• Pour des conditions d’apprentissage dignes à l’école à Paris
    Une école inadaptée : un frein à l’apprentissage Les vagues de froid, les périodes de canicule prolongées et les températures extrêmes affectent la concentration des élèves et rendent les conditions de travail des enseignant·es et du personnel des écoles plus difficiles. Ces situations extrêmement difficiles en été à cause du manque d'adaptation et d'isolation du bâti vont s'aggraver avec les conséquences du réchauffement climatiques Un gaspillage énergétique évitable Alors que notre école est encore chauffée au gaz ou au fioul, une énergie fossile très émettrice de gaz à effet de serre, il y a aussi une surconsommation énergétique, liée à une mauvaise isolation et à des équipements vieillissants, ce qui alourdit inutilement la facture de notre commune. Pourtant, des solutions existent : une rénovation énergétique de notre école permettrait de réduire drastiquement la consommation d’énergie, tout en améliorant le confort quotidien des élèves et du personnel éducatif. Nous demandons : De manière urgente :   • La mise à disposition publique du DPE • L'organisation d'un audit énergétique • Publier cet audit énergétique et de s’engager sur un plan d’action d’ici [date] • De trouver une solution d’urgence pour permettre la tenue des cours dans les cas de grand froid/grand chaud • autre  A plus long terme,  De faire de notre école un moteur de la transition écologique, au service du bien-être des élèves et du corps enseignant, et garants d’un avenir meilleur, avec par exemple la mise en place :  • d’une étude de faisabilité pour installer des panneaux solaires sur les toits du/des bâtiments de l’école  • d’un DPE A, B ou C • d’une cour végétalisée pour lutter contre les îlots de chaleur urbains Nous demandons à nos élus de prioriser la rénovation énergétique des écoles et d’y consacrer les moyens nécessaires. Ensemble, faisons de notre école un lieu exemplaire, à la fois respectueux de la planète et garant d’un avenir meilleur pour les générations futures. Signez cette pétition pour dénoncer la situation actuelle et soutenir la rénovation thermique de notre école !
    3 sur 100 Signatures
    Créée par Elodie F.
  • Préservons les espaces naturels du lac des Garrigues et de la vallée de la Mosson (Montpellier) !
    1.  STOPPONS LE DÉCLASSEMENT DES ESPACES BOISÉS DU LAC DES GARRIGUES ET DE LA MOSSON !   • Le lac des Garrigues, situé au cœur des Hauts de Massane dans le quartier de la Mosson à Montpellier, est entouré d'un espace boisé classé (EBC) de 9 hectares. Cet environnement abrite une biodiversité exceptionnelle, avec de nombreuses espèces animales et végétales, dont certaines protégées. La coulée verte reliant le lac à la rivière Mosson constitue un corridor écologique essentiel permettant la circulation de la faune et la dispersion de la flore.   • Pourtant, la mairie de Montpellier envisage de déclasser cet espace en le faisant passer d'EBC à EVP2 (Espace Vert Protégé de niveau 2), autorisant ainsi 5% de constructions, une première étape vers une urbanisation possible à l'avenir.  • Une telle décision signifierait une perte irréversible pour la nature et les habitants. Les inventaires naturalistes menés régulièrement autour du lac des Garrigues ont révélé la présence d'espèces protégées, comme :   • Le Lézard ocellé (Timon lepidus), espèce rare et protégée en France • La Cistude d'Europe (Emys orbicularis), une tortue aquatique en danger • Le Chardonneret élégant (Carduelis carduelis), une espèce classée sur la liste rouge des espèces menacées, dont la population a chuté de plus de 30 % en 20 ans. À ce rythme, il est possible que nous ne puissions bientôt plus entendre leurs chants mélodieux. • De nombreux rapaces et passereaux protégés, témoignant de la richesse écologique du site. • Des chiroptères (chauves-souris) protégés, qui dépendent des espaces boisés pour leur habitat et leur alimentation. La zone allant du lac des Garrigues à la rivière Mosson constitue une trame noire essentielle pour ces chauves-souris, c’est-à-dire une zone exempte de pollution lumineuse permettant leur déplacement et leur alimentation. • Un déclassement prélude à une urbanisation rampante : en effet, le passage en EVP2 offre moins de protections, car il autorise jusqu'à 5 % de constructions sur la surface concernée, ouvrant ainsi la porte à la bétonisation.  • Un espace naturel déjà affecté par :  • L'installation en lettres capitales de 2 m de haut d'un gigantesque « COUCOU » façon HOLLYWOOD et d’autres structures inutiles sur un flanc de la vallée, ainsi que deux énormes damiers géants rose bonbon.  • Le pompage de l’eau de la Mosson par le golf de Juvignac et le stade, sachant que notre région connaît régulièrement des épisodes de sécheresses sévères et que, en période de basses eaux, le cumul de ces prélèvements sur une même rivière peut s'avérer néfaste pour l'écosystème aquatique        2.  UN PROJET INCOHERENT : LA DESTRUCTION DES TENNIS POUR BETONISER  • Le projet prévoit également la destruction partielle du site des tennis pour y construire un bâtiment abritant entre autres une guinguette, situés en pleine pinède près du lac des Garrigues.  • Ce club de tennis, rénové en 2022 pour 113 500 € d’argent public (du moins officiellement), joue un rôle clé dans la vie sociale du quartier en offrant :  • Un espace de mixité sociale et culturelle, favorisant les échanges entre habitants • Un encouragement au sport féminin, permettant à de nombreuses jeunes filles d’accéder à la pratique sportive  • Une opportunité de développement personnel pour les jeunes du quartier, les aidant à grandir dans un environnement sain et dynamique L'association "Fête le Mur" de Yannick Noah, qui gère le club, témoigne de son impact positif sur les enfants et adolescents, les aidant à s'épanouir et à accéder à des compétitions.  • Détruire ces infrastructures va à l'encontre des engagements municipaux en faveur du sport et de la jeunesse. • Un risque écologique et environnemental majeur Le projet présente plusieurs dangers pour l’écosystème local :  • Imperméabilisation accrue des sols, augmentant les risques de ruissellement et d'inondations lors des épisodes cévenols • Risque élevé d'incendies, la zone étant classée en "zone rouge"  • Atteinte aux espèces protégées : la présence de ce bâtiment ainsi que de la guinguette perturberait les animaux qui ne pourraient plus évoluer en toute tranquillité, alors qu'ils n'ont déjà que peu d'espaces pour se réfugier • Fragilisation du couvert forestier, avec l’abattage possible d'arbres pour les travaux  • Menace pour la qualité de vie des habitants, avec une dégradation du cadre naturel et une perte d'espaces de loisirs   Les habitants disent NON ! Ces projets menacent un site remarquable, essentiel à l’équilibre écologique du quartier et au bien-être de ses habitants. Il est urgent de les stopper !  Signez la pétition pour préserver les espaces boisés du lac des Garrigues et de la Mosson ainsi que la zone naturelle du tennis des Garrigues !  Ajoutez votre signature et partagez ce message avec vos proches, amis et tous ceux qui souhaitent protéger notre environnement. Plus nous serons nombreux, plus nous aurons de chances de faire entendre notre voix ! Merci pour votre soutien !  Le collectif « Préservons la nature aux Hauts de Massane » 
    1 163 sur 2 000 Signatures
    Créée par Collectif Hauts-de-Massane
  • Non au futur stade du PSG sur une zone de nature exceptionnelle
    Le Contexte : La communauté d’agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines affirme sa volonté d’offrir 50 hectares de nature, situés sur l’Île de Loisirs, en plein cœur de l'agglomération, pour y construire un stade entre 50.000 et 90.000 places, destiné à remplacer le parc des Princes. En effet, celui-ci, propriété de la Ville de Paris, serait jugé trop petit pour les ambitions du PSG version Qatar. Si l'agglomération ne voit pas de limite (en référence à une pleine page de publicité, dans le journal l’Équipe du 16 décembre 2024, vantant SQY comme n’ayant pas de limite et prête à tout pour accueillir le stade du club parisien), nous en avons identifié quelques-unes. Des limites écologiques, puisque cette construction de béton et de bitume, viendra altérer et artificialiser 50ha de nature situés dans ce poumon vert que constitue l’Île de Loisirs.  A l’heure où le GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat) et l’IPBES (groupe international d'experts sur la biodiversité) affirment la nécessité de préserver les puits de carbone et les zones de biodiversité, afin de contrer les effets du dérèglement climatique, à l’heure où le rythme de l’artificialisation des sols devrait être divisé par 10 selon l’ADEME et respecter la loi Climat et Résilience visant le ZAN, Zéro Artificialisation Nette, il s’agit là non seulement d’un Grand Projet Inutile mais d’un projet néfaste pour l’avenir des humains et des non-humains : Pour la biodiversité, outre la destruction de 50 ha de sols riches en organismes vivants, les nuisances sonores et lumineuses vont aussi impacter tous les espaces aux alentours, dont la zone Natura 2000 et condamner la faune restante. La destruction de ce puits de carbone et son artificialisation renforceront les effets des îlots de chaleur délétères aux niveaux des quartiers d’habitation environnants. La pollution de l’air augmentera, liée aux transports nécessaires des supporters, qui viendraient essentiellement en voitures individuelles. Rappelons que cette base de loisirs a déjà été amputée de 4,3 ha pour construire le vélodrome national à partir de 2011. Des limites financières : L’état des finances de l’État et les répercussions sur les besoins de financement des collectivités locales, ne sont pas compatibles avec ce projet, qui est loin de répondre aux besoins essentiels et prioritaires des citoyens. Même si les propriétaires du PSG, financent l’essentiel du gros œuvre, il y aura immanquablement des frais importants qui resteront à la charge de SQY : accès, transports, infrastructures (fourniture d’eau et d’énergie), nettoyage, et… campagnes de communication. De plus, le centre commercial associé entrera en concurrence frontale avec les commerces situés en centre ville de Montigny qui sont déjà en souffrance. Le gain économique présupposé est à mettre dans la balance de la vivabilité de notre territoire dans le temps. Des limites citoyennes : Cet espace est aussi un poumon vert indispensable aux habitants, tout particulièrement aux habitants de Montigny des quartiers populaires des Prés et du Pas du Lac (quartier coincé entre les deux voies rapides très fréquentées que sont l’A12 et la RN10), ainsi que pour les habitants de Trappes. Pour ces habitants, qui n'ont pas été concertés, c’est le seul espace vert qui soit à moins de 1 km, accessible en mobilité active grâce à des passerelles et de multiples entrées piétons.  Pour toutes ces raisons, signez dès maintenant cette pétition et montrons rapidement notre opposition aux décideurs.
