• Pour la dissolution de la FNSEA
    Qu’est-ce que la FNSEA ? Je ne sais pas si on doit encore présenter ce “syndicat”, mais la FNSEA ou Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles se veut comme le syndicat représentatif des agriculteurs, enfin d’un certain type d’agriculture. C’est surtout une organisation qui défend les pesticides (1) et un modèle d’agriculture du passé, un modèle intensif (2) au passé (et présent) sulfureux. Pourquoi demander sa dissolution ? Il y a quelques semaine-nes, on a appris avec stupeur (ou pas) la dissolution des soulèvements de la terre, ce collectif écologiste qui se mobilise contre l'accaparement des terres et lutte contre certains projets d'aménagement, notamment les « méga-bassines », des autoroutes, ou encore le projet de ligne à grande vitesse Lyon-Turin. Le 21 juin le gouvernement a décidé de dissoudre les SDLT pour avoir appelé et commis des dégradations matérielles lors de diverses manifestations. Et c’est là que ça fait écho avec la FNSEA. En effet, je vis près de la Rochelle et il y a quelques semaines, des agriculteurs de la FNSEA ont mené une action qu’on pourrait qualifier de violente. En effet, en marge d’une manifestation, ces agriculteurs de la FNSEA ont choisi de saccager une maison d’un militant écologiste, qui n'est autre que le vice président de France Nature Environnement 17. Jets de pierre, insultes (notamment homophobes), menaces, etc… tout y est passé. (3) En me renseignant, je me suis rendu compte que ce n’était pas la première fois et pas la plus violente. En effet, il existe de nombreux “faits violents” qui sont à rattacher à des agriculteurs de la FNSEA ou proches 23 août 1990 : Des moutons brûlés vifs lors d’une manifestation de la FNSEA 19 septembre 2014 : Le centre des impôts et le bâtiment de la Mutualité sociale agricole incendiés à Morlaix 17 février 2023 : Les locaux de l’association France nature environnement pris pour cible 12 avril 2023 : Une permanence parlementaire ciblée pour la troisième fois en six mois par la FNSEA Ce ne sont ici que des exemples et voici une liste plus complète (4) des agissements qui sont à reprocher à des membres de ce syndicat agricole. Je me pose donc la question, comme de nombreuses personnes : faut-il, au vu de ses dérives et des discours offensifs de ses dirigeant-es qui jettent de l'huile sur le feu, dissoudre la FNSEA ? Si l'Etat fait preuve de cohérence, la réponse est OUI. Alors signez cet appel pour faire réagir le gouvernement ! Celui-ci préfère dissoudre les mouvements écologistes, allant à l'encontre de la liberté d'expression, mais laisse l'agri-terrorisme agir impunément. Merci pour votre mobilisation. (1) https://www.bfmtv.com/economie/economie-social/social/diminution-des-pesticides-les-agriculteurs-appeles-a-manifester-en-tracteur-a-paris-mercredi_AD-202302030717.html (2) https://www.ladepeche.fr/2023/03/30/business-huile-et-agriculture-intensive-qui-est-arnaud-rousseau-le-futur-nouveau-leader-de-la-fnsea-11097483.php (3) https://france3-regions.francetvinfo.fr/nouvelle-aquitaine/charente-maritime/la-rochelle/la-maison-d-un-militant-ecologiste-saccagee-par-des-agriculteurs-en-marge-d-une-manifestation-de-la-fnsea-a-la-rochelle-2738562.html) (4) https://basta.media/chronologie-60-ans-d-actions-violentes-faut-il-pour-autant-dissoudre-la-FNSEA https://www.lemonde.fr/economie-francaise/article/2016/02/03/crise-des-eleveurs-sans-violence-la-presse-nationale-n-en-parle-pas_4858348_1656968.html https://twitter.com/SebastienM/status/1671842175867297792
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    Créée par Mathieu R.
