• Non à la bétonisation du Vallon du Salut !
    La création d’un nouveau lotissement risque de défigurer le Vallon du Salut (Bagnères-de-Bigorre), site exceptionnel. Le vallon du Salut est un lieu privilégié de promenade des Bagnérais et Bagnéraises ; de nos hôtes (familles, amis, touristes, curistes). Salut, les allées Maintenon sont un lieu partagé, intergénérationnel, où tous les genres se croisent, ouvert à toutes et tous. Il abrite une faune et une flore très riches ainsi que le CPIE Bigorre-Pyrénées et le conservatoire Botanique National Pyrénées. La construction de 10 pavillons au cœur de ce site exceptionnel est de nature à porter atteinte à sa beauté et à son calme. Nous avons la chance d’avoir ce site exceptionnel à deux pas de la ville, n’est-il pas important de le conserver en l’état pour le bien-être et le repos de toutes et tous ? L’étroitesse des voies reliant le centre ville au vallon du Salut et aux lotissements qui le jouxtent ne permet pas de supporter l’augmentation d’une circulation déjà problématique. Alors qu’on se penche sur les mobilités pour un meilleur partage des espaces, on accentuerait un point noir déjà connu ! Nous désirons des accès partagés et sécurisés pour tous, pas un accroissement des problèmes existants. Le permis d’aménager N° PA 065 059 22 00001 déposé le 7 février 2022 au service urbanisme de Bagnères-de-Bigorre est une atteinte à ce site remarquable. Alors que l’on s’achemine vers une révision du PLUi (plan local d’urbanisme intercommunal) de Bagnères-de-Bigorre dans les années à venir, la répétition des problèmes et des résistances liées au Vallon de Salut et ses abords devraient inciter les services d’urbanisme et les élu-es à une position d’attente en refusant tout nouveau projet. Nous appelons la population à dire NON à cette construction qui nuira fortement à notre environnement et à la qualité de ce site exceptionnel. Soyez nombreux à signer la pétition, à nous rejoindre pour conserver l’intégrité du site.
    1 430 sur 2 000 Signatures
    Créée par La Voix Verte Picture
  • Non à la destruction de la Cascade et de sa biodiversité exceptionnelle !
    Nous, Collectif pour la Sauvegarde de la Chaussée du Moulin de Paillès, sommes déterminés à lutter contre un projet inutile et contre-nature qui va défigurer le paysage et détruire la biodiversité. Aujourd’hui, seule la Préfète de l’Aveyron a le pouvoir d’interdire ce projet en ne signant pas l'arrêté préfectoral autorisant la destruction de ce lieu magnifique. Aidez-nous à obtenir l’annulation d’un projet écocide biaisé par des intérêts financiers. Ce projet comporte la création d’une Zone à Expansion de Crues (ZEC) impliquant la destruction inutile de la Chaussée du Moulin de Paillès construite en 1661. L’enquête d’utilité publique qui a conclu à la destruction de la cascade (février 2022) a manifestement été orientée vers la seule obtention par le maire d’une subvention publique de 1,3 million ; l’enquêteur restant sourd à tous nos arguments notamment d’experts. 🆘 La destruction de la Chaussée est désormais suspendue à un arrêté préfectoral imminent, il y a urgence à agir ! Pour une réduction ridicule, lors des crues sévères du Cernon, de la hauteur d’eau (quelques centimètres) au niveau des 4 ou 5 habitations construites en zone inondable dans le lit majeur, ce lieu magnifique, aménagé en 1661 sera détruit, impliquant par arrêté : ❌- l'arrachage et le dessouchage de 1800 arbres (dont une essence rare protégée : le peuplier noir) ; ❌- la destruction de l'habitat des plusieurs espèces protégées (loutres et castors d'Europe) ; ❌- le reprofilage et le curage du lit de la rivière, le Cernon, sur 670 mètres linéaires en incisant le lit mineur de la rivière et en enlevant plus de 70 000 m3 de matériaux ; ❌- la création d'une ZEC sur 3 hectares de parcelles agricoles fertiles en creusant un trou sur 15 000 m² et en enlevant 13 000 m3 de matériaux ; ❌- la destruction de la chaussée de moulin de Paillès construite en 1661 (patrimoine archéologique et affectif des Saint-Georgiens). Pourtant, de leur propre aveu, les promoteurs du projet de ZEC reconnaissent que le gain sur les rares crues ne serait que de quelques centimètres. Le parcours de santé, le cheminement piétons et la passerelle, dérisoires aménagements proposés en contrepartie par l’Agence de l’Eau Adour-Garonne ne sauraient compenser les dégâts irréversibles sur un patrimoine que la nature a mis des centaines d’années à constituer. Alors que nous devons protéger la biodiversité et lutter contre le dérèglement climatique, il est encore plus inacceptable de détruire cette réserve de biodiversité. 🛑 Nous demandons à Madame la Préfète de l’Aveyron de rejeter immédiatement le projet. DITES NON A LA DEFIGURATION ET A LA DEVITALISATION DE CE PAYSAGE MAGNIGIQUE ! SIGNEZ LA PETITION ! MERCI DE VOTRE SOUTIEN !
