• Stop au nourrissage des sangliers pour ensuite les massacrer chez eux!
    Depuis des lustres les chasseurs nourrissent les sangliers dans les bois et les forêts à l'aide de distributeurs de grains. Pourquoi font ils ça?  me direz-vous... Ça permet de regrouper les animaux tous au même endroit de façon régulière et de faciliter leur chasse et de les abattre ensuite sans trop se fatiguer à devoir les poursuivre sur des kilomètres. Certains agriculteurs ont manifesté leur mécontentement par rapport au nourrissage du gros gibier lors des manifestations contre le Mercosur car le nourrissage augmente leur nombre et cela provoque forcément des dégâts dans les champs des agriculteurs. C'est cette raison qui me pousse à parler de ce sujet qui me pèse. Chaque dimanche où une battue est annoncée (comme aujourd'hui) j'ai le coeur gros et je me sens mal de ne rien pouvoir faire pour empêcher ce jeu macabre.  Pour les chasseurs, c'est un sport, ils aiment la nature et régulent la population. Les nourrir, c'est simplement de l'agrainage (mettre quelques denrées alimentaires pour attirer les sangliers les veilles de jour de chasse) alors qu'en réalité il les nourrissent de façon très régulière au fond de la forêt dans des zones bien stratégiques dans des citernes à grains. Certains promeneurs les voient.  Mon vieil oncle de 80 ans m'a montré une photo très ancienne, en noir et blanc où l'on voyait très clairement la citerne à grains. Si nous les humains n'étions pas obligés d'aller travailler ? Que ferions-nous? ne passerions-nous pas plus de temps sous la couette à copuler et se reproduire ? Et bien c'est ce que font  les sangliers. C'est plus facile de se nourrir donc ils ont le temps de se reproduire au lieu de chercher de la nourriture et du coup cela favorise effectivement des dégâts un peu partout dans les champs d'agriculteurs.  Cela dérègle les choses. La nature n'appartient pas aux chasseurs. Il faut arrêter cela parce que c'est du massacre gratuit.
    12 sur 100 Signatures
    Créée par Sandra S.
  • Stop au projet écocide de retenue collinaire en Capcir dans les Pyrénées-Orientales!
    Le 4 septembre 2025, le maire ainsi que les membres du conseil municipal des Angles ont décidé d'échanger plus de 6 hectares de terrains appartenant à l'état et situés entre le Roc d'Aude et le mont Llaret contre près de 34 hectares de forêts communales situées au dessus du lac de Balcere. L'objectif étant de permettre la construction d'une retenue colinéaire au sommet du Roc d'Aude. Une méga bassine de 3,5 hectares, un cratère pouvant stocker 110 000M3 d'eau et profond de 7 mètres, en plein cœur du parc naturel des Pyrénées Catalanes dont l'atteinte à l'environnement sera irréversible. Ce projet qui a été accepté par le Préfet, vise à sécuriser l'enneigement artificiel de la station de ski.  Il s'agit donc de servir certains intérêts privés au mépris de ceux du public,de la biodiversité et des écosystèmes: - De défigurer un des plus beaux paysages du Capcir,  - D'engendrer des travaux de terrassement démesurés et de modifier tout le système hydrique du roc d'aude,  - De menacer un site particulièrement favorable à la Perdix gris et au Grand Tétras qui sont des espèces sur la liste rouge de l'UICN et en déclin dans les Pyrénées,  Pour éviter la contestation sur la consommation d'eau, la commune prétends à un multi-usage mythique pour abreuver les bestiaux et assure l'alimentation en eau potable. Paradoxalement, en pleine période de sécheresse, l'industrie de gaspillage des canons à neige n'a pas été restreinte. L'eau est une ressource commune et précieuse. Il en va de même de notre patrimoine naturel Leur privatisation est inacceptable. Pour contester ce projet écocide , un front associatif c'est constitué au sein de la population du village et au-delà. Montrons que nous sommes nombreux à nous opposer . Nous avons besoin de vous ! Soutenez la préservation de nos écosystèmes et de leur équilibre dont notre avenir et celui des générations futures dépend !
    2 007 sur 3 000 Signatures
    Créée par Nathalie A.
