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Greenpeace Narbonne et l'Association La Sagne contre l'artificialisation des sols à GruissanLa Mairie de Gruisssan porte le projet d’une ZAC visant à créer 750 logements sur 43 hectares d’une mosaïque de milieux naturels, de terres agricoles, jardins potagers. L’objectif principal de cet aménagement est de répondre au plan local d’habitat du Grand Narbonne afin de combler son déficit en logements sociaux. L’association SAGNE lutte depuis 2016 contre ce projet surdimensionné. Un recours a été déposé auprès du tribunal pour une absence d’alternative et non respect de la séquence ERC (Eviter, Réduire, Compenser). De nombreuses associations ont rejoint la lutte : Greenpeace Narbonne, Terres de lutte, Reporterre, Sites et Monuments (2) Greenpeace France / Groupe local de Narbonne | Narbonne | Facebook La carte des luttes - Projet d'aménagement (gogocarto.fr) Ce projet immobilier est en contradiction avec la loi “climat et résilience” et va à l’encontre des enjeux environnementaux futurs. 👉 Aucune alternative proposée : création de logements “dans les dents creuses”, rénovation, réduction de la part de résidences secondaires. Cet aménagement se situe dans une zone très basse qui est sujette à terme à la montée des eaux marines. Éav&t — Vivre avec le risque<br>La submersion marine à Gruissan (archi.fr) 👉 Des avis majoritairement défavorables suite à l’enquête publique sur la modification du PLU et la concertation publique 👉 destruction des espaces nourriciers utilisés par les habitants 👉 destruction de plus de 30 espèces protégées Le Conseil National de la Protection de la Nature (CNPN) composé d’experts scientifiques vient de dénoncer le projet à l’unanimité. Notre lutte pour la préservation des espaces naturels concerne l'avenir de tous, exigeons des solutions alternatives Votre soutien est indispensable, manifestez le en signant cette pétition !182 of 1,500 SignaturesCreated by Greenpeace N.
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Où sont les 30 000 points d’eau potable prévus par la loi ?La pollution plastique est un fléau environnemental et sanitaire majeur, due en partie au recours irraisonné à la bouteille plastique, premier déchet plastique à usage unique retrouvé sur les plages en Europe.(2) C’est bien face à cette urgence, que la loi AGEC a décrété un objectif de zéro emballage plastique à usage unique en 2040 et une réduction de 50% des bouteilles en plastique en 2030 ! Vous avez une responsabilité majeure dans le succès ou l’échec de cet objectif car le développement des points d’eau est l’une des mesures phares prévues par la loi. Nous, associations de protection de l’environnement, de consommateurs, entreprises engagées, parlementaires, scientifiques, citoyens, acteurs publics et entreprises engagées, nous vous interpellons pour vous demander la mise en place avant l’été 2023 de ces points d'eau et l’information des visiteurs via une signalétique visible. Plus largement, la bouteille plastique constitue une aberration à plusieurs titres : - 15 milliards de bouteilles plastiques sont vendues en France par an - Fabriquée à partir de pétrole, la bouteille plastique est émettrice de gaz à effets de serre sur tout son cycle de vie - Des études évoquent 3 litres d’eau pour la fabrication d’une seule bouteille d’eau ! L’eau embouteillée contribue ainsi à assécher les nappes phréatiques. - Les bouteilles en plastique sont contaminées par des microplastiques, qui constituent un risque sanitaire. - Le coût de l'eau vendue en bouteille plastique est prohibitif dans les lieux accueillant du public et inadmissible, puisque l’accès gratuit à l’eau potable est obligatoire. Pour l’exemple, en gare, le prix moyen est de 2 euros à 2,50 euros pour une bouteille de 50 cl d’eau, soit plus de 8 euros pour une famille de 4 personnes. Selon les estimations du Ministère de la transition écologique, près de 30 000 points d’eau devraient être ouverts en France dans des lieux de forte affluence, notamment vos établissements. Or, force est de constater que vous n’êtes pas au rendez-vous. Nous vous rappelons que des sanctions(1) sont prévues en cas de non respect de la loi et que la complaisance par rapport à des difficultés techniques souvent largement exagérées(3), ne pourra pas durer. A l’approche de l’été, qui risque d’être à nouveau très chaud du fait du dérèglement climatique, nous vous demandons d’appliquer enfin la loi et de permettre aux millions de personnes qui passent par vos établissements de pouvoir s’hydrater facilement, sans recourir à la bouteille plastique onéreuse et polluante. Ces points d’eau devront être