    4 917 sur 5 000 Signatures
    Créée par Collectif pour la Sauvegarde de la Chaussée de Saint-Georges-de-Luzençon (12100)
  • Non à l'industrialisation et à l'appropriation de la mer des Pertuis par des intérêts privés
    🐟🌊 En pleine zone Natura 2000 et au cœur du Parc Naturel Marin de l’Estuaire de la Gironde et des Pertuis charentais censés les protéger, à proximité immédiate du Fort Boyard, se développe depuis 10 ans un projet de dimension agro-industrielle de culture de moules et d’huitres sur filières : ce sont 50 km de câbles tendus en surface au moyen de 15 000 bouées faisant obstacle à la navigation et à la libre circulation d’espèces protégées, 1000 blocs de béton de 2,5 à 4 tonnes immergés à proximité immédiate d’une des plus belles plages d’Europe, déjà gravement impactée par la culture extensive des moules sur bouchots. Alors que le projet a été rejeté par la population lors des enquêtes publiques, il se développe avec le soutien de l'Etat, sans débat sur le fond, sans concertation et sans étude d’impact, en violation de la Directive Habitat. ❌🌊 Nous disons stop à l’appropriation de cet espace naturel unique et fragile du domaine public maritime par des intérêts privés bénéficiant à quelques-uns, au détriment des petits artisans, du tourisme et des multiples usagers de la mer ! Des zones démesurées d'autorisation de l'aquaculture ont été définies dans les Pertuis charentais et il y a bien d'autres périls qui pèsent sur leurs espaces naturels fragiles et leur biodiversité (voir la carte sur le blog de l'APLIMAP) : chalutage dans la zone des 3 miles dont l’effet destructeur pour les habitats et pour de nombreuses espèces marines est avéré, pollution des fleuves et de la mer participant à la baisse des rendements de la conchyliculture et de la pêche, extension du port de la Rochelle responsable de nombreuses pollutions et de dangers inhérents à la circulation accrue des grands navires industriels, extraction de granulats susceptibles de déstabiliser les fonds marins… ⏩ Les protections actuelles (zone Natura 2000, Parc Naturel Marin…) ne sont pas à la hauteur de ces enjeux. Les décisions prises au cas par cas négligent les interactions environnementales, sociales et économiques des projets présentés successivement. 📣 Nous voulons un aménagement concerté, écoresponsable et durable des espaces maritimes et littoraux des Pertuis charentais en coresponsabilité entre l’État, les élus et tous les usagers de la mer. ⏩ Seul un renforcement important de la protection des Pertuis charentais permettra de préserver un des plus beaux milieux naturels de la façade atlantique des nombreux périls qui le menacent.
    3 572 sur 4 000 Signatures
    Créée par Association APLIMAP Picture
  • Sanctuarisons les terres agricoles : disons stop au béton !
