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Oui à la transition énergétique, non à la destruction du patrimoine publicDe nombreux projets industriels de production photovoltaïques se développent dans l'Aude, en Occitanie, et plus largement dans tout le pays. Certains de ces projets, parfois portés par des conglomérats industriels aux pratiques discutables et ayant fait fortune dans le pétrole sont en contradiction totale avec le discours écologiste et responsable dont ils veulent se parer. En effet, sacrifier des dizaines voire des centaines d'hectares de terres agricoles produisant aujourd'hui des céréales n'est pas responsable en pleine crise alimentaire. Sacrifier des zones classées au plus haut niveau de protection Natura 2000 n'est pas un positionnement allant dans le sens de l'écologie durable et du maintien de la biodiversité Sacrifier nos paysages qui font aujourd'hui la richesse des territoires n'est pas responsable pour l'avenir de ces derniers. Sacrifier le soutien des populations en évitant toute forme de concertation en amont du choix des implantations n'est pas responsable alors que nous savons que la transition ne peut se faire qu'avec le soutien de tous les citoyens. Sacrifier notre patrimoine commun quel que soit sa nature sur l'autel des indicateurs français et européens ne saurait en aucun cas suffire. La transition énergétique ne doit pas se faire à marche forcée mais de façon raisonnée. L'ADEME elle même l'écrit : des gisements suffisants existent sur friches industrielles, toitures et zones d'activité à hauteur de 95GWc, permettant largement d'atteindre les objectifs du plan de programmation pluriannuelle de l'énergie (+51GWc pour atteindre 101 à 113 GWc). Nous exigeons la responsabilité et le respect par les promoteurs et les décideurs, des recommandations émises par certaines communautés de communes, le ministère de la transition écologique et les préfectures. -Privilégier les sites déjà artificialisés et proscrire les installations en zones protégées (Natura 2000, ZNIEFF). -Éviter les espaces agricoles pour maintenir la capacité de production dans un contexte de crise alimentaire. -Limiter au maximum les impacts paysagers pour un patrimoine touristique et architectural préservé. -Communiquer en amont vers les riverains pour une transition menée en concertation. Un gros projet est en cours sur les communes de Belpech, Pécharic et le Py, Plaigne, Saint Sernin. Il porte sur 172Ha de terres agricoles produisant des céréales et en zone de protection spéciale Natura 2000. Nous devons réagir vite sur ce projet pour que les bonnes pratiques soient imposées sur les prochains. Signez maintenant pour exiger la transition énergétique vertueuse.456 sur 500 SignaturesCréée par Alice D.
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APPEL A LA REVOLUTION ECOLOGIQUE DANS LE GRAND LIBOURNAISMOBILISATION GENERALE Nous vivons la fin d'un monde et devons co-construire ensemble le nouveau. Climat, énergie, vivant, pollution, épuisement démocratique, sécession des élites, inégalités sociales, ressentiment généralisé, extrême droite, inflation, covid, guerre... La crise est devenue systémique, globale. Elle va s'amplifier dans la décennie et aggraver les pénuries. Les premiers signaux d'alarme ont résonné à partir des années 30, avec Ellul et Charbonneau. Plus fort dans les années 60, avec la compréhension du rôle du DDT dans la disparition des oiseaux et la parution du « Printemps silencieux » de Rachel Carson. Plus stridents encore au début des années 70 avec le rapport Meadows, vendu à 1 million d'exemplaires. Et les années 80, avec la création du GIEC, les Conférence des Nations unies sur les changements climatiques, les COP, et les rapports scientifiques qui se succèdent, c'est carrément le hurlement des sirènes d'alarme et les voyants d'alertes rouges clignotants. Cela dans l’indifférence quasi générale. Cela fait 30 ans qu'il y a consensus scientifique sur les causes et les conséquences prévisibles du dérèglement climatique. 30 ans que nous savons ce qui va se passer. 30 ans que les lobbies économiques nous mentent pour gagner du temps et de l'argent. 30 ans que nous ne faisons rien à la hauteur des enjeux. Et en 30 ans la production des gaz à effet de serre, a progressé de 50% ! Mis à part une poignée de militants écologistes, ces alertes n'ont été entendues, ni par la grande majorité de nos concitoyens, ni par les élites économiques et politiques. Elles sont comme tétanisées, incapables de remettre en cause ce modèle économique qu'elles ont mis en place, qui les enrichit et... qui détruit l'habitabilité de la planète. Ils nous ont conduit dans une impasse. Quelle va être leur légitimité quand la population, notamment les jeunes, va comprendre ce qui les attend ? Les crises vont être de plus en plus rapprochées et violentes. Cela va être brutal. Rassembler le plus grand nombre de nos concitoyens pour adapter collectivement et rapidement notre modèle économique, social et démocratique, est notre meilleure chance de redonner un avenir au moins de 50 ans. Que faire ? Comment atterrir ? Vu le poids des lobbies et le déni de réalité de la quasi-totalité du monde économique et politique, il n'y aura pas de solutions descendantes à la hauteur des enjeux. Elles ne pourront