    12 699 sur 15 000 Signatures
    Créée par SILSQY - Collectif "Sauvons notre Ile de Loisirs de Saint-Quentin-en-Yvelines"
  • Pour une montagne habitable, non aux Jeux Olympiques et Paralympiques d'hiver 2030 dans les Alpes !
    Les Alpes Françaises ont été sélectionnées par le CIO (Comité International Olympique) pour accueillir les Jeux Olympiques et Paralympiques d'hiver en 2030. Décidée sans concertation, construite en un temps records, absente de tout programme électoral et de tout budget - qu'il soit local ou national -, la candidature des Alpes françaises a été portée par les présidents des régions Auvergne-Rhône-Alpes (AURA) et Provence-Alpes-Côtes-d'Azur (PACA), par le Président de la République et par quelques personnalités locales souhaitant tirer leur épingle des jeux.  A l'heure du réchauffement climatique, le déni est devenu un sport de compétition et nous voyons se nouer autour des JOP d'hiver 2030 les mécanismes de l'échec écologique de nos sociétés : l'action des lobbys avec la complicité des politiciens, le mépris de la démocratie et le refus du changement vers une montagne et des pratiques sportives plus résilientes. Les populations semblent d’ailleurs partager largement ce constat, comme en témoigne le sondage réalisé par le magazine de montagne Alpine Mag : à la question “Etes-vous pour ou contre l’organisation des Jeux Olympiques d’Hiver 2030 dans les Alpes” 89% des milliers de répondants se sont positionnés contre.  Ces jeux font peser plusieurs périls sur les régions hôtes : • endettement des territoires pour des investissements en faveur du tourisme hivernal • dépendance accrue aux ressources des sports d'hiver, pourtant voués à une disparition programmée à court, moyen ou long terme, • fragilisation et artificialisation de milieux naturels et agricoles • perturbation du cycle de l'eau avec la construction de retenues d'eau pour assurer l'approvisionnement en neige de culture • spéculation immobilière et gentrification de la montagne • contribution massive au réchauffement climatique (3 millions de tonnes de CO2 en moyenne pour trois semaines de fête) Sous couvert d’une grande fête sportive internationale, les JOP produisent du déficit public et des ravages sociaux, écologiques et démocratiques. Ils font peser la menace d'une montagne inhabitable pour les habitants les plus modestes. Le projet de JOP 2030 n'est pas en adéquation avec les besoins des habitants des régions Auvergne-Rhône-Alpes et Provence-Alpes-Côtes-d'Azur. Les montagnes ne sont pas un parc d'attraction, nous voulons des investissements pour : • se préparer au réchauffement climatique (digues, restauration des terrains de montagne etc.) et notamment entretenir les routes du quotidien, abîmées de plus en plus durement chaque année par le réchauffement climatique. Nous ne voulons pas de tunnels sous les ronds points, de 2X2 voies, de rocades etc. utiles uniquement pour les quelques week-end congestionnés lors des vacances d'hiver! • isoler les logements et construire des logements sociaux tout de suite (nous ne voulons pas attendre la transformation en logements d'un hypothétique village olympique niché en haut d'un fort...) • développer le transport ferroviaire du quotidien (nous ne voulons pas d'une ligne rapide entre Marseille et Briançon) • soutenir les activités économiques d'avenir : activités agricoles (élevage, maraîchage, pastoralisme), éco-construction (nous rappelons que la Région PACA a retiré son soutien à la création d'une haute école du bois dans les Hautes-Alpes... ), services du soin, industries décarbonées, culture etc. • développer enfin un autre imaginaire pour l'avenir de la montagne que celui de l'or blanc.  Toutes les dérives décrites ne sont pas spécifiques à cette édition 2030 dans les Alpes, le fonctionnement des Jeux et du CIO est problématique depuis très longtemps et amène partout les mêmes difficultés : corruption, endettement périlleux, gentrification, gabegie écologique.  Signez la pétition et retrouvez le collectif NO JO surhttps://no-jo.fr/ Cette pétition est un des moyens de lutte essentiel contre l'organisation des JOP, et plus largement pour un débat sur les événements olympiques. D'autres moyens sont utilisés par les collectifs contre les JOP : recours juridiques, pression ou dialogue avec les élus, réunions publiques, manifestations, blocages etc. Tous ces moyens sont utiles pour dénoncer l'obstination à poursuivre un modèle économique destructeur. Pour des informations détaillées sur l'impact des JOP de Paris et d'ailleurs :https://saccage2024.noblogs.org/ Signez la pétition et retrouvez le collectif NO JO sur https://no-jo.fr/
    11 472 sur 15 000 Signatures
    Créée par Collectif NO JO Alpes
  • NON à une nouvelle suppression de poste d'enseignant.e à Jules Ferry, Mauriac
