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Wauquiez assèche Natura 2000, agissons !Outils fondamentaux de la politique européenne de préservation de la nature, les sites Natura 2000 visent à éviter les activités préjudiciables à la biodiversité en privilégiant la recherche d’une gestion équilibrée et durable des espaces concernés. La démarche repose sur la participation, le dialogue et la concertation de l’ensemble des habitants et habitantes, acteurs et actrices des zones sélectionnées intervenant dans les domaines tels que : l’écologie, l’agriculture, le tourisme, la chasse, l’économie et le social. La région AURA est la seule à proposer la suppression des subventions européennes destinées au fonctionnement des zones Natura 2000. Sans votre soutien, d'ici peu de temps, le vote du budget 2023 de la Région AURA entérinera la décision destructrice de Laurent Wauquiez, avec pour conséquences : ❌ la mise en danger des zones Natura 2000, 266 sites naturels, soit 938 450 hectares (13% de la surface totale de la région), et plus de 2000 espèces animales et végétales protégées. ❌ la suppression de 100 à 200 emplois équivalent temps plein : chargé·es de mission, animateurs·trices... 📣 C'est pourquoi au côté de 27 organisations, nous demandons à la Région AURA de rétablir la totalité de ces crédits européens en faveur des zones Natura 2000. ✊ Ensemble, nous pouvons faire reculer Laurent Wauquiez et sauvegarder un formidable outil de dialogue et de protection de la biodiversité qui a fait ses preuves depuis des dizaines d'années. Signez la pétition et changez la donne !16 872 sur 20 000 SignaturesCréée par Greenpeace Clermont-Ferrand
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Incendies, climat, biodiversité : STOP aux lanternes volantes !LES LANTERNES VOLANTES PEUVENT PROVOQUER DES INCENDIES Pour limiter le risque d’incendies (1), dans un contexte de sécheresses, de plus en plus de collectivités en viennent à devoir interdire le lancer de lanternes célestes sur leur territoire (dites aussi volantes, chinoises ou thaïlandaises). Cet été 2022, c’est en autres le cas de la Loire, du Calvados, de la Lozère, de l’Ille et Vilaine, etc. Bien sûr, la loi oblige toujours à déclarer les lancers de lanternes volantes un mois avant l’événement à la préfecture. Mais comment tous les contrôler dans une période estivale favorable aux festivités et notamment aux mariages ? Est-ce un risque qui mérite d’être pris ? Lâcher une lanterne enflammée, c’est perdre le contrôle du feu. LES INCENDIES SONT UN DRAME POUR LES FORÊTS, MAIS AUSSI POUR LE CLIMAT Les images de feux de forêt qui ont dévasté la France cet été ont choqué les Français et ont eu un effet désastreux sur le climat. Une forêt qui brûle, c’est un puits de carbone qui disparaît (2) mais c’est surtout des émissions de CO2 qui s’envolent : tout le CO2 séquestré dans les arbres pendant des centaines d’années est rejeté dans l’atmosphère en quelques minutes seulement. LES LANTERNES VOLANTES SONT DES DÉCHETS NON COMPOSTABLES ET DANGEREUX POUR LA FAUNE Parce que c’est la loi, pour pouvoir s’envoler sans brûler, elles doivent être “composées de matériaux non susceptibles de s’enflammer”, qui mettront du temps à se dégrader. Et parce que c’est comme cela qu’elles sont faites, elles ont aussi une structure métallique, qui peut s’avérer dangereuse pour les animaux. Autrement dit : les lanternes célestes sont des déchets dangereux qui s’envolent et finissent par tomber sans qu’on puisse savoir où. Dès lors, leur simple utilisation semble contraire à plusieurs articles existants dans la loi française, notamment le Code Pénal (article R632-1 qui interdit l’abandon de tout objet dans la nature) et le Code de l’Environnement (notamment article 541-2 qui tient tout producteur de déchets responsable de leur gestion jusqu’à leur élimination ou valorisation finale). Dans un contexte de multiplication d'épisodes de sécheresse, de dérèglement climatique et de lutte contre les déchets dangereux, il est donc temps d’interdire l’utilisation et la vente de lanternes volantes partout en France, toute l’année. Une mesure simple qui peut éviter beaucoup. ....... (1) En Allemagne au Nouvel An 2020, des lanternes avaient par exemple provoqué l’incendie d’un zoo. En France, on trouve des événements similaires sur Twitter par exemple : https://twitter.com/longbeachrpg/status/1521359592822820865 ou https://twitter.com/The_Ulfric/status/1461669915216203778 (2) Un puits de carbone est un réservoir naturel qui absorbe les émissions de CO2. On estime qu’¼ des émissions est absorbé par les océans, ½ se retrouve dans l’atmosphère, et ¼ est absorbé par les arbres grâce à la photosynthèse. (source GIEC)184 sur 200 SignaturesCréée par Claire B.
