-
SAUVONS LES CHALETS FLOTTANTS DE LA GALIOTTE !SAUVONS LES CABANES FLOTTANTES DE L'ETANG DE LA GALIOTTE !!! Un joyau du Patrimoine des Yvelines, unique en Ile de France, est sur le point de disparaître. Le département des Yvelines a décrété pour fin 2025 la destruction des 37 cabanes flottantes de l’Etang de la Galiotte. C'est un pan de l'histoire et de l'architecture de Carrières-sous-Poissy qui va être effacé... Un incompréhensible gâchis: Les rives fleuries de ce site charmant et poétique abritent au sein du Parc du Peuple de l’herbe un ensemble architectural exceptionnel dans notre région. Immortalisé par Yann Arthus Bertrand, ce village lacustre de pêcheurs est blotti depuis 50 ans entre Poissy et Carrières-sous-Poissy. Ces cabanes sont un formidable exemple d'habitat bas carbone et écologique, car elles tirent leur énergie de panneaux solaires ou de petites éoliennes, sont économes en eau, et équipées de toilettes sèches. Nous voulons investir encore afin de faire des cabanes flottantes un exemple rayonnant d'excellence écologique qui n'aurait plus aucun impact sur la faune et la flore de l'étang de la Galiotte. Nous avons pourtant proposé au département des solutions innovantes pour conserver les cabanes flottantes tout en respectant l’environnement, au sein d'un projet culturel: résidences d'artistes, visites éducatives et scolaires autour de nombreux sujets liés aux oiseaux, à l'écologie et à cet habitat original. AGISSONS POUR PROTEGER CET ENSEMBLE UNIQUE Venez nombreux nous rencontrer à l'étang de la Galiotte et contempler cet endroit exceptionnel, en observant, dans le silence, les hérons, les cygnes, les foulques macroules, les poules d'eau et de nombreux autres oiseaux... Signez la pétition ! Votre signature peut faire la différence. MERCI de nous aider à sauver ce joyau du Patrimoine des Yvelines! www.galiotte.net [email protected]1 136 sur 2 000 SignaturesCréée par Association de la Galiotte
-
Sauvons Novethic, menacé de fermetureDepuis 20 ans, Novethic est un acteur essentiel de la transition écologique et sociale en France, qui participe à une mission d'intérêt général plus que jamais essentielle : informer et former les acteurs économiques et le grand public sur les enjeux du réchauffement climatique, de la crise de la biodiversité ou encore de la transformation durable de l'économie. A travers son média, son centre de recherche et de formation, et ses activités de labellisation, Novethic a contribué à sensibiliser des dizaines de millions de personnes et contribue chaque jour aux progrès de la transformation durable de notre économie. Mais depuis plusieurs mois maintenant, cette mission d'intérêt général est menacée de disparaître. La Caisse des Dépôts et Consignations (CDC) actionnaire unique de Novethic menace en effet de mettre fin à la subvention qu'elle accorde à Novethic pour remplir sa mission depuis plus de 20 ans. Or depuis des mois, des informations parcellaires sont envoyées aux salariés de manière plus ou moins officielles, la plus récente mentionnant la mise au vote, lors d’un comité d’engagement, d’une provision pour la possible fermeture de Novethic. Une situation d’autant plus incompréhensible que Novethic répond à la raison d’être de la CDC, c’est-à-dire "accélérer la transformation écologique". La CDC doit d’ailleurs investir plus de 100 milliards d'euros dans les cinq prochaines années pour la transition écologique et sociale, alors pourquoi laisser mourir Novethic ? A l’heure où la crise climatique et environnementale doit nous pousser à agir et transformer nos modèles socio-économiques, nous rappelons la pertinence d’un média et d’un centre de recherche comme le nôtre, ni militant ni orienté politiquement, et reconnu dans le secteur comme un acteur clé, portant depuis 2001 le sujet de la transition écologique et sociale. Nous rappelons par ailleurs que des métiers, moins visibles mais tout aussi cruciaux pour le maintien de Novethic sont en danger : les communicants, commerciaux, formateurs… effectuent un travail remarquable pour maintenir nos activités. Les salariés ne peuvent être sacrifiés et payer les pots cassés d’une stratégie court-termiste. Nous, salariés, de Novethic, lançons un mouvement de grève ce mercredi 16 octobre et réclamons : • La transparence de la CDC sur les scénarios envisagés pour l’avenir de Novethic • D’être intégrés dès aujourd’hui au processus de discussion avec les personnes décisionnaires de notre avenir à la CDC via nos représentants CSE et nos représentants de la société des journalistes de Novethic Nous rappelons par ailleurs que : • Novethic a été créé en 2001 pour répondre à une mission d’intérêt général qu’il remplit avec succès. Les discussions ne peuvent se fonder uniquement sur la rentabilité des activités non subventionnées. Un autre modèle peut advenir. • La situation financière dans laquelle se trouve Novethic ne peut être imputée aux salariés qui n’ont pas été impliqués dans la stratégie et les décisions de la direction de Novethic et de la CDC ces 20 dernières années. Nous dénonçons enfin : • Les tentatives d’intimidation envers des salariés avec lesquels nous sommes tous solidaires • Une situation irrespirable qui participe à une recrudescence des risques psychosociaux Nous avons besoin de vous, de votre soutien. N'hésitez pas à relayer sur les réseaux sociaux notre appel et à interpeller la Caisse des dépôts. On compte sur vous !8 724 sur 9 000 SignaturesCréée par Marina F.
