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Victoire : Refusons l’atoll artificiel de surf sur le lac du Bourget !Les indignations se multiplient, que ce soient celles des usagers, des plaisanciers, des pêcheurs, des riverains, des élus sensibles, et même des commerçants. Ils ne souhaitent pas voir de dégradation du paysage et des installations techniques sortir de l’eau. Le projet privé est présenté habilement pour jouer de séduction - mais doté d’un « greenwashing » grossier et illusoire - imaginant une adaptation de nurserie pour poissons et un système de dépollution des cyanobactéries alors qu'elles ne posent pas de problèmes. De même la société propose d'oxygéner le lac...qui n'en a plus besoin depuis longtemps. Tout cela prouve une méconnaissance totale du milieu lacustre local. C’est un conte pour faire passer la pilule. Cet atoll est en effet une fiction, il n’a jamais été créé nulle part encore. Evidemment, ces arguments commerciaux sont d’ores et déjà récusés par les scientifiques du milieu lacustre local, pour lesquels le brassage des eaux est une violence et la maîtrise de la pollution un domaine éminemment sérieux. Quant aux promesses de gain touristique, on pourrait se poser la question du phénomène repoussoir au contraire, vu l’image naturelle du lac habituellement promue par la Savoie. La consommation d’énergie nécessaire pour ce dispositif pose aussi le problème de peser inutilement sur le dérèglement climatique. Alors, • Manifestez avec nous votre désapprobation d’un projet dégradant, à visée uniquement commerciale, • Dites avec nous que le lac du Bourget ne peut s’artificialiser tel un parc d’attraction, • Affirmez avec nous que l’espace naturel est très précieux pour préserver l’eau, • Faites valoir avec nous que le lac du Bourget est un bien commun inaliénable, Signez cette pétition et diffusez-la le plus largement possible !21 630 sur 25 000 SignaturesCréée par FNE 73 Savoie
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Initiative pour une option végétarienne à la cantine du lycée !Aujourd'hui, à la cantine du lycée, nous n’avons pas d’autre choix que de manger de la viande tous les jours ou presque. Cette situation contribue à la surproduction de viande industrielle qui accélère le réchauffement climatique et contribue à la déforestation (1). C’est aussi un problème pour notre santé (2). Nous, élèves du lycée Triboulet, rejoignons l’initiative afin d’affirmer notre engagement pour l’environnement, et demandons à la direction du lycée d’agir pour notre futur. Nous ne sommes pas tous végétarien·es mais nous voulons avoir le choix de consommer moins de viande. Nous demandons la mise en place d’une option végétarienne quotidienne équilibrée et de qualité, accessible à tout.es. De nombreuses cantines lycéennes offrent déjà cette possibilité, pourquoi pas la notre ? Ce menu végétarien offrira la possibilité à chaque lycéen·ne de choisir tous les jours son repas, et d’agir concrètement pour la transition écologique. L’instauration de ce menu végétarien quotidien aura des effets positifs sur le climat (3), et dans le même temps, diminuer la part de viande permettra de libérer du budget pour introduire des produits de meilleure qualité et pour servir des repas plus variés (4). Il est urgent d’agir pour la planète et il n’y a aucune raison de ne pas le faire. La nouvelle loi climat propose à tous les lycées qui le souhaitent d’expérimenter ce menu végétarien quotidien en plus d’un menu végétarien hebdomadaire, désormais obligatoire (article 252, loi climat et résilience). Avec cette initiative, nous voulons ouvrir le dialogue entre les élèves, et avec la direction, pour agir concrètement en faveur de la transition écologique. Signez et partagez l’initiative aux élèves de votre classe pour montrer votre soutien. Sources : (1) IPBES 2020 et FAO 2013 (2) Cancer : cancérogénicité de la consommation de viande rouge et de viande transformée, OMS 2015, https://bit.ly/3AfSshU (3) Rapport de Greenpeace "Menus végétariens à la cantine, quels impacts pour la planète?" - sept 2020 : https://bit.ly/35MBnR4 (4) Rapport Greenpeace et AVF “Option végétarienne dans les cantines : la réalité du terrain” - Février 2021 : https://bit.ly/3lh94BE40 sur 100 SignaturesCréée par Emy A.
