• POUR LE RETRAIT DE LA LÉGION D’HONNEUR AU PDG DE TOTAL
    Nous, membres d’Extinction Rebellion Bordeaux et des collectifs signataires, sommes scandalisé-es par la remise de cette distinction et demandons que la légion d’honneur remise à M. Pouyanné lui soit retirée. Cette distinction peut en effet être retirée pour “avoir commis des actes contraires à l’honneur ou de nature à nuire aux intérêts de la France”. Et à travers l’exercice de sa fonction, son obstination à poursuivre ses projets climaticides et ses prises de paroles qualifiées de greenwashing, M. Pouyanné nuit clairement aux intérêts de la France (et du monde), pourquoi ? - Parce que le GIEC déclare dans son sixième rapport du 20 mars 2023, que «les politiques actuelles en œuvre nous mènent à un réchauffement estimé à 3,2° en 2100 et que cela signifierait un monde invivable dans de nombreuses régions et pour beaucoup d’espèces (1); - Parce que le Haut Conseil pour le Climat vient d’épingler la France pour son retard en matière d’adaptation à la hausse des températures et sa lenteur dans le rythme de baisse des émissions de gaz à effet de serre (2); - Parce que l’Agence Internationale de l’Énergie ne cesse de répéter qu’AUCUN NOUVEAU PROJET D’EXTRACTION D’ÉNERGIES FOSSILES NE DOIT ÊTRE CONSTRUIT; - Parce que que de nombreux scientifiques et experts du GIEC ont dénoncé « le développement par TotalEnergies de nouveaux projets fossiles et appelé les actionnaires à rejeter cette stratégie climatique »; (3) - Parce que le méga-projet pétrolier de TotalEnergies, EACOP, est une “aberration environnementale”(4), « fondamentalement incompatible avec l’urgence de limiter le réchauffement climatique à 1,5°et qu’il mettra en danger des espèces vulnérables; - Parce que 90% de la production de TotalEnergies est de l'énergie fossile, qu’elle est donc l’une des plus grosses contributrices aux émissions de GES en Europe, et que l’industrie fossile est responsable de 86% des émissions de CO2 sur la dernière décennie; TotalEnergies poursuit sans relâche, ses projets écocides ! M. le Président de la République, retirez la légion d’Honneur à M. Pouyanné, il en est de votre responsabilité. Ce serait là un geste fort adressé à M. Pouyanné ainsi qu’aux autres patrons écocidaires pour dire notre demande impérieuse de stopper tout projet climaticide et écocidaire, urgemment. A toi, la citoyenne ou le citoyen choqué-e par ce non-sens, signe dès maintenant cette pétition, car le temps presse. Dans quelques mois aura lieu la COP 28, qui permettra de porter la question de la responsabilité des énergies fossiles dans le chaos climatique. Partage massivement cette pétition pour être entendu-e et faire pression sur le gouvernement. Associations cosignataires : - Extinction Rébellion France - Stop Total - Résistance Climatique -Le bruit qui court (1) https://datascientest.com/rapport-du-giec-ce-quil-faut-retenir-des-nouvelles-donnees-climatiques (2) https://www.hautconseilclimat.fr/wp-content/uploads/2023/06/Communique-de-presse-Rapport-annuel-HCC-2023.pdf (3) https://www.novethic.fr/actualite/environnement/climat/isr-rse/totalenergies-et-allegations-de-neutralie-carbone-la-plainte-deposee-pour-greenwashing-jugee-recevable-151521.html (4) https://www.amisdelaterre.org/eacop-voie-desastre-enquete-inedite-projet-total-tanzanie
    10,267 of 15,000 Signatures
    Created by Extinction Rébellion Bordeaux
  • Alerte : avant le 21 juin, disons non à l'incinérateur de Planguenoual (Bretagne)
    ► Climaticide Le bilan carbone d'un incinérateur est catastrophique, sans doute plus mauvais qu'une centrale électrique à gaz. Pour 80 000 tonnes de déchets ménagers incinérés, c'est autour de 80 000 tonnes de CO2 émis, le principal gaz à effet de serre. Dans 25 ans, chaque individu aura un budget carbone de 2,1 tonnes à ne pas dépasser.  L'incinérateur de Planguenoual va "manger" plus de la moitié du budget carbone individuel des habitants de Lamballe Terre et Mer. Pour tous les nouveaux projets d'incinérateurs estimer et rendre public le bilan carbone est obligatoire. ► Coûteux : UN PROJET RUINEUX POUR LES CITOYENS Coût du nouvel incinérateur : 107 millions € Contrat de Délégation de Service Public sur 20 ans : la collectivité ne gérera pas en direct cet équipement et laissera les pleins pouvoirs  à l’entreprise délégataire. Elle sera cependant en charge du recouvrement des taxes auprès des contribuables. La facture sera payée par les contribuables et entreprises du territoire. Les dividendes seront perçus, sans risque, par les actionnaires et entreprises telles que Véolia/Suez. De plus, le budget sera grevé de près de 100€ de taxe carbone par tonne d'équivalent C02 soit 8 millions d'euros/an. ► AUCUN RÉSEAU DE CHALEUR ASSOCIE Aucun besoin local, pas de réseau de chaleur associé ni à proximité. La plus grande partie de l'énergie, sous forme de chaleur, issue de l'incinération, n'est pas donc pas valorisable.  En milieu rural, il n'y a pas possibilité de mettre en place un réseau de chaleur et aucun projet permettant d'utiliser cette énergie n'a été présenté. ►UN OBSTACLE A LA RÉDUCTION DES DÉCHETS Un incinérateur demande un feu permanent, Il faut un apport constant et continu de déchets pendant toute sa durée de vie.  "Il faut nourrir la bête" C'est un verrou qui engage la collectivité à produire suffisamment de déchets. C'est un outil industriel qui vient à l'encontre de toute politique de réduction des déchets sur notre territoire. En plus des gaz à effet de serre, les incinérateurs produisent des polluants en sortie de cheminée, résidus solides toxiques, les «mâchefers » et des résidus dangereux d’épuration des fumées (REFIOM) . Pour 80 000 tonnes de déchets incinérés annuels, il restera près de 20 000 tonnes de mâchefers et 2400 tonnes de REFIOM ! ► UN PROJET DU PASSÉ A l'heure du dérèglement climatique, de la chute de  biodiversité, d'une pollution plastique généralisée, il est impensable de s'engager pour 20 ans dans une incinération massive et continue de déchets produisant massivement des gaz à effet de serre !  L'urgence est de : 1. Réduire fortement l'usage du plastique et interdire les plastiques à usage unique 2. Mettre en place une solution de collecte après tri à la source et un traitement vertueux des biodéchets 3. Adopter une tarification incitative : une taxe ou mieux une redevance qui tiennent compte de la quantité de déchets résiduels produits (à incinérer ou à enfouir). Le citoyen est ainsi encouragé à mieux trier et réduire ses déchets. 4. Développer la réutilisation et le réemploi 5. S'attaquer au gaspillage alimentaire Des projets de nouveaux incinérateurs ou d’extensions s’annoncent un peu partout en Bretagne : Dinan-Taden, Gueltas, Pontivy, Brest, Vannes, Auray, Vitré, Retiers…   Planguenoual est le 1er projet à sortir : Il est d’autant plus important de le contrer !!! L’enjeu touche toute la Bretagne. Ces projets très contraignants seront lourds de conséquences environnementales, sanitaires et financières jusqu'en 2050. Il est possible de faire autrement !  Travaillons ensemble à l'émergence d'un nouveau monde désirable, respirable, riche de biodiversité, sobre en consommation d'énergie, de matières premières et ressources !  NOUS DEMANDONS aux élus de Kerval : ►des mesures de pollution sérieuses et complètes, effectuées par un bureau d’études indépendant, permettant de faire un état des lieux au terme de 30 ans de fonctionnement de l’outil actuel ; ►une politique ambitieuse, concrète et conforme aux enjeux nationaux et européens (Stratégie Nationale Bas Carbone visant à lutter contre le règlement climatique, économie circulaire.. ) de réduction des déchets avec les moyens humains et financiers à la hauteur des enjeux environnementaux et sanitaires. Il s'agit notamment de mettre en œuvre sur tout le territoire de Kerval (141 communes), concomitamment le tri à la source des biodéchets avec collecte séparée ET une redevance incitative, assortis des moyens nécessaires pour accompagner avec pédagogie ces démarches ; ►la constitution de groupes de travail composés de citoyens, d'associations, de techniciens et d'élus pour mettre en place, ensemble, cette politique de réduction des déchets sur les sujets suivants en priorité : - tri à la source des biodéchets et collecte en porte à porte - redevance incitative - le réemploi et la consigne pour réemploi - élaboration du Programme Local de Prévention des Déchets Ménagers et Assimilés (PLPDMA) des collectivités pour les territoires qui ne l'ont pas encore écrit. (obligatoire depuis 2012) ►une pause dans la prise de décision concernant concernant le devenir de l'incinérateur de Planguenoual ; ►que soit réexaminée l’alternative de la mise aux normes de l'incinérateur existant, sans augmentation de capacité, avec l'objectif de ne pas obérer l’avenir sur 25 ans et se donner 10 ans pour prendre en compte les évolutions en cours ; ►à être reçus par Kerval. Contact : [email protected] Sources :  - Dossier du projet : https://drive.google.com/file/d/1QclukuJorUShOtq2z8DbHZ90Af7nX8ju/view Pour plus d'infos sur : - Cas de Besançon : https://www.zerowastefrance.org/wp-content/uploads/2018/03/cs9-besancon-fr.pdf - Article Incinération : https://www.zerowastefrance.org/lincineration-des-dechets/ - L'histoire de Milan : https://www.zerowastefrance.org/wp-content/uploads/2022/01/milan-etude-de-cas.pdf
    1,393 of 2,000 Signatures
    Created by ZERO WASTE FRANCE / ZERO WASTE BAIE DE SAINT-BRIEUC / URGENCE CLIMATIQUE 22 / STOP METHANE PLOUHA / ERQUY PLURIEN ENVIRONNEMENT / GLAZ Natur / ARPE / EXTINCTION REBELLION SAINT-BRIEUC / EAUX & RIVIERES DE BRETAGNE
  • NON à la fermeture de la déchetterie à Anjou (38150)
    Le groupe citoyen « les coquelicots », basé sur la commune d’Anjou (38150), ainsi que tous les signataires interpellent la présidente et les élus de la communauté de commune entre Bièvre et Rhône au sujet de la fermeture de la déchetterie d’Anjou. A l’heure du développement durable et des défis climatiques, où le tri des déchets et l’empreinte carbone sont essentiels pour l’environnement, nous ne comprenons pas la décision de fermer la déchetterie d’Anjou. Cette déchetterie de proximité permet aux habitants de limiter leurs déplacements et favorise une utilisation forte et régulière. Mise en service en 1995 par les élus des quatre communes (Agnin, Anjou, Bougé-Chambalud et Sonnay), sa fermeture purement économique dégradera la qualité du service public et augmentera le risque des dépôts sauvages. Nous déplorons un manque de concertation de la part des élus de la communauté de communes envers les habitants qui sont pourtant les premiers concernés. Nous demandons le maintien de la déchetterie d’Anjou dans la mise en œuvre du schéma directeur du réseau des déchetteries entre Bièvre et Rhône. Pétition rédigée le 25 mai 2023 suite à la diffusion de « TERRE D’ENERGIE-MAG » N°13-printemps 2023-Plan Local d’Urbanisme Intercommunal.
