• Bétonisation qui nuirait à la biodiversité.
    L'abandon de ce projet permet la sauvegarde d'espèces endémique menacées, la biodiversité de la faune et la flore, maintenir un cadre de vie vert, calme et respectueux de l'environnement. Nous demandons l'abandon du projet immobilier. Nous n'avons plus beaucoup de temps avant les premier coup de bulldozer. mobilisez-vous, soutenez-nous ! date limite au 31/03/24
    70 sur 100 Signatures
    Créée par JULIEN S.
  • ARRÊTONS ce projet de centrale photovoltaïque en Gironde ! Préservons nos ZONES HUMIDES !
    Pourquoi est-ce un problème ? Le problème principal avec ce projet, c’est sa localisation ! Le lieu choisi concerne principalement des zones humides qui sont d’anciennes carrières Lafarge. Le site des anciennes carrières n’est pas dégradé comme nous voulons nous le faire croire ! La nature avait repris ses droits. La biodiversité s’est développée sur les terrains avec la présence d’hirondelles de rivage, petits gravelots et canards sauvages. Lafarge avait implanté 1000 arbres en 2007. Depuis, ces arbres ont été en grande partie broyés ! Les panneaux photovoltaïques n’ont pas leur place sur les zones humides ! La faune et la flore sont en danger. Les menaces apparaissent très élevées pour trois groupes au moins : l’avifaune, les chiroptères et l’herpétofaune. Si le projet de centrale photovoltaïque se concrétise, les oiseaux tels que le Tarier des prés, la Pie-grièche écorcheur et le chardonneret élégant ne fréquenteront plus jamais le site. Non à la centrale photovoltaïque sur la commune de Les Peintures en Gironde Oui à la préservation de nos espaces naturels ! Non à la dégradation d’habitats d’espèces protégées ! Ce projet est porté par la commune alors qu'il va bénéficier à 80 % à des propriétaires privés. Signez cette pétition pour demander le retrait du projet ! Urgent ! Mobilisez-vous et participez à sur l’enquête publique en ligne avant le 12 Mars 2024 : https://bit.ly/3Tbr4Ow Ensemble, nous avons le pouvoir de changer les choses afin de préserver les espaces naturels.
    173 sur 200 Signatures
    Créée par Collectif Les Peinturauds en colere
  • SNCF Réseau - STOP au massacre des arbres et du vivant !
    SNCF Réseau Occitanie est en chantier d' "entretien" de la voie ferrée Toulouse-Mazamet depuis plusieurs semaines (il en est de même sur d'autres lignes à travers l’Occitanie et la France, par exemple dans le Val d'Oise(1) ou dans l'Eure(2). Sous prétexte de sécurisation des voies, il y a en réalité une destruction aveugle de tous les arbres, arbustes, haies, végétaux, plantes... sur des centaines de mètres de voie, parfois jusqu'à 10 mètres à l'écart de la voie (et à proximité de la zone Natura 2000 bordant les ripisylves de l’Agout). Cf. vidéo GNSA décembre 2023 : https://youtu.be/qpVaRyWsRKo?si=3xMpYnQrxaImFFSZ Des arbres sont sauvagement scalpés, broyés sur pieds. Des arbres appartenant aux riverains sont détruits... alors même que sur son site internet(3) SNCF Réseau prétend "Préserver les ressources et la biodiversité". Le végétal est indispensable à toute vie sur Terre. Les arbres produisent l'oxygène que l'on respire, captent le CO2 que nous rejetons, mais ils protègent aussi le sol du soleil, donnent de l'humus, sont essentiels pour le cycle de l'eau et la génération de la pluie. Ils servent d'habitats aux insectes, chiroptères, oiseaux, reptiles, batraciens, mammifères, plantes. Sans arbre il n'y a pas de vie ! Les enjeux écologiques sont maintenant connus : changements climatiques, effondrement de la biodiversité, appauvrissement des