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NON A L'ARTIFICIALISATION ET A L'ABATTAGE DES ARBRES DU SECTEUR MOULIN NEUF A LAMBESChttps://www.greenvoice.fr/assets/uploads/2025/01/PHOTO-AERIENNE-OAP.jpg Pourquoi cet étalement urbain dans un secteur déjà impacté par la construction récente de 2 résidences particulièrement denses et quasi imperméabilisées, sans qu’aucun espace naturel n’ait été préservé ? - Étalement urbain sur des terres cultivées (champ, chênaie) alors que la commune se doit de respecter la loi ZAN (Zéro Artificialisation nette) et de réduire sa consommation d’espace de 55% d’ici 2031 - Multiplication de logements dans un secteur dépourvu d’infrastructures : services, commerces, transports en commun. Pourquoi cette frénésie de construction (+ de 390 logements environ en - de 10 ans) dans une commune : - qui ne constitue pas une zone d’emploi ; - qui est éloignée des principaux centres actifs de la métropole ; - qui est peu desservie par les transports en commun - dont le réseau routier vers les zones d’activité est saturé Faute d’emploi local et de transport en commun « le tout voiture longue distance » reste la seule solution pour les trajets domicile-travail. Pourquoi la destruction de plus de la moitié d’une chênaie ? Bois abritant des chênes blancs à croissance très lente, âgés d’une quarantaine d’années. Ces chênes truffiers ont la particularité de vivre plus de 500 ans, d’être rustiques et de bien résister à la sécheresse, comparativement aux autres essences de chênes. Pourquoi l’abattage d’une haie de vieux cyprès servant de brise-vent et de refuge à de nombreux oiseaux ? Ces arbres sont nos meilleurs alliés pour limiter les effets du dérèglement climatique et constituent un réservoir de biodiversité périurbain. QUEL EST L’IMPACT DE CE PROJET ? Ce projet porte atteinte à la qualité de vie des riverains, des Lambescains et à la biodiversité : • Il défigure le paysage rural du secteur ; • Il prive les citoyens de l’effet « climatiseur » offert par l’écosystème du bois et de la haie ; il remplace un îlot de fraîcheur par un îlot de chaleur en milieu périurbain ; • Il est particulièrement destructeur de la qualité de l’air ; • Il empêche l’infiltration de l’eau dans les sols en cas de fortes pluies ; • Il détruit tout un écosystème riche en flore et en faune. Il prive de nombreuses espèces (oiseaux, insectes, écureuils, campagnols, chauves-souris …) d’abris et de nourritures ; • Il vient accroître le trafic routier dans la commune, sur la D7 (vers Aix) et l’A51 (Aix-Marseille) déjà fortement embouteillées aux heures de pointe, générant stress, bruit, pollutions et CO2. Toutes ces aberrations écologiques ne respectent pas le code de l’urbanisme, le PLUI (Plan Local d’Urbanisme Intercommunal) et ne prennent pas en considération l’urgence climatique et le déclin de la biodiversité. Nous, Association pour la Préservation des Quartiers Moulin Neuf et Gargory Sud à Lambesc Est, soutenus par : France Nature Environnement FNE13, l’association la Parole aux citoyens, demandons : • De réduire le nombre de logements de ce projet (30 logements/ha) de privilégier la réhabilitation des logements anciens et l’utilisation des logements vacants : 249 logements vacants à Lambesc (source INSEE 2020) ; • De réduire le nombre de bâtiments en R+2 (RDC +2 étages) ; • De préserver intégralement haies, masses boisées et de sanctuariser la chênaie en la classant en «Espace Boisé Protégé » ; • De préserver le caractère rural du chemin de Saint Marc (chemin de promenade familiale et sportive) tel qu’il se présente actuellement. Nous demandons que ce projet aux conséquences néfastes à notre santé, au climat et à la biodiversité soit reconsidéré. Pensons à l’avenir des générations futures. Dès à présent, signez cette pétition et diffusez-la le plus largement possible. Merci pour votre soutien.820 sur 1 000 SignaturesCréée par Association pour la Préservation des Quartiers Moulin Neuf et Gargory Sud à Lambesc