remonter que de la société civile : nous ! Nous vous proposons d'agir là où nous le pouvons encore, le local. Pour cela il s'agit de mobiliser et renforcer l'engagement écologique et solidaire du plus grand nombre de citoyen.ne.s du Grand libournais : - en s'appuyant sur les initiatives existantes, en les renforçant, en participant à leur convergence - en créant des dynamiques d'éducation populaire, de démocratie participative - en inventant des espaces de rencontres, de convivialité, des projets culturels, artistiques, festifs qui travaillent sur l'imaginaire, font émerger de nouveaux récits, plus attractifs que les passions tristes - en construisant sur le territoire un rapport de force organisé non violent favorable à la vie En signant cette pétition, nous demandons à l'ensemble des élu.e.s du Grand Libournais d’agir résolument et de co-construire avec les citoyennes et les citoyens, la révolution écologique, solidaire et non-violente du territoire. Citoyen.ne.s du Grand libournais nous souhaitons participer activement à la mise en œuvre de cette politique et travailler avec les élu.e.s, tout en réduisant notre propre impact carbone et en participant activement à des projets citoyens locaux. Pour construire ce futur désirable sur notre territoire, nous serons nombreux à participer aux États Généraux pour le climat..., qui auront lieu le dimanche 20 novembre de 14h00 à 19h00 au Château des Rochers à Belvès de Castillon. Nous y co-construirons un diagnostic et lancerons des actions à l'échelle locale. A crise systémique, réponse systémique, les chantiers à réaliser sont multiples. Réduire de 55% notre production de GES d'ici 2030, adapter collectivement notre territoire et accompagner les plus fragiles, doivent être nos priorités. Rien n'a été anticipé. Nous devons devenir résilients. D'après le World Resources Institute, nous devons multiplier par 6 les transports publics, diviser par 10 notre utilisation de ciment, diviser par 5 notre consommation de viande, multiplier par 10 les financements publics pour la transition écologique... Ce qui doit nous amener par exemple d'ici 2030 à : - Produire une agriculture et une alimentation 100 % bio, beaucoup plus riche en légumes, céréales et protéines végétales, en prioriser la distribution aux femmes enceintes, aux enfants de moins de 3 ans, aux personnes à faibles ressources financières... - Arracher 10 000 hectares de vignes pour y installer 1000 paysans bio en agroécologie, agroforesterie, permaculture, polyculture élevage, traction animale... qui produiront des protéines végétales, des isolants bio sourcées, des ENR pour la ferme - Réduire de 50% la circulation automobile en multipliant les déplacements à pied, en vélo, le co-voiturage, les transports en commun, en triplant le nombre de TER en circulation - Isoler 10 000 « passoires énergétiques » du parc immobilier avec des agromatériaux (paille, chanvre...) produit sur le territoire - Multiplier les sources de production d'énergies renouvelables - Construire des réseaux de solidarité, d'entraide et de coopération au profit des personnes les plus fragile du territoire, des territoires voisins et des futurs réfugiés climatiques Elu.e.s comme non élu.e.s. nous portons toutes et tous une part de responsabilité dans la situation actuelle. Plus ou moins importante selon les fonctions. Les citoyennes et les citoyens du Grand Libournais ont besoin de se sentir soutenu.e.s et accompagné.e.s pour que vive l'espoir de garder notre planète habitable pour les générations actuelles et futures.163 sur 200 SignaturesCréée par Collectif climat du Grand L.
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Terminal méthanier flottant au Havre : pour un véritable « débat public » avant tout travauxAu printemps 2022, le gouvernement français a annoncé l’implantation d’un terminal méthanier flottant (FSRU -Floating Storage and Regasification Unit) dans le port du Havre (Seine-Maritime). Il s’agit d’un navire amarré qui joue le rôle d’un petit port méthanier d’importation ; sa fonction est de recevoir du gaz naturel transbordé depuis des navires méthaniers, de le stocker, de le ramener à l'état gazeux, et de l’injecter sur le réseau de transport de gaz naturel. L’argument avancé est le besoin de gaz en France suite à l’agression militaire de l’Ukraine par la Russie et la volonté de ne plus importer de gaz d’origine russe. TotalEnergies et GRT Gaz sont les porteurs du projet. Ils ont déposé le 8 juillet 2022 une « demande d’examen au cas par cas » afin de pouvoir lancer au plus vite les divers travaux (canalisation de gaz, installations annexes), en vue d’une mise en service dès l’automne 2023. Par arrêté du 3 août dernier, le préfet a décidé de ne pas soumettre le projet à évaluation environnementale. Il ajoute cependant : « Une nouvelle demande d’examen au cas par cas serait exigible si les éléments de contexte ou les caractéristiques du projet présentés dans la demande examinée venaient à évoluer de manière significative. » Le projet d’implantation a été validé par la loi du 16 août 2022 qui prévoit un régime juridique dérogatoire (art. 29). Nous pensons que ce projet comporte de nombreux et graves défauts : 🔹 Il garantit la continuité de l’exploitation des énergies fossiles climaticides ; or le GIEC répète qu’il est urgent de réduire l’émission de gaz à effet de serre (GES) ; 🔹 Le gaz importé (principalement des Etats-Unis) sera largement issu de la fracturation hydraulique (gaz de schiste) impliquant la destruction des sous-sols et des pollutions incontrôlées ; 🔹 Le projet a été lancé en l’absence de procédure d’appel d’offre ; 🔹 Il a été lancé en l’absence d’évaluation environnementale en amont des travaux ; 🔹 Il existe une déconnexion entre l’urgence avancée comme argument de cette décision et la faible proportion de l’apport attendu à la consommation nationale (10 %). 