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STOP au projet d'une déchetterie de 10 000 m² sur des terres agricoles à St Clément de Régnat !Le PLUi (Plan Local d'Urbanisme intercommunal) de Plaine Limagne Communauté prévoit le reclassement de la parcelle concernée actuellement classée agricole en zone constructible. La parcelle est en cours d'acquisition. Il est donc urgent de se mobiliser !491 sur 500 SignaturesCréée par Préservons Saint Clément
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La Garrigue : notre patrimoine collectifLa nouvelle est tombée comme un coup de tonnerre dans un ciel pourtant serein. La mairie prévoit de détruire sept hectares de garrigue, ce joyau naturel niché le long d’un chemin de randonnée apprécié par tous, de l’enfant curieux à l’âme errante du promeneur. Cet espace, témoin de l’histoire et refuge pour une multitude de vies silencieuses, est un patrimoine collectif que l’on croyait inviolable. Sous le prétexte de transformer Marguerittes en une ville à énergie positive, la promesse de modernité semble s’acharner à effacer les racines mêmes de ce qui fait l’âme de ce village. Les chênes robustes, les arbustes de thym et de romarin qui embaument l’air, les criquets qui chantent à l’ombre des genévriers… tout cela risque de s’éteindre dans le fracas des machines et la poussière soulevée par les travaux. Et pourtant, la question s’impose : à quel prix ? Quelle ironie de vouloir créer un futur soi-disant plus « vert » en détruisant ce qui l’est déjà, authentiquement, sans artifice. Ce qui doit être un progrès s’annonce comme une amputation, un acte irréversible qui laisse un vide et un goût amer. Face à cette menace, les cœurs s’alourdissent, mais une révolte sourde s’élève. Il est temps que les voix s’unissent pour dire que Marguerittes doit rester une terre d’équilibre, où tradition et modernité coexistent sans que l’une ne dévore l’autre. Car un village sans sa garrigue est un village amputé, une histoire que l’on a renié.1 266 sur 2 000 SignaturesCréée par VIGILANCE INONDATION C.
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STOP au projet de parc photovoltaïque dans les collines de Lambesc, aux portes de VernèguesLe projet, mené par la société lambescaine Silversun, prévoit l’implantation de plus de 20 000 panneaux au coeur des collines. Il se situe dans le vaste ensemble naturel classé Natura 2000 de la chaîne des Costes et prévoit le défrichement d’au moins 2,3 ha de collines boisées. A cela se rajoute la destruction de vastes zones de garrigue qui n’entrent pas dans le permis de défrichement, ainsi que des zones supplémentaires concernées par l’OLD (Obligation Légale de Débroussaillement). Ce projet, comme beaucoup d’autres qui fleurissent en France, entraînera la destruction d’espaces naturels fragiles dont nous avons tellement besoin. Il n’est pas acceptable de déboiser ces zones sauvages de nos belles collines provençales. Ce projet doit être stoppé tant qu’un site plus approprié n’est pas trouvé. Rappelons-nous qu’un espace naturel peut être rasé en quelques jours alors que sa restauration peut prendre plusieurs centaines d’années ! Dégrader nos collines avec des panneaux solaires, Soit on réagit, soit on laisse faire ! S’attaquer à la nature ne sera jamais la solution, Tous ensemble, faisons opposition ! Nous, Collectif de Défense des Collines, Soutenus par : l'association La Parole aux Citoyens, le Collectif Elzeard Lure en Résistance, le Groupe National de Surveillance des Arbres (GNSA), le Collectif Alleinsois de Défense de l'Environnement (CADE) et l'Agence Nationale pour la Biodiversité (ANB) Demandons : • A la société Silversun d’abandonner son projet dans les collines et d’utiliser un site réellement artificialisé (ce que recommande l’ADEME). • A Monsieur le Maire de Lambesc et à Monsieur le Préfet des Bouches-du-Rhône d’annuler le permis de défrichement. Tous ensemble, signons cette pétition et diffusons-la le plus largement possible autour de nous. Le permis de défrichement est déjà accordé et les travaux risquent de bientôt démarrer ! Pour plus d’information sur l’impact de l’implantation des parcs photovoltaïques en milieu naturel, rendez-vous sur le site du collectif Elzeard : https://www.lureenresistance.fr/1 305 sur 2 000 SignaturesCréée par Collectif D.