  • Massacre écologique à Rothéneuf/Saint-Malo, la Mairie et des promoteurs sacrifient la nature
    Ce projet menace un écosystème exceptionnel : • 198 espèces de plantes (dont 9 d’intérêt patrimonial) • 36 espèces d’oiseaux (26 protégées) • 5 amphibiens protégés, 1 reptile et 4 mammifères Détruire ces milieux, c’est : • accroître les risques d’inondations, • aggraver la sécheresse (déjà en alerte depuis juin 2025 par la préfecture d'Ille et Vilaine), • perdre un patrimoine naturel et historique irremplaçable. Chaque mètre carré bétonné, c’est une éponge naturelle en moins face aux pluies, tempêtes, inondations et dérèglements climatiques. Préserver ces espaces, c’est protéger nos ressources et notre avenir. Nous avons besoin de vous pour continuer à sauver les zones humides et la biodiversité de la Frange Sud de Rothéneuf - Saint Malo. Signez la pétition.   Illustration : La Frange sud de Rothéneuf - Secteurs indissociables qui doivent être sauvés de l'urbanisation démesurée https://www.greenvoice.fr//assets/uploads/2025/10/plan-rotheneuf-littoral.png Légende :   • S1 – Les 3 Cheminées : zone naturelle et humide à fort potentiel écologique. • S2 – Les Bas Chemins : corridor vert reliant les champs et les zones boisées. • S3 – Le Pont : secteur de transition menacé par la pression urbaine. • S4 – La coupure verte du Davier : barrière paysagère essentielle entre ville et littoral Couleurs et zones : 🟩 Espaces agricoles et naturels à préserver Terrains ouverts, prairies et zones humides participant à la biodiversité locale. 🟦 Espaces écologiques sensibles (zones humides, haies, corridors) Zones essentielles pour la faune et la flore, constituant une trame verte et bleue continue. 🟨 Zones de transition paysagère  Espaces tampon entre la ville et la campagne, limitant l’étalement urbain. ⬜ Zones d’urbanisation projetée (hachures blanches et noires)  Espaces menacés par les projets immobiliers et la densification urbaine. 🟥 Coupures ou ruptures écologiques (routes, barrières)  Infrastructures fragmentant le paysage et les continuités naturelles. 🟢 Plantations existantes ou à renforcer  Alignements d’arbres, haies et espaces verts à protéger ou reconstituer. Voir la vidéo réalisée par l'association Rothéneuf Eau et Littoral. 
    673 sur 800 Signatures
    Créée par ROTHENEUF EAU ET LITTORAL
  • Sauvons les arbres menacés d'abattage dans le parc du foyer rural de Baixas
    Suite aux réclamations des citoyens de la commune de Baixas concernant le besoin de stationnement, la décision des élus est de transformer le parc de jeu du foyer rural en parking.  Pour cela, ils envisagent d’abattre la quasi-totalité des arbres présents. Au total, ce parc contient 1 olivier, 9 muriers platanes, 3 platanes, 3 palmiers, 2 cyprès et 1 troène du Japon.  Même s’ils ne sont pas classés, la plupart de ces arbres sont suffisamment âgés pour rendre des services écosystémiques remarquables. Ils sont une ressource indéniable pour la biodiversité. Ils stockent le carbone  présent dans l’air vers le sol, créent de l’oxygène, améliorent la qualité de l’air et constituent un îlot de fraîcheur et d’ombre dans un village qui en compte bien peu. Les sacrifier va à l’opposé des préconisations actuelles pour lutter contre le réchauffement climatique et faire évoluer le village vers plus de résilience face aux fluctuations à venir. Les scientifiques sont formels. Le constat est alarmant. Le département glisse rapidement vers le stade de désert. La sécheresse s’installe, la qualité de l’air se dégrade avec la hausse des émissions de gaz à effet de serre, les nappes phréatiques s’assèchent, les sols appauvris se dégradent de plus en plus et la biodiversité s’effondre … Il faut agir ! 25 ans, c’est le temps dont nous disposons pour changer de trajectoire. (source : Plan bleu méditerranée) Les arbres et la végétalisation sont une des meilleures solutions pour nous permettre d’envisager un avenir résilient, avant qu’il ne soit trop tard. Planter des arbres, végétaliser les milieux urbains, créer des forêts péri-urbaines, et conserver le patrimoine arboré doivent être au cœur de nos préoccupations et de celles des élus. Ils ont pour mission de tout mettre en œuvre pour notre avenir. Il faut donc effectuer les aménagements tout en respectant et priorisant la vie des arbres. Le goudron et le béton emmagasinent la chaleur et créent une hausse des températures. Les arbres permettent d’éviter ce réchauffement en faisant de l’ombre (jusqu’à 10 degrés d’écart), ce qui protégera les véhicules. De plus, de nombreux arbres du village sont en mauvais état. Pour cause, le goudron ou le marbre qui étouffe leurs racines et les empêche de se déployer sainement. Certains sont morts et d’autres le seront bientôt. Il existe de nombreuses alternatives au goudron et à la bétonisation. Des aménagements perméables permettent aux arbres, l’accès à l’eau de pluie, ainsi que d’éviter les risques d’inondation annoncées par les études scientifiques. Des dalles de parking ajourées sont une des solutions envisageable. Nous exigeons à ce que les arbres du parc de jeu du foyer rural soient conservés, et que les arbres du village soient entretenus dans le respect des règles écologiques. Au-delà de ce projet, il est temps que l'aménagement soit réfléchis en fonction de la biodiversité et que soient prises des mesures nécessaires à l’adaptation de notre village face aux risques et aux conséquences du réchauffement climatique. Protégeons nos grands arbres avant qu'il ne soit trop tard.