    Madame l’Inspectrice, Nous, représentants des parents d’élèves de l’école Jules Ferry de Mauriac, vous adressons ce courrier pour exprimer notre vive inquiétude concernant la suppression possible d’un poste d’enseignant à la rentrée prochaine. En effet, cette perspective inquiète profondément les familles et l’équipe pédagogique, d’autant plus qu’un poste a déjà été supprimé cette année. La suppression d’un second poste aurait des conséquences importantes sur la qualité de l’enseignement, dans un contexte où les besoins spécifiques des élèves augmentent de manière significative. Notre école connaît une évolution, marquée par l’accueil, depuis cette année, d’une classe externalisée de l’Institut Médico-Éducatif (IME). Cette initiative, saluée par tous, reflète la vocation inclusive de l’école (un dispositif ULIS existe déjà au sein de l’école) mais s’accompagne également de défis pédagogiques accrus. De plus, comme dans de nombreuses écoles, les enseignants doivent faire face à une augmentation significative du nombre d’élèves à besoins éducatifs particuliers, nécessitant un accompagnement renforcé et des moyens humains adaptés. La réduction des effectifs enseignants compromettrait directement leur capacité à accompagner ces élèves dans les meilleures conditions. En parallèle, la commune de Mauriac s’investit pleinement dans l’amélioration des infrastructures scolaires. Des travaux d’amélioration du bâtiment ont déjà été réalisés, et d’autres sont programmés pour les mois à venir. Cet engagement de la municipalité témoigne d’une volonté forte de soutenir l’éducation et de garantir un cadre d’apprentissage de qualité pour les enfants. L’Association des Parents d’Élèves (APE) de l’école Jules Ferry est également particulièrement active. Grâce à ses actions, les élèves bénéficient régulièrement de financements pour des projets pédagogiques et des activités éducatives enrichissantes. L’APE est un véritable moteur pour dynamiser la vie scolaire et renforcer l’attractivité de l’établissement. Dans ce contexte, nous estimons qu’une suppression de poste serait en contradiction avec les efforts conjoints de l’ensemble des acteurs de la communauté éducative – enseignants, parents, élus locaux – pour offrir à nos enfants les meilleures conditions d’apprentissage possibles. Nous sommes convaincus que cet engagement collectif mérite d’être accompagné par une reconnaissance institutionnelle, notamment en maintenant l’ensemble des postes nécessaires pour garantir un enseignement de qualité. Nous vous remercions par avance pour l’attention que vous porterez à notre demande et restons à votre disposition pour échanger avec vous sur les spécificités et les besoins de notre école. Nous espérons également que notre inquiétude sera relayée à votre successeur.  Dans l’attente de votre retour, nous vous prions d’agréer, Madame l’Inspectrice, l’expression de nos salutations respectueuses.   Les représentants des parents d’élèves de l’école Jules Ferry.
    174 sur 200 Signatures
    Créée par Caroline G.
  • Sauvons l'accès aux plaines brûlées depuis Chastreix-Sancy!
    Zone d’estives et de randonnée l’été, zone de ski nordique, raquettes et chiens de traineau l’hiver, les Plaines Brûlées s’étendent de Chastreix-Sancy au Capucin qui surplombe la ville du Mont-Dore . Cet espace naturel préservé est située sur les communes de Chastreix et La Tour d’Auvergne. Le 20 décembre 2024 débutait la saison touristique hivernale. Cependant, le  passage sur les sentiers historiques traversant le terrain jouxtant la station de Chastreix-Sancy et sur lequel passent des pistes de ski de fond et raquettes, était interdit, rendant impossible le départ depuis la station. Le passage des marcheurs, trailleurs, VTTistes, cavaliers, était également impossible depuis avril 2024. Plusieurs commerces, producteurs de Saint-Nectaire, prestataires d'activités, hébergeurs de Chastreix et des communes alentours ont été directement ou indirectement impactés par cette fermeture. Par ailleurs, la commune, la Réserve Naturelle de Chastreix-Sancy et ses acteurs socio-économiques sont en train de bâtir une stratégie de diversification 4 saisons de l'offre touristique. Cet élément vient fragiliser leur travail. INFO MI JANVIER 2025 : Après plusieurs tentatives infructueuses, une négociation des pouvoirs publics locaux sous l'égide du Préfet a permis un accord temporaire avec le propriétaire pour la réouverture du passage pour le reste de la saison hivernale. Pour l'avenir, le Préfet a propsoé la mise en place de la procédure pour reconnaître officiellement l'existence d'une servitude permettant les activités nature d'hiver et d'été. Notre mobilisation doit se poursuivre. Les pouvoirs publics doivent continuer d'agir pour obtenir la reconnaissance d'un droit de passage durable. Cet incident local n'est pas le premier conflit d'accès à la Nature sur le Massif ou sur le territoire national.  C'est aussi pour cette raison que s'est monté le collectif citoyen Touche pas à mon Sancy, regroupant des socioprofessionnels, des agriculteurs, des pratiquants et prestataires d'activités de Pleine Nature, et des citoyens qui souhaitent défendre les accès à la Montagne. 
