• Un désastre écologique dans les Alpes
     Dans un contexte de crise climatique mondiale, alors que chaque euro et chaque décision publique doivent s’inscrire dans une logique de sobriété écologique, le chantier de la ligne ferroviaire Lyon – Saint-Jean-de-Maurienne du projet Lyon-Turin illustre tragiquement l’exact opposé. Ce projet, dont la légitimité repose sur des hypothèses vieilles de 35 ans, cumule aujourd’hui surcoûts, retards abyssaux, et surtout, des effets environnementaux désastreux qui en font une aberration climatique et écologique.  1. Une atteinte irréversible aux écosystèmes alpins  La construction des 190 km de tunnels nécessaires à ce projet, notamment sous les massifs de Belledonne et de Chartreuse, va entraîner :  • La destruction massive de terres agricoles : ces zones, déjà rares dans les vallées alpines, seront bétonnées à jamais, menaçant la souveraineté alimentaire locale. • La fragmentation et la disparition d’habitats naturels : l’écosystème alpin, riche mais fragile, sera irrémédiablement perturbé par les travaux, les pollutions sonores, lumineuses et les poussières générées. • L’assèchement ou la pollution de nombreuses sources d’eau : les chantiers ont déjà montré leur capacité à altérer durablement les nappes phréatiques, au risque d’impacter la biodiversité aquatique et l’usage humain. • L'émission massive de gaz à effet de serre : le creusement des tunnels générera à lui seul plus de 10 millions de tonnes de CO₂, une empreinte carbone impossible à compenser avant 2067 voire 2092 selon les estimations officielles – et ce, dans le meilleur des cas. 2. Un projet dépassé par les réalités technologiques et climatiques Les arguments avancés dans les années 1990 pour justifier cette nouvelle infrastructure sont aujourd’hui caducs :   • Le fret routier est en pleine mutation : les camions électriques et hydrogènes, imposés par les normes européennes de 2024, représenteront la majorité du trafic dès 2040. L'avantage écologique du rail s’amenuise fortement dans ce contexte. • Les prévisions de trafic étaient fausses : contrairement aux projections alarmistes de saturation, le trafic fret transalpin est resté quasi stable depuis 30 ans. La voie historique du Fréjus, modernisable à moindre coût, reste sous-utilisée. Construire aujourd’hui une ligne aussi coûteuse pour une promesse climatique dans… 60 ans, c’est tout simplement irresponsable.   3. Une dépense publique ruineuse et injustifiée Le coût de la seule portion française Lyon–St Jean-de-Maurienne est désormais estimé à plus de 15 milliards d’euros, soit trois fois les estimations initiales. Cet investissement :   • Ne profite pas aux usagers du quotidien, notamment les 2 millions d’habitants de la région Rhône-Alpes qui subissent encore des voies ferrées vétustes, lentes, à voie unique (entre Lyon, Chambéry, Annecy, Grenoble). • Ignore les recommandations des institutions : la Cour des Comptes européenne, le Comité d’Orientation des Infrastructures (COI) ou encore la jurisprudence récente sur les projets A69 et A680 pointent tous les failles écologiques, juridiques et économiques du projet. • Viole les principes fondamentaux de la Déclaration d’Utilité Publique, désormais obsolète (2013) et juridiquement fragile au regard des atteintes à la biodiversité. 4. Une alternative rationnelle existe Plutôt que creuser des tunnels pour un projet livré en 2045 (ou 2050 ?), des solutions de bon sens sont proposées :   • Moderniser l’axe Dijon – Ambérieux – Modane, déjà fonctionnel. • Doubler les voies existantes sur les tronçons clés (Lyon–Chambéry, Aix–Annecy). • Investir dans des infrastructures TER fiables pour les trajets du quotidien. • Réduire massivement les émissions dès 2030, sans attendre 2092. Avec 12 milliards d’euros d’économie à la clé, ces solutions permettent un impact écologique positif immédiat, tout en répondant réellement aux besoins des habitants. Conclusion Le projet Lyon–Turin, dans sa portion française, n’est pas un projet d’avenir. C’est un héritage du passé, une vision centralisée et productiviste des grands travaux, déconnectée des urgences climatiques contemporaines. À l’heure où chaque euro public doit être un levier vers un monde soutenable, continuer ce chantier revient à investir dans un désastre écologique dont nous ne pourrons ni racheter le coût environnemental, ni effacer les cicatrices laissées dans nos montagnes. 