pérennisés et valorisés pour accompagner durablement cette transition nécessaire. Signez et partagez cette pétition pour demander aux établissements accueillant du public d’ouvrir et de signaler les points d’eau prévus par la loi avant l’été 2023. *** (1) Article L541-15-10 - Code de l'environnement https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000043974900, Article 77 - LOI n° 2020-105 du 10 février 2020 relative à la lutte contre le gaspillage et à l'économie circulaire https://www.legifrance.gouv.fr/loda/article_lc/JORFARTI000041553842 et décret n° 2020-1724 https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000042753962 Article D541-340 - Code de l'environnement https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000042883671 Article L171-8 - Code de l'environnement https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000038846886 (2) selon l’étude d’impact de la commission européenne (3) Reporterre, Fabienne Loiseau, 22/02/2023 : https://reporterre.net/Gares-et-metros-peinent-a-installer-des-fontaines-a-eau *** Premiers signataires : Surfrider Foundation Europe, Zero Waste France, Biocoop, CLCV (Association nationale de consommateurs et usagers), Arthur Le Vaillant (navigateur), Stephane Le Diraison (navigateur), Angèle Préville (sénatrice), Dorothée Moisan (journaliste), Capucine Dupuy (autrice), Catherine Chabaud (député européenne), Nelly Pons (auteure), Nathalie Gontard (scientifique), Fédération française de voile, France Nature Environnement, Ma Petite Planète, Label Protection des Océans, Réseau Vrac, Réseau Consigne, Association Water-Map, Objectif Zéro Plastique, Orléans Zéro Plastique, Circulab, M. & Mme Recyclage, La Fresque du Plastique, Wings of the Ocean, MerTerre, Swim for Change, World Cleanup Day, Collectif Eau 88, Coordination EAU Ile-de-France, OceanAsCommon, In Off Plastic, Cantine Sans Plastique, Waves Of Change, Eau de Paris, UAE (L'Union des professionnels du traitement de l'eau), Castalie, Ekō, Behring, HOALI, Twyd, Kanalien, Altereo, SMICVAL, Nathalie Gontard, Expédition Med, Brita France, Fondation Bye Bye Plastic, Plastic Attack France, Weetulip, Solable / LaVie14,127 of 15,000 SignaturesCreated by No Plastic In My Sea
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Non au muselage de notre association de défense de l'eauLa préfecture a donc choisi de mettre à mal notre liberté d'expression en nous retirant des subventions, et également en nous excluant de tous les comités de gestion de l'eau auxquels nous participions jusqu'à présent et dans lesquels nous faisions entendre une voix déjà minoritaire en faveur de l'eau potable et des milieux aquatiques. Ce qui nous est en fait reproché, c'est notre position contre des projets de méga-bassines (immenses réserves d'eau à usage agricole, pompées dans les nappes phréatiques surexploitées). En effet, nous estimons qu'il doit y avoir un débat démocratique sur ce sujet concernant tout le monde. Plusieurs recours gagnés contre ces projets, montrent d'ailleurs que la controverse est vive ¹. C'est également attesté par la position de plus en plus fréquente des scientifiques à l'encontre de ces projets ². Etant donnée notre mission sociale et notre expertise sur le sujet ³, il est aussi du devoir de l’APIEEE d’alerter la population et les pouvoirs publics lorsque nous identifions des projets qui menacent la ressource en eau de notre territoire. Par ailleurs, cette sanction est particulièrement injuste car la subvention retirée est une subvention Fonjep (Jeunesse et Education Populaire) qui nous est accordée pour faire des animations nature auprès des enfants ou d'autres publics, du territoire, ce que nous faisons avec zèle : une centaine d'animations et plus de 1500 personnes sensibilisées en 2022. QUE DEMANDONS-NOUS ? Nous demandons que ces sanctions soient levées ce qui permettrait : - de remettre une pluralité d'opinion dans les comités de gestion de l'eau et de conforter la liberté d'expression - de continuer à lutter pour l'eau et le vivant - de sauver un emploi (dans un bassin d'emploi sinistré classé en ZRR ou Zone de Revitalisation Rurale) - de continuer nos animations nature dans une région où l'offre est rare IL Y A URGENCE Cette sanction menace directement la survie de notre association. Ce type d’actions effectuées pour museler les associations d’intérêt général est inacceptable. Signez notre pétition pour afficher votre soutien et demander la levée de ces sanctions. En attendant, pour nous aider financièrement et participer au maintien d’une partie de nos missions, vous pouvez aussi nous faire un don ici : https://www.helloasso.com/associations/apieee/collectes/suppression-de-subvention-pour-cause-de-militantisme --- ¹ https://www.ne17.fr/annulation-rs-boutonne ² https://www.ouest-france.fr/nouvelle-aquitaine/mauze-sur-le-mignon-79210/pour-florence-habets-multiplier-les-bassines-est-une-mal-adaptation-au-changement-climatique-c0a562ac-8f2a-11ed-af4b-47da76a71818 ³ L’association APIEEE a pour missions : - l’étude et la protection des nappes d’eau naturelle de tous types et de leur environnement, cours d’eau de tous type et leur environnement, tant sur les notions de quantité et de qualité ; - la promotion d’une politique de l’eau cohérente, soucieuse des équilibres naturels et de l’intérêt général ; - la formation et l’information des adhérents et du public intéressé par les problématiques d’eau et de son environnement ; - l’initiation et l’éducation à l’environnement et aux sciences de la nature ; - l'examen de la pertinence économique et sociale de projets utilisant des deniers publics ou non, et qui concerne directement ou indirectement les domaines de l’eau, de l’environnement, de l’aménagement du territoire et de l’urbanisme, susceptibles de porter atteinte aux intérêts défendus par l’APIEEE.6,063 of 7,000 SignaturesCreated by Association pour la Protection, l’Information et l’Etude de l’eau et de son environnement (APIEEE)
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STOP CROISIERES GRANDE RADE DE TOULONA quai, un tel mastodonte émet autant de dioxyde d'azote et de particules fines que 30.000 voitures roulant à 30 km/heure et autant d'oxyde de soufre que plusieurs millions de voitures diesel. Il consomme 8 à 10 fois plus de carburant qu'un ferry. Autoriser 100 de ces paquebots géants à faire escale équivaut à rajouter 800 à 1.000 escales de ferry aux 1.200 déjà programmées à Toulon. Mais cette fois à La Seyne-sur-Mer. Sur un quai qui n'est même pas électrifié. Le centre de Toulon et les quartiers adjacents au port sont déjà asphyxiés par les ferries et le flux des véhicules embarquant et débarquant. Un objet laissé sur le balcon s’y recouvre de suie en 24h. Les particules que contiennent les fumées sont responsables de maladies respiratoires. Nous ne pouvons pas laisser cette situation empirer ni s’étendre à La Seyne-sur-Mer. Les citoyens seront bientôt soumis à une zone à faible émission (ZFE) en ville. Mais quel sens cela a-t-il si, juste à côté, la pollution explose ? L’électrification des quais, entreprise par la municipalité après des années de réclamations, ne résoudra pas tout, loin s’en faut : les navires trop anciens ne sont pas équipés pour se brancher - mais le port les accueille quand même - et les ferries, en été surtout, font une escale à la fois trop courte et trop énergivore pour pouvoir couper les machines. Il y a urgence : dès ce printemps, MSC, l'armateur qui cause tant de soucis à Marseille, ouvrira une tête de ligne au môle d'armement de la Seyne, c'est-à-dire que les passagers y embarqueront et débarqueront 26 fois dans la saison. En mer comme à quai, c'est toute la Méditerranée qui est mise en danger par les rejets de ces véritables villes flottantes. Selon l'ONG Transport et Environnement, les 203 paquebots qui ont sillonné les espaces maritimes européens en 2017 sont responsables de l’émission de plus de 10 millions de tonnes de dioxyde de carbone. Pire : cette flotte a rejeté 20 fois plus d’oxyde de soufre que les 260 millions de voitures qui circulent sur les routes européennes. Cerise sur le gâteau : si elles sont une source indéniable de pollution, les croisières n’ont que de maigres retombées sur l’économie locale. Les repas sont servis à bord, une bonne partie des touristes ne débarque pas (30 à 70 % selon l'élu de Marseille délégué à l'économie). Maigres, sauf peut-être pour le concessionnaire des ports qui espère augmenter de 10% les 11 millions d'euros de son chiffre d'affaire. Nous n'entendons lui sacrifier ni notre cadre de vie ni notre santé. La Méditerranée, son environnement et ses habitants doivent être préservés. Bornes électrifiées ou pas, que ce soit à La Seyne ou à Toulon, les paquebots de croisières, nous n'en voulons pas. Pour une rade vivable, pour un environnement préservé et pour la santé de tous, signez et faites signer la pétition, rejoignez la campagne Stop Croisière grande rade de Toulon. Plus d'infos sur : https://stop-croisieres.org/ Contact : [email protected] Destinataires : Lionel MOSNIER, Commandant du port de Toulon Christine ROSSO, Directrice des ports de la CCI du Var Hubert FALCO, Président du Conseil de la métropole TPM Jean-Louis MASSON, Président du Conseil départemental du Var Renaud MUSELIER, Président du conseil régional de PACA Sébastien FOREST, Directeur régional de l’environnement, de l’aménagement et du logement de PACA Christophe BÉCHU, Ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires Agnès PANNIER-RUNACHER, Ministre de la Transition énergétique3,835 of 4,000 SignaturesCreated by Collectif Climat Zéro Fossile Toulon et environ
