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STOP CROISIERES GRANDE RADE DE TOULONA quai, un tel mastodonte émet autant de dioxyde d'azote et de particules fines que 30.000 voitures roulant à 30 km/heure et autant d'oxyde de soufre que plusieurs millions de voitures diesel. Il consomme 8 à 10 fois plus de carburant qu'un ferry. Autoriser 100 de ces paquebots géants à faire escale équivaut à rajouter 800 à 1.000 escales de ferry aux 1.200 déjà programmées à Toulon. Mais cette fois à La Seyne-sur-Mer. Sur un quai qui n'est même pas électrifié. Le centre de Toulon et les quartiers adjacents au port sont déjà asphyxiés par les ferries et le flux des véhicules embarquant et débarquant. Un objet laissé sur le balcon s’y recouvre de suie en 24h. Les particules que contiennent les fumées sont responsables de maladies respiratoires. Nous ne pouvons pas laisser cette situation empirer ni s’étendre à La Seyne-sur-Mer. Les citoyens seront bientôt soumis à une zone à faible émission (ZFE) en ville. Mais quel sens cela a-t-il si, juste à côté, la pollution explose ? L’électrification des quais, entreprise par la municipalité après des années de réclamations, ne résoudra pas tout, loin s’en faut : les navires trop anciens ne sont pas équipés pour se brancher - mais le port les accueille quand même - et les ferries, en été surtout, font une escale à la fois trop courte et trop énergivore pour pouvoir couper les machines. Il y a urgence : dès ce printemps, MSC, l'armateur qui cause tant de soucis à Marseille, ouvrira une tête de ligne au môle d'armement de la Seyne, c'est-à-dire que les passagers y embarqueront et débarqueront 26 fois dans la saison. En mer comme à quai, c'est toute la Méditerranée qui est mise en danger par les rejets de ces véritables villes flottantes. Selon l'ONG Transport et Environnement, les 203 paquebots qui ont sillonné les espaces maritimes européens en 2017 sont responsables de l’émission de plus de 10 millions de tonnes de dioxyde de carbone. Pire : cette flotte a rejeté 20 fois plus d’oxyde de soufre que les 260 millions de voitures qui circulent sur les routes européennes. Cerise sur le gâteau : si elles sont une source indéniable de pollution, les croisières n’ont que de maigres retombées sur l’économie locale. Les repas sont servis à bord, une bonne partie des touristes ne débarque pas (30 à 70 % selon l'élu de Marseille délégué à l'économie). Maigres, sauf peut-être pour le concessionnaire des ports qui espère augmenter de 10% les 11 millions d'euros de son chiffre d'affaire. Nous n'entendons lui sacrifier ni notre cadre de vie ni notre santé. La Méditerranée, son environnement et ses habitants doivent être préservés. Bornes électrifiées ou pas, que ce soit à La Seyne ou à Toulon, les paquebots de croisières, nous n'en voulons pas. Pour une rade vivable, pour un environnement préservé et pour la santé de tous, signez et faites signer la pétition, rejoignez la campagne Stop Croisière grande rade de Toulon. Plus d'infos sur : https://stop-croisieres.org/ Contact : [email protected] Destinataires : Lionel MOSNIER, Commandant du port de Toulon Christine ROSSO, Directrice des ports de la CCI du Var Hubert FALCO, Président du Conseil de la métropole TPM Jean-Louis MASSON, Président du Conseil départemental du Var Renaud MUSELIER, Président du conseil régional de PACA Sébastien FOREST, Directeur régional de l’environnement, de l’aménagement et du logement de PACA Christophe BÉCHU, Ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires Agnès PANNIER-RUNACHER, Ministre de la Transition énergétique3,835 of 4,000 SignaturesCreated by Collectif Climat Zéro Fossile Toulon et environ
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Mauvaise qualité de l'air à Rouen et en NormandieLors des pics de pollution, on a les yeux irrités, le brouillard est jaune sur la métropole. La respiration est difficile. Si les dégazages des usines étaient interdits lors des pics de pollution, cela éviterait de rajouter à la pollution dûe au chauffage et aux transports. Malgré les vignettes Crit'Air, et les efforts de baisse de chauffage des particuliers, les entreprises doivent faire leur part en n'ajoutant pas de pollution chimique supplémentaire. Par ailleurs, Atmo Normandie ne teste que 4 polluants dont ozone et microparticules de moins de 10 microns et moins de 2,5 microns (ceux qui vont dans le sang sans être filtrés par les poumons). Les polluants émis par les incendies d'usine et d'entrepôt ne sont pas détectés par Atmo Normandie. Pour les capteurs, la qualité de l'air est .. normale. Afin de garantir la santé et la sécurité de la population, il apparait nécessaire de tester d'autres polluants.75 of 100 SignaturesCreated by Marie Agnès W.