sols... - Comment une grande entreprise nationale comme la SNCF peut-elle agir ainsi ? - Comment SNCF Réseau peut-elle continuer son greenwashing en disant "préserver les ressources et la biodiversité" ou encore "innover pour réduire nos émissions de CO2" ? - Comment SNCF Réseau peut-elle recommencer ce type de pratique après avoir été condamné à 450.000 € d'amende en août 2023* ? Nous habitants et riverains de la ligne ferroviaire Toulouse-Mazamet demandons aux élus des communes concernées, à l'Office Français de la Biodiversité et à toute autorité compétente, d'intervenir auprès de SNCF Réseau pour faire cesser ces pratiques d'un autre âge. Sources : (1) Change.org : https://www.change.org/p/sncf-r%C3%A9seau-abattage-des-arbres-le-long-des-voies-sncf-dans-le-val-d-oise-arr%C3%AAtons-le-massacre?source_location=search (2) Actu.fr : https://actu.fr/normandie/saint-pierre-la-garenne_27599/eure-lentretien-des-bords-de-voies-par-la-sncf-pose-question_60164969.html?fbclid=IwAR21GyUmFxGpQzr8kiJa1U123ewq3NqQooUZYN6LmCLOz8RADACDbEj6lLo (3) SNCF : https://www.sncf.com/fr/engagements/developpement-durable/engagement-grand-groupe-pour-la-planete?fbclid=IwAR2jcX6U2mT2QGfrHwJ-iJ1O4azYRdJXhqyWrbQtTt0EGii6m3FUWzULN0w (4) Condamnation SNCF Réseau : https://www.actu-environnement.com/ae/news/especes-protegees-habitats-atteinte-condamnation-sncf-reseau-42413.php4 et aussi https://www.autorite-transports.fr/wp-content/uploads/2023/04/cs-2023-001-decision-du-27062023-vnc.pdf #GNSA #GroupeNationalDeSurveillanceDesArbres #GNSAlavaur #Arbres #SNCF #SNCFréseau #Massacre #Saccage #Arbres #Biodiversité #Greenwashing #VoiesFerrées
    2 072 sur 3 000 Signatures
    Créée par GNSA LAVAUR-VAURAIS Picture
  • Sauvegardons les 200 arbres de l'avenue Bollée au Mans
    Il est annoncé suivant des calculs par la modélisation grâce à un logiciel dédié, que les nouvelles lignes de bus Chronolignes gagneraient entre 3 et 12 minutes suivant l'heure de la journée. A qui s'adresse ce projet ? Quelle est son utilité intrinsèque ? Quid d'un projet alternatif, réfléchi, discuté avec les riverain.e.s, technicien.nes, urbanistes, écologues, scientifiques ? Nous, "collectif de défense des arbres de l’avenue Bollée", demandons que la ville du Mans et la métropole préservent les 200 érables de l’avenue Bollée. Ceux-ci sont menacés d’abattage par les travaux d’installation des bus à hydrogène. Dans un contexte de dérèglement climatique il est nécessaire de garder ces arbres (et de restreindre la circulation des voitures thermiques). Le projet actuel doit donc être revu. Signez et partagez la pétition. Rejoignez le collectif. 🌳 Ces 200 érables doivent être sauvés : c’est Francis Hallé, grand spécialiste des arbres, docteur en botanique et biologique, ancien professeur de l’université de Montpellier, qui donne les arguments dans son petit livre "Du bon usage des arbres - Un plaidoyer à l’attention des élus et des énarques". Francis Hallé est un spécialiste de renommée mondiale. Animé du souci constant de ne pas détruire les végétaux, il a impulsé la mise au point du radeau des cimes, un dispositif d’étude original de la canopée des forêts tropicales, dont il a dirigé les missions scientifiques de 1986 à 2003. De nombreux chercheurs de toutes disciplines et du monde entier ont séjourné sur le radeau des cimes, et l’étude de ce biotope a permis entre autres de multiplier par dix l’évaluation de la diversité biologique, c’est-à-dire du nombre d’espèces vivant sur Terre. • Un vieil arbre ne se remplace pas : les plantations prévues en remplacement des arbres abattus