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Lycée Jacques Monod : Pour Une Option Végétarienne !Aujourd'hui, à la cantine du lycée Jacques Monod, nous n’avons pas d’autre choix que de manger de la viande tous les jours ou presque. Cette situation contribue à la surproduction de viande industrielle qui accélère le réchauffement climatique et contribue à la déforestation (1). C’est aussi un problème pour notre santé (2). Nous, élèves du lycée Jacques Monod, rejoignons l’initiative afin d’affirmer notre engagement pour l’environnement, et demandons à la direction du lycée d’agir pour notre futur. Nous ne sommes pas tous végétarien·es mais nous voulons avoir le choix de consommer moins de viande. Nous demandons la mise en place d’une option végétarienne quotidienne équilibrée et de qualité, accessible à tout.es. De nombreuses cantines lycéennes offrent déjà cette possibilité, pourquoi pas la notre ? Ce menu végétarien offrira la possibilité à chaque lycéen·ne de choisir tous les jours son repas, et d’agir concrètement pour la transition écologique. L’instauration de ce menu végétarien quotidien aura des effets positifs sur le climat (3), et dans le même temps, diminuer la part de viande permettra de libérer du budget pour introduire des produits de meilleure qualité et pour servir des repas plus variés (4). Il est urgent d’agir pour la planète et il n’y a aucune raison de ne pas le faire. La nouvelle loi climat propose à tous les lycées qui le souhaitent d’expérimenter ce menu végétarien quotidien en plus d’un menu végétarien hebdomadaire, désormais obligatoire (article 252, loi climat et résilience). Avec cette initiative, nous voulons ouvrir le dialogue entre les élèves, et avec la direction, pour agir concrètement en faveur de la transition écologique. Signez et partagez l’initiative aux élèves de votre classe pour montrer votre soutien. Sources : (1) IPBES 2020 et FAO 2013 (2) Cancer : cancérogénicité de la consommation de viande rouge et de viande transformée, OMS 2015, https://bit.ly/3AfSshU (3) Rapport de Greenpeace "Menus végétariens à la cantine, quels impacts pour la planète?" - sept 2020 : https://bit.ly/35MBnR4 (4) Rapport Greenpeace et AVF “Option végétarienne dans les cantines : la réalité du terrain” - Février 2021 : https://bit.ly/3lh94BE36 sur 100 SignaturesCréée par Ethan L.
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Sauvons le Bois des Coutures à Cléon !Fin août à Cléon, 2 hectares de forêt étaient rasés en quelques jours. Aujourd’hui dans le Bois des Brûlins, il ne reste plus trace des arbres cinquantenaires qui accueillaient les cabanes et les jeux des enfants, les balades du dimanche. La destruction du bois des Brûlins pourrait devenir le symbole des décisions politiques court-termistes qui ne peuvent plus être reproduites. Mais 13 hectares de forêt sont menacés un peu plus loin, dans le cadre du projet de ZAE des Coutures. Le 13 juillet 2017 déjà, dans l’enquête publique, la Préfète indiquait que « le projet nécessitera le déboisement de la quasi-totalité de la zone comprise dans un ensemble considéré comme un corridor écologique et constitutive d’habitats favorables pour des espèces de faune protégées ». La Métropole a déjà initié en 2020 la demande de dérogation pour détruire les espèces protégées présentes sur le site. Si rien n'est fait, nous pourrons dire adieu aux écureuils roux, hérissons d'Europe, aux chauve-souris, aux rossignols philomèle, ainsi qu'à la belle ancolie commune. Plus que jamais aujourd’hui, il faut stopper la destruction des espaces naturels et la bétonnisation, si nous voulons lutter contre le dérèglement climatique et préparer notre adaptation à ses impacts. Cet été, les éléments climatiques destructeurs se sont multipliés, jusqu’aux terribles inondations dans le Gard à la mi-septembre. Le rapport du GIEC publié en juillet est sans appel, c’est maintenant qu’il faut agir, y compris si cela veut dire revoir ou stopper des projets en cours. Plus tard, ce sera trop tard. L’arrêt de la bétonnisation, et la préservation de nos poumons verts, doivent être des priorités absolues pour répondre à l'urgence climatique, déclarée en décembre 2020 par la Métropole. Les nouveaux projets, l'aménagement du territoire, doivent être pensés désormais à la lumière de ce qui est bon pour notre santé, pour notre environnement et pour l'avenir de nos enfants. De nombreuses friches peuvent être utilisées pour accueillir de nouvelles activités ou des habitations. Utilisons l’espace dont nous disposons, construisons la ville sur la ville, et stoppons l’artificialisation. A Cléon, il est encore temps d’agir, sauvons le bois des Coutures !304 sur 400 SignaturesCréée par Verts et Solidaires -.
