• Nos quartiers ont besoin d'une bouffée d'air !
    Comment pouvons-nous ne pas nous indigner ? Particules fines, quartiers bétonnés, autoroutes et usines à proximité de nos écoles… Depuis toujours, on étouffe. Il aura fallu attendre les JO 2024 pour mettre en lumière la différence de traitement de nos quartiers. Les athlètes auront le droit de respirer un air plus propre, mais évidemment… pas nous ! Même si la dernière analyse sur l’exposition des quartiers populaires à la pollution de l’air date de 1995, les statistiques récentes nous alarment : La surexposition aux particules fines tue entre 40 000 et 100 000 personnes chaque année en France. Surtout dans nos banlieues, où les gens ont 3 fois plus de risques de décéder après un épisode de pollution. L’injustice ne s’arrête pas là, puisque les enfants de familles modestes sont plus exposés et plus vulnérables : 3 enfants sur 4 respirent un air pollué. Que notre message soit clair, notre santé ne sera dorénavant plus laissée pour compte. En Seine-Saint-Denis et dans de nombreuses villes de banlieues, la pollution nous expose à des dangers constants pour notre santé au quotidien : troubles respiratoires, asthme, allerges, anxiété, cancers, maladies cardiovasculaires… Il est temps que les autorités prennent leurs responsabilités et engagent des politiques qui comprennent le danger de la pollution de l’air. C’est pourquoi nous réclamons des mesures d'urgence et des investissements massifs pour les transports en commun, les ZFE et les espaces verts : 1/ Nous appelons à des mesures concrètes pour améliorer le réseau de transports en commun et le rendre à la fois efficace et abordable pour tous les franciliens. Afin d'encourager la population à délaisser les voitures individuelles, l'accessibilité financière des transports en commun est nécessaire pour garantir l'égalité d'accès aux déplacements et pour réduire les inégalités sociales en matière de mobilité. 2/ Nous insistons également sur l'importance d'appliquer des exigences de justice sociale aux mesures de réduction du trafic routier. Environ 13 millions de Français.es sont estimé.es en situation de “précarité mobilité”, et dépendent entièrement de leur voiture ou ne disposent pas de moyen de transport régulier. Les bénéfices sanitaires des zones à faibles émissions (ZFE) doivent bénéficier à tous les habitants, en particulier ceux des quartiers populaires. De plus, il est crucial de créer des espaces verts et sans voitures accessibles à tous·tes, en particulier dans les quartiers populaires et près des écoles. L’initiative des "Rues aux écoles" est un exemple concret de mesures visant à protéger nos enfants des dangers de la circulation motorisée et de la pollution pour leur bien-être et leur sécurité. 3/ Nous demandons une transparence totale dans l’accès des données sur la qualité de l'air au public, notamment pour une meilleure prise en compte des enjeux sociaux dans les études d’impact dans les quartiers populaires. Nous insistons sur la nécessité d'assurer aux citoyens concernés un accès à la justice pour contester les actions de l'État et leur garantir le droit à la compensation et à la réparation des dommages liés à la santé. Une réelle implication des personnes vulnérables est indispensable dans l’élaboration des politiques de santé environnementale pour que chacun·e puisse contribuer aux décisions qui façonnent son cadre de vie. En signant cette pétition, vous soutenez notre détermination à défendre notre droit à un environnement sain, et contribuez avec nous à exiger des actions concrètes de la part des autorités. Cette pétition servira de point de départ à la discussion que nous, les jeunes, porterons auprès des élus franciliens dans le cadre du Parlement Génération Climat à l’Académie du Climat le 30 mars 2024. Rejoignez-nous dans notre combat contre la pollution de l’air ! Rania et Corentin de Banlieue Climat, Maël de Pour Un Réveil Ecologique et Léo de Oxfam Paris. (1) Analyse RESPIRE Carte IDF 2013-2019 (respire-asso.org) (2) À l’aube des J.O 2024, où en est la qualité de l’air à Paris ? | CNRS Terre & Univers Teqoya J0 2024 - Village athlètes air purifié (teqoya.fr) (3) « L’écologie, un