• STOP à encore plus de béton dans nos campagnes !
    La ville de Nandy (77176) veut construire sur une partie du plateau de Rougeau, un nouveau quartier, dénommé lot Mercure, avec 108 logements, principalement des collectifs de trois étages, ainsi qu’un centre commercial, doté d’une pharmacie.  Ces terres (4,3 hectares) appartiennent à l’EPA Sénart, et à ce jour, sont cultivées par un agriculteur. Ce projet d’urbanisation est la réponse à la fermeture de la zone commerciale qui était située au cœur de la ville, quartier des Bois, et qui aujourd’hui est en partie devenue une friche urbaine. Nous, ADE - Association de Défense de l’Environnement de Sénart et environs -, pensons qu’il est plus urgent de réhabiliter l’ancienne zone commerciale au cœur de la cité et à proximité de ses habitants, plutôt que de la délocaliser en plein champs. Et pour les raisons suivantes :  Préserver nos terres productives et consolider les objectifs du Plan Alimentaire Territorial développé par l’agglomération Grand paris Sud (GPS). Prévenir une augmentation du trafic routier sur la D 346 et la D 50, et de la pollution.  Préserver la biodiversité et nos paysages ruraux patrimoniaux. https://www.ade-senartetenvirons.com/
    43 sur 100 Signatures
    Créée par Cathy B.
  • Un plat végan quotidien au Restaurant Universitaire
    Les aliments d'origine animale, en particulier la viande rouge et les produits laitiers, sont généralement associés aux émissions de gaz à effet de serre les plus élevées. En revanche, des aliments comme les fruits et légumes, les céréales complètes, les noix et les lentilles utilisent généralement moins d'énergie, de terres et d'eau. Donc ils ont une empreinte en gaz à effet de serre plus faible que les produits d'origine animale. Pour être précis, une alimentation végétarienne réduit les émissions CO2 de presque 50%, alors que une alimentation vegan les réduit de 70%. (1,5)  Mais l'aspect du climat est loin d'être la seule raison pour introduire un plat vegan au resto.  Concernant l'homicide des animaux, il y a des chiffres difficiles à imaginer - pour donner un exemple: en 2021, environ 202 millions de poulets étaient tués chaque jour, ce qui fait 140 000 poulets tués chaque minute. (3)  Pour illustrer les souffrances que nous causons aux animaux d'élevage :  Une vache ne produit normalement que 4 à 8 litres de lait par jour, juste assez pour son veau.  Mais pour maintenir la production dans l’industrie laitière, elle est presque constamment enceinte, donc doit donner naissance à un veau chaque année et elle est obligée de produire 25 à 50 litres par jour. Ceci épuise son corps énormément de manière qu'elle ne vit en moyenne que 5 ans, même si elle pourrait vivre 20 ans.  Et est-il vraiment acceptable que des veaux de moins de 8 mois soient tués dans l’industrie du veau uniquement parce qu'ils sont mâles et ainsi inutile à la production laitière? (4)  Ou que, pour la même raison, 330 millions de poussins mâles sont broyés vivants chaque année dans l'UE- après seulement quelques heures de vie? (9)  https://www.l214.com/fichiers/images/visuels/HD/bovin-abattoir-2.jpg  Nous sommes responsables de cette cruauté en consommant et même en payant pour des produits liés à la souffrance animale.  Mais nous avons aussi le choix dans notre vie quotidienne de soutenir ou de réduire ainsi que d'éviter cette surconsommation inhumaine. Ce choix devrait aussi être possible au restaurant universitaire.     Pourquoi un plat végan (= végétalien) quotidien ? 1. Réduction de l'impact environnemental : comme le montre une étude publiée dans Nature en 2022, une alimentation vegan pourrait réduire l'impact environnemental de la nourriture de 70% →  Aujourd'hui, cela est plus important que jamais ! (5) 2. Éthique et protection des animaux : le véganisme évite la souffrance et l'exploitation des animaux en refusant leur utilisation pour la nourriture. Ceci va avec un respect profond pour toutes les formes de vie. 3. Soutien à la biodiversité : en éliminant les produits d'origine animale, on contribue à la préservation des habitats naturels et à la biodiversité en réduisant la pression exercée sur les écosystèmes pour l'élevage et la culture de fourrage (2, 7, 8) 4. Santé améliorée : une alimentation à base de plantes est riche en nutriments, vitamines et fibres, ce qui peut réduire le risque de maladies chroniques comme les maladies cardiaques, le diabète et certains cancers (6) 5. Découverte culinaire : un plat végan peut être la transformation d’un plat qui contient des produits d’animal en quelque chose de goût similaire. Mais la cuisine végan offre beaucoup plus que ca : elle permet de découvrir des produits et combinaisons dans tout les couleurs imaginables.   Nous revendiquons l'introduction d'un plat végan dans le restaurant universitaire - chaque jour. Selon nous, il est grand temps de rendre l'offre de la cantine durable et orientée vers l'avenir, afin de réduire à la fois l'empreinte écologique et éviter la souffrance des animaux. Signez maintenant pour faire partie du changement ! Sources  (1)Food and Climate Change: Healthy diets for a healthier planet | United Nations (se réfèrent aux sources suivantes:Climate Change 2022: Mitigation of Climate Change , Chapter 12: Cross sectoral perspectives) (2) Environmental Impacts of Food Production - Our World in Data (3)https://ourworldindata.org/how-many-animals-get-slaughtered-every-day (4)https://www.tierschutzbund.de/en/animals-topics/animals-in-agriculture/cattle/dairy-cows/ (5)https://www.science.org/doi/10.1126/science.aaq0216 (6)https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC10052889/ (7)https://ourworldindata.org/drivers-of-deforestation (8)https://www.nature.com/articles/s43016-023-00795-w (9)https://www.europarl.europa.eu/RegData/etudes/ATAG/2022/739246/EPRS_ATA(2022)739246_EN.pdf  
    45 sur 100 Signatures
    Créée par maryline b.