    767 sur 800 Signatures
    Créée par Nathalie A.
  • Destruction de 10ha de Nature en Ville
    Ce projet, de 1933, est obsolète et contraire aux impératifs écologiques de notre temps. À l'heure où les preuves scientifiques s'accumulent sur l'impact dévastateur du réchauffement climatique et la nécessité de réduire drastiquement notre empreinte carbone, construire de nouvelles autoroutes, rocades ou boulevards est une aberration environnementale, sociale et économique.  Les raisons de notre opposition sont multiples et fondées :  • Impact environnemental désastreux : Le B.U.S. entraînerait la destruction de 10ha d’espaces naturels et cultivés, de plus d’un millier d’arbres et arbustes entrainant inévitablement une augmentation du ruissellement des eaux pluviales. Le B.U.S. porterait atteinte à la biodiversité et à notre littoral avec l’arrivée de 40 000 voitures jours face à la mer. • Aggravation de la pollution : Une voie de circulation automobile de cette envergure ne ferait qu'accroître le trafic routier et, par conséquent, la pollution sonore (pour 400 bâtiments) et les émissions de gaz à effet de serre (CO2, NOx, particules fines). La qualité de l'air, déjà préoccupante dans notre agglomération, se dégraderait davantage, avec des conséquences directes sur la santé des habitants (maladies respiratoires, cardiovasculaires), et particulièrement pour 30 établissements sensibles (crèches, écoles, hôpitaux – centre de soins, EHPAD). •  Coût pharaonique et investissement mal orienté : Le financement d'un tel projet représente un coût de près de 400 millions d’€uros pour les contribuables, une somme qui pourrait être bien mieux investie dans des solutions de mobilité réellement durables et bénéfiques pour tous. Le projet de BUS est en totale contradiction avec les engagements écologiques nationaux et internationaux, et de développement des mobilités douces et des transports en commun. Il s'agit d'une vision du passé qui ignore les enjeux du présent et les défis de demain.   Nous demandons  : ·       L’Annulation de la construction du Boulevard Urbain Sud afin de préserver les espaces de nature en Ville ·        La sanctuarisationdes 8,5 hectares de nature en ville menacés : Le parc de la Mathilde, Les jardins familiaux Aiguier, La pinède du Roy d’Espagne ·       Une réorientation radicale de la politique d'aménagement du territoire et des transports, en privilégiant systématiquement les modes de mobilité douce et durable plutôt que de s'enfermer dans des solutions routières dépassées. ·       D'engager, en concertation avec les citoyens et les acteurs locaux (Etat, région, département, métropole, ville…), une véritable politique de mobilité durable et d’urbanisme tourné vers l’avenir. Des solutions concrètes et adaptées aux besoins de notre ville, en phase avec les enjeux écologiques et sociaux du 21e siècle, existent : ·       Aménagement de l'espace public pour les piétons (Promotion des "villes du quart d'heure", espaces verts, parcs, jardins partagés...) ·       Renforcement massif des transports en commun ·       Développement accéléré des infrastructures cyclables sécurisées, continues : ·       Promotion active du covoiturage En adoptant ces solutions, Marseille pourrait non seulement réduire drastiquement ses émissions de gaz à effet de serre, améliorer la qualité de l'air et le cadre de vie de ses citoyens, mais aussi créer de nouveaux emplois, renforcer la cohésion territoriale et se positionner en leader de la transition écologique pour notre pays. Les travaux du Boulevard Urbain Sud sont prévus dans les prochains mois, il y urgence à se faire entendre, signez cette pétition pour un avenir plus sain, plus vert et plus respirable pour tous !  