ne seront équivalentes que dans 25 ans. Francis Hallé écrit : "remplacer un vieil arbre par dix jeunes arbres est une arnaque écologique surtout car, outre que le carbone du grand arbre retourne dans l’atmosphère, dix jeunes arbres ne remplacent pas un vieux : un quart de siècle au moins sera nécessaire avant que la dépollution atmosphérique ne retrouve son niveau initial ; en attendant, toute une génération de jeunes urbains va devoir vivre sous un ciel de pétrole dans un air poussiéreux, sec, chaud, chargé en gaz polluants". Abattre ces 200 arbres, c’est accentuer les effets délétères des canicules et des pollutions de l’air. • Ces grands arbres humidifient l’air. Par évaporation et transpiration, qui entraînent une perte de calories, un arbre augmente l'humidité de l’air et en diminue la température. Au cours de sa vie, il est capable d’humidifier l’atmosphère avec une masse d’eau correspondant à plus de cent fois son propre poids. L’arbre ? Un excellent climatiseur en période de canicule ! • Ces grands arbres atténuent le dérèglement climatique en stockant le CO2. « Les arbres partagent avec les autres plantes vertes la capacité admirable de purifier l’air que nous respirons en absorbant le gaz carbonique ou CO2, ce gaz qui pollue notre atmosphère et joue le rôle dominant dans le réchauffement climatique par effet de serre ». • Ces grands arbres purifient l’air, le dépolluent. «  La fonction de purification ne concerne pas uniquement le CO2, mais aussi d’autres polluants typiques des atmosphères urbaines, comme les particules de métaux lourds, plomb, cadmium, manganèse, les suies résultant des combustions et les poussières des activités industrielles ou encore des polluants gazeux, oxydes d’azote, NO et NO2, oxyde de soufre SO2, monoxyde de carbone CO et zone O3 ; mélangés au gaz carbonique, ces polluants entrent dans l’épaisseur des tissus de la feuille, y rencontrent l’eau interne et s’y dissolvent pour être stockés dans la matière de l’arbre ; un stockage qui durera tant que ce dernier reste en vie, d’où l'importance décisive des grands et vieux arbres. L’absorption des gaz et la fixation des poussières augmentent avec la surface du feuillage, donc avec l’âge : les grands arbres, au tronc d’un mètre de diamètre ou davantage, absorbent et stockent trente à soixante-cinq fois plus de polluants atmosphériques que ne peuvent le faire les jeunes arbres dont le tronc n'atteint pas 10 centimètres de diamètre ». • Il est donc indispensable de permettre aux arbres actuels de se fortifier et de prendre de l’ampleur pour conserver leurs apports et services. Ces 200 arbres sont irremplaçables, au sens strict. • Et selon un élagueur expérimenté : "Ils sont en taille d’adaptation avec côté route des remontées de couronne régulières, et taille d’adaptation par réduction coté façades et bâtiments pour cohabiter avec les infrastructures et les réseaux aériens existants. Du fait des ces tailles d’adaptation les arbres donnent l’impression d’un déséquilibre, mais ces arbres se sont parfaitement adaptés a ces tailles et ne présentent aucun danger du fait de cet aspect dissymétrique. C’est une véritable idée reçue qu’un arbre à besoin d’être équilibré. Pour rejoindre le collectif, signez la pétition et cochez la case « Oui, tenez-moi au courant ! ». Pour une plus grande efficacité de cette pétition partagez la avec vos proches. N'hésitez pas à nous contacter.
    7 831 sur 8 000 Signatures
    Créée par Collectif de défense des arbres de l’avenue Bollée
  • Zone d'activités du Plessis 44 : la biodiversité est en danger !