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Soutenez-nous dans notre lutte contre un massacre écologiqueStop au massacre de la biodiversité dans le Pilat ! Fermeture de la carrière des Gottes à Saint-Julien-Molin-Molette ! Nous sommes nombreu.x.ses à lutter contre le carnage engendré par cette carrière ; Une association, un collectif, la municipalité du village et le Parc naturel régional du Pilat. Cela fait 50 ans que St-Julien-Molin-Molette contribue à l’enrichissement d'une société privée – Delmonico-Dorel - en sacrifiant sa sécurité, avec un passage de camions violent et incessant ; sa tranquillité, avec des explosions, des tirs de mines, le bruit insupportable du concasseur ; sa santé, avec un impact sur la ressource en eau, la présence de poussières contenant du radon (son taux d’uranium 238 est élevé, [cf expertise CRIIRAD n17-61 et norme Euratom 2013/59]), les fissures dans les maisons ; son paysage avec une montagne défigurée par l’appétit toujours plus grandissant de cet industriel. A l’heure où nos dirigeants parlent de conscience écologique, de sobriété, comment se fait-il que la préfecture de la Loire soutienne la destruction de l’habitat de 43 espèces menacées et le développement d'une zone d’exploitation qui représenterait 38 hectares dans un parc naturel ! STOP AU MEPRIS ! LA JUSTICE NOUS DONNE RAISON ! Le 28/02/22 le tribunal administratif de Lyon a jugé illégal l’arrêté d’exploitation de janvier 2020 autorisant l’extension de l’exploitation, pour ces raisons : • Le service général rendu ne justifie pas la destruction d’espèces protégées ; • Le réseau routier est inadapté et inadaptable à un tel trafic de poids lourds. • Sa roche n’a pas de qualité exceptionnelle ; • Elle ne génère pas suffisamment d’emplois face aux nuisances qu’elle engendre. La carrière s’est arrêtée quelques jours… Mais hélas ! Le 21 mars 2022 un nouvel arrêté de la préfecture caché derrière une mise en demeure permet le redémarrage de l'exploitation avec toutefois quelques restrictions et obligations. Nous avons également dénoncé cet arrêté qui fait fi sur le fond du jugement du 28 février 22. Aujourd’hui, l’industriel dépose une nouvelle demande d’autorisation, avec de petits aménagements ridicules qui ne dupent personne, car elle masque grossièrement une exploitation et des préjudices identiques à celle rejetée. Désormais nous attendons le jugement en appel, et une énième enquête publique ! En signant cette pétition aidez-nous à faire entendre notre voix, pour que soient respectées par l'Etat et par la préfecture de la Loire la démocratie locale, les chartes environnementales et a fortiori les décisions de justice. Plus d’info sur : https://stopcarriere.noblogs.org/2,856 of 3,000 SignaturesCreated by Collectif contre l'extension de la carrière S.