truc de bourgeois » Socialter, n°62, février-mars 2024, page 44 (socialter.fr) (4) Karn Vohra, Alina Vodonos, Joel Schwartz, Eloise A. Marais, Melissa P. Sulprizio, Loretta J. Mickley, Global mortality from outdoor fine particle pollution generated by fossil fuel combustion: Results from GEOS-Chem, Environmental Research, Volume 195, 2021, 110754, ISSN 0013-9351, https://doi.org/10.1016/j.envres.2021.110754. (5) De l'Injustice Sociale dans l'Air - Rapport de l'UNICEF et Réseau Action Climat (6) La pollution de l'air en 10 questions (ademe.fr) (7) Rapport Mobilités Solidaires : pour un passage à l'échelle - Laboratoire de la Mobilité Inclusive (mobiliteinclusive.com) (8) Baromètre : 13,3 millions de Français en situation de précarité mobilité (fnh.org) (9) Plus de 200 « rues aux écoles » dans Paris - Ville de Paris www.greenvoice.fr/assets/uploads/2024/03/CLT.png
    868 sur 1 000 Signatures
    Créée par Banlieues Climat, Pour un Réveil Ecologique, Oxfam Paris
  • 2ème pétition Saint-Sauveur - Tout le monde veut que la friche devienne un très grand parc
    Petit rappel des faits : À Lille, tout le monde connaît le dossier Saint-Sauveur et le bras de fer que la MEL, la Ville de Lille et des associations de défense de l’environnement ont entamé.  👀 Deux visions s’affrontent :  → 🔴 Celle de la concentration urbaine, de la destruction de l’existant et de la gentrification portée par les collectivités. 2500 logements (soit 5000 habitants) sur 23 hectares, 30 000 m2 de bureaux, 20 000 m2 de commerce, un centre aquatique avec une piscine olympique (désormais sans fosse de plongée) ainsi qu’un espace vert de 3,5 hectares, soit la taille du parc rouge (JB Lebas)... Cette densité dont rêvent les aménageurs, copiée-collée de la Porte de Valenciennes ou du Bois Habité (bd Hoover), les Lilloises et les Lillois n’en veulent pas, et n’en ont jamais voulu ! De plus, sous couvert d’un projet à caractère social permettant à l’avenir de lutter contre la crise du logement, nos décideurs ont permis ici et maintenant, sur la friche,  l’expulsion de personnes exilées et sans domicile fixe, sans solution de relogement. Nul doute, au regard des nouveaux aménagements de la gare Saint-Sauveur, que le futur quartier s'adressera demain davantage aux cadres supérieurs qu’aux ménages dans le besoin. →✅ Celle de l’égalité environnementale et de la préservation du site. Portée par les défenseurs et défenseuses de la friche, cette vision exprime la nécessité d’un très grand parc (23 hectares) sur ce site dont sont dépourvus les quartiers populaires de Wazemmes et de Moulins.  🌳🌳🌳 Les arguments en faveur du parc sont multiples :  - ce secteur souffre d’une très mauvaise qualité de l’air (et les voitures des 5 000 nouveaux habitants vont l’aggraver, sans compter les déplacements liés aux nouveaux bureaux, commerces et centre aquatique), - le nombre de m2 d’espaces verts à Lille est un des plus mauvais scores des villes françaises et de plus, ces m2 sont très inégalement répartis sur la ville, quasiment absents des quartiers les plus pauvres et les plus peuplés, - la crise du logement et notamment du logement social ne sera nullement réglée avec ce projet, moins de 200 logements dits très sociaux (PLAI) seront en effet construits sur les 2500 programmés. Rappelons que 240 logements PLAI ont par ailleurs été détruits récemment côté Parc JB Lebas. Les 500 autres logements sociaux prévus seront ouverts aux populations à revenus moyens et échapperont ainsi à ceux qui en ont le plus besoin, - la crise de l’eau interroge le modèle de développement de la Métropole Européenne de Lille et ses projets luxueux de centre aquatique en lieu et place des piscines dont ont besoin les habitants. La rénovation de Marx Dormoy aurait déjà dû être faite depuis longtemps au lieu de poursuivre de telles chimères. - dans les 5 dernières années, les bureaux n’ont cessé de sortir de terre (Porte d’Arras, Porte des Postes, Bois-Blancs) et nombre d’entre eux n’ont pas trouvé preneurs, - le nombre de logements vacants est important, - les grandes opérations de renouvellement urbain (Aviateurs, Concorde) détruisent des milliers de logements dits très sociaux sans que cette offre soit reconstituée, 🌍 À l’heure du dérèglement climatique, ce modèle urbain proposé par les collectivités est dépassé. Il n’est plus question de concentrer toujours en les mêmes lieux, et toujours pour les mêmes, les investissements et les équipements qui au contraire devraient se répartir sur l’ensemble du territoire métropolitain voire régional.  