• BIOL : Préservons notre forêt !
    SAUVONS LA FORÊT DE BIOL Depuis l'automne 2024, notre forêt est saccagée, violée, massacrée à coup de tronçonneuses. Deux engins monstrueux la parcourent de long en large afin de prélever les troncs coupés, en laissant d'immenses ornières et bien sûr, en écrasant tout sur leur passage (hérissons et autres petits mammifères, orvets, salamandres, lézards verts, etc.). Nous sommes nombreux à être choqués et révoltés par ces méthodes. Il ne s'agit pas là de coupes raisonnées, ni de gestion durable. C'est juste un carnage. Tout ça pour quoi ? Et bien pour alimenter les chaufferies de l'agglomération grenobloise, un non-sens absolu ! Vite, signez la pétition pour dénoncer ces pratiques délétères. Cette forêt d'environ 400 hectares abrite une biodiversité riche et complète. Entre 15 et 20 hectares ont été littéralement rasés. Des sols nus et dévastés subissent à présent les brûlures du soleil. Et ce n'est pas terminé. Les coupes reprendront en septembre. Tout ça sous couvert d'une soit-disant écologie. Mais quelle écologie ? Des tonnes de bois sont coupés, broyés dans la foulée, et avant d'alimenter les chaufferies, et bien ces copeaux doivent être séchés artificiellement. Je suis bien consciente que cette forêt doit être entretenue, mais de façon durable. L'exploitant forestier se moque bien des cicatrices qu'il laisse derrière lui puisque son seul Dieu se nomme profit. Sur ces parcelles se trouvaient de magnifiques chênes plus que centenaires, et pour certains, bicentenaires. Si les propriétaires avaient fait couper seulement 2 ou 3 chênes de leur parcelle, ils auraient pu encaisser de 2 000 à 4 500€. Avant de vendre à un exploitant forestier qui vous démarche, il serait préférable de vous renseigner sur le bonhomme afin de connaître ses méthodes, pourquoi et pour qui. Il vous aurait fallu bien peu de temps pour comprendre que cet exploitant n'a pas une réputation très enviable dans la région. Il faut arrêter cela au plus vite. Il est nécessaire que les propriétaires prennent conscience de ce désastre, et que les autorités locales exercent un contrôle renforcé. Je vous remercie de vous joindre à mon combat en SIGNANT CETTE PÉTITION. Karen, fille de Biol et de sa forêt.
    225 sur 300 Signatures
    Créée par Karen M.
  • Halte au massacre de la forêt des îles de Bonny-sur-Loire
    Halte au massacre de la forêt des îles de Bonny-sur-Loire, halte à la destruction des milieux de vie Mi juillet 2025, les tronçonneuses sont en action jour après jour dans une zone exceptionnelle, située entre les bords de Loire et un de ses affluents, la Cheuille : des centaines d’arbres – peupliers, chênes, etc. - sont abattus méthodiquement. C’est une coupe à blanc. La zone est pourtant décrite dans les guides comme une mosaïques d’habitats fluviaux, avec la forêt alluviale, les prairies, les milliers d’oiseaux dont les guêpiers d’Europe, balbuzards, hérons, garzettes, sternes, gravelots, chevaliers, milans noirs, grives musiciennes et fauvettes, pics, etc. Une grande partie du territoire, attenante à la coupe, est placée sous la protection du Conservatoire d’Espaces Naturels Centre-Val de Loire, (CEN). La coupe se situe quant à elle dans des parcelles privées, situées dans une zone Natura 2000 avec un classement d’inventaire destiné à protéger les oiseaux sauvages (Zone importante pour la conservation des oiseaux, « ZICO »), en ZNIEFF 2 (Zone naturelle d’intérêt écologique faunistique et floristique). La Cheuille a été l’objet d’une restauration écologique récemment. Un troupeau de brebis et d’agneaux en pâturage broute les herbes et entretient les sous-bois en piétinant les bois morts de la ripisylve. Un panneau du Conservatoire invite les promeneurs à être attentifs au site. En quelques jours, cette zone supposée être protégée et respectée est massacrée par une coupe à blanc. On est entre deux épisodes caniculaires, en période de nidification, et chacun sait désormais que le temps est compté pour aider les êtres vivants, les rivières, les milieux, et les habitants, à affronter les effets destructeurs du changement climatique et de l’effondrement de la biodiversité. Le fait que les parcelles saignées à blanc appartiennent à des exploitants privés ne justifie en rien le silence des instances contactées pour alerter sur le massacre en cours. Ni le CEN, ni l’OFB, ni la DREAL ne réagissent aux appels. Pour comprendre la