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TOTAL Académie, nou vé pa!Pour une école sans partenariat, ni mécénat aux énergies fossiles! Le 2 décembre 2022, tous les chefs d'établissements de La Réunion et leurs enseignants ont reçu un courrier signé par Madame la Rectrice, qui les invite à participer à un concours international de création d'affiches sur la sécurité routière "VIA Créative", créé par... la Fondation TotalEnergies ! Alertés par une enseignante scandalisée par ce partenariat contre-nature, nous, associations, collectifs, syndicats et députés qui militons pour une justice sociale et climatique avons découvert que l’Académie de La Réunion est l’unique institution de France s’être engagée dans ce projet ! Nous avons demandé par courrier à Mme la Rectrice, le 14 décembre, de, courageusement, annuler et refuser tout partenariat ou mécénat entre l'Académie de La Réunion et des entreprises qui détruisent la planète de nos enfants, de nos élèves, en commençant par retirer ce concours d’affiches «ViaCréative» avant le lundi 23 janvier 2023. Parce que nous, citoyens réunionnais, sommes conscients de l’urgence climatique à laquelle nous sommes confrontés. Pas loin de notre île, en Ouganda, le projet EACOP de TotalEnergies cause déforestation, déplacement de populations, destruction d’espaces protégés terrestres. En Afrique du Sud, ce sont des projets destructeurs des fonds, de la faune et de la flore marine. En Amérique du Nord, c'est la promotion des gaz de schiste et l'exploitation des sables bitumeux. Pour notre planète, TotalEnergies c’est la pollution atmosphérique, c’est la destruction du vivant. A l’exact opposé de l’Education au Développement Durable que les 24 000 enseignants de l’Académie de La Réunion dispensent auprès de 115 000 élèves chaque jour! Ce travail, un des piliers essentiels pour voir apparaître l’évolution des comportements nécessaire au ralentissement du réchauffement climatique de notre planète est mis à mal par ce copinage établi avec l’un des plus écocide fleuron de l’économie française. Sans compter que, bien qu’interdite de publicité depuis août 2022, TotalEnergies a développé bien avant cette date un lobbying puissant destiné à lui donner une image philanthrope et bienveillante via des projets respectables. Ce concours d’affiches en est un exemple type: - choix de campagne hautement louable (à la Réunion, 40% des victimes sur les routes réunionnaises entre le 1er janvier et le 1er septembre 2022 sont des piétons, ce qui en fait de notre île le département le plus dangereux pour les adeptes de la marche à pied) - concours « clé en main » proposé aux enseignants de l’Education Nationale, dont chaque document porte le logo TotalEnergies, publicité insidieuse et surtout illégale dans l’enceinte de l’Ecole (article L. 511-2 du code de l'éducation). C’est pourquoi, nous avons demandé à Mme la Rectrice, le 14 décembre, de, courageusement, annuler et refuser tout partenariat ou mécénat entre l'Académie de La Réunion et des entreprises qui détruisent la planète de nos enfants, de nos élèves, en commençant par retirer ce concours d’affiches «ViaCréative» avant le lundi 23 janvier 2023, jour de reprise des cours après les vacances d'été. Organisations signataires : CGTR SAIPER SNE CSEN SNUIPP-FSU SNUDI-FO SUD Education Karine LEBON, députée de la 2ème circonscription de La Réunion Geneviève PAYET, députée suppléante de la 7ème circonscription de la Réunion Philippe NAILLET, député de la 1ère circonscription de La Réunion Frédéric MAILLOT, député de la 6ème circonscription de La Réunion Jean-Eudes Dallou, référent de Place Publique Réunion EELV Réunion Alliance Ecologique et Sociale- Plus Jamais Ca ! La Réunion Association Citoyenne de Saint-Pierre- Réunion Attac Réunion Citoyen pour le Climat La Réunion Extinction Rebellion Greenpeace La Réunion3,087 of 4,000 SignaturesCreated by Greenpeace-La Réunion G.
