1,000 signatures atteintes
Destinataire(s) : Métropole de Montpellier
La Mer commence ICI
La pollution océanique commence en ville !
80% des déchets des mers et océans sont générés par l'activité sur terre, et sont en majorité transportés par les cours d'eau.
C’est pourquoi nous devons travailler en amont à réduire notre consommation bien sûr, mais aussi en proposant à la métropole de nombreuses actions préventives et correctives efficaces que nous avons identifiées.
Nous devons tous être mobilisés et travailler en équipe pour être efficaces. Associations de protection environnementale, comités de quartiers, riverain.e.s et élu.e.s sommes responsables et conscients. Signalons toute pollution constatée sur l’adresse mail [email protected].
Quand un déchet ne termine pas dans le circuit de collecte et se retrouve par terre, les premières minutes d'une pluie ou le vent les transporte et ils se retrouvent malheureusement dans les réseaux pluviaux (caniveaux), qui, contrairement aux réseaux d’eau usées qui passent par les stations d’épuration, se jettent directement sans aucun filtre dans les cours d’eau, puis dans la mer.
Que ce soient les déchets solides mais aussi hydrocarbures et toute sorte de pollution liquide, ils poursuivront leur chemin vers les océans sans aucune chance d’être récupérés.
La mer commence ici ! Et des mesures peuvent être prises.
Ainsi, le groupe local de Greenpeace Montpellier, et le collectif Océans « Bouteille à la Mer » demandent aux décideurs politiques de prendre leurs responsabilités pour les déchets que nous avons produits et consommés et de travailler avec nous à mettre en place ces mesures.
La mer commence ici ! La pollution océanique commence en ville !
80% des déchets des mers et océans sont générés par l'activité sur terre, et sont en majorité transportés par les cours d'eau.
C’est pourquoi nous devons travailler en amont à réduire notre consommation bien sûr, mais aussi en proposant à la métropole de nombreuses actions préventives et correctives efficaces que nous avons identifiées.
Nous devons tous être mobilisés et travailler en équipe pour être efficaces. Associations de protection environnementale, comités de quartiers, riverain.e.s et élu.e.s sommes responsables et conscients. Signalons toute pollution constatée sur l’adresse mail [email protected].
Quand un déchet ne termine pas dans le circuit de collecte et se retrouve par terre, les premières minutes d'une pluie ou le vent les transporte et ils se retrouvent malheureusement dans les réseaux pluviaux (caniveaux), qui, contrairement aux réseaux d’eau usées qui passent par les stations d’épuration, se jettent directement sans aucun filtre dans les cours d’eau, puis dans la mer.
Que ce soient les déchets solides mais aussi hydrocarbures et toute sorte de pollution liquide, ils poursuivront leur chemin vers les océans sans aucune chance d’être récupérés.
La mer commence ici ! Et des mesures peuvent être prises.
Ainsi, le groupe local de Greenpeace Montpellier, et le collectif Océans « Bouteille à la Mer » demandent aux décideurs politiques de prendre leurs responsabilités pour les déchets que nous avons produits et consommés et de travailler avec nous à mettre en place ces mesures.
La mer commence ici ! La pollution océanique commence en ville !
Pourquoi faut-il agir maintenant ?
Les mers et les océans paient déjà un lourd tribut en étant fortement impactés par les hausses des températures. Comme nous le savons les 3/4 des déchets marins sont au fond, invisibles, formant un tapis qui asphyxie la vie sous-marine, en l'anéantissant.
Ce sont aujourd’hui des milliers de tonnes de déchets qui menacent les écosystèmes.
Ces écosystèmes sont essentiels pour l'équilibre climatique, la biodiversité et les populations locales. Nous ne pouvons pas ignorer cette destruction sans agir, il n’y a pas une minute à perdre !
La bonne nouvelle, c’est que des solutions existent !