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Appel pour l’interdiction de tous les pesticides de synthèseLes pesticides chimiques sont des poisons qui détruisent tout ce qui est vivant. Utilisés pour lutter contre les herbes et les insectes indésirables, leur action s’étend bien au-delà de ces seuls organismes. Les effets des pesticides de synthèse se répercutent à tous les niveaux de l’écosystème. Comme leurs « cousins » les SDHI, qui n’agissent pas uniquement sur les champignons mais peuvent bloquer également la respiration des cellules animales et humaines. Comme leurs « descendants » les métabolites, ces molécules synthétiques souvent indétectées qui se répliquent à l’infini en saturant l’eau et la nature. Le tiers des oiseaux ont disparu en vingt ans ; la moitié des papillons en vingt-cinq ans ; les abeilles et les pollinisateurs meurent par milliards ; les fleurs sauvages sont si rares désormais. Contrairement à ce que prétendent l’industrie pharmaceutique et les lobbies agricoles, les pesticides ne sont pas indispensables pour nourrir la population mondiale. Par ailleurs, ils ne restent jamais à l'endroit où on les a répandus. Leurs méfaits n'épargnent pas les grandes villes. Ils viennent jusqu'à nous. Ils s'infiltrent dans les rivières, ils se propagent par les airs, ils sont dans l'eau de pluie, les aliments. Ils sont une tragédie pour la santé. Quand un pesticide est interdit, dix autres prennent sa place. Il y en a des milliers. Nous appelons donc à l’interdiction des pesticides de synthèse. Dans cette optique nous soutenons toute initiative allant dans ce sens comme l’appel européen Secrets toxiques et la pétition de Pollinis. Nous demandons aux élu.e.s de s’engager à voter l’interdiction des pesticides de synthèse pendant leur prochaine mandature et à favoriser une alimentation saine, du bio en plus grand nombre, accessible partout et en particulier dans toutes les cantines scolaires et administratives. -- Pétition lancée par Coquelicots de Paris -- Premiers signataires : Yann Arthus-Bertrand réalisateur photographe, Léa Balage El Mariky maire-adjointe Paris, Delphine Batho députée Deux-Sèvres, Julien Bayou député Paris, Paule Benit ingénieure de recherche INSERM, Anne-Claire Boux, maire-adjointe Paris, Joël Labbé sénateur Morbihan, Eric Lejoindre maire Paris 18, Danièle Obono députée Paris, Pierre Rustin directeur de recherches CNRS, Danielle Simonnet députée Paris, Gabrielle Siry-Houari maire-adjointe Paris 18, Sarah Legrain députée Paris -- Coquelicots de Paris -- contact : [email protected] et aussi sur Facebook et YouTube : Coquelicots de Paris sur Twitter : @desvoulons21 457 sur 25 000 SignaturesCréée par Coquelicots de Paris
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Non au projet d'un citystade - Oui à l'extension du jardin du petit bois à Gentilly⛔️ Des élus de Gentilly veulent détruire un jardin de 900 m2 au profit d'un City Stade alors qu'en même temps ils s'engagent au programme "Territoires engagés pour la nature en Ile-de-France". ⛔️ Des élus de Gentilly favorisent des projets allant à l'encontre de tout bon sens en pleine urgence climatique. ⛔️ La bétonisation augmente l'effet de chaleur et augmente le nombre de décès chez les plus fragiles. ⛔️ Le projet de citystade est redondant avec des équipements sportifs déjà existants avec un Citystade situé à 425 mètres (moins de 5 minutes à pieds), et le gymnase Carmen Le Roux à 50 mètres. ⛔️ Ce projet va très négativement impacter la valeur immobilière des biens situés aux alentours de ce projet de citystade, pénalisant ainsi les propriétaires. ⛔️ Ce projet va produire des nuisances sonores insupportables pour les riverains amplifiées par la résonnance due à la proximité des bâtiments. La plupart des projets de City stade mal positionnés, se terminent par un conflit entre les habitants et leur commune. Les