Les Lillois.es l’ont compris. Le fragile équilibre de leur territoire (circulation saturée, mauvaise qualité de l’air, espaces verts réduits, transports publics insuffisants, immense déficit de logements très sociaux) ne peut continuer de se dégrader encore en poursuivant les mêmes politiques qui ont conduit à cette situation. ⚖️ Enfin, malgré ce que les collectivités veulent faire croire, la partie n’est pas terminée sur le front juridique. Plusieurs recours ne sont pas encore jugés notamment celui qui conteste la dernière délibération déclarant l’intérêt général du projet qu’a votée la Métropole Européenne de Lille en octobre 2022… Et les associations sont déterminées à aller jusqu’au bout, jusqu’à ce qu’enfin, une ou un élu.e éclairé.e prenne la décision attendue d’abandonner ce projet dépassé et d’offrir un grand parc aux Lilloises et Lillois qui n’attendent que cela.  🌳 C’est dans une vision solidaire des autres territoires que le projet du grand Parc Saint-Sauveur doit voir le jour, annonçant l’émergence d’une nouvelle vision urbaine, celle de la recherche de la juste répartition des ressources naturelles à l’échelle d’un territoire élargi. Le grand parc Saint-Sauveur doit désormais faire un tout avec le parc JB Lebas et permettre de sortir de Lille en vélo en reliant Fives, Ronchin et Villeneuve d'Ascq et son lac. Il ne faudrait pas grand chose pour que cette friche devienne un parc, que la faune et la flore qui y ont déjà trouvé refuge n’en soient pas chassées, que les initiatives solidaires et démarches collectives puissent y prendre forme.  👉 Nous comptons sur votre soutien pour que vive le futur parc Saint-Sauveur. Cette pétition permet de dire et de redire quelles sont véritablement les attentes des habitants de Lille pour cet espace. 🌟 Les associations et collectifs engagé.e.s dans la défense du futur parc Saint-Sauveur : - P.A.R.C Saint-Sauveur - Soulèvements de la Terre Lille - Alternatiba Lille - NADA - Non à l’Agrandissement De l’Aéroport de Lille-Lesquin - Aut’Mel - XR Lille - Robin des Bios - Entrelianes - Les Amis de la Terre Nord - ANV COP 21 Lille - Youth for Climate Lille
    3 308 sur 4 000 Signatures
    Créée par Friche Saint-Sauveur
  • 🛒 Des Tickets-Restaurants pour payer ses courses et consommer plus de BIO ? Agissons ! 🌍
    🛒 Face à l’urgence sociale, nous exigeons la pérennisation (sans restriction à certains types de produits transformés) de la possibilité de faire des courses alimentaires avec nos Tickets-Restaurants. 🌍Parce que nous n’oublions pas l’urgence écologique, nous demandons une mesure audacieuse et complémentaire en faveur de la planète. Nous proposons d’inclure dans cette pérennisation, une mesure coup de pouce en faveur d’une consommation responsable et de l'agriculture biologique. 🧑‍🌾L’Etat doit offrir une réduction de 10% pour l'achat de produits bio avec un Ticket-Restaurant. Cette mesure simple serait un soutien aux agriculteurs en bio qui souffrent de la crise actuelle. Ce serait également un soutien aux restaurateurs qui font le choix d’utiliser des produits BIO. Ce serait au final une possibilité de nous aider à faire des choix alimentaires en accord avec nos convictions et de contribuer, à notre échelle, à des pratiques alimentaires plus durables. ✊Vous aussi, vous pensez que nous devons pouvoir continuer de faire nos courses alimentaires avec des Tickets-Restaurants et également bénéficier d’un soutien à une consommation responsable ? Pour cette mesure concrète de justice sociale et environnementale, signez et partagez cette pétition ! Nous pouvons y arriver car le gouvernement doit prendre une mesure en urgence d’ici la fin de l’année. Ensemble, faisons entendre notre voix pour sauvegarder notre pouvoir d'achat et promouvoir une consommation responsable !