situation, voir les compte-rendus : https://bureau122.fr/2025/07/11/coupe-a-blanc-dans-le-sentier-des-iles-de-bonny/ https://bureau122.fr/2025/07/15/coupe-a-blanc-a-bonny-sur-loire-en-plein-territoire-natura-2000 Voir aussi l'expertise réalisée par Joseph Garrigue, ancien conservateur de la Réserve Naturelle Nationale "Forêt de la Massane" une forêt inscrite au patrimoine mondial de l’humanité et qui nous explique que "Au vu des éléments régissant les milieux naturels et les espèces présentes ainsi qu’au constat fait sur place, il s’avère que les coupes réalisées à cette saison ont entraîné la destruction d’habitats et d’espèces protégées et sont de ce fait illégales et devraient faire l’objet d’un dépôt de plainte pour destruction d’espèces et d’habitats protégés". La protection des sites par des labels patrimoniaux n’est qu’apparente : elle cache la destruction généralisée du vivant et des écosystèmes. Les politiques dites de sensibilisation ne suffisent pas. La simple préservation de quelques parcelles protégées ne servira à rien si l’ensemble des milieux environnants sont détruits méthodiquement. Il faut que les organismes, les élus, les habitants, les témoins, assument leurs responsabilités, ne soient pas complices des destructions, et agissent pour l’intérêt commun. Il reste une solution : en appeler à toutes celles et tous ceux qui, ici comme ailleurs, savent qu’il est impossible de continuer à détruire et exploiter. Nous demandons : - Au niveau local, à Bonny-sur-Loire : 1. L’arrêt immédiat de cette coupe à blanc, 2. Une expertise juridique pour vérifier si la réglementation relative aux autorisations de coupes en forêt privée a été respectée, et notamment pour vérifier si un dossier d'incidence Natura 2000 a été déposé auprès de la DDT du Loiret, si cette demande a été validée par le comité de gestion et s’il existe un arrêté préfectoral d'autorisation des travaux, 3. Une expertise foncière pour déterminer si le parcellaire foncier a été respecté, 4. Un inventaire naturaliste réalisé par des experts indépendants afin de déterminer les effets de cette coupe à blanc sur l’écosystème des îles de Bonny, 5. Une remise en état immédiate du sentier pédestre, 6. Une restauration écologique des milieux détruits. - Au niveau national : Nous demandons à tous les organismes de protection et de gestion de l’environnement, à tous les niveaux, mais aussi à tous les élus garants de la préservation des avenirs des êtres de vivants dont leurs propres enfants, d’agir pour empêcher ces destructions, par tous les moyens (réunions publiques, chartes, affichages, campagnes).  Nous réclamons des engagements publics et des actions de la part de celles et ceux qui sont en charge de l’entretien et de la transmission de milieux et ressources. Nul ne peut au nom de la propriété privée, détruire ce qui menace les conditions de vie d'innombrables êtres et habitants.  Premiers signataires : Joëlle Le Marec, Professeure au Muséum National d’Histoire Naturelle, UMR IRD/CNRS PaLoc, trésorière de Bureau 122 (Bonny-sur-loire) Igor Babou, Professeur à l’université Paris Cité, UMR CNRS LaDyss, président de Bureau 122 (Bonny-sur-loire) Catherine Fumé, secrétaire de Bureau 122 (Bonny-sur-Loire) Pierre Henri Gouyon, Professeur émérite au Muséum National d'Histoire Naturelle, Institut de Systématique, Évolution, Biodiversité – MNHN-CNRS, UMR 7205 Jacques Tassin, Chercheur écologue au CIRAD (Montpellier), Membre de l'unité de recherche "Forêts et Sociétés", biographe de Maurice Genevoix Joseph Garrigues, Conservateur de la Réserve Naturelle de la Massane de 1992 à 2023.
    991 sur 1 000 Signatures
    Créée par Bureau 122 Picture
  • Vallée massacrée, silence des élu.e.s et de la justice
    Le conseil municipal de Carolles en 1984 a donné un accord verbal auprès de ce club de 4x4 pour pratiquer ses activités. Ce site se trouve dans une zone classée, boisée et une zone humide, il est traversé par un ruisseau "Le Lude", c'est aussi le site d'une ancienne décharge. Dont il va falloir reparler ... Le club a réalisé des travaux de grande ampleur afin de créer un circuit pour le passage des voitures, ils ont enterré des pneus et des blocs de béton, ils ont coupé des arbres sans autorisation, ils ravagent les chemins et ont bloqué un chemin communal. Pour en savoir davantage, regardez la vidéo : https://youtu.be/EeDtOUElfXU
    160 sur 200 Signatures
    Créée par maryline b.
