• Pour une autre économie : Renforçons le règlement de publicité dans le Grand Besançon Métropole
    🧠 Une pollution mentale trop souvent sous-estimée La publicité fabrique des désirs, dicte des normes, rend enviable un mode de vie basé sur la surconsommation et les apparences. Elle nous éloigne de la sobriété, de la simplicité choisie, elle biaise nos idéaux (1). Comment éduquer nos enfants aux mécanismes trompeurs de la publicité, alors qu’ils y sont exposés dès le plus jeune âge, parfois avant même de savoir parler ? Comment leur faire comprendre que la respectabilité d’une femme ne se mesure pas à son physique et celle d’un homme à sa voiture ? Comment, même en tant qu’adultes, pouvons-nous résister aux injonctions contradictoires qui nous crient en gros caractères de consommer toujours plus et murmurent en petit  « à consommer avec modération » ? 💰 Une économie qui fragilise plus qu’elle ne soutient Réduire la place de la publicité dans l’espace public n’est pas nuire à l’économie. C’est en questionner les effets réels. La publicité agit de trois manières : • elle pousse à produire et vendre toujours plus, au mépris des limites planétaires et de la santé des vivants, humains compris (1) . Cette logique a des répercussions négatives sur les finances des services publics (2) (3) ; • elle oriente l’attention – donc les achats – vers les marques les plus visibles, au détriment des commerces de proximité et des initiatives locales, moins dotées, mais plus vertueuses (4) ; • elle augmente les prix des produits, et donc alourdit les dépenses des ménages, pour soutenir son modèle économique (2). Dans tous les cas, elle renforce les inégalités et rend notre économie dépendante d’un modèle insoutenable. Donner moins d’espace à la publicité, c’est favoriser une économie plus enracinée, plus résiliente, plus diversifiée. Nous ne voulons pas d’une économie des « fleurons » qui brillent en façade, mais d’une économie des chardons : robuste, modeste, ancrée dans les réalités du territoire. 🌿 Une écologie des liens L’écologie, au fond, c’est l’étude des interfaces dans les écosystèmes. L’étude des liens entre les humains et ce qui les entoure, entre les adultes et les enfants, entre les genres, entre les territoires et leurs acteurs économiques. Restreindre la publicité dans l’espace public, c’est protéger ces liens contre les récits toxiques, contre les injonctions qui formatent, divisent, stigmatisent. Le modèle actuel de la publicité est aveugle à ses effets délétères. Puisque nous n’avons ni la possibilité de choisir les messages qu’elle diffuse, ni celle d’influer sur comment les messagers la propagent, nous demandons qu’il y ait tout simplement moins de publicité. 👀 Le regard piégé, des paysages défigurés L'envahissement de nos rues par la publicité crée des nuisances visuelles, qui dégradent le cadre de vie. Les panneaux ferment les perspectives et masquent les paysages. Ils captent les regards, retiennent l'attention, au détriment des panoramas sur l'environnement et le patrimoine. ✊ Pour un espace public libéré, pour une société plus saine L’espace public est notre bien commun. Il doit servir à éduquer, à relier, à respirer, à vivre bien – pas à vendre. Il est temps que la métropole du Grand Besançon fasse un choix courageux : celui d’une société qui mise sur la conscience plutôt que sur la consommation, sur le lien plutôt que sur les biens. D’autres métropoles comme celles de Lyon, de Grenoble ou de Rennes ont déjà renforcé leur règlement. A nous de leur emboîter le pas. Dans la continuité de nos actions, nous appelons également les député.es élu.es sur notre territoire, Mme Voynet et M. Croizier, à porter notre voix au Parlement. Nous leur demandons de soutenir toute initiative visant à réduire la publicité, comme cela avait été proposé – puis retiré – dans le projet de Stratégie nationale pour l’alimentation, la nutrition et le climat afin de « Réduire efficacement l’exposition des enfants et des adolescents aux publicités et parrainages pour des produits trop gras, sucrés, salés, sur les différents médias (traditionnels et numériques) par un renforcement à terme du cadre réglementaire » (5) , projet qui sera bientôt débattu à l’Assemblée Nationale. (1)Didier Courbet. The economic unconscious and non-conscious influences of advertising. Deleterious effects on freedom, happiness, and health?. In Analysis, 2024, 8 (3), pp.1-11. ⟨10.1016/j.inan.2024.100464⟩. ⟨hal-04790512⟩ (2) Institut Veblen & Communication et Démocratie. (2021). Publicité et consommation : pour une régulation au service de la transition écologique. Rapport complet. (3) Sénat. Mmes Élisabeth DOINEAU, rapporteure générale, et Cathy APOURCEAU-POLY (2023). Rapport r23-638. https://www.senat.fr/rap/r23-638/r23-6381.pdf (4) INSPECTION GÉNÉRALE DES FINANCES, IGED, IGAC. (2024). Contribution et régulation de la publicité pour une consommation plus durable : https://communicationdemocratie.osuny.org/media/download/eyJfcmFpbHMiOnsiZGF0YSI6IjIzMGJkOGE5LWUzNjYtNDAwYy04ZmMwLTNkMjQ5YWMwZjUwOCIsInB1ciI6ImJsb2JfaWQifX0=--be632b5c019569fc03ddf2a35d8457acaae75761 (5) Réseau Action Climat. (2025). Stratégie nationale pour l’alimentation, la nutrition et le climat : l’appel des associations environnementales et de santé : https://reseauactionclimat.org/strategie-nationale-pour-lalimentation-la-nutrition-et-le-climat-lappel-des-associations-environnementales-et-de-sante/ 
    5 sur 100 Signatures
    Créée par Alternatiba ANV-COP21 Besançon ..