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    Créée par philippe S.
  • Ne sacrifions pas notre territoire : protegeons Colonzelle !
    • Un avis défavorable des experts : La Chambre d'Agriculture et la Direction Départementale des Territoires (DDT) de la Drôme se sont prononcées défavorablement à l'encontre de ce projet, soulignant que le terrain possède un potentiel agricole. • Une menace pour notre patrimoine agricole : Nos terres cultivables ne sont pas seulement des sols fertiles, elles sont le fruit de générations d'agriculteurs. Sacrifier ces terres pour un projet industriel, c'est renier l'histoire de notre village et mettre en péril son identité rurale. • Une altération irréversible de notre paysage : L'installation de panneaux solaires sacrifierait notre territoire, modifiant profondément l'identité visuelle de notre village et dénaturant le cadre paisible et harmonieux qui fait partie intégrante de notre patrimoine. • Une menace pour la biodiversité locale : Ce projet perturbera les écosystèmes naturels environnants, mettant en danger la faune et la flore locales qui contribuent à l'équilibre écologique. • Un bénéfice dérisoire pour la commune : Ce projet ne rapporterait à la commune que 4000 € de loyer par an. Les retombées fiscales, estimées à 8000 € par an, seront répartis entre le département, la CCEPPG et la commune. Des sommes bien faibles au regard des enjeux économiques, écologiques et patrimoniaux pour notre communauté. • Ne laissons pas cet héritage à nos enfants : En autorisant ce projet, nous risquons de léguer à nos générations futures un territoire appauvri et dénaturé, dépourvu des richesses agricoles et culturelles qui font la force de notre village. • Des alternatives existent : Il est possible de développer les énergies renouvelables tout en préservant notre héritage agricole, en favorisant des installations sur des terrains non exploités comme les friches industrielles, les toitures de bâtiments ou d'autres espaces adaptés.   Nous ne pouvons pas permettre que ce projet avance sans exprimer notre opposition collective. Sacrifier notre territoire et son héritage agricole n'est pas une fatalité. Votre voix compte, et ensemble, nous pouvons protéger notre village, ses terres, sa biodiversité, son paysage et son avenir !  
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    Créée par Colonzelle : préservons nos Terres et Paysages !. Picture
  • NON A L'ARTIFICIALISATION ET A L'ABATTAGE DES ARBRES DU SECTEUR MOULIN NEUF A LAMBESC
    https://www.greenvoice.fr/assets/uploads/2025/01/PHOTO-AERIENNE-OAP.jpg Pourquoi cet étalement urbain dans un secteur déjà impacté par la construction récente de 2 résidences particulièrement denses et quasi imperméabilisées, sans qu’aucun espace naturel n’ait été préservé ?                                                                            - Étalement urbain sur des terres cultivées (champ, chênaie) alors que la commune se doit de respecter la loi ZAN (Zéro Artificialisation nette) et de réduire sa consommation d’espace de 55% d’ici 2031                                                                                  - Multiplication de logements dans un secteur dépourvu d’infrastructures : services, commerces, transports en commun.                                                                                                          