  • Il faut une loi d'urgence pour des forêts vivantes !
    Le changement climatique accélère et pourtant... les forêts françaises – réservoirs de biodiversité, sources d’eau potable, puits de carbone, régulatrices des températures, garantes de la qualité de vie des citoyen·nes – sont transformées en gisements de bois pour satisfaire des industriels soumis à des logiques productivistes. L'État finance la sylviculture industrielle ainsi que des projets inutiles et dangereux : la forêt subit.  👉 En pleine crise écologique, l’État continue de subventionner les pratiques qui provoquent l’effondrement des écosystèmes forestiers, réchauffent le climat et détruisent des paysages que nous chérissons tou·tes.  👉 L’État encourage l'implantation de complexes industriels et va jusqu'à financer une méga usine de "bio"-kérosène mobilisant la biomasse forestière, pour faire voler des avions.  C'est pourquoi nous demandons l'abandon des projets industriels écocidaires, la généralisation d'une sylviculture douce, préservant un couvert continu d'arbres diversifiés en âges et en essences : une vraie politique publique forestière, au service du vivant, pas du marché !  ✅ NOUS EXIGEONS :  • L'arrêt des aides de l’État à des projets et des usines qui contribuent à la destruction des forêts et des réserves de biodiversité ;  • La réorientation de ces aides vers le choix essentiel de la régénération naturelle ;  • L'abandon des projets d'usines écocides utilisant la biomasse forestière, tels l'usine E-CHO de « bio »-carburants à Lacq (500 000 tonnes de bois par an), l'usine Biochar à Garlin (120 000 t/an), Biosyl usine à granulés de bois de feuillus à Guéret (130 000 t/an), ainsi que de la centrale électrique de Gardanne (450 000 t/an), des méga projets industriels tels qu’Orpinia (1 million t/an), Scierie SIAT (1 millions t/an), Hynovera (182 500 t/an) ;  • La reconnaissance de la personnalité juridique pour les forêts afin de défendre leur préservation ;  • L'augmentation significative des moyens ‒ en budget et en personnel – des services publics nationaux et territoriaux chargés de la protection de la forêt (ONF, CNPF, OFB, DDT, etc.) ;  • L’inscription dans la future loi sur la gestion forestière des revendications suivantes, basées, entre autres, sur deux propositions de lois de la précédente législature :  “1️⃣ Une réorientation de la politique forestière afin de favoriser une sylviculture mélangée à couvert continu et de l'établir comme mode de gestion forestière, maintenir et développer un tissu de PME locales de la filière bois (bûcheronnage, débardage et scieries, transformations du bois à plus forte valeur ajoutée), assorti d'objectifs à atteindre ; 2️⃣ L’interdiction de cumuler la fonction de conseil en gestion forestière avec celles de marchand de bois et de travaux forestiers ; 3️⃣ L’encadrement strict des coupes rases, limitées à 0,5 ha pour les forêts de feuillus ou pour les forêts mélangées et à 2 ha pour les résineux. L'interdiction totale de ces coupes rases dans les zones protégées, les zones Natura 2000, les PNR, les zones humides et sur les pentes à plus de 30 %. Faire figurer la définition d’une coupe rase dans le code forestier ; 4️⃣ L’interdiction du dessouchage et de la récolte d'arbres d'un diamètre inférieur à 7 cm, pour favoriser la préservation des sols forestiers ; 5️⃣ La transparence des données environnementales, des plans simples de gestion (PSG) et des déclarations de travaux forestiers ;  6️⃣ Le renforcement du droit de préemption des communes et de l’État pour l’achat de forêts privées mises à la vente. ” Il est temps de prendre conscience de la gravité de la situation. Une loi pourrait être votée prochainement. C’est maintenant que votre signature pèsera en faveur d’une loi forêt ambitieuse. Cette pétition a été préparée en s'appuyant sur le texte que vous trouverez en intégralité avec la liste des signataires, en cliquant ici. 
