• Sauvez SALONGA
    Le Parc national de la Salonga est la plus grande réserve de forêt tropicale humide d’Afrique. Il est l'habitat de nombreuses espèces endémiques menacées, telles que le bonobo, le paon du Congo, l'éléphant de forêt et le crocodile africain. Malgre les assurances apportées par le gouvernement congolais, ce parc va être livré à l'exploitation des compagnies pétrolières et du fait de sa zone géographique instable, il sera IMPOSSIBLE de continuer à le protèger
    208 sur 300 Signatures
    Créée par Catherine MENANTEAU D.
  • Collines de Sierentz en danger ! Urbanisation imminente !
    L’association CAPS68 (Collectif Agir pour le Pays de Sierentz) a remis en mairie de Sierentz une pétition de 1092 signatures pour demander le classement des collines à l’ouest du ban communal en Espaces Naturelles Sensibles (ENS). Cette pétition a été en partie un succès car le secteur des collines classé en réserve foncière dans le PLU (Plan Local d’Urbanisme) sera classé en zone N (Naturelle) par la révision en cours du PLU puis en ENS selon les promesses municipales. MAIS CE N'EST PAS SUFFISANT ! Le secteur des collines classé "immédiatement constructible" (AUa2) fait l’objet d’un projet immobilier d’ampleur avec maisons individuelles et collectifs. Ce projet sur une emprise de 2,5 ha impactera considérablement les riches biotopes avec des espèces communes de faune et de flore mais aussi des espèces rares comme l’ornithogale penché (fleur classée vulnérable sur la liste rouge des espèces protégées d’Alsace). L’artificialisation des sols mais aussi la densité de population qu’amènera le projet dans cet inestimable écrin de verdure, aura un impact grave et irréversible sur la fonctionnalité d’un riche réservoir de biodiversité et d’un corridor écologique d’importance régionale et nationale. Nous demandons un engagement volontaire et fort de la municipalité et des instances administratives pour assurer la sauvegarde du corridor écologique et du réservoir de biodiversité ainsi que la pérennité du site de l’ornithogale penché. Nous demandons l’abandon de tout projet immobilier dans les collines de Sierentz. N'hésitez pas à laisser un commentaire après avoir signé. Merci pour votre soutient ! Contact: [email protected] Pour découvrir les collines de Sierentz : https://www.facebook.com/caps68510
    1 128 sur 2 000 Signatures
    Créée par Association CAPS68 Picture
  • Sauvons nos rivières - STOP aux coupes rases
    Ces massacres récurrents sont une catastrophe écologique. Les ripisylves, outre leur avantage esthétique et paysager, ont des rôles multiples indispensables au bon fonctionnement des cours d’eau. La ripisylve (ou ramière) , est la végétation (arbres et arbustes) bordant les cours d’eau (du latin : ripa-rive et sylva-forêt). Les ripisylves peuvent former un liseré étroit ou au contraire un corridor large. Elles protègent les berges contre l’érosion grâce à l’enracinement des arbres en profondeur. Elles dissipent les courants en cassant la force de l’eau et protègent des inondations. Elles participent à l’amélioration de la qualité de l’eau par leur rôle de filtration naturelle. Elles sont un lieu de ressource de nourriture, un lieu de reproduction, de refuge et de vie pour de nombreuses espèces animales, végétales, terrestres et aquatiques. Dans l’environnement, c’est une des zones les plus riches qui abrite le plus d’espèces. La biodiversité y est maximale. ​ Elles limitent la hausse de la température de l’eau et son évaporation, par l’ombre qu’elles apportent. Elles ont un effet brise-vent bénéfique pour les parcelles agricoles alentour. Aidez nous à protéger nos rivières!
    764 sur 800 Signatures
    Créée par Collectif pour la sauvegarde des forêts drômoises ". Picture
  • Opposons-nous au projet de carrière sur la montagne de la Serre - Grospierres et Sampzon
    La montagne de la Serre est un sanctuaire naturel de première importance qui constitue un corridor écologique entre le parc national des Cévennes et la réserve régionale des gorges de l’Ardèche. Cette spécificité lui a valu le classement Natura 2000 et le label ZNIEF (Zone Naturelle d’intérêt et Ecologique et Faunistique) pour un large secteur jouxtant ce projet de carrière ! De nombreux scientifiques (naturalistes, géologues, archéologues…) sont déjà montés au créneau contre ce projet qui est une véritable aberration à l’heure où la protection des espaces naturels et la qualité de vie des habitants sont devenues une priorité des pouvoirs publics. De plus l’extension de cette exploitation serait fort probable à l’avenir. La municipalité de Grospierres a déjà voté à l’unanimité contre ce projet. Celle de Sampzon ne s'est néanmoins officiellement pas prononcé! Ce projet ne doit pas voir le jour, ne devrait pas être étudié! Ne perdons pas de temps, opposons-nous!
