• La mafia des océans
    Regardez le reportage : SEASPIRACY la pêche en question pour mieux comprendre ( sur Netflix ou autres plateformes). La pêche industrielle pour l’industrie du poisson est responsable à elle seule de plus de la moitié des déchets plastiques dans les différents océans du mondes . Si l’on ne réagit pas nos océans ne seront bientôt plus que des décharges flottantes arides de vie . Il faut oublier nos habitudes néfastes pour la planète afin de la laisser se régénérer. Pendant que 10 millions d’hectares de forêt subissent la déforestation chaque année (l équivalent de 27 terrains de football sont rasés par minute )cela semble énorme mais n’est rien en comparaison de la déforestation maritime qui s’étend à 1,5 milliard d’hectares an ( l’équivalent de 4316 terrains de football par minute ) . La moitié des espèces animal pêchées sont rejetées « inertes de vie »(dauphins , oiseaux marins, tortue ... pour que l’autre moitié soit consommée . Les élevages consomment plus de kilos de poissons qu’il n’en produisent en cages sans compter les maladies et parasites qui pullulent , l’esclavagisme dans certain pays ainsi que la pollution qui en résultent ... Nos enfants ne connaîtront pas la plupart des ressources que nous avons connu et leurs enfants ne pourront tout simplement plus répondre à leur besoins si l’on apprend pas dès maintenant à gérer nos ressources mondiales. Pour cela il faut RÉAGIR VITE ET ENSEMBLE !!! Pour commencer il faut mettre fin au massacre des 10 000 dauphins tués au large des côtes du sud de la France chaque année par des filets et divers matériaux de pêche ensuite il nous faut voir plus loin mais commençons par ce qu’il est juste sous nos yeux et que personne ne veut voir. RÉAGISSONS TOUS ENSEMBLE pour que par la suite en France puis dans le monde entier nous réussissons à faire comprendre , à montrer l’exemple ils nous faut absolument mettre fin à la pêche industrielle avant qu’il n’y est plus rien !! SIGNEZ PARTAGEZ
    231 sur 300 Signatures
    Créée par Stanislas V. Picture
  • Il est urgent d’abandonner les vols courts au départ de Lille
    Pour respecter les Accords de Paris, des mesures fortes doivent être prises concernant le secteur aérien qui représente vraisemblablement plus de 7% de notre empreinte carbone nationale, et dont le trafic double tous les 15 ans (1). Parmi les leviers d’action pour réduire l’empreinte carbone du secteur, supprimer les vols courts constituerait un premier levier à actionner au niveau national. En effet, selon une étude du RAC, “la suppression des vols qui se font en moins de 6 heures en train permettrait de diminuer de plus de 80% les émissions de CO2 issues des vols métropolitains et d’environ 6% les émissions de l’ensemble des vols au départ de la France”. (2) Selon une étude menée par Greenpeace portant sur 15 connexions aériennes parmi les plus utilisées (alors qu’une alternative en train existe en moins de 6 heures et sans changement), la différence en termes d’émissions de CO2eq par passager entre l’avion et le train est considérable (pour un même trajet). Pour la moitié des connexions étudiées, le trajet en avion est au moins 60 fois plus émetteur que le même trajet en train. (3) Il est donc impératif d’abandonner l’avion pour les trajets qui peuvent être faits en train, largement moins polluant, tout en investissant en parallèle pour une véritable relance du ferroviaire. Nous demandons également que soient anticipées les conséquences sociales de cette mesure, en protégeant les travailleur-ses impacté-es et leurs droits, en les formant et en accompagnant leur reconversion vers des emplois ou des secteurs plus adaptés au défi climatique quand cela sera nécessaire, et en les associant aux réflexions et aux décisions​. A ce sujet la mesure actuellement prévue sur ce sujet dans le cadre de la loi Climat est largement insuffisante : elle ne permettrait au mieux que la fermeture de 5 connexions sur la centaine de connexions aériennes intérieures existantes. Dans ce