    Le chiffre est désormais connu : l'équivalent d'un département français disparaît tous les 8 ans sous les coups des pelleteuses et bétonneuses. Cette urbanisation galopante ne peut pas être imputée qu’à l’augmentation de la population : depuis les années 1980, l’urbanisation augmente trois fois plus vite que la population, faisant de la France un des pays européens qui bétonne le plus frénétiquement son territoire. L’Île-de-France fait ainsi office de mauvais élève en urbanisant 590 hectares par an. Une région dans laquelle sommeillent pourtant 4 200 hectares de friches. Le dernier rapport de Terre de liens montre que cette dynamique se poursuit dangereusement. Malgré les engagements politiques nombreux, l’urbanisation s’étend partout et accroît la vulnérabilité des territoires : fragmentation des paysages, destruction des écosystèmes et de leurs services associés, destruction des emplois agricoles, vulnérabilité accrue aux catastrophes naturelles (inondations, canicules/sécheresses, pollutions, etc.). La dépendance alimentaire française a doublé en 20 ans pendant que les terres agricoles subissent les ⅔ de l’urbanisation : continuer à urbaniser ces terres, c’est éloigner toujours plus la perspective de notre sécurité alimentaire. Notre résistance aux effets du changement climatique et aux crises géopolitiques passe par la sanctuarisation immédiate de cette précieuse ressource. Bétonnés par les aménageurs qui y voient uniquement une ressource foncière à valoriser, les sols sont pourtant le socle de la vie : ils abritent en leur sein un quart des espèces vivantes sur notre planète et permettent le développement de toutes les espèces faunistiques et floristiques terrestres. Ils sont également essentiels aux cycles biogéochimiques : 3ème puits de carbone au niveau mondial, ils jouent un rôle majeur dans la régulation du climat, l’amélioration de la qualité de l’eau et de l’air ainsi que la réduction des pollutions. Enfin, ils ont un rôle prépondérant pour faire face aux catastrophes naturelles : alors qu’1m3 de sol poreux peut contenir entre 100 et 300 litres d’eau, l’imperméabilisation les prive de leur capacité de rétention, démultipliant le risque et les conséquences des inondations. Le rapport du GIEC nous rappelle que la planification urbaine est un outil majeur pour la mise en place d’un développement résilient, au lieu de la bétonisation déraisonnée qui a cours sur notre territoire. Préserver les terres naturelles et agricoles au sein de systèmes agroécologiques, c’est permettre à la biodiversité de s’épanouir, réduire les risques environnementaux et générer des bénéfices pour la santé physique et mentale. Ces espaces nourrissent notre culture et font partie de notre patrimoine commun. Si la loi climat et résilience a entériné l’objectif du zéro artificialisation nette en 2050, cet horizon déjà trop lointain est pourtant menacé par la mobilisation des lobbys du secteur de la construction. Ceux-ci demandent une dérogation permanente à l’encadrement de l’urbanisation, à l’occasion de la publication des décrets d’application. Nous demandons aux élus de ne pas céder aux pressions ! De silencieux, nos printemps sont en passe de devenir complètement artificiels. Il y a urgence, alors que les prochaines semaines se tiennent les élections législatives, signez pour demander leur sanctuarisation !