    207 sur 300 Signatures
    Créée par Henri V.
  • Non à la construction d'un aéroport international au coeur des Pyrénées - Victoire !
    La Chambre de commerce d’Andorre prévoit de construire un aéroport international en plein coeur des alpages pyrénéens, à 2000 m d'altitude. Cet aéroport est conçu pour accueillir des avions de type A320 ou Boeing 737 et jusqu'à 500 000 passagers par an. Il est destiné à développer un tourisme de LUXE ciblant une clientèle fortunée originaire d’Europe, de Russie, du Moyen-Orient et d’Asie et à attirer des investissements étrangers. Nous, habitants andorrans, catalans, français et espagnols de la région pyrénéenne, et nous tous habitants de la Terre, soutenus par des associations de défense de l'environnement, nous opposons fermement à ce projet qui va à l'encontre des objectifs de lutte contre le RECHAUFFEMENT climatique, de protection de la biodiversité et de l'environnement. Nous refusons que des intérêts purement économiques alimentent la fuite en avant d’une croissance sans limites du trafic aérien. A l’heure où le secteur aérien représente déjà 6,4% des émissions de CO2 de la France, et alors que les solutions de décarbonation de l'aviation n'ont pas fait leurs preuves et n’auraient qu'un impact trop tardif et trop limité face à l’URGENCE climatique, construire de nouveaux aéroports va à l'encontre des objectifs de l'Accord de Paris. À l’heure où la BIODIVERSITE s’effondre, il est inacceptable de mettre en danger de nombreuses espèces végétales et animales par un projet entraînant d’énormes nuisances sonores, le bétonnage de la montagne et la pollution de zones humides. A l'heure où les touristes et les vacanciers viennent chercher à la montagne le calme et l'air pur qu'ils ne trouvent plus dans les villes, est-il bien opportun de créer des NUISANCES sonores et de nouvelles pollutions dans un endroit encore préservé, qui affecteront également toute l’année les habitants de la Principauté et des régions environnantes ? A l’heure où le réchauffement climatique rend de plus en plus incertain l'ENNEIGEMENT des Pyrénées, est-il bien raisonnable de construire un aéroport destiné pour une bonne part à amener des skieurs « au pied des pistes » ? A l'heure où l'on s'interroge sur la viabilité économique des trop nombreux petits aéroports, est-il bien fondé d'en construire un nouveau ?  A l'heure où le gouvernement français souhaite revitaliser l'offre de TRAINS de nuit, est-il logique de concurrencer la ligne historique Paris - Latour-de-Carol qui dessert la Principauté ? Il est encore temps d’agir et de dire NON à la construction d’un aéroport international en Andorre. Signez et partagez cette campagne pour demander l’abandon du projet. Ensemble, faisons en sorte que ce non-sens climatique, environnemental, social et économique ne voie pas le jour. SOUTIENS : Greenpeace France, Alternatiba, ANV-COP21, Mountain Wilderness France, Mountain Wilderness Catalunya, Rester sur Terre (Stay Grounded), AndRail - Plataforma pel ferrocarril a Andorra, Confederación de Ecologistas en Acción, Un Climat de Changement, Ceretània, Bien vivre en Pyrénées catalanes... __ En català __ No a la construcció d’un aeroport internacional al cor dels Pirineus. Renúncia a la construcció d’un aeroport internacional a Andorra, al cor de les muntanyes pirinenques: un despropòsit climàtic, ambiental, social i econòmic. Per què hem d’actuar ara? La Cambra de Comerç d’Andorra té previst construir un aeroport internacional al cor de les pastures pirinenques, a 2000 m d’altitud. Aquest aeroport està dissenyat per