    11 954 sur 15 000 Signatures
    Créée par CanBus Collectif
  • Sauver la forêt de Brocéliande de l'extension de l'usine Fenêtre&A
    Un projet destructeur du vivant  • Ce projet prévoit l’artificialisation de presque 3 hectares de milieux naturels, incluant près de 13 000 m² de zones humides, essentielles à la biodiversité.  • Il implique une déforestation en lisière immédiate de la forêt de Paimpont, cœur historique de Brocéliande, l’un des ensembles forestiers les plus emblématiques et sensibles de Bretagne.  • Les mesures de compensations, bien qu'interessantes pour certaines, ne remplaceront pas des années de construction d'un biosystème 100% naturel avec tous les êtres vivants et protégés présents sur cette parcelle.  Une atteinte à un territoire d’exception • Le site concerné forme une zone tampon précieuse entre la zone industrielle et la forêt de Brocéliande dont fait partie la vallée de l’Aff, un corridor écologique vital pour les chauves-souris forestières, les oiseaux nicheurs et des espèces protégées comme l’Engoulevent d’Europe, ou encore des rapaces dont la buse variable, la chouette chevêche, et la grande noctule.. C'est une zone paisible de promenade très appréciée des locaux.  • Le projet est situé au sein de la ZNIEFF “Forêt de Paimpont” et à proximité immédiate de zones classées Natura 2000. Une procédure contestée • L’Autorité environnementale (MRAe Bretagne) a émis de très fortes réserves sur ce projet sur un lieu quelle qualifie de "zone de relais à préserver" : absence d’alternative, compensation insuffisante, artificialisation injustifiée, violation des objectifs de sobriété foncière et augmentation de risque d'incendies en forêt  • L’étude d’impact omet des espèces protégées sur le site, dans le rapport des ecologues l'observation des oiseaux s'est faite sur 2 mois, ce qui est clairement insuffisant et donc nous n'y avons pas la mention notamment d'un couple d’Engoulevent, pourtant observé à moins de 100m du périmètre par les riverains, ou la grande noctule présente également. Il y manque également la mention des amphibiens et reptiles, les salamandres par exemple. Nous n'avons aucune preuve solide du bon fonctionnement et du devenir de cette usine, ce qui mènerait à la destruction d'un site boisé pour le remplacer potentiellement par une friche industrielle. Cette usine devant être robotisée, ne créerait que peu de nouveaux emplois. Ce que nous demandons Nous appelons : • À l’abandon immédiat du projet d’extension sur cette zone naturelle sensible, et éviter le défrichage de la zone prévu pour octobre 2025. • À la protection durable de la porte sud de Brocéliande, en tant que patrimoine commun et bien vivant,
    10 671 sur 15 000 Signatures
    Créée par Camille P.
  • Sauvons le jardin pédagogique de l’école Robespierre
    Avec la construction de l'écoquartier de l'Arsenal toujours en cours à Rueil-Malmaison (2300 logements à terme en 2027), le plus gros groupe scolaire du 92 , le groupe scolaire ROBESPIERRE ne suffit plus à absorber l'énorme afflux de population qui ne cesse d'augmenter. Malgré un programme complet de refonte programmé et réalisé de ce groupe scolaire et des écoles des environs dans ce quartier du Mont-Valérien, le groupe scolaire craque encore. Mais cela ne suffit pas ! La ville prévoit de supprimer le jardin pédagogique et le potager de l’école élémentaire Robespierre B pour y agrandir la cantine. Ce jardin pédagogique est l'unique lieu de nature et de fraîcheur de la cour. C'est un espace précieux où nos enfants découvrent la nature, cultivent, observent, apprennent… autrement.   Ils y lisent, y jardinent, observent les saisons, découvre le monde animal et végétal et sa biodiversité, y trouvent le calme et la fraIcheur à l’heure du déjeuner, et parfois même, ils y font classe à l’ombre d’un arbre. Un lieu rare, vivant, que la ville veut faire disparaître. A l'heure où les dépenses des mairies sont contraintes, un budget significatif va être consacré pour quelques tables supplémentaires alors que d'autres solutions seraient moins onéreuses et préserveraient ce jardin pédagogique.  Nous croyons fermement qu’un projet d’extension peut et doit coexister avec le respect des espaces naturels déjà en place.  Supprimer ce jardin dans notre école, labellisée Eco-école et au plus au niveau de la démarche E3D (Ecole en démarche de développement durable) de notre écoquartier, c’est appauvrir le cadre éducatif et symbolique de l’école et dégrader le bien-être de nos enfants. Nous, parents d’élèves, disons NON ! Nous demandons à Patrick Ollier Maire de Ville de Rueil Malmaison de préserver ce jardin, pour nos enfants d’aujourd’hui et ceux de demain. Mobilisons-nous ! Monsieur le Maire, sauvez leur jardin ! Les parents des élèves de l'école Robespierre B de Rueil-Malmaison
    661 sur 800 Signatures
    Créée par Peep R.