    6 901 sur 7 000 Signatures
    Créée par Adret Morvan, Forêts Vivantes Pyrénées, Réseau Forêt Limousine
  • Non à la Méga-usine à pellets à Salins-les-Bains
    Nous, membres de l'association Pays de Salins Environnement, exprimons notre ferme opposition au projet de construction de la méga-usine à pellets porté par la société EO2. Ce projet, en plus de mettre en péril notre cadre de vie et notre environnement, va nuire à l’attractivité touristique de notre commune. • Un cadre de vie menacé Plus de 3 000 habitants seront directement touchés par ce projet, avec des impacts importants sur la pollution atmosphérique, la circulation, le bruit, ainsi que des risques accrus d'incendie. Aujourd’hui, près de 400 camions passent quotidiennement au cœur de la ville, et demain il y en aurait 150 de plus ! • Un impact économique local incertain Voulons-nous sacrifier l’attractivité touristique de notre territoire pour quelques emplois ?  L’activité repose sur un tissu économique fragile, principalement constitué de petites et moyennes entreprises, du secteur touristique grâce à la Grande Saline classée au patrimoine mondial de l’UNESCO, ainsi que du thermalisme. L'implantation de cette usine va non seulement déstabiliser ces secteurs mais aussi fragiliser la filière bois locale en mettant en péril les forêts du massif jurassien. • Un impact environnemental certain Ce projet détruira plusieurs zones humides et impactera durablement la biodiversité à proximité du site. Il prévoit l'artificialisation de 8 hectares de terres agricoles et, de plus, menace une exploitation agricole locale de Comté AOC biologique, une filière emblématique de notre région. Surtout, ce projet, pour être cohérent et vertueux, devrait s'inscrire dans le tissu local de la filière bois. Or, l’entreprise prévoit de prélever directement du bois dans nos forêts, sur une surface d’exploitation de 65 000 hectares annuels, générant une pression supplémentaire sur des ressources naturelles déjà fragilisées. Ainsi, EO2 ne s’inscrit pas dans un cycle vertueux de l'économie circulaire. Les services de l’État ont d’ores et déjà alerté sur l’insuffisance de l’approvisionnement en bois, et pourtant, l’ancien préfet du Jura a accordé son feu vert pour permettre l’exploitation de cette usine !  Nous avons encore quelques mois pour convaincre, agir et empêcher la construction de la méga-usine, signez la pétition !
    10 850 sur 15 000 Signatures
    Créée par Pays de Salins Environnement Picture
  • Menace sur nos forêts: NON au projet de méga-scierie à Vichy agglomération !
    Il faut agir vite car une Déclaration de Projet a été votée en Conseil Communautaire en août 2024. Mais si la mobilisation est massive, les décideurs pourront encore revoir ou annuler le projet. Les enjeux sont considérables: Méga-scierie, méga-déforestation : Pour rentabiliser une méga-scierie, il faut abattre 15 à 20 ha de forêt par jour, à une époque où les arbres, gardiens du climat, sont déjà menacés par les feux de forêt, le réchauffement climatique et l’urbanisation. Dégradation des paysages et du cadre de vie : Le bois de Charmeil, l’un des derniers poumons verts de l'agglomération de Vichy, labellisé « cœur de nature », va être réduit et fragilisé par le projet, de même que les somptueux paysages forestiers de la Montagne Bourbonnaise. En cas de chaudières à bois, compter encore plus d’émissions de CO2 et de particules fines, et en cas de chimie du végétal, à la fois des nuisances, des pollutions, et un bilan carbone désastreux. Car au-delà de la méga-scierie, les porteurs de projet entendent installer « toute la filière bois » dans cette zone industrielle. Pollution de l’eau et des sols : Outre les conséquences sur la qualité de l'air, beaucoup de produits chimiques utilisés dans l’industrie du bois sont cancérigènes et/ou neurotoxiques, et viendraient aggraver la situation de nappes et de sols déjà pollués. N’oublions pas que même les eaux de Vichy sont dégradées par tous les projets industriels de l’agglomération. La nouvelle route à construire pour desservir le site prétend avoir pour objectif le contournement nord-ouest de Vichy. Mais les graves atteintes aux milieux naturels qu’occasionnerait ce projet routier (35 ha de zones humides impactés, entre le projet et sa desserte routière), ont suscité des mises en garde de l’Autorité Environnementale et du Conseil National de Protection de la Nature, ainsi qu'un avis défavorable de l’Enquête Publique. Des élus et des citoyens écartés du débat : manque de transparence, blocus de l’information en Conseil Communautaire, procédures bâillon, déni du droit d'accès aux documents communicables… Depuis le début, cette ré-industrialisation, qui s’habille de mots creux comme « vertueux » ou « durable », est opaque et bafoue les principes de la démocratie environnementale. 