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Touche pas ma rivière le Garon à Brignais !Brignais Scandale dans la vallée de Barret - pétition Pourquoi détruire la si belle vallée de Barret à Brignais, merveilleux lit du Garon ? Ce que le SMAGGA et la Mairie de Brignais nous préparent….. Un gros ouvrage : « un barrage écrêteur de crues » joli nom pour un ouvrage en béton d’une hauteur de 7 à 8 mètres minimum, pierres et autres tuyaux, eaux stagnantes et tout ce que cette construction va générer ! Cet ouvrage sera construit vers le Chemin du Gué, dans le pré et s’étalera du lit du Garon jusqu’au Chemin de Barret. Ce qui en plus de toutes les nuisances, coupe une propriété en deux parties et ce, à 100 m des habitations, sur 7 ou 8 mètres de haut, donc plus de vues sur la vallée pour les habitants. Pour ce faire : - il faut réaliser beaucoup de sondages, de fouilles avec pelles mécaniques à 4 mètres de profondeur et des sondages carottés à plus de 15 mètres de profondeur. -La nappe phréatique va être polluée par tous ces travaux ; de plus une colonne d’eau potable traverse le terrain sur lequel seront faits les travaux. -Ce chantier semble largement démesuré par rapport aux éventuelles crues centennales ou millénaires du Garon, coût estimé en dizaines de millions d’euros !! - Les fautifs , ce sont ceux qui ont délivré des permis de construire en zones inondables ! -Dans la « Vallée de Barret », il y a aussi beaucoup de faune, de flore, de beaux arbres centenaires, de nombreux insectes sur les berges du Garon, des oiseaux d’espèces protégées, des écureuils, des chevreuils…sans compter tous ceux que nous découvrons au cours des balades dans cette belle vallée, ESPACE NATUREL SENSIBLE ! - Après le passage de nombreux camions, pelles mécaniques et autres engins avec des chenilles, ce sera un champ de ruines, de boues, de cailloux et de déchets en tous genres ! ( Voir le projet du SMAGGA en détail : https://drive.google.com/file/d/1o95yx8i3qKBIinY67oxC_aWfsa-zA1ig/view?usp=sharing ) Ne faut-il pas commencer par entretenir sérieusement le lit du Garon et ses berges avant d’entreprendre de tels travaux ? Sachant que la Commune de Chaponost a refusé ce projet pour protéger la faune, la flore et le saccage de tout l’environnement, pourquoi ce projet continue-t-il en le déplaçant plus loin dans la vallée, chez des particuliers dont les habitations sont très proches de cet ouvrage? Ne laissons pas massacrer cette belle vallée de Barret, ENS(espace naturel sensible), et patrimoine exceptionnel « Aqueduc du Gier », sans oublier que la Vallée de Barret constitue un des poumons verts de la Région Rhône-Alpes! Des solutions alternatives aux barrages écrêteurs ont été testées avec succès en Slovaquie, en Norvège et ailleurs : de petits barrages en bois sur les bassins versants, bien en amont, limitent le ravinement, les éboulements et permettent d’hydrater les zones hautes.668 of 800 SignaturesCreated by Thérèse A.
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"Protéger la vallée du Grésivaudan au cœur des Alpes"Cette installation sur ce site d'une nouvelle usine est une hérésie! Les usines présentes aujourd'hui, pillent déjà la ressource la plus précieuse , L'EAU, pour ses propriétés de pureté incroyable ! Sans évoquer les risques majeurs d'accidents irréversibles pour les populations de cette vallée. Alors, protégeons ces espaces naturels au cœur des Alpes, nécessaires à toute la biodiversité dont nous sommes!!! STOP à la bêtise des lobbys industriels et des politiques inconscients des conséquences de leurs décisions. La création de 1000 emplois n'est plus un argument suffisant face à l'urgence climatique, particulièrement dans cette belle vallée. Il est temps de changer cette folie industrielle au détriment des espaces naturels et des êtres vivants. Merci de signer cette pétition et de diffuser ce message LE PLUS LARGEMENT POSSIBLE car les décisions politiques sont imminentes! « Ne doutez jamais qu'un petit nombre de citoyens volontaires et réfléchis peut changer le monde ; en fait, cela se passe toujours ainsi .» «Ne dépendez jamais des institutions ou du gouvernement pour résoudre n'importe quel problème. Tous les mouvements sociaux sont fondés, guidés, motivés et vus à travers la passion des individus.» Margaret Mead - Anthropologue197 of 200 SignaturesCreated by Anna U.