    5 780 sur 6 000 Signatures
    Créée par France Nature Environnement Ile de France Picture
  • "fight against PLASTIC pollution "
    Vue le problème de réchauffement climatique qui sévit à l'échelle mondiale nous sommes exposés à un nombre incalculable de dangers pouvant nuire à notre santé et même nous guider sur le chemin de la mort. Depuis plusieurs dizaines d'années et absolument partout sur la planète de grands pays lancent des campagnes de sensibilisation sur la question de pollution qui est la principale cause du changement global. Et Haïti étant un pays sous développé, il fait partie de l'un des pays les plus à risque. Cependant du point de vue national rien n'est décidé, rien n'est fait… Parmi les causes de cette question de pollution, la plus courante en Haïti est : « les déchets plastiques ». Malgré l’arrêté ministériel du 10 juillet 2013 « interdisant la production, l’importation, la commercialisation et l’utilisation, sous quelque format que ce soit, des sacs en polyéthylène et des intrants et objets en polystyrène expansé (PSE ou PS cristal ou styrofoam) à usage alimentaire unique, tels que plateaux, barquettes, bouteilles, sachets, gobelets et assiettes » Nous faisons face à une montagnes de ces déchets dans nos rivières, nos rues... notre système étatique reste muet et est à la dérive. Toutefois étant des universitaires nous ne pouvons pas simplement nous figés dans nos études nous devons avoir une vision globale des choses, nous impliquer plus pour le bien être de notre chère planète bleue c’est pourquoi la question que nous devons nous poser n'est rien d’autre que : « Quelle est la position de l'université face à ce fléau ». Dans un pays où l’État est quasi absent, n'est ce pas à nous jeunes d'aujourd'hui et responsable de demain de poser les bases en sensibilisant la population sur les risques et dangers que représentent l’expansion des déchets plastiques dans un pays comme le nôtre. Un environnement sain, une population en bonne santé... C'est ainsi que "Green and Blue " en colaboration avec la "vie estudiantine de la FMP-/EBMO" de l'université d'État d'Haïti lance un projet baptisé " break free from plastic", un projet d'écolo dans l'objectif de faire le premier pas. Et enfin Comme on dit en médecine, un simple geste peur sauver une vie. Si nous considérons que nous sommes aux environs de sept milliards de personnes peuplant la terre, si chacun s’implique et se donne à fond on peut réduire considérablement l’expansion des déchets plastiques et pourquoi pas diminuer le plus grand problème que le monde fait face au vingt et unième siècle.
    240 sur 300 Signatures
    Créée par Hans Peter P.
  • Sauvons le chêne remarquable de Castelnau Le Lez, c'est urgent et possible !
    Il s'agit d'une lutte qui dure depuis plusieurs années. Le site est une falaise qui domine une ancienne carrière de sable. La hauteur était de 8 à 9 mètres, avant les travaux dans la carrière. En effet un promoteur a acheté la carrière pour y construire un ensemble immobilier. En haut de la falaise le chêne s'épanouissait dans une propriété modeste, en bordure du chemin de terre qui aboutissait en impasse. Dans la petite maison dont ils sont propriétaires vivent toujours : une dame très âgée et son fils handicapé moteur de naissance, ne se déplaçant qu'au moyen d'un fauteuil. Le lieu était un petit paradis, où les promeneurs aimaient venir pour la fraicheur et l'ombre dispensée par le chêne et les arbres voisins. Dans la carrière on pouvait voir les guêpiers voler autour de leurs nids creusés dans le sable des falaises. Ce sont de beaux oiseaux au plumage très coloré. De très grands et beaux pins peuplaient une propriété voisine. Plus de guêpiers, plus de promeneurs, beaucoup moins de pins et des murs qui s'écroulent, etc... une biodiversité menacée au moment où nous allons en avoir plus besoin. Nous sommes un mouvement citoyen, formé de membres de la famille des propriétaires, de riverains, de membres d'associations qui luttent pour l'environnement, de sympathisants, et nous avons décidé d'agir. Récemment la justice nous a donné raison pour protéger le chêne des multiples camions et engins de chantier qui passaient tous les jours sur ses racines, étant donné qu'il est en bordure du chemin. Le promoteur ayant décidé que ce chemin était le seul utilisable : cela est faux. Nous avons vu que deux autres voies existent : il a utilisé une petite rue pour commencer le chantier puis construire une rampe d'accès au chemin d'en haut, et il existe aussi la rue que nous appelons la troisième voie, dont nous réclamons l'utilisation pour le chantier et les immeubles futurs. Ainsi le problème de la voirie ne se poserait plus au niveau du chêne. La voirie doit rester au niveau du chantier et des constructions futures alors que tout est déjà prêt pour cela. C'est véritablement l'URGENCE, et nous vous demandons de signer maintenant cette pétition car tout est prêt pour commencer à creuser sur le chemin où vit le chêne !
    459 sur 500 Signatures
    Créée par Marie Anne B.
