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STOP à l'agrandissement de la carrière Bonnardel - Côte du Pin - St PerayNous habitants de la commune de St Peray avons été alerté par un projet d'extension de la carrière Bonnardel, située côte du Pin, par le biais du PLUIH dans lequel la carrière vise l'acquisition de la parcelle 0118 à Saint Péray. Il y a environ 2 ans, la mairie de St Peray a autorisé l'entreprise Bonnardel à utiliser une partie de la parcelle 0118 comme zone de sécurité. En effet, l'entreprise Bonnardel a exploité la parcelle 0117 sans prévoir de zone de sécurité obligatoire. De ce fait, la mairie de St Peray a accepté l'entreprise à utiliser une partie de la parcelle 0118 pour créer cette zone obligatoire. Aujourd'hui, une partie de cette zone de sécurité a été exploité sans autorisation. Si la carrière s'étend sur cette parcelle, la maison de Mme Bert le Mezec est directement menacée, puisqu'à 50m des abords. Or, cette maison a déjà de nombreuses fissures liées selon toute probabilité aux activités de la carrière. Depuis 34 ans d'exploitation de cette carrière, plusieurs maisons ont montré des problèmes de fissures dues aux tirs de mines et des travaux sont toujours en cours aujourd'hui pour pallier à ce problème. Une expertise des maisons situées à proximité de la carrière a été effectué par un huissier en 1991, avant l'ouverture de la carrière. Il n'en reste aucune trace. Le constat d'huissier n'a pas été communiqué aux riverains. Quand nous avons demandé à Mr Bonnardel cette expertise, en vue de demander réparation il nous a signifié que le document avait disparu. Nous n'avons pas été averties correctement des tirs de mines effectués très régulièrement comme l'oblige la règlementation. Nous constatons de nombreuses nuisances depuis des années, fissures sur les maisons, pollution sonore, poussière conséquente, etc. Aucun test sur l'impact de la carrière sur nos habitations n'a été correctement menés auprès des riverains. Enfin, les mesures de restauration de la carrière prévus dans les arrêtés préfectoraux sur les parties inexploitées ne semblent pas respectées : pas de plantations, de renaturation observées. Nous attendons un soutien de la part des élus de Saint-Peray, de la CCRC et des communes riveraines à la carrière Bonnardel à savoir Toulaud - Champis - Alboussière. Habitants de St Peray et des communes environnantes, nous avons jusqu'au 14 novembre 2025 pour empêcher la parcelle 0118, zone agricole boisée de de devenir zone de carrière ! Nous devons agir maintenant en signant cette pétition en ligne et en positionnant auprès du commissaire enquêteur de l'enquête publique en cours! Enquête publique en cours, jusqu'au 14 novembre 2025 - 17h, dans les différentes mairies de la Communauté de Communes Rhone-Crussol ou en ligne pour récolter vos avis sur le changement de PLUIH qui concerne l'agrandissement de la carrière Bonnardel de St Peray. https://www.registre-dematerialise.fr/6546/deroulement Mme Bert le Mezec Quartier Combettes 430 Chemin de Fauterie 07130 St Peray [email protected]583 sur 600 SignaturesCréée par Mireille B.
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Sortons des énergies fossiles lors de la COP 30 !!!Bonjour, les états continuent dans le tout fossile même si les énergies renouvelables se développent peu à peu. Il faut faire vite, nous n’avons plus le temps, nous sommes déjà en train de dépasser les 1,5 degrés de réchauffement et nous sommes sur une trajectoire de plus 4 degrés pour 2100. Il faut arrêter d’urgence les énergies fossiles responsables en grande partie du dérèglement climatique et donc de la fonte des glaciers, de la banquise, des inondations, des canicules, des tempêtes extrêmes, de la destruction de la biodiversité et plein d’autres catastrophes. Développons les énergies renouvelables en respectant la biodiversité ! Donc raser une forêt pour mettre des panneaux solaires, c’est non ! Ça n’a pas de sens. Demandons aux politiques et aux industriels de vraies mesures lors de cette COP 30. Sortons des énergies fossiles et remplaçons les par des énergies renouvelables. De l’énergie oui mais pas en détruisant notre avenir !!!34 sur 100 SignaturesCréée par Alexandre R.