    7 015 sur 8 000 Signatures
    Créée par Collectif Touche pas à mon Sancy
  • Trains trop chers, la solution : taxons l'avion ✈️
    Vous est-il déjà arrivé de prendre l’avion plutôt que le train pour des raisons de budget ? Avez-vous déjà eu envie de réduire, voire d'arrêter de prendre l’avion par conviction écologique même si pour certains déplacements importants (comme retrouver votre famille à noël) vous n’en avez pas toujours les moyens ? Et bien figurez vous que si l'avion coûte si peu cher comparé au train, c'est avant tout le résultat d'un choix politique. Un choix politique sur lequel on peut aujourd’hui revenir.  Car le gouvernement est en ce moment même en train de peaufiner son nouveau projet de loi finances. L’occasion de rétablir des mesures justes et efficaces, comme le relèvement de la taxe de solidarité sur les billets d’avion, dite « Taxe Chirac ».  Cette taxe, qui existe depuis 2005, est calculée selon la destination finale et la classe de voyage (économique ou classe affaires). Prélevée auprès des compagnies aériennes, elle aurait exactement le même effet qu’une taxe sur le kérosène mais sans attendre que tous les pays se mettent d’accord au niveau européen ou international. Aujourd’hui son montant est dérisoire et ne permet absolument pas ni de remplacer une taxe sur le kérosène ni de financer le ferroviaire (2,50 € pour les vols vers l’Europe et 7€ pour les vols à l’autre bout du monde). Quand, dans d’autres pays européens comme le Royaume-Uni, elle va jusqu’à 100 euros pour un voyage transatlantique. Ce que nous demandons, c’est qu’elle soit aujourd’hui réévaluée selon les recommandations de la Convention citoyenne pour le climat à :  • 30 euros pour les courts courriers • 60 euros pour les longs courriers Bien sûr, il n’est pas question de pénaliser les Ultramarins qui n’ont souvent pas d’autre alternative que l’avion. Les vols vers les Outre-mer bénéficieraient ainsi d’un statut fiscal particulier, et seraient donc entièrement exonérés. Ce relèvement de la « Taxe Chirac » réduirait les émissions du secteur aérien de 8 %, en ciblant en priorité les plus aisés, et en générant près de 4 milliards d’euros supplémentaires de recettes, qui seraient ensuite directement fléchés vers le secteur ferroviaire, selon les modélisations du Réseau Action Climat.  En utilisant encore plus spécifiquement cet argent pour les projets de régénération et de modernisation du réseau ferroviaire, on pourrait démultiplier l’offre ferroviaire, et diminuer le coût d’un voyage en train. Une partie de ces recettes pourrait également être utilisée pour offrir un billet de train par an à très petit prix pour tous les Français A plus long terme, il nous semble également indispensable que les députés étudient une autre mesure qui pourrait s’avérer encore plus juste et efficace et qui pourrait se substituer à la « Taxe Chirac » : la taxation des grands voyageurs (TGVA). Nous refusons de cautionner une année de plus ce régime fiscal d’exception qui profite toujours aux mêmes personnes et qui alimente la crise climatique. C’est pourquoi nous demandons à nos députés de prendre cette mesure fiscale simple, socialement juste, crédible et facile à mettre en place, qui permettra de réduire les émissions du secteur aérien et de financer le ré-investissement dans le secteur ferroviaire. Signez la pétition et interpellez les parlementaires à nos côtés, nous n’avons que quelques jours pour prendre un tournant plus juste et durable. Signataires : Camille Etienne avec le Réseau Action Climat (RAC), Rester sur Terre et Fridays For Future France. Références :  • Rapport du réseau action climat “Comment réduire le trafic aérien de manière juste et efficace”, 2024  : https://reseauactionclimat.org/wp-content/uploads/2024/09/rac-trafic-aerien-web.pdf  • Scénarios de décarbonation du trafic aérien, ADEME 2022 : https://librairie.ademe.fr/mobilite-et-transports/5815-elaboration-de-scenarios-de-transition-ecologique-du-secteur-aerien.html • Décryptage “Rester sur Terre”, “L’aviation, c’est bien plus que 2 % du réchauffement ! Comment le secteur aérien minimise son impact climatique” : https://rester-sur-terre.org/aviation-bien-plus-que-2pourcent-du-rechauffement-comment-le-secteur-aerien-minimise-son-impact-climatique/
    26 767 sur 30 000 Signatures
    Créée par Camille Etienne
  • Nettoyage du port de Vannes
    Nous avons remarqué que le port est pollué et ça nous impact. Ce problème, comme vous avez pu le remarquer lors de ces dernières inondations, en partie provoquées par l'accumulation de déchets en tout genre ; notamment les mégots de cigarette, les trottinettes, le plastique, entraîne une pollution de l'environnement. Par conséquent, vous comprenez que cette accumulation induit également d'autres problèmes. Premièrement, les déchets jetés entraînent une pollution visuelle qui peut avoir des conséquences sur le tourisme. Aussi, la santé publique et la vie marine sont menacées, avec un risque de propagation de la pollution dans le golfe dû aux marées. Nous, les services civiques de l'AFEV du Pôle Vannes, demandons un nettoyage approfondi du port par des personnes compétentes. Cela permettra de rendre le port plus attractif et plus propre. Nous souhaitons qu'à la rentrée scolaire prochaine, des mesures concrètes aient été mises en place.
    78 sur 100 Signatures
    Créée par Transition Juste Picture
  • Non à la suppression d’un terrain de tennis aux Hauts de Massane et stop à la bétonisation !
