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Stop à la répression des activistes climat !Malgré les signaux catastrophiques de l'accélération du dérèglement climatique, le gouvernement français continue d'avancer à contre-courant de cette urgence, notamment en poursuivant les projets d'extensions d'aéroports. Dans le même temps, depuis le début du quinquennat Macron, l'augmentation de la répression de tout mouvement social, dont le mouvement climat, est frappante. Cette intrusion sur le tarmac de l’aéroport de Roissy le 3 octobre 2020, nous l’avons menée en connaissance de cause. Parce que nous avions épuisé tous les autres recours, c’est avec nos corps que nous avons voulu faire barrage. Nous avons pleinement conscience des risques auxquels nous expose la désobéissance civile et c'est bien la démesure des sanctions exigées à notre encontre que nous dénonçons. D'ailleurs, le bien-fondé de notre revendication a été reconnu par l'Etat, qui a officiellement annoncé l'abandon du projet de terminal à Roissy quelques mois plus tard ! Suite à cette action, en parallèle des 7 activistes aujourd'hui en procès, 84 militant·es, ont reçu une sanction administrative. Le préfet délégué à la sécurité des aéroports a décidé de sanctionner les activistes présent·es sur le tarmac par une amende de 750€. Le choix de réprimer les activistes est un donc choix délibéré de ce représentant de l’État qui n’a pas tenu compte du caractère revendicatif et légitime de cette action. Pire ! L'Etat a choisi de prononcer l’amende la plus élevée possible, insensible à nos revendications. En asphyxiant financièrement les mouvements de contestation, l'Etat exerce en réalité des tentatives d'intimidation des activistes dans leurs indispensables efforts de dénonciation de l’inaction politique face à l’urgence climatique. Et le gouvernement ne compte pas s'arrêter en si bon chemin dans sa répression démesurée ! Un projet de loi, porté par les ministres de la Transition écologique, de l'Economie et des Transports, a été adopté le 13 septembre. Cette loi, qui prévoit des sanctions accrues en cas d'intrusion sur des pistes aéroportuaires, cible très clairement les activistes climat, cherche à garantir que d'autres actions de ce type n’auront pas lieu. Il ouvre la voie à une répression systématique des actions de désobéissance civile, alors même qu'elles permettent de faire évoluer le droit dans le sens du bien commun. Pourtant, tant que le gouvernement faillira à prendre des mesures radicales et efficaces pour garantir la réduction des émissions de gaz à effet de serre, il sera de notre devoir de nous opposer à tout projet climaticide. Nous ne céderons pas à ses nombreuses tentatives de nous faire taire. Nous demandons, Messieurs le Président de la République, le ministre de l'Intérieur et le ministre de la Justice, l'arrêt des procédures administratives arbitraires et la fin de la répression des activistes non-violent·es, dont l'action est non seulement légitime, mais surtout nécessaire. N'hésitez pas à partager cette pétition à vos proches et à votre entourage ! Sources : https://reporterre.net/Plutot-que-reduire-le-trafic-aerien-le-gouvernement-veut-reprimer-les-activistes https://www.mediapart.fr/journal/france/140921/une-loi-criminalisant-l-activisme-climatique-passe-en-catimini Soutiens à cette pétition : Alternatiba/ANV-Cop 21 Greenpeace France Les Amis de la Terre Extinction Rebellion Collectif Non au T4 Notre Choix Crédit photo : Julien Hélaine19 418 sur 20 000 SignaturesCréée par Alternatiba Paris