    254 of 300 Signatures
    Created by groupe citoyen Coquelicot A.
  • Pour un droit à respirer, partout en France
    La pollution de l’air : un danger mortel invisible… En France, la pollution de l’air est responsable de plus de 40 000 décès prématurés par an, dont plus de 4 300 dans la région Auvergne-Rhône-Alpes (Santé Publique France). En 2021, une étude coordonnée par l'université Harvard a même réévalué le nombre de décès prématurés en France à près de 100 000. Au-delà de cet état de fait, les études se multiplient pour montrer le lien entre la pollution de l’air et différentes maladies : asthme, maladies cardiovasculaires et pulmonaires, cancers, maladies du foie, ou d’autres maladies du type Alzheimer ou Parkinson. La pollution de l’air est ainsi avant tout une question de santé publique. C’est également un enjeu de justice sociale. De fait, les personnes les plus vulnérables sont celles qui sont le plus exposées aux pollutions. Dans l’agglomération lyonnaise par exemple, les personnes vivant à proximité des grands axes routiers ou autour de la Vallée de la chimie, dont les revenus sont en moyenne plus faibles (Insee), sont aussi celles qui souffrent le plus de la pollution de l’air. Ces impacts ont un coût, sanitaire et socio-économique, estimé à près de 100 milliards d’euros par an en France (Sénat). …En décalage avec l’inaction de l’Etat Ce constat est alarmant, mais le plus inquiétant est le décalage entre les enjeux soulevés par la pollution de l’air et les mesures pour le moins insuffisantes engagées par l’Etat et ses services. En octobre 2022, le Conseil d’Etat condamnait à nouveau l’Etat pour son inaction en matière de pollution de l’air, et plus précisément pour son non-respect des normes européennes, notamment dans l’agglomération lyonnaise. L’Etat ne fait toujours pas assez pour protéger ses citoyen·ne·s et leur offrir un air sain, conformément à l’obligation édictée par la loi sur l’air de 1996. En septembre 2022, le Conseil d’Etat reconnaissait aussi le droit de tou·te·s à vivre dans un environnement sain comme liberté fondamentale. Pourtant, l’Etat possède plusieurs leviers d’action pour limiter la pollution de l’air, dont les Plans de Protection de l'Atmosphère (PPA), mis en place par les préfectures pour les agglomérations de plus de 250 000 habitants. Depuis un an, une quinzaine de ces plans sont en cours de révision, ce qui aurait pu être l’occasion pour l’Etat de réhausser ses ambitions contre la pollution de l’air. Or, le constat est clair : les PPA révisés ces derniers demeurent insuffisants et incohérents. En effet, peu d’objectifs sont chiffrés, les calendriers de mise en œuvre des mesures sont trop peu ambitieux et rarement précisés, et il est déjà certain que les moyens alloués par l'Etat seront insuffisants pour mettre en œuvre la totalité des mesures du PPA… Pour toutes ces raisons, et parce que protéger la santé de tou·te·s ainsi que l’environnement devrait être la priorité de l’Etat, plusieurs associations, habitant·e·s, et collectivités décident tour à tour de demander l’annulation par la justice de leur PPA, afin de faire reconnaître son insuffisance et d’en obtenir une version plus ambitieuse. Ces mouvements se structurent ainsi à Marseille (par les Amis de la Terre Marseille), Nice (par le Collectif Citoyen 06), Grenoble (par la Mairie de Grenoble) ou Lyon (par les association de la présente campagne Pour un droit à respirer), et montrent que la faiblesse des plans locaux de qualité de l’air est systémique et persistante, et doit être dénoncée partout. Nous, scientifiques, représentant·e·s de la société civile, avocat·e·s, politiques, citoyen·ne·s, appelons à des plans locaux de lutte contre la pollution de l’air réellement protecteurs. Nous demandons à ce que la pollution de l’air soit désormais considérée comme un enjeu prioritaire de santé publique et de lutte contre les inégalités sociales et environnementales. Nous exigeons un droit à respirer !