fabricants eux-même préconisent des distances minimums (de 50 à 100 m) à respecter avec les habitations ainsi que des concertations sur l'impact de ces installations. Qui peut être contre voir des enfants et des familles👨👩👧 jouer dans ce jardin ? Personne. Nous pourrons aussi profiter d'un espace vert sans avoir besoin de stériliser la terre avec un Citystade. Les alternatives : ✅ Valoriser le jardin existant en le transformant en jardin participatif, partagé et intergénérationnel, ✅ Faire un potager pédagogique avec les écoles, ✅ Offrir aux habitants sans balcons, d'avoir la chance de profiter d'un espace ouvert et rafraichissant, ✅ Accueillir des habitants et travailleurs le midi, voulant un moment de repis dans leur journée en se posant sur un banc ou dans l'herbe le temps d'un picnic, ✅ Offrir un espace vert adapté aux jeux et aux moments conviviaux en respectant la nature, ✅ Permettre la création d'un îlot de fraicheur, ✅ Offrir un refuge aux insectes🐞 et oiseaux🦉 en ces temps de diminution de biodiversité en cohérence avec la politique de la ville, ✅ Economiser en réutilisant des équipements existants : le gymnase Carmen Le Roux situé à 50 mètres, le Citystade situé au sein du chaperon vert. Toutes nos propositions vont dans le sens commun mis en avant par la communication de la ville. Faisons en sorte que nous respections nos engagements envers la nature. Pour un bien être commun, pour vivre ensemble, et un petit pas face à l'urgence climatique signez contre le citystade, et pour un parc arboré et fleuri.593 sur 600 SignaturesCréée par victor D.
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Disons Non à l'exploitation du pétrole dans le Parc de Virunga, zone protégée par l’UNESCOIl y a à peine un an, la République Democratique du Congo a découvert des gisements de pétrole dans le parc national des Virunga, mais également à Luki dans le Congo central et dans l’Equateur. Pour les autorités congolaises, c'est une manne financière à exploiter. On estime les réserves de l'or noir dans le Parc des Virunga à 6758 milliards de barils, ce qui pourrait représenter une manne financière de quelque 7 milliards de dollars. Les autorités nationales défendent ainsi l'attrait économique du développement du secteur pétrolier pour la région. Le gouvernement a déjà lancé des appels d’offres pour l'exploitation du pétrole allant du 28 au 29 juillet prochain. Nous devons stopper ce projet écocide avant cette échéance! La ministre de l'environnement se trouve dans un dilemme: faut-il exploiter ces ressources ou agir pour le climat ? Pour celle qui ne jure que pour présenter le géant Congo comme pays solution, c’est une décision qui joue toute sa carrière politico-écologiste. Cependant Mme Eve Bazaiba ne s’en cache pas. Elle ne souhaite pas que la RDC se sacrifie pour le reste du monde sans compensation. “La communauté internationale doit apporter une réponse au manque à gagner économique et social’, estime-t-elle.. Contacter par DW à propos de l'exploitation des gisements, elle réponde: “Les choix appartiennent à la République démocratique du Congo. Nous allons protéger l'environnement pour l'intérêt du monde, de l'humanité, comme je l'ai dit, et c'est évidemment aussi notre propre intérêt. Mais le Congo se trouve dans un dilemme de dire : le pétrole, c'est le baromètre de l'économie, quand vous avez un accès difficile au pétrole, le prix des services et des biens montent. C'est le coût de la vie qui monte. Mais quand vous avez l'accès facile au pétrole, ce sont les coûts des services et des biens qui baissent et la population a accès à un minimum vital. Nous avons les ressources du sol et du sous-sol. C'est là qu’il y a des négociations avec la communauté internationale pour dire : devrions-nous, la RDC, nous sacrifier à ne pas exploiter notre pétrole pour les besoins de la protection de