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Exigeons l'interdiction d'arrosage des golfs !Demandons l’arrêt de l’irrigation des golfs ! Cette pétition, lancée en août 2022 dans un contexte de crise, demande l’arrêt immédiat de l’irrigation des terrains de golf, alors que le stress hydrique est à nos portes. Portons cette revendication à plus long terme en anticipant les prochaines périodes de sécheresse et exigeons de manière générale un contrôle strict des prélèvements d'eau des golfs ; À l’heure où les canicules et vagues de chaleurs sont amenées à toujours plus se multiplier en France et dans le monde et l’augmentation globale des températures, entraîner toujours plus de catastrophes (incendies, inondations, canicules…) ; A l’heure où sévit la plus grande sécheresse jamais observée en France depuis le début de relevées météorologiques (Un déficit de plus de 95 % enregistré dès le mois de juillet sur l’ensemble de la France Métropolitaine par rapport à l’année précédente ; le mois de juillet le plus chaud et sec jamais enregistré, qui suit un printemps tout aussi catastrophique (-65 % de précipitations enregistrées par rapport à 2022) ; Alors que le tarissement des cours d’eau s’accélère dans nos régions ; À l’heure où 93 départements sur 96 sont placés sous restrictions d’usages de l’eau ; avec 100 communes privées d’eau et entraînant jusqu’à des interdictions totales d’irrigation pour certains maraîchers et pour l’agriculture (à partir du niveau 3, « - Interdiction d’irrigation agricole des grandes cultures, prairies et cultures de plein champ »). Un secteur, concernant une fraction minime de la population semble jouir d’un privilège digne d’un autre monde en ces temps de crises : le golf. On peut débattre sur la pertinence de maintenir des cultures gourmandes en eau, non adaptées aux changements futurs et majoritairement destinées à l’élevage dans une perspective de crise climatique et de nécessité de transition écologique. Néanmoins, on ne peut nier le scandale quant au fait de maintenir et prioriser l’usage de l’eau pour le loisir des plus aisés sur l’alimentation. Les terrains de golf, sport réservé aux plus aisé.es, sont épargnés par la plupart des restrictions en eau qui touchent aujourd’hui notre pays. Ceux-ci jouissent de dérogation leur permettant malgré tout de passer outre les restrictions d’usages (c’est-à-dire l’interdiction d’arrosage des terrains de sport). Il serait possible de penser que cet arrosage reste minime au vu de la faible superficie de certains terrains de golf mais cela n’est pas le cas, bien au contraire ! Le volume d’eau utilisé pour l’irrigation d’un golf de 18 trous a une consommation moyenne de 5000m3 par jour, soit la consommation en eau de 12 000 personnes (en un jour) ! En 2002, pour les 107 golfs identifiés en France, la consommation est estimée à 36 millions de m³ en une année soit la consommation annuelle d’une ville de 500 000 habitant.es ! Nous pouvons d’ores et déjà imaginer les chiffres actuels, en expansion évidente… La raison de cette dérogation ? Le coût d’entretien de ces terrains d’hyper-luxe. Une fois de plus, la folie économique prend le pas sur la raison écologique. On pourrait encore évoquer le fait que la pratique du golf génère des emplois ; oui, mais seulement 15 000 en France, dont 80% en CDI. (source bon pote) Des dérogations concernant espaces privatisés, consacrés au loisir des classes privilégiées, sont d’une impunité inacceptable et doivent être interdites, alors même que nos terres sont frappées par la sécheresse et que tant de régions connaissent des restrictions d'eau. Rappelons aussi que sur un green de golf, zones les plus gourmandes en eau en raison d’une hauteur très faible qui favorisent l’assèchement, aucune autre vie que du gazon n’existe. Un golf, au contraire d’entretenir la biodiversité, est un terrain mort de monoculture de gazon. Sans compter les innombrables autres problèmes écologiques liés à la pratique du golf : - Occupation et privatisation d'espaces pouvant être des lieux naturels, publics ou encore des terres agricoles ; - L’entretien de ces monocultures de gazon nécessitent environ 7,2 x plus de pesticides à l’hectare que les terres agricoles !! En effet selon WolrdWhatch Institute, 18 kg de pesticides sont pulvérisés sur les greens par hectare et par an, contre 2,5 en agriculture. - Le rejet de balles en plastique dans la nature autour des terrains ; des centaines de milliers de balles en plastiques chaque année, qui ne sont pas ramassées, s’entassent dans les fossés et mettent elles-mêmes des dizaines de milliers d’années à se dégrader. - Enfin, nous observons bien souvent, dérogations ou pas (qui, on le rappelle, interdisent l’arrosage de certaines zones à partir du niveau 2 d’alerte), les golfs arrosent à outrance une surface bien plus grande que le strict minimum à leur maintien, afin de garantir une esthétique, voire arrosent...des surfaces ensablées !! C’est comme jeter la