contexte, nous devons continuer à exiger des décideurs politiques locaux et nationaux qu’ils relèvent le niveau d’ambition sur ce sujet de la suppression des vols courts. A notre échelle, nous demandons la suppression des lignes aériennes suivantes, pour lesquelles une alternative en train de moins de 6 heures existe : Suppression du vol Lille-Lyon : une alternative en train de 3h existe Suppression du vol Lille-Strasbourg : une alternative en train de 4h existe Suppression du vol Lille-Marseille : une alternative en train de 5h existe Suppression du vol Lille-Bordeaux : une alternative en train de 5h existe Suppression du vol Lille-Nantes : une alternative en train de 5h30 existe Suppression du vol Lille-Montpellier : une alternative en train de 5h existe Suppression du vol Lille-Brest : une alternative en train de 5h50 existe Les crises sanitaire et climatique imposent de repenser en profondeur le secteur aérien. Alors que la loi Climat est encore en cours d’examen parlementaire et que des échéances électorales arrivent aux niveaux local et national, signez la pétition pour demander des solutions de transport d'avenir, moins carbonées et accessibles à tous, pour une société soutenable et juste. Signer, c’est affirmer son soutien aux alternatives à l’avion, exiger la fermeture des lignes aériennes mentionnées, et s’engager à ne pas y avoir recours à titre individuel. Merci pour votre soutien ! Sources : (1) "Climat : pouvons-nous (encore) prendre l’avion ?" - Rapport B&L évolution ( https://www.bl-evolution.com/Docs/200721_Etude-BLevolution_Climat-Aviation.pdf ) (2) Rapport du RAC https://bit.ly/3jIGWoi (3) Rapport de Greenpeace : https://bit.ly/3u7bvIs
    1 429 sur 2 000 Signatures
    Créée par Mina D.
  • Versailles : Nous voulons + de repas végétariens
    Aujourd'hui, à la cantine du lycée, nous mangeons de la viande ou du poisson tous les jours ou presque. Manger trop de viande, oeufs et produits laitiers notamment issus de l’élevage industriel, a un impact énorme sur la dégradation de l’environnement et le dérèglement climatique (l’élevage industriel est responsable de 14,5% des émissions de gaz à effet de serre*) et sur notre santé à TOUS. L’urgence climatique est un drame pour notre futur. Nous ne sommes pas tous végétarien·es mais nous sommes unanimes : nous voulons consommer moins de viande. Élevé du lycée Notre-Dame du Grandchamp-Jules Brochet, il est grand temps d’agir pour la transition écologique. En plus de respecter la loi “Agriculture et Alimentation” qui prévoit l'introduction d’un repas végétarien par semaine obligatoire dans les cantines scolaires, nous vous demandons d'introduire dès maintenant dans notre lycée : - 2 menus végétariens pour tous par semaine; - Un choix végétarien équilibré et de qualité les autres jours; - Une majorité de produits frais, locaux et bio. Comme l’a démontré un récent rapport de Greenpeace, l’instauration de menus végétariens a des effets positifs sur le climat, l’eau et réduit les risques de déforestation. Dans le même temps, diminuer la part de viande permettra de libérer du budget pour introduire des produits de meilleure qualité et pour servir des repas plus variés. De nombreuses recettes végétariennes compatibles avec la restauration scolaire existent, des exemples sont consultables sur le site www.vegecantines.fr . De nombreuses mairies s’engagent réellement, en proposant deux menus végétariens par semaine, comme c’est le cas à Lille, Mouans-Sartoux, Grenoble ou Paris 19ème et 2ème. Ces menus leur ont permis d’améliorer la qualité des plats et d’acheter davantage de produits bio. Si ces établissements ont déjà opéré une transition végétale des cantines pourquoi pas Versailles? OUI, Versailles doit jouer son rôle dans la préservation de l’environnement, et cela passe aussi par notre assiette. Sources : *IPBES et FAO 2013 Rapport de Greenpeace "Menus végétariens à la cantine, quels impacts pour la planète?" - sept 2020 : https://bit.ly/35MBnR4
    75 sur 100 Signatures
    Créée par Jules B.