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SITE POLLUANT CHIMIQUE EN ZONE PAVILLONNAIRE A BOBIGNYMa maman âgée de 73 ans est veuve d ancien combattant depuis 1999, handicapée à 80 pour cent, porteuse d un pace maker et souffrant d une amputation respiratoire de 32 pour cent, avec AVC cérébral en 2019 et hausse de la troponine admise en déchocage par le SAMU. Son pavillon se situe en face de l usine de traitements de produits isolants chimiques au 8 rue Proudhon à Bobigny. La société BNB isolation est immatriculée au 52 rue Littre à Aulnay sous bois en 2018 alors que dans les faits , l activité se déroule au 8 rue proudhon à Bobigny depuis au moins 9 ans en pleine zone pavillonnaire. Depuis le mois de juin 2022, les mêmes individus ont créé une autre société dénommée GST ISOLATION immatriculée au sein d une boîte aux lettres au 54 avenue Henri barbusse a Drancy en juin 2022, puis transfert du siège social en décembre 2022 au 8 rue proudhon a Bobigny. Le proprietaire du 10 et 8 rue proudhon à Bobigny est la SCI SINGH IMMO située au 21 rue Andre Jaouen à bobigny au sein d un pavillon. Le pavillon du 10 rue proudhon a bobigny est pétri de locataires et subdivisé en studios multiples. La société GST isolation occasionne de graves nuisances diurnes et nocturnes avec leurs machines et leurs 40 camions Mercedes, intimidations, gestes obscènes... Il s'agit des mêmes individus qui exercent tant au sein de la société BNB isolation que de la société GST isolation. J'ai alerté le Maire de Bobigny, le service hygiène et salubrité publique, relations économiques, urbanisme, préfet départemental de la seine Saint Denis, Ministre de l'écologie et de la santé, Ministre de l'Intérieur, Premier Ministre. Seul le Ministre de la santé, Monsieur Olivier Veran a procédé à la saisine du Préfet départemental de la Seine Saint Denis en 2021. Apportez moi votre soutien pour faire procéder à la fermeture administrative de ce local de traitement de produits chimiques en pleine zone pavillonnaire et des bruits détonants des machines présentes aux fins de préserver notre santé et notre environnement, sans compter les nuisances olfactives et sonores occasionnées par les 40 camions du gérant. Par courriel du 23 septembre 2021, Monsieur Jacques Wiktowski, Préfet Departemental de la Seine Saint Denis me fait savoir qu'il va me recevoir, nous sommes le 24 mars 2023 !120 sur 200 SignaturesCréée par Latifa H.
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Non aux vols spatiaux touristiques !!!Il faut arrêter de culpabiliser et diaboliser les seuls usagers de véhicules à moteurs thermiques. La pollution produite lors de chaque décollage avec un moteur fusée est une insulte faite aux personnes qui se battent pour atteindre un développement plus durable. Exigeons l'arrêt pur et simple des vols spatiaux sans but scientifique.288 sur 300 SignaturesCréée par JEAN V.
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Recyclons au lieu de brûler nos papiers et cartons en Nouvelle AquitaineTenons la feuille de route de Néo Terra mise en œuvre par la Région Nouvelle Aquitaine : • Notre projet ORIGAMI d’économie circulaire, doit s'appuyer sur les pouvoirs Publics et les acteurs de l’Economie Sociale et Solidaire car notre association a pour ambition d'être est en phase avec les objectifs de la feuille de route Néo Terra mise en œuvre par la Région Nouvelle Aquitaine : • Contribuons à faire de la Région Nouvelle Aquitaine un territoire de création d’entreprises sociales et solidaires. • Visons la sobriété énergétique par le développement de produits bio-sourcés. • Préservons la bio-diversité par le recyclage de Papiers & Cartons Recyclés. • Impliquons les citoyens. • Soutenons l’économie de proximité. https://avenirpapeteriedebegles.fr/1 183 sur 2 000 SignaturesCréée par mario C.