-
TERRAIN DE RUGBY : SAUVONS LA DERNIERE GRANDE PELOUSE DE TAVERNY !PETITION TERRAIN DE RUGBY : SAUVONS LA DERNIERE GRANDE PELOUSE DE TAVERNY ! Pourquoi le terrain du rugby de Pontalis, un des derniers grands espaces verts en accès libre, risque-t-il de disparaître ? La mairie a annoncé la vente de ce terrain communal au privé et sa bétonisation pour du foot en salle et du padel. Ce poumon vert est un espace important pour les familles qui peuvent l’utiliser à leur guise : sa destruction va une fois de plus fortement baisser la surface des espaces verts à Taverny. C’est mauvais pour l’environnement, la biodiversité, la santé des habitants, le bien-être. Les bâtiments construits sur le terrain de rugby devraient être d’imposants hangars : des verrues dans le paysage, à côté du bois de Boissy. 16 900 m2 d’espaces naturels seraient ainsi détruits ! Le padel sera opéré par une entreprise privée et non par l’association du club de Tennis de Taverny (Cosmo). Le foot en salle également sera géré par cette entreprise privée Urban Soccer : alors qu’il existe déjà une entreprise de foot et padel en salle à Beauchamp à 3000 m. Celle-ci s’est d’ailleurs installée en zone d’activité de Beauchamp et non en centre-ville pour limiter les nuisances. Tandis qu’avec ce projet à Taverny les nuisances seront fortes, jusqu’à une heure du matin et les voitures nombreuses. Le terrain est situé à proximité des lycées et des collèges, entre les deux quartiers prioritaires de la ville. Il est utilisé pour les évènements, forum associatif, festival, course solidaire « Lisa Forever », rencontres sportives inter établissements. Il est donc préférable pour la commune et ses habitants de garder ce dernier grand terrain libre d’accès : Pourquoi cet acharnement de la maire et de sa majorité à vouloir tout bétonner et marchandiser ? Plus d'informations et les plans d'implantations sur : https://changeonsderetaverny.fr/2024/05/19/petition-terrain-de-rugby-sauvons-la-derniere-grande-pelouse-de-taverny/ Contact : [email protected] Avec les places de stationnement et la voie d’accès, la majeure partie du terrain est sacrifiée. Stop à la marchandisation : la ville a déjà vendu pour plus de 10 millions d’euros de terrains communaux. Nous nous appauvrissons : ce patrimoine nous apparatient à toutes et tous or il est cédé de façon irreversible à des promoteurs. Cette grande pelouse en accès libre est un bien commun : elle doit rester dans le patrimoine public ! Elle ne doit pas être vendue. Les activités sportives peuvent être organisées par nos associations : il n’est pas nécessaire de les privatiser. Ce sera cher, réservé à quelques uns et d’autant plus aberrant que tout près des terrains de foot et padel en salle sont déjà présents en nombre à Beauchamp. Mme le maire et sa majorité doivent abandonner ce projet délirant et toxique : le terrain doit au contraire être valorisé. 16 900 m2 d'espaces verts publics en milieu urbain, c'est un joyaux à préserver, à valoriser, à garder dans le patrimoine public : et non à vendre au privé et à bétonner. Sauvons cette pépite tabernacienne !5 248 sur 6 000 SignaturesCréée par Thomas C.