    6 431 sur 7 000 Signatures
    Créée par Clara, Frédérique & Sylvain
  • ANNECY : NON au projet de densification et d’extension du Parc d’Activité Économique des Glaisins
    Le Plan Local d'Urbanisme intercommunal Habitat Mobilités et Bioclimatique (PLUi HMB) en cours d’élaboration va définir l’avenir de notre territoire. Nous payons chaque jour le prix des erreurs de ces dernières décennies. Le PAE des Glaisins est un exemple type de l’urbanisme des années 70 et un concentré à lui seul de tous ses maux. Mais au lieu d’essayer de les soigner, le Grand Annecy persiste et signe avec un projet de densification et d’extension du parc qui ne fera que les aggraver. Nous demandons que ce projet soit repensé en concertation avec les habitants et en adéquation avec les enjeux de la transition écologique. La préservation des terres agricoles est indispensable pour assurer notre autonomie alimentaire. Il est hors de question d’en détruire davantage pour une extension du PAE des Glaisins. Trop de gens n'arrivent pas à se loger à un prix abordable dans l'agglomération et la difficulté à se loger est considérée par les entreprises comme un frein majeur dans leur recrutement. La construction de logements doit être au cœur du projet, alors que l'accueil de toujours plus d'entreprises ne fera qu'aggraver la situation. Le Grand Annecy a placé en priorité l’axe Glaisins pour le projet de Transport en Commun en Site Propre intégral (TCSPi) , mais elle continue à mener une politique du tout-voiture en prévoyant dans le PAE des Glaisins un parking relais de 450 places « intra-agglo », c'est à dire destiné aux automobilistes venant du cœur de l'agglomération et disposant d'alternatives à la voiture (transports en commun, vélo, trottinette électrique...). Une pollution aux PFAS, des substances per- et polyfluoroalkylées encore appelées polluants éternels, a été découverte sur la nappe des îles à Annecy. La question de la pollution au sein du PAE des Glaisins, dont la majeure partie des eaux de ruissellement termine dans le Fier en amont de cette nappe, doit être traitée de façon drastique et transparente. Enfin, le Grand Annecy ne peut plus feindre d’ignorer les préoccupations des habitants concernant la protection des espaces naturels et agricoles. Une enquête publique est donc nécessaire avant tout réaménagement du PAE des Glaisins.
    1 299 sur 2 000 Signatures
    Créée par Greenpeace Annecy
  • Plus de produits locaux et équilibré à la cafétéria du lycée
    Nous sommes en 1ere au lycée. Cependant, dans notre cafétéria, les repas proposés sont ultra transformés et contribue à une alimentation déséquilibrée. Nous avons la possibilité de manger à l'extérieur et de ramener notre propre repas or tous les élèves n'ont pas les moyens de manger dehors et la possibilité de ramener leur repas. Il n'existe aucune alternative saine pour eux. Nous souhaitons qu'une offre équilibrée soit proposée. Cela permettrai de responsabiliser les élèves sur la manière de consommer et de permettre à tous un accès à une alimentation saine. Le but est de réussir à atteindre cet objectif progressivement sur les prochains mois.
    117 sur 200 Signatures
    Créée par Elsa B.
  • Tous unis pour le bien-être de nos mamies
    Nous demandons la garantie que le village sénior sera construit dans de bonnes conditions, près des commerces pour ceux qui ne peuvent pas bien se déplacer, dans un cadre un peu bucolique à la place de l’ancien foyer logement au calme et au milieu des oiseaux qui chantent, en préservant le petit bois à côté et la belle rangée d’arbres et de chênes qui ont dû naître en même temps que nos mamies dans l’EHPAD. Ayant appris qu’un quart du parc était menacé, nous nous sentons concernés en tant que citoyens et nous nous inquiétons pour le patrimoine de notre belle commune. Nous avons confiance en le CCAS pour gérer ensuite le village sénior, pour être sûrs qu’on s’occupe vraiment du bien-être des résidents et de garantir aux personnes qui habitent déjà sur place qu’elles seront relogées sans détériorer leurs conditions de vie déjà difficiles. Nos aînés de l’EHPAD ont la chance d’être au milieu du parc, avec une jolie vue, et nous voulons garantir cette vue et cette paix à tous les résidents. Nous nous inquiétons pour la qualité de l’air parce que dans les grandes villes et avec le réchauffement climatique les personnes âgées risquent d’être malades et que c’est important pour l’EHPAD d’avoir un air sain, et nous demandons des mesures sérieuses en ce sens, notamment en mesurant l’impact sur la qualité de l’air de ces nouvelles constructions tout près de l’EHPAD. Ensuite nous voulons être sûrs que nos aînés de l’EHPAD pourront toujours facilement se déplacer à pied sur des petits chemins piétons, sans avoir à traverser des routes pour se rendre au centre ville. Il est donc très important d’éviter qu’il y ait trop de circulation automobile autour de l’EHPAD, pour la sécurité de nos aînés, aussi nous demandons qu’il n’y ait aucun accroissement de la circulation automobile entre l’EHPAD et le cimetière, afin que nos aînés puissent continuer de fleurir les tombes de leurs proches en toute sécurité. Nous aimerions une clarté absolue sur tous les tenants et aboutissants financiers relatifs à ce projet, afin d’être sûrs que ce que nous payons pour le bien-être des personnes âgées soit le mieux employé possible, et aussi de valoriser notre beau patrimoine. Nous aimerions ne pas lésiner sur les moyens à employer pour réaliser ce beau projet dans les meilleures conditions, et réfléchir vraiment tous ensemble à comment on pourrait le financer de façon intelligente, pour que tout le monde y trouve son compte, et qu’on puisse préserver les arbres chers à nos aînés. Afin de réaliser cela, nous demandons l’arrêt de la vente du petit bois, le repositionnement du village sénior à l’emplacement de l’ancien foyer logement comme promis, qu’une commission étudie le financement de ce projet et que des études soient menées sur la circulation, l’urbanisme et l’impact sur la qualité de l’air ainsi qu’une évaluation indépendante systématique du patrimoine vendu pour financer ce projet avant de valider toute sorte de travaux ou vente.