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Sauvons deux sequoias et d'autres essences à Ecommoy (Sarthe)Les effets combinés de l'évapotranspiration et de l'ombrage des arbres contribuent localement à baisser significativement la température de l'air et à lutter contre les îlots de chaleur urbain. La température peut être abaissée de 7 °C entre le milieu de la rue et la zone ombragée, dixit le rapport de la cour des comptes en 2024 (sources : https://www.ccomptes.fr/sites/default/files/2024-03/20240312-RPA-2024-CDVI-adaptation-villes-changement-climatique.pdf) De façon générale, vous le savez sans doute, les arbres de grande taille ont une meilleure capacité à stocker du carbone (donc, à capter le carbone de l'air pour réduire le CO2 dans l'atmosphère), à diminuer la pollution atmosphérique, et permettent d'éviter plus efficacement le ruissellement des eaux pluviales. En effet, les arbres ayant un diamètre de tronc plus grand ont une plus grande biomasse ligneuse (quantité de bois), ce qui leur permet de stocker davantage de carbone que les plus petits arbres. De la même manière, l'interception des précipitations et des polluants atmosphériques augmenterait avec la plus grande taille de la canopée (les cimes des arbres dominants) et la surface foliaire totale (surface totale de toutes les feuilles) associée à une plus grande taille. Les grands arbres sont donc généralement plus efficaces que les plus petits pour fournir ces services de régulation, indispensables en milieu urbain et surtout dans un contexte de changements climatiques (sources : Alison Munson, écologue et Anaïs Paré, professionnelle de recherche pour la Chaire de recherche sur l'arbre urbain et son milieu (CRAUM)). Un petit article de presse glâné sur la captation du CO2 par le sequoia : https://www.ouest-france.fr/leditiondusoir/2024-03-19/menace-en-californie-le-sequoia-geant-se-plait-en-europe-et-c-est-une-bonne-nouvelle-pour-le-climat-2ac1391d-3e2d-4074-9a83-de291e7686eb Résumé de cet article de l’AFP mars 2024 : - le sequoia a la capacité de séquestrer plus de carbone que d’autres espèces. - Nous avons constaté que les séquoias géants britanniques sont bien adaptés au Royaume-Uni et sont capables de capter une grande quantité de dioxyde de carbone (CO2) également », explique Ross Holland, auteur principal de l’étude, par l’université britannique UCL Pour respecter les accords de Paris et limiter le réchauffement climatique, il faudra atteindre la neutralité carbone en 2050. Nous demandons à conserver TOUS les arbres présents sur la parcelle du futur projet de ludo-médiathèque à Ecommoy. Cette pétition est portée par des habitant.e.s d'Ecommoy, du bassin de la communauté de communes de l'Orée de Bercé Bélinois, le GNSA sarthois (Groupe National de Surveillance des Arbres) et le groupe local Greenpeace Sarthe139 sur 200 SignaturesCréée par maryline b.
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Monsieur le Maire, sauvons les arbres de notre centre-ville !Historique : Le 29 Novembre 2021, le comité de quartier du centre-ville a signalé : • de nombreux arbres mourants sur l'Avenue Marie Curie en entrée de ville (200 chênes). • la disparition de la moitié des 44 arbres sur les parkings/trottoirs du boulevard Pierre Mendès France et la présence de goudron sur une dizaine d'arbres survivants. Cet abattage semble correspondre à une procédure irrégulière. Nous n'avons pas eu connaissance d'arrêté municipal ou préfectoral, ou d'arrêté d'abattage dans le cadre de travaux. Le 1er juin 2022, le comité de quartier du centre-ville a signalé 8 pieds d'arbres sur-minéralisés sur la nouvelle Place Fulgence Bienvenue. Si on ajoute les 16 arbres abattus Rue Henry de Montfreid pour la réalisation de nouveaux stationnements, le bilan est négatif pour ce quartier. Au total : • Au moins 16 arbres sont en danger immédiat et plusieurs dizaines sont mourants. • Au moins 28 arbres ont été abattu et non remplacés. Rappels utiles : Les arbres sont vivants et ils ont besoin d'un apport en eau et en nutriments pour s'épanouir en ville : laisser un espace végétalisé et perméable au pied de l'arbre est indispensable pour sa survie à long terme. De la végétation pousse au pied de l’arbre, le nourrit, et inversement. L’arbre capte l’eau plus facilement et devient plus résistant. Préserver les arbres du centre-ville, c'est conserver notre titre de Ville des Parcs et Jardins, et c'est lutter