  • Stop au Greenwashing du bambou : un frein pour l’agriculture paysanne
    Il y a quelques mois, l’entreprise France Bamboo faisait l’acquisition de plus de 50 hectares de terres à St-Antonin-Noble-Val (Tarn et Garonne) pour y implanter une vaste monoculture de bambous géants. Sur le papier tout semble relever de la belle histoire, cette entreprise fondée en 2023 par deux associés issus de l’immobilier et de la finance, annonce sur son site internet, vouloir « s’associer à la nature, pour construire ensemble un avenir durable » et contribuer à la « lutte contre le réchauffement climatique » (1). S’appuyant sur la capacité des bambous à séquestrer le CO2, les promoteurs de cette monoculture se donnent pour mission de « recréer des puits carbone dans nos régions ». Derrière cette initiative charitable et verdoyante, se cache en réalité un véritable greenwashing qui trouve dans le récit de la transition écologique, un nouvel eldorado ! Planter des bambous ne contribuera pas à ralentir le réchauffement climatique et pourrait même l’aggraver. La monétisation du carbone ou l’illusion de la transition écologique La culture du bambou repose en partie sur un modèle économique illusoire : la vente de crédits carbone (produit financier adossé à la séquestration du CO2). Après la plantation de ses premiers hectares de bambous cette année, l’entreprise France Bamboo annonce ses ambitions industrielles basées sur ce système : « Ce n'est que le début ! Notre vision est claire : atteindre 1 500 hectares cultivés dans 10 ans et capturer 4,5 millions de tonnes de CO2 au cours des 20 prochaines années » (2). En se fondant sur ces chiffres et une fourchette basse du prix du carbone en 2030 (3), cette activité pourrait rapporter à l'entreprise plusieurs millions d’euros par an. Au-delà de ces chiffres de séquestration fantaisistes au regard de la littérature scientifique (4), cette activité est jugée totalement inefficace pour sauver le climat. De nombreux experts comme Jean-Marc Jancovici (5) ou encore récemment la Science-based target initiative (SBTi) du Pacte mondial des Nations-Unies (6) ont conclu que le système de la compensation et des crédits carbone s’avère aussi inefficace que dangereux. Il donne l’illusion aux entreprises qu’elles pourraient continuer à émettre toujours plus de gaz à effet de serre dans l’atmosphère sans dégrader le climat, simplement en plantant massivement des arbres ou du bambou pour compenser leurs émissions (pour plus d'informations). Un potentiel désastre pour la biodiversité et les sols Dans le même temps, l’exploitation du bambou géant, une espèce traçante et envahissante, représente un risque écologique majeur. Sa capacité à se propager dans les cultures avoisinantes et à envahir les écosystèmes locaux, notamment les berges de cours d’eau, menace la biodiversité. L’expansion de cette plante pourrait altérer les sols et causer la destruction des forêts adjacentes comme le révèle une étude scientifique (7). À St-Antonin-Noble-Val, le manque de garanties quant à la gestion de ces risques, ainsi que l’absence de plans clairs pour la remise en état des terres après l’exploitation, ne font qu’aggraver l’inquiétude des habitants. Le bambou n’est pas une culture adaptée à notre terroir et ses impacts à long terme sur les sols pourraient être dévastateurs pour les exploitations agricoles locales. La perspective de terres rendues inexploitables pour des années en raison des racines profondes et des rhizomes de bambous est inacceptable.    Empêchons l’industrie du bambou de dévorer nos terres et menacer l’agriculture paysanne Le développement d’entreprises du bambou comme France Bamboo ou Horizom, qui ambitionne de planter prochainement 50 000 hectares de bambou sur des terres agricoles (8), illustre une dynamique industrielle qui mettra à mal l’équilibre écologique et social de nos territoires. Nous le voyons déjà dans les gorges de l’Aveyron, avec l'implantation de France Bamboo qui s’est concrétisée aux dépens de petits agriculteurs. C’est pourtant sur eux que repose l’agriculture de demain... Ces nouvelles générations, conscientes des enjeux écologiques, garantiront notre souveraineté alimentaire par la diversité et la résilience de leurs cultures. Alors qu’un quart des agriculteurs ont plus de 60 ans et que 13 millions d’hectares pourraient changer de propriétaire dans les dix prochaines années (9), l’arrivée de ces industriels est une réelle menace. La taille et le prix de vente des exploitations sont devenus colossaux et inaccessibles pour la majorité des jeunes paysans qui souhaiteraient s’installer. Un moratoire en urgence Face à ces menaces graves, nous demandons en urgence un moratoire sur toute nouvelle implantation de monoculture de bambou tant que les impacts écologiques et sociaux des implantations en cours n’auront pas été évalués dans la durée et de manière indépendante. Signez cette pétition pour refuser que nos terres soient traités comme un terrain d’expérimentation pour une course au profit sous couvert d’une fausse transition écologique. Pour aller plus loin, lire l'article du média Off Investigation.