    108 sur 200 Signatures
    Créée par Pascal A.
  • Arrêtez l'exploitation d'une ressource minière transfrontalière(Haïtiano-Dominicaine)
    Selon les études scientifiques, L'exploitation des ressources naturelles peut causer beaucoup de problème dans les espaces avoisinnants de la dite exploitation et déranger l'environnement dans son ensemble. En effet, l'exploitation de cette mine d'or transfrontalière entre Haïti et la République dominicaine n'est pas sans conséquences sur l'environnement selon les quotidiens des deux pays. C'est à la compagnie d'exploitation minière Unigold qu'on a attribué la concession de plusieurs hectares pour l'extraction de l'or sur la frontière haïtiano-dominicaine, cette compagnie d'exploitation attend juste son permis d'exploration et d'exploitation, selon Ayibopost, un quotidien Haïtien en ligne. La suspension de cette exploitation minière entraînera un soulagement pour les habitants des deux pays vivant en milieu frontalier, la non pollution de l'eau de surface , l'utilisation équitable de l'eau naturelle dont les deux pays se trouvaient déjà en crise même avant l'exploitation, toujours selon Ayibopost. Nous nous trouvons face à une évidence exceptionnelle que si nous ne forçons pas les concernés à prendre les dispositions adéquates pour la suspension de ce projet d'exploitation , cela coûtera la vie des habitans ainsi que d'autres espèces vivant en milieu frontalier, et surtout la dégradation de l'environnement dans son ensemble , et qui dit la dégradation de l'environnement dit l'un des effets du changement climatique. Les deux pays voisins, partageant l'île, sont très vulnérables en matière d'aléas du changement climatique, selon les dernières données de L'ONU environnement. Je vous demande de me rejoindre dans cette pétition pour épargner notre environnement qui est déjà dans un état très critique.
    162 sur 200 Signatures
    Créée par Djems J.
  • NON au projet routier du BIP, OUI à la préservation des espaces naturels !
    Vous habitez Soisy, Montmorency, Deuil, Groslay, Montmagny, Sarcelles, Arnouville ou Garges ? Alors votre ville serait traversée ou longée par le BIP ou "avenue du Parisis", un projet de route 2x2 ou 2X3 voies large comme une autoroute dont la construction pourrait démarrer en 2024. Il est encore temps de stopper ce projet ! 🚗🚛 La construction du tronçon Est (Groslay - Sarcelles - Arnouville - Garges) est bloqué depuis 2016 par un recours juridique porté par le collectif Vivre sans BIP. Après sa victoire en appel en 2022, le département du Val d'Oise, qui porte le projet, s’est pourvu en cassation. S'il gagne en justice dans les prochains mois, la construction du tronçon Est pourrait démarrer dès l'année prochaine ! Ensuite il ne resterait que 5 km à réaliser pour relier la A1 à la A15. Ne doutons pas qu'ils passeront en force pour boucler le BIP ! Ce projet routier serait une catastrophe. 👉 Le BIP couperait nos villes en deux, détruisant au passage une centaine d'hectares d'espaces naturels (chemins de randonnée, bois, jardins partagés, friches riches en biodiversité...), un trésor aux portes de nos villes préservé jusqu'ici de l'urbanisation ! 👉 Ce projet routier détruirait aussi la ferme Lemoine : ses espace maraichers dont les légumes sont en vente directe auprès des habitants, et ses magnifiques prairies, l'un des derniers poumons verts à proximité de Sarcelles, Garges et Arnouville ! 