• Amazon confiné - Stop au Black Friday
    Venir bloquer un entrepôt d'Amazon
    87 sur 100 Signatures
    Créée par Brieg C.
  • Pollution lumineuse
    Année après année, le nombre de points lumineux croît. Nous en comptons près de 11 millions en France, auxquels il est nécessaire d’ajouter 3,5 millions d’enseignes lumineuses et autres panneaux publicitaires rétroéclairés ! Nous avons assisté à une augmentation de plus de 89% du nombre de points lumineux ces vingt dernières années ! Cette explosion de lumières est telle qu’elle nous conduit tout droit vers une éclipse de nuit ! En moyenne, chaque commune consacre 42% de sa facture d’électricité à faire fonctionner son parc d’éclairage public. Selon la vétusté de ce parc, il est possible de réaliser entre 25 et 50% d’économie… Pourtant, selon une étude menée par Agir pour l’Environnement, plus de la moitié des communes françaises n’ont aucune idée de la consommation électrique engendrée par l’éclairage public ! Ce scintillement diffus n’est pas non plus sans conséquence sur la biodiversité nocturne. La faune et la flore, tout comme l’homme d’ailleurs qui a perdu plus d’une heure de sommeil en un siècle, ont un besoin vital d’une nuit préservée de toute pollution lumineuse. Nombre d’espèces nocturnes sont en train de disparaître, sans crier gare. Selon certaines études, chaque lampadaire maintenu allumé tuerait une centaine d’insectes par nuit ! Sur les 5000 espèces de papillons identifiés en France, seuls 250 sont des papillons de jour. L’Homme des Lumières est en passe de réussir le tour de force d’éteindre la nuit et dissoudre la voie lactée.  Le nombre d’étoiles qu’un urbain peut voir se réduit à une petite cinquantaine contre près de 3000 à 4000 pour les plus chanceux résidant dans des espaces préservés de toute pollution lumineuse. Cette quatrième dimension céleste est pourtant un appel à la profondeur et une école du rêve. La nuit fait partie intégrante de notre inconscient collectif. Elle est ancrée au plus profond de notre être et notre culture y fait constamment référence. La ronde de Nuit de Rembrandt, les nuits étoilées de Van Gogh, les Mille et Une Nuit… sont une invitation permanente à voir le monde autrement.
    227 sur 300 Signatures
    Créée par Fanny T.
  • Création d'un cimetière écologique
    On ne peut plus se permettre de polluer, le climat s'emballe, la canicule dans les villes est de plus en plus insupportable, la planète est menacée et on se doit d'agir à tous les niveaux si on veut éviter le pire... En Angleterre, il existe près de 270 cimetières écologiques depuis les années 1990. Il s’agit de forêts qui viennent peu à peu remplacer les cimetières. Ces aires naturelles sont accessibles au public. Le Natural Death Centre est le spécialiste des funérailles écologiques outre-Manche : il organise depuis 2008 un salon des Obsèques vertes.
    242 sur 300 Signatures
    Créée par Jean P.