🔹 Le projet, générateur de GES (méthane), est contradictoire avec l’injonction de sobriété énergétique prônée par le gouvernement, laquelle implique de diminuer le recours aux énergies fossiles ; 🔹 Le projet accroît l’augmentation des risques par effet domino, non pas forcément dû au transfert du méthane mais de la proximité avec des sites SEVESO (CIM, Alkion, SHMPP) ; 🔹 Le projet néglige le temps d’évacuation d’un méthanier (et du terminal lui-même) via l’écluse François 1er ; 🔹 Le coût de l’opération : 30 M€ pour les travaux et de 20 à 50 M€/an pendant 5 ans (durée du contrat) pour le fonctionnement ; Par ailleurs, nous pensons que ce projet doit être réexaminé au regard d’un « élément de contexte » nouveau : Dans sa décision du 12 août dernier, le Conseil constitutionnel, a exigé, en application des dispositions de la Charte de l’environnement, que les dispositions qui prévoient « le maintien en exploitation d’un terminal méthanier flottant ainsi que l’installation d'un tel terminal sur le site portuaire du Havre » ne peuvent s’appliquer « que dans le cas d’une menace grave sur la sécurité d'approvisionnement en gaz ». Or, cette « menace grave » n’est pas démontrée puisque des experts expliquent que la consommation de gaz en France (40 Mds m3 / an) est couverte par les terminaux méthaniers existants et les importations de Norvège et Algérie (Journal du dimanche, 6/8/22). L’ensemble de ces éléments justifie qu’un véritable débat public soit mené en lieu et place d’une simple procédure administrative accélérée, car il s’agit d’un projet de grande ampleur qui aura de forts impacts sur notre environnement. En application des articles L. 121-88 et R 121-2 du code de l'environnement, je demande donc que la Commission nationale du débat public se saisisse du projet d’implantation d’un terminal méthanier flottant (FSRU) dans le port du Havre.5 014 sur 10 000 SignaturesCréée par Collectif climat le Havre
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Monsieur le Président, éteignez les écrans !"Nous vivons la fin de ce qui pouvait apparaître comme une abondance”, déclarait le président Emmanuel Macron dans un discours le 19 août dernier. Les écrans publicitaires en sont le symbole : ils contribuent au gaspillage d’énergie et de ressources, sont néfastes pour la santé et la biodiversité, prolifèrent¹ dans les centres commerciaux, les gares, les transports en commun, les espaces publics et les vitrines des magasins, soumettent les citoyens à toujours plus de pression publicitaire. Ils incitent à la surconsommation, contribuent à la pollution lumineuse et servent essentiellement aux grandes entreprises, au détriment du commerce de proximité. Dans un rapport² publié en 2020, l’ADEME estimait la consommation d’un écran de 2m² à 2 000 kWh/an, soit quasiment l’équivalent de la consommation annuelle d'un ménage (hors chauffage et eau chaude). Les écrans publicitaires apparaissent ainsi comme une véritable incohérence dans une société toujours plus marquée par l'urgence écologique et sociale, dans un contexte de crise énergétique et d’incitation à la sobriété. Depuis plusieurs années, des voix se sont élevées pour réclamer leur interdiction : - En février 2020, une tribune³ signée dans le JDD par 160 personnalités, parlementaires et scientifiques, demandait au gouvernement d’interrompre leur prolifération. - En juin 2020, la convention citoyenne pour le climat faisait figurer leur interdiction parmi ses 149 propositions - qui n’a pas été retenue dans la loi climat et résilience. - En juin 2022, le rapport “Futurs énergétiques 2050” ⁴ de RTE - gestionnaire du réseau d’électricité - appelait à “la disparition progressive des écrans publicitaires” pour économiser l’énergie et limiter les incitations à la consommation. L’extinction nocturne des enseignes et publicités lumineuses, décidée par le gouvernement⁵, est une réponse nécessaire mais dérisoire, qui ne permet pas de libérer définitivement nos espaces publics, gares et transports en communs des écrans publicitaires. Nous attendons d’un plan de sobriété énergétique qu’il prenne des mesures structurelles, qu’il cible les usages définis collectivement comme accessoires ou néfastes. Nous attendons d’un plan de sobriété qu’il soit guidé par un impératif de justice sociale et de transition écologique. Il est temps d’agir vraiment, Monsieur le Président : éteignez les écrans. --- Premiers signataires : Charlotte Ribaute - Co-présidente de Résistance à l'Agression Publicitaire Jean-François Julliard - Directeur général de Greenpeace France Anthony Geoffroy - Co-président du Collectif Plein la Vue Khaled Gaiji - Président des Amis de la Terre Morgane Créach - Directrice générale du