    Nous, le Collectif Environnement Sèvre et Loire, contestons l'arrêté préfectoral du 3 juillet 2023 qui autorise la destruction de 36,5 ha de terres agricoles dont 2,5 ha de zones humides et d’une douzaine d’espèces protégées sur la ZAC du Plessis au Loroux-Bottereau (44). Aujourd'hui, il est très urgent de préserver : - Les espèces protégées et leur habitat : par exemple la grenouille agile, le faucon crécerelle la couleuvre d'esculape, le lérot Elimys quercinus ... - Les zones humides, les haies : réservoirs de biodiversité, régulateurs d'eau et de carbone. - Les terres nourricières qui alimentent actuellement, en circuit court, la restauration scolaire. La nature ne peut pas être déménagée. Aujourd'hui il est urgent de penser la transition écologique plutôt que le développement économique à outrance. Demain, au Plessis, les travaux peuvent commencer ... Pour mettre fin au projet nous avons déposé un recours juridique contentieux le 31 octobre 2023. Malheureusement en attendant une décision de la justice, les travaux peuvent commencer à tout moment et de manière irréversible. Une entreprise a déjà obtenu de premières autorisations... Il est urgent et encore possible d'agir. Si nous ne stoppons pas ce projet aberrant : -Demain, le risque d'inondations sera accru. -Demain, un flot de poids lourds encombrera des routes inadaptées aux entrepôts prévus. -Demain, nos agriculteurs ne pourront plus cultiver sur ces terres bétonnées. Sauver la biodiversité c'est ici et maintenant grâce à vous ! 1/ Votre signature nous donnera de la force et de l’énergie, 2/ Vos dons nous aideront à payer l’avocat, spécialisé en droit de l’environnement 3/ Si toutefois, les travaux débutent, il sera nécessaire de déposer un référé-suspension. Un grand merci pour votre aide indispensable à la préservation du vivant. Nos soutiens dans cette lutte : Greenpeace Nantes et France Nature Environnement 44 Don sur la cagnotte HelloAsso : https://helloasso.com/associations/collectif-environnement-sevre-et-loire
    3 044 sur 4 000 Signatures
    Créée par Collectif Environnement Sèvre et Loire C. Picture
  • ISOLA 2000 : NON A LA RETENUE COLLINAIRE, NE SACRIFIONS PAS NOS MONTAGNES !
    Le projet de retenue s’implanterait au sud-est de la station du massif du Mercantour dans les Alpes-maritimes, dans le secteur Sistron, à une altitude de 2400 m et les travaux, d’un coût prévisionnel de 8 690 000 euros, devraient débuter en 2027. Elle stockerait l’eau exclusivement pour la production de neige de culture. Le volume prévu est énorme : 215 000 m3 (!!), venant s’ajouter aux 140 000 m3 déjà existants dans la retenue actuellement utilisée par la station…. Il serait soi-disant nécessaire pour alimenter les futurs projets d’enneigement artificiels. Ce projet démesuré viendrait détruire un secteur d’une grande richesse environnementale et paysagère au cœur d'un massif montagneux unique. Enfin, il porterait atteinte au paysage exceptionnel qui s’étend sur une grande partie du Parc National du Mercantour et plébiscité par de nombreux randonneurs. La zone concernée est en effet une zone de combes à neige regroupant une cinquantaine d’espèces de fleurs (recensement de juin 2023) dont certaines endémiques du massif du Mercantour ou des Alpes-Maritimes. Parmi elles, on y trouve de nombreuses espèces remarquables des Alpes sud-occidentales telles que la gentiane de Villars, le gaillet de Tende ou la joubarbe de Burnat, parmi de nombreuses autres. Deux espèces encore plus rares ont été signalées : - La saxifrage du Piémont : endémique du massif du Mercantour ; - La violette à feuilles de nummulaire : endémique des Alpes-Maritimes et de la Corse. A l’heure du dérèglement climatique et des sécheresses qui vulnérabilisent et raréfient de manière récurrente nos ressources en eau, à l’heure où la protection de notre environnement et de la biodiversité deviennent un enjeu vital pour l’avenir, nous nous opposons fermement à ce type de projet mal adapté, régulièrement remis en cause et ouvertement dénoncé, comme en témoigne l’exemple récent de la construction stoppée de la retenue d’eau de La Clusaz (74). La création d’une retenue