    4,859 of 5,000 Signatures
    Created by Les associations de la campagne : Notre Affaire à Tous, Respire, Générations Futures, La rue est à nous - Lyon, FNE Rhône Picture
  • Où sont les 30 000 points d’eau potable prévus par la loi ?
    La pollution plastique est un fléau environnemental et sanitaire majeur, due en partie au recours irraisonné à la bouteille plastique, premier déchet plastique à usage unique retrouvé sur les plages en Europe.(2) C’est bien face à cette urgence, que la loi AGEC a décrété un objectif de zéro emballage plastique à usage unique en 2040 et une réduction de 50% des bouteilles en plastique en 2030 ! Vous avez une responsabilité majeure dans le succès ou l’échec de cet objectif car le développement des points d’eau est l’une des mesures phares prévues par la loi. Nous, associations de protection de l’environnement, de consommateurs, entreprises engagées, parlementaires, scientifiques, citoyens, acteurs publics et entreprises engagées, nous vous interpellons pour vous demander la mise en place avant l’été 2023 de ces points d'eau et l’information des visiteurs via une signalétique visible. Plus largement, la bouteille plastique constitue une aberration à plusieurs titres : - 15 milliards de bouteilles plastiques sont vendues en France par an - Fabriquée à partir de pétrole, la bouteille plastique est émettrice de gaz à effets de serre sur tout son cycle de vie - Des études évoquent 3 litres d’eau pour la fabrication d’une seule bouteille d’eau ! L’eau embouteillée contribue ainsi à assécher les nappes phréatiques. - Les bouteilles en plastique sont contaminées par des microplastiques, qui constituent un risque sanitaire. - Le coût de l'eau vendue en bouteille plastique est prohibitif dans les lieux accueillant du public et inadmissible, puisque l’accès gratuit à l’eau potable est obligatoire. Pour l’exemple, en gare, le prix moyen est de 2 euros à 2,50 euros pour une bouteille de 50 cl d’eau, soit plus de 8 euros pour une famille de 4 personnes. Selon les estimations du Ministère de la transition écologique, près de 30 000 points d’eau devraient être ouverts en France dans des lieux de forte affluence, notamment vos établissements. Or, force est de constater que vous n’êtes pas au rendez-vous. Nous vous rappelons que des sanctions(1) sont prévues en cas de non respect de la loi et que la complaisance par rapport à des difficultés techniques souvent largement exagérées(3), ne pourra pas durer. A l’approche de l’été, qui risque d’être à nouveau très chaud du fait du dérèglement climatique, nous vous demandons d’appliquer enfin la loi et de permettre aux millions de personnes qui passent par vos établissements de pouvoir s’hydrater facilement, sans recourir à la bouteille plastique onéreuse et polluante. Ces points d’eau devront être pérennisés et valorisés pour accompagner durablement cette transition nécessaire. Signez et partagez cette pétition pour demander aux établissements accueillant du public d’ouvrir et de signaler les points d’eau prévus par la loi avant l’été 2023. *** (1) Article L541-15-10 - Code de l'environnement https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000043974900, Article 77 - LOI n° 2020-105 du 10 février 2020 relative à la lutte contre le gaspillage et à l'économie circulaire https://www.legifrance.gouv.fr/loda/article_lc/JORFARTI000041553842 et décret n° 2020-1724 https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000042753962 Article D541-340 - Code de l'environnement https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000042883671 Article L171-8 - Code de l'environnement https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000038846886 (2) selon l’étude d’impact de la commission européenne (3) Reporterre, Fabienne Loiseau, 22/02/2023 : https://reporterre.net/Gares-et-metros-peinent-a-installer-des-fontaines-a-eau *** Premiers signataires : Surfrider Foundation Europe, Zero Waste France, Biocoop, CLCV (Association nationale de consommateurs et usagers), Arthur Le Vaillant (navigateur), Stephane Le Diraison (navigateur), Angèle Préville (sénatrice), Dorothée Moisan (journaliste), Capucine Dupuy (autrice), Catherine Chabaud (député européenne), Nelly Pons (auteure), Nathalie Gontard (scientifique), Fédération française de voile, France Nature Environnement, Ma Petite Planète, Label Protection des Océans, Réseau Vrac, Réseau Consigne, Association Water-Map, Objectif Zéro Plastique, Orléans Zéro Plastique, Circulab, M. & Mme Recyclage, La Fresque du Plastique, Wings of the Ocean, MerTerre, Swim for Change, World Cleanup Day, Collectif Eau 88, Coordination EAU Ile-de-France, OceanAsCommon, In Off Plastic, Cantine Sans Plastique, Waves Of Change, Eau de Paris, UAE (L'Union des professionnels du traitement de l'eau), Castalie, Ekō, Behring, HOALI, Twyd, Kanalien, Altereo, SMICVAL, Nathalie Gontard, Expédition Med, Brita France, Fondation Bye Bye Plastic, Plastic Attack France, Weetulip, Solable / LaVie, Gobi