  • STOP à la POLLUTION par rejets en MÉDITERRANÉE
    La Méditerranée est la mer la plus polluée du monde. Elle détiendrait des concentrations quatre fois plus élevées de micro-plastiques au kilomètre carré que le 7e continent, ce qui ferait d’elle la mer la plus polluée au monde, selon National Geographic. ❌ Ne nous rendons pas complices d’une pollution cette fois causée par les rejets des eaux de lavage des gaz d'échappement des navires qui sillonnent la Méditerranée. 🌊Le contexte : Sous couvert de crise sanitaire, la France vient d'autoriser par dérogation, l'enfumage en milieu marin (rejets de polluants directement sous l'eau), en adaptant ses textes qui réglementent ces rejets, à la demande de 2 compagnies dont Corsica Linea (7 navires dont 5 appartenant à Corsica Linea) Voici le détail de la dérogation => source : https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000044106303 : L’article 2 de l’Arrêté du 23 novembre 1987 est modifié par Arrêté du 22 septembre 2021 « Les rejets, dans le milieu marin, d’effluents provenant des méthodes de réduction des émissions fonctionnant en système ouvert sont interdits à moins de 3 milles nautiques de la terre la plus proche dans les eaux sous juridiction française ». « A titre transitoire, l'administration française peut accorder à un navire existant, effectuant des voyages réguliers entre deux ports, une exemption dont la durée de validité doit être limitée au strict minimum et ne peut excéder le 1er janvier 2026. La demande d'exemption doit démontrer l'impossibilité de se conformer à cette règle et indiquer la ou les solution (s) de mise en conformité retenue (s) et leur date prévisionnelle de mise en œuvre. » 🌊🌊 Pour mieux comprendre le problème : Au niveau mondial, le trafic maritime est régi par la Convention MARPOL. En 2005, afin d’abaisser la pollution de l’air émise par les navires, la convention prévoit de limiter la teneur en soufre du carburant qui doit passer de 4,5 % à 3,5 % en 2012, et à 0,5 % en 2020. Mais, le 15 mai 2015, un amendement est apporté sournoisement par les groupes pétroliers et par les compagnies maritimes pour naviguer à moindre coût. Les compagnies maritimes sont donc autorisées à équiper leurs navires de systèmes de nettoyage des fumées, les scrubbers, afin de continuer à utiliser un fuel plus soufré, largement disponible et surtout bien moins cher. Ces scrubbers peuvent être à boucle fermées (ils stockent les résidus polluants de lavage pour un retraitement à terre), ou ouvertes (ils rejettent directement en mer les eaux de lavage des gaz d’échappement, qui contiennent en quantités variables des métaux lourds, des hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP), des nitrates ainsi que les éventuels additifs chimiques utilisés) =>Source : https://le-garde.fr/la-france-autorise-lenfumage-du-milieu-marin-de-la-corse-jusquen-2026/ ❌ À ce jour, 23 États et 71 ports ont décidé d’interdire les rejets des scrubbers en boucle ouverte dans leurs eaux territoriales ou leurs eaux portuaires. Dernièrement, la Turquie, l’Autorité du Canal de Suez, Oman et l’Arabie Saoudite ont rejoint cette liste. En France, certains grands ports maritimes comme Marseille, Nantes-St Nazaire et La Rochelle ont déjà modifié leur règlement portuaire pour y inscrire une interdiction des rejets. =>Source : https://www.anave.es/images/documentos/C-12192_Annex_1_-_french_ban_on_scrubbers_discharges.pdf 🌊🌊🌊 Signez la pétition, demandons l'annulation stricte de ces dérogations partout en mer Méditerranée ! Le développement économique de certains ne peut pas condamner la faune marine et amplifier la catastrophe écologique que subit la mer Méditerranée, et les Océans en général. Les coraux blanchissent partout, les températures et teneurs en CO2 des océans augmentent d'une manière exponentielle, la sur-pêche continue, et à ce rythme, il n'y aura plus de poissons en 2050. Que voulons-nous laisser de notre passage sur notre planète ? Mobilisons-nous pour sauver ce qui peut encore l'être en signant cette pétition !
    8 967 sur 9 000 Signatures
    Créée par Groupe local Greenpeace Montpellier
  • Sauvons le jardin partagé Tant qu'on sème à Montreuil (93100) avant qu'il ne finisse bétonné !