dernière gourde d’eau qu’il nous reste dans le sable lors d’une traversée du désert. Et tout cela, pour le plaisir d’une fraction minime de privilégiés. Nous demandons : - l’arrêt total de l’irrigation des golfs dès le niveau 3 de restriction déclaré, et l’arrêt des dérogations pour l’autorisation d’arrosage des golfs ; - un réel contrôle des prélèvements et l’obligation de transparence et de comptes-rendus réguliers de la part des golfs sur les données de prélèvements des eaux / le comptage des prélèvements d'eau doit être obligatoire et doit être vérifié. et ce partout sur le territoire Français. Le collectif KIRIKOU – AOUT 2022 Sources de nos recherches : -https://twitter.com/hendrik_davi/status/1553714084125745152 -https://www.letelegramme.fr/dossiers/secheresse-2022-en-bretagne/secheresse-pourquoi-les-golfs-ont-ils-des-regles-particulieres-01-08-2022-13132242.php - https://www.senat.fr/rap/l02-215-2/l02-215-225.html - https://actu.fr/toulouse/ - Reporterre - Gouvernement (pour les restrictions) ...8,564 of 9,000 SignaturesCreated by Collectif Kirikou
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Pour l'arrêt du nettoyage de la voirie française à l'eauDes centaines, voire des milliers de communes sur les presque 35 000 que compte la France, nettoient aujourd’hui leur voirie (trottoirs, rues, escaliers, etc.) avec de l’eau. Cela représente quelques milliers de kilomètres de goudron, bitume, asphalte, béton, etc. À titre d’ordre de grandeur, il y a rien qu’à Paris* près de 3000 km de trottoirs et plus de 1500 km de rues. La métropole de Lyon* entretient environ 8 millions de m2 de trottoirs et près de 3000 km de voies*. Dans les villes moyennes, ces distances se chiffrent plutôt en centaines de kilomètres. Les lavages ont lieu généralement chaque semaine, sans compter les lendemains d’évènements (festivals, fêtes diverses, autres rassemblements). Ils se font fréquemment au camion-balai, de plus en souvent à la laveuse avec jet d’eau haute pression, parfois les deux à la fois. À en croire les sites spécialisés, le débit minimum de ces engins se situe autour des 10 litres par minute, mais atteint facilement les 75 litres par minute, voire plus. Certains prévoient même la récupération d’eau, en option. L’entretien de la voirie par les mairies est une obligation, par contre son lavage ne l’est pas. Il ne s’agit pas d’eau qui va nourrir le sol et les nappes phréatiques, mais presque toujours d’eau qui va ruisseler sur des sols artificialisés et très imperméables. On peut commencer à parler de gaspillage et plus encore quand il s’agit d’eau potable. En effet, à l’exception de Paris, où c’est le réseau d’eau non potable qui est utilisé, la plupart des autres communes utilisent de l’eau potable pour ces lavages. On peut raisonnablement estimer que ce gaspillage d’eau hebdomadaire en France, essentiellement d’eau potable donc, se chiffre en millions de litres. Si on considère — hypothèse très basse — une petite consommation d’un million de litres hebdomadaire, cela représente annuellement plus de 50 millions de litres d’eau.... pour laver du goudron, bitume, asphalte, béton, etc. (1 million de litres consommés à raison de 10 litres par minute, le minimum apparemment, cela fait chaque semaine presque 1700 heures de lavages pour toute la voirie française, soit une moyenne d’environ 3 minutes par ville. On peut raisonnablement supposer qu’on est bien au-dessus). Tandis qu’il ne pleut plus, que la sécheresse devient banale, que les restrictions d’eau ont lieu dès le printemps et sans doute dans peu de temps toute l’année, que des villages sont d’ores et déjà alimentés par camions-citernes, que nombre de cours d’eau sont à sec ou pas loin de l’être, qu’on demande aux cultivateurs — même à ceux qui ne font pas de l’intensif — de ne plus arroser leurs cultures et aux jardiniers amateurs de ne plus arroser leur jardin, comment peut-on continuer comme cela ? L’eau est, comme prévu depuis longtemps, devenue une ressource trop précieuse. En termes de clarté, combien de communes déclarent les volumes d’eau utilisés pour la voirie ? Une étude serait utile. Certaines villes font des expérimentations pour récupérer les eaux de pluie par exemple, quand il pleut en tout cas, mais c’est encore de l’eau destinée au ruissellement. Nous sommes arrivés à un point de non-retour sur le plan environnemental où il n’est plus permis de continuer ainsi. D’autres solutions doivent être étudiées et le lavage des rues à l’eau abandonné très rapidement . * source : les sites de la ville de Paris et celui du grand Lyon.216 of 300 SignaturesCreated by Catherine P.
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STOP CROISIERES A TOULON ET LA SEYNE SUR MERLes décideurs , croisiéristes , présentent toujours avec un grand cynisme les retombées économiques , impossible à quantifier sérieusement , et ne parlent jamais des milliers de morts dus à la pollution de l'air891 of 1,000 SignaturesCreated by GUILLAUME P.