  • Stop Panhard à Sens
    Nous appelons les Sénonaises et Sénonais, toutes et tous les habitantes et habitants des communes du Grand Sénonais, les commerçants, les artisans, les paysans du territoire à exiger l'abandon de ce projet. Le projet d’installation à Sens d’une plateforme logistique pour un mystérieux géant du e-commerce par la société Panhard est mené dans l’ombre, comme toujours, pour éviter les oppositions citoyennes : il a fallu des questions au conseil municipal du 23 novembre 2020 pour que quelques rares informations soient données. Ce que l’on sait : On parle de l’implantation d’une immense « plateforme logistique pour un géant du e-commerce » par le groupe Panhard, sur 40ha de terres agricoles. Les impacts néfastes qu’aurait ce projet sont nombreux : Destruction du patrimoine naturel et rural sénonais, dans la lignée des ravages déjà commis avec l’extension de la lèpre des zones commerciales et d’activité, alors même que des zones existantes périclitent. Nouveau recul de l’activité agricole, un atout majeur d’attractivité gaspillé. Augmentation terrible du trafic routier : Près de 1000 mouvements quotidiens Poids lourds, et plus de 2500 mouvements de « Véhicules légers », c’est-à-dire de grosses camionnettes Destruction des commerces locaux, au bout du compte, des pertes nettes d’emplois Nouveaux coûts de voirie et de réseaux récurrents pour la collectivité, qui devront être assumés quel que soit le destin de ce projet Pourquoi si peu de transparence et d’information publique ? Quels avantages fiscaux pour ce « géant » ? Quels bénéfices attendus en termes d’impôts locaux au regard des investissements initiaux et des coûts récurrents d’entretien des infrastructures ? Comparons avec un commerce « type » de notre ville, en termes d’imposition au m² ! Le principal argument des promoteurs de ce projet néfaste : les emplois créés. DES EMPLOIS CRÉÉS, VRAIMENT ? Ce véritable bouclier magique derrière lequel se retranchent les soutiens du projet est une illusion ! > 2000 emplois promis, ce sera dans les faits 200 ou 300, il suffit de voir ce qui s’est fait ailleurs > 1 emploi créé dans le e-commerce c’est 2,5 emplois détruits dans les commerces de proximité > Avec la Robotisation, à terme, c’est 0 emploi que nous aurons. > Des emplois précaires dans des conditions de pénibilité avérées : cadence de travail infernale imposée par des robot, pauses réduites, burn-out fréquents… C’est un rythme proprement inhumain. > Une rotation du personnel très élevée, les employés sont renouvelés très régulièrement, avec une formation minimale des salariés. > Aucune garantie sur la durée de cette activité   Comment cela se passe-t-il sur d’autres sites à deux pas de chez nous ? > A Savigny-sur-Clairis, à 25km de Sens, la base logistique de 57.000m² du promoteur FM Logistique pour le compte de Carrefour a fermé après seulement 2 ans. 300 emplois perdus. > A deux pas, Ibiden qui a touché des subventions de la région pour s’installer, part en Hongrie en 2018. 300 emplois perdus Et si on regarde sur la France entière, les exemples sont légion, et les opposants arrivent souvent à empêcher ces projets de se faire pour sauver leur patrimoine naturel et les commerces de proximité.