    4 225 sur 5 000 Signatures
    Créée par Collectif Stop Méga-scierie à Montpertuis
  • Sauvons le Bois de la Tannerie
       Protégeons les arbres en espace urbain. Empêchons l'abattage du Bois à Waremme • Votre signature donnera du poids à notre action auprès des élus. • Votre don  https://donorbox.org/tannerie nous aidera à sauver le bois. Votre don est utilisé à 100% pour la défense du Bois de la Tannerie au Conseil d'Etat. Pétition adressée au Collège échevinal de Waremme et au Gouvernement Wallon pour sauver l'abattage du dernier bois, en centre-ville de Waremme, jouxtant l'étang et en bord de rivière "le Geer". Nous, le  Collectif "Sauvons de Bois de la Tannerie", contestons l'arrêté ministériel du 09 juillet 2024,  délivré par le SPW Territoire, Logement, Patrimoine, Energie; qui autorise la construction d'un immeuble de 4 étages, sur des terrains situés à 4300 Waremme, rue de la Tannerie cadastrés 1ère division section C, parcelles   893 g 3 / 894 y 2 / 894 w. ; octroyé par l'arrêté ministériel du 09 juillet 2024, délivré par le SPW Territoire, Logement, Patrimoine, Energie. Ne laissons pas ce milieu aux fonctions vitales pour la ville disparaître au profit d'un projet immobilier inadapté aux enjeux climatiques actuels, causant un impact direct sur notre qualité de vie. 1. Le projet est destructeur du paysage urbain, à l'entrée de la ville de Waremme. 2. Le projet est particulièrement destructeur pour le maintien de la qualité de l'air effectué par les arbres. 3. Le projet prive les citoyens de l'effet "climatisatiseur" offert par l'écosystème du bois. 4. Ce projet supprime un habitat de plus pour les oiseaux à Waremme.  5. Le projet situé en zone inondable nous prive du drainage de l'eau effectué par les arbres.  6. Cette construction n'est économiquement pas justifiée.   Nous demandons :  • Que l'autorisation de construction de l'immeuble, rue de la Tannerie à Waremme soit annulé, afin de permettre la sauvegarde totale du bois. • Que tous les espaces végétalisés de la commune de Waremme soient préservés et que la ville de Waremme procède à la mise en oeuvre rapide d'un Plan Climat qui traite les enjeux environnementaux auxquels nous et les générations futures faisons et feront face. Nous espérons être entendus par le collège échevinal et le gouvernement wallon.  Un grand merci pour votre aide indispensable à la préservation du vivant! 
    2 477 sur 3 000 Signatures
    Créée par Ann H.
  • CONTRE les coupes d'arbres excessives ! Forêt sinistrée !
    Depuis 4 ans, 18 parcelles sur 95 se retrouvent ainsi déboisées et replantées. Si cette logique persiste, on peut craindre que près de la moitié de la forêt de La Malmaison sera rasée dans les cinq ans à venir ! II y a URGENCE car les prélèvements de l'ONF et les coupes excèdent la croissance naturelle de la forêt et mettent à mal la reconstitution du couvert végétal pourtant vital pour réguler les températures, filtrer les polluants aériens, capturer le CO2... C'est vital pour le bien-être et la santé des populations des zones urbaines à proximité et protéger la biodiversité. Le dérèglement climatique (températures élevées, sécheresse, inondations et maladies qui en découlent..) compromet la croissance naturelle et l'efficacité des replantations massives. Nous demandons aussi la mise en place d'une sylviculture plus douce qui favorise le maintien d'un couvert végétal continu et préserve la biodiversité, au moyen de coupes plus sélectives c'est à dire : - le ciblage des coupes sur les arbres malades repérés individuellement comme dangereux, sans écrasements des sols, ni broyage, ni labourage - le maintien de tous les arbres sains sur pied. - la suppression de l’objectif assigné à l’ONF d’exploitation économique des forêts péri-urbaines pour alimenter la filière bois énergie et l’exportation des grumes.
    511 sur 600 Signatures
    Créée par DOMINIQUE D.
  • Non à la destruction des forêts pour faire voler des avions !