  • Non au Surf Park à Talmont Saint-Hilaire.
    PÉTITION CITOYENNE  Non à la méga-piscine de surf à Talmont-Saint Hilaire  à Mesdames Cécilia Segarra et Mary-Lou Laurent qui portent le projet de la société «Les Frangines», à Madame Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition écologique, à Monsieur Maxence de Rugy, maire de Talmont-Saint Hilaire, à Madame Annick Billon, sénatrice de Vendée, à Madame Béatrice Bellamy, députée de la circonscription Roche Sud, à Monsieur Alain Lebœuf, président du Conseil départemental, à Madame Christelle Morançais, présidente du Conseil régional des Pays de la Loire, à Monsieur Fabrice Rigoulet-Roze, préfet de Région Pays de la Loire, à Monsieur Gérard Gavory, préfet de la Vendée. Le promoteur (Société Les Frangines) projette la création d'un complexe sportif avec une méga-piscine à vagues pour surfeurs à Talmont-Saint Hilaire, commune voisine des Sables d'Olonne. Le site est à 250 m de l'océan et très proche de spots de surf reconnus.  Nous, collectif ACdevagues à Talmont et les citoyens pétitionnaires, - nous refusons l'artificialisation ou imperméabilisation de 7380 m² pour la construction d'une piscine à vagues de surf de technologie Wavegarden Cove complétée d'espaces commerciaux et de restauration en plus de la surface déjà occupée par l'aquarium. Cet ensemble jouxte une zone Natura 2000 qui risque d'être mise en danger par le bruit et les vibrations des pompes et moteurs (capables de générer de 300 à 600 vagues par heure), la fréquentation importante, l'organisation d'évènements et la circulation routière augmentée. Ce complexe utilisera de l'eau de mer dessalée sans que soient précisés le volume d'eau concerné ni la technique utilisée (opération énergivore et créatrice de déchets). En cas de fuite des bassins, il y a un risque de salinisation des sols du bois de La Mine situé en aval du projet Le permis de construire présente beaucoup d'approximations (traitement des eaux : présence de désinfectants ou pas, volume de pompage existant insuffisant, évacuations des vidanges et trop pleins dues aux fortes pluies inexistantes, consommation énergétique, présence d'une fosse de plongée de 40 m de profondeur, évaluation des incidences Natura 2000 ignorée pourtant obligatoire pour garantir la préservation de la biodiversité de ces zones protégées …) - nous refusons ce projet Illégitime et indécent moralement, socialement et écologiquement, au regard des détériorations climatiques et de l'atteinte à la biodiversité. Les scientifiques du monde entier le martèlent : il faut diminuer fortement notre pression sur l'environnement et donc s'interdire tout nouveau projet non-essentiel qui émet des gaz à effet de serre, consomme de l'eau et de l'énergie en grande quantité et bétonne la Terre. - nous refusons ce projet aberrant et anachronique à l'heure où l'urgence climatique, la préservation des ressources et de la biodiversité sont au centre des préoccupations mondiales. Notre futur dépend des décisions prises localement ici et aujourd'hui. Que dire de la présence d'un tel parc d'attraction à quelques minutes d'un site appelé à devenir « Grand site de France » ? La communauté de communes Vendée Grand Littoral a par ailleurs mis en place un Plan Climat Air Énergie Territorial dont l'objectif 5.1 est de «limiter l'artificialisation des sols sur le long terme, dans une logique d'économie circulaire et de solidarité territoriale». Alors, faut-il accepter ce projet inutile, non essentiel et énergivore qui risque d'accentuer une surpopulation déjà existante ? Tout ça à 250 m de l'océan, sans aucune étude environnementale sérieuse… Au vu de ces constats, nous demandons à Monsieur Maxence de Rugy, maire de Talmont-Saint-Hilaire et président de la Communauté de communes, d’agir auprès de la société « Les Frangines" pour qu’elle renonce à leur projet de surf park.  Par ma signature, moi aussi je dis non à la méga-piscine à vagues de Talmont Saint Hilaire.  Pour continuer à être informé Facebook et Instagram : ACdevagues Talmont Saint Hilaire.  Par mail : [email protected]
    1 767 sur 2 000 Signatures
    Créée par AC de vagues à Talmont C.