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STOP AU BETON - NON à l'urbanisation de 12 ha de surfaces agricoles et naturelles à HEMUn projet d’envergure dit « la Tribonnerie 2 » est envisagé (finalisation des études automne 2021) sur les terres cultivées de la Tribonnerie entre la rue de la Tribonnerie, la rue du Général Leclerc et la voie rapide (M6d). Il est prévu la construction de 250 à 300 logements ! Un projet sur près de 12 hectares de terres cultivées et naturelles et qui impactera en réalité plus de 20 hectares. Un projet qui - supprimerait des terres cultivées et naturelles de manière irréversible ; - impacterait la biodiversité du territoire ; - amènerait près de 600 voitures supplémentaires sur des axes déjà saturés (22 000 voitures par jour sur la voie rapide) ; - augmenterait la pollution de l'air déjà largement au-dessus de la valeur limite réglementaire (les particules PM 2,5 sont au double de la valeur et les PM 10 les dépasse largement) ; - élèverait les risques d’inondation (suppression de prairies potentiellement humides, suppression d’une zone tampon à proximité de la Marque) ; - mettrait en tension les services publics et privés (écoles, absence de transports en commun adaptés et dimensionnés, équipements…). Alors même, que la loi climat a été votée le 4 mai 2021 et dont l’objectif est de diviser par 2 le rythme d’artificialisation des sols notant que la biodiversité, le réchauffement climatique, le cycle de l’eau et les terres jouent un rôle crucial pour la planète. Alors même que le SCoT (schéma de cohérence territoriale) de l’arrondissement de Lille a pour objectif de réduire la consommation d’espaces agricoles et naturels. Alors même que le PLU 2 (Plan local d’urbanisme) de la MEL adopté le 12 décembre 2019 rappelle les objectifs d’ « utilisation économe des espaces naturels, la préservation des espaces affectés aux activités agricoles et forestières et la protection des sites, des milieux et paysages naturels » Pour rappel, la MEL bénéficie d'un des plus faibles taux d'espace naturel national soit environ 15% de son territoire. Ce projet va donc à l’encontre de toutes ces orientations et objectifs. Il est à contre sens des enjeux actuels ! « L'artificialisation des sols est aujourd'hui l'une des causes premières du changement climatique et de l'érosion de la biodiversité », dit le ministère de la Transition écologique. La transformation d'un espace naturel en sol artificialisé modifie, voire détruit, l'habitat des espèces animales ou végétales. Un sol artificialisé n'absorbe plus de CO2 et participe donc à la hausse des températures. Il perd également sa capacité à absorber l'eau de pluie, multipliant ainsi les risques d'inondations. Sur le plan agricole, l'artificialisation des sols limite la production alimentaire. Enfin, afin d'être accessibles et fonctionnels, ces terrains nécessitent quantité d'entretien et d'efforts d'aménagement, comme la construction de nouvelles routes. L’argument principal de la commune de Hem et de la MEL est de pouvoir répondre à une demande de logements, notamment les logements sociaux. Il existe sur la MEL de nombreux espaces (friches industrielles, friches commerciales, entrepôts…) encore non exploités, à valoriser et sur lesquels des nouvelles constructions ne supprimeraient pas d’espaces agricoles et naturels. Ces zones doivent être priorisées. La planification doit se faire aussi de façon régionale ! Pendant que la Métropole Européenne de Lille attire les entreprises, les commerces et l’activité ; les villes moyennes aux alentours sont parfois à la peine (perte ou stabilisation de la population, manque de dynamisme du marché de l’emploi et des commerces…). La MEL n’a pas vocation à devenir une région à elle seule ! Un autre projet est possible, répondant aux enjeux actuels et à l’urgence écologique, avec la création d’un grand espace naturel composé de forêts, de prairie et d’un espace de promenade (piétons et vélos), de biodiversité, d’agriculture locale type maraichage bio, qui préserverait les zones humides et la biodiversité, qui laisserait mieux respirer les habitants et proposerait une alimentation saine et locale. Le PLU 2 doit être modifié ; la zone concernée AUDM (urbanisation différée) doit être requalifiée en zone naturelle (NP). Pour faire entendre votre VOIX, signez cette pétition. Partagez là ! Rejoignez le collectif citoyen «la Tribonnerie autrement» : [email protected] https://www.facebook.com/latribonnerieautrement167 sur 200 SignaturesCréée par La Tribonnerie Autrement