  • Non aux écrans vidéos publicitaires dans Paris
    10 bonnes raisons de dire NON aux écrans vidéos publicitaires : 1. UN ÉCRAN VIDÉO PUBLICITAIRE CONSOMME AUTANT D'ÉNERGIE QUE TROIS FAMILLES. La consommation d'un écran vidéo publicitaire est jusqu’à 15 fois supérieure à celle d'un panneau avec une affiche papier rétroéclairée (JC Decaux). Cela revient à la consommation de 3 familles par an, hors chauffage (NégaWatt). 2. LES ÉCRANS VIDÉOS PUBLICITAIRES SONT INCOMPATIBLES AVEC LE PLAN CLIMAT DE PARIS. Dans son Plan Climat Air Energie territorial, la ville de Paris s’est engagée à réduire de 50 % sa consommation énergétique à l’horizon 2050. Elle a même déclaré "la meilleure énergie est celle que l’on ne consomme pas"… Cet engagement est incompatible avec le déploiement de ces dispositifs énergivores. 3. LES ÉCRANS VIDÉOS PUBLICITAIRES SONT DES SOURCES DE CONSOMMATION SUPERFLUES QUI CONTRIBUENT AU GASPILLAGE DE L'ÉLECTRICITÉ. RTE classe les écrans publicitaires parmi les sources de consommations "superflues" et "non prioritaires" d'électricité. Les éteindre fait partie des leviers à notre disposition pour ne pas avoir à allumer de centrale à charbon en période de pic de consommation d’électricité. 4. LA LUMIÈRE BLEUE DES ÉCRANS EST TOXIQUE POUR LA RÉTINE, NOTAMMENT CELLE DES ENFANTS. Selon l’ANSES (Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail), la lumière bleue perturbe les rythmes biologiques et peut causer diverses pathologies, dont insomnie et migraine. 5. LES ÉCRANS VIDÉOS GÉNÈRENT UNE POLLUTION LUMINEUSE QUI MENACE LA BIODIVERSITÉ. Selon une étude 2017 de DarkSkyLab, les panneaux publicitaires numériques aggraveraient fortement le problème de pollution lumineuse à Paris. Or cette pollution lumineuse est nocive pour la biodiversité car elle perturbe les cycles de vie des plantes et des animaux. Elle entraîne, entre autres, la désorientation des oiseaux, et c’est même la deuxième cause de mortalité chez les insectes (ce qui met en danger la fructification et la reproduction de la flore). La Mairie de Paris s’est pourtant engagée à réduire les nuisances lumineuses (dont les enseignes lumineuses commerciales) dans son Plan Biodiversité... 6. LA FABRICATION DES ÉCRANS VIDÉO PUBLICITAIRES EST TRÈS POLLUANTE ET EXPLOITE LES POPULATIONS LOCALES DANS DES CONDITIONS DE TRAVAIL INDIGNES. La fabrication de ces écrans implique l'extraction et le raffinage de terres rares, et des rejets toxiques de métaux lourds, acide sulfurique et d'uranium dans l'environnement. C'est lourd de conséquences pour les écosystèmes locaux et les populations exposées. 7. LES ÉCRANS VIDÉOS PUBLICITAIRES EN FIN DE VIE CRÉERONT DES DÉCHETS ÉLECTRONIQUES ET PLASTIQUES DIFFICILES À RECYCLER. Les écrans publicitaires ont une durée de vie limitée et contiennent de très nombreux composants électroniques et plastiques difficiles à recycler. Il existe un risque important que ces déchets ne soient pas valorisés. C'est en contradiction avec les engagements pris par la Mairie de Paris dans son Plan Climat Air Energie territoriale, pour réduire son empreinte sur les ressources naturelles et atteindre l’objectif zéro déchets non-valorisés. 8. LES ÉCRANS PUBLICITAIRES VIDÉO IMPOSENT LEURS MESSAGES DE FAÇON AGRESSIVE ET INCITENT À LA SURCONSOMMATION. Parce qu’ils sont animés et lumineux, ces écrans captent l’attention de manière agressive. Il devient impossible d’éviter leur message. Cela ne respecte pas la liberté du citoyen, puisqu’il y est soumis qu’il l’ait choisi ou non. La Mairie de Paris serait irresponsable de cautionner cette incitation permanente à céder à l’achat impulsif. Les soldes de la "fast-fashion" ou encore les achats de high-tech durant le Black Friday sont des comportements aberrants, sources de déchets massifs, de pollution et de production de gaz à effet de serre, à l’impact sociétal et environnemental dramatique. 9. UNE IMAGE ANIMÉE AU BORD DE LA ROUTE DISTRAIT LES CONDUCTEURS ET MENACE LA SÉCURITÉ DE TOUS. Selon le groupe technique Sécurité routière de la CEDR (Conférence Européenne des Directeurs de Route), la distraction d’un conducteur pendant plus de 2 secondes génère 7 fois plus de risques d’accident. 