allotjar avions tipus A320 o Boeing 737 i fins a 500.000 passatgers a l'any. Es pretén desenvolupar un turisme de LUXE dirigit a una clientela rica d’Europa, Rússia, Orient Mitjà i Àsia i atraure inversions estrangeres. Nosaltres, habitants andorrans, catalans, francesos i espanyols de la regió dels Pirineus, i tots els habitants de la Terra, recolzats per associacions per a la defensa del medi ambient, ens oposem fermament a aquest projecte que va en contra dels objectius de la lluita: ESCALFAMENT climàtic, protecció de la biodiversitat i del medi ambient. Ens neguem a permetre que els interessos purament econòmics alimentin la precipitació d'un creixement il·limitat del trànsit aeri. En un moment en què el sector de l’aviació ja representa el 6,4% de les emissions de CO2 de França i, tot i que les solucions de descarbonització de l’aviació no han estat demostrades, i que tindrien un impacte massa tardà i massa limitat davant de l’EMERGÈNCIA climàtica, la construcció de nous aeroports va en contra dels objectius de l'Acord de París. En un moment en què la BIODIVERSITAT s’enfonsa, és inacceptable posar en perill moltes espècies de plantes i animals per un projecte que provoca una enorme contaminació acústica, el formigonat de les muntanyes i la contaminació dels aiguamolls. En un moment en què els turistes i els estiuejants venen a la muntanya a buscar aire tranquil i pur que ja no troben a les ciutats, és realment adequat crear MOLÈSTIES acústiques i nova contaminació en un lloc encara preservat, que també afectarà els habitants del Principat i de les regions circumdants durant tot l'any? En un moment en què l'escalfament global fa que el nivell d’INNIVACIÓ al Pirineu sigui cada vegada més incert, és realment raonable construir un aeroport destinat principalment a portar els esquiadors "a peu de pistes"? En un moment en què ens preguntem sobre la viabilitat econòmica dels aeroports petits, que ja són massa nombrosos, està justificat construir-ne un de nou? En un moment en què el govern francès vol revitalitzar l'oferta nocturna de TRENS, és lògic competir amb la línia històrica París - Latour-de-Carol que dona servei al Principat? Encara som a temps d’actuar i dir NO a la construcció d’un aeroport internacional a Andorra. Firmeu i compartiu aquesta campanya per exigir l’abandonament del projecte. Junts, assegurem-nos que aquest despropòsit climàtic, ambiental, social i econòmic no vegi la llum del dia.
    7 967 sur 8 000 Signatures
    Créée par Collectif Non à l'aéroport d'Andorre
  • NON à la nouvelle zone industrielle de Hoerdt, avec l'EPSAN, de Reichstett jusqu'à l'autoroute
    Les élus de la Basse Zorn ont voté "POUR" un projet de réalisation d'une nouvelle zone industrielle qui s'étendrait de Reichstett jusqu'à l'autoroute de Hoerdt, en englobant l'hôpital de Hoerdt. Au départ le sujet ne comporte que la réhabilitation de l'hôpital EPSAN. Mais ne trouvant personne intéressé pour le moment, et aucune idée de réaffectation de ce site magnifique et riche d'une biodiversité incroyable, les élus ont accepté de sacrifier l'hôpital et les terres agricoles autour à l'entreprise Brownfields. Cette nouvelle zone propulserait l'ensemble avec les nombreuses zones existantes autour, au rang de "plus grande zone d'activité du grand Est". Faisons savoir aux élus que ce n'est pas le bon choix, et qu'il y a d'autres solutions. merci de SIGNER cette pétition pour stopper ce projet! demain il sera trop tard... Vous pouvez consulter le site www.bassezornvivant.fr et écrire un mail à [email protected] pour avoir plus d’informations.