    20,748 of 25,000 Signatures
    Created by No Plastic In My Sea Picture
  • STOP CROISIERES GRANDE RADE DE TOULON
    A quai, un tel mastodonte émet autant de dioxyde d'azote et de particules fines que 30.000 voitures roulant à 30 km/heure et autant d'oxyde de soufre que plusieurs millions de voitures diesel. Il consomme 8 à 10 fois plus de carburant qu'un ferry. Autoriser 100 de ces paquebots géants à faire escale équivaut à rajouter 800 à 1.000 escales de ferry aux 1.200 déjà programmées à Toulon. Mais cette fois à La Seyne-sur-Mer. Sur un quai qui n'est même pas électrifié. Le centre de Toulon et les quartiers adjacents au port sont déjà asphyxiés par les ferries et le flux des véhicules embarquant et débarquant. Un objet laissé sur le balcon s’y recouvre de suie en 24h. Les particules que contiennent les fumées sont responsables de maladies respiratoires. Nous ne pouvons pas laisser cette situation empirer ni s’étendre à La Seyne-sur-Mer. Les citoyens seront bientôt soumis à une zone à faible émission (ZFE) en ville. Mais quel sens cela a-t-il si, juste à côté, la pollution explose ? L’électrification des quais, entreprise par la municipalité après des années de réclamations, ne résoudra pas tout, loin s’en faut : les navires trop anciens ne sont pas équipés pour se brancher - mais le port les accueille quand même - et les ferries, en été surtout, font une escale à la fois trop courte et trop énergivore pour pouvoir couper les machines. Il y a urgence : dès ce printemps, MSC, l'armateur qui cause tant de soucis à Marseille, a ouvert une tête de ligne au môle d'armement de la Seyne, c'est-à-dire que les passagers y embarqueront et débarqueront 26 fois dans la saison. En mer comme à quai, c'est toute la Méditerranée qui est mise en danger par les rejets de ces véritables villes flottantes. Selon l'ONG Transport et Environnement, les 203 paquebots qui ont sillonné les espaces maritimes européens en 2017 sont responsables de l’émission de plus de 10 millions de tonnes de dioxyde de carbone. Pire : cette flotte a rejeté 20 fois plus d’oxyde de soufre que les 260 millions de voitures qui circulent sur les routes européennes. Cerise sur le gâteau : si elles sont une source indéniable de pollution, les croisières n’ont que de maigres retombées sur l’économie locale. Les repas sont servis à bord, une bonne partie des touristes ne débarque pas (30 à 70 % selon l'élu de Marseille délégué à l'économie). Maigres, sauf peut-être pour le concessionnaire des ports qui espère augmenter de 10% les 11 millions d'euros de son chiffre d'affaire. Nous n'entendons lui sacrifier ni notre cadre de vie ni notre santé. La Méditerranée, son environnement et ses habitants doivent être préservés. Bornes électrifiées ou pas, que ce soit à La Seyne ou à Toulon, les paquebots de croisières, nous n'en voulons pas. Pour une rade vivable, pour un environnement préservé et pour la santé de tous, signez et faites signer la pétition, rejoignez la campagne Stop Croisière grande rade de Toulon. Plus d'infos sur : https://stop-croisieres.org/ Contact : [email protected] Destinataires : Lionel MOSNIER, Commandant du port de Toulon Christine ROSSO, Directrice des ports de la CCI du Var Hubert FALCO, Président du Conseil de la métropole TPM Jean-Louis MASSON, Président du Conseil départemental du Var Renaud MUSELIER, Président du conseil régional de PACA Sébastien FOREST, Directeur régional de l’environnement, de l’aménagement et du logement de PACA Christophe BÉCHU, Ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires Agnès PANNIER-RUNACHER, Ministre de la Transition énergétique
    4,374 of 5,000 Signatures
    Created by Collectif Climat Zéro Fossile Toulon et environ
  • Mauvaise qualité de l'air à Rouen et en Normandie
    Lors des pics de pollution, on a les yeux irrités, le brouillard est jaune sur la métropole. La respiration est difficile. Si les dégazages des usines étaient interdits lors des pics de pollution, cela éviterait de rajouter à la pollution dûe au chauffage et aux transports. Malgré les vignettes Crit'Air, et les efforts de baisse de chauffage des particuliers, les entreprises doivent faire leur part en n'ajoutant pas de pollution chimique supplémentaire. Par ailleurs, Atmo Normandie ne teste que 4 polluants dont ozone et microparticules de moins de 10 microns et moins de 2,5 microns (ceux qui vont dans le sang sans être filtrés par les poumons). Les polluants émis par les incendies d'usine et d'entrepôt ne sont pas détectés par Atmo Normandie. Pour les capteurs, la qualité de l'air est .. normale. Afin de garantir la santé et la sécurité de la population, il apparait nécessaire de tester d'autres polluants.
    99 of 100 Signatures
    Created by Marie Agnès W.