Pourquoi cette frénésie de construction (+ de 390 logements environ en - de 10 ans) dans une commune :                                                                                                                         - qui ne constitue pas une zone d’emploi ;                                                                                 - qui est éloignée des principaux centres actifs de la métropole ;  - qui est peu desservie par les transports en commun   - dont le réseau routier vers les zones d’activité est saturé Faute d’emploi local et de transport en commun « le tout voiture longue distance » reste la seule solution pour les trajets domicile-travail.                                                                                                          Pourquoi la destruction de plus de la moitié d’une chênaie ?                                              Bois abritant des chênes blancs à croissance très lente, âgés d’une quarantaine d’années. Ces chênes truffiers ont la particularité de vivre plus de 500 ans, d’être rustiques et de bien résister à la sécheresse, comparativement aux autres essences de chênes.    Pourquoi l’abattage d’une haie de vieux cyprès servant de brise-vent et de refuge à de nombreux oiseaux ?   Ces arbres sont nos meilleurs alliés pour limiter les effets du dérèglement climatique et constituent un réservoir de biodiversité périurbain. QUEL EST L’IMPACT DE CE PROJET ? Ce projet porte atteinte à la qualité de vie des riverains, des Lambescains et à la biodiversité :      •  Il défigure le paysage rural du secteur ; •  Il prive les citoyens de l’effet « climatiseur » offert par l’écosystème du bois et de la haie ; il remplace un îlot de fraîcheur par un îlot de chaleur en milieu périurbain ; •  Il est particulièrement destructeur de la qualité de l’air ; •  Il empêche l’infiltration de l’eau dans les sols en cas de fortes pluies ; •  Il détruit tout un écosystème riche en flore et en faune. Il prive de nombreuses espèces  (oiseaux, insectes, écureuils, campagnols, chauves-souris …) d’abris et de nourritures ; •  Il vient accroître le trafic routier dans la commune, sur la D7 (vers Aix) et l’A51 (Aix-Marseille) déjà fortement embouteillées aux heures de pointe, générant stress, bruit, pollutions et CO2.    Toutes ces aberrations écologiques ne respectent pas le code de l’urbanisme, le PLUI (Plan Local d’Urbanisme Intercommunal) et ne prennent pas en considération l’urgence climatique et le déclin de la biodiversité. Nous, Association pour la Préservation des Quartiers Moulin Neuf et Gargory Sud à Lambesc Est, soutenus par : France Nature Environnement FNE13,  l’association la Parole aux citoyens, demandons : • De réduire le nombre de logements de ce projet (30 logements/ha)  de privilégier la réhabilitation des logements anciens et l’utilisation des logements vacants : 249 logements vacants à Lambesc (source INSEE 2020) ;  •   De réduire le nombre de bâtiments en R+2 (RDC +2 étages) ; •  De préserver intégralement haies, masses boisées et de sanctuariser la chênaie en la classant en «Espace Boisé Protégé » ;  •  De préserver le caractère rural du chemin de Saint Marc (chemin de promenade familiale et  sportive) tel qu’il se présente actuellement. Nous demandons que ce projet aux conséquences néfastes à notre santé, au climat et à la biodiversité soit reconsidéré.  Pensons à l’avenir des générations futures. Dès à présent, signez cette pétition et diffusez-la le plus largement possible. Merci pour votre soutien.
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    Créée par Association pour la Préservation des Quartiers Moulin Neuf et Gargory Sud à Lambesc
  • Monsieur le Maire, sauvons les arbres de notre centre-ville !