  • SAUVONS LES ARBRES MENACES D’ABATTAGE A PROVINS !
    Aujourd’hui, nous continuons à nous opposer à la réalisation de la 2ème phase du projet, avec 3 objectifs précis : OBJECTIF N°1 : Urgence pour les frênes du Boulevard d’Aligre! Jusqu’au 15 août, 32 frênes sont en sursis, menacés d’abattage alors que leur état ne le justifie pas. Il est donc important d’agir immédiatement et avant les vacances d’été. Nous demandons à la Mairie de Provins de reporter ces abattages jusqu’à ce qu’une étude de l’état phytosanitaire et mécanique des arbres concernés ait été menée par un expert INDÉPENDANT de la mairie, expert qui ne sera chargé ni directement ni indirectement des abattages qui s’avéreraient indispensables. OBJECTIF N°2 : Suppression du “plan de renouvellement” des arbres Les documents que nous avons pu obtenir par recours gracieux auprès de M. le Préfet de Seine-et-Marne évoquent un “plan de renouvellement” des arbres, qui est en fait un plan d’abattage. Il prévoit l’abattage de 44 autres arbres de la promenade dans un délai qui peut aller de 5 ans (4 ans désormais) à 10 ans, sans que l’échéance précise puisse être connue. Les 254 arbres restants, parmi les plus anciens de la promenade, semblent maintenus pendant dix ans avant leur “renouvellement”. Le plan de la mairie vise donc un total de 367 arbres depuis 2024 dont la majeure partie sont des arbres centenaires. Rappelons que l’on connaît aujourd’hui la valeur des arbres anciens, tout ce qu’ils apportent à notre santé, combien ils sont importants pour le stockage du carbone, et quel rôle ils jouent dans le maintien de la biodiversité. Il ne peut plus être question de “gérer” un espace arboré en planifiant le remplacement régulier des plus vieux par de jeunes plants, avec l’espoir de garder toujours un “parc” de jeunes arbres. D’autant plus que le taux de mortalité des arbres plantés en 2024 (blessures causées par le chantier, survie aléatoire en raison du changement climatique) accentuera le “déboisement” de la Promenade. Cette vision désormais dépassée, qui s’apparente à un consumérisme public, est délétère pour le vivant en général et dangereuse pour l’environnement. Aussi nous demandons à la Mairie de Provins de supprimer son plan d’abattage et de faire procéder à une surveillance des arbres par un expert indépendant de la Mairie, qui ne sera chargé ni directement ni indirectement des travaux d’abattage qui pourraient s’avérer nécessaires pour la sécurité du public. Cette surveillance permettrait d’engager une gestion au cas par cas plus adaptée à l’évolution naturelle et imprévisible des plantations.  OBJECTIF N°3 : Moratoire sur les travaux d’extension de la Promenade jusqu’en Ville haute Les travaux déjà réalisés ont abouti à une artificialisation du sol de la promenade et d’une partie des berges de la Fausse Rivière (pose d’un enrobé, construction de gradins en béton et remodelage de la berge au prix de l’éviction de la biodiversité qu’elle recélait). Le projet d’extension de la “requalification” de la promenade jusqu’en ville haute ne fera que prolonger cette artificialisation. L’objectif affiché est de permettre des “liaisons douces” par le biais de la “voie verte”. Mais ces liaisons douces existent depuis longtemps puisque la promenade est utilisée en l’état par les cyclistes. Quant au début de cette seconde tranche des travaux, nous n’avons pas d’information. Il est possible qu’elle suive immédiatement la réalisation de la 1ère tranche (fin 2025 ou début 2026). Une réfection du sol peut être envisagée pour rendre la promenade plus praticable, mais il existe des solutions plus naturelles - et d’ailleurs moins coûteuses - que l’enrobé. Quant à la “requalification” complète de la promenade sur toute son étendue, il paraît indispensable que les habitant(e)s soient associés au processus de décision, dans la mesure où il s’agit de lieux qui leur sont chers et qui font partie de leur patrimoine culturel et naturel. Dès lors, nous demandons à la mairie de Provins de suspendre tous travaux et toutes préparations de travaux visant la promenade jusqu’à une information complète et contradictoire suivie d’une consultation des Provinois(es).  Notre promenade, nos arbres, nos berges, ont déjà suffisamment souffert de ce projet daté et inutile. Il est temps que les autorités écoutent ce que disent les principaux intéressés.  Nous soutenir dès maintenant par votre signature, c’est nous permettre d’anticiper. Forts de votre appui, nous pourrons faire entendre notre voix avant les prochaines échéances. C’est aussi nous permettre de sensibiliser à cette cause, par l’effet du nombre, des publics nouveaux.  Avec vous, nous pouvons encore sauver nos arbres centenaires et une promenade pleine de charme qui donne asile à de nombreuses espèces protégées.