    Les habitants sont d’autant plus surpris que ce club de tennis a fait l’objet d’une rénovation en 2022 qui a coûté (officiellement) 113 500 € d’argent public ! Une demande a été faite à la mairie pour nous confirmer ce chiffre qui, à ce jour, demeure sans réponse.  Aujourd'hui, la mairie parle de détruire un seul terrain sur les cinq, mais le fait de prévoir de déclasser l'ensemble des terrains de tennis de zone naturelle à zone urbaine, ne nous garantit en rien que l'ensemble du site ne soit pas préservé de bâtiments. Le site est implanté en plein cœur de la pinède qui entoure le magnifique lac des Garrigues. Il se compose de 5 courts de tennis en béton poreux qui limite l'imperméabilisation des sols, de 2 courts de tennis en gazon synthétique et d’un mur de frappe. Le club de tennis, géré par l’association Fête le Mur fondée par Yannick Noah, apporte énormément de points positifs pour la ville et ses habitants :  • Il participe à la vie sociale du quartier et favorise une certaine mixité sociale dans la mesure où il profite  non seulement aux habitants du quartier mais aussi à des habitants d’autres quartiers  • Il encourage énormément le sport féminin, offrant une opportunité précieuse aux jeunes filles  • Cette suppression est en contradiction avec la volonté de la mairie de faire monter en puissance le club et et de favoriser la pratique sportive de tous, d’autant plus le quartier est caractérisé par une population très jeune.  • On peut lire sur le site de l’association Fête le Mur qui gère le club : “Le site Fête le Mur Montpellier est un lieu où l’on trouve convivialité, solidarité, mixité sociale et culturelle. Notre action sur la cité consiste avant tout à utiliser le tennis comme un outil pour aider les enfants et adolescents à s’épanouir, à vivre et à grandir ensemble dans un esprit solidaire et citoyen. Nous permettons également aux plus motivés d’accéder à la compétition. De fait les licenciés de Fête le Mur Montpellier découvrent d’autres lieux, d’autres sites en France et rencontrent des jeunes de différents milieux. Les adultes et les parents ne sont pas en reste puisqu’ils ont également la possibilité de se confronter à d’autres clubs mais aussi d’assister à des tournois ATP, WTA et même du grand chelem (Roland Garros).”  Ce batiment vise a accueilir l’association Uni’Sons. Nous n’avons rien contre cette association mais nous ne comprenons pas pourquoi la mairie a choisi ce site naturel pour l'implantation de cette association alors qu’il existe d’autres options pour ses nouveaux locaux.  Ecologiquement parlant, ce projet présente plusieurs risques :  • d’imperméabiliser encore plus le site qui est entouré d’une zone naturelle protégée où il y a une certaine biodiversité dont écureuils roux et de nombreuses espèces d’oiseaux dont certaines classées sur la liste rouge des espèces menacées comme le chardonneret élégant.  • de favoriser le ruissellement et les éboulements de terrain : lors des orages et épisodes cévenols, le ruissellement induit par la pente est très important. Les terrains existants sont dotés de revêtements poreux permettant de limiter le ruissellement des eaux alors que la construction de ce bâtiment induirait le contraire.  • le site est situé en zone rouge à très fort risque d’incendie, plusieurs incendies majeurs ayant eu lieu par le passé.  • les habitants craignent que les arbres qui entourent le terrain soient fragilisés voire abattus par les engins de chantier.  Les habitants s’élèvent avec force contre ce projet, dans une zone de pleine nature. Il est urgent de stopper ce projet !  Pour nous aider à préserver ce site remarquable, signez la pétition « Non à la suppression d’un terrain de tennis aux Hauts de Massane et stop à la bétonisation de ce quartier ! »  Ajoutez simplement votre signature, puis aidez-nous à mobiliser le plus de personnes possible autour de notre action, en transférant ce message à vos proches, votre famille, vos amis et tous ceux qui, comme vous, ont à cœur de défendre la pratique universelle du sport et ce qui fait la beauté de nos paysages et de notre patrimoine ! Plus nous serons nombreux, plus nous aurons de chances d’être entendus pour stopper ce projet désastreux avant qu’il ne soit trop tard.   D’avance, un grand merci pour votre participation!  Le collectif « Préservons les Hauts de Massane. »
    3 307 sur 4 000 Signatures
    Créée par Collectif Hauts de Massane
  • Pour une vraie démocratie participative à Marseille : signez pour la votation citoyenne !