    Historique : Le 29 Novembre 2021, le comité de quartier du centre-ville a signalé :  • de nombreux arbres mourants sur l'Avenue Marie Curie en entrée de ville (200 chênes).  • la disparition de la moitié des 44 arbres sur les parkings/trottoirs du boulevard Pierre Mendès France et la présence de goudron sur une dizaine d'arbres survivants. Cet abattage semble correspondre à une procédure irrégulière. Nous n'avons pas eu connaissance d'arrêté municipal ou préfectoral, ou d'arrêté d'abattage dans le cadre de travaux. Le 1er juin 2022, le comité de quartier du centre-ville a signalé 8 pieds d'arbres sur-minéralisés sur la nouvelle Place Fulgence Bienvenue.  Si on ajoute les 16 arbres abattus Rue Henry de Montfreid pour la réalisation de nouveaux stationnements, le bilan est négatif pour ce quartier. Au total : • Au moins 16 arbres sont en danger immédiat et plusieurs dizaines sont mourants. • Au moins 28 arbres ont été abattu et non remplacés.  Rappels utiles :  Les arbres sont vivants et ils ont besoin d'un apport en eau et en nutriments pour s'épanouir en ville : laisser un espace végétalisé et perméable au pied de l'arbre est indispensable pour sa survie à long terme. De la végétation pousse au pied de l’arbre, le nourrit, et inversement. L’arbre capte l’eau plus facilement et devient plus résistant.  Préserver les arbres du centre-ville, c'est conserver notre titre de Ville des Parcs et Jardins, et c'est lutter efficacement contre les ilots de chaleur urbaine l'été. Situation actuelle : Depuis les signalements du comité de quartier il y a 3/4 ans, rien de concret ne fut réalisé par la commune pour remédier à la situation en dehors de la pose de pots géants Av. Pierre Mendès France à la place des arbres abattus. La foret urbaine plantée par EpaMarne en entrée de ville ne compensera pas cette perte située dans d'autres lieux.  Nos demandes : Par conséquent, nous, citoyennes et citoyens de la ville, indépendamment des comités, associations et partis, demandons publiquement à la mairie de Bussy-saint-Georges  : 1. d'aménager les pieds des arbres sur la place Fulgence Bienvenue et le boulevard Pierre Mendès France : retirer les goudrons/revêtements et laisser au minimum 1m2 de terre. Protéger ces zones de tout stationnement.  2. de remplacer les arbres abattus ou malades par des essences variées, adaptées à la ville et résistantes au changement climatique. Ce remplacement doit être réalisé dans la même rue.    3. de demander au plus vite à EpaMarne un remplacement des arbres mourants Avenue Marie Curie avant la fin de la ZAC pour que cela ne soit pas à la ville de payer.  4. de généraliser ces bonnes pratiques aux autres quartiers de la commune. 
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    Créée par Mathieu C.
  • STOP au projet d'une déchetterie de 10 000 m² sur des terres agricoles à St Clément de Régnat !
    Le PLUi (Plan Local d'Urbanisme intercommunal) de Plaine Limagne Communauté prévoit le reclassement de la parcelle concernée actuellement classée agricole en zone constructible. La parcelle est en cours d'acquisition. Il est donc urgent de se mobiliser !  
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    Créée par Préservons Saint Clément
  • La Garrigue : notre patrimoine collectif
    La nouvelle est tombée comme un coup de tonnerre dans un ciel pourtant serein. La mairie prévoit de détruire sept hectares de garrigue, ce joyau naturel niché le long d’un chemin de randonnée apprécié par tous, de l’enfant curieux à l’âme errante du promeneur. Cet espace, témoin de l’histoire et refuge pour une multitude de vies silencieuses, est un patrimoine collectif que l’on croyait inviolable. Sous le prétexte de transformer Marguerittes en une ville à énergie positive, la promesse de modernité semble s’acharner à effacer les racines mêmes de ce qui fait l’âme de ce village. Les chênes robustes, les arbustes de thym et de romarin qui embaument l’air, les criquets qui chantent à l’ombre des genévriers… tout cela risque de s’éteindre dans le fracas des machines et la poussière soulevée par les travaux. Et pourtant, la question s’impose : à quel prix ? Quelle ironie de vouloir créer un futur soi-disant plus « vert » en détruisant ce qui l’est déjà, authentiquement, sans artifice. Ce qui doit être un progrès s’annonce comme une amputation, un acte irréversible qui laisse un vide et un goût amer. Face à cette menace, les cœurs s’alourdissent, mais une révolte sourde s’élève. Il est temps que les voix s’unissent pour dire que Marguerittes doit rester une terre d’équilibre, où tradition et modernité coexistent sans que l’une ne dévore l’autre. Car un village sans sa garrigue est un village amputé, une histoire que l’on a renié.