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Projet oeno-touristique à Carignan : pas n'importe comment !Carignan-de-Bordeaux a toujours été une terre d’accueil et le développement d’une activité touristique est à l’évidence une bonne idée. Mais pas n’importe comment ! Le projet actuel propose d’accueillir 212 hôtes dans 91 chambres, alors que le grand centre des Caudalies ne compte par exemple que 62 chambres. Les pensionnaires pourront disposer d’une piscine de 25 mètres de long et d’un spa de 1000 m², alors que l’eau manque déjà à Carignan-de-Bordeaux et que nous devons régulièrement composer avec des arrêtés préfectoraux restreignant notre consommation. Il sera nécessaire de construire un parking en partie souterrain de 272 places, alors que le Plan local d’urbanisme n’en permet que 160 et que nos voiries sont déjà bien chargées durant les heures de pointe. Il sera aussi nécessaire d’imperméabiliser des zones conséquentes car les surfaces plancher représentent plus de 12 000 m², alors que certains de nos concitoyens sont déjà régulièrement inondés en particulier le long de la route de Lignan. Il sera nécessaire d’abattre des arbres, alors qu’à Carignan-de-Bordeaux, il s’agit plutôt maintenant de protéger la biodiversité. Ce gigantesque projet, qui doit attirer une clientèle de grand luxe, a été conçu à une époque qui nous semble maintenant bien lointaine, une époque durant laquelle l’argent semblait couler à flots, une époque où les ressources naturelles semblaient inépuisables, une époque où il semblait acceptable d’accueillir une clientèle venant du monde entier pour quelques jours de repos dans le bordelais malgré un coût carbone très élevé. Nous n’en sommes plus là ! Les manifestations du changement climatique sont là : inondations, sécheresses, tensions sur les matières premières et chacun comprend maintenant qu’il faut être raisonnable et vivre plus modestement sans trop prélever dans nos ressources naturelles. L’association Habitat et Environnement à Carignan-de-Bordeaux, qui était intervenu dans le débat public en 2018 pour s’opposer à un projet de Plan Local d’Urbanisme qui nous semblait mettre en péril notre cadre de vie, propose de renégocier cet intéressant projet oeno-touristique afin de concilier développement économique, valorisation du patrimoine historique et protection de notre cadre de vie et de nos ressources naturelles. Nous avons pour cela déposé un recours gracieux s’opposant à la délivrance du permis de construire, et nous avons besoin de vous pour pouvoir peser dans un nécessaire débat public, durant lequel les enjeux seront clairement débattus : quels impacts sur les ressources naturelles et sur notre cadre de vie.180 sur 200 SignaturesCréée par Lucie B.
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CESSON, Arrêt de la chasse dans le bois brûlé et petites forêts près des habitationsPour ou contre, Depuis 2 ans la chasse à Cesson est de plus en plus près des habitations et les règles qui la régissent semble de moins en moins respectées. En effet, en période de chasse , nous sommes face à des situations anormales telles que de retrouver des animaux morts des jours après avoir été abbatus, des coups de feux qui semble être trop près des habitations et absolument aucune comunication et contrôle sur ce qui se passe. Les petites forêts près de Cesson n'ont pas besoin d'être regulées au vu de leurs tailles, du nombres d'animaux qui y vivent et de la proximité des habitations. Par conséquent la chasse n'a pas sa place dans ces bois. À ce stade, elle est plus facteur de risques et source de dérangement pour les habitants qu'utile à la biodiversité. Chaque signature supplémentaire démontrera un peu plus l'importance de ce sujet pour les Cessonnais244 sur 300 SignaturesCréée par Dimitri G.