👉 Comme toutes les nouvelles routes, cette voie rapide provoquerait un afflux de trafic additionnel. Ce trafic induit augmenterait la circulation routière actuelle, phénomène démontré depuis les années 90 et reconnu par l'ADEME (1). Cette route s'engorgerait rapidement de camions circulant de la A1 à la A15, entre la zone d'entrepôts la plus grande d'IDF à Garonor et les entrepôts de Roissy qui viennent d'être agrandis (Fedex, DHL) à l'Est, jusqu'au port de Gennevilliers et le futur entrepôt géant "Green Dock" à l'Ouest. On estime le futur trafic entre 40 et 60 000 véhicules/jour minimum ! (source : enquête publique) 👉 En attirant plus de trafic, cette route 2X2 voies provoquerait une forte augmentation de la pollution atmosphérique et sonore. Alors que nous respirons trop de pollution et que nous sommes déjà sous les couloirs aériens de Roissy ! 👉 La santé de 10 000 enfants est menacée ! Une quarantaine d'écoles de la crèche au lycée sont situés le long du tracé du BIP. Un véritable scandale ! On sait désormais que les enfants sont les premières victimes de la pollution de l'air et que le bruit entraine des retards d'apprentissage. 👉 Le BIP augmenterait les émissions de CO2 ! Le passage progressif à la voiture électrique ne suffira pas à atteindre nos objectifs climatiques comme le montrent les études. Une réduction du trafic routier est nécessaire au profit de transports collectifs ou de mobilités actives comme le souligne le GIEC. Voilà pourquoi nous demandons l'abandon définitif de ce projet d'un autre siècle, conçu dans les années 30 😱 Depuis le monde a changé ! La biodiversité et le climat sont menacés, des routes ont été construites partout (près de 100 m2 par Français, plus que de surface habitable !), la mobilité doit être transformée et les habitants désirent une meilleure qualité de vie. La majorité des maires sur le tracé et la plupart des habitants sont opposés à ce projet. Nous souhaitons un projet alternatif d'avenir qui préserve ces espaces naturels ! ✊ Nous pouvons obtenir l'abandon définitif de ce projet si nous nous mobilisons ! Signez et partagez cette pétition ! (1) https://theconversation.com/pourquoi-supprimer-des-autoroutes-peut-reduire-les-embouteillages-171562
    9 288 sur 10 000 Signatures
    Créée par Amis de la Terre val d’Oise et Collectif Vivre sans BIP
  • STOP AUX ATTEINTES À L’EAU, AU TERRITOIRE ET À L’ENVIRONNEMENT DANS NOS COMMUNES !
    Ce sont pourtant des biens communs que nous nous devons de défendre et de protéger ! Si vous soutenez l’action de notre collectif Eau voleurs, Signez notre pétition ! Rejoignez le mouvement ! https://www.helloasso.com/associations/adeep/adhesions/bulletin-d-adhesion-et-de-cotisation-prix-libre
    2 041 sur 3 000 Signatures
    Créée par Collectif Eau voleurs
  • Un ticket de train illimité pour les jeunes
    Les billets de trains sont trop chers pour les jeunes, ce qui implique : - que certains jeunes ne peuvent pas du tout partir en vacances, par exemple pour se mettre au frais pendant les vagues de chaleur dans leur région - qu'il est plus difficile d'avoir accès à des expériences courtes pour s'engager ou développer ses compétences professionnelles - que certains jeunes prennent l'avion plutôt que le train, ce qui est une aberration écologique Nous sommes des jeunes de la région Bourgogne, et nous avons tous constaté qu'il est difficile de financer nos voyages en train. L'une d'entre nous a par exemple dû payer 100 euros son aller-retour Dijon-Fécamp, ce qui rend impossible d'envisager plusieurs voyages à l'année. C'est pourquoi nous voulons que la France mette en place un ticket illimité pour que tous les jeunes puissent avoir accès au réseau ferré français. Ce modèle a été mis en place en Allemagne avec succès. Face à l'urgence climatique et aux inégalités sociales, et alors que nous risquons encore de battre des records de chaleur cet été, nous exigeons que cette mesure soit prise dès que possible et au plus tard à partir de septembre 2023.
    175 sur 200 Signatures
    Créée par Irène C.
  • Let’s tax fossil fuel companies: our lives before their profits!