  • contre la prolifération à tout va des antennes-relais
    Pétition pour une vie ensemble mieux réfléchie contre la prolifération à tout va des antennes-relais proposée par les collectifs de POISSON, PARAY le Monial, Saint CHRISTOPHE en Brionnais et La CHAPELLE sous Dun Nous, citoyens, aimant la démocratie, la république et surtout la vie, nous sommes sidérés par la prolifération exponentielle des antennes-relais de tous genres. Nous sommes nous-mêmes utilisateurs de téléphones portables et ne sommes pas contre les nouveautés mais simplement contre les excès et aberrations. C'est pourquoi nous vous invitons à signer cette pétition qui sera envoyée au gouvernement et autres élus (dont nos 4 maires) afin qu'ils réfléchissent un peu plus et surtout mieux à ce qu'ils sont en train de mettre en place et qui ne correspond pas à nos aspirations d'une vie meilleure. Au niveau national : Nous demandons un retour immédiat à la procédure d'enquête publique pour tout projet d'implantation d'antenne-relais en tous genres. Nous demandons un moratoire au niveau du développement de la 5G (et plus) et le principe de précaution clamé haut et fort mais déjà si vite oublié. Nous exigeons l'arrêt de tous les projets en cours et leur réexamen en matière d'utilité et de nuisances. L'obligation d'une étude de nuisances et d'utilité : y a-t-il vraiment besoin de cette installation ? n'y a-t-il pas d'autres solutions existantes à améliorer ? Lorsqu'une antenne s'avérerait utile, obligation du regroupement des opérateurs sur celle-ci ; Fini 2, 3 ou 4 antennes par village ! Obligation d'utiliser en priorité les pylônes existants. Implantation loin des habitations, élevages et zones très fréquentées par la faune naturelle. Obligation de respecter les haies et les arbres du site. Obligation de fournir un plan financé de remise en état originel du site après exploitation de l'antenne. Nous voulons garder des « zones blanches » garante d'un équilibre psychique de la population, garantissant des zones naturelles vierges de toutes pollution dues aux activités humaines intempestives. Nous demandons le maintien et l'entretien régulier et efficace de lignes aériennes ou enfouies téléphoniques et internet (cuivre ou fibre) indispensable à la retenue du développement exagéré des smartphones et autres « phones » source d'extrême pollution, énergivores et susceptibles de rendre les gens dépendants voire complètements accros. Nous voulons des forfaits de lignes fixes avec ou sans internet, accessibles à tous donc peu cher et taxer au minimum. En tous cas, moins chers que les forfait de mobiles. Nous sommes favorables à la réinstallation de cabines téléphoniques à la demande de la population. Nous voulons continuer à vivre dans un monde où on se parle face à face, autour d'un verre, se rencontrant chaleureusement. Nous ne voulons pas être tracés en permanence, ou abêtis par des soi-disant coach et autres influenceurs. Nous demandons de maintenir un service public à la hauteur avec des guichets accessibles à tous à moins de 15 kms de chez soi. Nos ne sommes pas contre les demandes faîtes électroniquement sur les divers portails... mais pensons à ceux qui ne sont pas « branchés » et en cas de panne. Nous voulons garder le choix de nos vies, le choix d'être ou de ne pas « être branchés ». Au niveau local dans notre petite région du charolais-brionnais : L'abandon pur et simple du projet d'antenne à Paray le Monial sur le terrain d'Emmaüs. De même l'abandon du projet sur Saint-Christophe en Brionnais et à La Chapelle sous Dun. Le démantèlement du pylône récemment installé à Poisson par ATC qui n'a pas respecté le principe d'information de la population, qui n'a été l'objet que d'une simple Déclaration Préalable au lieu du Permis de Construire obligatoire puisque la dalle fait 60m², prétexté une raison futile de satisfaire d'hypothétiques nouveaux arrivants sur la commune et a été projeté et installé sans qu'aucun opérateur en téléphonie n'en ait fait la demande à la base.