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Bassin et étang de Thau : STOP au droit à polluer des milieux aquatiques et marinsCette priorité accordée à l’urbanisation a conduit à une forte augmentation de l’artificialisation des sols, compromettant l’équilibre écologique et économique du bassin de Thau. Les professionnels de la mer, associations protectrice de l'environnement en tant que véritables sentinelles de cet écosystème, constatent chaque jour l’agonie de l’étang de Thau, entraînant avec elle la disparition progressive de ses usages et de ses usagers. Face à cette situation critique, il est urgent de reconsidérer la stratégie de développement du territoire. Après dix années le SMVL n'a été que propice à aggraver la situation de l'écosystème du bassin et étang de Thau. Tout comme les priorités politiques ont évolué par le passé, il est impératif de redonner la prééminence au SMVM afin de rétablir un équilibre durable entre protection de l’environnement et développement économique. Il en va de la survie même de l’étang et de ses acteurs. Le collectif "CHOEUR de THAU" sur telegram androïd ou PC https://t.me/+lsdA50T10L4xNzhk Contact : [email protected]3 746 sur 4 000 SignaturesCréée par Collectif "CHŒUR DE THAU"
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Pas de port fluvial de plaisance à Anse !“Un budget pharaonique, pour un projet climaticide” Un budget total de 39,5 millions d'euros dont le montage financier est pour le moment annoncé comme suit : • 3 millions d’€ de la commune d’Anse • 1,5 million d’€ du Département • 1,5 million d’€ de la Communauté de communes Beaujolais Pierres Dorées • 300 000€ de l'agglomération de Villefranche-sur-Saône • 1,2 million d’€ de la Région par un “Contrat Plan État-Région” La métropole de Lyon, qui devait contribuer à hauteur de 300 milles euros, s’est désengagée suite à l’arrivée des Écologistes au pouvoir en 2020. “« Aller creuser un port dans une zone humide ne nous paraissait écologiquement pas une bonne chose. D’autant que les zones humides sont parmi les milieux naturels les plus impactés ces dernières décennies. » ” Pierre Athanaze, vice-président de la Métropole, à Rue 89 Lyon Déjà 6 millions d’€ ont été engagés pour le retroussement et diverses études. Et le projet prévoit pour la suite 32 millions d’euros d’investissement pour les travaux d’infrastructure de la zone (électricité, eau, réseau égouts, accès etc....) et les compensations écologiques. Ils n’incluent ni les logements, ni bâtiments commerciaux ou industriels... Une destruction du fragile écosystème reconstruit * La roselière et des peupliers centenaires détruits pour creuser l’entrée du port * des espèces menacées : Lèche à épis noirs, fritillaire pintade, gratiole officinale, euphorbe des marais, hérissons, castors, tritons, guêpier d’Europe, chiroptères et divers oiseaux migrateurs… la liste des espèces qui sont menacées par le projjet, faite par la LPO, est tristement longue... Et avec le million de visiteurs attendus par an, il y a de quoi émettre des réserves quant à la considération de la disparition de la biodiversité…4 419 sur 5 000 SignaturesCréée par Alternatiba VBS
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NON A L'ABATTAGE DE DEUX CEDRES CENTENAIRES - URGENCE - CENTRE VILLE GARDANNESignez cette pétition et n'hésitez pas à envoyer un mail à la mairie de Gardanne pour appuyer notre démarche. Merci à tous!897 sur 1 000 SignaturesCréée par Delphine B.
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Refuge de biodiversité menacée par un projet routier, sauvegardons la ressource en eauLe conseil municipal a voté à l’unanimité l’expropriation de la ferme de la Boussine à l’emplacement de la source où l’eau jaillit naturellement du sol, dans les périmètres officiels et légaux de protection du captage d’eau potable l’exposant ainsi aux risques de chocs, de fissuration et à la pollution par les hydrocarbures et le sel aggravée par le ruissellement sur la forte pente. Après avoir contourné la loi sur l’eau, sans avoir réalisé aucune étude géotechnique de faisabilité complète et aucune étude d’impact réglementaire, les travaux ont commencé en force. Ils ont nécessité le drainage de la zone humide, la modification de l’écoulement naturel de l’eau et des travaux de terrassement dans la ripisylve du ravin glissant vers le torrent et dans l’impluvium rapproché du captage. Nous dénonçons la confiscation et l’artificialisation des sols, la mise en péril du captage monumental, vieux de plusieurs siècles et toujours