    Actuellement, il y a en France plusieurs projets similaires de production de carburants d'aviation synthétiques à base de biomasse forestière, alors même que d’autres acteurs économiques en sont également de plus en plus gourmands (bois énergie, centrales à biomasse, biochar, bois d’œuvre...). Nos forêts, déjà menacées par le réchauffement climatique, ne sont malheureusement pas extensibles.  La forêt doit à tout prix être préservée car son rôle de régulateur du climat est primordial. Seul écosystème, avec les océans et les sols non exploités, capable d’absorber le CO2 produit par les activités humaines, elle est de plus en plus impactée par le réchauffement climatique. Selon l’Inventaire Forestier National, en 10 ans, la mortalité des arbres a augmenté en France de 80 %! Au moment où de plus en plus d’incendies ravagent les poumons verts de la planète, où le réchauffement s’emballe, comment pouvons-nous envisager de détruire ce qui reste de puits de carbone pour produire du kérosène ?  Quand on abat en coupe rase un hectare de forêt française au cours d'une année on fait immédiatement disparaître un puits de carbone capable d'absorber environ 500 tonnes de CO2. Un projet comme celui d’Élyse, en abattant des milliers d'hectares d'arbres par an, détruit donc un puits de carbone qui séquestre des millions de tonnes de CO2 chaque année.  Cette destruction massive de la forêt représente une grande menace pour le climat, car les puits de carbone forestiers, une fois épuisés, n’auront pas le temps de se reconstituer par reboisement d'ici 2050. Pourtant, la période de temps qui nous sépare de 2050 est cruciale pour notre avenir à tous. Elle est celle pendant laquelle tous les efforts doivent être faits pour diminuer les émissions de gaz à effet de serre dues aux activités humaines et accroître les puits de carbone naturels afin de maintenir l’augmentation des températures de la terre en deçà de 2°C.    Par ailleurs, nous devons collectivement être attentifs à l’appétit de la sylviculture industrielle qui voit dans ces projets écocides une ouverture de marché juteux. La « gestion » de nos écosystèmes forestiers qu’elle propose, à base de coupes rases, est contraire aux préconisations de l’Académie des sciences.    Enfin, rappelons que seuls 23 % des Français.es prennent l’avion au moins une fois par an et une majorité se déclare prête à moins voler. Raser de grandes surfaces de forêt pour pouvoir poursuivre la croissance du secteur aérien n’est pas soutenable. Malgré ses dires, l’avion décarboné n’est pas pour demain, là où il y a urgence à sanctuariser nos forets. Il n’y a donc pas d’autre solution à court et moyen terme que de mettre un coup d’arrêt à la croissance du trafic aérien et de le réduire progressivement pour limiter ses impacts environnementaux. A ce sujet, les instances européennes doivent donc également cesser de considérer la forêt comme une matière première dans laquelle on peut puiser à l'infini, sans tenir compte de son rôle essentiel pour le climat.  A travers cette pétition, nous demandons :   1. Au gouvernement de ne pas subventionner ces projets désastreux pour la forêt et le climat avec l’argent du contribuable.   2. A l’Assemblée nationale de voter une loi de protection de la forêt qui suivra les recommandations de l’Académie des sciences, en établissant un ordre des priorités pour l’utilisation de la biomasse forestière, en évitant au maximum sa mobilisation pour des débouchés énergétiques et en interdisant son usage pour la production de carburants de synthèse.  Et urgemment, nous demandons l’arrêt du projet E-CHO à Lacq, du projet Hynovera à Gardanne et de tous les autres projets du même type.