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Soutenez le classement du site de Grignon au titre des monuments historiquesLe domaine de Grignon est vendu par l’Etat pour financer le déménagement d’AgroParisTech à Saclay. Le peu de transparence sur la vente et l’absence de concertation des riverains et de la communauté AgroParisTech nous ont contraints à nous mobiliser. Nous avons ainsi bloqué le campus pendant trois semaines pour protester contre les conditions de vente du site. Face aux difficultés à avoir accès aux projets des acheteurs, et face aux informations que nous avons sur leur volonté de morceler le site, nous tentons de protéger le domaine avant qu’il ne soit trop tard. Le domaine historique de Grignon (à savoir les terres agricoles, la forêt et les bâtiments construits avant 1941, entourés par 7 km de murs) est inscrit aux monuments historiques depuis 1941. Cependant, cette protection n’est pas suffisante: elle est très peu contraignante pour l'entretien des bâtiments, n'empêche pas le morcellement du site et est relativement facile à annuler. Une procédure de classement a déjà été évoquée en 2020 mais le dossier n’a pas été retenu pour des raisons inconnues. Afin d’obtenir une garantie d’obligation de conserver l’authenticité et l’intégrité du domaine historique et naturel, nous avons envoyé une demande de classement auprès de M. Jean-François Hébert, Directeur général du patrimoine et de l’architecture et à M. Albéric de Montgolfier, président de la Commission Nationale du Patrimoine et de l’Architecture (CNPA). Nous réaffirmons par ce mouvement notre attachement au domaine de Grignon et à ses atouts historiques, scientifiques et écologiques. L'intérêt de ce site porte bien au-delà de l’enceinte d’AgroParisTech. Les enjeux mis en cause concernent toutes celles et ceux qui souhaitent voir se développer des projets d’avenir en termes d’écologie, d’éducation et de culture. Préservons le patrimoine! Devenons des citoyen.ne.s engagés pour le bien commun! Pour plus d'informations, vous pouvez consulter notre site internet https://sauvonsgrignon.fr/ ou notre vidéo de présentation du domaine https://youtu.be/4syoAHtfgQM1 441 sur 2 000 SignaturesCréée par Sauvons Grignon
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Stop Panhard à SensNous appelons les Sénonaises et Sénonais, toutes et tous les habitantes et habitants des communes du Grand Sénonais, les commerçants, les artisans, les paysans du territoire à exiger l'abandon de ce projet. Le projet d’installation à Sens d’une plateforme logistique pour un mystérieux géant du e-commerce par la société Panhard est mené dans l’ombre, comme toujours, pour éviter les oppositions citoyennes : il a fallu des questions au conseil municipal du 23 novembre 2020 pour que quelques rares informations soient données. Ce que l’on sait : On parle de l’implantation d’une immense « plateforme logistique pour un géant du e-commerce » par le groupe Panhard, sur 40ha de terres agricoles. Les impacts néfastes qu’aurait ce projet sont nombreux : Destruction du patrimoine naturel et rural sénonais, dans la lignée des ravages déjà commis avec l’extension de la lèpre des zones commerciales et d’activité, alors même que des zones existantes périclitent. Nouveau recul de l’activité agricole, un atout majeur d’attractivité gaspillé. Augmentation terrible du trafic routier : Près de 1000 mouvements quotidiens Poids lourds, et plus de 2500 mouvements de « Véhicules légers », c’est-à-dire de grosses camionnettes Destruction des commerces locaux, au bout du compte, des pertes nettes d’emplois Nouveaux coûts de voirie et de réseaux récurrents pour la collectivité, qui devront être assumés quel que soit le destin de ce projet Pourquoi si peu de transparence et d’information publique ? Quels avantages fiscaux pour ce « géant » ? Quels bénéfices attendus en termes d’impôts locaux au regard des investissements initiaux et des coûts récurrents d’entretien des infrastructures ? Comparons avec un commerce « type » de notre ville, en termes d’imposition au m² ! Le principal argument des promoteurs de ce projet néfaste : les emplois créés. DES EMPLOIS CRÉÉS, VRAIMENT ? Ce véritable bouclier magique derrière lequel se retranchent les soutiens du projet est une illusion ! > 2000 emplois promis, ce sera dans les faits 200 ou 300, il suffit de voir ce qui s’est fait ailleurs > 1 emploi créé dans le e-commerce c’est 2,5 emplois détruits dans les commerces de proximité > Avec la Robotisation, à terme, c’est 0 emploi que nous aurons. > Des emplois précaires dans des conditions de pénibilité avérées : cadence de travail infernale imposée par des robot, pauses réduites, burn-out fréquents… C’est un rythme proprement inhumain. > Une rotation du personnel très élevée, les employés sont renouvelés très régulièrement, avec une formation minimale des salariés. > Aucune garantie sur la durée de cette activité Comment cela se passe-t-il sur d’autres sites à deux pas de chez nous ? > A Savigny-sur-Clairis, à 25km de Sens, la base logistique de 57.000m² du promoteur FM Logistique pour le compte de Carrefour a fermé après seulement 2 ans. 300 emplois perdus. > A deux pas, Ibiden qui a touché des subventions de la région pour s’installer, part en Hongrie en 2018. 300 emplois perdus Et si on regarde sur la France entière, les exemples sont légion, et les opposants arrivent souvent à empêcher ces projets de se faire pour sauver leur patrimoine naturel et les commerces de proximité.951 sur 1 000 SignaturesCréée par Sens Ecologie & Solidarité E.