  • NON au stade BMX à Annecy pour les championnats du monde de cyclisme 2027
    La Ville d’Annecy s'est portée candidate pour accueillir l'épreuve de BMX des championnats du monde de cyclisme 2027 et a envisagé en toute confidentialité, avec visiblement la volonté d’aller vite et de se dispenser de toute concertation des Annéciens, la construction pour l'événement d’un stade de BMX de 8600 places  à Annecy-le-Vieux, devant l’Espace Rencontre.  La  volonté de rendre toujours plus attractif un territoire déjà saturé Alors qu’Annecy accueille plus de 3 millions de touristes et 400 événements par an, les championnats du monde de cyclisme 2027 ont pour objectif d’accroître toujours plus l’attractivité du territoire grâce à l’audience internationale de l’événement. Ce surtourisme se fait au détriment de la qualité de vie des Annéciens et de la possibilité de se loger à un prix abordable à cause du développement de l’offre de meublés touristiques comme Airbnb. La destruction d’un espace naturel riche en biodiversité Le site pour la construction du stade a été choisi pour pouvoir diffuser de belles images en mondiovision avec la forêt et les montagnes en arrière-plan, en passant par pertes et profits, mais surtout profits, la destruction d'un espace naturel riche en biodiversité, dans le prolongement du Bois des Glaisins, classé avec de nombreuses espèces protégées. Et tout ça, pour 15 malheureux jours de compétition ! Un gaspillage d’argent public Le BMX, s’il est un sport respectable, reste confidentiel et le stade ne doit servir après les championnats du monde qu’à une poignée d’adeptes dont on se sert pour cautionner le projet, alors que la ville d'Annecy dispose déjà d'une piste de BMX à Cran-Gevrier, pour laquelle un projet de rénovation était en cours, et manque par ailleurs de tant d’autres équipements. La construction d'un nouveau stade est un gaspillage d'argent public insupportable, alors que les épreuves peuvent très bien être relocalisées sur un  site existant, comme à Saint-Quentin-en-Yvelines qui accueillera déjà les épreuves sur piste après l'abandon du projet de Vélodrôme Arena à La Roche-sur-Foron. De plus, la piste prévue à Annecy-le-Vieux sera construite en grande partie sur l'emprise d'espaces de stationnement que la Ville envisage de compenser, en toute vraisemblance par un parking silo dont le seul coût devrait s'élever à plusieurs millions d'euros. Un passage en force et un mépris du débat démocratique Le projet a été mené dans le plus grand secret par le Département de la Haute-Savoie et la Ville d’Annecy. Les élus annéciens ont été amenés à donner un avis de façon électronique entre le 4 et le 6 mars, seulement quelques jours après avec reçu une information sommaire sur le projet. En ce qui concerne la concertation des habitants, elle s’est limitée à une réunion d’information réservée aux seuls riverains, du moins ceux qui avaient eu la chance de recevoir une lettre d’invitation pour le moins évasive, sans que la presse soit conviée. 
    590 sur 600 Signatures
    Créée par LES GLAISINS D.