Réseau Action Climat Emma Tosini - Porte-parole ANV-COP21 Alex Montvernay - Porte-parole Alternatiba Cécile Duflot - Directrice générale d’OXFAM France Juliette Franquet - Directrice de Zero Waste France Nicolas Guilbaud - Président d’I-buycott Raphaël Pradeau - Porte parole d'ATTAC Élise Ayrault - Porte parole de Bizi! Claire Morcant - Membre de la Convention Citoyenne pour le Climat Thomas Wagner - Fondateur du média Bon Pote Camille Etienne - de Avant l'orage, activiste pour la justice sociale et climatique Maxime Combes - Économiste Corinne Morel Darleux - Autrice Dominique Bourg - Philosophe Julien Bayou - Député écologiste Cyrielle Chatelain - Députée écologiste Mathilde Panot - Députée La France Insoumise François Ruffin - Député La France Insoumise Dominique Potier - Député socialiste Thomas Dossus - Sénateur écologiste Manon Aubry - Eurodéputée La France Insoumise David Cormand - Eurodéputé écologiste Eric Piolle - Maire de Grenoble --- ¹ Dans son rapport “Futurs énergétiques 2050” publié en février 2022, Réseau de Transport d’Électricité (RTE) indiquait que 9000 écrans environ étaient installés en 2019 avec une augmentation de 20% par an. ² https://www.actu-environnement.com/media/pdf/news-36209-Etude-ademe-impact-ecrans-publicite.pdf ³ https://www.lejdd.fr/Societe/tribune-lappel-de-160-personnalites-a-dire-stop-aux-ecrans-video-publicitaires-3952433 ⁴ https://www.rte-france.com/actualites/futurs-energetiques-neutralite-carbone-2050-principaux-enseignements ⁵ Le décret à paraître doit “[généraliser] l'interdiction des publicités lumineuses quelle que soit la taille de la ville, entre 1 heure et 6 heures du matin, sauf rares exceptions comme les gares et les aéroports qui ne ferment pas la nuit”. Or, le décret paru suite à la loi Grenelle prévoit déjà ces horaires d’extinction dans la plupart des villes, et n’est pas aujourd'hui pleinement appliqué. En outre, l'extinction nocturne ne répond pas au problème des pics de consommation le midi et en soirée.66 478 sur 75 000 SignaturesCréée par Résistance à l'Agression Publicitaire, Plein la Vue, Greenpeace, Alternatiba, ANV-COP21 et Extinction Rebellion France
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"Protéger la vallée du Grésivaudan au cœur des Alpes" Marche pour l'EAU Le Samedi 01 Avril à CrollesCette installation sur ce site d'une nouvelle usine est une hérésie! Les usines présentes aujourd'hui, pillent déjà la ressource la plus précieuse , L'EAU, pour ses propriétés de pureté incroyable ! Sans évoquer les risques majeurs d'accidents irréversibles pour les populations de cette vallée. Alors, protégeons ces espaces naturels au cœur des Alpes, nécessaires à toute la biodiversité dont nous sommes!!! STOP à la bêtise des lobbys industriels et des politiques inconscients des conséquences de leurs décisions. La création de 1000 emplois n'est plus un argument suffisant face à l'urgence climatique, particulièrement dans cette belle vallée. Il est temps de changer cette folie industrielle au détriment des espaces naturels et des êtres vivants. Merci de signer cette pétition et de diffuser ce message LE PLUS LARGEMENT POSSIBLE car les décisions politiques sont imminentes! « Ne doutez jamais qu'un petit nombre de citoyens volontaires et réfléchis peut changer le monde ; en fait, cela se passe toujours ainsi .» «Ne dépendez jamais des institutions ou du gouvernement pour résoudre n'importe quel problème. Tous les mouvements sociaux sont fondés, guidés, motivés et vus à travers la passion des individus.» Margaret Mead - Anthropologue155 sur 200 SignaturesCréée par Anna U.
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NON A L’OUVERTURE D’UNE CARRIERE DE MATERIAUX GRANITIQUES A JOUX (69170) !Les principales raisons de s’opposer : Un dossier, porté par Vinci & Eurovia, en préparation depuis 15 ans, en lien avec la municipalité, et déposé sans aucune concertation avec les habitants concernés. Un projet inutile implanté à 5 et 10 km, à vol d’oiseau, de deux autres carrières de granulats en activité (pour n’évoquer que les deux plus proches). Un projet démesuré par rapport aux carrières environnantes, en terme notamment de rythme d’exploitation (350 000 T/an en moyenne) et de durée (30 ans), sans compter une probable future demande d’extension. Un projet consommateur et destructeur d’espaces naturels et historiques et de paysages encore préservés : emprise de 22.1 ha en pleine ZNIEFF (Zone Naturelle d’Intérêt Ecologique Faunistique et Floristique) du Haut Bassin Versant de la Turdine, défrichement de 12.7 ha, et nécessité de créer 2.5 km de piste d’accès, dont 1.9 km sur l’actuelle Voie Romaine historique (aussi appelée Route Napoléon), qui sera alors revêtue. Un projet obsolète et néfaste pour les générations futures : - s’inscrivant dans la continuité du tout béton, de l’artificialisation des sols et du mitage du territoire (matériaux extraits destinés à la commercialisation de granulats béton et routiers), - à l’encontre de la lutte contre le réchauffement climatique, puisqu’à l’origine d'émissions de CO2 supplémentaires, liées notamment à l'augmentation significative du trafic poids lourds (moyenne de 100 trajets de camions/j), - générateur de nuisances (bruit, poussières, pollution) pour les riverains (près de 100 personnes dans