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    Créée par Christian V. Picture
  • Pour des Conventions Citoyennes Locales des Transitions en Bretagne
    Depuis 50 ans nous échouons à répondre à l'urgence écologique. La Convention Citoyenne pour le Climat qui s'est déroulée en France entre octobre 2019 et juin 2020 a prouvé qu’un panel de citoyen·nes tiré·es au sort, représentatif·ves de la diversité de la société française, pouvait être force de propositions sur ces enjeux en allant dans le sens de l'intérêt général. Une fois (in)formés ces citoyen.nes ont répondu à l’objectif de « définir les mesures structurantes pour parvenir, dans un esprit de justice sociale, à réduire les émissions de gaz à effet de serre d'au moins 40 % d'ici 2030 par rapport à 1990 », en allant plus loin que tout ce que les politiques publiques ont pu mettre en place jusqu'à maintenant. Depuis, des Conventions Citoyennes locales ont vu le jour sur divers sujets (crise COVID-19, démocratie, climat,...) à différents endroits en France (Nantes, Rouen, Est Ensemble, Clermont-Ferrand ou plus localement à Rennes ou encore Brest). Mais il n’y a à ce jour aucune Convention Citoyenne Locale sur les enjeux transversaux de transition écologique en Bretagne. Pourtant cet outil de co-construction permet de légitimer des propositions ambitieuses répondant aux enjeux climatiques et du Vivant, de former des citoyen·nes et de les impliquer directement dans la vie politique. Cet appel du 3 décembre 2022, lancé à l’occasion du 3ème Forum des Coopérations organisé par le Réseau Cohérence, s’adresse à tou·tes. Pour accélérer les transitions écologiques nous avons impérativement besoin de mesures ambitieuses qui soient co-construites et portées par les citoyen·nes dans les territoires et de l’engagement du plus grand nombre. 👉 Pour cela, nous appelons à ce que soient mises en place des Conventions Citoyennes Locales pour les transitions écologiques (du climat, du Vivant...) par les collectivités en Bretagne. Il nous paraît nécessaire que ces conventions citoyennes respectent l'exigence méthodologique qui permet de garantir leur succès, telle que proposée par plusieurs associations . Il est temps de mettre en œuvre des dispositifs ambitieux de co-élaboration et de participation citoyenne, sans quoi la réponse publique ne sera jamais à la hauteur des défis actuels. Elu·es, citoyen·nes, associations locales : portez cette idée de Convention Citoyenne dans vos territoires, pour construire ensemble un futur viable, pour partager le pouvoir d’agir et faire vivre vraiment la démocratie. Premiers signataires : • Aucant William - Citoyen tiré au sort de la Convention Citoyenne pour le Climat (Nationale) • Benhabib Lamia - Citoyenne tirée au sort de la Convention Citoyenne Locale Nantes Métropole • Briand Michel - Acteur de réseaux coopératifs en Bretagne • Denis Romain - Citoyen tiré au sort de la Convention Citoyenne Locale Nantes Métropole • Dion Cyril - Ecrivain, réalisateur, poète et militant écologiste • Dissaux Glen - Conseiller municipal - 12ème vice-président de Brest métropole - Plan climat air énergie territorial, COP26 locale, Agenda 2030. • Goater Jean-Marie - Conseiller délégué Rennes Métropole à la démocratie locale • Gomez Tomas Veronica - Juriste en droit international de l'environnement et citoyenne engagée sur le Pays de Morlaix • Imer Mathilde - Membre du comité de gouvernance/organisation de la convention citoyenne pour le climat • Lavault Akira - Co-fondatrice de Maison Glaz (tiers-lieu à Gâvres) • Le Coz Armel - Co-fondateur et coordinateur de Démocratie Ouverte Collectif d'innovation démocratique • Marchandise Charlotte - Militante de la démocratie et citoyenne engagée • Mermet Laurence - Co-fondatrice d'Eco-bretons et membre du Réseau Cohérence • N'Dem Thomas - Citoyen tiré au sort de la Convention Citoyenne Locale Nantes Métropole • Pierre Jean-Claude - Porte-parole du Réseau Cohérence
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    Créée par Solenne B.
  • STOP CROISIERES A TOULON ET LA SEYNE SUR MER
    Les décideurs , croisiéristes , présentent toujours avec un grand cynisme les retombées économiques , impossible à quantifier sérieusement , et ne parlent jamais des milliers de morts dus à la pollution de l'air
    891 sur 1 000 Signatures
    Créée par GUILLAUME P. Picture
  • Lycée Cezanne : Intiative pour une option végétarienne à la cantine du lycée !