    1 972 sur 2 000 Signatures
    Créée par Basse Zorn Vivant
  • Biodiversité et agriculture menacées à Plobsheim par Europa Park
    L’entreprise allemande détentrice du parc d’attractions Europa Park n’ayant pas trouvé de terrain de son côté de la frontière, elle souhaite établir des studios de création 3D, une résidence d’artistes et un siège social français à Plobsheim, sur des terres pour l’instant végétalisées et inconstructibles, avec le soutien de la commune et de l’Eurométropole de Strasbourg. Cette installation se ferait au détriment de la biodiversité, sur une zone définie comme « écologique ou paysagère sensible à préserver » au Schéma de cohérence territoriale de Strasbourg (Scoters) et dans un corridor écologique de la trame verte et bleue. A protéger: une végétation typique des zones humides du Ried, et de nombreuses espèces comme le lézard des murailles, le faucon hobereau ou la pipistrelle commune. Le recul des habitats sauvages et la perte vertigineuse de la biodiversité nous entraînent dans une ère pandémique: il semble impensable de sacrifier encore de l’espace naturel à des intérêts privés, aussi innovants soient-ils. Cette arrivée au milieu des champs ferait aussi perdre des cultures à quatre agriculteurs, dont un paysan bio qui vend ses farines aux habitants et aux boulangers. Nous pensons qu’il est urgent au contraire de renforcer la souveraineté alimentaire du territoire, d’encourager les producteurs locaux, de respecter le travail de conversion des sols, et de ne plus sacrifier de terres agricoles autour de Strasbourg. L’implantation de cette entreprise trouvera de vraies performances écologiques en se réalisant sur un terrain déjà artificialisé comme il s’en trouve à 8km, au parc d’innovation d’Illkirch, certes un peu moins « naturel et isolé » que ne le rêve la société. La commune de Plobsheim n’a rien à perdre à l’abandon de cette installation: ni les 15 à 50 emplois de niche, a priori pas destinés à ses habitants, ni les rentrées financières qui se limiteraient à la taxe foncière pour les 2,9ha. Elle a au contraire tout intérêt à préserver ses paysages, sa petite faune et sa production alimentaire, qui sont sans doute ses meilleurs atouts face aux défis d’aujourd’hui. Alors que nos voisins allemands du Bade Wurtemberg ne concèdent plus d’espaces à artificialiser au groupe familial Mack International, cessons, nous aussi, de céder nos terres alsaciennes. Exprimons-nous avant qu’il ne soit trop tard. D’autant que d’autres projets se profilent en enfilade comme un immense complexe hôtelier dans le Ried voire un téléphérique!
    602 sur 800 Signatures
    Créée par Sophie B.
  • Soutenez le classement du site de Grignon au titre des monuments historiques
    Le domaine de Grignon est vendu par l’Etat pour financer le déménagement d’AgroParisTech à Saclay. Le peu de transparence sur la vente et l’absence de concertation des riverains et de la communauté AgroParisTech nous ont contraints à nous mobiliser. Nous avons ainsi bloqué le campus pendant trois semaines pour protester contre les conditions de vente du site. Face aux difficultés à avoir accès aux projets des acheteurs, et face aux informations que nous avons sur leur volonté de morceler le site, nous tentons de protéger le domaine avant qu’il ne soit trop tard. Le domaine historique de Grignon (à savoir les terres agricoles, la forêt et les bâtiments construits avant 1941, entourés par 7 km de murs) est inscrit aux monuments historiques depuis 1941. Cependant, cette protection n’est pas suffisante: elle est très peu contraignante pour l'entretien des bâtiments, n'empêche pas le morcellement du site et est relativement facile à annuler. Une procédure de classement a déjà été évoquée en 2020 mais le dossier n’a pas été retenu pour des raisons inconnues. Afin d’obtenir une garantie d’obligation de conserver l’authenticité et l’intégrité du domaine historique et naturel, nous avons envoyé une demande de classement auprès de M. Jean-François Hébert, Directeur général du patrimoine et de l’architecture et à M. Albéric de Montgolfier, président de la Commission Nationale du Patrimoine et de l’Architecture (CNPA). Nous réaffirmons par ce mouvement notre attachement au domaine de Grignon et à ses atouts historiques, scientifiques et écologiques. L'intérêt de ce site porte bien au-delà de l’enceinte d’AgroParisTech. Les enjeux mis en cause concernent toutes celles et ceux qui souhaitent voir se développer des projets d’avenir en termes d’écologie, d’éducation et de culture. Préservons le patrimoine! Devenons des citoyen.ne.s engagés pour le bien commun! Pour plus d'informations, vous pouvez consulter notre site internet https://sauvonsgrignon.fr/ ou notre vidéo de présentation du domaine https://youtu.be/4syoAHtfgQM
    1 439 sur 2 000 Signatures
    Créée par Sauvons Grignon
  • Non à la rocade Sud de La Roche-sur-Yon
    Quartier de Saint-André d'Ornay à La Roche-sur-Yon (Vendée), la densité du trafic pose problème.  Mais la rocade Sud n’est pas la solution, au contraire : elle est un problème de plus et à l’heure de l’urgence climatique une aberration écologique ! Créer cette rocade ce serait :  -  saccager la Vallée de l’Ornay, sa faune et sa flore, sacrifier des terres agricoles,  artificialiser des sols précieux et priver de tranquillité riverains, randonneurs et promeneurs -  déplacer le problème  -  amener à brève échéance des pressions en termes d’urbanisation de la zone.  Nous demandons l’arrêt immédiat des travaux engagés, au nom de l’urgence climatique et environnementale. Nous demandons par ailleurs que soit respecté et renforcé l’arrêté municipal interdisant la traversée de Saint-André d'Ornay aux poids lourds (sauf desserte locale). Nous demandons enfin que soient engagées une vraie réflexion sur la mobilité à l’échelle de l’agglomération de La Roche-sur-Yon, en y associant les habitant·e·s. Nous n’avons pas de planète B. NON au petit contournement sud de La Roche-sur-Yon, OUI à une solution alternative efficace et durable !