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Non à la destruction de la Cascade et de sa biodiversité exceptionnelle !Nous, Collectif pour la Sauvegarde de la Chaussée du Moulin de Paillès, sommes déterminés à lutter contre un projet inutile et contre-nature qui va défigurer le paysage et détruire la biodiversité. Aujourd’hui, seule la Préfète de l’Aveyron a le pouvoir d’interdire ce projet en ne signant pas l'arrêté préfectoral autorisant la destruction de ce lieu magnifique. Aidez-nous à obtenir l’annulation d’un projet écocide biaisé par des intérêts financiers. Ce projet comporte la création d’une Zone à Expansion de Crues (ZEC) impliquant la destruction inutile de la Chaussée du Moulin de Paillès construite en 1661. L’enquête d’utilité publique qui a conclu à la destruction de la cascade (février 2022) a manifestement été orientée vers la seule obtention par le maire d’une subvention publique de 1,3 million ; l’enquêteur restant sourd à tous nos arguments notamment d’experts. 🆘 La destruction de la Chaussée est désormais suspendue à un arrêté préfectoral imminent, il y a urgence à agir ! Pour une réduction ridicule, lors des crues sévères du Cernon, de la hauteur d’eau (quelques centimètres) au niveau des 4 ou 5 habitations construites en zone inondable dans le lit majeur, ce lieu magnifique, aménagé en 1661 sera détruit, impliquant par arrêté : ❌- l'arrachage et le dessouchage de 1800 arbres (dont une essence rare protégée : le peuplier noir) ; ❌- la destruction de l'habitat des plusieurs espèces protégées (loutres et castors d'Europe) ; ❌- le reprofilage et le curage du lit de la rivière, le Cernon, sur 670 mètres linéaires en incisant le lit mineur de la rivière et en enlevant plus de 70 000 m3 de matériaux ; ❌- la création d'une ZEC sur 3 hectares de parcelles agricoles fertiles en creusant un trou sur 15 000 m² et en enlevant 13 000 m3 de matériaux ; ❌- la destruction de la chaussée de moulin de Paillès construite en 1661 (patrimoine archéologique et affectif des Saint-Georgiens). Pourtant, de leur propre aveu, les promoteurs du projet de ZEC reconnaissent que le gain sur les rares crues ne serait que de quelques centimètres. Le parcours de santé, le cheminement piétons et la passerelle, dérisoires aménagements proposés en contrepartie par l’Agence de l’Eau Adour-Garonne ne sauraient compenser les dégâts irréversibles sur un patrimoine que la nature a mis des centaines d’années à constituer. Alors que nous devons protéger la biodiversité et lutter contre le dérèglement climatique, il est encore plus inacceptable de détruire cette réserve de biodiversité. 🛑 Nous demandons à Madame la Préfète de l’Aveyron de rejeter immédiatement le projet. DITES NON A LA DEFIGURATION ET A LA DEVITALISATION DE CE PAYSAGE MAGNIGIQUE ! SIGNEZ LA PETITION ! MERCI DE VOTRE SOUTIEN !4,801 of 5,000 SignaturesCreated by Collectif pour la Sauvegarde de la Chaussée de Saint-Georges-de-Luzençon (12100)
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Non à l'industrialisation et à l'appropriation de la mer des Pertuis par des intérêts privés🐟🌊 En pleine zone Natura 2000 et au cœur du Parc Naturel Marin de l’Estuaire de la Gironde et des Pertuis charentais censés les protéger, à proximité immédiate du Fort Boyard, se développe depuis 10 ans un projet de dimension agro-industrielle de culture de moules et d’huitres sur filières : ce sont 50 km de câbles tendus en surface au moyen de 15 000 bouées faisant obstacle à la navigation et à la libre circulation d’espèces protégées, 1000 blocs de béton de 2,5 à 4 tonnes immergés à proximité immédiate d’une des plus belles plages d’Europe, déjà gravement impactée par la culture extensive des moules sur bouchots. Alors que le projet a été rejeté par la population lors des enquêtes publiques, il se développe avec le soutien de l'Etat, sans débat sur le fond, sans concertation et sans étude d’impact, en violation de la Directive Habitat. ❌🌊 Nous disons stop à l’appropriation de cet espace naturel unique et fragile du domaine public maritime par des intérêts privés bénéficiant à quelques-uns, au détriment des petits artisans, du tourisme et des multiples usagers de la mer ! Des zones démesurées d'autorisation de l'aquaculture ont été définies dans les Pertuis charentais et il y a bien d'autres périls qui pèsent sur leurs espaces naturels fragiles et leur biodiversité (voir la carte sur le blog de l'APLIMAP) : chalutage dans la zone des 3 miles dont l’effet destructeur pour les habitats et pour de nombreuses espèces marines est avéré, pollution des fleuves et de la mer participant à la baisse des rendements de la conchyliculture et de la pêche, extension du port de la Rochelle responsable de nombreuses pollutions et de dangers inhérents à la circulation accrue des grands navires industriels, extraction de granulats susceptibles de déstabiliser les fonds marins… ⏩ Les protections actuelles (zone Natura 2000, Parc Naturel Marin…) ne sont pas à la hauteur de ces enjeux. Les décisions prises au cas par cas négligent les interactions environnementales, sociales et économiques des projets présentés successivement. 📣 Nous voulons un aménagement concerté, écoresponsable et durable des espaces maritimes et littoraux des Pertuis charentais en coresponsabilité entre l’État, les élus et tous les usagers de la mer. ⏩ Seul un renforcement important de la protection des Pertuis charentais permettra de préserver un des plus beaux milieux naturels de la façade atlantique des nombreux périls qui le menacent.3,448 of 4,000 SignaturesCreated by Association APLIMAP