    Aujourd'hui, à la cantine du lycée, nous n’avons pas d’autre choix que de manger de la viande ou du poisson tous les jours ou presque. Cette situation contribue à la surproduction de viande industrielle qui accélère le réchauffement climatique et contribue à la déforestation (1). C’est aussi un problème pour notre santé (2). Nous, élèves du lycée Cézanne , rejoignons l’initiative afin d’affirmer notre engagement pour l’environnement, et demandons à la direction du lycée d’agir pour notre futur. Nous ne sommes pas tous végétarien·es mais nous voulons avoir le choix de consommer moins de viande. Nous demandons la mise en place d’une option végétarienne quotidienne équilibrée et de qualité, accessible à tout.es. De nombreuses cantines lycéennes offrent déjà cette possibilité, pourquoi pas la notre ? Ce menu végétarien offrira la possibilité à chaque lycéen·ne de choisir tous les jours son repas, et d’agir concrètement pour la transition écologique. L’instauration de ce menu végétarien quotidien aura des effets positifs sur le climat, (3) et en même temps permettra de libérer du budget pour introduire des produits de meilleure qualité et pour servir des repas plus variés(4) . Il est urgent d’agir pour la planète et il n’y a aucune raison de ne pas le faire. La nouvelle loi climat propose à tous les lycées qui le souhaitent d’expérimenter ce menu végétarien quotidien en plus d’un menu végétarien hebdomadaire, désormais obligatoire (article 252, loi climat et résilience). Avec cette initiative, nous voulons ouvrir le dialogue entre les élèves, et avec la direction, pour agir concrètement en faveur de la transition écologique. Signez et partagez l’initiative aux élèves de votre classe pour montrer votre soutien. Sources : (1) IPBES 2020 et FAO 2013 (2) Cancer : cancérogénicité de la consommation de viande rouge et de viande transformée, OMS 2015, https://bit.ly/3AfSshU (3) Rapport de Greenpeace "Menus végétariens à la cantine, quels impacts pour la planète?" - sept 2020 : https://bit.ly/35MBnR4 (4) Rapport Greenpeace et AVF “Option végétarienne dans les cantines : la réalité du terrain” - Février 2021 : https://bit.ly/3lh94BE
    165 sur 200 Signatures
    Créée par Laura S.
  • Pour que le BIO ne disparaisse pas de nos assiettes !
    Pour arriver à l’équilibre financier entre les 2 productions, le bio doit être en moyenne payé 2,5 fois de plus à l’agriculteur. Et ce n’est pas prévu aujourd’hui ! Beaucoup d’agriculteurs bio pensent à repasser en agriculture conventionnelle dès la prochaine campagne, c’est à dire après les moissons… il est urgent d’agir, et d’arrêter les lobbys sur les «biocarburants » qui font flamber le prix des oléagineux.
    224 sur 300 Signatures
    Créée par Maëlys B.