-
Pour la dissolution de la FNSEAQu’est-ce que la FNSEA ? Je ne sais pas si on doit encore présenter ce “syndicat”, mais la FNSEA ou Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles se veut comme le syndicat représentatif des agriculteurs, enfin d’un certain type d’agriculture. C’est surtout une organisation qui défend les pesticides (1) et un modèle d’agriculture du passé, un modèle intensif (2) au passé (et présent) sulfureux. Pourquoi demander sa dissolution ? Il y a quelques semaine-nes, on a appris avec stupeur (ou pas) la dissolution des soulèvements de la terre, ce collectif écologiste qui se mobilise contre l'accaparement des terres et lutte contre certains projets d'aménagement, notamment les « méga-bassines », des autoroutes, ou encore le projet de ligne à grande vitesse Lyon-Turin. Le 21 juin le gouvernement a décidé de dissoudre les SDLT pour avoir appelé et commis des dégradations matérielles lors de diverses manifestations. Et c’est là que ça fait écho avec la FNSEA. En effet, je vis près de la Rochelle et il y a quelques semaines, des agriculteurs de la FNSEA ont mené une action qu’on pourrait qualifier de violente. En effet, en marge d’une manifestation, ces agriculteurs de la FNSEA ont choisi de saccager une maison d’un militant écologiste, qui n'est autre que le vice président de France Nature Environnement 17. Jets de pierre, insultes (notamment homophobes), menaces, etc… tout y est passé. (3) En me renseignant, je me suis rendu compte que ce n’était pas la première fois et pas la plus violente. En effet, il existe de nombreux “faits violents” qui sont à rattacher à des agriculteurs de la FNSEA ou proches 23 août 1990 : Des moutons brûlés vifs lors d’une manifestation de la FNSEA 19 septembre 2014 : Le centre des impôts et le bâtiment de la Mutualité sociale agricole incendiés à Morlaix 17 février 2023 : Les locaux de l’association France nature environnement pris pour cible 12 avril 2023 : Une permanence parlementaire ciblée pour la troisième fois en six mois par la FNSEA Ce ne sont ici que des exemples et voici une liste plus complète (4) des agissements qui sont à reprocher à des membres de ce syndicat agricole. Je me pose donc la question, comme de nombreuses personnes : faut-il, au vu de ses dérives et des discours offensifs de ses dirigeant-es qui jettent de l'huile sur le feu, dissoudre la FNSEA ? Si l'Etat fait preuve de cohérence, la réponse est OUI. Alors signez cet appel pour faire réagir le gouvernement ! Celui-ci préfère dissoudre les mouvements écologistes, allant à l'encontre de la liberté d'expression, mais laisse l'agri-terrorisme agir impunément. Merci pour votre mobilisation. (1) https://www.bfmtv.com/economie/economie-social/social/diminution-des-pesticides-les-agriculteurs-appeles-a-manifester-en-tracteur-a-paris-mercredi_AD-202302030717.html (2) https://www.ladepeche.fr/2023/03/30/business-huile-et-agriculture-intensive-qui-est-arnaud-rousseau-le-futur-nouveau-leader-de-la-fnsea-11097483.php (3) https://france3-regions.francetvinfo.fr/nouvelle-aquitaine/charente-maritime/la-rochelle/la-maison-d-un-militant-ecologiste-saccagee-par-des-agriculteurs-en-marge-d-une-manifestation-de-la-fnsea-a-la-rochelle-2738562.html) (4) https://basta.media/chronologie-60-ans-d-actions-violentes-faut-il-pour-autant-dissoudre-la-FNSEA https://www.lemonde.fr/economie-francaise/article/2016/02/03/crise-des-eleveurs-sans-violence-la-presse-nationale-n-en-parle-pas_4858348_1656968.html https://twitter.com/SebastienM/status/16718421758672977924 290 sur 5 000 SignaturesCréée par Mathieu R.