fonctionnel, les menaces que ce projet fait peser sur l’équilibre de la ferme de la Boussine et la biodiversité, sans débat démocratique, dans une commune dépourvue de PLU, sans aucun intérêt pour les riverains, pour gagner 1 minute et 30 secondes. En effet, depuis que cet étroit chemin rural de raccourci, desservant les champs et notre ferme a été transféré dans le domaine public routier communal, il est détruit pour être transformé en route large, bitumée, dangereuse et inadaptée à la topographie, fracturant l’écosystème naturel dénaturant les 8 ha du site agricole et naturel et le confisquant aux marcheurs, cavaliers, vététistes et riverains. Si les études obligatoires avaient été faites, les travaux ne pouvaient pas se réaliser en l’état. Nous demandons le respect de la loi qui protège le captage et le respect des protections définies par l’hydrogéologue agréé. Cet ouvrage hydraulique remarquable en pierre et chaux maçonnée, fruits de l’expérience, de l’observation et du bon sens, transmis par les Anciens doit être plus que jamais protégé et valorisé et non détruit d’autant plus dans une commune n’ayant aucune autonomie en eau. La préservation de cet ouvrage de notre patrimoine, Indispensable pour les cultures maraichères, sur ce site humide et boisé, apporte des réponses aux enjeux climatiques . Le collectif cherche à rejoindre d’autres collectifs pour oeuvrer ensemble à résister à la destruction de cet ouvrage agricole appartenant à notre patrimoine commun et mis en péril. En apportant votre signature, vous soutenez notre action pour conserver 8 ha de terres agricoles humides fertiles, préserver la faune réfugiée dans les bois longeant les torrents et œuvrer à la sauvegarde et la mise en valeur du captage d’eau potable. Ensemble, construisons de beaux projets et allons de l’avant dans le respect de la nature et du VIVANT pour les générations à venir. Habitants et habitantes de Haute-Savoie, qui partout, voyez votre patrimoine rural et naturel détruit, c’est notre solidarité qui nous fera passeurs d’eau ! Signez aujourd’hui la pétition, et partagez-la autour de vous. Nous avons effectué plusieurs recours en justice, aidez-nous à financer notre action juridique par un don : https://www.helloasso.com/associations/les-jardins-de-la-boussine/formulaires/1. Article de presse de La relève et la peste : https://lareleveetlapeste.fr/une-famille-se-bat-pour-sauver-un-puits-ancestral-menace-par-lelargissement-dune- route/ Les articles du Messager, du Dauphiné et de Librinfo du 07/08/2023 et 17/02/2024291 sur 300 SignaturesCréée par Collectif des Nants
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Les récifs de Grande Anse menacés, protégeons cette oasis de vie corallienneNous l’avons fait, les scientifiques l’ont fait. Ils ont parcouru tous les récifs coralliens de La Réunion pendant trois ans. Leur constat est clair, Grande Anse abrite le plus de coraux (recouvrement corallien moyen d’environ 54%), alors que la situation est très problématique à l’ouest (recouvrement corallien moyen d’environ 16% sur la pente externe de l'Hermitage - La Saline). À cela vient s’ajouter un livret rédigé par VieOcéane pour témoigner de la biodiversité exceptionnelle du bassin de baignade de Grande Anse. Ces résultats ont été partagés aux services de l’État compétents en la matière (la commune de Petite Ile, Préfecture, DEAL, etc.). Toutefois, la mairie et la préfecture prévoient l’agrandissement du bassin de baignade, les arguments étant la compétence du savoir nager en classe primaire et la sécurisation de la baignade. Le problème, c’est que cet agrandissement implique de grands aménagements : ⚠️La reconstruction de l'enrochement marin qui atteindrait un total de 6 500m². Le bassin doublerait de surface ! ⚠️Un enrochement si grand que le renouvellement de l'eau ne pourra pas garantir un bon état sanitaire et favorisera le développement de bactérie comme les staphylocoques ou Escherichia coli. ⚠️ Une fosse de natation creusée sur une surface de 650m² (environ 22x30m) avec une profondeur maximale de 1,50 m. Cette fosse représenterait 10% de la surface du futur bassin de Grande Anse. ⚠️ Une canalisation, d’une longueur d’environ 120m sous la plage et le bassin de baignade, construite pour dévier les eaux pluviales polluées par les différents usages du bassin versant (agriculture, eaux usées domestiques) directement sur le récif de Grande Anse ! Ce projet est incohérent sur de nombreux aspects. Incohérence écologique : 👉 Les travaux vont engendrer une destruction physique