    962 sur 1 000 Signatures
    Créée par Sens Ecologie & Solidarité E. Picture
  • « Moins de voiture en ville, plus d’espace pour vivre ! » #vivre en ville
    Les différentes crises que nous vivons nous incitent à réinventer nos vies en ville, en changeant notamment la façon de nous déplacer et d’investir l’espace urbain, et en interrogeant nos besoins de déplacement. Pour envisager l’avenir plus sereinement, il nous faut donc trouver un meilleur équilibre de mobilité urbaine nous permettant de nous déplacer de façon saine, efficiente et inclusive tout en minimisant les coûts d’infrastructure et l’empreinte environnementale associée. Dès lors, il est essentiel de privilégier le mode de déplacement élémentaire : la marche, accessible à beaucoup d’entre nous, gratuit, sain et neutre sur le plan environnemental. Ensuite, il convient de favoriser d’avantage qu’il ne l’est actuellement, le vélo et ses déclinaisons (comme les vélos utilitaires, vélos cargos, vélos taxi, etc.), car ces modes de déplacement sont à la fois sains, efficaces et économes en ressource et en infrastructure. Les transports en commun, les transports à la demande, le covoiturage et l’autopartage, doivent également être promus, en particulier dans les situations où la mobilité active n’est pas possible (e.g. handicap, longue distance, condition climatique, sécurité, topographie, etc.). Enfin, à l’instar de nombreuses villes qui ont déjà engagé cette transition (e.g Copenhague, Amsterdam, Bolzano, Padoue, Cambridge, etc.), il semble indispensable que la part des transports individuels motorisés diminue significativement, en réservant son usage aux situations non couvertes par les solutions précitées. Ce changement profond des parts modales pourrait être accompagné par une urbanisation multicentrique : un espace urbain de proximité, créateur d'activité et de lien social ; une urbanisation visant à éviter les phénomènes de report de circulation vers des périphéries ; un territoire où la qualité de vie s'améliorerait par cette capacité à rendre une taille humaine à des villes vivantes, vibrantes, inclusives et solidaires ! Pour en savoir plus : https://vm.caoua.org/dg/petition-liens.html Contact: [email protected] Web: https://colibris-wiki.org/devoituronsGrenoble/?PagePrincipale https://twitter.com/devoiturons
    617 sur 800 Signatures
    Créée par Dévoiturons Grenoble C. Picture
  • Monsieur le Maire de la ville de Valenciennes : libérez-nous du tout-voiture !
    Notre territoire et celles et ceux qui y vivent souffrent de la pollution de l’air, qui constitue aujourd’hui une urgence sanitaire établie. Le trafic routier porte une responsabilité toute particulière en ce qui concerne les émissions de polluants atmosphériques dangereux pour la santé et doit absolument être restreint. Le trafic routier est également l’un des premiers secteurs émetteur de gaz à effet de serre à l’échelle de notre agglomération. L’urgence climatique nous impose d’agir rapidement et de sortir de notre dépendance collective au pétrole, au transport routier et à la voiture individuelle. C'est un enjeu essentiel et pour autant l’abandon des véhicules polluants et de la logique du tout-voiture ne doit laisser personne sur le carreau. Évidemment, nous savons qu’il n’est pas toujours facile de se passer de sa voiture, mais nous pensons qu’il est de la responsabilité de nos élu.es de nous en donner les moyens, en développant les alternatives et en accompagnant le changement, notamment pour les plus fragiles d’entre nous. Monsieur Degallaix, il est grand temps d’agir pour la transition écologique et pour une mobilité urbaine adaptée aux crises sanitaire et climatique. Nous vous demandons donc : - de programmer et d’organiser la sortie des véhicules polluants dans notre ville/intercommunalité, à travers la mise en oeuvre d’une Zone à Faibles Emissions sur un périmètre géographique ambitieux, en intégrant les différentes catégories de véhicules polluants, en particulier les véhicules individuels, fixant notamment un cap de sortie du diesel à horizon 2025 et de l’essence à horizon 2030 - de prendre des mesures visant à réduire la place dédiée à la voiture dans notre ville/intercommunalité (mise en place de “rues scolaires”, mise en place ou développement des zones piétonnes et des zones à trafic limité, généralisation de la baisse des vitesses à 30 km/h et baisse de la vitesse sur les rocades, réduction du stationnement en voirie, etc.) et de réguler notamment la présence des véhicules les plus encombrants comme les SUV ; - de continuer à développer la solution vélo (plan vélo ambitieux à hauteur de 30€/an/hab minimum, mise en place d’un réseau express vélo métropolitain, activation des autres leviers d’un système vélo performant : stationnement sécurisé, intermodalité avec les transports en commun, services de location courte et longue durée, apprentissage pour tous, ateliers de réparation, etc.) ; - de renforcer et pérenniser les dispositions