  • STOP AUX FILTRES DE CIGARETTES SYNTHÉTIQUES !
    En France chaque année, 68 Milliards de cigarettes sont fumées par 15 Millions de fumeurs. 40 Milliards de mégots avec filtre sont jetés au sol, soit environ 25 000 tonnes ! Dans le monde, ce sont 4 300 Milliards de mégots jetés dans la rue ou la nature par an, soit 137 000 par seconde !
    66 of 100 Signatures
    Created by Pierre-Stéphen J.
  • Amboise : + de poubelles pour une ville + propre
    Nous sommes des volontaires en Service Civique à Unis-Cité Val d'Amboise et Tours, engagé.e.s dans une mission environnementale. Nos locaux se trouvent au coeur du quartier Maletrenne dans la ville d'Amboise : nous sommes témoins chaque jour du nombre de déchets variés par terre ! En plus de ne pas être esthétique, ces déchets polluent l'environnement et la Loire ! Jeter les mégots dans les bouches d'égout, va les amener dans la Loire et polluer le fleuve et la vie maritime ! S'il y avait plus de poubelles dans ce quartier, les habitant.e.s les utiliseraient plus ! Pour lutter contre la production d'emballages plastiques initules, nous pouvons collectivement laisser lors de l'achat aux caisses de supermarché les emballages superflus qui ne servent à rien ! Si nous arrivons à collecter MILLE signatures, nous allons demander aux Elu.e.s de la CCVA et en particulier de la Ville d'Amboise plus de poubelles de tri dans le quartier Maletrenne !
    2,205 of 3,000 Signatures
    Created by Unis-Cité 37
  • Message à l'industrie du plastique : arrêtez de nous raconter des salades
    Nous, associations de consommateurs et consommatrices, citoyens et citoyennes, ONG de protection de l’environnement, parlementaires et scientifiques, souhaitons vous adresser toutes nos félicitations : il semblerait que votre mobilisation ait payé. Grâce à vous, la France risque une nouvelle fois de connaître un recul sur une réglementation pourtant emblématique et pionnière, à savoir la fin de la vente de fruits et légumes sous plastique. C’est à un combat acharné de votre part que nous avons pu assister depuis l’adoption de cette mesure par l’Assemblée nationale. Le 29 novembre 2019, les député·es ont voté l’interdiction d’emballages plastiques pour les fruits et légumes vendus en supermarché (sauf exceptions) à compter du 1er janvier 2022. Dans le courant du mois de décembre qui a suivi, vos fédérations se sont émues contre une mesure « déraisonnable » d’après Plastalliance, s’inscrivant dans la « surenchère à l’interdiction de produits en plastique à usage unique » pour Elipso. Votre lutte ne faisait cependant que commencer, puisqu’un décret devait venir préciser la disposition en fixant une liste de fruits et légumes exemptés du sevrage plastique. C’est au Conseil national de l’alimentation (CNA) qu’ont échu les travaux préparatoires relatifs à ce décret, organisme d’habitude reconnu pour les positions consensuelles auxquelles il parvient à aboutir. Malgré tout, vous avez été incapables pendant les discussions du moindre compromis avec la société civile, représentée par les associations de consommateurs et consommatrices et les ONG environnementales. N’ayant de cesse de défendre les intérêts que vous estimiez menacés de vos secteurs d’activité, vous avez proposé des exemptions pour littéralement chaque fruit et légume examiné par le groupe de concertation. Le bon sens réclamait pourtant une mise en œuvre généralisée du principe d’interdiction : dès lors qu’une catégorie de fruits et légumes est déjà substantiellement vendue en vrac en supermarché, il est contre-productif de vouloir l’en exempter. Une dérogation à l’interdiction de plastique pour des pêches et nectarines d’ores et déjà achetées à plus de 70 % en vrac ne fait pas sens. Cela n’a pas été votre ligne, et c’est ce qui a conduit à l’adoption par le CNA d’un avis à deux vitesses, entre l’envie d’avancer d’une société civile qui a gardé en tête le principe de réalité, et des filières économiques et industrielles qui ne souhaitaient manifestement pas faire preuve de bonne volonté. Vous n’avez cessé de continuer à « réclamer des aménagements » pendant la concertation préalable à la rédaction du décret. Sensibles à vos doléances, les pouvoirs publics ont établi une liste d’exemptions à levée progressive par le décret n° 2021-1318 du 8 octobre 2021. Cela ne vous a pas suffi. Vous avez attaqué le texte en justice, Interfel regrettant une mesure prise « sans concertation préalable avec la filière professionnelle » ; Elipso déplorant un décret qui « [va] bien au-delà des dispositions définies [dans la loi] » ; Plastalliance en profitant pour rappeler qu’elle « n’a jamais soutenu ou cautionné les objectifs attentatoires à l’industrie plastique de l’emballage ». Vous avez finalement obtenu gain de cause : la rapporteure publique vous a donné raison le 14 novembre dernier en recommandant « l’annulation totale » du décret. À la suite de cet avis, le Conseil d’État a invalidé le texte. Un nouveau projet de décret a été mis en consultation par le ministère, avec un risque non négligeable de travail de sape de votre part, qui pourrait mener à une liste d’exemptions longue… et pérenne. Tout du long de l’élaboration de cette mesure, vous vous serez placés en porte-à-faux vis-à-vis des citoyens et citoyennes qui souhaitent pouvoir consommer des fruits et légumes frais sans inonder leurs poubelles de plastique à usage unique. 