  • Stop Tomorrowland Alpe d'Huez
    • Surexploitation des ressources et inconscience écologique : La moitié au moins des festivalier.es viennent en avion : la seule empreinte carbone des vols en avion liés au festival excède 6 000 tonnes équivalent CO2 (en 2022), un chiffre bien supérieur à celui de l’empreinte carbone annuelle de la commune d’Huez. A cela s'ajoutent les statues géantes de glace, la neige artificielle en mars, les scènes dans un environnement de haute montagne fragile, les nuisances sonores, etc. • Argent roi pour un événement élitiste : le festival s’adresse aux plus aisé.es avec des places de 875 euros à 7000 euros la semaine. Qui a les moyens de débourser des centaines, voire des milliers d’euros pour cet événement ? • Modèle économique archaïque : ce festival n’est pas nécessaire à la vie économique de la station, mais accroît sa dépendance économique au tourisme. En effet, tous.tes les commerçant.es ne bénéficient pas également de la supposée « manne économique » qu’est censée être le TL Winter. • Gaspillage d’argent public : le contribuable paie largement  (plusieurs millions d’euros chaque année) pour l’organisation, via les subventions de la région, du département, de la communauté de communes, etc. (plus d’infos sur les subventions sur notre site). Chaque année, la mairie de l’Alpe d’Huez subventionne le festival à hauteur de plus de 2M d’euros (un chiffre voué à augmenter), lorsque la société belge Tomorrowland engrange un chiffre d’affaire de 25M d’euros par an. Un « coup de pouce » indécent pour une commune de cette taille.   • Mascarade culturelle : peu accessible aux habitant.es de la région, le bénéfice culturel local est plus que discutable. Mais TL Winter, c’est surtout le symbole des giga-évènements culturels ou sportifs (comme il en existe d’autres dans notre région) qui exploitent les cimes jusqu’au dernier filon économique que les promoteurs peuvent en tirer. TL Winter, c’est le symbole d’un imaginaire selon lequel on peut abîmer la montagne et ses écosystèmes pour pouvoir s’amuser, tels des ressources économiques sans remettre en question les impacts qu’on cause. TL Winter, c’est un symbole de la maladaptation au changement climatique : une diversification des activités dans les territoires de montagne, oui, mais pas réservée aux plus aisé.es, au détriment des écosystèmes et sur le dos du contribuable ! Notre imaginaire : un monde sans giga-festival comme le Tomorrowland Winter Nous souhaitons pouvoir prendre le temps de réfléchir collectivement à ce que nous souhaitons pour nos territoires. Nous souhaitons nous poser des questions cruciales : quelle montagne voulons-nous pour demain ? Quels évènements culturels ? Jusqu’à où avons-nous le droit d’exploiter notre environnement pour le bénéfice de quelques-uns ? Un festival qui respecte nos valeurs c'est : • un festival qui limite au maximum son impact environnemental avec une réflexion réelle sur tous les postes d’émissions carbone et pressions anthropiques sur l’écosystème local ; • un festival qui se soucie de la protection des milieux fragiles (ici la montagne) ; • un festival accessibles à toustes, gratuit ou avec des prix accessibles ; • un festival bénéficiant réellement à toustes les acteurices locaux ; • un festival basé sur une véritable implication des acteur.ices locaux dans les prises de décisions et le consentement de la population du territoire pour le mettre en place. Qui sommes-nous ? Notre collectif s’est formé en octobre 2023, faisant suite à des mobilisations des acteurs environnementaux et culturels de la région. Parmi nous, des militante·e·s de différentes associations et mouvements écologistes et sociaux sont présent·es... Mais pas que !  Nous avons mené de nombreuses mobilisations, afin de visibiliser les impacts multiples du TL Winter. Tractages entre Huez, l’Oisans et Grenoble, campagnes d’affichages, deux concerts de soutien (afin de ne pas seulement s’opposer mais aussi proposer, fédérer 😉), et une manifestation en mars 2024 à l’Alpe d’Huez à l’ouverture de la 4ème édition du festival. “Diffusez cette pétition à vos proches, vos cercles amicaux, familiaux et militants et parlez-en autour de vous. Le festival se déroulera du 15 au 22 mars 2025. Nous pouvons dire STOP et faire entendre notre voix ! Ensemble, nous disons à l’Alpe d’Huez : Enjoy your last Tomorrowland ! ” Pour plus d'informations sur les enjeux de la lutte : https://stop-tomorrowland-alpedhuez.fr Pour suivre les actualités/événements : - Facebook - Instagram - Mastodon
    5 203 sur 6 000 Signatures
    Créée par Collectif Stop Tomorrowland Alpe d'Huez
  • Dunkerquois - Stop au gaspillage énergétique !
    À l’heure où l’on nous appelle, collectivement et individuellement, à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. L’effort fourni doit être réparti de façon juste et ne pas peser uniquement sur les citoyens et citoyennes. Aussi, l’effort ne doit pas affecter en premier lieu des services publics essentiels comme l’éducation ou le sport, mais bien commencer par interroger nos usages de la publicité superflue ! ⚡️ Alors que le gouvernement prévoit l’interdiction des publicités lumineuses entre en pleine nuit (à l'exception des aéroports, gares ou stations de métro), cette mesure est loin d’être suffisante face au nombre croissant de ces panneaux inutiles qui n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. ⚡️ Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme en moyenne l’équivalent des besoins d’ un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager* : laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique est donc absurde ! Notre territoire a le pouvoir d’aller plus loin à travers le règlement local de publicité et de montrer l’exemple pour être à la hauteur des enjeux.   Notre territoire doit prendre les mesures suivantes de manière urgente, et sans attendre le pic de l’hiver où les tensions énergétiques se feront ressentir.  🛑👉Nous demandons : - L’extinction des panneaux lumineux et écrans publicitaires en continu, et pas uniquement de 23h à 7h du matin - L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin, et pas uniquement de 23h à 7h du matin - L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés - Une meilleure gestion de l’éclairage public - L’extinction des lumières des bureaux dès leur fermeture 💡 De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées au-delà de la période de tension hivernale, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. D’autres villes comme Lyon ou Paris ont déjà mis en place des mesures plus fortes pour réduire leur consommation énergétique et s’inscrire dans le sens d’une sobriété choisie et responsable.  🌟 Notre territoire aussi doit s’inscrire dans le sens de l’Histoire et mettre en place des solutions ambitieuses ! Source : *Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer)
    51 sur 100 Signatures
    Créée par Xavier V.