    Vous aimez la nature ? Ça tombe bien, nous aussi ! Nous, nous sommes les adhérent.e.s et membres de l'association Tant qu'on sème qui gère le jardin partagé de 250 m2, situé au 26 rue Paul Bert, à l'angle de la rue Étienne Marcel dans le quartier du Bas-Montreuil, à Montreuil, Seine-Saint-Denis (93100). Tant qu'on sème est une association multigénérationnelle, multiculturelle et de diverses classes sociales, notamment pour les plus défavorisé.e.s, le jardin ne représente pas seulement le plaisir de cultiver des fruits et légumes sans pesticide ni engrais chimique, mais aussi de pouvoir les consommer gratuitement. Cette année, le jardin a pris un nouvel envol grâce à l'investissement de chacun.e des jardinier.ère.s qui l'entretient jour après jour. Il n'a jamais été aussi beau, car cela va faire 8 ans maintenant que la faune s'y développe et la flore y pousse, repousse, que la nature s'y épanouie. Des arbres ont poussé : figuier, saule pleureur, frêne, ailanthes - les seuls arbres d'ailleurs dans la rue Paul Bert - et ils nous saluent de loin amicalement. Ce jardin fait aussi le bonheur des personnes qui passent à côté et qui s'arrêtent pour le regarder, voire pour nous parler bien souvent. Il est un îlot de fraîcheur quand l'asphalte brûle, il est le refuge d'oiseaux, de papillons, d'abeilles et autres insectes... On n'y cultive pas uniquement la terre mais aussi le lien social, la solidarité, on y échange nos connaissances des plantes et c'est un endroit où nos enfants ont l'occasion de jouer dans une cabane en bois : le rêve de tous les enfants à ce que l'on dit ! Et c'est aussi cette année que la Soreqa, propriétaire du terrain depuis 2015, annonce la vente du terrain à un promoteur immobilier pour octobre 2022, date à laquelle nous devrions normalement libérer le terrain. Nous le savions que cela devait arriver un jour évidemment ! le jardin étant sous convention d'occupation gratuite temporaire. Même s'il y a un nouvel espace vert prévu, pas très loin, au plus tôt pour 2026 - mais c'est dans si longtemps ! - quelques un.e.s parmi nous, tel.le.s des irréductibles Gaulois.e.s pensent que ça serait vraiment un malheur que ce jardin soit détruit, pas que pour nos petites parcelles, mais pour la rue, pour le quartier, pour la biodiversité, pour le changement climatique... ça va loin ! Est-ce vraiment nécessaire d'abattre tous ces arbres, de détruire ce jardin, de bétonner - alors qu'il y a déjà tant de nouvelles constructions dans le quartier et la ville - de bâtir un immeuble de 3 étages sur ce petit terrain végétalisé, ce petit écrin de biodiversité dans un quartier sans verdure ? Surtout à l'heure où la politique locale encourage l'écologie ! L'air du temps va contre l’artificialisation des sols et la bétonisation, alors allons-y ! Arrêtons le temps, tentons d'annuler ce projet immobilier, défendons nos valeurs de respect de la nature et du mieux vivre ensemble, et sauvons le jardin partagé Tant qu'on sème ! Mais seul.e.s on n'y arrivera pas, on a besoin de vous, de votre énergie, votre enthousiasme, vos contacts, vos réseaux, vos idées, votre participation, bref, votre soutien. Merci de nous soutenir en signant cette pétition !