    Cette initiative s’inscrit dans le cadre de La Cité des possibles - Arrivée du Tour Alternatiba, qui a pour objectif la transformation des territoires. Nous demandons l'instauration de votations citoyennes à minima annuelles à Marseille.  Marseille, un besoin essentiel d'adaptation au dérèglement climatique Notre constat alors que les enjeux liés au changement climatique sont gigantesques et participent à l'effondrement de la biodiversité :  • La prise de conscience collective est présente mais les actions restent largement insuffisantes pour répondre à ce défi. • Les habitantes et habitants ont pourtant envie de participer.  • Au niveau national, la Convention Citoyenne pour le Climat a été un modèle d'implication mais ses préconisations ont été bafouées par un pouvoir qui privilégie l'économie à la vie alors que ces mesures auraient pu être soumises à un référendum. En ces temps où les atteintes à la démocratie se renforcent, il faut accélérer la participation citoyenne, ne pas se contenter de proposer aux électrices et aux électeurs un vote de temps en temps et redonner plus de pouvoir de décision aux habitantes et habitants. Pas de transition écologique et sociale sans véritable démocratie Localement, il y a des améliorations notables dans les concertations et des expériences commencent à voir le jour, avec notamment la création de l'Assemblée Citoyenne du Futur, le budget participatif ou le Conseil de Développement de la Métropole, mais il faut aller plus loin et plus vite ! Ailleurs (Paris, Poitiers, Grenoble, Quimper, ..) la démocratie participative est bien plus avancée et donne de bons résultats quand la population est consultée. Notre proposition  • Les Marseillaises et les Marseillais se prononceront sur une votation citoyenne par an concernant la ville et une votation citoyenne par an concernant chacun des 8 secteurs de la ville. • Les propositions soumises à la votation citoyenne seront formulées par une assemblée citoyenne chargée d'en évaluer le caractère non discriminatoire et la faisabilité, appuyée par des expertes et experts, associations, comités de quartier et autres collectifs. • Nous demandons que les institutions concernées s'engagent à respecter le résultat de ces votes et les mette en application dans les deux ans.  • Nous demandons que la Mairie organise les votations citoyennes, et que la 1re édition le soit d'ici octobre 2025.  Remarque : l'assemblée citoyenne pourrait être l'Assemblée Citoyenne du Futur ou une assemblée populaire auto organisée L'objectif D'après le règlement intérieur de la Ville de Marseille, pour que l'instauration de votations citoyennes soit débattue en conseil municipal, il suffit de réunir 10 000 signatures d'électrices et électeurs de la Ville de Marseille ! Si cet objectif est atteint, nous veillerons à ce que la Métropole en débatte également en conseil métropolitain.  Pour une vraie démocratie participative: signez pour la votation citoyenne à Marseille ! Quelque soit votre lieu de vote ou de résidence, même si vous ne votez pas à Marseille, votre signature est très importante pour signifier votre soutien. Le Tour Alternatiba 2024 est parti de Nantes le 1er juin et arrivera à Marseille du 4 au 6 octobre) 
    3 390 sur 4 000 Signatures
    Créée par La Cité des possibles
  • Nos quartiers ont besoin d'une bouffée d'air !
    Comment pouvons-nous ne pas nous indigner ? Particules fines, quartiers bétonnés, autoroutes et usines à proximité de nos écoles… Depuis toujours, on étouffe. Il aura fallu attendre les JO 2024 pour mettre en lumière la différence de traitement de nos quartiers. Les athlètes auront le droit de respirer un air plus propre, mais évidemment… pas nous ! Même si la dernière analyse sur l’exposition des quartiers populaires à la pollution de l’air date de 1995, les statistiques récentes nous alarment : La surexposition aux particules fines tue entre 40 000 et 100 000 personnes chaque année en France. Surtout dans nos banlieues, où les gens ont 3 fois plus de risques de décéder après un épisode de pollution. L’injustice ne s’arrête pas là, puisque les enfants de familles modestes sont plus exposés et plus vulnérables : 3 enfants sur 4 respirent un air pollué. Que notre message soit clair, notre santé ne sera dorénavant plus laissée pour compte. En Seine-Saint-Denis et dans de nombreuses villes de banlieues, la pollution nous expose à des dangers constants pour notre santé au quotidien : troubles respiratoires, asthme, allerges, anxiété, cancers, maladies cardiovasculaires… Il est temps que les autorités prennent leurs responsabilités et engagent des politiques qui comprennent le danger de la pollution de l’air. C’est pourquoi nous réclamons des mesures d'urgence et des investissements massifs pour les transports en commun, les ZFE et les espaces verts : 1/ Nous appelons à des mesures concrètes pour améliorer le réseau de transports en commun et le rendre à la fois efficace et abordable pour tous les franciliens. Afin d'encourager la population à délaisser les voitures individuelles, l'accessibilité financière des transports en commun est nécessaire pour garantir l'égalité d'accès aux déplacements et pour réduire les inégalités sociales en matière de mobilité. 2/ Nous insistons également sur l'importance d'appliquer des exigences de justice sociale aux mesures de réduction du trafic routier. Environ 13 millions de Français.es sont estimé.es en situation de “précarité mobilité”, et dépendent entièrement de leur voiture ou ne disposent pas de moyen de transport régulier. Les bénéfices sanitaires des zones à faibles émissions (ZFE) doivent bénéficier à tous les habitants, en particulier ceux des quartiers populaires. De plus, il est crucial de créer des espaces verts et sans voitures accessibles à tous·tes, en particulier dans les quartiers populaires et près des écoles. L’initiative des "Rues aux écoles" est un exemple concret de mesures visant à protéger nos enfants des dangers de la circulation motorisée et de la pollution pour leur bien-être et leur sécurité. 