    2 384 sur 3 000 Signatures
    Créée par Collectif Stop Bambou
  • NON au projet de parc photovoltaïque sur une zone naturelle à Ménil !
    Le projet d'implantation d'un parc photovoltaïque à Ménil par l'entreprise IEL se situe sur le lieu dit de la Thuellière, et concernerait 12,2 hectares de terres agricoles (9 hectares de panneaux solaires implantés in fine). Le développement du parc photovoltaïque en France est important pour la transition énergétique, mais "le choix d’implantation doit se porter en priorité sur des surfaces déjà artificialisées et/ou dégradées (friches industrielles, anciennes carrières, sites présentant une pollution antérieure, zones industrielles ou artisanales...)" (Avis de l'ADEME, Mai 2022). Pourquoi sommes-nous contre ce projet, en tant que citoyen ? • La zone concernée est une ancienne zone agricole en zone humide, devenue zone naturelle (friche), elle présente de grands intérêts pour la biodiversité.  • Malgré l'argumentation de l'entreprise IEL dans son étude d'impact concernant la biodiversité, l'implantation des panneaux solaires sur plus de 40% de la surface concernée aura forcément un impact sur la flore, et donc un impact sur la faune. De plus la présence d'un éclairage nocturne en permanence dans une zone naturelle préservée ne peut pas être considérée comme un impact négligeable. • Sur le volet agricole, implanter 40% de la surface au sol en panneaux solaires aura forcément un impact négatif sur la production d'herbe, et donc sur la qualité du pâturage (source INRAE, Christian Dupraz, couverture max recommandée de l'agrivoltaïsme de 25%) • Le projet agricole avancé par l'entreprise est flou. La création d'un élevage ovin géré par le lycée agricole pose de nombreuses questions quand à sa viabilité. • Le raccordement électrique est prévu de se faire à Fromentière, par câblage sous-terrain, à "13,1km" estimé par l'entreprise. Dans une logique d'économie d'énergie, ne serait-il pas plus pertinent de rapprocher le projet du point de raccordement ?  L'enquête publique se termine ce vendredi 28 février... le délai est très court, mais nous avons bien l'intention de recueillir un maximum de signatures pour porter haut et fort l'avis d'une partie des citoyens locaux face à ce projet !! Vous pouvez également déposer une contribution personnelle à destination du commissaire enquêteur sur le registre du projet via ce lien : https://www.registre-dematerialise.fr/5906/
    246 sur 300 Signatures
    Créée par Coquelico T.