  • PROTÉGEONS NOS ENFANTS DES NUISANCES DE L'AÉRODROME DE LOGNES EMERAINVILLE
    32 centres scolaires, 12 500 élèves et 520 professionnels subissent quotidiennement les nuisances de l'aérodrome de Lognes-Emerainville (LFPL) ! Madame, Monsieur, l’intensité de l’activité de cet aérodrome au-dessus des écoles, collèges, universités et le manque de contrôle ne sont plus tolérables pour nos enfants. Il est de notre devoir de vous informer de ce véritable scandale sanitaire et nous sollicitons votre aide afin d’y mettre un terme pour l'année scolaire 2022/2023. L’ activité de cet aérodrome s’est fortement accrue ces cinq dernières années, nous constatons des survols systématiques de ces aéronefs de loisirs au-dessus de ces groupes scolaires à des altitudes basses, ce qui gênent l’apprentissage des enfants, mais surtout qui nous préoccupent au niveau sanitaire et sécuritaire. Ces aéronefs fonctionnent pour la grande majorité au carburant au plomb. Lors de la haute saison (mars à octobre), certains groupes scolaires sont survolés avec jusqu’à 300 mouvements par jour toutes les 45 secondes. (Pour rappel, le carburant au plomb est prohibé dans le secteur routier, preuve que cela est nocif pour la santé). Ces survols beaucoup trop fréquents, avec des aéronefs vieillissants et de plus en plus rapprochés (nous avons constaté jusqu’à 2 avions simultanés au-dessus de certain ensemble scolaire), nous inquiètent pour la santé des élèves mais aussi pour leur sécurité. Il est indéniable que les nuisances sonores, jusqu’à 80 décibels, causées par ces aéronefs de loisirs, ne permettent pas aux élèves d’être dans un cadre d’apprentissage approprié. D’autre part la procédure Covid d’aération des classes n’est pas possible car les élèves ne peuvent entendre les professeurs parler lorsque les fenêtres sont ouvertes. La charte environnementale actuelle oblige des plages de tranquillité uniquement les weekends et jours fériés, nous souhaitons que les nuisances soient réduites également les jours de semaine pour le bien être des élèves. Liste des écoles et villes concernées Zone C : Emerainville : Ecole La Mare L'embûche, Ecole Lavoisier, Ecole Malnoue 2 Croissy Beaubourg : Ecole Alfred Chartier Noisy Le grand : Collège Saint Exupery, Ecoles des Yvris Zone D : Emerainville : Ecole Jean Jaures, Collège Van Gogh Lognes : Collège Le Segrais, Ecole Le Segrais, Ecole Le Four, Ecole Le Village Noisiel : Ecole Bois de La Grange Torcy : Ecole Jean Zay, Collège Victor Schoelcher, Lycée Jean-Moulin Croissy Beaubourg : Ecole Les Lions de Beaubourg Noisy Le grand : Lycée Gobelins Hors Zone PEB : Emerainville : Ecole du Bois d'Emery Collégien : Ecole des Saules Lognes : Lycée Emily Brontë, Ecole Mandinet Noisiel : Ecole Les Noyers, Ecole La Ferme du Buisson, Lycée Gérard de Nerval, Lycée René Cassin Champs sur Marne : Collège Pablo Picasso, Ecole Pablo Picasso, Universités Cité Descartes Noisy Le Grand : Ecole Paul Serelle, Ecole Richardets, Ecole des Charmilles
    2 600 sur 3 000 Signatures
    Créée par Association ARALE
  • Marseille bétonnée Stop à l'asphyxie
    J'ai 35 ans, le paysage Marseillais change je le vois évoluer puisque j'y suis née, on dirait Paris! Et ce n'est pas ce que je souhaite pour notre belle ville. L'espace doit conserver un équilibre entre les zones bétonnées et espaces naturels. Je vivais aux Escourtines dans le 11 ème quand j'étais petite, je pouvais aller dans la colline, il y avait un stade pour faire du football, un terrain de basket, j'en ai passé du temps dans ce stade à faire du vélo, lancer des ballons dans le panier, regarder l'eau de la rivière couler... Les futures générations qu'auront-elles en bas de leur immeuble? Une future super résidence! Heureusement, la colline est toujours là... Ce n'est qu'un exemple parmi d'autres dans la frénésie de construction, au détriment du bien être (notre bien être=arbres, pelouse, fleurs)
    244 sur 300 Signatures
    Créée par Cindy H. Picture
  • Oui à la renaturation de la rivière Genil à Grenade, Espagne
    Depuis les travaux réalisés dans les années 90 du siècle dernier, la rivière Genil qui traverse la ville de Grenade est un petit ruisseau qui coule sur une chape en béton. Un fleuve sans végétation sur ses rives, sans vie. Le projet de renaturalisation présenté par Ecologistas en Acción consistait à transformer ce vilain canal en une véritable rivière, laissant de la végétation sur ses berges. Ce projet a été approuvé en 2003, 2006 et 2017 mais n'a jamais été réalisé. En septembre 2021, un appel à subventions a été lancé pour promouvoir des actions visant à la renaturalisation et à la résilience des villes espagnoles par le fonds Next Generation. Cependant, le projet de Ecologistas en Acción n'a pas été soumis à cet appel, mais plutôt un projet préparé par ASITEC, pour EMASAGRA (une entreprise publique-privée). Et étonnamment, dans ce projet coûteux, la rivière n'est pas renaturalisée mais encore plus remplie de béton et transformée en une promenade urbaine sans arbres. Il est important que le projet réalisé par Ecologistas en Acción soit réalisé pour obtenir un espace vert dans tout le centre de Grenade. Cet espace vert réduira la température et la pollution, augmentera la biodiversité et permettra le bien-être de la population.