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    Créée par VIGILANCE INONDATION COMITE MAS PRADEN - COMITE COEUR DE VILLE
  • STOP au projet de centrale photovoltaïque à Lambesc, zone Natura 2 000
    La centrale photovoltaïque à Lambesc, c’est quoi exactement ? • Une emprise de 21 ha et plus de 20 000 panneaux solaires • Des bâtiments techniques : 5 postes de transformation et 1 poste de livraison • Des kilomètres de câbles et des kilomètres de clôture grillagée • Des pistes carrossables pour les poids lourds au milieu des collines • Un raccordement souterrain jusqu’à Lambesc de plus de 6 km   Qui mène le projet ? • Silversun Roquerousse. Derrière ce nom se cache une entreprise lyonnaise, Oxynergie, spécialisée dans l’aménagement de centrales photovoltaïques au sol. L’association avec l’entreprise lambescaine Silversun Technics permet de donner un peu de couleur locale au projet. • La mairie de Lambesc et la MFR Garachon louent les terrains.   Pourquoi nous sommes contre ce projet ? • Un projet mené sans aucune concertation avec les habitants •  Plus de 15 ha de défrichement, destruction de la flore sauvage • Destruction d’habitats et d’individus pour les insectes, chauves-souris, reptiles, amphibiens et des dizaines d'espèces d'oiseaux protégées • Destruction d'une zone de chasse pour les grands rapaces   Une centrale photovoltaïque en fonctionnement, c’est également : • un piège pour les insectes, les oiseaux, les chauves-souris qui meurent carbonisés en voulant s’approcher des panneaux ; • un immense radiateur au milieu des collines avec une température pouvant atteindre 85 degrés Celsius au-dessus des panneaux ; • une source potentielle de départ de feu dans une zone déjà très vulnérable au risque incendie.   Pourtant, tous les scientifiques demandent que ces projets industriels soient réalisés en dehors des espaces naturels !  • A Lambesc, aucun parking n'est équipé d'ombrières photovoltaïques. • Aucun bâtiment municipal n'est équipé de panneaux solaires. • Des terrains artificialisés existent (ex. ancienne déchèterie) mais ils ne sont pas équipés. Ce projet de centrale photovoltaïque va totalement à l’encontre de l’intérêt collectif ! Oui au développement des énergies renouvelables. Mais uniquement sur les surfaces réellement artificialisées. Et avec des mesures de sobriété énergétique.  Les travaux sont prévus pour le début de l'automne.   Ce projet doit être stoppé de manière urgente tant qu’un site plus approprié n’est pas trouvé.   Nous, Collectif de Défense des Collines, soutenus par : La Parole aux Citoyens, Cistude, le Collectif Alleinsois de Défense de l'Environnement (CADE), la Tortue qui Secoue le Monde, le Groupe National de Surveillance des Arbres (GNSA), l'Association Nationale pour la Biodiversité (ANB), Elzeard Lure en résistance, Extinction Rebellion,  demandons : • A la société Silversun Roquerousse d’abandonner son projet dans les collines et d’utiliser un site réellement artificialisé (ce que recommandent l’ADEME et le CNPN). • A Monsieur le Maire de Lambesc et Monsieur le Directeur de la MFR Garachon de rompre leur promesse de bail. • A Monsieur le Préfet des Bouches-du-Rhône de retirer le permis de construire et le permis de défrichement. Pour ceux qui le souhaitent, une cagnotte est lancée afin de financer le recours juridique : https://www.kagnotte.com/k/7326.html Suivez-nous sur Facebook : https://www.facebook.com/CollectifDefenseCollines/   Après l’attaque du frelon asiatique, l’attaque du panneau photovoltaïque ! Il est sournois et ne s’attaque pas directement aux abeilles, Même si elles s’y brûleront les ailes. Il s’implantera au cœur d’un espace naturel, Jouissant d’un panorama exceptionnel. Que la nature est belle… Mais cela il ne vous le dira pas,  Car sinon vous lui diriez, pourquoi s’installer là ?  Il vous dépeindra un paysage de désolation, Et ajoutera, c’est idéal pour mon implantation. Il vous laissera croire que la zone est artificialisée. Il vous parlera donc de présence de déblais, Lié à la construction de la ligne TGV, De lignes très haute tension pour l’électricité, En résumé, d’une zone fortement dégradée, Ce que vous croirez, Puisque vous n’y avez jamais mis les pieds, Vous vous imaginerez alors un tableau bien laid, Où tout est abîmé, tout juste bon à être rasé. Mais tout cela n'est-il pas fortement exagéré ? Il ne vous dira pas que tout ça, c’est dépassé, Que 25 ans après la construction du tunnel du TGV, La garrigue et son extrême richesse en biodiversité, Thym, romarin et ciste ont déjà tout recolonisé, Il dira tout bas qu’il grignotera des zones préservées, Chênes et pins devront être arrachés. Et pour tous ceux qui aimaient s’y balader,  Entre les panneaux, il va falloir slalomer, Il vous dira alors, le randonneur n’a qu’à aller ailleurs, Mais quid des espèces protégées comme le lézard ocellé, Car avant de s’installer ici, dans ce petit paradis, Nul panneau ne l’avait averti Que ce serait ici qu’il pousserait son dernier cri.