l'environnement ? En échange de quoi ? S’il y a une réponse, nous la mettrons sur la balance et nous dirons : pétrole, reste dans le sous-sol. Nous avons d'autres fonds, nous avons l'alternative de notre survie. Mais s’il n'y a pas cette alternative, on ne peut pas observer le pétrole comme des poissons dans l'aquarium. Nous sommes en train de parler avec les partenaires internationaux, avec tous les partenaires au développement technique et financier “ A la question de savoir si l’énergie solaire ne pourrait pas faire l'affaire contre le pétrole en RD Congo, elle répond: “ Oui, mais justement, l'alternative, c'est quoi ? Nous avons d'abord les centrales hydroélectriques d'Inga, où nous demandons de tous nos vœux que tous les fonds pour lutter contre le réchauffement climatique soient financés à Inga. Inga va booster la desserte en électricité. On n'aura pas besoin nécessairement du pétrole. Deuxièmement, nous disons que le soleil nous passe par-dessus la tête. Nous avons besoin de beaucoup de technologie et d'expertise pour que nous puissions développer l'énergie photovoltaïque. Troisièmement, nous avons besoin des technologies et de l'expertise pour développer l'énergie de la biomasse. Et aussi, nous avons besoin de la technologie et de l'expertise pour la transformation locale de nos ressources stratégiques, minerais stratégiques, qui nous amènent à la transition écologique au lieu d'utiliser le pétrole, donc le carburant, l'essence et le gazole dans le véhicule.... mais si nous utilisons des voitures électriques, ça nécessite une transformation locale. Nous avons la panoplie de tous ces procédés pour nous amener à la transition écologique. Nous avons beaucoup de tours dans nos manches, mais ça nécessite l'expertise, la technologie et cela équivaut à des moyens” Dans ce contexte d'accélération de la crise climatique, nous encourageons le gouvernement à privilégier la voie de la diplomatie écologique pour la compensation et à stopper ce projet d’exploitation du pétrole. Il est inadmissible qu’un gouvernement se donne à l'exploitation d’un nouveau gisement pétrolier. Pire certains de ces blocs se trouvent dans le parc des Virunga dans l’est du pays, une réserve naturelle protégée par l'UNESCO qui abrite les gorilles de montagnes "Espèces en voie de disparition”. L’exploitation du pétrole pollue les eaux et infertilité terre. A part le fait que ce projet va entraîner la destruction de la faune et la flore de ce patrimoine mondial aux espaces rares, elle plongera également les populations riveraines dans une souffrance proche de la misère; elles qui ne vivent que de l’agriculture. Ce serait un acte suicidaire que de polluer expressément l’air, la terre et l’eau d’une population qui vit quotidiennement les atrocités de la guerre depuis un quart de siècle. La peur est qu’il s’observe des contradictions dans l’approche écologique de ce projet dans le chef des autorités. Pour certains politiques moins soucieux de l'environnement “Le pays gagnerait plus en les exploitant qu'en les conservant non exploités” c'est ce qu'explique le député national Lucain Kasongo. Pour lui le pays gagnerait en conservant la nature d'un côté et l'exploitation du pétrole de l'autre côté. Une absurdité totale! La RDC est le deuxième poumons par lequel respire très difficilement notre planète. Il est inadmissible de laisser les autorités congolaises décider de ses forêts et réserves naturelles sans tenir compte des exigences de la crise climatique. Plusieurs Organisations écologistes ont déjà alerté sur ce projet d’exploitation du pétrole dans le parc des Virunga en vain. Le gouvernement s'entête. A deux mois du risque que des contrats soient signés, nous devons à tout prix empêcher ce projet. L’unique urgence actuelle est la transition énergétique. Disons tous non aux fossiles!350 sur 400 SignaturesCréée par Guellord M.
