Sortir du tout-voiture, du diesel et de l’essence et prioriser d’autres manières de se déplacer en ville demande du courage politique et c’est indispensable pour faire face à l’urgence sanitaire et climatique. Maintenant que les élections sont passées, nous vous demandons de passer rapidement à l’action pour lutter de manière ambitieuse contre la pollution automobile en prenant en compte nos demandes dans ce texte. Je vous prie d’agréer, Monsieur le Maire l’expression de ma considération distinguée. *Source : https://www.greenpeace.fr/lutte-contre-la-pollution-de-lair-classement-des-12-plus-grandes-agglomerations-francaises/41 of 100 SignaturesCreated by Lucie H.
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Vivre mieux à AurillacNotre territoire et celles et ceux qui y vivent souffrent de la pollution de l’air, qui constitue aujourd’hui une urgence sanitaire établie. Le trafic routier porte une responsabilité toute particulière en ce qui concerne les émissions de polluants atmosphériques dangereux pour la santé et doit absolument être restreint. Le trafic routier est également l’un des premiers secteurs émetteur de gaz à effet de serre à l’échelle de notre agglomération. L’urgence climatique nous impose d’agir rapidement et de sortir de notre dépendance collective au pétrole, au transport routier et à la voiture individuelle. C'est un enjeu essentiel et pour autant l’abandon des véhicules polluants et de la logique du tout-voiture ne doit laisser personne sur le carreau. Évidemment, nous savons qu’il n’est pas toujours facile de se passer de sa voiture, mais nous pensons qu’il est de la responsabilité de nos élu.es de nous en donner les moyens, en développant les alternatives et en accompagnant le changement, notamment pour les plus fragiles d’entre nous. Il est grand temps d’agir pour la transition écologique et pour une mobilité urbaine adaptée aux crises sanitaire et climatique. Nous vous demandons donc : - de programmer et d’organiser la sortie des véhicules polluants dans notre ville/intercommunalité, à travers la mise en oeuvre d’une Zone à Faibles Emissions sur un périmètre géographique ambitieux, en intégrant les différentes catégories de véhicules polluants, en particulier les véhicules individuels, fixant notamment un cap de sortie du diesel à horizon 2025 et de l’essence à horizon 2030 ; - de prendre des mesures visant à réduire la place dédiée à la voiture dans notre ville/intercommunalité (mise en place de “rues scolaires”, mise en place ou développement des zones piétonnes et des zones à trafic limité, généralisation de la baisse des vitesses à 30 km/h et baisse de la vitesse sur les rocades, réduction du stationnement en voirie, etc.) et de réguler notamment la présence des véhicules les plus encombrants comme les SUV ; - d’avancer sur des mesures visant à maîtriser la demande en déplacements comme l’abandon des projets de nouvelles zones commerciales en périphérie ; - d’abandonner tout projet de nouvelle infrastructure routière/autoroutière ou d’extension des capacités routières ; - de continuer à développer la solution vélo (plan vélo ambitieux à hauteur de 30€/an/hab minimum, mise en place d’un réseau express vélo métropolitain, activation des autres leviers d’un système vélo performant : stationnement sécurisé, intermodalité avec les transports en commun, services de location courte et longue durée, apprentissage pour tous, ateliers de réparation, etc.) ; - de renforcer et pérenniser les dispositions temporaires qui ont été mises en place en faveur du vélo et des piétons dans le contexte covid ; - de continuer à développer le réseau de transports en commun (amélioration des fréquences et amplitudes horaires, mise en place de couloirs réservés pour les autobus, mutualisation des systèmes de billettique entre les différentes offres de transports collectifs et avec les services de mobilités alternatifs, développement des transports urbains en site propre notamment vers/entre les quartiers périphériques denses mal desservis, etc.) ; - de mettre en place une tarification sociale et solidaire basée sur les ressources pour les transports en commun ; - de prévoir un accompagnement et des aides à la transition, pour soutenir les particuliers et les professionnels dans le changement de véhicule ou, mieux, de moyen de transport ; de faire preuve d’exemplarité concernant la flotte des transports en commun et de la ville : optimiser et rationaliser les déplacements au sein de la collectivité et engager une véritable politique de mobilité durable. Il reste beaucoup à faire dans nos grandes villes françaises sur ce sujet de la lutte contre la pollution automobile, comme l’a démontré un classement des villes* publié en amont des élections municipales de 2020 par le Réseau Action Climat, Unicef France et Greenpeace France. La crise sanitaire Covid que nous traversons a mis une nouvelle fois en lumière la nécessité absolue d’avancer rapidement sur ces enjeux de mobilité urbaine. Sortir du tout-voiture, du diesel et de l’essence et prioriser d’autres manières de se déplacer en ville demande du courage politique et c’est indispensable pour faire face à l’urgence sanitaire et climatique. Maintenant que les élections sont passées, nous vous demandons de passer rapidement à l’action pour lutter de manière ambitieuse contre la pollution automobile, en commençant par honorer vos promesses de campagne sur ces enjeux et en prenant en compte nos demandes dans ce texte. *Source : https://www.greenpeace.fr/lutte-contre-la-pollution-de-lair-classement-des-12-plus-grandes-agglomerations-francaises/41 of 100 SignaturesCreated by Marianne B.