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Non à la construction d’un 2ᵉ incinérateur. Protégeons notre santé et notre environnementNON à la construction d'un 2e incinérateur du Sourn : protégeons notre santé et notre environnement Sous le mot “extension” se cache en réalité la construction d’un 2ᵉ incinérateur, doublant ainsi les émissions polluantes. Les seuils sont mesurés à la sortie de chaque cheminée : deux cheminées = pollution multipliée par deux. Déjà, l’an passé, des dépassements de normes ont été relevés avec une seule cheminée. Avec deux, le risque est certain. Ce projet prévoit de passer de 25 000 à 60 000 tonnes de déchets brûlés par an, dont 68 % de déchets d’activités économiques (DAE), changeant la vocation initiale du site. Conséquences directes : • Plus de camions = plus de bruit, pollution, risques routiers. • Plus de fumées toxiques = particules fines, dioxines, métaux lourds. • Plus de nuisances sonores : broyeur à marteaux (85–105 dB), vibrations, fonctionnement continu 24h/24. • Plus de pollution = atteintes à l’air, aux sols, aux potagers et à la biodiversité. Les effets sur la santé sont connus et documentés : maladies respiratoires, cancers, troubles hormonaux, atteintes au développement des enfants. Même avec des filtres, aucun incinérateur n’est 100 % sûr. Ce 2ᵉ four fonctionnerait en continu à plus de 1 000 °C, jour et nuit, week-ends compris, générant fumées et bruit sans interruption. Le site, géré par une société privée, privilégiera la rentabilité plutôt que la santé publique. L’énergie produite serait surtout revendue à un industriel local (Lactalis), comme avec le premier four. Des alternatives existent : renforcer le tri, développer le compostage, réduire les déchets à la source. Et si une nouvelle unité est nécessaire, elle doit être implantée sur un autre territoire industriel, pour répartir équitablement les nuisances et éviter un cumul dangereux. Nous demandons : 1. Gel immédiat du projet de 2ᵉ incinérateur au Sourn. 2. Étude d’impact sanitaire indépendante avant toute décision. 3. Recherche et mise en œuvre d’alternatives durables à l’incinération massive. 📢 Signez la pétition pour dire NON à ce projet dangereux et OUI à un avenir plus sain et durable pour notre communauté. Votre voix compte : c’est ensemble que nous pouvons protéger notre santé, notre environnement et l’avenir de nos enfants.1 997 sur 2 000 SignaturesCréée par Stop au deuxième Four sur la zone Pontivy – Le Sourn
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❌ NON à la relocalisation de l’usine INOE à Carrières-sous-Poissy !🔥 Ce projet est une menace directe pour notre cadre de vie INOE est une société de traitement de déchets actuellement implantée à Vernouillet. Là-bas, les habitants témoignent de nuisances graves directement liées à son activité : • Incendies, • Odeurs nauséabondes, • Poussières de bois dans l’air, • Maladies respiratoires en hausse, • Dégradation du cadre de vie et de l’urbanisme local. Le projet à Carrières-sous-Poissy prévoit : • 5 unités de traitement et stockage de déchets bois, verts et plastiques, • Une station-service, • Des zones de broyage et de décomposition à l’air libre, • Une plateforme logistique routière à proximité immédiate de zones d’habitation. ⚠️ Une accumulation de risques déjà identifiés par l’État Selon les documents officiels publiés par la DRIEAT Île-de-France, la décision du 11 juillet 2025 impose à INOE une évaluation environnementale obligatoire, en raison de multiples réserves techniques et sanitaires. Ces réserves confirment ce que redoutent déjà les habitants : ➡️ ce projet est dangereux, mal encadré, et porteur de nuisances majeures. 🚨 Un projet absurde et destructeur à tous les niveaux : 1. Une catastrophe sanitaire Avec une ville en pleine croissance démographique (plus d’une naissance et demie par jour en 2025), il est irresponsable d’implanter une activité industrielle polluante à proximité immédiate d’habitations, d’écoles et d’équipements publics. Le risque sanitaire est réel et documenté. 2. Un contresens écologique majeur Le site envisagé est en bordure de Seine et du Parc du Peuple de l’Herbe, joyau écologique de 113 hectares financé par le Département. Comment justifier un tel projet destructeur à la porte même d’un espace naturel protégé ? 