3/ Nous demandons une transparence totale dans l’accès des données sur la qualité de l'air au public, notamment pour une meilleure prise en compte des enjeux sociaux dans les études d’impact dans les quartiers populaires. Nous insistons sur la nécessité d'assurer aux citoyens concernés un accès à la justice pour contester les actions de l'État et leur garantir le droit à la compensation et à la réparation des dommages liés à la santé. Une réelle implication des personnes vulnérables est indispensable dans l’élaboration des politiques de santé environnementale pour que chacun·e puisse contribuer aux décisions qui façonnent son cadre de vie. En signant cette pétition, vous soutenez notre détermination à défendre notre droit à un environnement sain, et contribuez avec nous à exiger des actions concrètes de la part des autorités. Cette pétition a servi de point de départ à la discussion que nous, les jeunes, avons porté auprès des élus franciliens dans le cadre du Parlement Génération Climat à l’Académie du Climat le 30 mars 2024, à présent allons plus loin. Rejoignez-nous dans notre combat contre la pollution de l’air ! Rania et Corentin de Banlieue Climat, Maël de Pour Un Réveil Ecologique et Léo de Oxfam Paris. (1) Analyse RESPIRE Carte IDF 2013-2019 (respire-asso.org) (2) À l’aube des J.O 2024, où en est la qualité de l’air à Paris ? | CNRS Terre & Univers Teqoya J0 2024 - Village athlètes air purifié (teqoya.fr) (3) « L’écologie, un truc de bourgeois » Socialter, n°62, février-mars 2024, page 44 (socialter.fr) (4) Karn Vohra, Alina Vodonos, Joel Schwartz, Eloise A. Marais, Melissa P. Sulprizio, Loretta J. Mickley, Global mortality from outdoor fine particle pollution generated by fossil fuel combustion: Results from GEOS-Chem, Environmental Research, Volume 195, 2021, 110754, ISSN 0013-9351, https://doi.org/10.1016/j.envres.2021.110754. (5) De l'Injustice Sociale dans l'Air - Rapport de l'UNICEF et Réseau Action Climat (6) La pollution de l'air en 10 questions (ademe.fr) (7) Rapport Mobilités Solidaires : pour un passage à l'échelle - Laboratoire de la Mobilité Inclusive (mobiliteinclusive.com) (8) Baromètre : 13,3 millions de Français en situation de précarité mobilité (fnh.org) (9) Plus de 200 « rues aux écoles » dans Paris - Ville de Paris www.greenvoice.fr/assets/uploads/2024/03/CLT.png
    3 512 sur 4 000 Signatures
    Créée par Banlieues Climat, Pour un Réveil Ecologique, Oxfam Paris
  • Pour des politiques locales solidaires et écologiques dans l'Aube
    Le contexte : Aujourd'hui, nous sommes de plus en plus nombreux.ses à appeler à une transition de notre société face aux grands enjeux qui la menacent : changement climatique, chute de la biodiversité, explosion des inégalités, déficit démocratique, etc. Or, pour agir, le niveau individuel est insuffisant. Il faut donc changer d'échelle et de politiques. Au niveau local, le Pacte pour la Transition offre donc de nombreuses opportunités pour engager les élus et structurer les politiques locales. Le Pacte pour la transition : Co-créé par 54 Mouvements Citoyens, ces collectifs ont interrogé des citoyens et des experts afin de co-rédiger 3 principes et 32 mesures sur lesquelles les mouvements se sont mis d’accord. Aujourd'hui, ces mesures sont proposées aux communes et intercommunalités de l'Aube, afin qu’ils s'engagent sur chacune d'elles. Le Plan d'actions du Pacte : Premier semestre 2024 1.    Faire connaître localement le Pacte au plus grand nombre en nous appuyant sur les réseaux locaux et plateforme.s de pétition   Deuxième semestre 2024 : 2.    Soumettre les mesures du Pacte aux communes et intercommunalités 3.     Faire signer le Pacte 4.    Evaluer la politique menée par un cabinet externe spécialisé (à la charge des communes) 5.    Planifier leurs actions   2025/2026 : 6.    Evaluer la progression à 6 mois, un an, deux ans   Communiquer aux médias et signataires le respect des engagements à chaque étape     LES 3 PRINCIPES : # Principe A : Sensibilisation et formation à la transition  Impulser et soutenir des actions de sensibilisation et de formation sur la transition auprès de différents publics : élu·es, agent·es territoriaux, jeunes, habitant·es, acteurs économiques, etc.     # Principe B : Co-construction des politiques locales  Engager un processus de construction collective des politiques locales, en associant élu·es, citoyen·nes, agent·es et représentant·es des acteurs locaux, notamment pour la mise en œuvre et le suivi des engagements du Pacte pour la Transition.     # Principe C : Intégration des impacts à long terme et de l’urgence climatique et sociale  Pour répondre à l'urgence climatique et sociale, intégrer des critères environnementaux et sociaux, ainsi que les impacts à long terme décisifs dans les arbitrages des projets locaux et dans l’organisation de la commune et ses groupements. PARMI LES 32 MESURES : -          Appuyer la structuration de filières paysannes, bio et locales, rémunératrices pour les agriculteurs et agricultrices. -          Se doter d’une politique ambitieuse d’achats publics responsables (incluant des dispositions  sociales, environnementales et locales) -          Préserver et mobiliser le foncier agricole et accompagner l'installation de nouveaux agriculteurs et agricultrices dans une logique paysanne. -          Proposer une alimentation biologique, moins carnée, locale et équitable dans la restauration collective. -          Préserver et développer les trames vertes (couvert végétal), bleues (cycles de l'eau), brunes (sol) et noires (éclairage) pour redonner sa place au vivant sur le territoire. -          Protéger la ressource en eau, en assurer une meilleure qualité et un accès garanti à toutes et tous, en la considérant comme un bien commun.  -          Renforcer l’offre, l’accès et l’attractivité des transports en commun sur le territoire et prioriser les mobilités actives (marche, vélo) dans l’espace public -          Alimenter les bâtiments et l’éclairage publics en énergie 100% renouvelable et locale -          Et, les autres en ligne sur le site : https://www.pacte-transition.org/#mesures
    74 sur 100 Signatures
    Créée par Collectif Solidaire et Ecologique d. Picture