temporaires qui ont été mises en place en faveur du vélo et des piétons dans le contexte covid ; - de continuer à développer le réseau de transports en commun (amélioration des fréquences et amplitudes horaires, mise en place de couloirs réservés pour les autobus, mutualisation des systèmes de billettique entre les différentes offres de transports collectifs et avec les services de mobilités alternatifs, développement des transports urbains en site propre notamment vers/entre les quartiers périphériques denses mal desservis, etc.) ; - de mettre en place une tarification sociale et solidaire basée sur les ressources pour les transports en commun ; - de prévoir un accompagnement et des aides à la transition, pour soutenir les particuliers et les professionnels dans le changement de véhicule ou, mieux, de moyen de transport ; de faire preuve d’exemplarité concernant la flotte des transports en commun et de la ville : optimiser et rationaliser les déplacements au sein de la collectivité et engager une véritable politique de mobilité durable. Il reste beaucoup à faire dans nos grandes villes françaises sur ce sujet de la lutte contre la pollution automobile, comme l’a démontré un classement des villes* publié en amont des élections municipales de 2020 par le Réseau Action Climat, Unicef France et Greenpeace France. La crise sanitaire Covid que nous traversons a mis une nouvelle fois en lumière la nécessité absolue d’avancer rapidement sur ces enjeux de mobilité urbaine. Sortir du tout-voiture, du diesel et de l’essence et prioriser d’autres manières de se déplacer en ville demande du courage politique et c’est indispensable pour faire face à l’urgence sanitaire et climatique. Maintenant que les élections sont passées, nous vous demandons de passer rapidement à l’action pour lutter de manière ambitieuse contre la pollution automobile, en prenant en compte nos demandes dans ce texte. Je vous prie d’agréer, Monsieur le Maire, l’expression de ma considération distinguée. *Source : https://www.greenpeace.fr/lutte-contre-la-pollution-de-lair-classement-des-12-plus-grandes-agglomerations-francaises/
    65 sur 100 Signatures
    Créée par Nicolas D.
  • Préservons la colline de Sauveterre
    Sur les hauts de Sauveterre, il y a un plateau, où les habitants de la région viennent se promener et apprécier une vue quasiment à 360 degrés sur le Rhône, les châteaux de Châteauneuf du pape, Roquemaure ou encore Caderousse et le Mont Ventoux, les dentelles de Montmirail et même les Alpes. Alors, nous sommes là aujourd’hui pour empêcher que ce projet ne se fasse. Nous avons le bon sens de notre côté : détruire un espace naturel au nom de l’écologie ne tient pas debout. La transition écologique et les objectifs de la COP 21 ont un sens dans une politique de développement durable, mais c’est un prétexte à beaucoup de projets mal intentionnés. Pour ce qui est de la couverture au sol par des panneaux solaires, l’ADEME (Agence de l’Environnement et de la Maitrise de l’Energie), a donné les recommandations pour le choix de l’emplacement des dites centrales. 3 cas de figures : BASOL (sites pollués), BASIAS (anciens sites industriels) et BD TOPO (parkings). Et bien notre jolie colline ne rentre dans aucun de ces 3 cas de figure ! Oui oui, vous lisez bien, la colline de Sauveterre n’est pas considérée comme un lieu recommandé par l’ADEME. Pire encore, le premier commissaire enquêteur, expert indépendant, dans son rapport sur le PLU (Plan Local d’Urbanisme) de Sauveterre a donné un avis défavorable au projet de centrale. Or, le maire de Sauveterre est passé outre cet avis. Et avec la crise actuelle et la fermeture des salles de sport, les espaces naturels sont des espaces de liberté et de détente si précieux. Pour qu’on puisse continuer d’en profiter, ainsi que les générations à venir, nous avons besoin de votre mobilisation à tous, habitants de Sauveterre de Roquemaure et des communes avoisinantes mais aussi vous les amoureux de la nature et de la justice. Vous pouvez contacter le Collectif « Préservons la colline » qui répondra à toutes vos questions ou accueillera votre mobilisation. Facebook : https://www.facebook.com/groups/3135560439845258 Mail : [email protected]
    103 sur 200 Signatures
    Créée par Christophe C.
  • OUI au développement économique, NON si c’est au détriment des habitants et de l’environnement !
    Nous pouvons tous être demain confrontés à des aberrations de ce type, de grands projets technocratiques sans lien avec un développement durable et raisonné des territoires. Si le développement économique a du sens, il ne peut pas se faire au détriment de nos milieux naturels et de nos concitoyens. Nous soutenir dans notre démarche c'est nous préserver tous face à ces projets sans conscience écologique et sans humanité. Ce projet doit être validé en préfecture d'ici FIN MARS 2021 : il est important et urgent que nous puissions récolter un maximum de signatures d'ici là. Merci à tous !