10. POUR UNE VILLE AGRÉABLE À VIVRE, PLANTEZ PLUTÔT DES ARBRES, PAS DES PUBS ! La municipalité de Grenoble a fait le choix de supprimer les pubs de ses rues et de planter des arbres à la place. Les motivations du Maire ? Améliorer la qualité de vie, créer une ville apaisée et donner plus de place à l’affichage libre, en réservant des espaces aux associations et aux acteurs culturels, pour favoriser la vie de quartier. *** Les discussions en cours au sein du Conseil de Paris laissent craindre le pire : depuis novembre 2017, une révision du Règlement Local de Publicité (RLP) est engagée. Officiellement, il s'agit de permettre le recours « aux nouvelles technologies, dont les écrans numériques ». Or, depuis 2011, ce règlement interdit formellement les panneaux publicitaires numériques dans les rues de Paris. Une interdiction logique et indispensable, car ces écrans sont polluants, énergivores et totalement superflus. L'interdiction des écrans publicitaires numériques ne doit pas être remise en cause. Leur autorisation serait incompatible avec les engagements climatiques et environnementaux pris par la Ville de Paris et enverrait un signal politique désastreux à l’heure où les Parisiennes et Parisiens se mobilisent massivement contre la crise climatique et écologique. Nous comptons sur vous pour atteindre notre objectif de 5 000 signatures : dès ce seuil atteint, nous remettrons publiquement cette pétition aux candidat·es à la Mairie de Paris (les élections municipales auront lieu en mars 2020 et la modification du RLP sera réalisée par les futur·es membres du Conseil de Paris) pour leur demander de s’engager formellement à maintenir l’interdiction d’installer des écrans numériques publicitaires dans les rues de Paris. Merci pour votre soutien.
    7 553 sur 8 000 Signatures
    Créée par Groupes locaux de Greenpeace Paris
  • Pétition contre l'installation d'un magasin Action à Molières-Cavaillac
    Nous sommes tous contre l’implantation d’un magasin ACTION à Molières-Cavaillac ! Non à ce projet ! Car ACTION c’est : - Un magasin hard discount, avec la surconsommation et le gaspillage qui vont avec : Inciter les précaires et les classes moyennes à consommer des produits pas chers, inutiles, de mauvaise qualité, qui ne durent pas dans le temps et rejoignent très rapidement le marché des ordures à traiter. - Des produits discount = conditions de production polluantes + exploitation humaine en France et à l’étranger Absence de normes environnementales, absence ou non-respect du droit du travail dans les pays où sont fabriqués les produits. En France, des conditions de travail précaires, des tâches chronométrées, la constante pression des managers, des sous-effectifs, des licenciements abusifs, des burn-out, etc... - Une concurrence de plus pour les commerces et les artisans locaux Un magasin de cette taille a pour logique de casser les prix et de concentrer toute l’offre au même endroit pour conquérir tous les marchés à lui tout seul. Une logique industrielle qui nie le savoir-faire des artisans et supprime les emplois des petites entreprises : la destruction de la richesse locale au profit d’actionnaires lointains. - Une verrue dans le paysage ! A l’endroit où la vallée s’ouvre sur les montagnes et d’où on voit la neige en hiver, ces bâtiments modernes viendraient enlaidir ce qui reste de nature et de ciels magnifiques à contempler. Ne nous laissons pas avoir par l’appât du discount et du soit-disant « pouvoir d’achat » ! ACTION n’a pas d’autre logique que de faire du profit sur le dos des gens, en continuant de détruire impunément la planète et le tissu social. Nous n’avons pas besoin d’un projet délétère de plus. Savoir résister à cette bêtise, c’est montrer que nous n’avons plus envie de nous laisser berner par le capitalisme. Ne nous résignons plus à accepter ce modèle de société dépassé et qui se fout de l’urgence climatique ! Honte aux spéculateurs immobiliers qui profitent de cette opération ! Ensemble, résistons ! Pour montrer aux élus la détermination des habitants du Pays Viganais à refuser ce projet, signez la pétition ! Et rejoignez le collectif citoyen « Contr’Action » (il y aura des moments forts où on aura besoin de vous !) en écrivant au mail : [email protected] pour plus d’infos : - Article paru dans le magazine Objectif Gard le 6 octobre 2023: « MOLIÈRES-CAVAILLAC Un projet de magasin discount Action contesté avant d'être validé » : https://www.objectifgard.com/economie/molieres-cavaillac-un-projet-de-magasin-discount-action-conteste-avant-detre-valide-116277.php - Article paru dans Le Monde en ligne le 25 octobre 2023 : « Le discounteur Action, rouleau compresseur des prix..… et des salariés » : https://www.lemonde.fr/economie/article/2023/10/25/le-discounter-action
    631 sur 800 Signatures
    Créée par Arnaud D.