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Bourges: Stop aux gaspillages !À l’heure où l’on nous appelle, collectivement et individuellement, à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. L’effort fourni doit être réparti de façon juste et ne pas peser uniquement sur les citoyens et citoyennes. Aussi, l’effort ne doit pas affecter en premier lieu des services publics essentiels comme l’éducation ou le sport, mais bien commencer par interroger nos usages de la publicité superflue ! ⚡️ Alors que le gouvernement prévoit l’interdiction des publicités lumineuses entre 01H00 et 06H00 du matin (à l'exception des aéroports, gares ou stations de métro), cette mesure est loin d’être suffisante face au nombre croissant de ces panneaux inutiles qui n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. ⚡️ Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme en moyenne l’équivalent des besoins d’ un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager* : laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique est donc absurde ! Notre territoire a le pouvoir d’aller plus loin à travers le règlement local de publicité et de montrer l’exemple pour être à la hauteur des enjeux. Notre ville doit prendre les mesures suivantes de manière urgente, et sans attendre le pic de l’hiver où les tensions énergétiques se feront ressentir. 🛑👉Nous demandons : - L’extinction des panneaux lumineux et écrans publicitaires en continu, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés - L’amplification des mesures sur l’éclairage public - L’extinction des lumières des bureaux dès leur fermeture 💡 De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées au-delà de la période de tension hivernale, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. En effet, au-delà de la pollution lumineuse et de la consommation d’énergie, ces affichages poussent à une consommation abusive de biens et de services qui n’est plus en adéquation avec les enjeux environnementaux qui imposent la réduction immédiate des prélèvements de ressources, et des rejets de déchets. D’autres villes comme Lyon ou Paris ont déjà mis en place des mesures plus fortes pour réduire leur consommation énergétique et s’inscrire dans le sens d’une sobriété choisie et responsable. 🌟 Notre ville aussi doit s’inscrire dans le sens de l’Histoire et mettre en place des solutions ambitieuses ! Source : *Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer)48 of 100 SignaturesCreated by Mathieu C.
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PLOUNEOUR MENEZ : Stop au gaspillage énergétique !À l’heure où l’on nous appelle, collectivement et individuellement, à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. L’effort fourni doit être réparti de façon juste et ne pas peser uniquement sur les citoyens et citoyennes. Aussi, l’effort ne doit pas affecter en premier lieu des services publics essentiels comme l’éducation ou le sport, mais bien commencer par interroger nos usages de la publicité superflue ! ⚡️ Alors que le gouvernement prévoit l’interdiction des publicités lumineuses entre 01H00 et 06H00 du matin (à l'exception des aéroports, gares ou stations de métro), cette mesure est loin d’être suffisante face au nombre croissant de ces panneaux inutiles qui n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. ⚡️ Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme en moyenne l’équivalent des besoins d’ un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager* : laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique est donc absurde ! Notre territoire a le pouvoir d’aller plus loin à travers le règlement local de publicité et de montrer l’exemple pour être à la hauteur des enjeux. Notre ville doit prendre les mesures suivantes de manière urgente, et sans attendre le pic de l’hiver où les tensions énergétiques se feront ressentir. 🛑👉Nous demandons : - L’extinction des panneaux lumineux et écrans publicitaires en continu, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés - Une meilleure gestion de l’éclairage public - L’extinction des lumières des bureaux dès leur fermeture 💡 De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées au-delà de la période de tension hivernale, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. D’autres villes comme Lyon ou Paris ont déjà mis en place des mesures plus fortes pour réduire leur consommation énergétique et s’inscrire dans le sens d’une sobriété choisie et responsable. 🌟 Notre ville aussi doit s’inscrire dans le sens de l’Histoire et mettre en place des solutions ambitieuses ! Source : *Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer)25 of 100 SignaturesCreated by Roland C.
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STOP, c'est pas Versailles à La-Côte-Saint-André (38)Dérèglement climatique et perte massive de la biodiversité.119 of 200 SignaturesCreated by Ludovic H.