    691 sur 800 Signatures
    Créée par Collectif Sauvons la vallée L'Ornay Picture
  • Protégeons le site de Grignon: appuyons la transition écologique, conservons notre patrimoine
    Le site de Grignon, au cœur des Yvelines, est un atout précieux de notre patrimoine. Le château construit au XVIIème siècle, le parc de 290 ha, la forêt et son arboretum sont aujourd’hui mis en danger par la privatisation du site. Nous avons jusqu’au 26 mars pour mettre en pause ce processus de vente dont l’appel d'offres semble destiné à favoriser des promoteurs immobiliers (comme Altarea Cogedim et Novaxia qui font partie des acheteurs retenus). Tous les projets de ces acteurs restent opaques, excepté le projet Grignon 2026 dont le contenu a été rendu public. Nous déplorons l’absence de collaboration avec les étudiants, les chercheurs et professeurs, le personnel AgroParisTech et les habitants de Thiverval-Grignon quant au rachat du site. Nous sommes pourtant impliqués, et désirons pouvoir peser en faveur de projets protégeant et valorisant le site exceptionnel de Grignon. Nous demandons : -L’interruption du processus de vente avant la date butoir du 26 mars. -L’ouverture du dialogue avec le ministre de l’Agriculture, Julien Denormandie, vendeur du site et lui-même ancien élève de Grignon, et avec le Ministère des finances afin qu'une réévaluation des critères de choix concernant la vente soit co-construite avec les enseignants-chercheurs, les étudiants, le personnel d'AgroParisTech et les habitants de la commune. -La transparence sur les candidats et leurs projets. -La transparence sur le jury et ses compétences en termes d’évaluation écologique et agronomique des projets. Face à l’absence de discussion possible, un blocage étudiant a été voté à la majorité absolue lundi 15 mars lors d’une assemblée générale. Nous sommes aujourd’hui plus de 300 étudiant.e.s de l’école réunis au travers de ce mouvement pacifique, censé établir un dialogue qui aurait dû être instauré depuis longtemps. De plus, ce projet de privatisation du site de Grignon va à l’encontre des objectifs affichés du gouvernement contre l’artificialisation des sols. L'intérêt de ce site porte bien au-delà de l’enceinte d’AgroParisTech. Les enjeux mis en cause concernent toutes celles et ceux qui souhaitent voir se développer des projets d’avenir en termes d’écologie, d’éducation et de culture. Citoyen·ne·s qui partagez nos préoccupations pour un avenir durable, opposez-vous à la privatisation du site de Grignon et signez la pétition !