  • La Roche sur Yon : STOP au gaspillage énergétique
    Notre agglomération doit prendre les mesures suivantes de manière urgente, et sans attendre le pic de l’hiver où les tensions énergétiques se feront ressentir. Nous demandons : - L’extinction des panneaux lumineux et écrans publicitaires en continu, et pas uniquement de 1h à 6h du matin. - L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin, et jusqu'à la réouverture. - L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés - L’extinction des lumières des bureaux dès la fermeture De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées au-delà de la période de tension hivernale, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre.
    56 sur 100 Signatures
    Créée par Raymonde F.
  • Saint-Sébastien-sur-Loire : Stop au gaspillage énergétique !
    À l’heure où l’on nous appelle, collectivement et individuellement, à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. L’effort fourni doit être réparti de façon juste et ne pas peser uniquement sur les citoyens et citoyennes. Aussi, l’effort ne doit pas affecter en premier lieu des services publics essentiels comme l’éducation ou le sport, mais bien commencer par interroger nos usages de la publicité superflue ! ⚡️ Alors que le gouvernement prévoit l’interdiction des publicités lumineuses entre 01H00 et 06H00 du matin (à l'exception des aéroports, gares ou stations de métro), cette mesure est loin d’être suffisante face au nombre croissant de ces panneaux inutiles qui n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. ⚡️ Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme en moyenne l’équivalent des besoins d’ un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager* : laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique est donc absurde ! Notre territoire a le pouvoir d’aller plus loin à travers le règlement local de publicité et de montrer l’exemple pour être à la hauteur des enjeux. Notre ville doit prendre les mesures suivantes de manière urgente, et sans attendre le pic de l’hiver où les tensions énergétiques se feront ressentir. 🛑👉Nous demandons : - L’extinction des panneaux lumineux et écrans publicitaires en continu, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés - Une meilleure gestion de l’éclairage public - L’extinction des lumières des bureaux dès leur fermeture 💡 De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées au-delà de la période de tension hivernale, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. D’autres villes comme Lyon ou Paris ont déjà mis en place des mesures plus fortes pour réduire leur consommation énergétique et s’inscrire dans le sens d’une sobriété choisie et responsable. 🌟 Notre ville aussi doit s’inscrire dans le sens de l’Histoire et mettre en place des solutions ambitieuses ! Source : *Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer)
    131 sur 200 Signatures
    Créée par Didier L.
  • Orléans : stop au gaspillage énergétique
    Pourquoi faut-il agir maintenant ? Nous, citoyens et citoyennes de Orléans demandons expressément la mise en place de mesures de bon sens et d’économie d’énergie. Un cadre légal existe, mais il est non seulement mal appliqué, mais en plus largement insuffisant face aux enjeux de sobriété auxquels nous faisons face. Pour le climat et pour nos factures d’électricité, Orléans se doit d’être exemplaire ! A l’heure où nous sommes appelés, collectivement et individuellement, à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. L’effort fourni doit être réparti de façon juste et ne pas peser uniquement sur les citoyens et citoyennes. Aussi, l’effort ne doit pas affecter en premier lieu des services publics essentiels comme l’éducation ou le sport, mais bien commencer par interroger nos usages de la publicité superflue ! Alors que le gouvernement prévoit l’interdiction des publicités lumineuses entre 01H00 et 06H00 du matin (à l'exception des aéroports, gares ou stations de métro), cette mesure est loin d’être suffisante face au nombre croissant de ces panneaux inutiles qui n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme l’équivalent en moyenne des besoins d’ un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager*, laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique est donc absurde ! Notre territoire a le pouvoir d’aller plus