collinaire pour la production de neige de culture est illusoire, irréversible, très coûteuse et non pérenne à court et moyen terme. La station d’Isola 2000 propose encore à ses visiteurs des secteurs sauvages d’une grande richesse naturelle pour la marche en montagne et le ski de randonnée par exemple. C’est un atout indéniable dans la cadre d’une démarche touristique éco-responsable, préservons-les ! EVITONS CETTE DEGRADATION ENVIRONNEMENTALE ET TOURNONS - NOUS VERS DES SOLUTIONS PLUS SOBRES, PLUS RESPECTUEUSES DE LA NATURE ET PLUS CONFORMES AUX ATTENTES DE TOUS ! Pétition soutenue par Alternatiba06, Mountain wilderness France
    2 664 sur 3 000 Signatures
    Créée par Greenpeace Nice et Vigilance Mercantour
  • Espace naturel menacé à Pessac !
    Ce terrain est la dernière zone naturelle boisée et humide à l'Est de Pessac. Le reste se compose de vignes, de zones pavillonnaires et plus au Sud, du domaine universitaire. Avec un parc municipal voisin ( bien tondu hélas... ) et une prairie avec des orchidées, il forme un ensemble de milieux complémentaires de près de 2 hectares. Tous les habitants de ce terrain tendent vers vous leurs pattes implorantes : signez cette pétition ! Merci d'avance pour eux !
    520 sur 600 Signatures
    Créée par marie-claude s.
  • Photovoltaïque sur des terres naturelles, agricoles ou forestières : ne tombons pas dans le panneau!
    Lorsque E. Macron et la FNSEA prônent la robotique, la génétique et le numérique pour l'agriculture (13), et que le syndicat agro-industriel co-préside le lobby France Agrivoltaïsme ; le fondateur de ce dernier met en place la gestion des champs via l’intelligence artificielle (14). Ce sont ainsi deux visions de l'agriculture et de la société qui s'affrontent : l'agriculture industrielle, ultra-mécanisée et numérique sur des surfaces toujours plus grandes, face à l'autonomie paysanne ; les serveurs face aux cerveaux ; l'intelligence artificielle face à l'observation, la sensibilité et savoirs-faire des paysan·nes. Nous affirmons qu'il est nécessaire d'amorcer la désescalade de l’emprise technologique afin que les paysan·nes puissent travailler la terre eux-mêmes sans être dépendants de l'agro-industrie. Nous refusons l'industrialisation des campagnes, car quelle que soit sa surface, ou sa « participation citoyenne », une centrale photovoltaïque sur des terres agricoles, naturelles ou forestières, est une installation de nature industrielle. Les tonnes de métaux (silice, aluminium, zinc, plomb, étain, indium, antimoine) (15) recouvrant les terres; les milliers d'ancrages bétons et kilomètres de voies d'accès et de clôtures grillagées, lignes électriques enterrées ou aériennes, les postes de transformations et de livraisons, le bruit engendré par les onduleurs (16), les caméras de surveillance, les divers capteurs connectés, les obligations de déboisement en périphérie, détruisent nos campagnes. Les méga-centrales électrifient nos champs avec des effets documentés sur les animaux d'élevages (17). Nous n'oublions pas la fabrication industrielle de ces panneaux : exploitation d'êtres humains, extractivisme ravageur. Afin de produire 40 000 tonnes de silicium métal, l'une des six unités de production en France brûle 120 000 tonnes de quartz et 80 000 tonnes de bois (18), et engloutit en moyenne 11 mégawatts/heure par tonne de produit fini (19), soit chaque année l’équivalent électrique d’une ville de 150 000 habitants. Il faut aussi 280 kg de produits chimiques par kilo de silicium produit (20). Sans oublier les risques de pollution des eaux (21) et que les centrales peuvent entraîner « l’altération, la dégradation voire la destruction des milieux naturels (défrichements puis gestion de la végétation au plus près du sol ; terrassement et compactage des sols ; instauration de microclimats différenciés au-dessus et en dessous des panneaux ; création d’exclos par les clôtures, etc.). La modification des fonctions hydriques, climatiques ou biologiques qui peut en résulter conduit à l’artificialisation d’une partie parfois importante des sols [ainsi qu'une] modification des cortèges d’espèces végétales et animales » (22). Nous