  • Ammoniac : les données cachées par l'Etat, un scandale sanitaire et environnemental
    ❌ Pourquoi le manque de transparence sur l'ammoniac est un scandale ?  1️⃣. 👩‍⚕️☣️​​​​​​​🌬️ D'abord parce que l'ammoniac est dangereux pour la santé des populations... L'ammoniac menace la santé humaine. A forte dose, c'est un gaz toxique aux effets dévastateurs sur la santé : il irrite gravement les voies respiratoires, les yeux et la peau, et peut causer des brûlures chimiques et des lésions pulmonaires. Ses émissions quotidiennes contribuent à la formation de particules fines (PM2.5), responsables, selon Santé Publique France, de plus de 40.000 décès prématurés chaque année en France métropolitaine. Une exposition répétée, même à faible dose, aux particules fines provoquent des pathologies respiratoires (asthmes, bronchites chroniques) et cardiovasculaires, et aggravent les risques de mortalité prématurée, particulièrement chez les personnes vulnérables. Les  populations rurales et les travailleurs et travailleuses agricoles sont en première ligne.   🌍🍃​​​​​​​ ​​​​​​​... et pour l'environnement.  L'ammoniac perturbe aussi les écosystèmes et la qualité de l’air.​​​​​​​ Il affecte la vie aquatique en apportant de façon excessive des nutriments et favorise les proliférations de cyanobactéries et asphyxie les espèces sensibles vivant en eaux douces. Dans les eaux côtières, l'azote ammoniacal favorise la prolifération des algues opportunistes engendrant marées vertes et eaux colorées. ​​   2️⃣ 🏛️ L'État est hors-la-loi La non-publication de ces données est contraire aux textes suivants qui imposent aux États membres de garantir la transparence et la disponibilité des informations environnementales.  1. Directive 2003/4/CE relative à l’accès à l’information en matière d’environnement, transposée en droit français par l’article L124-1 du Code de l’environnement. 2. La Convention d’Aarhus, ratifiée par la France, qui impose la mise à disposition de données actualisées sur l’environnement. 3. Article 7 de la Charte de l’environnement, intégré au bloc de constitutionnalité, qui garantit à tous et toutes le droit d’accéder aux informations relatives à l’environnement. L’absence de publication entrave gravement le droit des citoyen•ne•s a être informé•e•s des risques pour leur santé et pour l’environnement. 3️⃣​​​​​​​ L'élevage industriel est largement responsable des émissions d'ammoniac. Cacher les données ne résout pas le problème.   En 2023, l'enquête en trois volets du collectif Bretagne Contre les Fermes Usines a révélé une réalité inquiétante : la Bretagne(1) est l'une des régions les plus polluée par l'ammoniac en Europe. Près de 94% des émissions d'ammoniac proviennent de l'agriculture intensive, notamment des élevages industriels et de l'utilisation massives d'engrais azotés. Chaque année, la Bretagne émet(2) environ 5800 tonnes d'ammoniac, soit 56% des émissions nationales. Ces chiffres sont alarmants. Notre analyse avait démontré des concentrations particulièrement élevées d'ammoniac dans certaines zones, conduisant aux dépassements réguliers des seuils en particules fines, largement au-dessus des recommandations sanitaires de l'OMS. Les départements du Finistère et des Côtes d'Armor sont parmi les plus touchés, avec des taux immédiatement corrélés à la densité des élevages industriels. Certaines communes bretonnes se classent tristement parmi les zones les plus émettrices d'ammoniac en France.Ces données soulignent l'urgence d'une action publique forte pour réduire les émissions d'ammoniac, garantir la santé des habitant•e•s et protéger les écosystèmes bretons.L'opacité des chiffres de 2023 laisse penser que l’État protège les intérêts économiques du secteur agro-industriel au détriment de notre santé, de l’environnement et des travailleurs et travailleuses agricoles.​ ​​​​​4️⃣ 🏛️📝 Les données sont nécessaires pour mettre en place des politiques publiques qui garantissent la protection des populations L'Etat a une responsabilité de protection des populations. La France, championne d'Europe en émission d'ammoniac, s'est engagée à réduire ses émissions d'ammoniac. Cacher les données ne résout pas le problème... Si la cause des émissions est bien connue, il est urgent d'agir pour la transformation du modèle agricole vers l'élevage paysan afin de protéger les populations.                     👀 👀 Face à ce manque de transparence, nous demandons : 👀👀 👉 La ​​​​​​​publication immédiate des données 2023 sur l'ammoniac pour informer la population et garantir la transparence. 👉 L'installation de 3 stations rurales de mesure des niveaux de pollution de l'air par l'ammoniac par département breton et la publication du nombre de jours de dépassement des seuils de particules fines. 👉Une règlementation stricte et des sanctions pour les émetteurs, incluant un obligation de déclaration annuelle dès 1t/an d'ammoniac et des contrôles réels et réguliers des installations classées pour la protection de l’environnement (ICPE). 👉Un programme ambitieux d'accompagnement à la reconversion pour les exploitants d'élevage industriel vers des pratiques paysannes plus respectueuses de l'environnement et de la santé.                                                                           ********** 🔥 Assez de silences complices, assez d’inaction ! Ne laissons pas advenir une catastrophe sanitaire et écologique que l'État tente de cacher. Exigeons la transparence : signez cette pétition pour protéger notre santé, notre milieu rural, et notre avenir.