  • NON à la construction du nouveau terminal croisière au Havre !
    Actuellement, nul ne peut nier le dérèglement climatique, lié aux activités humaines. Depuis des dizaines d’années, de nombreux traités internationaux préconisent la réduction des émissions des gaz à effet de serre, responsables de ces catastrophes climatiques. Pourtant de nombreux projets, tributaires des énergies fossiles, nocifs pour la planète, sont à l’ordre du jour. Notamment, ce projet de nouveau terminal croisière au Havre, porté par le Groupement d’Intérêt Public (GIP) Le Havre Croisière. Ce projet, voulu par la communauté urbaine Le Havre Seine Métropole et HAROPA, sera financé avec le soutien de la Région Normandie, par des fonds publics à hauteur de 100 millions d’euros. Ce projet augmenterait de manière significative, le nombre de navires en escale au Havre passant de 131 escales en 2019 à 200/240 à l’horizon 2030 (source :Autorité Environnementale). "Vitrine pour le territoire et le port" ce projet se dit "global et vertueux". Laissant seulement 27% de zones végétalisées, il aura une emprise au sol de 73% de bétonisation: bâti, voirie, parking nécessaires pour garer les 80 cars qui emmèneront les croisiéristes dans les lieux touristiques normands déjà saturés Étretat, Mont Saint Michel, Giverny... ou à Paris pour quelques heures. Les bateaux de croisières polluent : Une étude de Transport et Environnement (T&E) montre qu’en 2022, les 218 navires de croisière situés en Europe ont émis autant d’oxydes de soufre (SOx) qu’un milliard de véhicules sur la même période. Entre 2019 et 2022, le nombre de navires en service a augmenté de près d’un quart. Parallèlement, les émissions de SOx liées à ces bateaux ont augmenté de 9%, celles d’oxydes d’azote (NOx) de 18% et celles de particules fines (PM 2.5) de 25%. Les bateaux de croisières ignorent la sobriété : -L’électrification des quais, imposée par l’Europe pour 2030, ne supprimera pas la pollution des navires à quai non équipés pour ce branchement. -Actuellement, dans les ports déjà électrifiés de nombreux bateaux équipés refusent ce branchement pour des raisons d’économie. Comme de nombreux ports: Amsterdam, Venise, Barcelone, Marseille… Nous, citoyens du Havre et des environs, refusons l’augmentation des escales de ces géants des mers, énergivores et hyper-polluants. L’activité de croisière ne peut constituer une perspective d’avenir pour notre territoire. Plus nous accueillerons ces immeubles flottants au Havre, plus il y aura de pollution atmosphérique et marine et plus la consommation d’électricité augmentera au détriment des besoins de la population. Qu’en est-il de la recommandation de sobriété énergétique, prônée par le gouvernement? Il est d’intérêt général de concevoir des projets qui, sur le long terme, prennent en compte la sobriété énergétique et le respect de la nature. L’argent public ne doit pas financer ce projet néfaste à la planète. Il faut y renoncer !