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Fleurance, Stop au gaspillage énergétique !! Fleurantins et Fleurantines DONNONS L’ EXEMPLE!!À l’heure où l’on nous appelle, collectivement et individuellement, à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. L’effort fourni doit être réparti de façon juste et ne pas peser uniquement sur les citoyens et citoyennes. Aussi, l’effort ne doit pas affecter en premier lieu des services publics essentiels comme l’éducation ou le sport, mais bien commencer par interroger nos usages de la publicité superflue ! ⚡️ Alors que le gouvernement prévoit l’interdiction des publicités lumineuses entre 01H00 et 06H00 du matin (à l'exception des aéroports, gares ou stations de métro), cette mesure est loin d’être suffisante face au nombre croissant de ces panneaux inutiles qui n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. ⚡️ Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme en moyenne l’équivalent des besoins d’ un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager* : laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique est donc absurde ! Notre territoire a le pouvoir d’aller plus loin à travers le règlement local de publicité et de montrer l’exemple pour être à la hauteur des enjeux. Notre ville doit prendre les mesures suivantes de manière urgente, et sans attendre le pic de l’hiver où les tensions énergétiques se feront ressentir. 🛑👉Nous demandons : - L’extinction des panneaux lumineux et écrans publicitaires en continu, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés - Une meilleure gestion de l’éclairage public - L’extinction des lumières des bureaux dès leur fermeture 💡 De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées au-delà de la période de tension hivernale, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. D’autres villes comme Lyon ou Paris ont déjà mis en place des mesures plus fortes pour réduire leur consommation énergétique et s’inscrire dans le sens d’une sobriété choisie et responsable. 🌟 Notre ville aussi doit s’inscrire dans le sens de l’Histoire et mettre en place des solutions ambitieuses ! Source : *Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer)41 of 100 SignaturesCreated by Chloé T.
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Bassin de Marennes: Stop au gaspillage énergétique et à la pollution lumineuse !À l’heure où l’on nous appelle, collectivement et individuellement, à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. L’effort fourni doit être réparti de façon juste et ne pas peser uniquement sur les citoyens et citoyennes. Aussi, l’effort ne doit pas affecter en premier lieu des services publics essentiels comme l’éducation ou le sport, mais bien commencer par interroger nos usages de la publicité superflue ! De même les zones commerciales et professionnelles (parc d'entreprise, cabanes d'ostréiculture dans les marais) sont allumés toute la nuit par mesure de sécurité. ⚡️ Alors que le gouvernement prévoit l’interdiction des publicités lumineuses entre 01H00 et 06H00 du matin (à l'exception des aéroports, gares ou stations de métro), cette mesure est loin d’être suffisante face au nombre croissant de ces panneaux inutiles qui n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. ⚡️ Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 ou un projecteur consomme en moyenne l’équivalent des besoins d’ un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager(1) : laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique est donc absurde ! ⚡️ La pollution lumineuse est une source importante de chute de la biodiversité et de trouble de la santé humaine (2) Notre territoire a le pouvoir d’aller plus loin à travers le règlement local de publicité et d'éclairage et doit prendre les mesures suivantes de manière urgente, et sans attendre le pic de l’hiver où les tensions énergétiques se feront ressentir. 🛑👉Nous demandons : - L’extinction des panneaux lumineux et écrans publicitaires en continu, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - Une incitation et sensibilisation des professionnels, surtout ceux en milieu naturel, a modifier leur moyens de sécurisation (par exemple par des éclairages à détecteur et à spectre rouge et cameras infrarouges ne perturbant pas la faune alentour) - L'interdiction d’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés - L’extinction des lumières des bureaux dès leur fermeture 💡 De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées au-delà de la période de tension hivernale, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. D’autres territoires comme Lyon ou Paris ont déjà mis en place des mesures plus fortes pour réduire leur consommation énergétique et s’inscrire dans le sens d’une sobriété choisie et responsable. 🌟 Notre ville aussi doit s’inscrire dans le sens de l’Histoire et mettre en place des solutions ambitieuses ! Source : (1) Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer) (2) D'après l'https://www.anpcen.fr/ la lumière artificielle nocturne a des conséquences sur la biodiversité et de nombreux dérèglements biologiques. Un phénomène d’autant plus inquiétant qu’un grand nombre d’espèces animales terrestres sont nocturnes : c’est le cas de près d’un tiers des vertébrés et de deux tiers des invertébrés. Le ciel étoilé et la lune sont des repères cruciaux (c’est le cas des oiseaux migrateurs, des insectes volants ou des tortues marines, par exemple). https://www.futura-sciences.com/planete/questions-reponses/pollution-impact-pollution-lumineuse-organismes-1100/ et https://biodiversite.gouv.fr/actualite/lutter-contre-la-pollution-lumineuse-un-enjeu-crucial-pour-la-biodiversite-nocturne107 of 200 SignaturesCreated by Emmanuel H.