3. Un suicide économique et immobilier Le projet de « centralité » a fortement urbanisé la zone, avec des milliers de logements récents. L’implantation de l’usine INOE à cet endroit rendrait le secteur invivable et invendable, annihilant des années d’investissements publics et privés. L’arrivée du RER E, du Tram 13 et la construction d’un nouveau lycée à proximité sont autant d’opportunités qui seraient gâchées si le secteur devenait synonyme de pollution et de nuisances. ❗ Le choix de l’omission et de l’enfumage Nous dénonçons également l’absence totale de concertation publique sur ce dossier. Le Maire de Carrières-sous-Poissy, Eddie Aït, a tenté de minimiser – voire de nier – l’existence de ce projet. Ce n’est qu’après avoir été interpellé publiquement par des élus d’opposition qu’il a consenti à faire voter une simple motion symbolique, alors qu’une délibération contraignante aurait eu un poids juridique et politique bien supérieur. 📣 Nous exigeons : 1. L’abandon immédiat du projet d’implantation d’INOE sur le territoire de Carrières-sous-Poissy. 2. Un moratoire sur toute activité industrielle polluante au sein de l’Écopôle Seine Aval. 3. La publication de l’ensemble des documents d’étude et d’évaluation environnementale. 4. La tenue d’une concertation publique élargie, avec les habitants, les associations et les collectivités concernées. 📝 Cette pétition est adressée : • à M. Pierre Bédier, Président de l’EPAMSA (aménageur de l’Écopôle Seine Aval) • à M. Eddie Aït, Maire de Carrières-sous-Poissy et membre du Conseil d’administration de l’EPAMSA • à M. Frédéric Rose, Préfet des Yvelines 🚫 Carrières-sous-Poissy n’est pas une poubelle Nous avons déjà payé le prix fort avec la « mer des déchets » et les activités éco-curatives existantes (Incinérateur AZALYS, station d'épuration du SIAAP, déchetteries...) . Il est temps de dire STOP ! ➡️ Signez et partagez cette pétition pour protéger notre santé, notre environnement et l’avenir de cette boucle de Seine.3 187 sur 4 000 SignaturesCréée par RSNE R.
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Non au projet de doublement de l'incinérateur de Nantes de la Prairie de MauvesINCINÉRATEUR XXL À NANTES 🔴 Des centaines de camions supplémentaires, avec la surpopulation touristique l’été de la côte vendéenne et la presqu’île Guérandaise 🔴 Un danger pour notre santé et celle de nos enfants : particules fines, métaux lourds, dioxines, PFAS… 🔴 Un risque pour la biodiversité et le futur « éco-quartier » de 2700 logements de Doulon-Gohards 🔴 Un projet imposé, un débat biaisé, sans réelle concertation Vers un fiasco financier et écologique porté par les élus Nantais ? ❌ Le système Tri’Sac fierté nantaise depuis 2013 (en cours de démantèlement) a coûté plusieurs dizaine de millions d’€, sans jamais avoir fonctionné correctement. ❌ Une aberration écologique défendue par ceux-là mêmes qui se disent écologistes et qui ont laissé les ressourceries existantes fermer. ❌ Un projet annoncé à 270 Millions en 2022 , 310 Millions avec les coûts annexes, combien demain ? Des Alternatives Existent : ► Le développement du tri des déchets à la source doit être une priorité. ► Plus de ressourceries, c’est moins de déchets ► La centrale de Cordemais (près de Nantes) pourrait accueillir une unité de valorisation énergétique hors zone urbaine 📢 REJOIGNEZ-NOUS, FAITES ENTENDRE VOTRE VOIX Une réunion publique est prévue début juillet 2025, et l'enquête publique en fin d'année 2025. Il est urgent de se mobiliser ! Nous demandons : - L’abandon du projet de doublement de l’incinérateur de la Prairie de Mauves - La prolongation de la durée de vie de l’incinérateur actuel pour une dizaine d’années (scenario 1 du dossier de la concertation préalable) : elle permet de temporiser et de mettre à profit ce temps pour : • ne pas lancer un projet surdimensionné (tout axé sur l’incinération) et engager l’avenir pour 40 ans ; • mettre en œuvre une politique audacieuse de réduction des déchets à incinérer : tri des déchets à la source, ressourceries. L’argent public doit y être orienté plutôt que de privilégier l’incinération ; • évaluer la baisse du volume des déchets : tri des biodéchets, abandon du système Tri’Sac,… ; • attendre les conclusions du point d’étape du PRPGD (Plan Régional de Prévention et de Gestion des Déchets) ; • connaître les conclusions des études sur les PFAS (polluants éternels) générés par l’incinération. - Une politique locale des traitements des déchets de la part de tous les acteurs du projet : la construction d’incinérateurs plus petits, mieux maîtrisables, moins dangereux au plus près des lieux de production. La centrale de Cordemais (près de Nantes) pourrait accueillir une unité de valorisation énergétique hors zone urbaine.2 108 sur 3 000 SignaturesCréée par Pascal P.