un périmètre de 500 m) et d’impacts sur la qualité de l’air et de l’eau. Nous demandons : - l’abandon définitif de ce projet, - la conservation des usages actuels (agricoles, forestiers et loisirs) sur les espaces concernés, - le développement d’une réelle politique volontariste de sobriété en terme de construction et d’exploitation des ressources naturelles (rénovation/réfection de l’existant, recyclage des matériaux ...). Puisque chaque voix compte, agissons ensemble, à notre échelle : 1. Signez cette pétition dès maintenant. Faites la connaître et partagez la avec votre entourage et vos réseaux. La pétition et les signatures (avec les informations que vous fournissez) seront remises à Mme la Commissaire Enquêtrice, fin septembre, par l’association RCPCJ, afin d’être prises en compte dans le cadre de l’enquête publique. 2. Participez directement à l’enquête publique (du 1er au 30 septembre 2022). Vous pèserez ainsi, encore plus dans le processus, en prenant connaissance du dossier et/ou déposant vos observations (voir modalités précisées dans l’avis à l’adresse suivante : https://www.registre-dematerialise.fr/4070). Pour plus de précisions sur le projet ou sur l’association RCPCJ (Riverains Contre le Projet de Carrière à Joux), à l’origine de cette pétition : - www.assorcpcj.fr - Contact : [email protected]3 156 sur 4 000 SignaturesCréée par Association RCPCJ
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Air France doit cesser de tromper ses passagers. Stop au greenwashing !Aujourd’hui, les avancées technologiques sont loin d’être prêtes pour permettre une réduction significative des émissions de gaz à effet de serre des avions. En prenant un billet, le client se voit proposer, entre une option “Siège” et une option “Bagages”, une option “Environnement” qu’il peut décliner de plusieurs manières : - une proposition de reforestation, très bon marché, pour « planter assez d’arbres pour absorber autant de CO2 que le vol en émet » - une proposition de contribution au développement des carburants “durables” (SAF - Sustainable Aviation Fuel), au montant conséquent (presque autant que le prix du billet) - un mélange des deux A chaque proposition est associée une infographie avec d’un côté les émissions de CO2 du vol selon le calcul d’Air France et de l’autre « le CO2 absorbé par la reforestation » et « le CO2 en MOINS avec les SAF ». Cela tend à faire penser que l’on pourrait voler sans émettre de CO2, ce qui est totalement faux : - La reforestation n’est pas une solution magique qui permettrait d’absorber les émissions de CO2 du vol car cela ne peut pas se réduire à une opération comptable. Aussi, au regard du prix très bas (moins de 4% du prix du voyage), on pourrait penser que la compensation est simple et efficace, alors que c’est tout le contraire (1). - Contribuer au développement des carburants d’aviation dits “durables” (SAF) ne permet pas de réduire les émissions de CO2 d’aujourd’hui. Or les émissions doivent être réduites drastiquement dès maintenant pour que le réchauffement ne dépasse pas 1,5 °C, objectif fixé par l’Accord de Paris sur le climat. Aujourd’hui, la réglementation française oblige Air France à incorporer un minimum de 1 % de SAF dans le kérosène classique. A ce niveau, la réduction des émissions n’est au mieux que de 0.4 %. Nous sommes donc bien loin des 100 % ! - L’impact climatique du transport aérien ne se limite pas au CO2 (2): la combustion de kérosène en altitude génère d’autres émissions qu’Air France n’inclut pas dans ses calculs, alors que leur impact climatique est environ deux fois plus important que celui du CO2 (3). La présentation d’Air France est trompeuse. Elle fait croire à ses clients qu’ils peuvent voler sans générer d’émissions nuisibles au climat ou en les compensant. Nous demandons à la compagnie de la revoir et lui proposons de l’aider à la rendre plus acceptable. Une plainte a déjà été déposée en parallèle à la DGCCRF (Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes). Enfin, nous rappelons qu’en attendant le déploiement effectif de solutions bas carbone, seule une réduction du trafic aérien (4) peut permettre de réduire les émissions du secteur. Aidez-nous à nous faire entendre en signant la pétition : ensemble, interpellons Air France pour l'obliger à adopter un discours honnête sur la décarbonation de l’aviation ! Romain Morizot, Ingénieur aéronautique, membre de l’association Les Ateliers ICARE (suite du collectif ICARE, membre du PAD) Premiers signataires: Frédéric Berthelot, ingénieur déserteur en évolution professionnelle, membre de l’Association les Ateliers ICARE Charlène Fleury, militante climat et porte parole d'Alternatiba / ANV-COP21 Yoann Lafficher, ingénieur aéronautique, membre de l’association Les Ateliers ICARE Christophe Laratte, pilote de ligne, militant Europe Ecologie Les Verts, représentant syndical Eric Lombard, coordinateur de Rester sur Terre (Stay-Grounded) Sources : (1) https://all4trees.org/dossiers/treewashing/ (2) https://rester-sur-terre.org/fact-sheet-climate-impact/ (3) https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1352231020305689 (4) https://www.isae-supaero.fr/fr/horizons-186/referentiel-aviation-et-climat/referentiel-aviation-et-climat/7 806 sur 8 000 SignaturesCréée par Romain M.