loin à travers le règlement local de publicité et de montrer l’exemple pour être à la hauteur des enjeux. Notre ville doit prendre les mesures suivantes de manière urgente, et sans attendre le pic de l’hiver où les tensions énergétiques se feront ressentir. Nous demandons : - L’extinction des panneaux lumineux et écrans publicitaires en continu, et pas uniquement de 1h à 6h du matin. - L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin, et pas uniquement de 1h à 6h du matin. - L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés - L’extinction des lumières des bureaux dès la fermeture De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées au-delà de la période de tension hivernale, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. D’autres villes comme Lyon ou Paris ont déjà mis en place des mesures plus fortes pour réduire leur consommation énergétique et s’inscrire dans le bon sens d’une sobriété choisie et responsable. Notre ville aussi doit s’inscrire dans le sens de l’Histoire et mettre en place des solutions ambitieuses ! Extinction Rébellion Orléans Source : *Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer)
    133 sur 200 Signatures
    Créée par Extinction Rebellion Orléans-Loiret
  • Pour une définition écologique, équitable et consensuelle de la SOBRIETE
    C'est important car les scientifiques (du GIEC notamment) s'accordent à dire que cette "sobriété" est indispensable pour éviter un dérèglement climatique irréversible. Or, le terme de sobriété prend aujourd'hui des formes et définitions diverses et variées, est parfois galvaudé, souvent utilisé à des fins d'intérêts économique alors qu'il était initialement utilisé pour induire un changement radical de fonctionnement de notre société afin de ralentir le réchauffement climatique. Une définition clarifiée de la sobriété permettrait d'éviter ces dérives et de rester concentrés sur l'objectif (respecter l'Accord de Paris en organisant notre société dans ce sens). Un plan de sobriété national a été publié le 6 octobre 2022 en France alors me que l'ADEME reconnaît ne pas pouvoir donner une définition générale de sobriété.
    47 sur 100 Signatures
    Créée par Fatema M.
  • La nuit pour la vie
    Ayant grandi à la campagne, je suis assez choquée de voir toute la pollution lumineuse à Joinville Le Pont et Saint Maur des Fossés. Cela me touche car nous savons tous que la pollution lumineuse est une source de stress et d'angoisse pour la population locale qui dort bien moins facilement avec de la lumière artificielle donnant sur leurs chambres. De plus, la présence continue de lumières sollicite énormément la biodiversité. Les cycles de vie des animaux et des végétaux est totalement perturbée car les cycles diurnes et nocturnes ne sont plus respectés. Enfin, la production de lumière et son utilisation (panneaux publicitaires, réverbères, gare RER, commerces, banques, pharmacie) engendre un coût financier considérable. Cet argent gaspillé par tous pourrait servir pour de belles causes pour les citoyens et l'environnement. Il serait donc urgent d'agir en forçant les communes à éteindre les panneaux publicitaires, les réverbères, les gares RER durant la période nocturne. Imposer aux commerces, banques, pharmacies d'éteindre leurs lumières dès qu'ils sont fermés et ne pas laisser les enseignes allumées toute la nuit pour rien. Nous savons tous que nous n'avons pas de rendez-vous bancaires à 3h du matin. Aussi, je demande à M. Berrios et M. Dosne a mettre en place des mesures drastiques contre la pollution lumineuse de leur ville dès le 1er décembre 2021 afin de constater des effets positifs rapides et efficaces.
    59 sur 100 Signatures
    Créée par Lucie C.
  • Publicité TV : interdiction de couper la diffusion d'un film ou d'une série
    Nous sommes tous concernés par l'invasion de la publicité en ville, celle physique, dans nos emails et celle télévisuelle. Cette agression visuelle est indécente, source de surconsommation à l'heure du changement climatique. De plus, cela ne favorise pas l'envie de regarder la TNT. Oui à plus de sobriété ! Le cinéma est dit le 7e art. Il ne viendrait à personne l'idée de couper une visite guidée dans un musée par la diffusion sonore de plusieurs publicités, sous prétexte de vendre des droits à la pub juteux.
    54 sur 100 Signatures
    Créée par Vincent H.