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STOP au projet de classement de 22 300 m² en zone à urbaniser à OrcetLe PLUi (Plan Local d'Urbanisme intercommunal) de Mond'Arverne Communauté prévoit le reclassement à Orcet de 2,23Ha actuellement classée agricole (A) en zone à urbaniser (AUB) ; reclassement s’accompagnant d’une Opération d’Aménagement Programmée dite « O.A.P. de la rue des vergers » prévoyant un front bâti avec activités (non précisées) et de l’habitat. Nous sommes opposés au classement en zone à urbaniser sur cette zone pour les raisons suivantes : - Suppression de terres cultivables : cette surface est actuellement composée de jardins familiaux et de champs, le projet entrainera une perte définitive de ces terres nourricières. - Suppression d’une zone d’intérêt environnemental : les champs sont entrecoupés de haies et bosquets et le secteur est proche de l’Auzon. Cette zone fait partie de la trame verte et bleue, réseau permettant aux espèces animales de s’alimenter, se reproduire, se reposer et assurer ainsi leur cycle de vie. - Création d’activités délocalisées par rapport aux lieux de vie du village : la localisation d’activités à cet endroit entrainera une pérennisation de l’usage de la voiture (situation le long d’une route et éloignée de l’école, halte-garderie, maisons senior) avec les conséquences connues sur le climat et la santé et un risque d’abandon progressif des activités du centre bourg « moins accessibles » en voiture. - Imperméabilisation des sols : les sols naturels seront recouverts par des revêtements et des bâtiments entrainant une artificialisation des sols. Les conséquences sont l’augmentation des risques d’inondation (limite de la zone inondable de l’Auzon), la pénurie d’eau (infiltration des sols réduite, impact possible sur la zone humide limitrophe) et de réchauffement (ilot de chaleur créé par les surfaces artificialisées) - Impact sur le paysage : la zone est longée par un chemin de petite randonnée permettant une vue dégagée sur le bourg d’Orcet. Celui-ci ne sera plus du tout visible depuis ce chemin. Le projet dégradera l’entrée du lotissement des Queuilles (intérêt paysager du parc et de la bâtisse du château). Le processus d'élaboration du PLUi arrive sur les phases finales d'élaboration: il est urgent de se mobiliser! Auteur : Collectif stopurba63931 sur 1 000 SignaturesCréée par StopUrba63
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STOP aux coupes rases de forêts sur le massif du RouvergueAprès les coupes rases de plus de 18 ha constatées en 2021 sur le massif du Rouvergue, de nouvelles coupes rases sont en cours en ce printemps 2022 à Chantemerle lès Grignan! Ces destructions récurrentes sont une catastrophe écologique pour diverses raisons: 1. La destruction d'un patrimoine archéologique très abondant en pierre sèches témoignant de différents aménagements et utilisations du plateau au cours de siècles (bories et murs en pierre sèches ) 2. Le Plateau du Rouvergue offre une ressource pastorale très intéressante pour les troupeaux. Ainsi, moutons et chèvres du Rove cohabitent sur ce massif qui est sous la menace de ces coupes rases 3. Outre son avantage esthétique et paysager, le massif forestier en péril joue un rôle indispensable au bon fonctionnement de nos territoires: >> Il protège les sols contre l’érosion grâce à l’enracinement des arbres en profondeur >> Ces espaces boisés limitent la hausse de la température localement >> Les arbres permettent le stockage du carbone, et aini sont la meilleure solution à court terme et la moins coûteuse pour tenter de limiter les effets du changement climatique >> Il participe à la préservation de la ressource en eau en facilitant sa rétention pour l’alimentation des sources et nappes phréatiques; ainsi que la qualité de l’eau par son rôle de filtration naturelle. >> Il est un lieu de ressource de nourriture, un lieu de reproduction, de refuge et de vie pour de nombreuses espèces animales et végétales protégées. En effet, Le plateau du Rouvergue est classé en Zone Naturelle d’Intérêt Floristique et Faunistique de type1(ZNIEFF1) https://inpn.mnhn.fr/docs/ZNIEFF/znieffpdf/820030187.pdf Pourquoi ces destructions organisées, récentes et méthodiques de zones forestières alors que leur rôle dans la préservation de notre environnement et de nos paysages constitue notre bien commun, à préserver pour notre qualité de vie et celle de nos enfants ? Pourquoi ces destructions effectuées depuis fin mars, circonstance aggravante, en pleine période de reproduction pour la faune sauvage ? ................................................................................................................................................. Ces coupes rases participent et accélèrent le réchauffement climatique qui se traduit par la multiplication des périodes d'alerte sécheresse (4 des 5 dernières années). L'année 2022 s'annonce particulièrement difficile. .................................................................................................................................................5 129 sur 6 000 SignaturesCréée par Collectif pour la sauvegarde des forêts drômoises ".