efficacement contre les ilots de chaleur urbaine l'été. Situation actuelle : Depuis les signalements du comité de quartier il y a 3/4 ans, rien de concret ne fut réalisé par la commune pour remédier à la situation en dehors de la pose de pots géants Av. Pierre Mendès France à la place des arbres abattus. La foret urbaine plantée par EpaMarne en entrée de ville ne compensera pas cette perte située dans d'autres lieux. Nos demandes : Par conséquent, nous, citoyennes et citoyens de la ville, indépendamment des comités, associations et partis, demandons publiquement à la mairie de Bussy-saint-Georges : 1. d'aménager les pieds des arbres sur la place Fulgence Bienvenue et le boulevard Pierre Mendès France : retirer les goudrons/revêtements et laisser au minimum 1m2 de terre. Protéger ces zones de tout stationnement. 2. de remplacer les arbres abattus ou malades par des essences variées, adaptées à la ville et résistantes au changement climatique. Ce remplacement doit être réalisé dans la même rue. 3. de demander au plus vite à EpaMarne un remplacement des arbres mourants Avenue Marie Curie avant la fin de la ZAC pour que cela ne soit pas à la ville de payer. 4. de généraliser ces bonnes pratiques aux autres quartiers de la commune.118 sur 200 SignaturesCréée par Mathieu C.
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STOP au projet d'une déchetterie de 10 000 m² sur des terres agricoles à St Clément de Régnat !Le PLUi (Plan Local d'Urbanisme intercommunal) de Plaine Limagne Communauté prévoit le reclassement de la parcelle concernée actuellement classée agricole en zone constructible. La parcelle est en cours d'acquisition. Il est donc urgent de se mobiliser !2 738 sur 3 000 SignaturesCréée par Préservons Saint Clément
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La Garrigue : notre patrimoine collectifLa nouvelle est tombée comme un coup de tonnerre dans un ciel pourtant serein. La mairie prévoit de détruire sept hectares de garrigue, ce joyau naturel niché le long d’un chemin de randonnée apprécié par tous, de l’enfant curieux à l’âme errante du promeneur. Cet espace, témoin de l’histoire et refuge pour une multitude de vies silencieuses, est un patrimoine collectif que l’on croyait inviolable. Sous le prétexte de transformer Marguerittes en une ville à énergie positive, la promesse de modernité semble s’acharner à effacer les racines mêmes de ce qui fait l’âme de ce village. Les chênes robustes, les arbustes de thym et de romarin qui embaument l’air, les criquets qui chantent à l’ombre des genévriers… tout cela risque de s’éteindre dans le fracas des machines et la poussière soulevée par les travaux. Et pourtant, la question s’impose : à quel prix ? Quelle ironie de vouloir créer un futur soi-disant plus « vert » en détruisant ce qui l’est déjà, authentiquement, sans artifice. Ce qui doit être un progrès s’annonce comme une amputation, un acte irréversible qui laisse un vide et un goût amer. Face à cette menace, les cœurs s’alourdissent, mais une révolte sourde s’élève. Il est temps que les voix s’unissent pour dire que Marguerittes doit rester une terre d’équilibre, où tradition et modernité coexistent sans que l’une ne dévore l’autre. Car un village sans sa garrigue est un village amputé, une histoire que l’on a renié.1 604 sur 2 000 SignaturesCréée par VIGILANCE INONDATION COMITE MAS PRADEN - COMITE COEUR DE VILLE
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STOP au projet de parc photovoltaïque dans les collines de Lambesc, aux portes de VernèguesLe projet, mené par la société lambescaine Silversun, prévoit l’implantation de plus de 20 000 panneaux au coeur des collines. Il se situe dans le vaste ensemble naturel classé Natura 2000 de la chaîne des Costes et prévoit le défrichement d’au moins 2,3 ha de collines boisées. A cela se rajoute la destruction de vastes zones de garrigue qui n’entrent pas dans le permis de défrichement, ainsi que des zones supplémentaires concernées par l’OLD (Obligation Légale de Débroussaillement). Ce projet, comme beaucoup d’autres qui fleurissent en France, entraînera la destruction d’espaces naturels fragiles dont nous avons tellement besoin. Il n’est pas acceptable de déboiser