-
contre la prolifération à tout va des antennes-relaisPétition pour une vie ensemble mieux réfléchie contre la prolifération à tout va des antennes-relais proposée par les collectifs de POISSON, PARAY le Monial, Saint CHRISTOPHE en Brionnais et La CHAPELLE sous Dun Nous, citoyens, aimant la démocratie, la république et surtout la vie, nous sommes sidérés par la prolifération exponentielle des antennes-relais de tous genres. Nous sommes nous-mêmes utilisateurs de téléphones portables et ne sommes pas contre les nouveautés mais simplement contre les excès et aberrations. C'est pourquoi nous vous invitons à signer cette pétition qui sera envoyée au gouvernement et autres élus (dont nos 4 maires) afin qu'ils réfléchissent un peu plus et surtout mieux à ce qu'ils sont en train de mettre en place et qui ne correspond pas à nos aspirations d'une vie meilleure. Au niveau national : Nous demandons un retour immédiat à la procédure d'enquête publique pour tout projet d'implantation d'antenne-relais en tous genres. Nous demandons un moratoire au niveau du développement de la 5G (et plus) et le principe de précaution clamé haut et fort mais déjà si vite oublié. Nous exigeons l'arrêt de tous les projets en cours et leur réexamen en matière d'utilité et de nuisances. L'obligation d'une étude de nuisances et d'utilité : y a-t-il vraiment besoin de cette installation ? n'y a-t-il pas d'autres solutions existantes à améliorer ? Lorsqu'une antenne s'avérerait utile, obligation du regroupement des opérateurs sur celle-ci ; Fini 2, 3 ou 4 antennes par village ! Obligation d'utiliser en priorité les pylônes existants. Implantation loin des habitations, élevages et zones très fréquentées par la faune naturelle. Obligation de respecter les haies et les arbres du site. Obligation de fournir un plan financé de remise en état originel du site après exploitation de l'antenne. Nous voulons garder des « zones blanches » garante d'un équilibre psychique de la population, garantissant des zones naturelles vierges de toutes pollution dues aux activités humaines intempestives. Nous demandons le maintien et l'entretien régulier et efficace de lignes aériennes ou enfouies téléphoniques et internet (cuivre ou fibre) indispensable à la retenue du développement exagéré des smartphones et autres « phones » source d'extrême pollution, énergivores et susceptibles de rendre les gens dépendants voire complètements accros. Nous voulons des forfaits de lignes fixes avec ou sans internet, accessibles à tous donc peu cher et taxer au minimum. En tous cas, moins chers que les forfait de mobiles. Nous sommes favorables à la réinstallation de cabines téléphoniques à la demande de la population. Nous voulons continuer à vivre dans un monde où on se parle face à face, autour d'un verre, se rencontrant chaleureusement. Nous ne voulons pas être tracés en permanence, ou abêtis par des soi-disant coach et autres influenceurs. Nous demandons de maintenir un service public à la hauteur avec des guichets accessibles à tous à moins de 15 kms de chez soi. Nos ne sommes pas contre les demandes faîtes électroniquement sur les divers portails... mais pensons à ceux qui ne sont pas « branchés » et en cas de panne. Nous voulons garder le choix de nos vies, le choix d'être ou de ne pas « être branchés ». Au niveau local dans notre petite région du charolais-brionnais : L'abandon pur et simple du projet d'antenne à Paray le Monial sur le terrain d'Emmaüs. De même l'abandon du projet sur Saint-Christophe en Brionnais et à La Chapelle sous Dun. Le démantèlement du pylône récemment installé à Poisson par ATC qui n'a pas respecté le principe d'information de la population, qui n'a été l'objet que d'une simple Déclaration Préalable au lieu du Permis de Construire obligatoire puisque la dalle fait 60m², prétexté une raison futile de satisfaire d'hypothétiques nouveaux arrivants sur la commune et a été projeté et installé sans qu'aucun opérateur en téléphonie n'en ait fait la demande à la base.272 sur 300 SignaturesCréée par Christian V.
-
Pour des Conventions Citoyennes Locales des Transitions en BretagneDepuis 50 ans nous échouons à répondre à l'urgence écologique. La Convention Citoyenne pour le Climat qui s'est déroulée en France entre octobre 2019 et juin 2020 a prouvé qu’un panel de citoyen·nes tiré·es au sort, représentatif·ves de la diversité de la société française, pouvait être force de propositions sur ces enjeux en allant dans le sens de l'intérêt général. Une fois (in)formés ces citoyen.nes ont répondu à l’objectif de « définir les mesures structurantes pour parvenir, dans un esprit de justice sociale, à réduire les émissions de gaz à effet de serre d'au moins 40 % d'ici 2030 par rapport à 1990 », en allant plus loin que tout ce que les politiques publiques ont pu mettre en place jusqu'à maintenant. Depuis, des Conventions Citoyennes locales ont vu le jour sur divers sujets (crise COVID-19, démocratie, climat,...) à différents endroits en France (Nantes, Rouen, Est Ensemble, Clermont-Ferrand ou plus localement à Rennes ou encore Brest). Mais il n’y a à ce jour aucune Convention Citoyenne Locale sur les enjeux transversaux de transition écologique en Bretagne. Pourtant cet outil de co-construction permet de légitimer des propositions ambitieuses répondant aux enjeux climatiques et du Vivant, de former des citoyen·nes et de les impliquer directement dans la vie politique. Cet appel du 3 décembre 2022, lancé à l’occasion du 3ème Forum des Coopérations organisé par le Réseau Cohérence, s’adresse à tou·tes. Pour accélérer les transitions écologiques nous avons impérativement besoin de mesures ambitieuses qui soient co-construites et portées par les citoyen·nes dans les territoires et de l’engagement du plus grand nombre. 👉 Pour cela, nous appelons à ce que soient mises en place des Conventions Citoyennes Locales pour les transitions écologiques (du climat, du Vivant...) par les collectivités en Bretagne. Il nous paraît nécessaire que ces conventions citoyennes respectent l'exigence méthodologique qui permet de garantir leur succès, telle que proposée par plusieurs associations . Il est temps de mettre en œuvre des dispositifs ambitieux de co-élaboration et de participation citoyenne, sans quoi la réponse publique ne sera jamais à la hauteur des défis actuels. Elu·es, citoyen·nes, associations locales : portez cette idée de Convention Citoyenne dans vos territoires, pour construire ensemble un futur viable, pour partager le pouvoir d’agir et faire vivre vraiment la démocratie. Premiers signataires : • Aucant William - Citoyen tiré au sort de la Convention Citoyenne pour le Climat (Nationale) • Benhabib Lamia - Citoyenne tirée au sort de la Convention Citoyenne Locale Nantes Métropole • Briand Michel - Acteur de réseaux coopératifs en Bretagne • Denis Romain - Citoyen tiré au sort de la Convention Citoyenne Locale Nantes Métropole • Dion Cyril - Ecrivain, réalisateur, poète et militant écologiste • Dissaux Glen - Conseiller municipal - 12ème vice-président de Brest métropole - Plan climat air énergie territorial, COP26 locale, Agenda 2030. • Goater Jean-Marie - Conseiller délégué Rennes Métropole à la démocratie locale • Gomez Tomas Veronica - Juriste en droit international de l'environnement et citoyenne engagée sur le Pays de Morlaix • Imer Mathilde - Membre du comité de gouvernance/organisation de la convention citoyenne pour le climat • Lavault Akira - Co-fondatrice de Maison Glaz (tiers-lieu à Gâvres) • Le Coz Armel - Co-fondateur et coordinateur de Démocratie Ouverte Collectif d'innovation démocratique • Marchandise Charlotte - Militante de la démocratie et citoyenne engagée • Mermet Laurence - Co-fondatrice d'Eco-bretons et membre du Réseau Cohérence • N'Dem Thomas - Citoyen tiré au sort de la Convention Citoyenne Locale Nantes Métropole • Pierre Jean-Claude - Porte-parole du Réseau Cohérence222 sur 300 SignaturesCréée par Solenne B.
-
STOP CROISIERES A TOULON ET LA SEYNE SUR MERLes décideurs , croisiéristes , présentent toujours avec un grand cynisme les retombées économiques , impossible à quantifier sérieusement , et ne parlent jamais des milliers de morts dus à la pollution de l'air891 sur 1 000 SignaturesCréée par GUILLAUME P.