    5 344 sur 6 000 Signatures
    Créée par Association Tant qu'on sème
  • "Non" au passage en zone CU des terrains à Montesquieu
    Bonjour, Le collectif des habitants de MONTESQUIEU, village du Tarn et Garonne, se réunit autour de cette pétition, afin de vous faire part de son désespoir concernant le projet de construction de plusieurs lotissements sur la commune. Nous ne voulons pas des nuisances écologiques que ce projet va engendrer, une activité économique peut être développée en mettant nos atouts en avant, autour de LA NATURE ET L'AGRICULTURE. Les zones et les terrains qui jouxtent ce projet sont des zones humides. Il faut protéger ces zones vertes, nos prairies de fauchage, et nos forêts ; ce projet est à contre sens des demandes de l'état. D’ailleurs, un parcours pédestre, créé avec l’appui de l’Europe, permet aujourd’hui aux marcheurs d’apercevoir des espèces d’oiseaux rares et protégées, qui viennent nicher dans des talus sablonneux (guêpier d'Europe), ils seront détruits par cette consommation effrénée de l’espace constructible. La population des biches et chevreuils sera aussi fortement impactée par cet urbanisme irrespectueux de l’environnement. Ces parcelles ne sont pas en zone CU depuis plus de 9 ans et doivent redevenir ZONE NATURELLE. MERCI DE NOUS AIDER ! Notre objectif est d'atteindre le maximum de signatures, et nous avons besoin de plus de soutiens. Pour en savoir plus, et pour signer, c'est ici : https://chng.it/GCjdPsp8wy
    119 sur 200 Signatures
    Créée par Didier L.
  • Stop Horror Borealia
    À l'entrée ouest de la ville, Amiens Métropole s’apprête à sacrifier 62 hectares de terres fertiles, soit l’équivalent de 86 terrains de foot ! Et ce ne serait que la première étape… A terme, 195 hectares de terres agricoles sont concernées entre Amiens et Pont-de-Metz. Tout ça pour quoi ? La Métropole projette d'aménager une nouvelle zone d’activités économiques sur le seul secteur périphérique encore préservé, ceinturant ainsi définitivement la ville d'entrepôts. Baptisée Boréalia 2 que nous préférons appeler HorrorBoréalia, celle-ci devrait accueillir des entreprises de « tout types », notamment 60% d'activités logistiques et de e-commerce - type Amazon. La MRAE (Mission Régionale d'Autorité Environnementale) pointe les nombreux manques et incohérences du projet dans son avis (consultable ici). La mise en œuvre de la politique zéro artificialisation nette inscrite au sein de la loi climat et résilience de 2021 impose à respecter une artificialisation de 9 hectares par an jusque 2030. Or, sans Boréalia 2, la métropole amiénoise se trouve déjà sur une trajectoire de 13 hectares artificialisés par an (avec notamment les projets à Poulainville, Amiens Nord et Pôle Jules Verne 2). HorrorBoréalia s'ajouterait à cette surconsommation foncière, sachant qu'il existe de nombreuses friches dans le Grand Amiénois ! L’artificialisation des sols est responsable d’une érosion de la biodiversité, d’une diminution de la résilience face aux inondations, d'une baisse des capacités de stockage en carbone, d’une perte de capacité de production agricole. Un tel projet n'est donc plus acceptable en raison de l'urgence climatique qui annonce baisse de rendements agricoles et phénomènes météorologiques inquiétants. L'agglomération a la responsabilité de gérer durablement son territoire, elle doit apprendre à optimiser l'affectation des terrains sans toujours sacrifier des terres agricoles. De plus, l'installation des entrepôts et autres bâtiments détériorerait la santé et la qualité de vie des habitants : atteinte des ressources en eau, difficulté de circulation, augmentation de la pollution sonore et de l’air, dénaturation des paysages... Ce projet risque de détruire plus d’emplois qu’il n'en pourra créer. Pour un emploi créé dans le domaine de la logistique, au minimum 2,2 emplois dans les commerces de proximité disparaissent. Il risque de nuire aux conditions de travail des salarié.e.s. Les enquêtes ne manquent pas de relever les pratiques contestables et les accidents du travail qui ont lieu dans les entrepôts des grands groupes de logistique. Finalement, la crise sanitaire récente nous rappelle, au contraire, la nécessité d’une économie locale respectueuse de l’environnement et des travailleuses et travailleurs. Sur 62 hectares de terres fertiles, un projet d’agriculture respectueuse de l’environnement est en mesure de satisfaire notamment les besoins de 17 000 personnes en légumes. Je vous demande donc : - l’abandon de ce projet destructeur pour l’environnement et désastreux pour l’économie - la mise en place rapidement d’une concertation citoyenne afin de co-construire le devenir de ces terres fertiles. Je vous prie de recevoir, Monsieur le Président, l’expression de mes salutations inquiètes pour l'avenir de notre agglomération.