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La centrale ou la crèche ... il faut choisir !Notre Maire s'apprête à transformer un bourg paisible dans un environnement agricole à coup de bétonnières... Les nuisances causées par une autre installation de ce groupe implanté à Caen la Mer sont bien connues, alors même qu'elle est beaucoup plus éloignée des habitations ! Alors pourquoi vouloir coller cette installation à proximité immédiate d'enfants et d'habitants et exposer leur santé et leur bien être alors que des terrains plus éloignés sont disponibles ? Le permis de construire étant déjà accordé, les travaux peuvent débuter à tout moment, mais il est encore temps de leur faire entendre raison ! Soutenez notre pétition Contre la Centrale à Béton de Thue et Mue !38 sur 100 SignaturesCréée par Association Thue M Nature
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Pour la désinstallation immédiate du terminal méthanier du HavrePoussé par TotalEnergies, le terminal méthanier flottant du Havre a été installé en septembre 2023, dans l’urgence, sans pour autant répondre à un réel enjeu de sécurité énergétique (1,2). Au-delà des risques et des émissions considérables de gaz à effet de serre, cette installation renforce notre dépendance aux énergies fossiles, dont nous devons pourtant nous extraire progressivement. Signez la pétition pour demander la désinstallation immédiate du terminal méthanier du Havre ! 👉 Une installation conduite sous l’influence de TotalEnergies, dans l’urgence, et sans évaluation environnementale Dans son rapport de juin 2023, Greenpeace indique que TotalEnergies a influencé l'Etat afin d'augmenter les importations de GNL et pousser l'installation d'une nouvelle infrastructure. La crise liée à la guerre en Ukraine n’était qu’un prétexte, car, paradoxalement en 2022 TotalEnergies continue ses importations de GNL provenant de Russie (1,3). Le projet de terminal méthanier a été intégré dans le cadre de la loi « pouvoir d’achat » votée le 3 août 2022 et promulguée le 16 août 2022 en procédure accélérée. En raison de son classement d’intérêt public, le terminal méthanier flottant a été installé, sans enquête publique, par décision administrative accélérée et sans évaluation environnementale. 👉 Des risques industriels Ce terminal méthanier situé derrière l'écluse François 1er, à proximité du quartier des Neiges et des sites SEVESO, présente, en cas de fuite de méthane voire d’explosion, un danger imminent pour les résidents, usagers et salariés de l’agglomération Havre Seine Métropole. Une plainte au TA de Rouen est déposée sur ce point. 👉 Une infrastructure loin d’être indispensable, et contraire aux objectifs européens Du point de vue de la sécurité énergétique de la France, on constate que les installations existantes ne souffrent pas de pénurie et que les réserves sont suffisantes sans l’apport du terminal méthanier du Havre (2). Il est donc légitime de s’interroger sur les raisons de ce projet. Cette question se pose d’autant plus que le taux d’utilisation du terminal n’a pas dépassé 37% (4). À ces éléments s’ajoute le cap pris au niveau européen visant une réduction de la consommation de gaz de 30% d’ici 2030. Par ailleurs, en France, celle-ci a baissé de 11% entre 2022 et 2023 (niveau le plus bas depuis au moins 20 ans) et les importations de GNL ont diminué de 15% durant cette même période (1). 👉 Un impact carbone lourd Si le GNL est souvent vanté comme une alternative aux autres énergies fossiles, il contient principalement du méthane, un gaz à effet de serre 84 fois plus puissant que le CO2 sur vingt ans. Une étude impliquant la NASA, Harvard et Duke a montré qu'un taux de fuite de seulement 0,2 % pourrait rendre le GNL plus dommageable pour le climat que le charbon (5). Par un tour de passe-passe, le terminal méthanier considéré comme une usine "à quai" est régi par le code maritime. Il échappe ainsi à la réglementation des installations classées pour l'environnement (ICPE), qui impose des quotas de CO2 aux infrastructures terrestres. Or, l'injection prévue au Havre de 5 milliards de m3 de GNL (par an) générera, sur le site, environ 200 000 tonnes d'équivalent CO2 (6). Sur cinq ans d'exploitation, cela représenterait un million de tonnes, équivalent aux émissions territoriales moyennes de 45 000 français·es. De plus, l’approvisionnement par liquéfaction du gaz en GNL (comprenant son transport maritime et sa regazéification) est plus énergivore et émet plus du double de gaz à effet de serre que la livraison par gazoduc international. 