    4 479 sur 5 000 Signatures
    Créée par Collectif Stop Croisières
  • Zéro watt pour la pub
    À l’heure où l’on nous appelle, collectivement et individuellement, à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. L’effort fourni doit être réparti de façon juste et ne pas peser uniquement sur les citoyens et citoyennes. Aussi, l’effort ne doit pas affecter en premier lieu des services publics essentiels comme l’éducation ou le sport, mais bien commencer par interroger nos usages de la publicité superflue ! ⚡️ Alors que le gouvernement prévoit l’interdiction des publicités lumineuses entre 01H00 et 06H00 du matin (à l'exception des aéroports, gares ou stations de métro), cette mesure est loin d’être suffisante face au nombre croissant de ces panneaux inutiles qui n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. ⚡️ Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme en moyenne l’équivalent des besoins d’ un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager* : laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique est donc absurde ! Notre territoire a le pouvoir d’aller plus loin à travers le règlement local de publicité et de montrer l’exemple pour être à la hauteur des enjeux. Notre ville doit prendre les mesures suivantes de manière urgente, et sans attendre le pic de l’hiver où les tensions énergétiques se feront ressentir. 🛑👉Nous demandons : - L’extinction des panneaux lumineux et écrans publicitaires en continu, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés - Une meilleure gestion de l’éclairage public - L’extinction des lumières des bureaux dès leur fermeture 💡 De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées au-delà de la période de tension hivernale, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. D’autres villes comme Lyon ou Paris ont déjà mis en place des mesures plus fortes pour réduire leur consommation énergétique et s’inscrire dans le sens d’une sobriété choisie et responsable. 🌟 Notre ville aussi doit s’inscrire dans le sens de l’Histoire et mettre en place des solutions ambitieuses ! Source : *Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer)
    73 sur 100 Signatures
    Créée par Philippe L.
  • Moins de pub à Angers, c'est possible !
    Nous, citoyens et citoyennes de la ville Angers et des communes de la métropole (ALM – Angers Loire Métropole) demandons expressément aux élu.es de la collectivité la mise en place de mesures bien plus ambitieuses afin de limiter les effets néfastes de la publicité sur la biodiversité, notre santé et notre sécurité. Un cadre légal existe au niveau local, notamment avec le Règlement Local de Publicité intercommunal (RLPi). Ce texte est en cours de révision par les communes et une enquête publique se tient du 15 février au 15 mars 2024. C’est donc l’occasion de demander à nos élu.es de prendre en compte nos souhaits et aspirations pour une société plus sobre et respectueuse de l’environnement en réduisant drastiquement la publicité, qu’elle soit lumineuse ou pas. Depuis des décennies, le monde scientifique nous alerte sur l’urgence climatique. S’il est encore temps d’agir, nous devons faire preuve d’une extrême ambition. Ainsi, le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC), dans son 6e rapport, propose, entre autres mesures, la régulation de la publicité comme exemple d’action efficace pour changer notre trajectoire et réduire notre impact sur l’environnement. En quoi la publicité est-elle néfaste ? ⚡️Elle est omniprésente : quelqu’un qui souhaite vivre en société ne peut pas échapper à la publicité dans la rue ou les vitrines, contrairement à celles des médias que l’on peut choisir de ne pas regarder. Chaque personne reçoit en moyenne entre 1000 et 5000 messages publicitaires par jour, ce qui constitue une réelle pollution mentale et cognitive pour l’être humain, particulièrement les enfants, et favorise la surconsommation. ⚡️Elle a un impact environnemental : le développement des panneaux publicitaires lumineux génère une pollution énergétique et écologique importante, en contradiction avec l’ambition de neutralité carbone que nous souhaitons atteindre. De même, la pollution lumineuse qu’elle provoque a des conséquence très négatives sur la biodiversité, particulièrement avec la mise en place des ampoules LED, dix fois plus lumineuses. ⚡️Elle impacte notre santé : la toxicité de la lumière bleue (type d’éclairage par LED des panneaux) pour l’œil peut conduire à une baisse de la vue et entrainer des troubles du sommeil. ⚡️Elle porte atteinte à la sécurité routière : les publicités mobiles et notamment les écrans numériques sont une source de danger pour la sécurité routière, détournant l'attention des automobilistes. Selon des études, l’effet de panneaux publicitaires mobiles serait comparable aux conséquences de l’envoi de SMS au volant. ⚡️Elle coute à la collectivité : selon un rapport parlementaire, la perte de recettes est dérisoire sur le budget des collectivités et, d’après l’estimation du journal La Topette, il semblerait que le mobilier urbain, support des publicités, coûterait bien plus à la collectivité angevine qu’il ne lui rapporte. Que demandons-nous ? Nos élu.es ont le pouvoir d’aller plus loin à travers le règlement local de publicité intercommunal et de montrer l’exemple pour être à la hauteur des enjeux. C’est pourquoi nous demandons : 👉L’interdiction de toute publicité lumineuse et enseigne numérique en extérieur, dans toute l’agglomération ; 👉 La réduction au minimum légal de la publicité lumineuse à l’intérieur des vitrines ; 👉 L’extinction des enseignes et publicités lumineuses intérieures et extérieures dès la fermeture du commerce ; 👉 L’interdiction de la publicité aux abords des monuments historiques, comme la loi le permet ; 👉 La réduction de la surface d’affichage des panneaux publicitaires muraux ou scellés au sol ; 👉Moins de publicités avec des règles de densité plus strictes ; 👉Une application stricte des réglementations. D’autres villes comme Lyon ou Paris ont déjà mis en place des mesures plus fortes pour réduire leur consommation énergétique et s’inscrire dans le sens d’une sobriété choisie et responsable. 🌟 Notre ville aussi doit s’inscrire dans le sens de l’Histoire et mettre en place des solutions ambitieuses ! Angers Loire Métropole se doit d’être exemplaire ! Pour en savoir plus sur sur nos revendications face à la pression publicitaire à Angers : https://link.infini.fr/vers-une-reduction-de-la-publicite-a-angers
    693 sur 800 Signatures
    Créée par On n'en peut pub !.