    25 759 sur 30 000 Signatures
    Créée par Forêts Vivantes-Pyrénées
  • NON A LA DESTRUCTION DES FORETS DU CENTRE-FRANCE : NON AU PROJET BIOSYL
    NON A LA DESTRUCTION DES FORETS DU CENTRE-FRANCE NON AU PROJET BIOSYL  La préfète de la Creuse se prépare à valider l’implantation d’une usine à pellets du groupe BYOSIL à Guéret via une simple formalité d’enregistrement administratif, sans enquête publique ni étude d’impact. Selon ses propres promoteurs, cette usine s’approvisionnerait à 80% dans les forêts de feuillus dans un rayon de 130 km autour de Guéret, avec la nécessité de 40 camions par jour et 130 000 T de bois par an, impactant de fait, l’ensemble de la Creuse et les départements limitrophes. Le code forestier et les certifications mises en avant par l’entreprise BIOSYL ne permettent pas de garantir l’absence de bois issus de coupes rases pour la fabrication de granulés de bois. Ainsi, dans la Nièvre, des camions chargés de chênes centenaires issus de la destruction des dernières forêts de feuillus du Morvan approvisionnent encore aujourd’hui l’usine Biosyl de Cosne sur Loire.  Il ne faut pas oublier qu’en parallèle sur le territoire, les coupes rases se multiplient. Plusieurs projets bois énergies, l’agrandissement de la scierie Farges à Egletons et l’export de nos beaux bois vers la Chine mettent déjà en danger la ressource forestière. Etant donné la configuration de ce massif forestier extrêmement morcelé et en l'absence de réglementation forestière adaptée et de contraintes , il est difficilement imaginable que l'usine Biosyl, comme les autres utilisateurs de la ressource déjà en place, s'approvisionnent de façon vertueuse. Comment pourrions-nous laisser faire un tel projet, qui par l’accaparement massif d’une ressource sous tension, ne pourra qu’amplifier les difficultés d’approvisionnement pour les petites et moyennes entreprises de la filière bois ? Destinées initialement à gérer les sous produits de la transformation du bois, les entreprises du bois-énergie sont largement soutenues par de l'argent public en raison de la « transition énergétique » alors que leur production est destinée à brûler et relâcher des gaz à effets de serre. Les unités de production de bois d’œuvre et de construction, qui vont permettre le stockage de carbone dans les maisons sont moins soutenues. Il ne s'agit pas de s'opposer au développement économique et de mettre nos forêts sous cloche. Il s'agit bien au contraire de redonner à nos forêts un statut alliant patrimoine naturel, patrimoine de biodiversité et patrimoine économique. Comment pourrions-nous agréer une décision aussi arbitraire sans qu’aucune étude d’impact ne soit réalisée, sans que les populations concernées ne soient vraiment informées et invitées à donner des avis  éclairés ? L’une des premières missions régaliennes de Mme la Préfète est d’assurer la sécurité de ses concitoyens. Pourtant, en refusant de le soumettre à autorisation ICPE, la question des nuisances sonores, du niveau des émissions de particules fines aussi bien que des potentiels risques d’incendies en zone SEVESO, la Préfecture se refuse inconsidérément d’évaluer et par conséquent de prévenir les risques réels encourus par la ville de Guéret et par tous les habitants de son agglomération. Comment pourrions-nous ne pas nous opposer à une dégradation planifiée de la forêt qui conduira inévitablement à des risques sanitaires majeurs ? Une étude de l’Université de Limoges a ainsi mis en lumière que plusieurs communes du Limousin ne peuvent d’ores-et-déjà plus s’alimenter en eau du réseau à cause de la pollution des sources par l’aluminium, phénomène dû aux coupes rases. Dans l’urgence climatique, il est primordial de préserver la qualité de nos sols, de nos eaux et de préserver la capacité de puits carbone de nos forêts. Le reboisement après coupes rases, avancé par les industriels, ne peut répondre à la problématique environnementale. Pourtant, il existe une gestion durable de la forêt, il est temps de faire connaître et encourager ces pratiques de sylviculture à couvert continu, comme les futaies irrégulières ou jardinées. Elus ou simples citoyens de Creuse, du Berry, de Sologne, du Bourbonnais, d’Auvergne et d’ailleurs, nous sommes tous concernés par l’installation du projet Biosyl . Nous signons cette pétition pour demander à Mme la Préfète de la Creuse de ne pas donner son autorisation pour ce projet dangereux et délétère et nous lui demandons de faire en sorte qu’il soit abandonné pour le bien de toutes et tous. Soutenu par : Canopée Forêts Vivantes - Collectif Forêts SyVa - Groupe Forêt du Syndicat de la Montagne Limousine - Comité de Défense du Bois du Chat - Thierry Thevenin adhérent GNSA - Le Syndicat Simples - Faîte et Racines - Le Comité creusois des Soulèvements de la Terre - Michel Barataud (auteur d’études sur l’écologie forestière) - Sauvons la Goutte Molle - Collectif Forêt Debout - Les Mouvements du Thaurion - Le Champ des Possibles - Les Enforestés - Auprès de Nos arbres
    11 597 sur 15 000 Signatures
    Créée par Collectif SyVa
  • Sauver le poumon vert de Vallauris
    La loi et la nature sont bafouées Une simple amende peut valider ces constructions et la forêt sera à jamais detruite
    214 sur 300 Signatures
    Créée par Christian D.