défendons un rapport sensible au monde qui nous est plus que jamais primordial. Alors même que l’agriculture est l’une des professions qui rémunère le moins, qu’un malaise est reconnu et qu’il faudra recruter massivement pour faire face aux nombreux départs en retraite, une motivation essentielle est la qualité de vie au travail, en plein air, dans un cadre beau ; regarder le ciel et écouter les sons de la vie. Travailler sous des panneaux, c’est dégrader notre qualité de vie au travail, mais aussi l’environnement et les paysages pour le bénéfice de quelques propriétaires et promoteurs. Au contraire, l'agriculture paysanne doit participer avec les citoyen·nes à rendre le milieu rural vivant dans un cadre de vie apprécié par toutes et tous. Notre autonomie de choix et d’action, n’est pas de devenir des jardiniers sous des panneaux. Notre métier n'est pas de cultiver des kilowatts, mais de produire une alimentation saine et de qualité pour le plus grand nombre, et d'être rémunéré en conséquence. Car si la contrepartie financière de plusieurs milliers d'euros par année et par hectare peut sembler alléchante (23), et générer un véritable dilemme pour des paysan·nes en difficulté ; en mettant notre outil de production à disposition de ces sociétés, nous les enrichissons et détournons la vocation nourricière de la terre agricole. L’unique raison de la pression industrielle actuelle sur les terres agricoles, naturelles et forestières est financière. Rejetant le mythe d'un capitalisme vert, ainsi que la vision d'une transition écologique allant vers une société de surconsommation ultra-connectée, nous appelons à une opposition massive à tous ces projets photovoltaïques industriels et exigeons leur interdiction sur toutes les terres agricoles, naturelles, forestières et les milieux aquatiques. ✍️ Citoyen·nes, signez la pétition pour soutenir notre appel ✍️ Organisations : ajoutez votre nom à la liste des signataires : https://act.gp/3Rc0CUe Les organisations en lutte contre les mégas-centrales photovoltaïque sur les terres agricoles, naturelles, forestières et en milieux aquatiques (liste des signataires ici : https://act.gp/3QKizro). nb : les sources sont disponibles dans le lien ci-après : https://act.gp/3uAL2IM
    4 447 sur 5 000 Signatures
    Créée par Coordination des organisations en lutte
  • Arrêtez l'exploitation d'une ressource minière transfrontalière(Haïtiano-Dominicaine)
    Selon les études scientifiques, L'exploitation des ressources naturelles peut causer beaucoup de problème dans les espaces avoisinnants de la dite exploitation et déranger l'environnement dans son ensemble. En effet, l'exploitation de cette mine d'or transfrontalière entre Haïti et la République dominicaine n'est pas sans conséquences sur l'environnement selon les quotidiens des deux pays. C'est à la compagnie d'exploitation minière Unigold qu'on a attribué la concession de plusieurs hectares pour l'extraction de l'or sur la frontière haïtiano-dominicaine, cette compagnie d'exploitation attend juste son permis d'exploration et d'exploitation, selon Ayibopost, un quotidien Haïtien en ligne. La suspension de cette exploitation minière entraînera un soulagement pour les habitants des deux pays vivant en milieu frontalier, la non pollution de l'eau de surface , l'utilisation équitable de l'eau naturelle dont les deux pays se trouvaient déjà en crise même avant l'exploitation, toujours selon Ayibopost. Nous nous trouvons face à une évidence exceptionnelle que si nous ne forçons pas les concernés à prendre les dispositions adéquates pour la suspension de ce projet d'exploitation , cela coûtera la vie des habitans ainsi que d'autres espèces vivant en milieu frontalier, et surtout la dégradation de l'environnement dans son ensemble , et qui dit la dégradation de l'environnement dit l'un des effets du changement climatique. Les deux pays voisins, partageant l'île, sont très vulnérables en matière d'aléas du changement climatique, selon les dernières données de L'ONU environnement. Je vous demande de me rejoindre dans cette pétition pour épargner notre environnement qui est déjà dans un état très critique.