  • Vaulx en Velin : Stop au gaspillage énergétique !
    À l’heure où l’on nous appelle, collectivement et individuellement, à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. L’effort fourni doit être réparti de façon juste et ne pas peser uniquement sur les citoyens et citoyennes. Aussi, l’effort ne doit pas affecter en premier lieu des services publics essentiels comme l’éducation ou le sport, mais bien commencer par interroger nos usages de la publicité superflue ! ⚡️ Alors que le gouvernement prévoit l’interdiction des publicités lumineuses entre 01H00 et 06H00 du matin (à l'exception des aéroports, gares ou stations de métro), cette mesure est loin d’être suffisante face au nombre croissant de ces panneaux inutiles qui n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. ⚡️ Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme en moyenne l’équivalent des besoins d’ un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager* : laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique est donc absurde ! Notre territoire a le pouvoir d’aller plus loin à travers le règlement local de publicité et de montrer l’exemple pour être à la hauteur des enjeux. Notre ville doit prendre les mesures suivantes de manière urgente, et sans attendre le pic de l’hiver où les tensions énergétiques se feront ressentir. 🛑👉Nous demandons : - L’extinction des panneaux lumineux et écrans publicitaires en continu, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés - Une meilleure gestion de l’éclairage public - L’extinction des lumières des bureaux dès leur fermeture 💡 De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées au-delà de la période de tension hivernale, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. D’autres villes comme Lyon ou Paris ont déjà mis en place des mesures plus fortes pour réduire leur consommation énergétique et s’inscrire dans le sens d’une sobriété choisie et responsable. 🌟 Notre ville aussi doit s’inscrire dans le sens de l’Histoire et mettre en place des solutions ambitieuses ! Source : *Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer)
    96 sur 100 Signatures
    Créée par Axel D.
  • Falaise : Stop au gaspillage énergétique !
    À l’heure où l’on nous appelle, collectivement et individuellement, à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. L’effort fourni doit être réparti de façon juste et ne pas peser uniquement sur les citoyens et citoyennes. Aussi, l’effort ne doit pas affecter en premier lieu des services publics essentiels comme l’éducation ou le sport, mais bien commencer par interroger nos usages de la publicité superflue ! ⚡️ Alors que le gouvernement prévoit l’interdiction des publicités lumineuses entre 01H00 et 06H00 du matin (à l'exception des aéroports, gares ou stations de métro), cette mesure est loin d’être suffisante face au nombre croissant de ces panneaux inutiles qui n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. ⚡️ Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme en moyenne l’équivalent des besoins d’ un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager* : laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique est donc absurde ! Notre territoire a le pouvoir d’aller plus loin à travers le règlement local de publicité et de montrer l’exemple pour être à la hauteur des enjeux. Notre ville doit prendre les mesures suivantes de manière urgente, et sans attendre le pic de l’hiver où les tensions énergétiques se feront ressentir. 🛑👉Nous demandons : - L’extinction des panneaux lumineux et écrans publicitaires en continu, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés - Une meilleure gestion de l’éclairage public - L’extinction des lumières des bureaux dès leur fermeture 💡 De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées au-delà de la période de tension hivernale, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. D’autres villes comme Lyon ou Paris ont déjà mis en place des mesures plus fortes pour réduire leur consommation énergétique et s’inscrire dans le sens d’une sobriété choisie et responsable. 🌟 Notre ville aussi doit s’inscrire dans le sens de l’Histoire et mettre en place des solutions ambitieuses ! Source : *Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer)
    70 sur 100 Signatures
    Créée par Déborah L.