  • STOP au projet du parc photovoltaïque dans les Bois de Janiol à Grignan
    👉 La direction départementale des territoires (DDT) déconseille fortement l’utilisation des sites agricoles ou naturels pour l’implantation des centrales photovoltaïques : "Il est nécessaire de noter en premier lieu que l'implantation de projet en espace boisé est contraire aux recommandations départementales et la DDT ne pourra évaluer de façon positive ce type de projet" (Point 3.1.3 en page 12 des Recommandations départementales des projets photovoltaïques https://www.drome.gouv.fr/contenu/telechargement/18010/120998/file/20211021_recommandationsdepartementalespv_v5.pdf). 👉 La Commission Départementale de Préservation des Espaces Naturels Agricoles et Forestiers (CDPENAF) a émis un avis défavorable au dossier NEOEN en date du 29 juin 2021 : - considérant que les travaux entraînent la destruction de 9,2 ha de forêt (chênes verts et pubescents) au sein d'un vaste secteur naturel et forestier ; - considérant que l'implantation d'un tel parc sur ce site est de nature à contribuer à la fragmentation de la forêt, et accélère la baisse de la biodiversité ; - considérant que sur le principe de l'évitement, le dossier n'apporte pas la démonstration suffisante de l'impossibilité d'installer ce parc sur une zone de moindre enjeu écologique y compris à l'échelle intercommunale ; - considérant que l'artificialisation de 9,2 ha d'espaces naturels est à l'encontre des objectifs de sobriété foncière et de trajectoire "zéro artificialisation nette" du Plan Biodiversité (juillet 2018) et de la stratégie régionale "Eau-Air-Sol" (mai 2020) ; - considérant que les recommandations à l'échelle nationale et départementale sont de prioriser le développement des parcs photovoltaïques sur le bâti et sur les sites déjà artificialisés ; - considérant les divers impacts potentiels desdits travaux sur les zones naturelles, le réseau écologique, la flore et les habitats naturels de la faune ; - considérant à ce titre que le projet est de nature à modifier les corridors de déplacements et entraîne des destructions d'habitats de vie notamment pour des cortèges d'oiseaux forestiers, pour des mammifères tels que la genette commune et le hérisson d'Europe, pour la vipère aspic ainsi que pour les chiroptères dont la barbastelle d'Europe et le petit rhinolophe ; - considérant que le dossier évoque au titre du défrichement un besoin de compensation de 30 à 32 hectares sans en préciser ni les modalités ni la localisation ce qui ne permet pas d'en apprécier l'impact sur les surfaces agricoles et naturelles ; - considérant que le projet est de nature à compromettre la préservation des terres naturelles, agricoles ou forestières au sens de l'article L122-1-1 du code rural et de la pêche maritime. 👉 Pour limiter l'artificialisation des sols et maitriser la consommation d'espace naturel, les terrains favorables pour ce type d’installation sont les terrains dégradés (friches industrielles, anciennes carrières…) et les zones déjà anthropisées (parkings, toitures…) mais en aucun cas les espaces naturels et boisés. 👉 Nous ne pouvons plus accepter AUCUNE dérogation à la destruction d’espèces protégées à l’ère de la 6ème extinction de masse du vivant. Le défrichement de plus de 9 hectares aurait un impact fort sur la biodiversité, notamment sur les espèces locales*, avec la destruction illégale d'espèces protégées. (*des oiseaux comme l'Alouette lulu ou la Huppe fasciée ; des chiroptères comme la Barbastelle d'Europe ou le Petit Rhinolophe ; des mammifères comme la Genette commune ou le Hérisson d'Europe ; des reptiles comme la Vipère aspic ; des insectes... ) 👉 Par défrichement, il faut comprendre "déforestation" avec retrait des souches. La déforestation a pour effet de rompre l'équilibre systémique de la forêt en exposant à la sécheresse des milieux naguère sous couvert. Les bois et forêt forment un microclimat favorable à la rétention d'eau par les sols (eau verte). En ces périodes de sécheresses successives et d'épisodes caniculaires au cours desquels notre territoire connait régulièrement des restrictions d'eau voire des coupures sur certaines communes (Clansayes, Montségur-sur-Lauzon...), il est urgent de prendre conscience de l'importance de préserver les espaces naturels et les zones boisées. Les forêts et zones boisées participent au cycle de l'eau et jouent un véritable rôle pour la préservation de cette ressource. Elles participent à ce cycle en contribuant à l'évaporation de l'eau qu'elles reçoivent par les précipitations, et ce, au cœur même des territoires. Au cours de ces cycles, l'eau est stockée dans les sols et alimente les nappes phréatiques. Il est donc de notre devoir de préserver ce précieux commun naturel qu'est l'eau.
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    Créée par Collectif pour la sauvegarde des forêts drômoises ". Picture