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Non à l'Ecoparc du Genevois, sauvons les terres agricolesLe Projet « d’éco parc » du Genevois: 25 hectares de terres agricoles condamnées alors que Saint Julien a déjà perdu 73% de ses surfaces labourables en 10 ans. (source: chambre agriculture, Etude d’impact P122) 25 hectares qui disparaissent pour que s’installent des entreprises ou des commerces aux emplois précaires. Un coût d’aménagement de 11,7 millions d’euros qui sera supporté par les contribuables. Des conséquences désastreuses: La mort de 25hectares de terres agricoles broyées sous le béton alors que nous pourrions y produire une nourriture locale pour répondre aux défis de la souveraineté alimentaire et d’une nourriture de qualité pour tous, en mettant en place des jardins partagés et/ou un pôle agricole de proximité. Une menace de plus pour les commerces et la vie du centre ville de Saint Julien déjà en difficulté. La destruction d’un territoire de bocage repère de biodiversité aux portes de Saint Julien alors que l’urbanisation a déjà détruit des nombreux espaces naturels ces dernières années « L’éco parc », n’a donc d’écologique que le nom. Alors pour la biodiversité, pour un centre ville dynamique, pour produire une nourriture de qualité : refusons ce projet!120 sur 200 SignaturesCréée par Emilie W.
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Amiens : Nous voulons + de repas végétariens et veganAujourd'hui, à la cantine du lycée, nous mangeons de la viande ou du poisson tous les jours ou presque. Manger trop de viande, oeufs et produits laitiers notamment issus de l’élevage industriel, a un impact énorme sur la dégradation de l’environnement et le dérèglement climatique (l’élevage industriel est responsable de 14,5% des émissions de gaz à effet de serre*). Tous cela sans parler du manque flagrant d'éthique. L’urgence climatique est un drame pour notre futur. Nous ne sommes pas tous végétarien·es mais nous sommes unanimes : nous voulons consommer moins de viande. Proviseure du lycée Robert de Luzarches - Corrine Pollet, il est grand temps d’agir pour la transition écologique. En plus de respecter la loi “Agriculture et Alimentation” qui prévoit l'introduction d’un repas végétarien par semaine obligatoire dans les cantines scolaires, nous vous demandons d'introduire dès maintenant dans notre lycée : - 2 menus végétariens pour tous par semaine; - Un choix végétarien équilibré et de qualité les autres jours; - Une majorité de produits frais, locaux et bio. Comme l’a démontré un récent rapport de Greenpeace, l’instauration de menus végétariens a des effets positifs sur le climat, l’eau et réduit les risques de déforestation. Dans le même temps, diminuer la part de viande permettra de libérer du budget pour introduire des produits de meilleure qualité et pour servir des repas plus variés. De nombreuses recettes végétariennes compatibles avec la restauration scolaire existent, des exemples sont consultables sur le site www.vegecantines.fr . De nombreuses mairies s’engagent réellement, en proposant deux menus végétariens par semaine, comme c’est le cas à Lille, Mouans-Sartoux, Grenoble ou Paris 19ème et 2ème. Ces menus leur ont permis d’améliorer la qualité des plats et d’acheter davantage de produits bio. Si ces établissements ont déjà opéré une transition végétale des cantines pourquoi pas Amiens? OUI, Amiens doit jouer son rôle dans la préservation de l’environnement, et cela passe aussi par notre assiette. Sources : *IPBES et FAO 2013 Rapport de Greenpeace "Menus végétariens à la cantine, quels impacts pour la planète?" - sept 2020 : https://bit.ly/35MBnR487 sur 100 SignaturesCréée par Charybde S.