  • Rennes : Zéro Watt pour la pub
    À l’heure où l’on nous appelle, collectivement et individuellement, à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. L’effort fourni doit être réparti de façon juste et ne pas peser uniquement sur les citoyens et citoyennes. Aussi, l’effort ne doit pas affecter en premier lieu des services publics essentiels comme l’éducation ou le sport, mais bien commencer par interroger nos usages de la publicité superflue ! ⚡️ Alors que le gouvernement prévoit l’interdiction des publicités lumineuses entre 01H00 et 06H00 du matin (à l'exception des aéroports, gares ou stations de métro), cette mesure est loin d’être suffisante face au nombre croissant de ces panneaux inutiles qui n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. ⚡️ Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme en moyenne l’équivalent des besoins d’ un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager* : laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique est donc absurde ! Notre territoire a le pouvoir d’aller plus loin à travers le règlement local de publicité et de montrer l’exemple pour être à la hauteur des enjeux. Notre métropole doit prendre les mesures suivantes de manière urgente, et sans attendre le pic de l’hiver où les tensions énergétiques se feront ressentir. 🛑👉Nous demandons : - Zéro panneau électrifié dans l’espace public - Re-municipaliser la gestion des abribus - Affichage uniquement associatif, culturel et d’intérêt public - L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’extinction des lumières des bureaux dès leur fermeture 💡 De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées au-delà de la période de tension hivernale, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. D’autres villes comme Lyon ou Paris ont déjà mis en place des mesures plus fortes pour réduire leur consommation énergétique et s’inscrire dans le sens d’une sobriété choisie et responsable. 🌟 Notre ville aussi doit s’inscrire dans le sens de l’Histoire et mettre en place des solutions ambitieuses ! Source : *Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer)
    629 sur 800 Signatures
    Créée par Alternatiba Rennes Picture
  • Zéro watt pour la pub !
    ¤¤ La publicité lumineuse est invasive, nuisible et climaticide ¤¤ La publicité lumineuse est le symbole parfait de « l’ancien monde », dont le moteur principal impose une croissance perpétuelle, quels qu’en soient les effets sur notre environnement et notre vie : - Elle contribue au gaspillage d’énergie et de ressources. Un panneau numérique de 2 m² consomme environ 2 000 kWh par an(1). Sur l’ensemble de son cycle de vie, les émissions de gaz à effet de serre s’élèvent à 2,5 tonnes en équivalent CO2. - Elle défigure les paysages urbains. Elle crée une gêne visuelle, qui peut s’avérer accidentogène, et oblige les passant·e·s à évoluer dans un espace pollué, engendrant une banalisation et standardisation des espaces publics, parfois réduits en centres commerciaux à ciel ouvert. - Elle nuit gravement à la biodiversité. La pollution lumineuse perturbe les oiseaux migrateurs nocturnes et dérègle l’horloge biologique de nombreuses espèces. La publicité lumineuse, par ses éclairages horizontaux, y concourt grandement. - Elle compromet la santé psychologique. Les panneaux lumineux captent davantage l’attention que les non-lumineux. Le caractère répétitif et invasif de ces dispositifs peut aller jusqu’à ébranler l’intégrité psychologique des personnes qui y sont soumises. - Elle porte atteinte aux libertés fondamentales. La publicité extérieure est la seule forme de publicité à laquelle personne ne peut échapper. Lorsqu’elle est lumineuse, il est impossible d’éviter la captation de l’attention car elle utilise des mécanismes conçus dans ce but. Elle conduit à une forme d’invasion, voire de matraquage publicitaire qui n’a fait l’objet d’aucun consentement. ¤¤ Élu·e·s, parlementaires, agissez dès maintenant ! ¤¤ Maires et président·e·s d’intercommunalité, vous disposez d’un outil permettant d’agir concrètement sur votre territoire : le règlement local de publicité (RLP). D’ores et déjà, plusieurs collectivités ont interdit la publicité numérique, ainsi que les enseignes numériques sur leur territoire, faisant preuve d’une réelle volonté de répondre aux enjeux environnementaux actuels. De nombreux RLP ont été approuvés au cours des dernières années. Il est grand temps de les actualiser en prenant en compte ces nouvelles exigences de sobriété. Parlementaires, vous avez le devoir impérieux de modifier le Code de l’environnement afin d’y intégrer l’interdiction de la publicité lumineuse, sous toutes ses formes (numérique, éclairée par projection ou transparence). Zéro watt pour la pub, éclairons l’essentiel ! Sources : (1) https://www.actu-environnement.com/media/pdf/news-36209-Etude-ademe-impact-ecrans-publicite.pdf Campagne lancée par le collectif inter-associatif "Zéro Watt pour la pub" : - Agir pour L'environnement - Attac - Extinction Rebellion France - France Nature Environnement - Greenpeace France - Les Amis de la Terre - Ligue pour la Protection des Oiseaux - Naturalistes des Terres - Paysages de France - Résistance à l'Agression Publicitaire - Sites et Monuments
    18 091 sur 20 000 Signatures
    Créée par Collectif inter-associatif Zéro Watt pour la pub !