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A Niort : libérez nous de la circulation des voitures en villeNotre territoire et celles et ceux qui y vivent souffrent de la pollution de l’air, qui constitue aujourd’hui une urgence sanitaire établie. Le trafic routier porte une responsabilité toute particulière en ce qui concerne les émissions de polluants atmosphériques dangereux pour la santé et doit absolument être restreint. Le trafic routier est également l’un des premiers secteurs émetteur de gaz à effet de serre à l’échelle de notre agglomération. L’urgence climatique nous impose d’agir rapidement et de sortir de notre dépendance collective au pétrole, au transport routier et à la voiture individuelle. C'est un enjeu essentiel et pour autant l’abandon des véhicules polluants et de la logique du tout-voiture ne doit laisser personne sur le carreau. Évidemment, nous savons qu’il n’est pas toujours facile de se passer de sa voiture, mais nous pensons qu’il est de la responsabilité de nos élu.es de nous en donner les moyens, en développant les alternatives et en accompagnant le changement, notamment pour les plus fragiles d’entre nous. Il est grand temps d’agir pour la transition écologique et pour une mobilité urbaine adaptée aux crises sanitaire et climatique. Nous vous demandons donc : - de programmer et d’organiser la sortie des véhicules polluants dans notre ville/intercommunalité, à travers la mise en oeuvre d’une Zone à Faibles Emissions sur un périmètre géographique ambitieux, en intégrant les différentes catégories de véhicules polluants, en particulier les véhicules individuels, fixant notamment un cap de sortie du diesel à horizon 2025 et de l’essence à horizon 2030 ; - de prendre des mesures visant à réduire la place dédiée à la voiture dans notre ville/intercommunalité (mise en place de “rues scolaires”, mise en place ou développement des zones piétonnes et des zones à trafic limité, généralisation de la baisse des vitesses à 30 km/h et baisse de la vitesse sur les rocades, réduction du stationnement en voirie, etc.) et de réguler notamment la présence des véhicules les plus encombrants comme les SUV ; - d’avancer sur des mesures visant à maîtriser la demande en déplacements comme l’abandon des projets de nouvelles zones commerciales en périphérie ; - d’abandonner tout projet de nouvelle infrastructure routière/autoroutière ou d’extension des capacités routières ; - de continuer à développer la solution vélo (plan vélo ambitieux à hauteur de 30€/an/hab minimum, mise en place d’un réseau express vélo métropolitain, activation des autres leviers d’un système vélo performant : stationnement sécurisé, intermodalité avec les transports en commun, services de location courte et longue durée, apprentissage pour tous, ateliers de réparation, etc.) ; - de renforcer et pérenniser les dispositions temporaires qui ont été mises en place en faveur du vélo et des piétons dans le contexte covid ; - de continuer à développer le réseau de transports en commun (amélioration des fréquences et amplitudes horaires, mise en place de couloirs réservés pour les autobus, mutualisation des systèmes de billettique entre les différentes offres de transports collectifs et avec les services de mobilités alternatifs, développement des transports urbains en site propre notamment vers/entre les quartiers périphériques denses mal desservis, etc.) ; - de mettre en place une tarification sociale et solidaire basée sur les ressources pour les transports en commun ; - de prévoir un accompagnement et des aides à la transition, pour soutenir les particuliers et les professionnels dans le changement de véhicule ou, mieux, de moyen de transport ; de faire preuve d’exemplarité concernant la flotte des transports en commun et de la ville : optimiser et rationaliser les déplacements au sein de la collectivité et engager une véritable politique de mobilité durable. Il reste beaucoup à faire dans nos grandes villes françaises sur ce sujet de la lutte contre la pollution automobile, comme l’a démontré un classement des villes* publié en amont des élections municipales de 2020 par le Réseau Action Climat, Unicef France et Greenpeace France. La crise sanitaire Covid que nous traversons a mis une nouvelle fois en lumière la nécessité absolue d’avancer rapidement sur ces enjeux de mobilité urbaine. Sortir du tout-voiture, du diesel et de l’essence et prioriser d’autres manières de se déplacer en ville demande du courage politique et c’est indispensable pour faire face à l’urgence sanitaire et climatique. Maintenant que les élections sont passées, nous vous demandons de passer rapidement à l’action pour lutter de manière ambitieuse contre la pollution automobile, en commençant par honorer vos promesses de campagne sur ces enjeux et en prenant en compte nos demandes dans ce texte. *Source : https://www.greenpeace.fr/lutte-contre-la-pollution-de-lair-classement-des-12-plus-grandes-agglomerations-francaises/45 of 100 SignaturesCreated by Virginie L.