👉 Pendant ce temps-là, l’industrie pétro-gazière continue de s’enrichir Alors que 2023 a été une année marquée par des records de chaleur touchant 12 millions de précaires énergétiques en France et des factures d'énergie en hausse pour de nombreux ménages, TotalEnergies a accumulé un bénéfice net record de près de 20 milliards d'euros. Malgré ses engagements dans les énergies renouvelables, l'entreprise a alloué trois fois plus d'argent aux actionnaires qu'aux investissements "bas carbone" (7). L’importation de plus de GNL, justifiée pour garantir la sécurité énergétique, semble en réalité avoir favorisé l’augmentation des marges de TotalEnergies au détriment de la sécurité, de la santé des Havrais et de la lutte contre le réchauffement climatique. ❌ Pour toutes ces raisons, nous demandons à Emmanuel Macron et à ses ministres de s’engager en faveur d'une désinstallation immédiate du terminal méthanier. Au-delà des problèmes que pose ce terminal méthanier à l’échelle locale, il est l’expression d’une politique énergétique absurde et dangereuse. Signez cette pétition aujourd’hui et partagez-la autour de vous 🙏 Références 1) « Terminal méthanier flottant du Havre : symbole d’une politique climatique et énergétique à la dérive » Rapport GreenPeace; Juin 2023 2) « Au Havre, l’installation d’un nouveau terminal méthanier repose sur un mensonge d’État» Pierre Leibovici chez Disclose; Juin 2023. 3) « TotalEnergies inonde la France de gaz russe » Mickaël Correia chez Mediapart; Février 2023. 4) Ce taux a été calculé entre décembre 2023 et Mars 2024. 5) Gordon, D., Reuland, F., Jacob, D. J., Worden, J. R., Shindell, D., & Dyson, M. (2023). Evaluating net life-cycle greenhouse gas emissions intensities from gas and coal at varying methane leakage rates. Environmental Research Letters, 18(8), 084008 6) « CO2 et paradis fiscaux, la face cachée du terminal méthanier flottant du Havre » Vincent Rondreux (Le Poulpe) chez Mediapart; Février 2023. 7) « 21,4 milliards de dollars : les profits records de Total en 2023» En bref-Énergie, Reporterre; Février 2023.20 254 sur 25 000 SignaturesCréée par Collectif Climat le Havre
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TOUJOURS NON AUX FORAGES PÉTROLIERS DANS LE SUD SEINE-ET-MARNE COMME AILLEURSLa société Bridge Énergies (ex Bridgeoil) exploite depuis 2012 une concession d’hydrocarbures à Nonville, près de la forêt de Fontainebleau. À trois reprises, en 2017, 2019 et 2020, elle a demandé d’étendre sa concession aux communes voisines*. Peine perdue à l’époque grâce à la mobilisation d’Environnement Bocage Gâtinais (EBG), des élus, de la population et de la régie Eau de Paris qui s’inquiétait des risques de pollution de l’eau potable distribuée aux habitants locaux et à quelque 180 000 Parisiens. Hélas, le 27 décembre 2023, Bridge Énergies a remporté la mise : la superficie de sa concession peut être multipliée par cinq ! Ainsi en a décidé en octobre 2023 le tribunal administratif de Poitiers saisi par le Conseil d’État et cette décision a été entérinée par le gouvernement. EBG, affiliée à France Nature Environnement Seine-et-Marne, continue de s’opposer aux projets de Bridge Énergies potentiellement dangereux pour la nappe phréatique et pour les habitants qui subissent des odeurs nauséabondes et des nuisances sonores lors des forages. Par ailleurs, ce projet engendrera inévitablement une augmentation des émissions des gaz à effet de serre, aggravant encore plus le réchauffement climatique. Notre association soutient fermement la démarche d’Eau de Paris qui veut préserver la qualité de l’eau et vous demande de marquer votre solidarité en signant notre pétition qui sera transmise à la préfecture de Seine-et-Marne et aux services de l’État. Mise à jour : Le 21 juin 2025, nous avons créé le collectif Stop pétrole Île-de-France pour rassembler toutes les associations qui