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Préservons la colline de SauveterreSur les hauts de Sauveterre, il y a un plateau, où les habitants de la région viennent se promener et apprécier une vue quasiment à 360 degrés sur le Rhône, les châteaux de Châteauneuf du pape, Roquemaure ou encore Caderousse et le Mont Ventoux, les dentelles de Montmirail et même les Alpes. Alors, nous sommes là aujourd’hui pour empêcher que ce projet ne se fasse. Nous avons le bon sens de notre côté : détruire un espace naturel au nom de l’écologie ne tient pas debout. La transition écologique et les objectifs de la COP 21 ont un sens dans une politique de développement durable, mais c’est un prétexte à beaucoup de projets mal intentionnés. Pour ce qui est de la couverture au sol par des panneaux solaires, l’ADEME (Agence de l’Environnement et de la Maitrise de l’Energie), a donné les recommandations pour le choix de l’emplacement des dites centrales. 3 cas de figures : BASOL (sites pollués), BASIAS (anciens sites industriels) et BD TOPO (parkings). Et bien notre jolie colline ne rentre dans aucun de ces 3 cas de figure ! Oui oui, vous lisez bien, la colline de Sauveterre n’est pas considérée comme un lieu recommandé par l’ADEME. Pire encore, le premier commissaire enquêteur, expert indépendant, dans son rapport sur le PLU (Plan Local d’Urbanisme) de Sauveterre a donné un avis défavorable au projet de centrale. Or, le maire de Sauveterre est passé outre cet avis. Et avec la crise actuelle et la fermeture des salles de sport, les espaces naturels sont des espaces de liberté et de détente si précieux. Pour qu’on puisse continuer d’en profiter, ainsi que les générations à venir, nous avons besoin de votre mobilisation à tous, habitants de Sauveterre de Roquemaure et des communes avoisinantes mais aussi vous les amoureux de la nature et de la justice. Vous pouvez contacter le Collectif « Préservons la colline » qui répondra à toutes vos questions ou accueillera votre mobilisation. Facebook : https://www.facebook.com/groups/3135560439845258 Mail : [email protected]103 sur 200 SignaturesCréée par Christophe C.
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OUI au développement économique, NON si c’est au détriment des habitants et de l’environnement !Nous pouvons tous être demain confrontés à des aberrations de ce type, de grands projets technocratiques sans lien avec un développement durable et raisonné des territoires. Si le développement économique a du sens, il ne peut pas se faire au détriment de nos milieux naturels et de nos concitoyens. Nous soutenir dans notre démarche c'est nous préserver tous face à ces projets sans conscience écologique et sans humanité. Ce projet doit être validé en préfecture d'ici FIN MARS 2021 : il est important et urgent que nous puissions récolter un maximum de signatures d'ici là. Merci à tous !1 283 sur 2 000 SignaturesCréée par Association Nouette-Abbaye 35 ..