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Larmor-Plage : libérez-nous du tout-voiture !Notre territoire et celles et ceux qui y vivent souffrent de la pollution de l’air, qui constitue aujourd’hui une urgence sanitaire établie. Le trafic routier porte une responsabilité toute particulière en ce qui concerne les émissions de polluants atmosphériques dangereux pour la santé et doit absolument être restreint. Le trafic routier est également l’un des premiers secteurs émetteur de gaz à effet de serre à l’échelle de notre agglomération. L’urgence climatique nous impose d’agir rapidement et de sortir de notre dépendance collective au pétrole, au transport routier et à la voiture individuelle. C'est un enjeu essentiel et pour autant l’abandon des véhicules polluants et de la logique du tout-voiture ne doit laisser personne sur le carreau. Évidemment, nous savons qu’il n’est pas toujours facile de se passer de sa voiture, mais nous pensons qu’il est de la responsabilité de nos élu.es de nous en donner les moyens, en développant les alternatives et en accompagnant le changement, notamment pour les plus fragiles d’entre nous. Monieur le Maire, il est grand temps d’agir pour la transition écologique et pour une mobilité urbaine adaptée aux crises sanitaire et climatique. Nous vous demandons donc : - de réguler notamment la présence des véhicules les plus encombrants comme les SUV et les campings cars qui nuisent aux autres utilisateurs des plages - d’abandonner tout projet de nouvelle infrastructure routière/autoroutière ou d’extension des capacités routières ; - de continuer à développer la solution vélo (plan vélo ambitieux à hauteur de 30€/an/hab minimum, mise en place d’un réseau express vélo métropolitain, activation des autres leviers d’un système vélo performant : stationnement sécurisé, intermodalité avec les transports en commun, services de location courte et longue durée, apprentissage pour tous, ateliers de réparation, etc.) ; - de continuer à développer le réseau de transports en commun (amélioration des fréquences et amplitudes horaires) - de prévoir un accompagnement et des aides à la transition, pour soutenir les particuliers et les professionnels dans le changement de véhicule ou, mieux, de moyen de transport . Il reste beaucoup à faire dans nos grandes villes françaises sur ce sujet de la lutte contre la pollution automobile, comme l’a démontré un classement des villes* publié en amont des élections municipales de 2020 par le Réseau Action Climat, Unicef France et Greenpeace France. La crise sanitaire Covid que nous traversons a mis une nouvelle fois en lumière la nécessité absolue d’avancer rapidement sur ces enjeux de mobilité urbaine. Sortir du tout-voiture, du diesel et de l’essence et prioriser d’autres manières de se déplacer en ville demande du courage politique et c’est indispensable pour faire face à l’urgence sanitaire et climatique. Maintenant que les élections sont passées, nous vous demandons de passer rapidement à l’action pour lutter de manière ambitieuse contre la pollution automobile, en commençant par prendre en compte nos demandes dans ce texte. Je vous prie d’agréer, Monsieur le Maire , l’expression de ma considération distinguée. *Source : https://www.greenpeace.fr/lutte-contre-la-pollution-de-lair-classement-des-12-plus-grandes-agglomerations-francaises/48 of 100 SignaturesCreated by Mary L.