oeuvraient depuis déjà des mois aux côtés d'EBG. Stop pétrole Île-de-France est une coalition d’acteurs engagés contre le projet d’extension du forage pétrolier de Nonville (77), et contre l’ouverture de tout nouveau forage pétrolier sur le territoire français. Elle est composée des structures suivantes et de leurs représentant.es : Action Justice Climat Paris Coordination eau Île-de-France Environnement Bocage Gâtinais France Nature Environnement Île-de-France France Nature Environnement Seine-et-Marne Greenpeace France Greenpeace Île-de-France Les Amis de la Terre France Les Amis de la Terre Paris Notre Affaire À Tous Réseau Action Climat -------- * Nonville, Darvault, La Genevraye, Nanteau-sur-Lunain, Treuzy-Levelay, Villemaréchal, Villemer… Voici la QR code à imprimer pour relayer la pétition : https://www.greenvoice.fr/assets/uploads/2024/06/qr-code-agir-greenvoice.png43 052 sur 45 000 SignaturesCréée par Environnement Bocage Gâtinais et le Collectif Stop Pétrole Île-de-France
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NON aux nouveaux puits de pétrole sur le bassin d'Arcachon !🔥 Au même endroit, lors de l'été 2022, les forêts de la Teste de Buch et alentours ont été dévastées par d'immenses incendies. Si le changement climatique n’est pas une cause directe d’incendie, il influe sur les conditions d’éclosion et de propagation des incendies. Ainsi le changement climatique et l'exploitation des hydrocarbures sont en grande partie responsables de ces drames. Les habitants l'ont vécu comme un traumatisme et refusent de rendre leur territoire complice. 🛢️ Malgré les injonctions du GIEC à refuser tout nouveau projet d'exploitation d'énergies fossiles et la Loi de 2017 interdisant la production d'hydrocarbures en France à partir de 2040 et l'ouverture de nouveaux projets d'ici là, la compagnie pétrolière Vermillion prévoit l'ouverture de 8 nouveaux puits de pétrole dans la forêt de la Teste, derrière la dune du Pyla. Ce projet engendrera inévitablement une augmentation des émissions des Gaz à Effet de Serre (GES), contribuant ainsi au réchauffement climatique qui est déjà une réalité alarmante. Selon les données du GIEC, les activités humaines ont déjà provoqué environ 1,0°C d'élévation globale des températures depuis l'époque préindustrielle. Les accords de Paris prévoient de maintenir la température moyenne globale en dessous de 1,5°C. Le GIEC le répète : NON A TOUT NOUVEAU PROJET DE PRODUCTION D'ENERGIES FOSSILES ! Ces matières doivent rester dans nos sols pour espérer respecter les Accords de Paris sur le Climat. ✋ Certains voient dans ce projet un moyen pour la France de gérer sa propre production de pétrole et de contrôler les risques industriels localement. Mais il est important de souligner que ce projet n'influencera en rien le prix du pétrole en France car il est indexé sur le marché mondial. De plus, il ne modifiera pas non plus de manière significative l'indépendance énergétique de la France. En effet, l'ensemble de la production de pétrole sur le sol français ne représente qu'1% de la consommation française en pétrole. Rappelons une nouvelle fois que nous devons interdire tout nouveau projet de production d'hydrocarbures ici et ailleurs. 🌍 Dans ce contexte critique pour notre planète et nos générations futures, il est impensable que nous permettions un tel projet. Le 20 novembre 2023, la Commissaire Enquêtrice sur le dossier a émis un avis favorable à l'exploitation de ces nouveaux puits en ignorant les retours de la consultation publique qui comprenait davantage d'avis négatifs que positifs. Une consultation publique peu diffusée en regard de l'enjeu sous-jacent et du nombre d'habitants locaux (seulement une centaine de participations) Aujourd'hui, seul le préfet de Gironde Etienne Guyot a légalement la possibilité d'empêcher ce projet écocidaire. Nous demandons donc au Préfet d'user de ses pouvoirs pour empêcher cette exploitation destructrice. Liste des associations / collectifs signataires : Écocitoyens du Bassin d'Arcachon, Greenpeace Bordeaux, STOP Total Bordeaux, XR Bordeaux.51 369 sur 75 000 SignaturesCréée par Stop Pétrole Bassin d'Arcachon