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STOP à la POLLUTION par rejets en MÉDITERRANÉELa Méditerranée est la mer la plus polluée du monde. Elle détiendrait des concentrations quatre fois plus élevées de micro-plastiques au kilomètre carré que le 7e continent, ce qui ferait d’elle la mer la plus polluée au monde, selon National Geographic. ❌ Ne nous rendons pas complices d’une pollution cette fois causée par les rejets des eaux de lavage des gaz d'échappement des navires qui sillonnent la Méditerranée. 🌊Le contexte : Sous couvert de crise sanitaire, la France vient d'autoriser par dérogation, l'enfumage en milieu marin (rejets de polluants directement sous l'eau), en adaptant ses textes qui réglementent ces rejets, à la demande de 2 compagnies dont Corsica Linea (7 navires dont 5 appartenant à Corsica Linea) Voici le détail de la dérogation => source : https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000044106303 : L’article 2 de l’Arrêté du 23 novembre 1987 est modifié par Arrêté du 22 septembre 2021 « Les rejets, dans le milieu marin, d’effluents provenant des méthodes de réduction des émissions fonctionnant en système ouvert sont interdits à moins de 3 milles nautiques de la terre la plus proche dans les eaux sous juridiction française ». « A titre transitoire, l'administration française peut accorder à un navire existant, effectuant des voyages réguliers entre deux ports, une exemption dont la durée de validité doit être limitée au strict minimum et ne peut excéder le 1er janvier 2026. La demande d'exemption doit démontrer l'impossibilité de se conformer à cette règle et indiquer la ou les solution (s) de mise en conformité retenue (s) et leur date prévisionnelle de mise en œuvre. » 🌊🌊 Pour mieux comprendre le problème : Au niveau mondial, le trafic maritime est régi par la Convention MARPOL. En 2005, afin d’abaisser la pollution de l’air émise par les navires, la convention prévoit de limiter la teneur en soufre du carburant qui doit passer de 4,5 % à 3,5 % en 2012, et à 0,5 % en 2020. Mais, le 15 mai 2015, un amendement est apporté sournoisement par les groupes pétroliers et par les compagnies maritimes pour naviguer à moindre coût. Les compagnies maritimes sont donc autorisées à équiper leurs navires de systèmes de nettoyage des fumées, les scrubbers, afin de continuer à utiliser un fuel plus soufré, largement disponible et surtout bien moins cher. Ces scrubbers peuvent être à boucle fermées (ils stockent les résidus polluants de lavage pour un retraitement à terre), ou ouvertes (ils rejettent directement en mer les eaux de lavage des gaz d’échappement, qui contiennent en quantités variables des métaux lourds, des hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP), des nitrates ainsi que les éventuels additifs chimiques utilisés) =>Source : https://le-garde.fr/la-france-autorise-lenfumage-du-milieu-marin-de-la-corse-jusquen-2026/ ❌ À ce jour, 23 États et 71 ports ont décidé d’interdire les rejets des scrubbers en boucle ouverte dans leurs eaux territoriales ou leurs eaux portuaires. Dernièrement, la Turquie, l’Autorité du Canal de Suez, Oman et l’Arabie Saoudite ont rejoint cette liste. En France, certains grands ports maritimes comme Marseille, Nantes-St Nazaire et La Rochelle ont déjà modifié leur règlement portuaire pour y inscrire une interdiction des rejets. =>Source : https://www.anave.es/images/documentos/C-12192_Annex_1_-_french_ban_on_scrubbers_discharges.pdf 🌊🌊🌊 Signez la pétition, demandons l'annulation stricte de ces dérogations partout en mer Méditerranée ! Le développement économique de certains ne peut pas condamner la faune marine et amplifier la catastrophe écologique que subit la mer Méditerranée, et les Océans en général. Les coraux blanchissent partout, les températures et teneurs en CO2 des océans augmentent d'une manière exponentielle, la sur-pêche continue, et à ce rythme, il n'y aura plus de poissons en 2050. Que voulons-nous laisser de notre passage sur notre planète ? Mobilisons-nous pour sauver ce qui peut encore l'être en signant cette pétition !8,787 of 9,000 SignaturesCreated by Groupe local Greenpeace Montpellier
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