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NON à l'extension de la carrière Lafarge sur Château-Gontier (53)La demande d'extension de la Carrière des Coudrays par l'entreprise LafargeHolcim sur les communes de Château-Gontier sur Mayenne et Marigné-Peuton (53) est un projet destructeur au niveau environnemental. "Les impacts résultants du projet à la suite des mesures envisagées seront nuls à faibles, voire positifs à entièrement maitrisés" Etude d'impact - LafargeHolcim Vraiment? - Sur les 50ha concernés par cette demande d'extension, on trouve 17ha de forêt qui seront défrichés. Cette disparition d'espaces boisés portera atteinte à la survie de nombreuses espèces protégées (l'écureuil roux, l'autour des palombes, etc...). De plus, la forêt a un rôle essentiel dans la régulation du changement climatique (micro-climat, stockage carbone). - 3 zones humides sont également concernées : ce sont des écosystèmes complexes et précieux. On y trouve de nombreuses espèces d'amphibiens. Ces zones humides sont essentielles dans la préservation de la biodiversité. De plus on observe de plus en plus de phénomènes climatiques extrêmes (sécheresses, fortes pluies...) Ces espaces ont un rôle primordial pour limiter les inondations dans les villes. -Lafarge se vente de créer 3 emplois supplémentaires grâce à l'extension. Cependant, ne peut-on pas faire mieux? Sur les 33ha de terres agricoles menacés, il est possible d'installer au moins un agriculteur et même plus si on y développe des projets à taille humaine, tel que du maraîchage diversifié, de l'arboriculture, de l'élevage extensif... - Les exploitants de carrières sont dans l'obligation légale de restaurer le milieu suite à l'extraction. Ils se servent de déchets inertes pour compenser les matériaux retirés. Il n'y a aucune transparence sur l'origine de ces déchets et bien que des mesures soient mises en places pour assurer l'isolation de ceux-ci dans le sol une fois enfouis, nous ne sommes jamais entièrement à l'abri d'une pollution diffuse des eaux souterraines. De plus, la vie du sol ne sera jamais totalement retrouvée. - L'exploitation de la carrière actuelle consomme 66 000 m3 par an. Le projet d'extension va nécessité de venir puiser dans la nappe phréatique une quantité d'eau au moins égal à ce volume. La ressource en eau va devenir de plus en plus rare dans les années à venir, les sécheresses anormales que nous connaissons depuis quelques années en sont un signal fort. Il serait inconscient d'autoriser cette folie de plus. En plus d'avoir une atteinte à la biodiversité et au climat, ce projet participe à l'altération de notre paysage bocager. Il est important que nous nous opposions à ce projet pour préserver notre environnement à notre échelle. Nous sommes conscient que dans le système consumériste actuel, les matériaux extraits semblent indispensables, pour construire, bétonner, reconstruire... Il est temps que nous réalisions l'urgence d'évoluer vers plus de sobriété : rénovation de l'existant, utilisation de matériaux bio-sourcés ou recyclés, limitation de l'étalement urbain,... Signez cette pétition c'est faire votre part pour stopper un projet destructeur de plus. L'enquête publique se termine le jeudi 21 juillet à 17h. Nous remettrons en mains propres les signatures au commissaire enquêteur pour lui témoigner de la mobilisation citoyenne. La liste des signataires viendra peser dans l'évaluation de l'enquête publique. Ne sous-estimons pas l'importance du poids de l'avis des citoyens.3 402 sur 4 000 SignaturesCréée par Coquelico T.
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Disons Non à l'exploitation du pétrole dans le Parc de Virunga, zone protégée par l’UNESCOIl y a à peine un an, la République Democratique du Congo a découvert des gisements de pétrole dans le parc national des Virunga, mais également à Luki dans le Congo central et dans l’Equateur. Pour les autorités congolaises, c'est une manne financière à exploiter. On estime les réserves de l'or noir dans le Parc des Virunga à 6758 milliards de barils, ce qui pourrait représenter une manne financière de quelque 7 milliards de dollars. Les autorités nationales défendent ainsi l'attrait économique du développement du secteur pétrolier pour la région. Le gouvernement a déjà lancé des appels d’offres pour l'exploitation du pétrole allant du 28 au 29 juillet prochain. Nous devons stopper ce projet écocide avant cette échéance! La ministre de l'environnement se trouve dans un dilemme: faut-il exploiter ces ressources ou agir pour le climat ? Pour celle qui ne jure que pour présenter le géant Congo comme pays solution, c’est une décision qui joue toute sa carrière politico-écologiste. Cependant Mme Eve Bazaiba ne s’en cache pas. Elle ne souhaite pas que la RDC se sacrifie pour le reste du monde sans compensation. “La communauté