    7 516 sur 8 000 Signatures
    Créée par Stop Privatisation Grignon
  • l'eau est un bien commun
    Depuis plus de 30 ans les climatologues disent bien, qu'avec le dérèglement climatique, il n'y aura pas moins d'eau mais une dégradation de la répartition annuelle des pluies : inondations l'hiver et sécheresse l'été, Tous les ans les indemnités sécheresses et inondations coutent des milliards aux contribuables (sans parler des vies humaines ... ) alors qu'avec quelques millions on résoudrait en même temps les deux problèmes. Sans oublier l'énergie propre que peut fournir une turbine associée à une retenue, en France nous avons largement de quoi doubler notre production hydroélectrique ! C'est le climat qui a besoin d'eau et de végétation l'été. Le secret d'un bassin hydrologique en bonne santé c'est sa densité végétale (la référence étant la forêt de feuillus), plus on génère de biomasse plus on augmente le pouvoir de rétention d'eau des sols et donc de filtration, plus la densité végétale est importante et plus on alimente le cycle des pluies. L'eau est un bien commun qui commence par la pluie, les particuliers ont l'obligation d'infiltrer les pluies à la parcelle, les champs infiltrent toutes les pluie (même si on peut admettre quelques ruissellements épisodiques dans certaines parcelles quand justement les nappes sont pleines et qu'il faudrait capter ces ruissellements dans des réserves collinaires pour éviter les inondations ... ) , il n'y a que les villes qui rejettent 90% des pluies en rivières pour diluer les polluants des stations d'épuration, et c'est totalement illégal ! 80% des stations d'épurations françaises ne sont pas aux normes et polluent les rivières, avec la loi écocide tous les rejets de polluants (même dilués dans les rivières...) seront interdits, il faudra recycler l'eau dans les sols et donc la donner à ceux qui en ont besoin pour nourrir la population : les agriculteurs !
    244 sur 300 Signatures
    Créée par laurent d.
  • Stop Panhard à Sens
    Nous appelons les Sénonaises et Sénonais, toutes et tous les habitantes et habitants des communes du Grand Sénonais, les commerçants, les artisans, les paysans du territoire à exiger l'abandon de ce projet. Le projet d’installation à Sens d’une plateforme logistique pour un mystérieux géant du e-commerce par la société Panhard est mené dans l’ombre, comme toujours, pour éviter les oppositions citoyennes : il a fallu des questions au conseil municipal du 23 novembre 2020 pour que quelques rares informations soient données. Ce que l’on sait : On parle de l’implantation d’une immense « plateforme logistique pour un géant du e-commerce » par le groupe Panhard, sur 40ha de terres agricoles. Les impacts néfastes qu’aurait ce projet sont nombreux : Destruction du patrimoine naturel et rural sénonais, dans la lignée des ravages déjà commis avec l’extension de la lèpre des zones commerciales et d’activité, alors même que des zones existantes périclitent. Nouveau recul de l’activité agricole, un atout majeur d’attractivité gaspillé. Augmentation terrible du trafic routier : Près de 1000 mouvements quotidiens Poids lourds, et plus de 2500 mouvements de « Véhicules légers », c’est-à-dire de grosses camionnettes Destruction des commerces locaux, au bout du compte, des pertes nettes d’emplois Nouveaux coûts de voirie et de réseaux récurrents pour la collectivité, qui devront être assumés quel que soit le destin de ce projet Pourquoi si peu de transparence et d’information publique ? Quels avantages fiscaux pour ce « géant » ? Quels bénéfices attendus en termes d’impôts locaux au regard des investissements initiaux et des coûts récurrents d’entretien des infrastructures ? Comparons avec un commerce « type » de notre ville, en termes d’imposition au m² ! Le principal argument des promoteurs de ce projet néfaste : les emplois créés. DES EMPLOIS CRÉÉS, VRAIMENT ? Ce véritable bouclier magique derrière lequel se retranchent les soutiens du projet est une illusion ! > 2000 emplois promis, ce sera dans les faits 200 ou 300, il suffit de voir ce qui s’est fait ailleurs > 1 emploi créé dans le e-commerce c’est 2,5 emplois détruits dans les commerces de proximité > Avec la Robotisation, à terme, c’est 0 emploi que nous aurons. > Des emplois précaires dans des conditions de pénibilité avérées : cadence de travail infernale imposée par des robot, pauses réduites, burn-out fréquents… C’est un rythme proprement inhumain. > Une rotation du personnel très élevée, les employés sont renouvelés très régulièrement, avec une formation minimale des salariés. > Aucune garantie sur la durée de cette activité   Comment cela se passe-t-il sur d’autres sites à deux pas de chez nous ? > A Savigny-sur-Clairis, à 25km de Sens, la base logistique de 57.000m² du promoteur FM Logistique pour le compte de Carrefour a fermé après seulement 2 ans. 300 emplois perdus. > A deux pas, Ibiden qui a touché des subventions de la région pour s’installer, part en Hongrie en 2018. 300 emplois perdus Et si on regarde sur la France entière, les exemples sont légion, et les opposants arrivent souvent à empêcher ces projets de se faire pour sauver leur patrimoine naturel et les commerces de proximité.
    949 sur 1 000 Signatures
    Créée par Sens Ecologie & Solidarité E. Picture