    4 198 sur 5 000 Signatures
    Créée par Association Provins Nature et Avenir (APNA)
  • Rendez les subventions 80,000 € à FNE, LPO & Arthropologia, Mr le président du Rhône !
    Cette décision, qui représente un retrait total de 80 000 € de subventions, aura des conséquences concrètes sur des actions de terrain menées depuis de nombreuses années au service de l’intérêt général. Ces associations environnementales jouent un rôle essentiel dans la sensibilisation du public, l’éducation à l’environnement, la préservation de la biodiversité, et le dialogue avec les collectivités territoriales. Elles sont composées de scientifiques, de naturalistes passionnés et de bénévoles investis, qui œuvrent dans un esprit de collaboration et de construction positive. A l'heure où la crise environnementale s'accélère, il est essentiel de donner à ces acteurs la possibilité d'agir concrètement sur le terrain pour préserver la biodiversité et nos conditions de vie. Signez la pétition (cochez la case "oui, tenez-moi au courant" pour recevoir nos emails et avancer ensemble sur la suite de la campagne) et interpellez monsieur Christophe Guilloteau. Merci pour votre soutien Sources : - Communiqué de presse de France Nature Environnement Rhône, LPO et Arthropologia - Article du Monde, 15 avril 2025
    4 484 sur 5 000 Signatures
    Créée par Fabrice B.
  • Un désastre écologique dans les Alpes (Lyon-Turin)
     Dans un contexte de crise climatique mondiale, alors que chaque euro et chaque décision publique doivent s’inscrire dans une logique de sobriété écologique, le chantier de la ligne ferroviaire Lyon – Saint-Jean-de-Maurienne du projet Lyon-Turin illustre tragiquement l’exact opposé. Ce projet, dont la légitimité repose sur des hypothèses vieilles de 35 ans, cumule aujourd’hui surcoûts, retards abyssaux, et surtout, des effets environnementaux désastreux qui en font une aberration climatique et écologique.  1. Une atteinte irréversible aux écosystèmes alpins  La construction des 190 km de tunnels nécessaires à ce projet, notamment sous les massifs de Belledonne et de Chartreuse, va entraîner :  • La destruction massive de terres agricoles : ces zones, déjà rares dans les vallées alpines, seront bétonnées à jamais, menaçant la souveraineté alimentaire locale. • La fragmentation et la disparition d’habitats naturels : l’écosystème alpin, riche mais fragile, sera irrémédiablement perturbé par les travaux, les pollutions sonores, lumineuses et les poussières générées. • L’assèchement ou la pollution de nombreuses sources d’eau : les chantiers ont déjà montré leur capacité à altérer durablement les nappes phréatiques, au risque d’impacter la biodiversité aquatique et l’usage humain. • L'émission massive de gaz à effet de serre : le creusement des tunnels générera à lui seul plus de 10 millions de tonnes de CO₂, une empreinte carbone impossible à compenser avant 2067 voire 2092 selon les estimations officielles – et ce, dans le meilleur des cas. 2. Un projet dépassé par les réalités technologiques et climatiques Les arguments avancés dans les années 1990 pour justifier cette nouvelle infrastructure sont aujourd’hui caducs :   • Le fret routier est en pleine mutation : les camions électriques et hydrogènes, imposés par les normes européennes de 2024, représenteront la majorité du trafic dès 2040. L'avantage écologique du rail s’amenuise fortement dans ce contexte. • Les prévisions de trafic étaient fausses : contrairement aux projections alarmistes de saturation, le trafic fret transalpin est resté quasi stable depuis 30 ans. La voie historique du Fréjus, modernisable à moindre coût, reste sous-utilisée. Construire aujourd’hui une ligne aussi coûteuse pour une promesse climatique dans… 60 ans, c’est tout simplement irresponsable.   