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Non à l’extension de la Mine de Glomel en plein cœur de la Bretagne !⚠️ Cette extension aggraverait des pollutions et nuisances qui sont déjà trop importantes ⚠️ 💧 Sur la ressource en eau : o Le Centre Bretagne est le château d’eau de la Bretagne. La carrière, implantée en tête des bassins versants du Blavet et de l’Ellé, a déjà entraîné la destruction de plus de 40 hectares de zones humides et de plusieurs cours d’eau. L’extension de la fosse 4 aboutirait à la destruction des zones humides de Kerroué. o Aucune des fosses existantes n’est étanchéifiée, ce qui cause un risque de pollution des eaux souterraines par infiltration, idem pour les eaux de pluie pénétrant dans les verses. Il en sera de même pour la fosse 4 en projet. ☠️ Sur la santé, dont nous, habitant-es aux alentours de la Mine, subissons déjà les conséquences : o Pollution de l’air avec les poussières générées par l’usine, les verses de stériles et les résidus de traitement. o Le bruit subi (tirs de mines, travail de la roche, sirènes et passage de camions) dépasse régulièrement les niveaux autorisés, aucune étude acoustique indépendante n’a été menée. 🌱 Sur la biodiversité : o La destruction de dizaines d'hectares de milieux naturels impacte fortement les conditions de vie des espèces et leur circulation (la carrière constitue déjà une barrière étanche qui rompt les corridors écologiques) ; ⛰️ Sur les paysages : o Si la fosse 4 se réalisait, deux verses atteindraient 300m, autant que les points culminants du Morbihan et des Côtes d'Armor situés à proximité (Minez Du et Calotte St Joseph) ; 🌡️ Sur le climat : o il faut beaucoup d’énergies, fossiles en particulier, pour extraire, raffiner, transporter les minerais. Continuer à étendre et faire durer cette exploitation contribue à l’augmentation des émissions de gaz à effet de serre et au dérèglement climatique. Pour justifier son activité, IMERYS invoque le maintien et la création d’emploi. Ce chantage à l’emploi démontre une vision court-termiste de l’économie locale et pourrait laisser penser qu’écologie et emplois s’opposent. Il est en réalité temps de penser la transition écologique et sociale ensemble, et sur le long-terme : pour des emplois aujourd’hui ET demain, sur une planète vivable et pourvoyeuse de terres agricoles et d’eau saine pour toutes et tous, nous devons refuser l’extension nocive de la mine de Glomel. 1️⃣ Signez cette pétition pour aider à stopper l’extension de ce projet destructeur ! 2️⃣ Dans le cadre de l'enquête publique sur l'autorisation environnementale le vendredi 15 décembre nous avons déposé la pétition avec le nombre de signataires (plus de 1400) à la commissaire enquêtrice qui rendra son rapport dans la deuxième quinzaine de février. D'ici là la mobilisation continue ! Relayez cette pétition autour de vous ! 3️⃣ Partagez la vidéo https://www.youtube.com/watch?v=McyZ2jUv1Wo Bascule Argoat, Douar Bev, Refrac'terres SIGNATAIRES : Bascule Argoat Blavet 2050 Collectif Riverains St Bonnet de Rochefort Douar Bev Eau & rivières Bretagne FNE Bretagne LPO Bretagne OzACTES Refrac'terres Réseau Cohérence Soulèvements de la terre Quimperlé Stop Mine 03 Stop mine 23 Terres de luttes VIVARMOR Nature XR Kreiz Breizh7 022 sur 8 000 SignaturesCréée par Bascule Argoat, Douar Bev, Refrac'terres
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NON AU PROJET DE SABLIÈRE À LORETZ D’ARGENTONNous sommes opposés à ce projet pour plusieurs raisons : - Suppression de terres agricoles et dégradation de l’environnement. - Hausse du trafic routier : passages très fréquents de poids lourds, 44 T, dans les bourgs avec détérioration des routes et mise en danger des piétons, en particulier des enfants (proximité d'écoles). Passage de camions prévus à la sortie d'un parc. - Détérioration de la nappe phréatique : mise à ciel ouvert de la nappe phréatique, modification du ruissellement souterrain qui alimente l'Argenton, avec risque d'assèchement des terrains voisins de certains puits. - Enfouissement de matériaux inertes : cailloux, briques, déchets du BTP. - Partie sud du projet située en zone inondable. - Nuisances sonores sur le site et sur les routes empruntées par les camions. - Poussières impactant les riverains et mettant à mal les terres