-
Lycée Cezanne : Intiative pour une option végétarienne à la cantine du lycée !Aujourd'hui, à la cantine du lycée, nous n’avons pas d’autre choix que de manger de la viande ou du poisson tous les jours ou presque. Cette situation contribue à la surproduction de viande industrielle qui accélère le réchauffement climatique et contribue à la déforestation (1). C’est aussi un problème pour notre santé (2). Nous, élèves du lycée Cézanne , rejoignons l’initiative afin d’affirmer notre engagement pour l’environnement, et demandons à la direction du lycée d’agir pour notre futur. Nous ne sommes pas tous végétarien·es mais nous voulons avoir le choix de consommer moins de viande. Nous demandons la mise en place d’une option végétarienne quotidienne équilibrée et de qualité, accessible à tout.es. De nombreuses cantines lycéennes offrent déjà cette possibilité, pourquoi pas la notre ? Ce menu végétarien offrira la possibilité à chaque lycéen·ne de choisir tous les jours son repas, et d’agir concrètement pour la transition écologique. L’instauration de ce menu végétarien quotidien aura des effets positifs sur le climat, (3) et en même temps permettra de libérer du budget pour introduire des produits de meilleure qualité et pour servir des repas plus variés(4) . Il est urgent d’agir pour la planète et il n’y a aucune raison de ne pas le faire. La nouvelle loi climat propose à tous les lycées qui le souhaitent d’expérimenter ce menu végétarien quotidien en plus d’un menu végétarien hebdomadaire, désormais obligatoire (article 252, loi climat et résilience). Avec cette initiative, nous voulons ouvrir le dialogue entre les élèves, et avec la direction, pour agir concrètement en faveur de la transition écologique. Signez et partagez l’initiative aux élèves de votre classe pour montrer votre soutien. Sources : (1) IPBES 2020 et FAO 2013 (2) Cancer : cancérogénicité de la consommation de viande rouge et de viande transformée, OMS 2015, https://bit.ly/3AfSshU (3) Rapport de Greenpeace "Menus végétariens à la cantine, quels impacts pour la planète?" - sept 2020 : https://bit.ly/35MBnR4 (4) Rapport Greenpeace et AVF “Option végétarienne dans les cantines : la réalité du terrain” - Février 2021 : https://bit.ly/3lh94BE171 sur 200 SignaturesCréée par Laura S.
-
Pour que le BIO ne disparaisse pas de nos assiettes !Pour arriver à l’équilibre financier entre les 2 productions, le bio doit être en moyenne payé 2,5 fois de plus à l’agriculteur. Et ce n’est pas prévu aujourd’hui ! Beaucoup d’agriculteurs bio pensent à repasser en agriculture conventionnelle dès la prochaine campagne, c’est à dire après les moissons… il est urgent d’agir, et d’arrêter les lobbys sur les «biocarburants » qui font flamber le prix des oléagineux.238 sur 300 SignaturesCréée par Maëlys B.
-
PROTÉGEONS NOS ENFANTS DES NUISANCES DE L'AÉRODROME DE LOGNES EMERAINVILLE32 centres scolaires, 12 500 élèves et 520 professionnels subissent quotidiennement les nuisances de l'aérodrome de Lognes-Emerainville (LFPL) ! Madame, Monsieur, l’intensité de l’activité de cet aérodrome au-dessus des écoles, collèges, universités et le manque de contrôle ne sont plus tolérables pour nos enfants. Il est de notre devoir de vous informer de ce véritable scandale sanitaire et nous sollicitons votre aide afin d’y mettre un terme pour l'année scolaire 2022/2023. L’ activité de cet aérodrome s’est fortement accrue ces cinq dernières années, nous constatons des survols systématiques de ces aéronefs de loisirs au-dessus de ces groupes scolaires à des altitudes basses, ce qui gênent l’apprentissage des enfants, mais surtout qui nous préoccupent au niveau sanitaire et sécuritaire. Ces aéronefs fonctionnent pour la grande majorité au carburant au plomb. Lors de la haute saison (mars à octobre), certains groupes scolaires sont survolés avec jusqu’à 300 mouvements par jour toutes les 45 secondes. (Pour rappel, le carburant au plomb est prohibé dans le secteur routier, preuve que cela est nocif pour la santé). Ces survols beaucoup trop fréquents, avec des aéronefs vieillissants et de plus en plus rapprochés (nous avons constaté jusqu’à 2 avions simultanés au-dessus de certain ensemble scolaire), nous inquiètent pour la santé des élèves mais