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Morangis VILLE VERTENotre territoire et celles et ceux qui y vivent souffrent de la pollution de l’air, qui constitue aujourd’hui une urgence sanitaire établie. Le trafic routier porte une responsabilité toute particulière en ce qui concerne les émissions de polluants atmosphériques dangereux pour la santé et doit absolument être restreint. Le trafic routier est également l’un des premiers secteurs émetteur de gaz à effet de serre à l’échelle de notre agglomération. L’urgence climatique nous impose d’agir rapidement et de sortir de notre dépendance collective au pétrole, au transport routier et à la voiture individuelle. C'est un enjeu essentiel et pour autant l’abandon des véhicules polluants et de la logique du tout-voiture ne doit laisser personne sur le carreau. Évidemment, nous savons qu’il n’est pas toujours facile de se passer de sa voiture, mais nous pensons qu’il est de la responsabilité de nos élu.es de nous en donner les moyens, en développant les alternatives et en accompagnant le changement, notamment pour les plus fragiles d’entre nous. Maire de Morangis, il est grand temps d’agir pour la transition écologique et pour une mobilité urbaine adaptée aux crises sanitaire et climatique. Nous vous demandons donc : - de programmer et d’organiser la sortie des véhicules polluants dans notre ville/intercommunalité, à travers la mise en oeuvre d’une Zone à Faibles Emissions sur un périmètre géographique ambitieux, en intégrant les différentes catégories de véhicules polluants, en particulier les véhicules individuels, fixant notamment un cap de sortie du diesel à horizon 2025 et de l’essence à horizon 2030 ; - de prendre des mesures visant à réduire la place dédiée à la voiture dans notre ville/intercommunalité (mise en place de “rues scolaires”, mise en place ou développement des zones piétonnes et des zones à trafic limité, généralisation de la baisse des vitesses à 30 km/h et baisse de la vitesse sur les rocades, réduction du stationnement en voirie, etc.) et de réguler notamment la présence des véhicules les plus encombrants comme les SUV ; - d’avancer sur des mesures visant à maîtriser la demande en déplacements comme l’abandon des projets de nouvelles zones commerciales en périphérie ; - d’abandonner tout projet de nouvelle infrastructure routière/autoroutière ou d’extension des capacités routières ; - de continuer à développer la solution vélo (plan vélo ambitieux à hauteur de 30€/an/hab minimum, mise en place d’un réseau express vélo métropolitain, activation des autres leviers d’un système vélo performant : stationnement sécurisé, intermodalité avec les transports en commun, services de location courte et longue durée, apprentissage pour tous, ateliers de réparation, etc.) ; - de renforcer et pérenniser les dispositions temporaires qui ont été mises en place en faveur du vélo et des piétons dans le contexte covid ; - de continuer à développer le réseau de transports en commun (amélioration des fréquences et amplitudes horaires, mise en place de couloirs réservés pour les autobus, mutualisation des systèmes de billettique entre les différentes offres de transports collectifs et avec les services de mobilités alternatifs, développement des transports urbains en site propre notamment vers/entre les quartiers périphériques denses mal desservis, etc.) ; - de mettre en place une tarification sociale et solidaire basée sur les ressources pour les transports en commun ; - de prévoir un accompagnement et des aides à la transition, pour soutenir les particuliers et les professionnels dans le changement de véhicule ou, mieux, de moyen de transport ; de faire preuve d’exemplarité concernant la flotte des transports en commun et de la ville : optimiser et rationaliser les déplacements au sein de la collectivité et engager une véritable politique de mobilité durable. Il reste beaucoup à faire dans nos grandes villes françaises sur ce sujet de la lutte contre la pollution automobile, comme l’a démontré un classement des villes* publié en amont des élections municipales de 2020 par le Réseau Action Climat, Unicef France et Greenpeace France. La crise sanitaire Covid que nous traversons a mis une nouvelle fois en lumière la nécessité absolue d’avancer rapidement sur ces enjeux de mobilité urbaine. Sortir du tout-voiture, du diesel et de l’essence et prioriser d’autres manières de se déplacer en ville demande du courage politique et c’est indispensable pour faire face à l’urgence sanitaire et climatique. Maintenant que les élections sont passées, nous vous demandons de passer rapidement à l’action pour lutter de manière ambitieuse contre la pollution automobile, en commençant par honorer vos promesses de campagne sur ces enjeux [le cas échéant si promesses il y a eu] et en prenant en compte nos demandes dans ce texte. Je vous prie d’agréer, Madame la Maire, l’expression de ma considération distinguée. *Source : https://www.greenpeace.fr/lutte-contre-la-pollution-de-lair-classement-des-12-plus-grandes-agglomerations-francaises/50 of 100 SignaturesCreated by ADELINE M.
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