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NON à une nouvelle suppression de poste d'enseignant.e à Jules Ferry, MauriacMadame l’Inspectrice, Nous, représentants des parents d’élèves de l’école Jules Ferry de Mauriac, vous adressons ce courrier pour exprimer notre vive inquiétude concernant la suppression possible d’un poste d’enseignant à la rentrée prochaine. En effet, cette perspective inquiète profondément les familles et l’équipe pédagogique, d’autant plus qu’un poste a déjà été supprimé cette année. La suppression d’un second poste aurait des conséquences importantes sur la qualité de l’enseignement, dans un contexte où les besoins spécifiques des élèves augmentent de manière significative. Notre école connaît une évolution, marquée par l’accueil, depuis cette année, d’une classe externalisée de l’Institut Médico-Éducatif (IME). Cette initiative, saluée par tous, reflète la vocation inclusive de l’école (un dispositif ULIS existe déjà au sein de l’école) mais s’accompagne également de défis pédagogiques accrus. De plus, comme dans de nombreuses écoles, les enseignants doivent faire face à une augmentation significative du nombre d’élèves à besoins éducatifs particuliers, nécessitant un accompagnement renforcé et des moyens humains adaptés. La réduction des effectifs enseignants compromettrait directement leur capacité à accompagner ces élèves dans les meilleures conditions. En parallèle, la commune de Mauriac s’investit pleinement dans l’amélioration des infrastructures scolaires. Des travaux d’amélioration du bâtiment ont déjà été réalisés, et d’autres sont programmés pour les mois à venir. Cet engagement de la municipalité témoigne d’une volonté forte de soutenir l’éducation et de garantir un cadre d’apprentissage de qualité pour les enfants. L’Association des Parents d’Élèves (APE) de l’école Jules Ferry est également particulièrement active. Grâce à ses actions, les élèves bénéficient régulièrement de financements pour des projets pédagogiques et des activités éducatives enrichissantes. L’APE est un véritable moteur pour dynamiser la vie scolaire et renforcer l’attractivité de l’établissement. Dans ce contexte, nous estimons qu’une suppression de poste serait en contradiction avec les efforts conjoints de l’ensemble des acteurs de la communauté éducative – enseignants, parents, élus locaux – pour offrir à nos enfants les meilleures conditions d’apprentissage possibles. Nous sommes convaincus que cet engagement collectif mérite d’être accompagné par une reconnaissance institutionnelle, notamment en maintenant l’ensemble des postes nécessaires pour garantir un enseignement de qualité. Nous vous remercions par avance pour l’attention que vous porterez à notre demande et restons à votre disposition pour échanger avec vous sur les spécificités et les besoins de notre école. Nous espérons également que notre inquiétude sera relayée à votre successeur. Dans l’attente de votre retour, nous vous prions d’agréer, Madame l’Inspectrice, l’expression de nos salutations respectueuses. Les représentants des parents d’élèves de l’école Jules Ferry.20 sur 100 SignaturesCréée par Caroline G.
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Sauvons l'accès aux plaines brûlées depuis Chastreix-Sancy!Zone d’estives et de randonnée l’été, zone de ski nordique, raquettes et chiens de traineau l’hiver, les Plaines Brûlées s’étendent de Chastreix-Sancy au Capucin qui surplombe la ville du Mont-Dore . Cet espace naturel préservé est située sur les communes de Chastreix et La Tour d’Auvergne. Le 20 décembre débuteront les vacances scolaires, marquant le début de la saison touristique hivernale. A cette date, si neige, les domaines nordiques Sancy Ouest ouvriront. Cependant, le passage sur les sentiers historiques traversant le terrain jouxtant la station de Chastreix-Sancy et sur lequel passent des pistes de ski de fond et raquettes, est désormais interdit, rendant impossible le départ depuis la station. Le passage des marcheurs, trailleurs, VTTistes, cavaliers, est également impossible depuis ce printemps. Plusieurs commerces, producteurs de Saint-Nectaire, prestataires d'activités, hébergeurs de Chastreix et des communes alentours sont déjà ou seront directement ou indirectement impactés par cette fermeture. Les tentatives de négociation des pouvoirs publics locaux n'ont pas abouti. La commune, la Réserve Naturelle de Chastreix-Sancy et ses acteurs socio-économiques sont en train de bâtir une stratégie de diversification 4 saisons de l'offre touristique. Cet élément vient fragiliser leur travail. Ainsi il y a urgence à se mobiliser. Les pouvoirs publics doivent agir pour réouvrir l'accès aux sentiers historiques. Cet incident local n'est pas le premier conflit d'accès à la Nature sur le Massif ou sur le territoire national. C'est aussi pour cette raison que s'est monté le collectif citoyen Touche pas à mon Sancy, regroupant des socioprofessionnels, des agriculteurs, des pratiquants et prestataires d'activités de Pleine Nature, et des citoyens qui souhaitent défendre les accès à la Montagne.5 378 sur 6 000 SignaturesCréée par Collectif Touche pas à mon Sancy