3. Une dépense publique ruineuse et injustifiée Le coût de la seule portion française Lyon–St Jean-de-Maurienne est désormais estimé à plus de 15 milliards d’euros, soit trois fois les estimations initiales. Cet investissement :   • Ne profite pas aux usagers du quotidien, notamment les 2 millions d’habitants de la région Rhône-Alpes qui subissent encore des voies ferrées vétustes, lentes, à voie unique (entre Lyon, Chambéry, Annecy, Grenoble). • Ignore les recommandations des institutions : la Cour des Comptes européenne, le Comité d’Orientation des Infrastructures (COI) ou encore la jurisprudence récente sur les projets A69 et A680 pointent tous les failles écologiques, juridiques et économiques du projet. • Viole les principes fondamentaux de la Déclaration d’Utilité Publique, désormais obsolète (2013) et juridiquement fragile au regard des atteintes à la biodiversité. 4. Une alternative rationnelle existe Plutôt que creuser des tunnels pour un projet livré en 2045 (ou 2050 ?), des solutions de bon sens sont proposées :   • Moderniser l’axe Dijon – Ambérieux – Modane, déjà fonctionnel. • Doubler les voies existantes sur les tronçons clés (Lyon–Chambéry, Aix–Annecy). • Investir dans des infrastructures TER fiables pour les trajets du quotidien. • Réduire massivement les émissions dès 2030, sans attendre 2092. Avec 12 milliards d’euros d’économie à la clé, ces solutions permettent un impact écologique positif immédiat, tout en répondant réellement aux besoins des habitants. Conclusion Le projet Lyon–Turin, dans sa portion française, n’est pas un projet d’avenir. C’est un héritage du passé, une vision centralisée et productiviste des grands travaux, déconnectée des urgences climatiques contemporaines. À l’heure où chaque euro public doit être un levier vers un monde soutenable, continuer ce chantier revient à investir dans un désastre écologique dont nous ne pourrons ni racheter le coût environnemental, ni effacer les cicatrices laissées dans nos montagnes. 
    217 sur 300 Signatures
    Créée par philippe S.
  • Ne sacrifions pas notre territoire : protegeons Colonzelle !
    • Un avis défavorable des experts : La Chambre d'Agriculture et la CDPENAF (Commission Départementale de Préservation des Espaces Naturels, Agricoles et Forestiers) se sont prononcées défavorablement, les 23.09. 2024 et 04.02.2025, à l'encontre de ce projet, soulignant que le terrain possède un potentiel agricole. • Une menace pour notre patrimoine agricole : Nos terres cultivables ne sont pas seulement des sols fertiles, elles sont le fruit de générations d'agriculteurs. Sacrifier ces terres pour un projet industriel, c'est renier l'histoire de notre village et mettre en péril son identité rurale. • Une altération de notre paysage : L'installation de panneaux solaires sacrifierait notre territoire, modifiant profondément l'identité visuelle de notre village et dénaturant le cadre paisible et harmonieux qui fait partie intégrante de notre patrimoine. • Une menace pour la biodiversité locale : Ce projet perturbera les écosystèmes naturels environnants, mettant en danger la faune et la flore locales qui contribuent à l'équilibre écologique. • Un bénéfice dérisoire pour la commune : Ce projet ne rapporterait à la commune que 4000 € de loyer par an. Les retombées fiscales, estimées à 8000 € par an, seront répartis entre le département, la CCEPPG et la commune. Des sommes bien faibles au regard des enjeux économiques, écologiques et patrimoniaux pour notre communauté. • Ne laissons pas cet héritage à nos enfants : En autorisant ce projet, nous risquons de léguer à nos générations futures un territoire appauvri et dénaturé, dépourvu des richesses agricoles et culturelles qui font la force de notre village. • Des alternatives existent : Il est possible de développer les énergies renouvelables tout en préservant notre héritage agricole, en favorisant des installations sur des terrains non exploités comme les friches industrielles, les toitures de bâtiments ou d'autres espaces adaptés.   Nous ne pouvons pas permettre que ce projet avance sans exprimer notre opposition collective. Sacrifier notre territoire et son héritage agricole n'est pas une fatalité. Votre voix compte, et ensemble, nous pouvons protéger notre village, ses terres, sa biodiversité, son paysage et son avenir !  