ces zones sauvages de nos belles collines provençales. Ce projet doit être stoppé tant qu’un site plus approprié n’est pas trouvé. Rappelons-nous qu’un espace naturel peut être rasé en quelques jours alors que sa restauration peut prendre plusieurs centaines d’années ! Dégrader nos collines avec des panneaux solaires, Soit on réagit, soit on laisse faire ! S’attaquer à la nature ne sera jamais la solution, Tous ensemble, faisons opposition ! Nous, Collectif de Défense des Collines, Soutenus par : l'association La Parole aux Citoyens, le Collectif Elzeard Lure en Résistance, le Groupe National de Surveillance des Arbres (GNSA), le Collectif Alleinsois de Défense de l'Environnement (CADE) et l'Agence Nationale pour la Biodiversité (ANB) Demandons : • A la société Silversun d’abandonner son projet dans les collines et d’utiliser un site réellement artificialisé (ce que recommande l’ADEME). • A Monsieur le Maire de Lambesc et à Monsieur le Préfet des Bouches-du-Rhône d’annuler le permis de défrichement. Tous ensemble, signons cette pétition et diffusons-la le plus largement possible autour de nous. Pour ceux qui le souhaitent, une cagnotte vient d'être créée... https://www.kagnotte.com/k/7326.html Pour plus d’information sur l’impact de l’implantation des parcs photovoltaïques en milieu naturel, rendez-vous sur le site du collectif Elzeard : https://www.lureenresistance.fr/1 698 sur 2 000 SignaturesCréée par Collectif Défense des collines
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Projet oeno-touristique à Carignan : pas n'importe comment !Carignan-de-Bordeaux a toujours été une terre d’accueil et le développement d’une activité touristique est à l’évidence une bonne idée. Mais pas n’importe comment ! Le projet actuel propose d’accueillir 212 hôtes dans 91 chambres, alors que le grand centre des Caudalies ne compte par exemple que 62 chambres. Les pensionnaires pourront disposer d’une piscine de 25 mètres de long et d’un spa de 1000 m², alors que l’eau manque déjà à Carignan-de-Bordeaux et que nous devons régulièrement composer avec des arrêtés préfectoraux restreignant notre consommation. Il sera nécessaire de construire un parking en partie souterrain de 272 places, alors que le Plan local d’urbanisme n’en permet que 160 et que nos voiries sont déjà bien chargées durant les heures de pointe. Il sera aussi nécessaire d’imperméabiliser des zones conséquentes car les surfaces plancher représentent plus de 12 000 m², alors que certains de nos concitoyens sont déjà régulièrement inondés en particulier le long de la route de Lignan. Il sera nécessaire d’abattre des arbres, alors qu’à Carignan-de-Bordeaux, il s’agit plutôt maintenant de protéger la biodiversité. Ce gigantesque projet, qui doit attirer une clientèle de grand luxe, a été conçu à une époque qui nous semble maintenant bien lointaine, une époque durant laquelle l’argent semblait couler à flots, une époque où les ressources naturelles semblaient inépuisables, une époque où il semblait acceptable d’accueillir une clientèle venant du monde entier pour quelques jours de repos dans le bordelais malgré un coût carbone très élevé. Nous n’en sommes plus là ! Les manifestations du changement climatique sont là : inondations, sécheresses, tensions sur les matières premières et chacun comprend maintenant qu’il faut être raisonnable et vivre plus modestement sans trop prélever dans nos ressources naturelles. L’association Habitat et Environnement à Carignan-de-Bordeaux, qui était intervenu dans le débat public en 2018 pour s’opposer à un projet de Plan Local d’Urbanisme qui nous semblait mettre en péril notre cadre de vie, propose de renégocier cet intéressant projet oeno-touristique afin de concilier développement économique, valorisation du patrimoine historique et protection de notre cadre de vie et de nos ressources naturelles. Nous avons pour cela déposé un recours gracieux s’opposant à la délivrance du permis de construire, et nous avons besoin de vous pour pouvoir peser dans un nécessaire débat public, durant lequel les enjeux seront clairement débattus : quels impacts sur les ressources naturelles et sur notre cadre de vie.196 sur 200 SignaturesCréée par Lucie B.