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Sauvez SALONGALe Parc national de la Salonga est la plus grande réserve de forêt tropicale humide d’Afrique. Il est l'habitat de nombreuses espèces endémiques menacées, telles que le bonobo, le paon du Congo, l'éléphant de forêt et le crocodile africain. Malgre les assurances apportées par le gouvernement congolais, ce parc va être livré à l'exploitation des compagnies pétrolières et du fait de sa zone géographique instable, il sera IMPOSSIBLE de continuer à le protèger159 sur 200 SignaturesCréée par Catherine MENANTEAU D.
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Collines de Sierentz en danger ! Urbanisation imminente !L’association CAPS68 (Collectif Agir pour le Pays de Sierentz) a remis en mairie de Sierentz une pétition de 1092 signatures pour demander le classement des collines à l’ouest du ban communal en Espaces Naturelles Sensibles (ENS). Cette pétition a été en partie un succès car le secteur des collines classé en réserve foncière dans le PLU (Plan Local d’Urbanisme) sera classé en zone N (Naturelle) par la révision en cours du PLU puis en ENS selon les promesses municipales. MAIS CE N'EST PAS SUFFISANT ! Le secteur des collines classé "immédiatement constructible" (AUa2) fait l’objet d’un projet immobilier d’ampleur avec maisons individuelles et collectifs. Ce projet sur une emprise de 2,5 ha impactera considérablement les riches biotopes avec des espèces communes de faune et de flore mais aussi des espèces rares comme l’ornithogale penché (fleur classée vulnérable sur la liste rouge des espèces protégées d’Alsace). L’artificialisation des sols mais aussi la densité de population qu’amènera le projet dans cet inestimable écrin de verdure, aura un impact grave et irréversible sur la fonctionnalité d’un riche réservoir de biodiversité et d’un corridor écologique d’importance régionale et nationale. Nous demandons un engagement volontaire et fort de la municipalité et des instances administratives pour assurer la sauvegarde du corridor écologique et du réservoir de biodiversité ainsi que la pérennité du site de l’ornithogale penché. Nous demandons l’abandon de tout projet immobilier dans les collines de Sierentz. N'hésitez pas à laisser un commentaire après avoir signé. Merci pour votre soutient ! Contact: [email protected] Pour découvrir les collines de Sierentz : https://www.facebook.com/caps685101 128 sur 2 000 SignaturesCréée par Association CAPS68
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Sauvons nos rivières - STOP aux coupes rasesCes massacres récurrents sont une catastrophe écologique. Les ripisylves, outre leur avantage esthétique et paysager, ont des rôles multiples indispensables au bon fonctionnement des cours d’eau. La ripisylve (ou ramière) , est la végétation (arbres et arbustes) bordant les cours d’eau (du latin : ripa-rive et sylva-forêt). Les ripisylves peuvent former un liseré étroit ou au contraire un corridor large. Elles protègent les berges contre l’érosion grâce à l’enracinement des arbres en profondeur. Elles dissipent les courants en cassant la force de l’eau et protègent des inondations. Elles participent à l’amélioration de la qualité de l’eau par leur rôle de filtration naturelle. Elles sont un lieu de ressource de nourriture, un lieu de reproduction, de refuge et de vie pour de nombreuses espèces animales, végétales, terrestres et aquatiques. Dans l’environnement, c’est une des zones les plus riches qui abrite le plus d’espèces. La biodiversité y est maximale. Elles limitent la hausse de la température de l’eau et son évaporation, par l’ombre qu’elles apportent. Elles ont un effet brise-vent bénéfique pour les parcelles agricoles alentour. Aidez nous à protéger nos rivières!677 sur 800 SignaturesCréée par Collectif pour la sauvegarde des forêts drômoises ".