des colonies coralliennes du bassin. La commune de Petite-Île affirme que les travaux d’extension ne viendront pas impacter directement les formations coralliennes grâce à un suivi en continu de la turbidité des eaux sera mis en place pour éviter les impacts indirects sur les colonies coralliennes. Si théoriquement c’est possible, dans la pratique, la complexité vient questionner l’efficacité d’une telle mesure. En effet, les impacts physiques des machines de construction viendront déstabiliser la biodiversité, et des tonnes de sédiments en suspension viendraient étouffer les coraux du bassin mais aussi du récif corallien juxtaposé. Ainsi, les récifs coralliens auront peu de chance de pouvoir revenir à leur état actuel après les travaux, le changement climatique et les pressions grandissantes du bassin versant ne donnent pas les conditions environnementales à cette résilience. 👉 Cette dégradation attendue des récifs nous rend plus vulnérables face aux fortes houles et aux cyclones qui vont augmenter en intensité au vu des prévisions météorologiques locales. 👉 Ce projet d’aménagement s’inscrit dans un contexte plus global de dégradation accélérée des récifs coralliens mondiaux (50% des récifs coralliens mondiaux ont déjà disparu !) - et de la dégradation aiguë des récifs coralliens de La Réunion (environ 65% de recouvrement par les coraux en 1980 pour environ 20% de recouvrement en 2024). Parallèlement, des lois nationales visent à protéger la biodiversité, notamment la protection de 100% des récifs coralliens en 2025, objectif de la Stratégie Nationale pour les Aires Protégées. Ce projet d’extension du bassin est donc en totale contradiction avec ces objectifs nationaux. À l’heure où la biodiversité réunionnaise s’effondre, à l'heure où notre vulnérabilité face au changement climatique est galopante, avons-nous besoin de projets comme celui défendu par la commune de Petite-Île ? Incohérence sociale : 👉 Un argument en faveur du projet est la protection face aux requins. La commune affirme observer de façon récurrente des requins dans le bassin, sans pour autant donner les sources de ses propos. Or, le seul accès des requins serait l’ouverture à l’ouest du bassin lors des marées hautes. Est-ce que la commune de Petite-Ile assure la protection des usagers en ayant connaissance de ce fait sans n’avoir jamais fermé cet accès ? Si les requins constituent la raison principale du projet, il existe des alternatives, comme la construction d’un poste de secours et l’installation de blocs basaltiques pour fermer l’ouverture ouest, mesures qui semblent amplement suffisantes, et qui permettraient de réduire drastiquement les impacts sur les coraux. 👉 L’argument pour cet aménagement est d’offrir une capacité de charge supérieure au bassin actuel, qui selon la commune de Petite-Île est atteinte (selon quelle étude ?), ce qui assurerait l’accueil d’un public croissant. Or, aucune mesure n’est prévue pour freiner l’augmentation de la fréquentation du site. Il semble y avoir une incohérence entre les prérogatives de soutenabilité soulignées par France Stratégie et la stratégie locale d’augmenter l’attractivité d’un site touristique sans objectif de limiter l’augmentation de fréquentation. 👉 De plus, la population de Petite-Île et les usagers de Grande Anse n'ont pas été sollicités en amont du projet. Cette extension ne répond à aucune demande citoyenne, elle répond aux intérêts économiques du tourisme [3].. ⏰ Jusqu’au 7 août, vous pouvez donner votre avis via une enquête publique : https://www.democratie-active.fr/enquete-publique-bassin-grande-anse/?fbclid=IwZXh0bgNhZW0CMTEAAR2Cc4TEMpj69Rtrmx_hMulglOw8Ll7tbghHNK5v1oTevc6KNrulXHx6woQ_aem_kRe5-q8MSfWPf3lWn4LJTA. ✊ Il est donc urgent de se mobiliser pour affirmer à la commune de Petite-Île que la population locale est contre ce projet qui est en incohérence avec les stratégies de soutenabilité que nous devons prendre collectivement. Cette mobilisation doit être aussi massive que possible pour faire face aux intérêts économiques du projet. Vous pouvez suivre les informations sur notre page Facebook. À vous de jouer. À nous de jouer ! ************ Notes et références : [1] Rapport de Broudic et al. 2024. [2 Livret de VieOcéane, 2024 [3] Le Comité d'Orientation Stratégique du Tourisme avait stipulé en 2013 que la "création de zones de loisirs structurées autour du bassins de baignade est une orientation prioritaire pour l'attractivité touristique de l'île de La Réunion".6 022 sur 7 000 SignaturesCréée par Greenpeace-La Réunion G.