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Montpellier : Contre le projet immobilier destructeur !J'habite Montpellier à Port Marianne. J'ai vu sur ce superbe jardin avec magistral micocoulier, un olivier, plusieurs fruitiers, feuillus et résineux. Ce jardin abrite à lui tout seul plusieurs espèces de passereaux comme des moineaux, rougequeues noir, verders, tourterelle, merle, pie et des groupes d'étourneaux lors des migrations. J'ai même pu faire la constatation (sonore) deux années de suite qu'il y avait des chouettes hulottes qui passaient le soir à la recherche d'un partenaire. Aujourd'hui ce petit espace de biodiversité niché entre les résidences va être rompu. Ils ont pour projet de couper les arbres pour construire la nouvelle résidence nommée Australis. Je ne sais pas quoi faire, je ne peux pas rester les bras croisés ça fait 10 ans que j'habite cette ville et j'ai vu trop de jardins rasés pour du béton. Le maire élu avait promis d'arrêter les constructions abusives au profit d'une ville plus verte, une ville-parc. C'est l'occasion de revoir sa copie ! Pour que ce jardin puisse rester un réservoir à biodiversité et montrer qu'on peut penser des projets autour du vivant comme un potager urbain en lien avec l'association du quartier plutôt que des constructions de résidences qui nous éloignent les uns des autres.3 479 sur 4 000 SignaturesCréée par Catherine P.
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Pour que le BIO ne disparaisse pas de nos assiettes !Pour arriver à l’équilibre financier entre les 2 productions, le bio doit être en moyenne payé 2,5 fois de plus à l’agriculteur. Et ce n’est pas prévu aujourd’hui ! Beaucoup d’agriculteurs bio pensent à repasser en agriculture conventionnelle dès la prochaine campagne, c’est à dire après les moissons… il est urgent d’agir, et d’arrêter les lobbys sur les «biocarburants » qui font flamber le prix des oléagineux.238 sur 300 SignaturesCréée par Maëlys B.
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NON A LA BETONISATION DU CHEMIN DES ARMONETTES DE LA JAMAYERE à BRIGNAIS !A la mi-avril, nous découvrons des panneaux d’interdiction de passer pour piétons et des tranchées ouvertes pour travaux sur le chemin des Armonettes. Puis très vite, nous découvrons d’énormes bandes de bétons posées sur le sol. Aucune concertation, aucun arrêté ne précisent l’origine de ces travaux. Les riverains sont inquiets, perplexes, tristes. Certains pensent que ces travaux sont réalisés à la demande des agriculteurs pour pouvoir passer avec leur tracteur, mais ce n’est pas le cas ! Le chemin communal au doux nom de »chemin des Armonettes » traverse la propriété de la Jamayère en direction de Chaponost. Ce lieu 100 % agricole est un lieu privilégié, calme, tranquille bien apprécié des Brignairots et des Brignairottes. C’est un chemin à accès réglementé, seuls quelques propriétaires riverains peuvent accéder en véhicule avec une borne téléguidée. Les cavaliers, les vaches, les joggers, les familles avec leurs enfants, leurs chiens, les cyclistes viennent s’y promener, heureux d’être en pleine nature. Il est inconcevable d’accepter sans rien dire la dénaturation de ce lieu nature et paisible ! L’artificialisation des sols est aujourd’hui l’une des premières causes du changement climatique et de l’érosion de la biodiversité. Le ministère de la transition écologique français souhaite protéger les espaces naturels, en instaurant l’objectif de « zéro artificialisation nette » alias ZAN prévu par le plan Biodiversité. Il est demandé de consommer moins de terres naturelles et agricoles. Un sol bétonné est donc mort. Savez-vous qu’il faut 50 ans pour RENATURER les sols ? . En signant cette pétition, vous affirmez avec nous le plaisir de faire du vélo en pleine nature, sur des chemins de terre. Nous participons ainsi à la réduction de l’empreinte carbone. Or, les pouvoirs publics probablement poussés par un besoin exacerbé de sécurisation vont à l’encontre de cette logique en aménageant bien mais en aménageant trop, en créant des voies douces en béton, empreinte carbone maximum qui laisse des traces indélébiles chez Dame Nature. De plus, la descente de ce nouveau revêtement va être dangereux. Le ballast posé au milieu (gros cailloux anguleux, utilisé pour stabiliser les rails de voies ferrées) est très douloureux en cas de chute et donc non adapté aux piétons, aux chevaux, aux vaches. . En signant cette pétition, vous dites avec nous que d’autres solutions sont possibles comme la création d’une journée d’entretien annuelle participative pour maintenir le chemin en état dans la bonne humeur et la convivialité. Exemple : La journée