    1 283 sur 2 000 Signatures
    Créée par Association Nouette-Abbaye 35 .. Picture
  • A Marseille respirer tue 2500 personnes par an, 7 personnes par jour !
    Ces bateaux qui sont en stationnement ou en réparation à la forme 10, font tourner leur groupe électrogène, qui fonctionne avec un fuel particulièrement polluant, 24h/24h et en augmente la puissance la nuit pour fournir l'électricité aux personnes de l'équipage et aux techniciens de réparation logés sur ces bateaux, ce qui produit une très forte pollution aérienne, entre autre aux particules fines, et sonore. La pollution de l'air engendrée par ces mastodontes de la mer est responsable de nombreux cas de cancers, de maladies respiratoires et pulmonaires et de diabète. Ces émissions toxiques mesurées aux environs directes du GPMM , du port de l'Estaque et des environs sont nettement supérieures à la moyenne nationale et 5 fois supérieures à la pollution aérienne du centre de Marseille. C'est pourquoi nous demandons expressément aux décideurs politiques, aux compagnies de croisières et aux armateurs de faire tout le nécessaire afin d'accélérer la mise en place de l'électrification des quais du port autonome et en priorité celui de la forme 10 se trouvant au centre du village de l'Estaque mettant en danger ces habitants et ceux vivant à proximité. Nous n'attendrons pas 2025 ! Les vies humaines doivent primer sur l'économie. Nous devons nous battre pour nos enfants et pour le respect de notre planète.
    3 621 sur 4 000 Signatures
    Créée par Chantal R.
  • Stop à la destruction de la plage de La Grande Motte
    Je demande aux élus de protéger la mer Méditerranée car il s’agit ici d’éviter que des produits toxiques la polluent : l’usine de construction de catamarans utilise des produits chimiques hautement toxiques. La sauvegarde de la plage du Grand travers et de la mer Méditerranée sont en jeu. Empêchons la destruction de cette plage (suppression de 3,5 hectares de plage) pour installer des hangars industriels qui utilisent des produits dangereux. Stop à la pollution de la mer Méditerranée, nous devons arrêter ce massacre !
    172 sur 200 Signatures
    Créée par Juliet F. P.
  • M le deuxième adjoint à la ville durable : libérez-nous du tout-voiture !
    Notre territoire et celles et ceux qui y vivent souffrent de la pollution de l’air, qui constitue aujourd’hui une urgence sanitaire établie. Le trafic routier porte une responsabilité toute particulière en ce qui concerne les émissions de polluants atmosphériques dangereux pour la santé et doit absolument être restreint. Le trafic routier est également l’un des premiers secteurs émetteur de gaz à effet de serre à l’échelle de notre agglomération. L’urgence climatique nous impose d’agir rapidement et de sortir de notre dépendance collective au pétrole, au transport routier et à la voiture individuelle. C'est un enjeu essentiel et pour autant l’abandon des véhicules polluants et de la logique du tout-voiture ne doit laisser personne sur le carreau. Évidemment, nous savons qu’il n’est pas toujours facile de se passer de sa voiture, mais nous pensons qu’il est de la responsabilité de nos élu.es de nous en donner les moyens, en développant les alternatives et en accompagnant le changement, notamment pour les plus fragiles d’entre nous. M Christophe Counil, il est grand temps d’agir pour la transition écologique et pour une mobilité urbaine adaptée aux crises sanitaire et climatique. Nous vous demandons donc : - de programmer et d’organiser la sortie des véhicules polluants dans notre ville/intercommunalité, à travers la mise en oeuvre d’une Zone à Faibles Emissions sur un périmètre géographique ambitieux, en intégrant les différentes catégories de véhicules polluants, en particulier les véhicules individuels, fixant notamment un cap de sortie du diesel à horizon 2025 et de l’essence à horizon 2030 ; - de prendre des mesures visant à réduire la place dédiée à la voiture dans notre ville/intercommunalité (mise en place de “rues scolaires”, mise en place ou développement des zones piétonnes et des zones à trafic limité, généralisation de la baisse des vitesses à 30 km/h et baisse de la vitesse sur les rocades, réduction