    The need to completely phase out from fossil fuels and the climate debt that rich countries owe to the Global South will be at the heart of the COP28 negotiations in November. While the Summit for a New Global Financing Pact paved the way towards establishing a levy on the most polluting sectors, political leaders did not make any concrete commitments in this regard. Committed to fight for climate justice, our organizations reiterate the need for fossil fuel companies, the main contributors to CO2 emissions, to pay for the climate chaos their activities have unleashed. This is why we are calling on political leaders who will be meeting in Dubaï in November to tax the big polluters: oil, gas and coal companies that are destroying the planet while getting richer and richer Why? It is high time for the fossil fuel industry to start repairing the damage it has caused by funding the response to the worst climate impacts experienced by populations in the Global South. The latest report from the Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) makes it clear that further expansion of oil, gas and coal must urgently be stopped if we want to stand a chance of staying below 1.5°C of global warming (1). WHY TARGETING FOSSIL FUEL COMPANIES? Since the 1970s, many of these companies have publicly denied the catastrophic impact of their actions on the environment and public health, even though internal reports from their own scientific experts concurred with the IPCC's findings. This industry has chosen to ignore such reports and the damage, sometimes irreversible, caused by their activities, particularly in the Global South: loss of human lives, destruction of schools and roads, forced displacement of populations, etc. In 20 years, 55 of the most climate-vulnerable countries have suffered a total of US$500 billion in climate-induced economic losses. Meanwhile, the fossil fuel industry made enough super-profits to cover these costs nearly 60 times over (2)! Not to mention that these companies continue to largely benefit from public subsidies: they receive more than US$500 billion a year from G20 governments(1)! YES, BUT HOW? In 2022, at COP 27, we won a historic battle! Governments agreed to create a fund dedicated to loss and damage to provide financial support to countries most vulnerable to climate change that are regularly hit by cyclones, floods, droughts or relentless sea-level rise. At COP28, Governmentshave the difficult task of turning hope into reality by agreeing on how the Fund will operate, in particular who will benefit from it and who will have to contribute to it. Taxing fossil fuel companies would raise some of the money needed to fill the Fund. Concrete solutions must be found without delay to secure large amounts of money so that this fund does not remain an empty shell. It would be possible to tax fossil fuel extraction and export as well as the windfall profits made by the fossil fuel industries. Such taxes could generate between US$ 200 (2) to 300 billion(3) a year. This is not a matter of solidarity or charity but a debt that these companies owe to the people of the Global South and the rest of humanity. Taxing fossil fuel companies is key to achieving climate justice. TODAY, WE CALL ON POLITICAL LEADERS TO TAX FOSSIL FUEL COMPANIES. LET'S PUT OUR LIVES BEFORE THEIR PROFITS! Time is running out. We will be taking this petition to COP28, to be held from November 30 to December 12 in Dubaï, United Arab Emirates. Sign the petition today, and together we'll make our voices heard. List of signatories: - Action Non-Violente COP21 (ANV-COP21) - Alternatiba - CARE France - CARE International - Climate Action Network International - Greenpeace France - Greenpeace International - Oxfam France - Réseau Action Climat France - Terre des Hommes France - 350.org (1) https://www.iisd.org/system/files/2020-11/g20-scorecard-report.pdf (2) https://www.theguardian.com/environment/2023/may/19/fossil-fuel-firms-owe-climate-reparations-of-209bn-a-year-says-study (3) https://www.stampoutpoverty.org/live2019/wp-content/uploads/2019/06/CDT_guide_web23.pdf
    84 988 sur 100 000 Signatures
    Créée par Greenpeace International, CARE International
  • Appel pour une véritable écologie populaire contre le marketing des alternatives écologiques