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CESSON, Arrêt de la chasse dans le bois brûlé et petites forêts près des habitationsPour ou contre, Depuis 2 ans la chasse à Cesson est de plus en plus près des habitations et les règles qui la régissent semble de moins en moins respectées. En effet, en période de chasse , nous sommes face à des situations anormales telles que de retrouver des animaux morts des jours après avoir été abbatus, des coups de feux qui semble être trop près des habitations et absolument aucune comunication et contrôle sur ce qui se passe. Les petites forêts près de Cesson n'ont pas besoin d'être regulées au vu de leurs tailles, du nombres d'animaux qui y vivent et de la proximité des habitations. Par conséquent la chasse n'a pas sa place dans ces bois. À ce stade, elle est plus facteur de risques et source de dérangement pour les habitants qu'utile à la biodiversité. Chaque signature supplémentaire démontrera un peu plus l'importance de ce sujet pour les Cessonnais265 sur 300 SignaturesCréée par Dimitri G.
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Bassin et étang de Thau : STOP au droit à polluer des milieux aquatiques et marinsCette priorité accordée à l’urbanisation a conduit à une forte augmentation de l’artificialisation des sols, compromettant l’équilibre écologique et économique du bassin de Thau. Les professionnels de la mer, associations protectrice de l'environnement en tant que véritables sentinelles de cet écosystème, constatent chaque jour l’agonie de l’étang de Thau, entraînant avec elle la disparition progressive de ses usages et de ses usagers. Face à cette situation critique, il est urgent de reconsidérer la stratégie de développement du territoire. Après dix années le SMVL n'a été que propice à aggraver la situation de l'écosystème du bassin et étang de Thau. Tout comme les priorités politiques ont évolué par le passé, il est impératif de redonner la prééminence au SMVM afin de rétablir un équilibre durable entre protection de l’environnement et développement économique. Il en va de la survie même de l’étang et de ses acteurs. Le collectif "CHOEUR de THAU" sur telegram androïd ou PC https://t.me/+lsdA50T10L4xNzhk Contact : [email protected]3 880 sur 4 000 SignaturesCréée par Collectif "CHŒUR DE THAU"
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Pas de port fluvial de plaisance à Anse !“Un budget pharaonique, pour un projet climaticide” Un budget total de 39,5 millions d'euros dont le montage financier est pour le moment annoncé comme suit : • 3 millions d’€ de la commune d’Anse • 1,5 million d’€ du Département • 1,5 million d’€ de la Communauté de communes Beaujolais Pierres Dorées • 300 000€ de l'agglomération de Villefranche-sur-Saône • 1,2 million d’€ de la Région par un “Contrat Plan État-Région” La métropole de Lyon, qui devait contribuer à hauteur de 300 milles euros, s’est désengagée suite à l’arrivée des Écologistes au pouvoir en 2020. “« Aller creuser un port dans une zone humide ne nous paraissait écologiquement pas une bonne chose. D’autant que les zones humides sont parmi les milieux naturels les plus impactés ces dernières décennies. » ” Pierre Athanaze, vice-président de la Métropole, à Rue 89 Lyon Déjà 6 millions d’€ ont été engagés pour le retroussement et diverses études. Et le projet prévoit pour la suite 32 millions d’euros d’investissement pour les travaux d’infrastructure de la zone (électricité, eau, réseau égouts, accès etc....) et les compensations écologiques. Ils n’incluent ni les logements, ni bâtiments commerciaux ou industriels... Une destruction du fragile écosystème reconstruit * La roselière et des peupliers centenaires détruits pour creuser l’entrée du port * des espèces menacées : Lèche à épis noirs, fritillaire pintade, gratiole officinale, euphorbe des marais, hérissons, castors, tritons, guêpier d’Europe, chiroptères et divers oiseaux migrateurs… la liste des espèces qui sont menacées par le projjet, faite par la LPO, est tristement longue... Et avec le million de visiteurs attendus par an, il y a de quoi émettre des réserves quant à la considération de la disparition de la biodiversité…4 555 sur 5 000 SignaturesCréée par Alternatiba VBS
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NON A L'ABATTAGE DE DEUX CEDRES CENTENAIRES - URGENCE - CENTRE VILLE GARDANNESignez cette pétition et n'hésitez pas à envoyer un mail à la mairie de Gardanne pour appuyer notre démarche. Merci à tous!917 sur 1 000 SignaturesCréée par Delphine B.