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    Créée par Collectif Défense des collines
  • Projet oeno-touristique à Carignan : pas n'importe comment !
    Carignan-de-Bordeaux a toujours été une terre d’accueil et le développement d’une activité touristique est à l’évidence une bonne idée. Mais pas n’importe comment ! Le projet actuel propose d’accueillir 212 hôtes dans 91 chambres, alors que le grand centre des Caudalies ne compte par exemple que 62 chambres. Les pensionnaires pourront disposer d’une piscine de 25 mètres de long et d’un spa de 1000 m², alors que l’eau manque déjà à Carignan-de-Bordeaux et que nous devons régulièrement composer avec des arrêtés préfectoraux restreignant notre consommation. Il sera nécessaire de construire un parking en partie souterrain de 272 places, alors que le Plan local d’urbanisme n’en permet que 160 et que nos voiries sont déjà bien chargées durant les heures de pointe. Il sera aussi nécessaire d’imperméabiliser des zones conséquentes car les surfaces plancher représentent plus de 12 000 m², alors que certains de nos concitoyens sont déjà régulièrement inondés en particulier le long de la route de Lignan. Il sera nécessaire d’abattre des arbres, alors qu’à Carignan-de-Bordeaux, il s’agit plutôt maintenant de protéger la biodiversité. Ce gigantesque projet, qui doit attirer une clientèle de grand luxe, a été conçu à une époque qui nous semble maintenant bien lointaine, une époque durant laquelle l’argent semblait couler à flots, une époque où les ressources naturelles semblaient inépuisables, une époque où il semblait acceptable d’accueillir une clientèle venant du monde entier pour quelques jours de repos dans le bordelais malgré un coût carbone très élevé. Nous n’en sommes plus là ! Les manifestations du changement climatique sont là : inondations, sécheresses, tensions sur les matières premières et chacun comprend maintenant qu’il faut être raisonnable et vivre plus modestement sans trop prélever dans nos ressources naturelles. L’association Habitat et Environnement à Carignan-de-Bordeaux, qui était intervenu dans le débat public en 2018 pour s’opposer à un projet de Plan Local d’Urbanisme qui nous semblait mettre en péril notre cadre de vie, propose de renégocier cet intéressant projet oeno-touristique afin de concilier développement économique, valorisation du patrimoine historique et protection de notre cadre de vie et de nos ressources naturelles. Nous avons pour cela déposé un recours gracieux s’opposant à la délivrance du permis de construire, et nous avons besoin de vous pour pouvoir peser dans un nécessaire débat public, durant lequel les enjeux seront clairement débattus : quels impacts sur les ressources naturelles et sur notre cadre de vie.
    209 sur 300 Signatures
    Créée par Lucie B.