    Chaque jour de nouvelles initiatives témoignent d’une effervescence joyeuse et consensuelle en faveur de l’écologie. Festivals et tiers lieux se développent et avec eux une prospérité du « sympa », de la fête et du « cool », rassurante pour les sympathisant·es d’un mouvement qui semble aller dans le bon sens, faire consensus, croître et imprégner tous les secteurs de la vie sociale, économique et politique. Intellectuel·les, artistes, chercheur·es, et journalistes y participent dans l’enthousiasme, fréquentent ces lieux, s’en font les témoins, leur donnent leur force de travail et y mobilisent leurs réseaux. Pourtant, ce milieu contribue dans de nombreux cas à une vaste entreprise de greenwashing, nuisible aux plan écologique et politique. Nous dénonçons ici ce greenwashing de certains éco (ou tiers) lieux « sympas » qui portent le masque de l’écologie populaire et détournent l’attention de la brutalité des répressions des lieux et pratiques écologistes, en fabriquant une indifférence à l’égard de lieux et de collectifs concrètement investis dans l’écologie populaire. A Pantin, et auparavant à Noisy-Le-Sec, les activistes du Laboratoire Écologique Zéro Déchet (LEØ) ont créé un lieu où se tissent des actions de solidarité et de pratiques écologiques accessibles à tou·tes. Pourtant, en avril prochain, ses occupant·es seront expulsé·es des locaux de Pantin au prétexte qu’un écoquartier doit se construire. Les travaux ne débuteront cependant pas avant plusieurs années et il n’y a donc aucune urgence à les expulser et à priver ainsi toute une population d’un espace où développer de l’entraide et une écologie populaire. Pendant ce temps-là, juste à côté du LEØ, la Cité Fertile est l’un de ces tiers lieu « écologique et sympa » en vogue, qui propose des activités payantes à un public filtré la plupart du temps à l’entrée par des gardiens racisés dont la présence signale la division raciale et sociale entre celles et ceux qui jouissent des propositions festives et culturelles et les éternel·les invisibles. La Cité Fertile est le lieu choisi pour organiser un « Festival de l’écologie populaire » qui devrait réunir les 2 et 3 juin 2023 des intellectuel.les, des organisations et des médias, des think tanks et des fondations humanistes , ainsi que le Conseil Départemental de Seine-Saint-Denis. La Cité Fertile n’a pourtant rien d’écologique ni de populaire en dépit de son esthétique faite de palettes de récupération. Son principal soutien est en effet la BNP Paribas, la banque la plus polluante de France, dénoncée par Oxfam depuis 2021, mise en cause et perquisitionnée en 2023 par le Parquet national financier dans un scandale de fraude fiscale aggravée , et récemment assignée en justice par trois associations pour son appui aux industries fossiles. La Cité Fertile ne cache pourtant pas son enthousiasme pour ce partenariat qu’elle met bien en valeur sur ses pages web. Ce tiers lieu est l’une des réalisations de l’agence Sinny & Ooko , qui créée des tiers lieux culturels dans une logique entrepreneuriale et de professionnalisation qui séduit les collectivité territoriales mais qui évince le milieu associatif. Quant au caractère populaire de ce lieu, les prix pratiqués pour les repas y sont élevés et nous disposons par ailleurs de témoignages indiquant qu’on a expulsé de la Cité Fertile des personnes parce qu’elles y avaient apporté leur propre pique-nique. Ainsi, au moment où un lieu authentiquement vivant, précieux, porteur de milliers d’actions passées, présentes et à venir, voit ses occupant·es exposé·es à la précarité et à l’hostilité institutionnelle, à 20 mètres, le masque de l’écologie populaire est utilisé comme produit d’appel, comme paravent et caution mensongère, et recouvre soigneusement la face sombre du capitalisme et du colonialisme, avec le soutien naïf de personnalités qui travaillent à ce travestissement. Soulignons que la Cité Fertile n’a pas utilisé sa visibilité pour soutenir le LEØ ni aucune autre initiative du même type. C’est pourquoi nous lançons aujourd’hui trois appels aux journalistes, artistes, intellectuel·les, et à nos ami·es et camarades de lutte : • Ne participez pas au festival de l’écologie populaire de Pantin les 2 et 3 juin 2023. Soyez plus vigilant·es et plus exigeant·es si vous souhaitez vraiment lutter aux côtés de celles et ceux qui incarnent les pratiques et les principes de l’écologie populaire et de la solidarité. Si le festival de l’écologie populaire devait être maintenu à la Cité Fertile, nous appellerions tous nos réseaux d’activistes à se rassembler le jour de son ouverture pour y manifester notre colère et dénoncer cette mascarade. • Soutenez le Laboratoire Écologique Zéro Déchet et aidez-le publiquement à faire vivre réellement l’écologie populaire, l’entraide, et les formes de vie anticapitalistes qui s’y développent. Concrètement, nous appelons à signer sa pétition de soutien (ici) et à vous tenir prêt·es à venir défendre le lieu physiquement si la préfecture venait à faire appel à la force pour les expulser avant leur déménagement. • Plus généralement, cessez de vous compromettre, soyez proches des précaires et des collectifs engagés qui observent vos compromissions. Le monde universitaire, celui de l’écologie « sympa » et celui des médias, y compris alternatifs, est colonisé chaque jour par les lobbyistes au service du libéralisme radicalisé et des industries polluantes. L’université ne devrait pas se contenter de survoler les enjeux écologiques sans nouer d’alliance avec les collectifs en lutte alors qu’elle s’ouvre largement aux appétits des puissances industrielles. Il s’agit de retrouver une dignité de la critique au service des émancipations et du vivant en lutte, et non au service d’elle-même.
    159 sur 200 Signatures
    Créée par Igor B.