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Opposons-nous au projet de carrière sur la montagne de la Serre - Grospierres et SampzonLa montagne de la Serre est un sanctuaire naturel de première importance qui constitue un corridor écologique entre le parc national des Cévennes et la réserve régionale des gorges de l’Ardèche. Cette spécificité lui a valu le classement Natura 2000 et le label ZNIEF (Zone Naturelle d’intérêt et Ecologique et Faunistique) pour un large secteur jouxtant ce projet de carrière ! De nombreux scientifiques (naturalistes, géologues, archéologues…) sont déjà montés au créneau contre ce projet qui est une véritable aberration à l’heure où la protection des espaces naturels et la qualité de vie des habitants sont devenues une priorité des pouvoirs publics. De plus l’extension de cette exploitation serait fort probable à l’avenir. La municipalité de Grospierres a déjà voté à l’unanimité contre ce projet. Celle de Sampzon ne s'est néanmoins officiellement pas prononcé! Ce projet ne doit pas voir le jour, ne devrait pas être étudié! Ne perdons pas de temps, opposons-nous!158 sur 200 SignaturesCréée par Henri V.
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Non à la construction d'un aéroport international au coeur des Pyrénées - Victoire !La Chambre de commerce d’Andorre prévoit de construire un aéroport international en plein coeur des alpages pyrénéens, à 2000 m d'altitude. Cet aéroport est conçu pour accueillir des avions de type A320 ou Boeing 737 et jusqu'à 500 000 passagers par an. Il est destiné à développer un tourisme de LUXE ciblant une clientèle fortunée originaire d’Europe, de Russie, du Moyen-Orient et d’Asie et à attirer des investissements étrangers. Nous, habitants andorrans, catalans, français et espagnols de la région pyrénéenne, et nous tous habitants de la Terre, soutenus par des associations de défense de l'environnement, nous opposons fermement à ce projet qui va à l'encontre des objectifs de lutte contre le RECHAUFFEMENT climatique, de protection de la biodiversité et de l'environnement. Nous refusons que des intérêts purement économiques alimentent la fuite en avant d’une croissance sans limites du trafic aérien. A l’heure où le secteur aérien représente déjà 6,4% des émissions de CO2 de la France, et alors que les solutions de décarbonation de l'aviation n'ont pas fait leurs preuves et n’auraient qu'un impact trop tardif et trop limité face à l’URGENCE climatique, construire de nouveaux aéroports va à l'encontre des objectifs de l'Accord de Paris. À l’heure où la BIODIVERSITE s’effondre, il est inacceptable de mettre en danger de nombreuses espèces végétales et animales par un projet entraînant d’énormes nuisances sonores, le bétonnage de la montagne et la pollution de zones humides. A l'heure où les touristes et les vacanciers viennent chercher à la montagne le calme et l'air pur qu'ils ne trouvent plus dans les villes, est-il bien opportun de créer des NUISANCES sonores et de nouvelles pollutions dans un endroit encore préservé, qui affecteront également toute l’année les habitants de la Principauté et des régions environnantes ? A l’heure où le réchauffement climatique rend de plus en plus incertain l'ENNEIGEMENT des Pyrénées, est-il bien raisonnable de construire un aéroport destiné pour une bonne part à amener des skieurs « au pied des pistes » ? A l'heure où l'on s'interroge sur la viabilité économique des trop nombreux petits aéroports, est-il bien fondé d'en construire un nouveau ? A l'heure où le gouvernement français souhaite revitaliser l'offre de TRAINS de nuit, est-il logique de concurrencer la ligne historique