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Refuge de biodiversité menacée par un projet routier, sauvegardons la ressource en eauLe conseil municipal a voté à l’unanimité l’expropriation de la ferme de la Boussine à l’emplacement de la source où l’eau jaillit naturellement du sol, dans les périmètres officiels et légaux de protection du captage d’eau potable l’exposant ainsi aux risques de chocs, de fissuration et à la pollution par les hydrocarbures et le sel aggravée par le ruissellement sur la forte pente. Après avoir contourné la loi sur l’eau, sans avoir réalisé aucune étude géotechnique de faisabilité complète et aucune étude d’impact réglementaire, les travaux ont commencé en force. Ils ont nécessité le drainage de la zone humide, la modification de l’écoulement naturel de l’eau et des travaux de terrassement dans la ripisylve du ravin glissant vers le torrent et dans l’impluvium rapproché du captage. Nous dénonçons la confiscation et l’artificialisation des sols, la mise en péril du captage monumental, vieux de plusieurs siècles et toujours fonctionnel, les menaces que ce projet fait peser sur l’équilibre de la ferme de la Boussine et la biodiversité, sans débat démocratique, dans une commune dépourvue de PLU, sans aucun intérêt pour les riverains, pour gagner 1 minute et 30 secondes. En effet, depuis que cet étroit chemin rural de raccourci, desservant les champs et notre ferme a été transféré dans le domaine public routier communal, il est détruit pour être transformé en route large, bitumée, dangereuse et inadaptée à la topographie, fracturant l’écosystème naturel dénaturant les 8 ha du site agricole et naturel et le confisquant aux marcheurs, cavaliers, vététistes et riverains. Si les études obligatoires avaient été faites, les travaux ne pouvaient pas se réaliser en l’état. Nous demandons le respect de la loi qui protège le captage et le respect des protections définies par l’hydrogéologue agréé. Cet ouvrage hydraulique remarquable en pierre et chaux maçonnée, fruits de l’expérience, de l’observation et du bon sens, transmis par les Anciens doit être plus que jamais protégé et valorisé et non détruit d’autant plus dans une commune n’ayant aucune autonomie en eau. La préservation de cet ouvrage de notre patrimoine, Indispensable pour les cultures maraichères, sur ce site humide et boisé, apporte des réponses aux enjeux climatiques . Le collectif cherche à rejoindre d’autres collectifs pour oeuvrer ensemble à résister à la destruction de cet ouvrage agricole appartenant à notre patrimoine commun et mis en péril. En apportant votre signature, vous soutenez notre action pour conserver 8 ha de terres agricoles humides fertiles, préserver la faune réfugiée dans les bois longeant les torrents et œuvrer à la sauvegarde et la mise en valeur du captage d’eau potable. Ensemble, construisons de beaux projets et allons de l’avant dans le respect de la nature et du VIVANT pour les générations à venir. Habitants et habitantes de Haute-Savoie, qui partout, voyez votre patrimoine rural et naturel détruit, c’est notre solidarité qui nous fera passeurs d’eau ! Signez aujourd’hui la pétition, et partagez-la autour de vous. Nous avons effectué plusieurs recours en justice, aidez-nous à financer notre action juridique par un don : https://www.helloasso.com/associations/les-jardins-de-la-boussine/formulaires/1. Article de presse de La relève et la peste : https://lareleveetlapeste.fr/une-famille-se-bat-pour-sauver-un-puits-ancestral-menace-par-lelargissement-dune- route/ Les articles du Messager, du Dauphiné et de Librinfo du 07/08/2023 et 17/02/2024314 sur 400 SignaturesCréée par Collectif des Nants
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