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Angers : Stop au gaspillage énergétique !À l’heure où l’on nous appelle, collectivement et individuellement, à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. L’effort fourni doit être réparti de façon juste et ne pas peser uniquement sur les citoyens et citoyennes. Aussi, l’effort ne doit pas affecter en premier lieu des services publics essentiels comme l’éducation ou le sport, mais bien commencer par interroger nos usages de la publicité superflue ! ⚡️ Alors que le gouvernement prévoit l’interdiction des publicités lumineuses entre 01H00 et 06H00 du matin (à l'exception des aéroports, gares ou stations de métro), cette mesure est loin d’être suffisante face au nombre croissant de ces panneaux inutiles qui n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. ⚡️ Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme en moyenne l’équivalent des besoins d’ un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager* : laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique est donc absurde ! Notre territoire a le pouvoir d’aller plus loin à travers le règlement local de publicité et de montrer l’exemple pour être à la hauteur des enjeux. Notre ville doit prendre les mesures suivantes de manière urgente, et sans attendre le pic de l’hiver où les tensions énergétiques se feront ressentir. 🛑👉Nous demandons : - L’extinction des panneaux lumineux et écrans publicitaires en continu, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés - Une meilleure gestion de l’éclairage public - L’extinction des lumières des bureaux dès leur fermeture 💡 De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées au-delà de la période de tension hivernale, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. D’autres villes comme Lyon ou Paris ont déjà mis en place des mesures plus fortes pour réduire leur consommation énergétique et s’inscrire dans le sens d’une sobriété choisie et responsable. 🌟 Notre ville aussi doit s’inscrire dans le sens de l’Histoire et mettre en place des solutions ambitieuses ! Source : *Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer)396 of 400 SignaturesCreated by Extinction Rebellion Angers
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APPEL A LA REVOLUTION ECOLOGIQUE DANS LE GRAND LIBOURNAISMOBILISATION GENERALE Nous vivons la fin d'un monde et devons co-construire ensemble le nouveau. Climat, énergie, vivant, pollution, épuisement démocratique, sécession des élites, inégalités sociales, ressentiment généralisé, extrême droite, inflation, covid, guerre... La crise est devenue systémique, globale. Elle va s'amplifier dans la décennie et aggraver les pénuries. Les premiers signaux d'alarme ont résonné à partir des années 30, avec Ellul et Charbonneau. Plus fort dans les années 60, avec la compréhension du rôle du DDT dans la disparition des oiseaux et la parution du « Printemps silencieux » de Rachel Carson. Plus stridents encore au début des années 70 avec le rapport Meadows, vendu à 1 million d'exemplaires. Et les années 80, avec la création du GIEC, les Conférence des Nations unies sur les changements climatiques, les COP, et les rapports scientifiques qui se succèdent, c'est carrément le hurlement des sirènes d'alarme et les voyants d'alertes rouges clignotants. Cela dans l’indifférence quasi générale. Cela fait 30 ans qu'il y a consensus scientifique sur les causes et les conséquences prévisibles du dérèglement climatique. 30 ans que nous savons ce qui va se passer. 30 ans que les lobbies économiques nous mentent pour gagner du temps et de l'argent. 