du stationnement en voirie, etc.) et de réguler notamment la présence des véhicules les plus encombrants comme les SUV ; - d’avancer sur des mesures visant à maîtriser la demande en déplacements comme l’abandon des projets de nouvelles zones commerciales en périphérie ; - d’abandonner tout projet de nouvelle infrastructure routière/autoroutière ou d’extension des capacités routières ; - de continuer à développer la solution vélo (plan vélo ambitieux à hauteur de 30€/an/hab minimum, mise en place d’un réseau express vélo métropolitain, activation des autres leviers d’un système vélo performant : stationnement sécurisé, intermodalité avec les transports en commun, services de location courte et longue durée, apprentissage pour tous, ateliers de réparation, etc.) ; - de renforcer et pérenniser les dispositions temporaires qui ont été mises en place en faveur du vélo et des piétons dans le contexte covid ; - de continuer à développer le réseau de transports en commun (amélioration des fréquences et amplitudes horaires, mise en place de couloirs réservés pour les autobus, mutualisation des systèmes de billettique entre les différentes offres de transports collectifs et avec les services de mobilités alternatifs, développement des transports urbains en site propre notamment vers/entre les quartiers périphériques denses mal desservis, etc.) ; - de mettre en place une tarification sociale et solidaire basée sur les ressources pour les transports en commun ; - de prévoir un accompagnement et des aides à la transition, pour soutenir les particuliers et les professionnels dans le changement de véhicule ou, mieux, de moyen de transport ; de faire preuve d’exemplarité concernant la flotte des transports en commun et de la ville : optimiser et rationaliser les déplacements au sein de la collectivité et engager une véritable politique de mobilité durable. Il reste beaucoup à faire dans nos grandes villes françaises sur ce sujet de la lutte contre la pollution automobile, comme l’a démontré un classement des villes* publié en amont des élections municipales de 2020 par le Réseau Action Climat, Unicef France et Greenpeace France. La crise sanitaire Covid que nous traversons a mis une nouvelle fois en lumière la nécessité absolue d’avancer rapidement sur ces enjeux de mobilité urbaine. Sortir du tout-voiture, du diesel et de l’essence et prioriser d’autres manières de se déplacer en ville demande du courage politique et c’est indispensable pour faire face à l’urgence sanitaire et climatique. Maintenant que les élections sont passées, nous vous demandons de passer rapidement à l’action pour lutter de manière ambitieuse contre la pollution automobile et en prenant en compte nos demandes dans ce texte. Je vous prie d’agréer, Monsieur Counil, l’expression de ma considération distinguée. *Source : https://www.greenpeace.fr/lutte-contre-la-pollution-de-lair-classement-des-12-plus-grandes-agglomerations-francaises/
    39 sur 100 Signatures
    Créée par Helen R.
  • La neige fond, les déchets ressurgissent !
    Malgré les remontées mécaniques, bars & restaurants fermés, nos montagnes ont vu un afflux de touristes laissant comme chaque année derrière eux un tas "habituel" de déchets dispersés à travers la nature. Ceux-ci ressurgissent avec la fonte de la neige, au détriment des cours d'eaux, de la faune et de la flore. L'objectif de cette campagne est de mobiliser un maximum de jeunes volontaires lors de leur temps libre, à faire une action concrète et de marquer le coup dans l'esprit des plus ignorants. Les beaux jours reviennent, profitez-en pour vous balader entre amis et de ramasser les déchets visibles, proposez un sac aux familles qui n'en ont pas, équipez-en votre voiture et ce sera déjà un beau geste, à notre échelle, pour l'environnement. Un rouleau de 10x30L environ 3€ en supermarché. Pensez au covoiturage et évitez les produits sur-emballés. Ne prenez pas de risque inutile (falaises etc.) ramassez déjà le visible =) Pour Info : -un masque FFP2 met jusqu'à 500 ans à se dégrader -un emballage plastique entre 300 et 400 ans -une canette de Coca 200 ans -un mégot entre 1 et 3 ans Merci !
    130 sur 200 Signatures
    Créée par Loop T. Picture