Nous demandons à la métropole d’agir à nos côtés :
=> sur l’axe préventif, avec :
> des campagnes d’information efficaces sur la question du plastique, le seul déchet qui ne disparait jamais, mais qui se fragmente en micro plastiques, que l’on retrouve par transport atmosphérique jusqu’aux lacs isolés en altitude, et que nous devons impérativement arrêter d’utiliser au maximum,
> une campagne d’information et de sensibilisation sur la différence entre égout et réseau pluvial urbain, réseaux unitaires et séparatifs, et les conséquences d’une pollution des réseaux pluviaux
> des interventions dans les écoles,
> une sensibilisation auprès des commerçants et des industriels,
> et surtout en en priorité immédiate, un travail de réduction à la source des déchets en limitant sur le territoire tous les emballages, entre autres, et en mettant en place une vraie politique zéro déchet.
=> Sur l’axe correctif également, avec :
> un état des lieux sur la pollution chimique, et un plan d’action précis pour limiter les rejets des industriels,
> des actions montrant une vraie prise de conscience collective sur les conséquences de l’eutrophisation (rejet de matière organique dans les cours d’eau qui tue littéralement toute la vie qui s’y trouve par prolifération végétale et consommation de tout l’oxygène, appelé plus communément : pollution aux eaux usées),
> des ramassages et quantification de déchets réguliers,
> l'installation de filets récupérateurs de déchets solides sur les exutoires et avaloirs stratégiques,
> une aide au développement de la filière « gestion et tri » des flux récupérés par ces filets,
> l’adaptation des bassins d’orages pour gérer les volumes d’eau colossaux et éviter la saturation des stations d’épuration mais aussi le débordement des réseaux unitaires dans les cours d’eau,
> la remise en état des réseaux d’eaux usées pour diminuer la pollution des nappes phréatiques,
> une meilleure surveillance des réseaux pour identifier les ruptures de canalisation et des interventions plus rapides,
> la suppression des trop nombreux rejets d’eaux usées directement dans les cours d’eaux, ou encore sur les réseaux pluviaux,
> la mise en sécurité des réseaux d’évacuation des eaux usés simplement posés dans le fond de ces cours d’eau …
> une étude technique systématique de faisabilité de réemploi des eaux grises (eaux de la douche ou de vaisselles pour alimenter les WC par exemple) devrait être systématiquement envisagé pour les constructions neuves des collectivités, tant le sujet de l’eau potable et notre responsabilité à en préserver la ressource est cruciale.
> des récupérateurs d’eau de pluie et panneaux solaires en collectivité,
Il y a tant de sujets à aborder, tant de mesures à mettre en place, il est temps de se mettre ensemble en mouvement !
Afin d’entrer en action à vos côtés, collectivement et efficacement sur des sujets aussi variés que transversaux, nous demandons la création en urgence d’un CONSEIL DE PROTECTION ENVIRONNEMENTAL, déjà validé pour certains élu.e.s, constitué d’élus et d’associations de protections environnementales.
Ce format de réunion de travail régulières est indispensable pour une communication efficace entre les services municipaux qui ont à gérer tous ces sujets transversaux, mais aussi pour permettre aux problématiques locales de remonter : les comités de quartiers, association de riverain.es sont les premiers témoins de ces problématiques locales, et pourront d'une façon extrêmement efficace, les faire remonter et constater aux services municipaux via les associations, qui pourront ainsi mieux anticiper les mesures à envisager, et les rendre efficaces.
Les associations sont disponibles et compétentes, volontaires et investies dans leur rôle, à la hauteur de l’urgence à laquelle nous devons tous faire face.
Nous avons déjà échangé avec les élus locaux sur ce sujet et aimerions que le projet, ambitieux et novateur, voit le jour rapidement dans la métropole de Montpelier.
Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin !
Ce sont aujourd’hui des milliers de tonnes de déchets qui menacent les écosystèmes.
Ces écosystèmes sont essentiels pour l'équilibre climatique, la biodiversité et les populations locales. Nous ne pouvons pas ignorer cette destruction sans agir, il n’y a pas une minute à perdre !