    127 sur 200 Signatures
    Créée par Céline N.
  • POUR un débat sur la "Deep geothermal energy", une nouvelle solution à la crise énergétique
    La "Deep geothermal energy" est une technique développée par des anciens étudiants du MIT. La géothermie "classique", que nous connaissons tous, est une énergie propre, durable mais qui a l'inconvénient de ne pas être exploitable partout sur terre et de produire des quantités limitées d'énergie. La "Deep geothermy" diffère de cette dernière par la technique employée, en effet il s'agit là de creuser bien plus profondément que la géothermie classique grâce à un engin nommé "gyrotron" (qui "fond" la roche par émission de micro-ondes à hautes fréquences et est de ce fait plus efficace que les techniques utilisée jusqu'à présent). Cette technique est peu invasive et impactante sur l'environnement, n'injecte pas d'eau ni d'acide dans la roche, ne produit pas de déchets, ne présente pas de risque pour l'Homme et toute autre forme de vie, est utilisable partout sur terre et produit surtout des quantités phénoménales d'énergie qui permettrons de l'utiliser en source principale d'énergie et de se passer très rapidement du nucléaire. DEMANDE : Je demande que cette source d'énergie soit très sérieusement étudiée et qu'elle rentre dans le débat sur les énergies renouvelables, car il s'agit d'une solution hautement efficace, propre et durable à la problématique de la crise énergétique.
    145 sur 200 Signatures
    Créée par Romane L.
  • Stop à la faim du mois !
    Des millions de personnes en France sont contraintes de s’alimenter en ayant recours à l’aide alimentaire. En 2020, elles étaient ainsi près de sept millions [1]. Dans la 6e puissance économique mondiale, le droit à une alimentation saine et sans risque est bafoué pour les catégories les plus pauvres de la population. Faute de budget, elles n’ont pas la possibilité de se nourrir dignement, en quantité suffisante et de manière adaptée à leurs besoins nutritionnels et leurs convictions personnelles. Cette précarité alimentaire frappe notamment les plus jeunes, étudiant·es ou non, qui représentent 50% des bénéficiaires des repas servis par Les Restos du cœur [2]. Comment vivre dignement lorsque se nourrir s'apparente à une épreuve de survie ? C’est un drame social, mais aussi sanitaire et environnemental qui se joue. Ce sont en effet les personnes les plus précaires qui sont celles qui présentent le plus de risques de développer des maladies fortement liées à l’alimentation comme l’obésité, le diabète ou certains cancers. Garantir le droit à l’alimentation revient à résoudre un grave problème de santé publique. Assurer un droit à l’alimentation permettrait également de contribuer à la nécessaire transformation de notre système alimentaire et agricole. Donner à chaque personne les moyens de manger des produits sains et durables, c’est assurer des débouchés à une agriculture locale et respectueuse du vivant, favorisant ainsi les activités agricoles vertueuses sur l’ensemble du territoire français. C’est un levier puissant pour développer des systèmes alimentaires résilients, équitables et intensifs en emplois. Pour remédier à la précarité alimentaire, nous demandons aux responsables politiques de se saisir de cette question de toute urgence. Deux mesures fortes et structurantes s'imposent aujourd'hui au sein des débats scientifiques, politiques et associatifs relatifs au droit à l'alimentation, et doivent être discutées de manière prioritaire par l'ensemble des candidats à l'élection présidentielle : Pour les étudiants et les étudiantes, assurer un accès à des menus sains et durables et la mise en place d’une tarification sociale des repas dans l’ensemble des sites d’enseignement supérieur. Cette mesure inclut la mise en place de repas à 1€ et elle doit être financée par