    145 sur 200 Signatures
    Créée par Djems J.
  • NON au projet routier du BIP, OUI à la préservation des espaces naturels !
    Vous habitez Soisy, Montmorency, Deuil, Groslay, Montmagny, Sarcelles, Arnouville ou Garges ? Alors votre ville serait traversée ou longée par le BIP ou "avenue du Parisis", un projet de route 2x2 ou 2X3 voies large comme une autoroute dont la construction pourrait démarrer en 2024. Il est encore temps de stopper ce projet ! 🚗🚛 La construction du tronçon Est (Groslay - Sarcelles - Arnouville - Garges) est bloqué depuis 2016 par un recours juridique porté par le collectif Vivre sans BIP. Après sa victoire en appel en 2022, le département du Val d'Oise, qui porte le projet, s’est pourvu en cassation. S'il gagne en justice dans les prochains mois, la construction du tronçon Est pourrait démarrer dès l'année prochaine ! Ensuite il ne resterait que 5 km à réaliser pour relier la A1 à la A15. Ne doutons pas qu'ils passeront en force pour boucler le BIP ! Ce projet routier serait une catastrophe. 👉 Le BIP couperait nos villes en deux, détruisant au passage une centaine d'hectares d'espaces naturels (chemins de randonnée, bois, jardins partagés, friches riches en biodiversité...), un trésor aux portes de nos villes préservé jusqu'ici de l'urbanisation ! 👉 Ce projet routier détruirait aussi la ferme Lemoine : ses espace maraichers dont les légumes sont en vente directe auprès des habitants, et ses magnifiques prairies, l'un des derniers poumons verts à proximité de Sarcelles, Garges et Arnouville ! 👉 Comme toutes les nouvelles routes, cette voie rapide provoquerait un afflux de trafic additionnel. Ce trafic induit augmenterait la circulation routière actuelle, phénomène démontré depuis les années 90 et reconnu par l'ADEME (1). Cette route s'engorgerait rapidement de camions circulant de la A1 à la A15, entre la zone d'entrepôts la plus grande d'IDF à Garonor et les entrepôts de Roissy qui viennent d'être agrandis (Fedex, DHL) à l'Est, jusqu'au port de Gennevilliers et le futur entrepôt géant "Green Dock" à l'Ouest. On estime le futur trafic entre 40 et 60 000 véhicules/jour minimum ! (source : enquête publique) 👉 En attirant plus de trafic, cette route 2X2 voies provoquerait une forte augmentation de la pollution atmosphérique et sonore. Alors que nous respirons trop de pollution et que nous sommes déjà sous les couloirs aériens de Roissy ! 👉 La santé de 10 000 enfants est menacée ! Une quarantaine d'écoles de la crèche au lycée sont situés le long du tracé du BIP. Un véritable scandale ! On sait désormais que les enfants sont les premières victimes de la pollution de l'air et que le bruit entraine des retards d'apprentissage. 