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A Marseille respirer tue 2500 personnes par an, 7 personnes par jour !Ces bateaux qui sont en stationnement ou en réparation à la forme 10, font tourner leur groupe électrogène, qui fonctionne avec un fuel particulièrement polluant, 24h/24h et en augmente la puissance la nuit pour fournir l'électricité aux personnes de l'équipage et aux techniciens de réparation logés sur ces bateaux, ce qui produit une très forte pollution aérienne, entre autre aux particules fines, et sonore. La pollution de l'air engendrée par ces mastodontes de la mer est responsable de nombreux cas de cancers, de maladies respiratoires et pulmonaires et de diabète. Ces émissions toxiques mesurées aux environs directes du GPMM , du port de l'Estaque et des environs sont nettement supérieures à la moyenne nationale et 5 fois supérieures à la pollution aérienne du centre de Marseille. C'est pourquoi nous demandons expressément aux décideurs politiques, aux compagnies de croisières et aux armateurs de faire tout le nécessaire afin d'accélérer la mise en place de l'électrification des quais du port autonome et en priorité celui de la forme 10 se trouvant au centre du village de l'Estaque mettant en danger ces habitants et ceux vivant à proximité. Nous n'attendrons pas 2025 ! Les vies humaines doivent primer sur l'économie. Nous devons nous battre pour nos enfants et pour le respect de notre planète.3 529 sur 4 000 SignaturesCréée par Chantal R.
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Stop à Amazon et son fret aérien sur le Cargoport de St-Exupéry !L’État français vient tout juste d’être condamné pour « carences fautives » dans la lutte contre le réchauffement climatique notamment au regard de sa passivité pour limiter les émissions carbones de la France (1). Mais la stratégie nationale bas carbone actuelle ne comprend pas les émissions importées ! Or, dans l’un de ses rapports le Haut Conseil pour le climat rappelle que l’empreinte carbone liée à nos importations est d’ores et déjà supérieure aux émissions nationales, et continue d’augmenter (2). Il est donc primordial de stopper les mécanismes de cette importation à outrance. Amazon est un acteur majeur de ce phénomène : un seul entrepôt de 140 000 m² représente 240 millions de produits neufs commercialisés chaque année. De plus, le projet d’entrepôt de Lyon (160 000 m²), localisé sur le site de l'aéroport Lyon Saint-Exupéry, a clairement vocation à s’appuyer sur le fret aérien pour le transport de marchandises. Après Leipzig en Allemagne, Lyon pourrait ainsi devenir un prochain hub aérien d’Amazon (3). Nous restons mobilisé·es sur cette thématique et demandons : – L’abandon définitif du projet d’entrepôt Amazon (ou du même type) dans toute la région, – L’adoption d’une politique de transports de marchandises respectueuse de l’environnement et de l’économie locale pour la région AURA / la métropole de Lyon et notamment – L’abandon du transport de biens de consommation par fret aérien. – L’abandon définitif du projet de pistes supplémentaires Nous sommes en effet révolté·es que le projet d’extension de l’aéroport de Lyon Saint-Exupéry puisse être toujours envisagé comme ce fût le cas dans la réévaluation du PSA en 2019 (4). Le développement du e-commerce sur le cargoport de St Exupéry pourrait être l’un des facteurs pouvant justifier ce « besoin ». D’autant que, lors de la privatisation en 2016 de l’aéroport, le cahier des charges de la vente prévoyait que les repreneurs (consortium mené par VINCI) fassent de Lyon Saint-Exupéry le hub de fret de l’Europe du sud. Depuis, Saint-Exupéry se positionne comme la 1ère plateforme aéroportuaire française de fret (5). Il ne faut pas que la diminution post Covid (espérée) du trafic aérien de passagers puisse être compensée par une augmentation du transport de marchandise (6) ! DHL, leader du fret aérien (aussi implanté à Lyon), a vu depuis le début de la crise COVID la part de son activité