    323 sur 400 Signatures
    Créée par Isabelle B.
  • STOP à la bétonisation des terres agricoles du Florival
    Aujourd'hui, la Communauté de Communes de la Région de Guebwiller (CCRG) et la commune d'Issenheim ont décidé de transformer des terres agricoles, destinées à produire notre nourriture, en espaces bétonnés. Il s'agit d'un projet de création d'une ZAC de 37 ha au lieu-dit Daweid. Ce sont ainsi en tout l'équivalent de plus de 50 terrains de football, soustraits aux espaces naturels et agricoles, qui sont en danger ! Et c'est sans compter les nombreuses zones déjà artificialisées au cours des vingt dernières années... Action Climat Florival est un collectif de citoyen⋅nes attaché⋅es à leur territoire. Nous voulons défendre notre lieu de vie et celui que nous léguerons à nos enfants. Nous nous mobilisons pour arrêter ces projets inutiles et destructeurs. Nous demandons la sanctuarisation des espaces naturels et agricoles ainsi qu’un moratoire sur tous les projets d’urbanisation massive engagés actuellement et à l’avenir sur le ban de la commune d’Issenheim. - Il y a URGENCE pour le projet Pfleck dont les travaux d'aménagement ont déjà commencé. Pour nous contacter : [email protected] et [email protected] Pour prendre connaissance du projet présenté par la CCRG et pour participer à la concertation publique : https://www.cc-guebwiller.fr/projet-de-zac-daweid/
    5 806 sur 6 000 Signatures
    Créée par Action Climat Florival
  • Initiative pour une option végétarienne à la cantine du lycée !
    Aujourd'hui, à la cantine du lycée, nous n’avons pas d’autre choix que de manger de la viande tous les jours ou presque. Cette situation contribue à la surproduction de viande industrielle qui accélère le réchauffement climatique et contribue à la déforestation (1). C’est aussi un problème pour notre santé (2). Nous, élèves du lycée de la plaine de l'Ain, rejoignons l’initiative afin d’affirmer notre engagement pour l’environnement, et demandons à la direction du lycée d’agir pour notre futur. Nous ne sommes pas tous végétarien·es mais nous voulons avoir le choix de consommer moins de viande. Nous demandons la mise en place d’une option végétarienne quotidienne équilibrée et de qualité, accessible à tout.es. De nombreuses cantines lycéennes offrent déjà cette possibilité, pourquoi pas la notre ? Ce menu végétarien offrira la possibilité à chaque lycéen·ne de choisir tous les jours son repas, et d’agir concrètement pour la transition écologique. L’instauration de ce menu végétarien quotidien aura des effets positifs sur le climat (3), et dans le même temps, diminuer la part de viande permettra de libérer du budget pour introduire des produits de meilleure qualité et pour servir des repas plus variés (4). Il est urgent d’agir pour la planète et il n’y a aucune raison de ne pas le faire. La nouvelle loi climat propose à tous les lycées qui le souhaitent d’expérimenter ce menu végétarien quotidien en plus d’un menu végétarien hebdomadaire, désormais obligatoire (article 252, loi climat et résilience). Avec cette initiative, nous voulons ouvrir le dialogue entre les élèves, et avec la direction, pour agir concrètement en faveur de la transition écologique. Signez et partagez l’initiative aux élèves de votre classe pour montrer votre soutien. Sources : (1) IPBES 2020 et FAO 2013 (2) Cancer : cancérogénicité de la consommation de viande rouge et de viande transformée, OMS 2015, https://bit.ly/3AfSshU (3) Rapport de Greenpeace "Menus végétariens à la cantine, quels impacts pour la planète?" - sept 2020 : https://bit.ly/35MBnR4 (4) Rapport Greenpeace et AVF “Option végétarienne dans les cantines : la réalité du terrain” - Février 2021 : https://bit.ly/3lh94BE
    81 sur 100 Signatures
    Créée par Kevin L.