    3 657 sur 4 000 Signatures
    Créée par Bretagne Contre les fermes usines
  • Poursuivons notre lutte contre le poulailler industriel géant de Peyrins (Drôme)
    Pour soutenir les associations qui portent les actions en justice.  Chaque signature compte !           Pour protéger notre environnement  - Pollution actuelle amplifiée : eau, air, odeurs, mouches, bruit, ... - 698 camions/an et tracteurs sur des petites routes dont l'entretien incombe à tous. - 14 218 kg/an d'ammoniac (nocif pour les bronches). - Impact de l'épandage (nitrates, phosphates, antibiotiques) sur 10 communes de la Drôme des collines, pollution des sols, de l'air et de l'eau (nappes phréatiques) par 1596 tonnes de fumier par an répandus sur plus de 300ha ! - Consommation d'eau entre 11 000 et 15 000 m3 (équivalent à la consommation de plus de 100 foyers.) alors que l’exploitation se trouve dans un bassin où l’eau est rationnée. - Nourriture des poulets à base de soja importé d’Amérique (25%) favorisant la déforestation et de maïs issue de l’agriculture intensive (pesticides et engrais synthétiques).        Pour lutter contre la maltraitance animale : - 21 poulets au m², soit une surface de moins d'une feuille A4 par poulet. - Les poulets sont enfermés sans voir la lumière du jour, engraissés pendant 37 jours  (sélection génétique à forte croissance).       Pour soutenir les revenus de nos éleveurs : L’éleveur vend le kilogramme de poulet à 28 centimes au géant industriel DUC, filiale du groupe néerlandais PLUKON. L’éleveur est endetté sur 15 ans. Il subit des variations de charges (gaz, électricité, eau) qu’il ne maîtrise pas. Quant à DUC le donneur d’ordres, seul client de l’éleveur, il peut modifier à tous moments les quantités livrées et le nombre de livraison par an.  D’autres modèles économiques existent permettant à l’éleveur de maitriser sa production et de proposer un produit de qualité à un prix décent.            Où en sommes-nous ?   Le permis de construire a été refusé par le Conseil Municipal de Peyrins. Dans le cadre de l’enquête publique, 223 avis sur 255 se sont déclarés opposés à ce projet. Pourtant, le préfet a suivi l'avis de l'enquêteur public et donné son autorisation à ce projet  La FRAPNA, associée avec des habitants proches, va déposer un recours début décembre devant le Tribunal Administratif, bloquant le démarrage du chantier. La décision du tribunal administratif pourra faire l’objet d’un appel si le tribunal confirme la décision du préfet.   L'Association « Prévention Environnement Santé Drôme des Collines » (PESDC) porte cette pétition afin de soutenir les associations qui actent en justice. Soutenue par : FRAPNA Drôme Nature Environnement, Générations Futures, Protégeons le Mont Vanille Royans Vercors, ASET, Greenpeace Grenoble, Écologie au quotidien...
    19 602 sur 20 000 Signatures
    Créée par Association Prévention Environnement Santé Drôme des Collines
  • Centre Ouest Bretagne : Pour un territoire à la hauteur des enjeux environnementaux et sociaux
    👫 En 2022, un groupe d'une trentaine d'habitants et d'habitantes s'est saisi du sujet de l'avenir du territoire Centre Ouest Bretagne en prenant en compte les évolutions du climat et la nécessité d'une réappropriation des ressources au profit des habitants et habitantes du territoire. Ce groupe a produit une série de propositions dans un Document d'Objectifs et d'Orientations.  ⛔ Ces propositions qui ont nécessité plus de 300 heures de travail collectif ont fait l'objet d'une présentation au Pays COB qui a, sitôt sa remise, écarté et mis au placard le document ! Tout au long de la procédure d'élaboration du SCoT, le Pays COB a minimisé la participation du public lors de la phase dite de "concertation", comme le relève la Commission d'enquête "en ne prenant pas position sur les observations du public, la commission d’enquête estime que le maître d’ouvrage n’a pas œuvré pour valoriser le rôle que la concertation, fusse-t-elle institutionnelle, peut jouer dans l’aménagement et le développement du territoire, et l’appropriation du projet." ⛔ La Commission d'enquête a analysé le projet de SCoT porté et élaboré par le Pays COB. Elle exprime un avis défavorable : le projet n'est pas récupérable tellement il est défaillant à atteindre ses objectifs. Le projet est ainsi décrit par la Commission d'enquête "Le scénario retenu, aux yeux de la commission d’enquête, est celui d’une poursuite des politiques passées. (...) Il ne permet pas de garantir une réelle mobilisation du parc vacant de logements, ni une redynamisation d’un territoire vieillissant, ni l’adaptation du territoire au réchauffement climatique et ses enjeux en matière de protection des ressources naturelles, des milieux naturels et de la santé humaine.". Il ne répond ainsi pas aux enjeux majeurs qui traversent notre territoire, et pourtant, il risque d’être validé prochainement par le préfet !  🌱 Nous aspirons à la mise en place d’orientations pour une transition du territoire vers l’agro-écologie, seule capable de respecter la santé des populations, de préserver les ressources naturelles et la biodiversité, de limiter les impacts climatiques pour les décennies à venir et d’offrir des emplois nombreux et de qualité à la population locale.  Par cette pétition, nous demandons ainsi : 👉 Le retrait du projet actuel, proposé par le Pays COB 👉 L'organisation d'une réelle concertation avec les habitant⸱e⸱s du territoire 👉 La prise en compte des enjeux (environnement, santé, mobilité, emplois) et des limites en ressources pour les 20 ans à venir en écartant, entre autres, le développement de l'agro-industrie et des fermes-usines. ❌ Agissons maintenant pour éviter la validation prochaine du projet de SCoT par le préfet ! Signez la pétition et suivez la campagne en restant informé⸱e par email. Le Collectif H comme Habitant⸱e⸱s Contact : [email protected] Plus d'infos sur Rares Averses, rubrique "info-luttes".