    99 sur 100 Signatures
    Créée par Colonzelle : préservons nos Terres et Paysages !. Picture
  • NON A L'ARTIFICIALISATION ET A L'ABATTAGE DES ARBRES DU SECTEUR MOULIN NEUF A LAMBESC
    https://www.greenvoice.fr/assets/uploads/2025/01/PHOTO-AERIENNE-OAP.jpg Pourquoi cet étalement urbain dans un secteur déjà impacté par la construction récente de 2 résidences particulièrement denses et quasi imperméabilisées, sans qu’aucun espace naturel n’ait été préservé ?                                                                            - Étalement urbain sur des terres cultivées (champ, chênaie) alors que la commune se doit de respecter la loi ZAN (Zéro Artificialisation nette) et de réduire sa consommation d’espace de 55% d’ici 2031                                                                                  - Multiplication de logements dans un secteur dépourvu d’infrastructures : services, commerces, transports en commun.                                                                                                          Pourquoi cette frénésie de construction (+ de 390 logements environ en - de 10 ans) dans une commune :                                                                                                                         - qui ne constitue pas une zone d’emploi ;                                                                                 - qui est éloignée des principaux centres actifs de la métropole ;  - qui est peu desservie par les transports en commun   - dont le réseau routier vers les zones d’activité est saturé Faute d’emploi local et de transport en commun « le tout voiture longue distance » reste la seule solution pour les trajets domicile-travail.                                                                                                          Pourquoi la destruction de plus de la moitié d’une chênaie ?                                              Bois abritant des chênes blancs à croissance très lente, âgés d’une quarantaine d’années. Ces chênes truffiers ont la particularité de vivre plus de 500 ans, d’être rustiques et de bien résister à la sécheresse, comparativement aux autres essences de chênes.    Pourquoi l’abattage d’une haie de vieux cyprès servant de brise-vent et de refuge à de nombreux oiseaux ?   Ces arbres sont nos meilleurs alliés pour limiter les effets du dérèglement climatique et constituent un réservoir de biodiversité périurbain. QUEL EST L’IMPACT DE CE PROJET ? Ce projet porte atteinte à la qualité de vie des riverains, des Lambescains et à la biodiversité :      •  Il défigure le paysage rural du secteur ; •  Il prive les citoyens de l’effet « climatiseur » offert par l’écosystème du bois et de la haie ; il remplace un îlot de fraîcheur par un îlot de chaleur en milieu périurbain ; •  Il est particulièrement destructeur de la qualité de l’air ; •  Il empêche l’infiltration de l’eau dans les sols en cas de fortes pluies ; •  Il détruit tout un écosystème riche en flore et en faune. Il prive de nombreuses espèces  (oiseaux, insectes, écureuils, campagnols, chauves-souris …) d’abris et de nourritures ; •  Il vient accroître le trafic routier dans la commune, sur la D7 (vers Aix) et l’A51 (Aix-Marseille) déjà fortement embouteillées aux heures de pointe, générant stress, bruit, pollutions et CO2.    Toutes ces aberrations écologiques ne respectent pas le code de l’urbanisme, le PLUI (Plan Local d’Urbanisme Intercommunal) et ne prennent pas en considération l’urgence climatique et le déclin de la biodiversité. Nous, Association pour la Préservation des Quartiers Moulin Neuf et Gargory Sud à Lambesc Est, soutenus par : France Nature Environnement FNE13,  l’association la Parole aux citoyens, demandons : • De réduire le nombre de logements de ce projet (30 logements/ha)  de privilégier la réhabilitation des logements anciens et l’utilisation des logements vacants : 249 logements vacants à Lambesc (source INSEE 2020) ;  •   De réduire le nombre de bâtiments en R+2 (RDC +2 étages) ; •  De préserver intégralement haies, masses boisées et de sanctuariser la chênaie en la classant en «Espace Boisé Protégé » ;  •  De préserver le caractère rural du chemin de Saint Marc (chemin de promenade familiale et  sportive) tel qu’il se présente actuellement. Nous demandons que ce projet aux conséquences néfastes à notre santé, au climat et à la biodiversité soit reconsidéré.  Pensons à l’avenir des générations futures. Dès à présent, signez cette pétition et diffusez-la le plus largement possible. Merci pour votre soutien. Vous pouvez nous aider à financer nos frais d'avocat, nous avons lancé une cagnotte en ligne https://www.kagnotte.com/k/8234.html
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    Créée par Association pour la Préservation des Quartiers Moulin Neuf et Gargory Sud à Lambesc