La bonne nouvelle, c’est que des solutions existent !
Nous demandons à la métropole d’agir à nos côtés :
=> sur l’axe préventif, avec :
> des campagnes d’information efficaces sur la question du plastique, le seul déchet qui ne disparait jamais, mais qui se fragmente en micro plastiques, que l’on retrouve par transport atmosphérique jusqu’aux lacs isolés en altitude, et que nous devons impérativement arrêter d’utiliser au maximum,
> une campagne d’information et de sensibilisation sur la différence entre égout et réseau pluvial urbain, réseaux unitaires et séparatifs, et les conséquences d’une pollution des réseaux pluviaux
> des interventions dans les écoles,
> une sensibilisation auprès des commerçants et des industriels,
> et surtout en en priorité immédiate, un travail de réduction à la source des déchets en limitant sur le territoire tous les emballages, entre autres, et en mettant en place une vraie politique zéro déchet.
=> Sur l’axe correctif également, avec :
> un état des lieux sur la pollution chimique, et un plan d’action précis pour limiter les rejets des industriels,
> des actions montrant une vraie prise de conscience collective sur les conséquences de l’eutrophisation (rejet de matière organique dans les cours d’eau qui tue littéralement toute la vie qui s’y trouve par prolifération végétale et consommation de tout l’oxygène, appelé plus communément : pollution aux eaux usées),
> des ramassages et quantification de déchets réguliers,
> l'installation de filets récupérateurs de déchets solides sur les exutoires et avaloirs stratégiques,
> une aide au développement de la filière « gestion et tri » des flux récupérés par ces filets,
> l’adaptation des bassins d’orages pour gérer les volumes d’eau colossaux et éviter la saturation des stations d’épuration mais aussi le débordement des réseaux unitaires dans les cours d’eau,
> la remise en état des réseaux d’eaux usées pour diminuer la pollution des nappes phréatiques,
> une meilleure surveillance des réseaux pour identifier les ruptures de canalisation et des interventions plus rapides,
> la suppression des trop nombreux rejets d’eaux usées directement dans les cours d’eaux, ou encore sur les réseaux pluviaux,
> la mise en sécurité des réseaux d’évacuation des eaux usés simplement posés dans le fond de ces cours d’eau …
> une étude technique systématique de faisabilité de réemploi des eaux grises (eaux de la douche ou de vaisselles pour alimenter les WC par exemple) devrait être systématiquement envisagé pour les constructions neuves des collectivités, tant le sujet de l’eau potable et notre responsabilité à en préserver la ressource est cruciale.
> des récupérateurs d’eau de pluie et panneaux solaires en collectivité,
Il y a tant de sujets à aborder, tant de mesures à mettre en place, il est temps de se mettre ensemble en mouvement !
Afin d’entrer en action à vos côtés, collectivement et efficacement sur des sujets aussi variés que transversaux, nous demandons la création en urgence d’un CONSEIL DE PROTECTION ENVIRONNEMENTAL, déjà validé pour certains élu.e.s, constitué d’élus et d’associations de protections environnementales.
Ce format de réunion de travail régulières est indispensable pour une communication efficace entre les services municipaux qui ont à gérer tous ces sujets transversaux, mais aussi pour permettre aux problématiques locales de remonter : les comités de quartiers, association de riverain.es sont les premiers témoins de ces problématiques locales, et pourront d'une façon extrêmement efficace, les faire remonter et constater aux services municipaux via les associations, qui pourront ainsi mieux anticiper les mesures à envisager, et les rendre efficaces.
Les associations sont disponibles et compétentes, volontaires et investies dans leur rôle, à la hauteur de l’urgence à laquelle nous devons tous faire face.
Nous avons déjà échangé avec les élus locaux sur ce sujet et aimerions que le projet, ambitieux et novateur, voit le jour rapidement dans la métropole de Montpelier.
Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin !