• Rennes : Libérez-nous des voitures et des transports inutiles
    Notre territoire et celles et ceux qui y vivent souffrent de la pollution de l’air, qui constitue aujourd’hui une urgence sanitaire établie. Le trafic routier porte une responsabilité toute particulière en ce qui concerne les émissions de polluants atmosphériques dangereux pour la santé et doit absolument être restreint. Le trafic routier est également l’un des premiers secteurs émetteur de gaz à effet de serre à l’échelle de notre agglomération. L’urgence climatique nous impose d’agir rapidement et de sortir de notre dépendance collective au pétrole, au transport routier et à la voiture individuelle. C'est un enjeu essentiel et pour autant l’abandon des véhicules polluants et de la logique du tout-voiture ne doit laisser personne sur le carreau. Évidemment, nous savons qu’il n’est pas toujours facile de se passer de sa voiture, mais nous pensons qu’il est de la responsabilité de nos élu.es de nous en donner les moyens, en développant les alternatives et en accompagnant le changement, notamment pour les plus fragiles d’entre nous. Maire ou président de Rennes et sa métropole, il est grand temps d’agir pour la transition écologique et pour une mobilité urbaine adaptée aux crises sanitaire et climatique. Nous vous demandons donc : - de programmer et d’organiser la sortie des véhicules polluants dans notre ville/intercommunalité, à travers la mise en oeuvre d’une Zone à Faibles Emissions sur un périmètre géographique ambitieux, en intégrant les différentes catégories de véhicules polluants, en particulier les véhicules individuels, fixant notamment un cap de sortie du diesel à horizon 2025 et de l’essence à horizon 2030 ; - de prendre des mesures visant à réduire la place dédiée à la voiture dans notre ville/intercommunalité (mise en place de “rues scolaires”, mise en place ou développement des zones piétonnes et des zones à trafic limité, généralisation de la baisse des vitesses à 30 km/h et baisse de la vitesse sur les rocades, réduction du stationnement en voirie, etc.) et de réguler notamment la présence des véhicules les plus encombrants comme les SUV ; - d’avancer sur des mesures visant à maîtriser la demande en déplacements comme l’abandon des projets de nouvelles zones commerciales en périphérie ; - d’abandonner tout projet de nouvelle infrastructure routière/autoroutière ou d’extension des capacités routières ; - de continuer à développer la solution vélo (plan vélo ambitieux à hauteur de 30€/an/hab minimum, mise en place d’un réseau express vélo métropolitain, activation des autres leviers d’un système vélo performant : stationnement sécurisé, intermodalité avec les transports en commun, services de location courte et longue durée, apprentissage pour tous, ateliers de réparation, etc.) ; - de renforcer et pérenniser les dispositions temporaires qui ont été mises en place en faveur du vélo et des piétons dans le contexte covid ; - de continuer à développer le réseau de transports en commun (amélioration des fréquences et amplitudes horaires, mise en place de couloirs réservés pour les autobus, mutualisation des systèmes de billettique entre les différentes offres de transports collectifs et avec les services de mobilités alternatifs, développement des transports urbains en site propre notamment vers/entre les quartiers périphériques denses mal desservis, etc.) ; - de mettre en place une tarification sociale et solidaire basée sur les ressources pour les transports en commun ; - de prévoir un accompagnement et des aides à la transition, pour soutenir les particuliers et les professionnels dans le changement de véhicule ou, mieux, de moyen de transport ; de faire preuve d’exemplarité concernant la flotte des transports en commun et de la ville : optimiser et rationaliser les déplacements au sein de la collectivité et engager une véritable politique de mobilité durable. Il reste beaucoup à faire dans nos grandes villes françaises sur ce sujet de la lutte contre la pollution automobile, comme l’a démontré un classement des villes* publié en amont des élections municipales de 2020 par le Réseau Action Climat, Unicef France et Greenpeace France. La crise sanitaire Covid que nous traversons a mis une nouvelle fois en lumière la nécessité absolue d’avancer rapidement sur ces enjeux de mobilité urbaine. Sortir du tout-voiture, du diesel et de l’essence et prioriser d’autres manières de se déplacer en ville demande du courage politique et c’est indispensable pour faire face à l’urgence sanitaire et climatique. Maintenant que les élections sont passées, nous vous demandons de passer rapidement à l’action pour lutter de manière ambitieuse contre la pollution automobile, en commençant par honorer vos promesses de campagne sur ces enjeux et en prenant en compte nos demandes dans ce texte. Je vous prie d’agréer, l’expression de ma considération distinguée. *Source : https://www.greenpeace.fr/lutte-contre-la-pollution-de-lair-classement-des-12-plus-grandes-agglomerations-francaises/
    73 sur 100 Signatures
    Créée par Elsa S.
  • De l'air pour nos enfants !
    À Paris [1], pour la période de 2012 à 2017, 91% des établissements scolaires ont une concentration en particules fines PM2.5 supérieure aux seuils recommandés par l’Organisation Mondiale pour la Santé (OMS), et 26% atteignent des niveaux alarmants de NO2 (excédant les normes européennes). https://larueestanous.fr/wp-content/uploads/2021/01/Infographie-pollution-Alternatiba-GP-210x160-reduit.gif L'État français, déjà condamné en octobre 2019 par la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) pour non-respect des normes de pollution de l’air [2] a été de nouveau condamné par le Conseil d’Etat en juillet 2020 pour l'insuffisance de son action en matière de lutte contre la pollution de l’air [3]. Pourtant, il est possible d’agir, les solutions existent et sont connues : aménagements et réduction de la circulation à proximité des abords des écoles, incitation à l’utilisation d’alternatives de transports moins polluants, etc. Nous demandons à l’ensemble des pouvoirs publics, et en particulier aux maires, aux président.e.s de la métropole du Grand Paris et de la région Ile de France de réagir rapidement et efficacement face à ce problème sanitaire qui a déjà trop duré. Face à cette situation l’inaction n’est plus une option ! Nos élu.e.s doivent se saisir de cette urgence sanitaire et travailler ensemble pour réduire la pollution de l’air aux abords et sur le chemin de l’école. La voiture est une source importante d’émission de particules fines et d'oxydes d'azote, et nous revendiquons donc de réduire sa place en ville. Cela passe par : - Prendre des mesures à proximité immédiate des établissements scolaires (piétonisation, apaisement du trafic, élargissement des trottoirs, végétalisation, etc.), - Réduire la place dédiée à la voiture. - Planifier la sortie des véhicules thermiques des agglomérations avant 2030, en mettant en place des transports écologiquement responsables, et en garantissant l'accompagnement nécessaire pour les ménages et les professionnels qui en ont besoin. - Renforcer les Zones à Faible Émission dans les agglomérations en tant qu’outil de transition [4]. - Développer des alternatives locales à la voiture : marche (aménagements), transports en commun dont le train (meilleur maillage territorial, offre meilleure en qualité et en fréquence, possibilité d'embarquer facilement son vélo dans les trains, etc.), vélos (pistes cyclables protégées notamment aux abords des écoles, parking vélo près des écoles), - Développer des voies de covoiturage, - Aider les populations les plus fragiles pour l’accès aux transports en commun ou l’acquisition et l’entretien d’un vélo. - Mettre en place une surveillance régulière de la qualité de l’air dans les établissements scolaires comme la loi l’exige ! L’Etat doit par ailleurs prendre lui aussi ses responsabilités et agir concrètement contre la pollution de l’air en accélérant le développement des alternatives à la voiture individuelle et en incitant à l’utilisation de transports moins polluants. Vous pouvez aussi trouver les groupes près de chez vous impliqués sur cette question ou créez votre propre pétition, ou interpeller vos élu.es. Protégeons nos enfants : stoppons la pollution de l’air. #DeLAirPourNosEnfants https://larueestanous.fr/wp-content/uploads/2021/02/SignatairesPetition_upd2.gif Crédit image : Delphine Fauchereau Crédit infographie : Etienne Coppé ====== Sources : [1] Respire - Cartes de la pollution dans les établissements scolaires d'Île de France : https://carte-des-ecoles.de-l-air-pour-nos-enfants.fr/ [2] Le Monde - Pollution de l’air : la France renvoyée à nouveau devant la justice européenne https://www.lemonde.fr/planete/article/2020/10/30/pollution-de-l-air-la-france-renvoyee-a-nouveau-devant-la-justice-europeenne_6057955_3244.html [3] Compte rendu du Conseil d'Etat - 10 juillet 2020 : https://www.conseil-etat.fr/actualites/actualites/le-conseil-d-etat-ordonne-au-gouvernement-de-prendre-des-mesures-pour-reduire-la-pollution-de-l-air-sous-astreinte-de-10-m-par-semestre-de-retard [4] Greenpeace - Qu’est-ce qu’une zone à faibles émissions ? (Vidéo) : https://twitter.com/greenpeacefr/status/1208330016171397120 ====== Plus d'informations : > Respire - tout savoir sur la qualité de l’air : https://www.respire-asso.org/tout-savoir-sur-la-pollution-de-lair/ > UNICEF - Les effets de la pollution de l’air sur les enfants : https://www.unicef.fr/sites/default/files/atoms/files/unicef_pollutionair_web.pdf > XR - L’automobile face au défi du dérèglement climatique : https://extinctionrebellion.fr/blog/2020/09/15/nationale-7.html > inCOPruptibles - Paris, la voiture et l'urgence climatique (Livre blanc) : https://drive.google.com/file/d/18aqlCENwK9tdo8i4x6xd5mikddF07zJk/view
    2 454 sur 3 000 Signatures
    Créée par La Rue Est À Nous !. Picture
  • Circuit-court et approvisionnement local dans les cantines scolaires
    Le choix du circuit court a un impact positif direct pour les cantines (qualité des produits, facilité de livraison des produits), mais aussi indirect sur le territoire (économie locale, environnement, santé). En pleine croissance, c'est MAINTENANT que nos jeunes se construisent et prennent les bons reflexes pour une alimentation saine et par conséquence une meilleure santé.
    96 sur 100 Signatures
    Créée par Amélie C. Picture
  • Un mois pour la planète !
    Problème: Manifester est trop souvent transformé, par les médias, en des événements qui débordent. Les messages de fond ne véhiculent donc pas à la hauteur du problème. Demande: Pour éviter tout débordement, restons chez nous. Mais que les chaînes de télévision généraliste nous programment des soirées autre que du divertissement. Il est temps de voir la réalité en face. Je trouve que les films de Yann Arthus-Bertrand (Home, La soif du monde, Planète Océan et Human) sont très bien pour cette phase de réflexion plus profonde. Ils doivent être plus largement diffusés, autrement que sur YouTube ou les plateformes de VOD. Urgence: Si vous avez vu ces films, vous n'hésiteriez pas une seconde quant à la nécessité de signer en urgence. Réagissons en masse, mais dans la discipline et la sagesse.
    144 sur 200 Signatures
    Créée par Maxime J.
  • Blaye : Nous voulons + de repas végétariens !
    Aujourd'hui, à la cantine du lycée, nous mangeons de la viande ou du poisson tous les jours ou presque. Manger trop de viande, œufs et produits laitiers notamment issus de l’élevage industriel, a un impact énorme sur la dégradation de l’environnement et le dérèglement climatique (l’élevage industriel est responsable de 14,5% des émissions de gaz à effet de serre*). L’urgence climatique est un drame pour notre futur. Nous ne sommes pas tous végétarien·es mais nous sommes unanimes : nous voulons pouvoir consommer moins de viande. Directrice du Lycée Jaufré Rudel à Blaye - Mme Boireau-Canet, il est grand temps d’agir pour la transition écologique. En plus de respecter la loi “Agriculture et Alimentation” qui prévoit l'introduction d’un repas végétarien par semaine obligatoire dans les cantines scolaires, nous vous demandons d'introduire dès maintenant dans notre lycée : - 1 menus végétariens pour tous par semaine (sans œuf); - Un choix végétarien équilibré et de qualité les autres jours (le plus souvent végétal); - Une majorité de produits frais, locaux et bio. Comme l’a démontré un récent rapport de Greenpeace, l’instauration de menus végétariens a des effets positifs sur le climat, l’eau et réduit les risques de déforestation. De nombreuses recettes végétariennes compatibles avec la restauration scolaire existent, des exemples sont consultables sur le site www.vegecantines.fr . De nombreuses mairies s’engagent réellement, en proposant deux menus végétariens par semaine, comme c’est le cas à Lille, Mouans-Sartoux, Grenoble ou Paris 19ème et 2ème. Ces menus leur ont permis d’améliorer la qualité des plats et d’acheter davantage de produits bio. Si ces établissements ont déjà opéré une transition végétale des cantines pourquoi pas Blaye? OUI, Blaye doit jouer son rôle dans la préservation de l’environnement, et cela passe aussi par notre assiette. Sources : *IPBES et FAO 2013 Rapport de Greenpeace "Menus végétariens à la cantine, quels impacts pour la planète?" - sept 2020 : https://bit.ly/35MBnR4
    39 sur 100 Signatures
    Créée par Maud B.
  • Aix-en-Provence : Nous voulons + de repas végétariens !
    Aujourd'hui, à la cantine du lycée, nous mangeons de la viande ou du poisson tous les jours. Manger trop de viande, oeufs et produits laitiers, notamment issus de l’élevage industriel, a un impact énorme sur la dégradation de l’environnement et le dérèglement climatique (l’élevage industriel est responsable de 14,5% des émissions de gaz à effet de serre*). L’urgence climatique est un drame pour notre futur. Nous ne sommes pas tous végétarien·es mais nous sommes unanimes : nous voulons consommer moins de viande. Proviseur du Lycée Georges Duby- Virginie LEYDET, il est grand temps d’agir pour la transition écologique. En plus de respecter la loi “Agriculture et Alimentation” qui prévoit l'introduction d’un repas végétarien par semaine obligatoire dans les cantines scolaires, nous vous demandons d'introduire dès maintenant dans notre lycée : - 2 menus végétariens pour tous par semaine; - Un choix végétarien équilibré et de qualité les autres jours; - Une majorité de produits frais, locaux et bio. Comme l’a démontré un récent rapport de Greenpeace, l’instauration de menus végétariens a des effets positifs sur le climat, l’eau et réduit les risques de déforestation. Dans le même temps, diminuer la part de viande permettra de libérer du budget pour introduire des produits de meilleure qualité et pour servir des repas plus variés. De nombreuses recettes végétariennes compatibles avec la restauration scolaire existent, des exemples sont consultables sur le site www.vegecantines.fr . De nombreuses mairies s’engagent réellement, en proposant deux menus végétariens par semaine, comme c’est le cas à Lille, Mouans-Sartoux, Grenoble ou Paris 19ème et 2ème. Ces menus leur ont permis d’améliorer la qualité des plats et d’acheter davantage de produits bio. Si ces établissements ont déjà opéré une transition végétale des cantines pourquoi pas Aix-en-Provence? OUI, Aix-en-Provence doit jouer son rôle dans la préservation de l’environnement, et cela passe aussi par notre assiette. Sources : *IPBES et FAO 2013 Rapport de Greenpeace "Menus végétariens à la cantine, quels impacts pour la planète?" - sept 2020 : https://bit.ly/35MBnR4
    158 sur 200 Signatures
    Créée par Noémie A.
  • Argelès-sur-Mer : Nous voulons + de repas végétariens
    Aujourd'hui, à la cantine du lycée, nous mangeons de la viande ou du poisson tous les jours. Manger trop de viande, oeufs et produits laitiers notamment issus de l’élevage industriel, a un impact énorme sur la dégradation de l’environnement et le dérèglement climatique (l’élevage industriel est responsable de 14,5% des émissions de gaz à effet de serre*). L’urgence climatique est un drame pour notre futur. Nous ne sommes pas tous végétarien·es mais nous sommes unanimes : nous voulons consommer moins de viande. Directeur du lycée Christian Bourquin , il est grand temps d’agir pour la transition écologique. En plus de respecter la loi “Agriculture et Alimentation” qui prévoit l'introduction d’un repas végétarien par semaine obligatoire dans les cantines scolaires, nous vous demandons d'introduire dès maintenant dans notre lycée : - 2 menus végétariens pour tous par semaine; - Un choix végétarien équilibré et de qualité les autres jours; - Une majorité de produits frais, locaux et bio. Comme l’a démontré un récent rapport de Greenpeace, l’instauration de menus végétariens a des effets positifs sur le climat, l’eau et réduit les risques de déforestation. Dans le même temps, diminuer la part de viande permettra de libérer du budget pour introduire des produits de meilleure qualité et pour servir des repas plus variés. De nombreuses recettes végétariennes compatibles avec la restauration scolaire existent, des exemples sont consultables sur le site www.vegecantines.fr . De nombreuses mairies s’engagent réellement, en proposant deux menus végétariens par semaine, comme c’est le cas à Lille, Mouans-Sartoux, Grenoble ou Paris 19ème et 2ème. Ces menus leur ont permis d’améliorer la qualité des plats et d’acheter davantage de produits bio. Si ces établissements ont déjà opéré une transition végétale des cantines pourquoi pas Argelès-sur-Mer? OUI, Argelès-sur-Mer doit jouer son rôle dans la préservation de l’environnement, et cela passe aussi par notre assiette. Sources : *IPBES et FAO 2013 Rapport de Greenpeace "Menus végétariens à la cantine, quels impacts pour la planète?" - sept 2020 : https://bit.ly/35MBnR4
    60 sur 100 Signatures
    Créée par Sandro L.
  • NON au projet d’extension de l’aéroport Montpellier Méditerranée : un si grand désastre !
    Alors que le secteur aérien représente vraisemblablement plus de 7% de notre empreinte carbone nationale et que le trafic aérien double tous les 15 ans, il est urgent de réduire les émissions de gaz à effet de serre du secteur. Pour avoir une chance de tenir les objectifs de l'Accord de Paris, il nous faut réduire le trafic aérien de moitié d’ici 20 ans. Quant à l’avion « vert », il reste une illusion, un leurre promu par le lobby aérien, qui n’est pas du tout à la hauteur des enjeux climatiques, d’autant moins vu les délais dans lesquels il faut agir. C'est dès aujourd'hui que nous devons commencer à diminuer nos émissions ! À l’heure où la Convention citoyenne pour le climat demande l’arrêt des extensions d’aéroports et que d’autres extensions aéroportuaires ont été stoppées en Europe, il est temps que la France et que nos décideurs politiques nationaux et locaux prennent position contre ces projets climaticides, dont une quinzaine existent actuellement sur notre territoire. A l'heure où le trafic aérien sera durablement affecté par la crise sanitaire et économique, il est nécessaire d'entamer une réflexion stratégique sur l'avenir de celui-ci face au défi climatique, ainsi qu'élaborer un plan de reconversion de l'industrie et des emplois de l'aéronautique, sur la base d'un dialogue entre élu·es, citoyen·nes, acteurs économiques et salarié·es du secteur. Alors que prendre l’avion est au moins 40 fois plus polluant qu’utiliser le train sur des distances nationales, il est nécessaire de réorienter les subventions publiques dédiées à l'aviation vers des secteurs durables, notamment en améliorant et développant l'offre de train, de jour et de nuit, comme le font d'autres pays européens tels que l'Allemagne, la Suisse, l'Autriche ou la Norvège. Nous refusons la fuite en avant d'une croissance sans limites du trafic aérien et demandons : - L'abandon du projet d’extension de l'aéroport de Montpellier qui a pour but de passer de 2 millions à 3,5 millions de passagers par an ! - La suppression de la navette Paris / Montpellier, "un tramway pour Paris" selon le président du directoire de l’aéroport, de par la fréquence des vols proposés chaque jour, alors qu'il existe une alternative en train en moins de 3h30. - La fin des subventions et autres avantages mis en place au niveau local et national en faveur de l'aéroport de Montpellier et des compagnies aériennes, telle que la subvention votée par la métropole de Montpellier le 12 octobre 2020 pour un projet de promotion touristique qui favorise le développement et l'extension de l'aéroport Montpellier Méditerranée [2]. Il est encore temps d’agir et de dire STOP à ce projet. Signez et partagez cette campagne pour demander l’abandon du projet d’extension de l’aéroport de Montpellier et la fin de la navette aérienne Paris-Montpellier. Ensemble, faisons en sorte que cette dérive climatique et sanitaire ne voie pas le jour. Atterrissons d’urgence pour une justice sociale, économique et climatique ! Soutiens : Alternatiba Montpellier, Anv COP21 Montpellier, Collectif Erma Selva, La Carmagnole, Extinction Rebellion Montpellier, Greenpeace Montpellier. [1] Actionnaires de l’aéroport : État 60% ; CCI 25% ; Région 12,5% ; Département 1% ; Agglo Pays de l’Or 1% ; Montpellier Méditerranée Métropole 0,5%. [2] Quand le lobby aérien plane sur le conseil de la métropole ( https://www.greenpeace.fr/montpellier/aerien/ ) Source : "Climat : pouvons-nous (encore) prendre l’avion ?" - Rapport B&L évolution ( https://www.bl-evolution.com/Docs/200721_Etude-BLevolution_Climat-Aviation.pdf )
    5 087 sur 6 000 Signatures
    Créée par Alternatiba Montpellier et Greenpeace Montpellier
  • Amazon confiné - Stop au Black Friday
    Venir bloquer un entrepôt d'Amazon
    89 sur 100 Signatures
    Créée par Brieg C.
  • destruction d'arbres centenaires d'un espace boisé classé pour bétonner : Castelnau le Lez
    Préserver un Espace Boisé Classé, et des pins d'alep centenaires est essentiel. Bétonner toutes les parcelles disponibles est elle la seule réponse à Castelnau le lez (Montpellier) ? Nous demandons que le projet soit annulé et que la nature soit préservée. Nous sommes en procédures depuis deux ans pour faire annuler le permis de construire, c'est vraiment urgent de vous mobiliser à nos côtés !
    1 564 sur 2 000 Signatures
    Créée par Les pins
  • Stop aux subventions et au développement de l'aéroport de Tours
    Alors que le secteur aérien représente plus de 7% de l’empreinte carbone nationale, que le trafic aérien double tous les 15 ans, que prendre l’avion pour effectuer un trajet au niveau national est au moins 40 fois plus polluant qu’utiliser le train, et que l'avion “vert” à hydrogène reste à ce jour une illusion, il est urgent de réduire le trafic aérien et d’opérer la transition du secteur pour avoir une chance de contenir le réchauffement climatique sous la barre des +1,5°C. Pourquoi est-ce important ? Notre collectif se mobilise en faveur de l’effort de réduction du trafic aérien. Aujourd'hui, 3 millions d'euros d'argent public sont dédiés à l'aéroport de Tours chaque année sur les budgets de la Région Centre-Val de Loire, du Département d'Indre-et-Loire et de la Métropole de Tours. Nous demandons : 1. La fin des subventions et autres avantages mis en place au niveau local ou national en faveur de l’aéroport Tours 2. L'abandon du projet d’extension de développement de l’aéroport de Tours (vols commerciaux et d'affaires) 3. La fin des vols Tours-Marseille et Tours-Londres pour lesquels des alternatives existent en train en moins de 5 heures et 30 minutes => source : https://www.oui.sncf/ 4. L'investissement prioritaire dans les alternatives comme le train, pour assurer le maintien des lignes ferroviaires locales et le développement de l’offre de trains de jour et de nuit et la rendre accessible à tou.te.s 5. L'accompagnement à la reconversion des salariés du secteur qui seront impactés (aéroport de Tours et autres entreprises du secteur aéronautique) Soutenir cette campagne locale, c'est demander plus de transparence sur l'utilisation des financements publics, c’est aussi demander des solutions de transport d'avenir, moins carbonées et accessibles à tou.te.s, pour une société soutenable et juste. Nous ne manquerons pas de vous proposer des moyens d’action concrets dans les semaines à venir ! ANV COP21-Orléans ANV COP21-Tours Extinction Rebellion-Orléans Extinction Rebellion-Tours Grands Parents pour le Climat Touraine Greenpeace Tours Les Désobéissants-Tours Résistance Climatique
    2 776 sur 3 000 Signatures
    Créée par Gardons les pieds sur Terre
  • Non à l’autoroute urbaine de l’avenue d’Aix-les-Bains à Seynod
    Si on veut sortir de la logique du tout-voiture à Annecy, l’abandon de ce projet sous sa forme actuelle est essentiel. Avec le Pôle métropolitain Annecy-Chambéry, on peut s’attendre à une augmentation importante des échanges entre les deux villes et donc du trafic routier sur cette entrée d’Annecy, comme on peut s’attendre à ce que les véhicules de livraison des prestataires d’Amazon soient tentés de passer par là pour réduire les temps de parcours, sans oublier un trafic induit important que provoquera inéluctablement le doublement des voies. A noter que le tunnel sous le Semnoz serait venu également gonfler le trafic routier. L’abandon récent du projet est une raison de plus de demander la révision du projet de réaménagement de l’avenue d’Aix-les-Bains. Mais ne nous réjouissons pas trop vite, l’été 2020 a été marqué par des bouchons record autour du lac d’Annecy, dixit la présidente de l’agglomération du Grand Annecy, Frédérique Lardet, et ce serpent de mer peut ressortir un jour si le trafic routier continue d’exploser ainsi dans le bassin annécien. On doit aussi se mobiliser pour la préservation du cadre de vie et de la santé des habitants de Seynod où se concentrent déjà de trop nombreux axes routiers. On ne peut pas se satisfaire de se soucier à Annecy uniquement des bords du lac. L’enquête publique menée pour le projet LOLA (Liaison Ouest du Lac d’Annecy avec le tunnel sous le Semnoz) est à ce titre révélatrice de ce manque d’équité entre les différents quartiers d’Annecy et du Grand Annecy. L’étude d’impact s’est limitée aux deux rives du lac et a totalement ignoré l’autre côté du tunnel avec pourtant un trafic attendu de 25 000 véhicules supplémentaires par jour. Dans ce souci d’équité, le projet de réaménagement de l’avenue d’Aix-les-Bains doit faire l’objet lui aussi d’une enquête publique. Soutiens : Groupe local Greenpeace d'Annecy Le collectif Moins d'Autos Plus de Vélos à Annecy est récent et ne demande qu'à grandir. Il est ouvert à tout citoyen souhaitant s'investir dans cette mobilisation. Le soutien d'associations ou de collectifs est également le bienvenu. N'hésitez pas à nous contacter à [email protected] .
    434 sur 500 Signatures
    Créée par Moins d'autos plus de Vélos à Annecy