    2 805 sur 3 000 Signatures
    Créée par Collectif H comme Habitant.e.s
  • La Ferme-Cueillette de Servigny à Lieusaint (77) en danger !
      En apportant votre signature, vous soutenez notre action pour la conservation de terres agricoles fertiles, le maintien d’une exploitation de proximité, vertueuse et engagée pour les générations à venir. Pétition proposée par un collectif de quatorze associations : *      FNE Grand Paris Sud *      FNE Seine-et-Marne *      Essonne Nature Environnement *      Alternatiba Sénart  *      Groupe Local LPO Grand Paris Sud *      ADE (Association de Défense de l’Environnement de Sénart et environs) *      ARNASSEN (Association pour la reconnaissance de Noisement) *      C-E-E (Corbeil-Essonnes-Environnement) *      SEE (Soisy-Etiolles- Environnement) *      TESSA (Transition Écologique et Sociale de Sénart et Alentours)  *      Vergers Vivants de Lieusaint,  *      ABC (Association des Bois du Canton) *      GABI (Groupement des Apiculteurs de Bréviande) *      Les Coquelicombs
    8 625 sur 9 000 Signatures
    Créée par Sauvons S.
  • Droit à l'alimentation - pour l'ouverture de Conseils Locaux de l'Alimentation
    Pourquoi la Sécurité Sociale de l'Alimentation Durable ?  La Déclaration Universelle des Droits de l’Homme de 1948 déclare, en son paragraphe 1 de l’article 25, que : “Toute personne a droit à un niveau de vie suffisant pour assurer sa santé, son bien-être et ceux de sa famille, notamment pour l’alimentation”.  Par ailleurs, le droit à l’alimentation est reconnu en France par l’article L1 du Code rural précisant que :  “Dans le cadre de la politique de l'alimentation définie par le Gouvernement, d'assurer à la population l'accès à une alimentation sûre, saine, diversifiée, de bonne qualité et en quantité suffisante, produite dans des conditions économiquement et socialement acceptables par tous, favorisant l'emploi, la protection de l'environnement et des paysages et contribuant à l'atténuation et à l'adaptation aux effets du changement climatique”.  Aucune de ces garanties ne sont respectées aujourd’hui par le gouvernement ! Une France qui a faim : • 1/3 des Français·es ne mange pas 3 repas équilibrés par jour, faute de moyens. • En 2020, 7 millions de personnes ont dû avoir recours à l’aide alimentaire. Un système agricole qui broie les agriculteur·ice : • 1 à 2 paysan·nes se suicide tous les jours en France. • Les agriculteur.ices sont aussi les premières victimes des pesticides  Un système agricole qui ne respecte pas les limites planétaires et menace notre sécurité alimentaire : • Le secteur agricole représente 1/5 des émissions de gaz à effet de serre de la France. • L’agriculture est la première activité utilisatrice d’eau douce, avec 58% du volume total consommé. • En 2022, les épisodes de sécheresse ont entraîné des pertes allant de 10 à 30% pour de nombreuses cultures Ce système agro-industriel capitaliste est à bout de souffle. Il est à la fois dangereux et contraire à la logique d'adaptation au dérèglement climatique. Notre gouvernement, par ses choix criminels délibérés, par son soutien à l’agro-business et par la guerre sociale qu’il impose aux plus pauvres, laisse une partie de sa population dans la faim, mine la santé des plus précaires, tue ses paysan.nes, détruit les terres qui nous nourrissent et menace notre sécurité alimentaire. Pourtant, des solutions justes et démocratiques existent et montrent déjà leur efficacité ! Pour que cesse l’ensemble de ces violences dont sont victimes les producteur·ices, les consommateur·ices et l’environnement, nous demandons la mise en place de Conseils Locaux de l’Alimentation (CLA). Ces conseils, initiés par les collectivités, seront ensuite gérés de manière démocratique par les citoyen·nes.  Ces instances collectives sont une occasion de s’approprier les questions alimentaires et de rencontrer des producteur·ices locaux pour favoriser une agriculture durable. Au sein de ces conseils, les citoyen.nes pourront sélectionner et conventionner des aliments, des points de vente et des producteur.ices selon différents critères définis démocratiquement.   Les Conseils Locaux de l’Alimentation ont pour objectif d’initier la mise en place d’une Sécurité Sociale de l’Alimentation Durable (SSAD). Actuellement, une trentaine d’initiatives locales de SSAD existent dans différents territoires en France. Notre objectif est qu’à terme, la SSAD soit étendue à tout le pays. Cette solution permettrait à chaque habitant.e, indépendamment de sa condition sociale, de bénéficier d’une carte vitale de l’alimentation d’un montant de 150€ tous les mois. Cette carte permettra d’acheter des produits sélectionnés et conventionnés préalablement par les citoyen.nes de manière démocratique. Comme pour la Sécurité sociale de la santé de 1946, le financement se fera par un système de cotisations, avec des caisses autogérées par les citoyen.nes, assurant ainsi une juste répartition.  La SSAD permettra à la fois aux citoyen·nes de se réapproprier leur alimentation, de garantir une plus juste rémunération aux producteur.ices et d’amorcer une transition agricole vers un modèle plus durable.  Parce que nous allons nous battre pour que notre droit à l’alimentation choisie soit respecté, signons cette pétition !