labellisées bio d'un exploitant agricole. - Remise en cause de camping d'Argenton l'Eglise en cours de classement Eco Tourisme. - Baisse de la valeur immobilière des terrains, maisons de Loretz d'Argenton. Une enquête publique va s’ouvrir : il n’est donc pas trop tard pour influer sur le cours des choses et nous positionner contre ce mauvais projet. Notre mobilisation peut faire la différence. Signez cette pétition dès maintenant. Faites la connaître et partagez la avec votre entourage et vos réseaux. Pour plus de précisions sur le projet ou sur l’association La Vallée de l’Argenton en Danger (VAD), à l’origine de cette pétition. Contact : [email protected] Facebook : Vallée de l'Argenton en Danger2 251 sur 3 000 SignaturesCréée par La Vallée de l’Argenton en Danger
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POUR LE RETRAIT DE LA LÉGION D’HONNEUR AU PDG DE TOTALNous, membres d’Extinction Rebellion Bordeaux et des collectifs signataires, sommes scandalisé-es par la remise de cette distinction et demandons que la légion d’honneur remise à M. Pouyanné lui soit retirée. Cette distinction peut en effet être retirée pour “avoir commis des actes contraires à l’honneur ou de nature à nuire aux intérêts de la France”. Et à travers l’exercice de sa fonction, son obstination à poursuivre ses projets climaticides et ses prises de paroles qualifiées de greenwashing, M. Pouyanné nuit clairement aux intérêts de la France (et du monde), pourquoi ? - Parce que le GIEC déclare dans son sixième rapport du 20 mars 2023, que «les politiques actuelles en œuvre nous mènent à un réchauffement estimé à 3,2° en 2100 et que cela signifierait un monde invivable dans de nombreuses régions et pour beaucoup d’espèces (1); - Parce que le Haut Conseil pour le Climat vient d’épingler la France pour son retard en matière d’adaptation à la hausse des températures et sa lenteur dans le rythme de baisse des émissions de gaz à effet de serre (2); - Parce que l’Agence Internationale de l’Énergie ne cesse de répéter qu’AUCUN NOUVEAU PROJET D’EXTRACTION D’ÉNERGIES FOSSILES NE DOIT ÊTRE CONSTRUIT; - Parce que que de nombreux scientifiques et experts du GIEC ont dénoncé « le développement par TotalEnergies de nouveaux projets fossiles et appelé les actionnaires à rejeter cette stratégie climatique »; (3) - Parce que le méga-projet pétrolier de TotalEnergies, EACOP, est une “aberration environnementale”(4), « fondamentalement incompatible avec l’urgence de limiter le réchauffement climatique à 1,5°et qu’il mettra en danger des espèces vulnérables; - Parce que 90% de la production de TotalEnergies est de l'énergie fossile, qu’elle est donc l’une des plus grosses contributrices aux émissions de GES en Europe, et que l’industrie fossile est responsable de 86% des émissions de CO2 sur la dernière décennie; TotalEnergies poursuit sans relâche, ses projets écocides ! M. le Président de la République, retirez la légion d’Honneur à M. Pouyanné, il en est de votre responsabilité. Ce serait là un geste fort adressé à M. Pouyanné ainsi qu’aux autres patrons écocidaires pour dire notre demande impérieuse de stopper tout projet climaticide et écocidaire, urgemment. A toi, la citoyenne ou le citoyen choqué-e par ce non-sens, signe dès maintenant cette pétition, car le temps presse. Dans quelques mois aura lieu la COP 28, qui permettra de porter la question de la responsabilité des énergies fossiles dans le chaos climatique. Partage massivement cette pétition pour être entendu-e et faire pression sur le gouvernement. Associations cosignataires : - Extinction Rébellion France - Stop Total - Résistance Climatique -Le bruit qui court (1) https://datascientest.com/rapport-du-giec-ce-quil-faut-retenir-des-nouvelles-donnees-climatiques (2) https://www.hautconseilclimat.fr/wp-content/uploads/2023/06/Communique-de-presse-Rapport-annuel-HCC-2023.pdf (3) https://www.novethic.fr/actualite/environnement/climat/isr-rse/totalenergies-et-allegations-de-neutralie-carbone-la-plainte-deposee-pour-greenwashing-jugee-recevable-151521.html (4) https://www.amisdelaterre.org/eacop-voie-desastre-enquete-inedite-projet-total-tanzanie13 828 sur 15 000 SignaturesCréée par Extinction Rébellion Bordeaux