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Sauvons l’une des plus grandes zones humides d’Auvergne !Face au dérèglement climatique et à l'érosion de la biodiversité qui constituent les deux faces d'une même crise, les zones humides sont nos alliées, et pourtant nous les négligeons. Incontestables réservoirs naturels écrêtant les crues et atténuant l’impact des sécheresses, prairies agricoles accueillant une biodiversité remarquable, zones de stockage de carbone, les milieux humides représentent un atout majeur pour franchir les épreuves inédites auxquelles l'humanité est confrontée. Parfaite illustration à Nouvialle dans le Cantal (commune de Valuéjols), où la narse (de l’occitan narsa qui signifie zone humide), avec ses 200 hectares de prairies humides, joue un rôle fondamental dans le cycle de l’eau et abrite une biodiversité riche, favorisée par un élevage extensif typique des zones de moyenne montagne. Dans cette zone agricole d'importance, plus de 80 espèces animales et végétales protégées cohabitent avec près de 30 agriculteurs, faisant de la narse un parfait exemple de la possible et nécessaire harmonie entre activités humaines et biodiversité. Malgré ses multiples vertus pour la ressource en eau, l'agriculture, la biodiversité ou le cadre de vie, la narse de Nouvialle, reconnue d'intérêt européen par son classement Natura 2000, est menacée de destruction. La multinationale Imerys souhaite ouvrir en son sein des carrières de diatomite, et ce, en dépit de la forte opposition locale (élus, habitants et associations…), qui s’est réunie et organisée à travers le Collectif pour la narse de Nouvialle, association reconnue d'intérêt général regroupant plus de 3100 adhérents. Or, l'ouverture d'une nouvelle carrière de diatomite, roche sédimentaire siliceuse, n'est pas nécessaire ! Utilisée majoritairement pour la filtration des liquides alimentaires (bières, jus, huile, vin...), la diatomite est largement substituable par d'autres techniques déjà éprouvées par des firmes telles que Heineken, Andros... Nous, signataires de cet appel, demandons aujourd’hui à notre gouvernement l’application stricte du code de l’environnement qui énonce que « la préservation et la gestion durable des zones humides sont d’intérêt général », mais également le respect de la convention internationale Ramsar pour la préservation des zones humides, et les engagements pris par l’Etat dans le cadre du plan national zones humides 2022 – 2026. Cela implique de : - reconnaître la valeur écologique, économique et sociale des zones humides et de faire prévaloir leur intégrité sur tout projet d'exploitation intensif et industriel, tout en allouant les moyens nécessaires pour leur restauration, en lien avec une agriculture extensive adaptée. - planifier la production et la vente des minerais tels que la diatomite afin que ceux-ci ne soient pas dilapidés pour des intérêts privés dans des débouchés non-essentiels (litière pour chat, porte dentifrice anti-humidité, tapis de bain absorbant...) ou substituables (filtration de la bière, du vin, des jus de fruits, des huiles...). Nous avons besoin des zones humides. Privilégions leur préservation pour l’intérêt commun plutôt que l'exploitation des ressources minières au profit des multinationales ! Nous pouvons agir dès aujourd’hui pour enrayer ce projet destructeur, avant que l’entreprise IMERYS ne dépose sa demande d’exploitation ! https://www.youtube.com/watch?v=m8abhe0Vtm426 068 sur 30 000 SignaturesCréée par Collectif pour la narse de Nouvialle
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NON ! A L'EXTENSION DE LA CARRIERE DE BAINVILLE SUR MADON !Avec cette nouvelle extension, les tirs de mine qui font trembler les maisons les plus proches (rue Pierre et Marie Curie, rue mairesse) vont continuer et concerneront d’autres quartiers. Ces fortes secousses risquent de fragiliser les galeries de l’ancienne mine Saint Jean qui alimentent en eau potable le haut de Pont Saint Vincent. Et le va et vient des camions, ainsi que le bruit des engins d’extraction continuera avec leurs émissions de CO2. Le remblaiement de la carrière existante avec des déchets issus du BTP transformera le plateau en une énorme déchetterie avec un risque éventuel de pollution de l’eau souterraine. Une nouvelle partie de la prairie à très forts enjeux faune/flore (26 % des espèces végétales protégées en lorraine pousse sur les pelouses calcaire), riche de part sa biodiversité, disparaîtra définitivement : une dérogation ayant été demandée pour cette destruction d’espèces protégées (ex : crapaud sonneur à ventre jaune, vipère aspic). C’est sans parler du paysage défiguré pour de nombreuses décennies encore. Les alertes du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) et de l’IPBES (Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques) ne suffisent-elles pas à faire comprendre que nous allons dans le mur en continuant à développer ce type d’exploitation pour produire des granulats qui permettent de fabriquer du ciment pour continuer à construire et à bétonner, alors que l’heure est à la désartificialisation des sols ?3 469 sur 4 000 SignaturesCréée par antoinette p.
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