83 % des Français·es pensent que la réduction du plastique à usage unique doit être une priorité. Pour ce faire, elles et ils estiment qu’il faudrait éliminer complètement ou à tout le moins limiter autant que possible l’utilisation du plastique. Cette attente citoyenne s’est retrouvée au cœur des préoccupations exprimées par la Convention citoyenne pour le Climat, qui s’est prononcée dans sa proposition C3.1 pour le développement du vrac. Ce mode de distribution est déjà majoritaire pour les fruits et légumes, qui ne sont « que » 37 % à être vendus sous emballages. Cela représente néanmoins 2,8 millions d’emballages plastiques annuels – un chiffre qui a augmenté de 22 % depuis le début des années 2000. Le secteur des fruits et légumes est ainsi responsable de la production et de la mise aux ordures de près de 20 000 tonnes de plastiques par an. Nous parlons bien ici de ce plastique qui, tout « fantastique » qu’il est, sera à l’origine de 53,5 milliards de tonnes d’émissions de gaz à effet de serre en 2050 de par sa seule production. Ce même plastique inonde les océans de quelque 10 millions de tonnes par an ; 54 des 120 espèces de mammifères marins menacées identifiées par l’UICN se retrouvent à en consommer ou se coincer dedans. Les êtres humains ne sont pas en reste : nous en ingérons jusqu’à 5g par semaine. 20 000 tonnes de plastique par an, c'est autant de microplastiques qui pénètrent nos organismes. D’après les fédérations de fruits et légumes, 80 % de la filière serait en conformité avec la mesure. Qu’attendons-nous alors pour aller dans le sens de l’histoire et réduire notre recours aux emballages plastiques ? Qu’attendez-vous ? Nous, associations de consommateurs et consommatrices, citoyens et citoyennes, ONG de protection de l’environnement, parlementaires et scientifiques, prenons acte de l’annulation du décret et de la menace que vos actions font peser sur la lutte contre le fléau plastique. Nous serons au rendez-vous pour élaborer un texte qui reste ambitieux face à l’urgence environnementale comme aux attentes citoyennes. Le serez-vous ?
    11,827 of 15,000 Signatures
    Created by Zero Waste France 🌱. Picture
  • NON à l'extension de la carrière Lafarge sur Château-Gontier (53)
    La demande d'extension de la Carrière des Coudrays par l'entreprise LafargeHolcim sur les communes de Château-Gontier sur Mayenne et Marigné-Peuton (53) est un projet destructeur au niveau environnemental. "Les impacts résultants du projet à la suite des mesures envisagées seront nuls à faibles, voire positifs à entièrement maitrisés" Etude d'impact - LafargeHolcim Vraiment? - Sur les 50ha concernés par cette demande d'extension, on trouve 17ha de forêt qui seront défrichés. Cette disparition d'espaces boisés portera atteinte à la survie de nombreuses espèces protégées (l'écureuil roux, l'autour des palombes, etc...). De plus, la forêt a un rôle essentiel dans la régulation du changement climatique (micro-climat, stockage carbone). - 3 zones humides sont également concernées : ce sont des écosystèmes complexes et précieux. On y trouve de nombreuses espèces d'amphibiens. Ces zones humides sont essentielles dans la préservation de la biodiversité. De plus on observe de plus en plus de phénomènes climatiques extrêmes (sécheresses, fortes pluies...) Ces espaces ont un rôle primordial pour limiter les inondations dans les villes. -Lafarge se vente de créer 3 emplois supplémentaires grâce à l'extension. Cependant, ne peut-on pas faire mieux? Sur les 33ha de terres agricoles menacés, il est possible d'installer au moins un agriculteur et même plus si on y développe des projets à taille humaine, tel que du maraîchage diversifié, de l'arboriculture, de l'élevage extensif... - Les exploitants de carrières sont dans l'obligation légale de restaurer le milieu suite à l'extraction. Ils se servent de déchets inertes pour compenser les matériaux retirés. Il n'y a aucune transparence sur l'origine de ces déchets et bien que des mesures soient mises en places pour assurer l'isolation de ceux-ci dans le sol une fois enfouis, nous ne sommes jamais entièrement à l'abri d'une pollution diffuse des eaux souterraines. De plus, la vie du sol ne sera jamais totalement retrouvée. - L'exploitation de la carrière actuelle consomme 66 000 m3 par an. Le projet d'extension va nécessité de venir puiser dans la nappe phréatique une quantité d'eau au moins égal à ce volume. La ressource en eau va devenir de plus en plus rare dans les années à venir, les sécheresses anormales que nous connaissons depuis quelques années en sont un signal fort. Il serait inconscient d'autoriser cette folie de plus. En plus d'avoir une atteinte à la biodiversité et au climat, ce projet participe à l'altération de notre paysage bocager. Il est important que nous nous opposions à ce projet pour préserver notre environnement à notre échelle. Nous sommes conscient que dans le système consumériste actuel, les matériaux extraits semblent indispensables, pour construire, bétonner, reconstruire... Il est temps que nous réalisions l'urgence d'évoluer vers plus de sobriété : rénovation de l'existant, utilisation de matériaux bio-sourcés ou recyclés, limitation de l'étalement urbain,... Signez cette pétition c'est faire votre part pour stopper un projet destructeur de plus. L'enquête publique se termine le jeudi 21 juillet à 17h. Nous remettrons en mains propres les signatures au commissaire enquêteur pour lui témoigner de la mobilisation citoyenne. La liste des signataires viendra peser dans l'évaluation de l'enquête publique. Ne sous-estimons pas l'importance du poids de l'avis des citoyens.