l’Etat. En effet, sans soutien de ce dernier, elle pourrait s’avérer contreproductive en entraînant une baisse de la qualité des menus servis et une précarisation des contrats pour compenser la réduction des prix de vente. Pour l’ensemble de la population, le développement d’une Sécurité sociale de l’alimentation. Tout comme la santé individuelle est prise en charge de façon collective, la sécurité sociale de l’alimentation donnerait à chaque personne la possibilité de s’acheter, grâce à une allocation de 150 euros par mois, des produits alimentaires dits “conventionnés”. Le but : donner à chacun et à chacune les moyens économiques de se nourrir avec des produits alimentaires sains et durables. Il est inacceptable qu’en France, des millions de personnes soient frappées par la précarité alimentaire. Les responsables politiques doivent agir pour y mettre fin ! Organisations signataires : Collectif pour une Sécurité Sociale de l’Alimentation, L'Alternative, Les amis de la Conf*, BelleBouffe, Réseau CIVAM*, Crisalim, Déclic, FAGE, Greenpeace France, ISF-Agrista*, Let’s Food, RESES, Sillage, Solidaires étudiant-e-s, UNEF, VRAC*, Association Végétarienne de France * Associations membres du collectif pour une Sécurité Sociale de l’Alimentation qui signent en leur nom. [1] Etude du Secours Catholique "Etat de la pauvreté en France", 2021. [2] Selon les chiffres du Sénat.
    23 005 sur 25 000 Signatures
    Créée par Les organisations signataires
  • Sauvons le chêne remarquable de Castelnau Le Lez, c'est urgent et possible !
    Il s'agit d'une lutte qui dure depuis plusieurs années. Le site est une falaise qui domine une ancienne carrière de sable. La hauteur était de 8 à 9 mètres, avant les travaux dans la carrière. En effet un promoteur a acheté la carrière pour y construire un ensemble immobilier. En haut de la falaise le chêne s'épanouissait dans une propriété modeste, en bordure du chemin de terre qui aboutissait en impasse. Dans la petite maison dont ils sont propriétaires vivent toujours : une dame très âgée et son fils handicapé moteur de naissance, ne se déplaçant qu'au moyen d'un fauteuil. Le lieu était un petit paradis, où les promeneurs aimaient venir pour la fraicheur et l'ombre dispensée par le chêne et les arbres voisins. Dans la carrière on pouvait voir les guêpiers voler autour de leurs nids creusés dans le sable des falaises. Ce sont de beaux oiseaux au plumage très coloré. De très grands et beaux pins peuplaient une propriété voisine. Plus de guêpiers, plus de promeneurs, beaucoup moins de pins et des murs qui s'écroulent, etc... une biodiversité menacée au moment où nous allons en avoir plus besoin. Nous sommes un mouvement citoyen, formé de membres de la famille des propriétaires, de riverains, de membres d'associations qui luttent pour l'environnement, de sympathisants, et nous avons décidé d'agir. Récemment la justice nous a donné raison pour protéger le chêne des multiples camions et engins de chantier qui passaient tous les jours sur ses racines, étant donné qu'il est en bordure du chemin. Le promoteur ayant décidé que ce chemin était le seul utilisable : cela est faux. Nous avons vu que deux autres voies existent : il a utilisé une petite rue pour commencer le chantier puis construire une rampe d'accès au chemin d'en haut, et il existe aussi la rue que nous appelons la troisième voie, dont nous réclamons l'utilisation pour le chantier et les immeubles futurs. Ainsi le problème de la voirie ne se poserait plus au niveau du chêne. La voirie doit rester au niveau du chantier et des constructions futures alors que tout est déjà prêt pour cela. C'est véritablement l'URGENCE, et nous vous demandons de signer maintenant cette pétition car tout est prêt pour commencer à creuser sur le chemin où vit le chêne !
    459 sur 500 Signatures
    Créée par Marie Anne B.