annuelle de Nettoyage du Garon remporte tous les ans un vif succès. Aussi, il est interdit de modifier le paysage à moins de 500 mètres d’une bâtisse classée telle que la bâtisse La Jamayère, classée aux Bâtiments de France. . Enfin, cette artificialisation du sol aura des conséquences terribles sur la modification de l’écoulement naturel de l’eau pluviale qui humidifie les prairies de la ferme la Jamayère et qui la maintenait en zone humide (grenouilles, batraciens…). Conséquence, cette prairie va s’assécher. La chaleur sur le béton en plein été va réduire la fraîcheur entre les haies, les vaches auront moins d’herbes. Manifestez avec nous votre désapprobation d’un chantier de bétonisation d’un chemin rural situé dans un milieu agricole. Il faut aider et soutenir nos agriculteurs et agricultrices. Et pour finir sur une note poétique, voici un extrait du livre de Sylvain Tesson « les Chemins noirs » : Oh ! comme il eût été salvateur d’opposer une « théorie politique du bocage » aux convulsions du monde. On se serait inspiré du génie de la haie. Elle séparait sans emmurer, délimitait sans opacifier, protégeait sans repousser. L’air y passait, l’oiseau y nichait, le fruit y poussait. On pouvait la franchir mais elle arrêtait le glissement de terrain. A son ombre fleurissait la vie, dans ses entrelacs prospéraient des mondes, derrière sa dentelle se déployaient les parcelles. » Pour la Nature, Merci de signer cette pétition et de la diffuser le plus largement possible !820 sur 1 000 SignaturesCréée par Collectif de citoyen-nes
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Marseille bétonnée Stop à l'asphyxieJ'ai 35 ans, le paysage Marseillais change je le vois évoluer puisque j'y suis née, on dirait Paris! Et ce n'est pas ce que je souhaite pour notre belle ville. L'espace doit conserver un équilibre entre les zones bétonnées et espaces naturels. Je vivais aux Escourtines dans le 11 ème quand j'étais petite, je pouvais aller dans la colline, il y avait un stade pour faire du football, un terrain de basket, j'en ai passé du temps dans ce stade à faire du vélo, lancer des ballons dans le panier, regarder l'eau de la rivière couler... Les futures générations qu'auront-elles en bas de leur immeuble? Une future super résidence! Heureusement, la colline est toujours là... Ce n'est qu'un exemple parmi d'autres dans la frénésie de construction, au détriment du bien être (notre bien être=arbres, pelouse, fleurs)253 sur 300 SignaturesCréée par Cindy H.
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Stop au massacre imminent des bouquetins du Bargy !Les pouvoirs publics ont signé l’arrêté autorisant des abattages massifs et indiscriminés dès ce printemps. Ils n’ont pris en compte ni l’avis défavorable du Conseil National de Protection de la Nature, ni les 84% d’avis défavorables émis par les citoyens et associations lors de la consultation publique. Comme souvent, ils ont privilégié la protection des filières économiques de la viande bovine et du lait cru, et les bouquetins du Bargy vont en payer le prix fort. A l'heure de l'urgence écologique et de la sixième extinction de masse, cette décision est inadmissible ❗ LA RÉPONSE DE FRANCE NATURE ENVIRONNEMENT ET DE SES PARTENAIRES Le taux d’infection des bouquetins à la brucellose est proche du niveau d'extinction naturelle. Il a été divisé par 10 en 5 ans. En se basant sur l'avis des scientifiques, France Nature Environnement et ses partenaires préconisent depuis des années de mener de solides campagnes de captures-contrôles, avec euthanasie des seuls animaux séropositifs, et que les zones de pâture du cheptel domestique soient nettement séparées de celles occupées par la faune sauvage. Une population sauvage ne se traite pas de la même manière qu’un cheptel domestique. En plus d'être d'une grande cruauté, les tirs pourraient s'avérer totalement inefficaces, voire même contre-productifs. Le plus grand risque est que les animaux survivants s’éparpillent et exportent la brucellose vers les Aravis ou les Glières. Alors pour assurer un risque zéro pour la filière bovine, faut-il massacrer les bouquetins, espèce emblématique protégée ? La réponse est non ! France Nature Environnement vient de lancer un recours juridique avec plusieurs associations amies (LPO, ASPAS, OneVoice, Animal Cross et AVES) pour qu’il n’y ait pas d’abattages indiscriminés de bouquetins sains. Les tirs doivent commencer au mois de mai. Il y a urgence. Signez cette pétition pour faire annuler la décision des pouvoirs publics, et aidez-nous à empêcher le massacre !16 240 sur 20 000 SignaturesCréée par FNE Haute-Savoie
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