    3,483 of 4,000 Signatures
    Created by Coquelico T.
  • STOP AU METHANISEUR XXL
    Les CIVEs, issues de céréales et menues pailles, seront collectées auprès de 150 agriculteurs locaux adhérents au site de méthanisation. La collecte se fera dans un rayon de 75 km du site de méthanisation. Les CIVEs, cultivées sur une surface de 5400 ha !, viennent en concurrence des productions animalières et humaines de céréales, alors que la planète souffre d'une très grave crise alimentaire due au dérèglement climatique. L'introduction d’une seconde culture (du tournesol et du soja semés après récolte du seigle en CIVE) paraît bien théorique si le semis est effectué juste avant le 15 mai, compte tenu des sécheresses à répétition au printemps et en été. Ces cultures risquent fort de n'être que des cultures alibi, des cultures PAC, sans grand enjeu de productivité. En raison du changement climatique et dans un contexte alimentaire tendu au niveau mondial, l’utilisation des CIVEs et plus largement des céréales en méthanisation pose question. Plusieurs centaines, voire milliers d’hectares sont cultivés afin d’alimenter les méthaniseurs, et entrent ainsi en concurrence avec une culture à vocation alimentaire. Le projet consiste à devoir créer des cultures pour alimenter un méthaniseur, et à transporter sur de longues distances ces cultures. L’énergie fossile est toujours utilisée pour semer, récolter et acheminer la marchandise jusqu’à la future usine de méthanisation et ce, en grande quantité, pour les 5400 ha de terre qui seront cultivés chaque année… Par conséquent, un bilan carbone bien positif qui n’a que peu d’intérêt aux yeux des porteurs de ce projet pour produire un gaz au final peu vert ! Les intrants tels qu’utilisés en méthanisation « raisonnée » ne sont donc plus des déchets, mais des cultures qui pourraient être utilisées à vocation alimentaire. Le collectif d’habitants que nous sommes alerte sur les dangers d’une méthanisation XXL non contrôlée ; il faut agir face à ces risques réels de pollution de l’air, des sols et de l’eau et pour mettre les pouvoirs publics devant leurs responsabilités. STOP ! Les profits des uns (largement subventionnés) ne peuvent se réaliser au prix de multiples pollutions pour les autres. Nous collectif d’habitants : - Refusons 20 000 poids lourds sur nos routes par an (nuisances sonores, dangerosité, dégradation des routes, pollution) ; - Refusons tout épandage de digestats sur le bassin d’alimentation des eaux de captage (risque élevé de pollution des nappes phréatiques sur un sol karstique) ; - Refusons le rejet de centaines de milliers de mètres cubes d’eau chargée dans nos nappes phréatiques (risque avéré de pollution des nappes phréatiques) ; - Refusons les rejets de méthane (le méthane est également un Gaz à Effet de Serre 28 à 80 fois plus nocif pour le climat que le CO2 s’il est envoyé tel quel dans l'atmosphère d’où des inquiétudes si il y a des fuites même légères !) et autres gaz (H2S, NH3, N2Oun Gaz à Effet de Serre 300 fois plus puissant que le CO2…) ; - Refusons l’altération et la dévaluation du patrimoine avoisinant ; - Refusons les risques liés à la sécurité de cette usine (incendies, explosions…) ; - Refusons ce projet d’usine dont le destin semble déjà décidé par les élus (plateformes de stockage délocalisées déjà construites en catimini), CIVEs déjà récoltées et stockées… sans information ni concertation des habitants concernés ! Nous ne refusons pas la méthanisation à la ferme, qui traite ses propres déchets pour son auto-consommation d'énergie, ni la méthanisation des vrais déchets, réalisée par de vrais professionnels, qui disposent des équipes spécialisées garantissant la sécurité et l'absence de pollution de leurs installations. Soutenez massivement notre combat pour une méthanisation raisonnée, mieux encadrée et mieux contrôlée, respectueuse de l'environnement et de l'ensemble de la population, en signant cette pétition! Sont contre le projet ou ont des avis très réservés : La Confédération Paysanne de Côte d’Or, France Nature Environnement, les syndicats des eaux, certaines communes, le Collectif National Vigilance Méthanisation, le Collectif Scientifique National Méthanisation et sans oublier un grand nombre d’agriculteurs…
    647 of 800 Signatures
    Created by KARINE B.