Paris - Latour-de-Carol qui dessert la Principauté ? Il est encore temps d’agir et de dire NON à la construction d’un aéroport international en Andorre. Signez et partagez cette campagne pour demander l’abandon du projet. Ensemble, faisons en sorte que ce non-sens climatique, environnemental, social et économique ne voie pas le jour. SOUTIENS : Greenpeace France, Alternatiba, ANV-COP21, Mountain Wilderness France, Mountain Wilderness Catalunya, Rester sur Terre (Stay Grounded), AndRail - Plataforma pel ferrocarril a Andorra, Confederación de Ecologistas en Acción, Un Climat de Changement, Ceretània, Bien vivre en Pyrénées catalanes... __ En català __ No a la construcció d’un aeroport internacional al cor dels Pirineus. Renúncia a la construcció d’un aeroport internacional a Andorra, al cor de les muntanyes pirinenques: un despropòsit climàtic, ambiental, social i econòmic. Per què hem d’actuar ara? La Cambra de Comerç d’Andorra té previst construir un aeroport internacional al cor de les pastures pirinenques, a 2000 m d’altitud. Aquest aeroport està dissenyat per allotjar avions tipus A320 o Boeing 737 i fins a 500.000 passatgers a l'any. Es pretén desenvolupar un turisme de LUXE dirigit a una clientela rica d’Europa, Rússia, Orient Mitjà i Àsia i atraure inversions estrangeres. Nosaltres, habitants andorrans, catalans, francesos i espanyols de la regió dels Pirineus, i tots els habitants de la Terra, recolzats per associacions per a la defensa del medi ambient, ens oposem fermament a aquest projecte que va en contra dels objectius de la lluita: ESCALFAMENT climàtic, protecció de la biodiversitat i del medi ambient. Ens neguem a permetre que els interessos purament econòmics alimentin la precipitació d'un creixement il·limitat del trànsit aeri. En un moment en què el sector de l’aviació ja representa el 6,4% de les emissions de CO2 de França i, tot i que les solucions de descarbonització de l’aviació no han estat demostrades, i que tindrien un impacte massa tardà i massa limitat davant de l’EMERGÈNCIA climàtica, la construcció de nous aeroports va en contra dels objectius de l'Acord de París. En un moment en què la BIODIVERSITAT s’enfonsa, és inacceptable posar en perill moltes espècies de plantes i animals per un projecte que provoca una enorme contaminació acústica, el formigonat de les muntanyes i la contaminació dels aiguamolls. En un moment en què els turistes i els estiuejants venen a la muntanya a buscar aire tranquil i pur que ja no troben a les ciutats, és realment adequat crear MOLÈSTIES acústiques i nova contaminació en un lloc encara preservat, que també afectarà els habitants del Principat i de les regions circumdants durant tot l'any? En un moment en què l'escalfament global fa que el nivell d’INNIVACIÓ al Pirineu sigui cada vegada més incert, és realment raonable construir un aeroport destinat principalment a portar els esquiadors "a peu de pistes"? En un moment en què ens preguntem sobre la viabilitat econòmica dels aeroports petits, que ja són massa nombrosos, està justificat construir-ne un de nou? En un moment en què el govern francès vol revitalitzar l'oferta nocturna de TRENS, és lògic competir amb la línia històrica París - Latour-de-Carol que dona servei al Principat? Encara som a temps d’actuar i dir NO a la construcció d’un aeroport internacional a Andorra. Firmeu i compartiu aquesta campanya per exigir l’abandonament del projecte. Junts, assegurem-nos que aquest despropòsit climàtic, ambiental, social i econòmic no vegi la llum del dia.7 968 sur 8 000 SignaturesCréée par Collectif Non à l'aéroport d'Andorre
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