👉 Le BIP augmenterait les émissions de CO2 ! Le passage progressif à la voiture électrique ne suffira pas à atteindre nos objectifs climatiques comme le montrent les études. Une réduction du trafic routier est nécessaire au profit de transports collectifs ou de mobilités actives comme le souligne le GIEC. Voilà pourquoi nous demandons l'abandon définitif de ce projet d'un autre siècle, conçu dans les années 30 😱 Depuis le monde a changé ! La biodiversité et le climat sont menacés, des routes ont été construites partout (près de 100 m2 par Français, plus que de surface habitable !), la mobilité doit être transformée et les habitants désirent une meilleure qualité de vie. La majorité des maires sur le tracé et la plupart des habitants sont opposés à ce projet. Nous souhaitons un projet alternatif d'avenir qui préserve ces espaces naturels ! ✊ Nous pouvons obtenir l'abandon définitif de ce projet si nous nous mobilisons ! Signez et partagez cette pétition ! (1) https://theconversation.com/pourquoi-supprimer-des-autoroutes-peut-reduire-les-embouteillages-171562
    9 231 sur 10 000 Signatures
    Créée par Amis de la Terre val d’Oise et Collectif Vivre sans BIP
  • Montpellier, classons le Coteau de Malbosc en zone naturelle
    Au Nord-Ouest de Montpellier, entouré d’une urbanisation dense, existe un espace naturel (le Coteau de Malbosc) de plusieurs dizaines d’hectares dont une bonne partie est réservée depuis 2007 pour la construction d’un millier de logements dans le cadre d’une ZAC. Au fil du temps, le Coteau est devenu pour les milliers de riverains, la seule possibilité de se retrouver au calme dans un environnement naturel, aisément et gratuitement accessible. Pour eux, le Coteau répond à un besoin vital pour leur bien-être et contribue à développer des liens avec la nature. Les habitants des quartiers environnants demandent que, dans le cadre du PLUi-C de la Métropole de Montpellier en cours d’élaboration, le Coteau de Malbosc soit entièrement classé en zone naturelle (N). Par ailleurs, maintenir le Coteau en zone naturelle contribuera à lutter contre l’érosion de la biodiversité et à limiter les îlots de chaleur ; n’augmentera pas le risque d’inondation à l’aval lors d’épisodes de grandes pluies, préservera la qualité d’un paysage apprécié, maintiendra une capacité de stockage du carbone par le sol, n’accentuera pas les embouteillages existants dans les voies de dessertes traversant les quartiers riverains, etc. Urbaniser, artificialiser le Coteau de Malbosc est un projet d’un autre siècle ! Sanctuariser le Coteau de Malbosc en zone naturelle serait une importante contribution pour que Montpellier soit une ville mieux adaptée au défi du dérèglement climatique et favorable au bien-être de sa population. Mesdames et messieurs les élus de la Métropole de Montpellier, nous vous demandons de classer le Coteau de Malbosc en zone naturelle (N) dans le futur PLUi-C ! * PLUi-C : Plan local d’urbanisme intercommunal - Climat
    4 815 sur 5 000 Signatures
    Créée par Collectif Coteau de Malbosc Picture
  • STOP AUX ATTEINTES À L’EAU, AU TERRITOIRE ET À L’ENVIRONNEMENT DANS NOS COMMUNES !
    Ce sont pourtant des biens communs que nous nous devons de défendre et de protéger ! Si vous soutenez l’action de notre collectif Eau voleurs, Signez notre pétition ! Rejoignez le mouvement ! https://www.helloasso.com/associations/adeep/adhesions/bulletin-d-adhesion-et-de-cotisation-prix-libre
    2 019 sur 3 000 Signatures
    Créée par Collectif Eau voleurs