30 ans que nous ne faisons rien à la hauteur des enjeux. Et en 30 ans la production des gaz à effet de serre, a progressé de 50% ! Mis à part une poignée de militants écologistes, ces alertes n'ont été entendues, ni par la grande majorité de nos concitoyens, ni par les élites économiques et politiques. Elles sont comme tétanisées, incapables de remettre en cause ce modèle économique qu'elles ont mis en place, qui les enrichit et... qui détruit l'habitabilité de la planète. Ils nous ont conduit dans une impasse. Quelle va être leur légitimité quand la population, notamment les jeunes, va comprendre ce qui les attend ? Les crises vont être de plus en plus rapprochées et violentes. Cela va être brutal. Rassembler le plus grand nombre de nos concitoyens pour adapter collectivement et rapidement notre modèle économique, social et démocratique, est notre meilleure chance de redonner un avenir au moins de 50 ans. Que faire ? Comment atterrir ? Vu le poids des lobbies et le déni de réalité de la quasi-totalité du monde économique et politique, il n'y aura pas de solutions descendantes à la hauteur des enjeux. Elles ne pourront remonter que de la société civile : nous ! Nous vous proposons d'agir là où nous le pouvons encore, le local. Pour cela il s'agit de mobiliser et renforcer l'engagement écologique et solidaire du plus grand nombre de citoyen.ne.s du Grand libournais : - en s'appuyant sur les initiatives existantes, en les renforçant, en participant à leur convergence - en créant des dynamiques d'éducation populaire, de démocratie participative - en inventant des espaces de rencontres, de convivialité, des projets culturels, artistiques, festifs qui travaillent sur l'imaginaire, font émerger de nouveaux récits, plus attractifs que les passions tristes - en construisant sur le territoire un rapport de force organisé non violent favorable à la vie En signant cette pétition, nous demandons à l'ensemble des élu.e.s du Grand Libournais d’agir résolument et de co-construire avec les citoyennes et les citoyens, la révolution écologique, solidaire et non-violente du territoire. Citoyen.ne.s du Grand libournais nous souhaitons participer activement à la mise en œuvre de cette politique et travailler avec les élu.e.s, tout en réduisant notre propre impact carbone et en participant activement à des projets citoyens locaux. Pour construire ce futur désirable sur notre territoire, nous serons nombreux à participer aux États Généraux pour le climat..., qui auront lieu le dimanche 20 novembre de 14h00 à 19h00 au Château des Rochers à Belvès de Castillon. Nous y co-construirons un diagnostic et lancerons des actions à l'échelle locale. A crise systémique, réponse systémique, les chantiers à réaliser sont multiples. Réduire de 55% notre production de GES d'ici 2030, adapter collectivement notre territoire et accompagner les plus fragiles, doivent être nos priorités. Rien n'a été anticipé. Nous devons devenir résilients. D'après le World Resources Institute, nous devons multiplier par 6 les transports publics, diviser par 10 notre utilisation de ciment, diviser par 5 notre consommation de viande, multiplier par 10 les financements publics pour la transition écologique... Ce qui doit nous amener par exemple d'ici 2030 à : - Produire une agriculture et une alimentation 100 % bio, beaucoup plus riche en légumes, céréales et protéines végétales, en prioriser la distribution aux femmes enceintes, aux enfants de moins de 3 ans, aux personnes à faibles ressources financières... - Arracher 10 000 hectares de vignes pour y installer 1000 paysans bio en agroécologie, agroforesterie, permaculture, polyculture élevage, traction animale... qui produiront des protéines végétales, des isolants bio sourcées, des ENR pour la ferme - Réduire de 50% la circulation automobile en multipliant les déplacements à pied, en vélo, le co-voiturage, les transports en commun, en triplant le nombre de TER en circulation - Isoler 10 000 « passoires énergétiques » du parc immobilier avec des agromatériaux (paille, chanvre...) produit sur le territoire - Multiplier les sources de production d'énergies renouvelables - Construire des réseaux de solidarité, d'entraide et de coopération au profit des personnes les plus fragile du territoire, des territoires voisins et des futurs réfugiés climatiques Elu.e.s comme non élu.e.s. nous portons toutes et tous une part de responsabilité dans la situation actuelle. Plus ou moins importante selon les fonctions. Les citoyennes et les citoyens du Grand Libournais ont besoin de se sentir soutenu.e.s et accompagné.e.s pour que vive l'espoir de garder notre planète habitable pour les générations actuelles et futures.181 of 200 SignaturesCreated by Collectif climat du Grand L.