internationale doit apporter une réponse au manque à gagner économique et social’, estime-t-elle.. Contacter par DW à propos de l'exploitation des gisements, elle réponde: “Les choix appartiennent à la République démocratique du Congo. Nous allons protéger l'environnement pour l'intérêt du monde, de l'humanité, comme je l'ai dit, et c'est évidemment aussi notre propre intérêt. Mais le Congo se trouve dans un dilemme de dire : le pétrole, c'est le baromètre de l'économie, quand vous avez un accès difficile au pétrole, le prix des services et des biens montent. C'est le coût de la vie qui monte. Mais quand vous avez l'accès facile au pétrole, ce sont les coûts des services et des biens qui baissent et la population a accès à un minimum vital. Nous avons les ressources du sol et du sous-sol. C'est là qu’il y a des négociations avec la communauté internationale pour dire : devrions-nous, la RDC, nous sacrifier à ne pas exploiter notre pétrole pour les besoins de la protection de l'environnement ? En échange de quoi ? S’il y a une réponse, nous la mettrons sur la balance et nous dirons : pétrole, reste dans le sous-sol. Nous avons d'autres fonds, nous avons l'alternative de notre survie. Mais s’il n'y a pas cette alternative, on ne peut pas observer le pétrole comme des poissons dans l'aquarium. Nous sommes en train de parler avec les partenaires internationaux, avec tous les partenaires au développement technique et financier “ A la question de savoir si l’énergie solaire ne pourrait pas faire l'affaire contre le pétrole en RD Congo, elle répond: “ Oui, mais justement, l'alternative, c'est quoi ? Nous avons d'abord les centrales hydroélectriques d'Inga, où nous demandons de tous nos vœux que tous les fonds pour lutter contre le réchauffement climatique soient financés à Inga. Inga va booster la desserte en électricité. On n'aura pas besoin nécessairement du pétrole. Deuxièmement, nous disons que le soleil nous passe par-dessus la tête. Nous avons besoin de beaucoup de technologie et d'expertise pour que nous puissions développer l'énergie photovoltaïque. Troisièmement, nous avons besoin des technologies et de l'expertise pour développer l'énergie de la biomasse. Et aussi, nous avons besoin de la technologie et de l'expertise pour la transformation locale de nos ressources stratégiques, minerais stratégiques, qui nous amènent à la transition écologique au lieu d'utiliser le pétrole, donc le carburant, l'essence et le gazole dans le véhicule.... mais si nous utilisons des voitures électriques, ça nécessite une transformation locale. Nous avons la panoplie de tous ces procédés pour nous amener à la transition écologique. Nous avons beaucoup de tours dans nos manches, mais ça nécessite l'expertise, la technologie et cela équivaut à des moyens” Dans ce contexte d'accélération de la crise climatique, nous encourageons le gouvernement à privilégier la voie de la diplomatie écologique pour la compensation et à stopper ce projet d’exploitation du pétrole. Il est inadmissible qu’un gouvernement se donne à l'exploitation d’un nouveau gisement pétrolier. Pire certains de ces blocs se trouvent dans le parc des Virunga dans l’est du pays, une réserve naturelle protégée par l'UNESCO qui abrite les gorilles de montagnes "Espèces en voie de disparition”. L’exploitation du pétrole pollue les eaux et infertilité terre. A part le fait que ce projet va entraîner la destruction de la faune et la flore de ce patrimoine mondial aux espaces rares, elle plongera également les populations riveraines dans une souffrance proche de la misère; elles qui ne vivent que de l’agriculture. Ce serait un acte suicidaire que de polluer expressément l’air, la terre et l’eau d’une population qui vit quotidiennement les atrocités de la guerre depuis un quart de siècle. La peur est qu’il s’observe des contradictions dans l’approche écologique de ce projet dans le chef des autorités. Pour certains politiques moins soucieux de l'environnement “Le pays gagnerait plus en les exploitant qu'en les conservant non exploités” c'est ce qu'explique le député national Lucain Kasongo. Pour lui le pays gagnerait en conservant la nature d'un côté et l'exploitation du pétrole de l'autre côté. Une absurdité totale! La RDC est le deuxième poumons par lequel respire très difficilement notre planète. Il est inadmissible de laisser les autorités congolaises décider de ses forêts et réserves naturelles sans tenir compte des exigences de la crise climatique. Plusieurs Organisations écologistes ont déjà alerté sur ce projet d’exploitation du pétrole dans le parc des Virunga en vain. Le gouvernement s'entête. A deux mois du risque que des contrats soient signés, nous devons à tout prix empêcher ce projet. L’unique urgence actuelle est la transition énergétique. Disons tous non aux fossiles!252 sur 300 SignaturesCréée par Guellord M.