aussi pour leur sécurité. Il est indéniable que les nuisances sonores, jusqu’à 80 décibels, causées par ces aéronefs de loisirs, ne permettent pas aux élèves d’être dans un cadre d’apprentissage approprié. D’autre part la procédure Covid d’aération des classes n’est pas possible car les élèves ne peuvent entendre les professeurs parler lorsque les fenêtres sont ouvertes. La charte environnementale actuelle oblige des plages de tranquillité uniquement les weekends et jours fériés, nous souhaitons que les nuisances soient réduites également les jours de semaine pour le bien être des élèves. Liste des écoles et villes concernées Zone C : Emerainville : Ecole La Mare L'embûche, Ecole Lavoisier, Ecole Malnoue 2 Croissy Beaubourg : Ecole Alfred Chartier Noisy Le grand : Collège Saint Exupery, Ecoles des Yvris Zone D : Emerainville : Ecole Jean Jaures, Collège Van Gogh Lognes : Collège Le Segrais, Ecole Le Segrais, Ecole Le Four, Ecole Le Village Noisiel : Ecole Bois de La Grange Torcy : Ecole Jean Zay, Collège Victor Schoelcher, Lycée Jean-Moulin Croissy Beaubourg : Ecole Les Lions de Beaubourg Noisy Le grand : Lycée Gobelins Hors Zone PEB : Emerainville : Ecole du Bois d'Emery Collégien : Ecole des Saules Lognes : Lycée Emily Brontë, Ecole Mandinet Noisiel : Ecole Les Noyers, Ecole La Ferme du Buisson, Lycée Gérard de Nerval, Lycée René Cassin Champs sur Marne : Collège Pablo Picasso, Ecole Pablo Picasso, Universités Cité Descartes Noisy Le Grand : Ecole Paul Serelle, Ecole Richardets, Ecole des Charmilles2 670 sur 3 000 SignaturesCréée par Association ARALE
-
Marseille bétonnée Stop à l'asphyxieJ'ai 35 ans, le paysage Marseillais change je le vois évoluer puisque j'y suis née, on dirait Paris! Et ce n'est pas ce que je souhaite pour notre belle ville. L'espace doit conserver un équilibre entre les zones bétonnées et espaces naturels. Je vivais aux Escourtines dans le 11 ème quand j'étais petite, je pouvais aller dans la colline, il y avait un stade pour faire du football, un terrain de basket, j'en ai passé du temps dans ce stade à faire du vélo, lancer des ballons dans le panier, regarder l'eau de la rivière couler... Les futures générations qu'auront-elles en bas de leur immeuble? Une future super résidence! Heureusement, la colline est toujours là... Ce n'est qu'un exemple parmi d'autres dans la frénésie de construction, au détriment du bien être (notre bien être=arbres, pelouse, fleurs)253 sur 300 SignaturesCréée par Cindy H.
-
Oui à la renaturation de la rivière Genil à Grenade, EspagneDepuis les travaux réalisés dans les années 90 du siècle dernier, la rivière Genil qui traverse la ville de Grenade est un petit ruisseau qui coule sur une chape en béton. Un fleuve sans végétation sur ses rives, sans vie. Le projet de renaturalisation présenté par Ecologistas en Acción consistait à transformer ce vilain canal en une véritable rivière, laissant de la végétation sur ses berges. Ce projet a été approuvé en 2003, 2006 et 2017 mais n'a jamais été réalisé. En septembre 2021, un appel à subventions a été lancé pour promouvoir des actions visant à la renaturalisation et à la résilience des villes espagnoles par le fonds Next Generation. Cependant, le projet de Ecologistas en Acción n'a pas été soumis à cet appel, mais plutôt un projet préparé par ASITEC, pour EMASAGRA (une entreprise publique-privée). Et étonnamment, dans ce projet coûteux, la rivière n'est pas renaturalisée mais encore plus remplie de béton et transformée en une promenade urbaine sans arbres. Il est important que le projet réalisé par Ecologistas en Acción soit réalisé pour obtenir un espace vert dans tout le centre de Grenade. Cet espace vert réduira la température et la pollution, augmentera la biodiversité et permettra le bien-être de la population.137 sur 200 SignaturesCréée par Céline N.
Votre consentement est important pour nous. L'utilisation de cookies, ou de technologies similaires, nous permet de vous garantir une expérience optimale sur notre site, de mieux vous connaître et d'avoir une idée précise des personnes qui visitent nos pages.
Vous êtes libre d'accepter ou de refuser l'utilisation de cookies non essentiels, qui n'ont pas d'impact sur la navigation sur ce site. En savoir plus