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Terminal méthanier flottant au Havre : pour un véritable « débat public » avant tout travauxAu printemps 2022, le gouvernement français a annoncé l’implantation d’un terminal méthanier flottant (FSRU -Floating Storage and Regasification Unit) dans le port du Havre (Seine-Maritime). Il s’agit d’un navire amarré qui joue le rôle d’un petit port méthanier d’importation ; sa fonction est de recevoir du gaz naturel transbordé depuis des navires méthaniers, de le stocker, de le ramener à l'état gazeux, et de l’injecter sur le réseau de transport de gaz naturel. L’argument avancé est le besoin de gaz en France suite à l’agression militaire de l’Ukraine par la Russie et la volonté de ne plus importer de gaz d’origine russe. TotalEnergies et GRT Gaz sont les porteurs du projet. Ils ont déposé le 8 juillet 2022 une « demande d’examen au cas par cas » afin de pouvoir lancer au plus vite les divers travaux (canalisation de gaz, installations annexes), en vue d’une mise en service dès l’automne 2023. Par arrêté du 3 août dernier, le préfet a décidé de ne pas soumettre le projet à évaluation environnementale. Il ajoute cependant : « Une nouvelle demande d’examen au cas par cas serait exigible si les éléments de contexte ou les caractéristiques du projet présentés dans la demande examinée venaient à évoluer de manière significative. » Le projet d’implantation a été validé par la loi du 16 août 2022 qui prévoit un régime juridique dérogatoire (art. 29). Nous pensons que ce projet comporte de nombreux et graves défauts : 🔹 Il garantit la continuité de l’exploitation des énergies fossiles climaticides ; or le GIEC répète qu’il est urgent de réduire l’émission de gaz à effet de serre (GES) ; 🔹 Le gaz importé (principalement des Etats-Unis) sera largement issu de la fracturation hydraulique (gaz de schiste) impliquant la destruction des sous-sols et des pollutions incontrôlées ; 🔹 Le projet a été lancé en l’absence de procédure d’appel d’offre ; 🔹 Il a été lancé en l’absence d’évaluation environnementale en amont des travaux ; 🔹 Il existe une déconnexion entre l’urgence avancée comme argument de cette décision et la faible proportion de l’apport attendu à la consommation nationale (10 %). 🔹 Le projet, générateur de GES (méthane), est contradictoire avec l’injonction de sobriété énergétique prônée par le gouvernement, laquelle implique de diminuer le recours aux énergies fossiles ; 🔹 Le projet accroît l’augmentation des risques par effet domino, non pas forcément dû au transfert du méthane mais de la proximité avec des sites SEVESO (CIM, Alkion, SHMPP) ; 🔹 Le projet néglige le temps d’évacuation d’un méthanier (et du terminal lui-même) via l’écluse François 1er ; 🔹 Le coût de l’opération : 30 M€ pour les travaux et de 20 à 50 M€/an pendant 5 ans (durée du contrat) pour le fonctionnement ; Par ailleurs, nous pensons que ce projet doit être réexaminé au regard d’un « élément de contexte » nouveau : Dans sa décision du 12 août dernier, le Conseil constitutionnel, a exigé, en application des dispositions de la Charte de l’environnement, que les dispositions qui prévoient « le maintien en exploitation d’un terminal méthanier flottant ainsi que l’installation d'un tel terminal sur le site portuaire du Havre » ne peuvent s’appliquer « que dans le cas d’une menace grave sur la sécurité d'approvisionnement en gaz ». Or, cette « menace grave » n’est pas démontrée puisque des experts expliquent que la consommation de gaz en France (40 Mds m3 / an) est couverte par les terminaux méthaniers existants et les importations de Norvège et Algérie (Journal du dimanche, 6/8/22). L’ensemble de ces éléments justifie qu’un véritable débat public soit mené en lieu et place d’une simple procédure administrative accélérée, car il s’agit d’un projet de grande ampleur qui aura de forts impacts sur notre environnement. En application des articles L. 121-88 et R 121-2 du code de l'environnement, je demande donc que la Commission nationale du débat public se saisisse du projet d’implantation d’un terminal méthanier flottant (FSRU) dans le port du Havre.5,524 of 10,000 SignaturesCreated by Collectif climat le Havre
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