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Protégeons les 600 enfants de Pleyel (Saint-Denis) d’un échangeur autoroutier à 5 bretelles !Comme l’ont montré de récentes analyses d’AirParif, le groupe scolaire Pleyel - Anatole France est déjà exposé à des concentrations en dioxyde d’azote (NO2) qui dépassent le seuil de pollution recommandé par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Il n’est donc pas acceptable qu’un échangeur autoroutier à 5 bretelles emprisonne littéralement ce groupe scolaire, concentrant ainsi la majeure partie de la circulation au cœur du quartier Pleyel. Avec ce projet, ce sont entre 10 000 et 20 000 véhicules supplémentaires qui vont longer les façades des deux écoles. Dans son format actuel, l’échangeur augmentera donc la pollution de l’air, ainsi que la pollution sonore, mettant encore plus en danger la santé : - de 600 écoliers de Pleyel - des 70 très jeunes enfants, âgés de 3 mois à 3 ans, de la crèche du même quartier - des employés de ces établissements - de toutes les personnes habitant au cœur du quartier Pleyel. Pour faire valoir le droit des enfants de ce groupe scolaire à ne pas respirer un air extrêmement pollué, nous avons lancé en décembre 2021 une procédure juridique devant la Cour Européenne des Droits de l’Homme. Nous demandons avec cette pétition, au Président de la République Emmanuel Macron ainsi qu’au Ministre de la Transition Écologique et de la Cohésion des territoires Christophe Béchu, de porter une attention toute particulière aux alternatives portées par les parents d’élèves, les collectifs et les associations qui y travaillent depuis plus de trois ans. Ces projets alternatifs ne modifieront pas l’échangeur mais remettront la circulation là où elle a toujours été : en périphérie du quartier Pleyel. Ainsi ce sont tous les axes et les sens de circulation dans ce dernier qu’il faudra revoir afin d’impacter le moins possible le cœur du quartier Pleyel où se trouve ce groupe scolaire et où vivent des milliers de personnes. Par conséquent nous demandons l’installation de micro-capteurs AirParif dans la cour du groupe scolaire et sur ses façades extérieures ainsi que le déplacement de cette station AirParif, installée au fond de la cour, sans concertation avec les parents d’élèves, celle-ci étant éloignée de la pollution de l’air induite par l’échangeur. Elle doit être à l’intersection des deux boulevards (Bd Anatole France et Bd de la Libération) qui prennent en étau le groupe scolaire et qui sont directement raccordés à 3 des 5 bretelles de l’échangeur. Cette station et ces micro capteurs auront deux objectifs : rendre compte sur la plateforme Internet d’AirParif de l’évolution de la qualité de l’air au cœur du quartier Pleyel où se trouve ce groupe scolaire, et prendre d’urgence les mesures correctrices nécessaires si la qualité de l’air se dégradait (tel que nous l’anticipons suite à la mise en service de l’échangeur à 5 bretelles). En plus de ces modifications et de ce système de relevé de pollution, nous demandons la création d’un jardin public d’1,2 hectares, à côté de l’école maternelle du groupe scolaire. Il permettrait d’éloigner la circulation induite par le futur échangeur de l’A86 à Pleyel et de créer un grand îlot de fraîcheur remplaçant un axe routier comprenant 4 puis 6 voies de circulation. Malheureusement le cas des enfants du groupe scolaire à Pleyel n’est pas isolé. D’autres établissements scolaires, comme l’école Michel Servet à Lyon ou l’école Cours Julien à Marseille, pour ne prendre que deux exemples, dépassent également largement les recommandations de l’OMS. De plus, en 2019 l'État français a été condamné par la justice européenne pour ne pas protéger correctement ses citoyen.nes contre la pollution de l’air. En 2021, pour la même raison, le Conseil d’État a également condamné la France à payer une amende de 10 millions d’euros. Monsieur Macron et Monsieur Béchu, au nom de l’État français, et pour la santé des plus jeunes, doivent réagir ! Signez la pétition ! Pour en savoir plus, visitez https://bit.ly/3woazUB ou contactez la FCPE 93 : [email protected] Les organisations signataires : https://live.staticflickr.com/65535/52021344691_94893df339_z.png5 165 sur 6 000 SignaturesCréée par Collectif pour la qualité de l'air
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REFUSONS L'EXPLOITATION DU GAZ DE COUCHE EN LORRAINEPour tout projet il faut évaluer le rapport coût/bénéfice : ici, le bénéfice est trop mince (un gaz pas moins cher) pour un risque trop important sur les populations, leur santé, leurs économies et l’environnement. Nous demandons au gouvernement de refuser cette demande de concession. Le gouvernement est déjà hors délai pour rendre un avis, qui est à présent attendu avant le début de l'été, afin d'autoriser ou de refuser cette demande de concession. A l'heure où notre pays doit sortir de la dépendance aux énergies fossiles et respecter ses objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre, nous demandons au gouvernement de refuser ce projet. L'octroi de cette concession, serait un nouveau renoncement du gouvernement face à ses engagements environnementaux et une abdication face à la pression d’entreprises spéculatives. Signez la pétition pour demander au gouvernement de prendre ses responsabilités et nous montrer que son engagement en faveur de l'environnement n'est pas une mascarade électoraliste. Pour en savoir plus, retrouvez la lettre ouverte envoyée au gouvernement en janvier 2021 : https://bit.ly/3wlVZwz https://live.staticflickr.com/65535/51972299777_e600e951ef_z.png5 824 sur 6 000 SignaturesCréée par Anne S.
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Non à l'autoroute aérienne de Pressagny L'Orgueilleux !Pressagny L'Orgueilleux et ses alentours, c'est un très joli cadre, la seine d'un côté, la forêt de l'autre, et des oiseaux qui chantent. Oui, mais c'est aussi une autoroute d'avions légers, des dizaines de passages par jour dès qu'il fait beau, même pendant le confinement, émettant de longs vrombissements que ni les murs, ni les fenêtres/portes n'arrêtent. Des vibrations détectables et gênants alors même que l'avion est à plusieurs kilomètres. Un bruit énervant de plusieurs dizaines de secondes à plusieurs minutes par passage. Parfois, le même avion va, vient, revient, encore et encore, telle une mouche qui vous tourne autour. MOBILISONS NOUS POUR RÉDUIRE CETTE POLLUTION !!! MERCI POUR VOTRE CONTRIBUTION257 sur 300 SignaturesCréée par Pascal D.
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