liée au e-commerce passer à 50 % avec des pics à 62% durant le confinement (7). Ce dernier table sur une croissance de 40% d’ici à 2025 grâce au e-commerce. Amazon s’inscrit bien entendu dans cette dynamique avec notamment l’achat de 11 Boeing 767-300 en début d’année (8). A l’heure où le secteur aérien représente déjà 7% de l’empreinte carbone nationale, et alors que l'avion électrique ou à hydrogène restent chimériques, il est urgent de réduire nos émissions de gaz à effet de serre pour avoir une chance de tenir les objectifs de l'Accord de Paris. La réduction du trafic aérien est donc une nécessité, ainsi tout projet qui contribuerait à son augmentation doit être impérativement abandonné. Ainsi, il est primordial aujourd’hui de stopper le développement d’Amazon et de son fret aérien pour favoriser d’autres manières de produire et de consommer : – Favoriser des délais de livraison qui permettent l’utilisation de transports moins polluants et l’optimisation des charges afin de préserver la qualité de l’air, – Faire vivre nos commerces de proximité en leur évitant une concurrence déloyale encore plus redoutable, – Permettre à des entreprises de production française et locale de se développer sans subir l’intermédiaire d’un revendeur hégémonique pratiquant le racket sur les prix et l’espionnage industriel, – Favoriser les acteurs qui paient la TVA pour conserver nos services publics... Toutefois tout est actuellement fait pour faciliter l’implantation des entrepôts Amazon en France. Ces derniers ne sont toujours pas assujettis à la taxe sur les surfaces commerciales, et ne sont pas contraints d’effectuer des études d’impacts sur le commerce de proximité au préalable. A Saint-Exupéry comme ailleurs, les élus locaux responsables de ce projet d’implantation sont bernés par la promesse fallacieuse de création d’emplois. Pourtant le bilan net de création d’emplois dans l’économie locale d’Amazon est négatif ! Pour 1 emplois créé dans le e-commerce, 6 sont détruits dans les commerces de proximité. Depuis 2008, Amazon est responsable de la destruction de plus de 81 000 emplois (9). À ce jour, nous sommes toujours dans l’attente du jugement de la Cour d’appel de Lyon pour confirmer ou annuler le permis de construire obtenu par Amazon. C’est pourquoi il est primordial d’interpeller nos élus et responsables locaux pour dire STOP à ce type de projet, qu’il soit porté par Amazon, Alibaba ou autre. Signez et partagez cette campagne pour demander l’abandon de ces projets et faisons en sorte que ces bombes climatiques et sociales ne voient pas le jour ! Signataire : Alternatiba ANV Rhône Sources : (1) : https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/02/03/climat-l-etat-condamne-pour-carences-fautives-dans-l-affaire-du-siecle_6068613_3244.html (2) : https://www.hautconseilclimat.fr/publications/rapport-2019/ (3) : https://siecledigital.fr/2020/11/07/amazon-prime-air-nouveau-hub-aerien-en-allemagne/ (4) : https://www.apej-jonage.fr/2019/11/25/enquete-publique-modification-du-psa-aeroport-saint-exupery-lyon-extention-piste/ (5) : https://cargoport.lyonaeroports.com/ (6) : https://www.lci.fr/population/video-tf1-compagnies-aeriennes-faute-de-passagers-air-france-se-rabat-sur-le-fret-de-marchandises-2168041.html (7) : https://www.bfmtv.com/economie/philippe-pretat-pdg-de-dhl-express-l-e-commerce-genere-50-de-notre-activite_AV-202009210064.html (8) : https://www.numerama.com/tech/680170-amazon-achete-desormais-ses-propres-avions-pour-faire-ses-livraisons.html (9) : https://cutt.ly/7kUuFoT3 459 sur 4 000 SignaturesCréée par Alternatiba ANV Rhône
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La Rue est à Nous ! Les AndelysPour permettre à notre ville de respirer ... La grande avenue est plantée d'Arbres, et le parc public retrouvera pour quelques heures, tranquillité, sérénité où il sera bon de se retrouver en famille , entre amis tout en gardant les gestes barrières...41 sur 100 SignaturesCréée par isabelle c.