  • CESSON, Arrêt de la chasse dans le bois brûlé et petites forêts près des habitations
    Pour ou contre, Depuis 2 ans la chasse à Cesson est de plus en plus près des habitations et les règles qui la régissent semble de moins en moins respectées. En effet, en période de chasse , nous sommes face à des situations anormales telles que de retrouver des animaux morts des jours après avoir été abbatus, des coups de feux qui semble être trop près des habitations et absolument aucune comunication et contrôle sur ce qui se passe. Les petites forêts près de Cesson n'ont pas besoin d'être regulées au vu de leurs tailles, du nombres d'animaux qui y vivent et de la proximité des habitations. Par conséquent la chasse n'a pas sa place dans ces bois. À ce stade, elle est plus facteur de risques et source de dérangement pour les habitants qu'utile à la biodiversité. Chaque signature supplémentaire démontrera un peu plus l'importance de ce sujet pour les Cessonnais
    282 sur 300 Signatures
    Créée par Dimitri G.
  • Bassin et étang de Thau : STOP au droit à polluer des milieux aquatiques et marins
    Cette priorité accordée à l’urbanisation a conduit à une forte augmentation de l’artificialisation des sols, compromettant l’équilibre écologique et économique du bassin de Thau.  Les professionnels de la mer, associations protectrice de l'environnement en tant que véritables sentinelles de cet écosystème, constatent chaque jour l’agonie de l’étang de Thau, entraînant avec elle la disparition progressive de ses usages et de ses usagers. Face à cette situation critique, il est urgent de reconsidérer la stratégie de développement du territoire.  Après dix années le SMVL n'a été que propice à aggraver la situation de l'écosystème du bassin et étang de Thau. Tout comme les priorités politiques ont évolué par le passé, il est impératif de redonner la prééminence au SMVM afin de rétablir un équilibre durable entre protection de l’environnement et développement économique.  Il en va de la survie même de l’étang et de ses acteurs. Le collectif "CHOEUR de THAU" sur telegram androïd ou PC https://t.me/+lsdA50T10L4xNzhk Contact : [email protected]
    4 005 sur 5 000 Signatures
    Créée par Collectif "CHŒUR DE THAU"
  • Pas de port fluvial de plaisance à Anse !
    “Un budget pharaonique, pour un projet climaticide” Un budget total de 39,5 millions d'euros dont le montage financier est pour le moment annoncé comme suit :  • 3 millions d’€ de la commune d’Anse • 1,5 million d’€ du Département • 1,5 million d’€ de la Communauté de communes Beaujolais Pierres Dorées • 300 000€ de l'agglomération de Villefranche-sur-Saône • 1,2 million d’€ de la Région par un “Contrat Plan État-Région” La métropole de Lyon, qui devait contribuer à hauteur de 300 milles euros, s’est désengagée suite à l’arrivée des Écologistes au pouvoir en 2020.  “« Aller creuser un port dans une zone humide ne nous paraissait écologiquement pas une bonne chose. D’autant que les zones humides sont parmi les milieux naturels les plus impactés ces dernières décennies. » ”  Pierre Athanaze, vice-président de la Métropole, à Rue 89 Lyon Déjà 6 millions d’€ ont été engagés pour le retroussement et diverses études. Et le projet prévoit pour la suite 32 millions d’euros d’investissement pour les travaux d’infrastructure de la zone (électricité, eau, réseau égouts, accès etc....) et les compensations écologiques. Ils n’incluent ni les logements, ni bâtiments commerciaux ou industriels... Une destruction du fragile écosystème reconstruit * La roselière et des peupliers centenaires  détruits pour creuser l’entrée du port * des espèces menacées : Lèche à épis noirs, fritillaire pintade, gratiole officinale, euphorbe des marais, hérissons, castors, tritons, guêpier d’Europe, chiroptères et divers oiseaux migrateurs… la liste des espèces qui sont menacées par le projjet, faite par la LPO, est tristement longue...  Et avec le million de visiteurs attendus par an, il y a de quoi émettre des réserves quant à la considération de la disparition de la biodiversité…
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    Créée par Alternatiba VBS Picture
  • NON A L'ABATTAGE DE DEUX CEDRES CENTENAIRES - URGENCE - CENTRE VILLE GARDANNE
    Signez cette pétition et n'hésitez pas à envoyer un mail à la mairie de Gardanne pour appuyer notre démarche. Merci à tous!
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    Créée par Delphine B.