    97 sur 100 Signatures
    Créée par Riposte Alimentaire Tours
  • POUR UNE EAU POTABLE, SANS PESTICIDES
    Septembre 2023 : Dans le département de la Vienne, les deux distributeurs d’eau, « Eaux de Vienne » et « Grand Poitiers », décèlent et quantifient dans l’eau du robinet la présence d’un métabolite (un résidu après épandage) du Chlorothalonil (le Chlorothalonil-R471811). Sa concentration dépasse les normes sanitaires de l’eau potable (1). Le Chlorothalonil a des effets sur la santé humaine très inquiétants. Il peut engendrer un risque sanitaire inacceptable pour le consommateur » (définition 2019 de l’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire de l’alimentation, de l’Environnement et du travail). Il est suspecté par l’ANSES de présenter un risque cancérigène (2). Dans les deux tiers du territoire de la Vienne, les concentrations relevées ne répondent plus aux critères d’une eau potable (maximum 0,1µg par litre d’eau pour une molécule de pesticide). Pour les 330 000 habitants concernés, l’eau du robinet n’est plus « potable » : elle est dite « consommable », tant qu’elle ne dépasse pas une « valeur sanitaire maximale » fixée par l’ANSES à 3µg par litre. https://www.greenvoice.fr/assets/uploads/2024/01/Schema-petition-eau.jpg 👉 Une situation ubuesque dans la Vienne, une préfiguration dans toute la France ? Les 13 installations de traitement sur charbon actif dans la Vienne sont inadaptées à cette pollution massive : les deux producteurs d’eau de la Vienne ont déclaré qu’ils n’avaient pas les moyens financiers de mettre en œuvre les technologies complexes qui seraient efficaces (ultrafiltration ou osmose inverse) et qu’ils refusaient de faire payer la note – considérable – aux consommateurs.  Pour toute réponse, l’Agence Régionale de Santé leur a demandé de solliciter du Préfet une dérogation pour distribuer une eau non potable, dérogation aussitôt accordée avec un délai de 3 ans renouvelable. Ces arrêtés préfectoraux de « dérogation » vont entériner légalement cette situation sans que les producteurs d’eau n’aient les moyens techniques et financiers de dépolluer à cette échelle et dans ce délai. 👉 Comment en est-on arrivé là ? Le fongicide Chorothalonil, imprudemment autorisé par l’État, a été épandu sur les terres agricoles durant trente ans avant d’être interdit en Europe en 2019, avec usage autorisé en France jusqu’en 2020.  Les concentrations de ce métabolite ne devraient pas baisser dans les années à venir, mais au contraire augmenter compte tenu de la lenteur d’infiltration des eaux de pluie vers les nappes. De plus, d’autres métabolites du Chlorothalonil, non recherchés, pourraient aggraver la situation. Les deux tiers de la France et d’autres pays sont touchés. La Suisse, par exemple, a recherché et trouvé 8 métabolites du Chlorothalonil ! Pour rappel, « l’usage de l’eau appartient à tous et chaque personne physique, pour son alimentation et son hygiène, a le droit d’accès à l’eau potable dans des conditions économiquement acceptables par tous » (3). 👉 Par cette pétition, nous demandons : ➡️ Que l’État prenne ses responsabilités : il a donné, contre tout principe de précaution, une autorisation de mise sur le marché de ces substances. Il doit organiser une action curative immédiate, concrètement : L’Agence de l’Eau Loire Bretagne et l’État doivent fournir aux deux producteurs publics d’eau potable de la Vienne les moyens techniques et financiers pour dépolluer sans alourdir la facture d’eau de nos concitoyens. ➡️ Que le préfet de la Vienne prenne ses responsabilités de manière préventive : Il a les moyens règlementaires de limiter les risques qu’un autre pesticide reproduise demain la situation actuelle, concrètement : - Il peut restreindre ou interdire l’usage des produits phytosanitaires en cas de risque exceptionnel et justifié (en application de l’article 5 de l’arrêté du 4 mai 2017 relatif à l’utilisation de ces produits) - Il peut interdire les pesticides dans les périmètres de protection de ces captages s’ils sont déjà définis.  - Il peut réviser tous ses arrêtés de DUP (Demande d’Utilité Publique) et en prendre de nouveaux pour les captages qui en sont dépourvus afin de prescrire des périmètres de protection correspondant aux zones vulnérables aux pollutions diffuses et interdire les pesticides dans ces zones. ➡️ Que les législateurs – nos député.es et sénateurs-rices – renforcent et simplifient la prévention des pollutions par nitrates et pesticides en inscrivant dans la loi :  - L’obligation pour les préfets de définir pour tous les captages d’eau potable les Aires d’Alimentation de Captage (AAC) et d’y prescrire la cartographie de leurs zones vulnérables.  - L’obligation d’interdire les pesticides dans les zones vulnérables des AAC et d’y limiter les apports en azote. ➡️ Que le gouvernement accompagne techniquement et financièrement l’ensemble de la filière agricole dans des pratiques agricoles soucieuses de la santé de tous et respectueuses de l’environnement dans les aires d’alimentation et de captage. Nous proposons que les producteurs d’eau, en difficulté pour fournir une eau potable : - Organisent, en coopération avec les agriculteurs, un programme d’actions volontaires agroécologiques pour chaque captage en limite ou en dépassement des normes de qualité. - Qu’en cas d’échec patent au bout de deux programmes, ils demandent au préfet le classement de l’Aire d’Alimentation en « Zone Soumise à Contraintes Environnementales » (ZSCE). Ainsi, l’État pourra alors interdire les pesticides dans les secteurs vulnérables de ces aires. Toutes ces mesures sont urgentes, notre santé à tous est en jeu. Le financement d’usines de dépollution risque de faire exploser le prix de l’eau, c’est pourquoi il est essentiel de la protéger par une agriculture durable sans intrants chimiques. Signez la pétition. Faites la circuler. On compte sur vous. Groupe local Greenpeace Poitiers Vienne Nature [France Nature Environnement]
    6 610 sur 7 000 Signatures
    Créée par Greenpeace Poitiers et Vienne Nature
  • ANNECY : NON au projet de densification et d’extension du Parc d’Activité Économique des Glaisins
    Le Plan Local d'Urbanisme intercommunal Habitat Mobilités et Bioclimatique (PLUi HMB) en cours d’élaboration va définir l’avenir de notre territoire. Nous payons chaque jour le prix des erreurs de ces dernières décennies. Le PAE des Glaisins est un exemple type de l’urbanisme des années 70 et un concentré à lui seul de tous ses maux. Mais au lieu d’essayer de les soigner, le Grand Annecy persiste et signe avec un projet de densification et d’extension du parc qui ne fera que les aggraver. Nous demandons que ce projet soit repensé en concertation avec les habitants et en adéquation avec les enjeux de la transition écologique. La préservation des terres agricoles est indispensable pour assurer notre autonomie alimentaire. Il est hors de question d’en détruire davantage pour une extension du PAE des Glaisins. Trop de gens n'arrivent pas à se loger à un prix abordable dans l'agglomération et la difficulté à se loger est considérée par les entreprises comme un frein majeur dans leur recrutement. La construction de logements doit être au cœur du projet, alors que l'accueil de toujours plus d'entreprises ne fera qu'aggraver la situation. Le Grand Annecy a placé en priorité l’axe Glaisins pour le projet de Transport en Commun en Site Propre intégral (TCSPi) , mais elle continue à mener une politique du tout-voiture en prévoyant dans le PAE des Glaisins un parking relais de 450 places « intra-agglo », c'est à dire destiné aux automobilistes venant du cœur de l'agglomération et disposant d'alternatives à la voiture (transports en commun, vélo, trottinette électrique...). Une pollution aux PFAS, des substances per- et polyfluoroalkylées encore appelées polluants éternels, a été découverte sur la nappe des îles à Annecy. La question de la pollution au sein du PAE des Glaisins, dont la majeure partie des eaux de ruissellement termine dans le Fier en amont de cette nappe, doit être traitée de façon drastique et transparente. Enfin, le Grand Annecy ne peut plus feindre d’ignorer les préoccupations des habitants concernant la protection des espaces naturels et agricoles. Une enquête publique est donc nécessaire avant tout réaménagement du PAE des Glaisins.
    1 399 sur 2 000 Signatures
    Créée par Greenpeace Annecy
  • Plus de produits locaux et équilibré à la cafétéria du lycée
    Nous sommes en 1ere au lycée. Cependant, dans notre cafétéria, les repas proposés sont ultra transformés et contribue à une alimentation déséquilibrée. Nous avons la possibilité de manger à l'extérieur et de ramener notre propre repas or tous les élèves n'ont pas les moyens de manger dehors et la possibilité de ramener leur repas. Il n'existe aucune alternative saine pour eux. Nous souhaitons qu'une offre équilibrée soit proposée. Cela permettrai de responsabiliser les élèves sur la manière de consommer et de permettre à tous un accès à une alimentation saine. Le but est de réussir à atteindre cet objectif progressivement sur les prochains mois.
    142 sur 200 Signatures
    Créée par Elsa B.