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MOINS DE VOITURES POLLUANTES ET PLUS DE TELETRAVAIL ALTERNATIF APRES COVIDNotre territoire et celles et ceux qui y vivent souffrent de la pollution de l’air, qui constitue aujourd’hui une urgence sanitaire établie. Le trafic routier porte une responsabilité toute particulière en ce qui concerne les émissions de polluants atmosphériques dangereux pour la santé et doit absolument être restreint. Le trafic routier est également l’un des premiers secteurs émetteur de gaz à effet de serre à l’échelle de notre agglomération. L’urgence climatique nous impose d’agir rapidement et de sortir de notre dépendance collective au pétrole, au transport routier et à la voiture individuelle. C'est un enjeu essentiel et pour autant l’abandon des véhicules polluants et de la logique du tout-voiture ne doit laisser personne sur le carreau. Évidemment, nous savons qu’il n’est pas toujours facile de se passer de sa voiture, mais nous pensons qu’il est de la responsabilité de nos élu.es de nous en donner les moyens, en développant les alternatives et en accompagnant le changement, notamment pour les plus fragiles d’entre nous. M Clerc , il est grand temps d’agir pour la transition écologique et pour une mobilité urbaine adaptée aux crises sanitaire et climatique. Nous vous demandons donc [à adapter à la situation locale et aux objectifs envisagés par les porteurs de la pétition, sélection 3 demandes maximum] : - de programmer et d’organiser la sortie des véhicules polluants dans notre ville/intercommunalité, à travers la mise en oeuvre d’une Zone à Faibles Emissions sur un périmètre géographique ambitieux, en intégrant les différentes catégories de véhicules polluants, en particulier les véhicules individuels, fixant notamment un cap de sortie du diesel à horizon 2025 et de l’essence à horizon 2030 ; - de prendre des mesures visant à réduire la place dédiée à la voiture dans notre ville/intercommunalité (mise en place de “rues scolaires”, mise en place ou développement des zones piétonnes et des zones à trafic limité, généralisation de la baisse des vitesses à 30 km/h et baisse de la vitesse sur les rocades, réduction du stationnement en voirie, etc.) et de réguler notamment la présence des véhicules les plus encombrants comme les SUV ; - d’avancer sur des mesures visant à maîtriser la demande en déplacements comme l’abandon des projets de nouvelles zones commerciales en périphérie ; - d’abandonner tout projet de nouvelle infrastructure routière/autoroutière ou d’extension des capacités routières ; - de continuer à développer la solution vélo (plan vélo ambitieux à hauteur de 30€/an/hab minimum, mise en place d’un réseau express vélo métropolitain, activation des autres leviers d’un système vélo performant : stationnement sécurisé, intermodalité avec les transports en commun, services de location courte et longue durée, apprentissage pour tous, ateliers de réparation, etc.) ; - de renforcer et pérenniser les dispositions temporaires qui ont été mises en place en faveur du vélo et des piétons dans le contexte covid ; - de continuer à développer le réseau de transports en commun (amélioration des fréquences et amplitudes horaires, mise en place de couloirs réservés pour les autobus, mutualisation des systèmes de billettique entre les différentes offres de transports collectifs et avec les services de mobilités alternatifs, développement des transports urbains en site propre notamment vers/entre les quartiers périphériques denses mal desservis, etc.) ; - de mettre en place une tarification sociale et solidaire basée sur les ressources pour les transports en commun ; - de prévoir un accompagnement et des aides à la transition, pour soutenir les particuliers et les professionnels dans le changement de véhicule ou, mieux, de moyen de transport ; de faire preuve d’exemplarité concernant la flotte des transports en commun et de la ville : optimiser et rationaliser les déplacements au sein de la collectivité et engager une véritable politique de mobilité durable. Il reste beaucoup à faire dans nos grandes villes françaises sur ce sujet de la lutte contre la pollution automobile, comme l’a démontré un classement des villes* publié en amont des élections municipales de 2020 par le Réseau Action Climat, Unicef France et Greenpeace France. La crise sanitaire Covid que nous traversons a mis une nouvelle fois en lumière la nécessité absolue d’avancer rapidement sur ces enjeux de mobilité urbaine. Sortir du tout-voiture, du diesel et de l’essence et prioriser d’autres manières de se déplacer en ville demande du courage politique et c’est indispensable pour faire face à l’urgence sanitaire et climatique. Maintenant que les élections sont passées, nous vous demandons de passer rapidement à l’action pour lutter de manière ambitieuse contre la pollution automobile, en commençant par honorer vos promesses de campagne sur ces enjeux [le cas échéant si promesses il y a eu] et en prenant en compte nos demandes dans ce texte. Je vous prie d’agréer, Monsieur le Maire l’expression de ma considération distinguée. *Source : https://www.greenpeace.fr/lutte-contre-la-pollution-de-lair-classement-des-12-plus-grandes-agglomerations-francaises/57 sur 100 SignaturesCréée par thierry B.
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