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Trains trop chers, la solution : taxons l'avion ✈️Vous est-il déjà arrivé de prendre l’avion plutôt que le train pour des raisons de budget ? Avez-vous déjà eu envie de réduire, voire d'arrêter de prendre l’avion par conviction écologique même si pour certains déplacements importants (comme retrouver votre famille à noël) vous n’en avez pas toujours les moyens ? Et bien figurez vous que si l'avion coûte si peu cher comparé au train, c'est avant tout le résultat d'un choix politique. Un choix politique sur lequel on peut aujourd’hui revenir. Car le gouvernement est en ce moment même en train de peaufiner son nouveau projet de loi finances. L’occasion de rétablir des mesures justes et efficaces, comme le relèvement de la taxe de solidarité sur les billets d’avion, dite « Taxe Chirac ». Cette taxe, qui existe depuis 2005, est calculée selon la destination finale et la classe de voyage (économique ou classe affaires). Prélevée auprès des compagnies aériennes, elle aurait exactement le même effet qu’une taxe sur le kérosène mais sans attendre que tous les pays se mettent d’accord au niveau européen ou international. Aujourd’hui son montant est dérisoire et ne permet absolument pas ni de remplacer une taxe sur le kérosène ni de financer le ferroviaire (2,50 € pour les vols vers l’Europe et 7€ pour les vols à l’autre bout du monde). Quand, dans d’autres pays européens comme le Royaume-Uni, elle va jusqu’à 100 euros pour un voyage transatlantique. Ce que nous demandons, c’est qu’elle soit aujourd’hui réévaluée selon les recommandations de la Convention citoyenne pour le climat à : • 30 euros pour les courts courriers • 60 euros pour les longs courriers Bien sûr, il n’est pas question de pénaliser les Ultramarins qui n’ont souvent pas d’autre alternative que l’avion. Les vols vers les Outre-mer bénéficieraient ainsi d’un statut fiscal particulier, et seraient donc entièrement exonérés. Ce relèvement de la « Taxe Chirac » réduirait les émissions du secteur aérien de 8 %, en ciblant en priorité les plus aisés, et en générant près de 4 milliards d’euros supplémentaires de recettes, qui seraient ensuite directement fléchés vers le secteur ferroviaire, selon les modélisations du Réseau Action Climat. En utilisant encore plus spécifiquement cet argent pour les projets de régénération et de modernisation du réseau ferroviaire, on pourrait démultiplier l’offre ferroviaire, et diminuer le coût d’un voyage en train. Une partie de ces recettes pourrait également être utilisée pour offrir un billet de train par an à très petit prix pour tous les Français A plus long terme, il nous semble également indispensable que les députés étudient une autre mesure qui pourrait s’avérer encore plus juste et efficace et qui pourrait se substituer à la « Taxe Chirac » : la taxation des grands voyageurs (TGVA). Nous refusons de cautionner une année de plus ce régime fiscal d’exception qui profite toujours aux mêmes personnes et qui alimente la crise climatique. C’est pourquoi nous demandons à nos députés de prendre cette mesure fiscale simple, socialement juste, crédible et facile à mettre en place, qui permettra de réduire les émissions du secteur aérien et de financer le ré-investissement dans le secteur ferroviaire. Signez la pétition et interpellez les parlementaires à nos côtés, nous n’avons que quelques jours pour prendre un tournant plus juste et durable. Signataires : Camille Etienne avec le Réseau Action Climat (RAC), Rester sur Terre et Fridays For Future France. Références : • Rapport du réseau action climat “Comment réduire le trafic aérien de manière juste et efficace”, 2024 : https://reseauactionclimat.org/wp-content/uploads/2024/09/rac-trafic-aerien-web.pdf • Scénarios de décarbonation du trafic aérien, ADEME 2022 : https://librairie.ademe.fr/mobilite-et-transports/5815-elaboration-de-scenarios-de-transition-ecologique-du-secteur-aerien.html • Décryptage “Rester sur Terre”, “L’aviation, c’est bien plus que 2 % du réchauffement ! Comment le secteur aérien minimise son impact climatique” : https://rester-sur-terre.org/aviation-bien-plus-que-2pourcent-du-rechauffement-comment-le-secteur-aerien-minimise-son-impact-climatique/26 204 sur 30 000 SignaturesCréée par Camille Etienne
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Nettoyage du port de VannesNous avons remarqué que le port est pollué et ça nous impact. Ce problème, comme vous avez pu le remarquer lors de ces dernières inondations, en partie provoquées par l'accumulation de déchets en tout genre ; notamment les mégots de cigarette, les trottinettes, le plastique, entraîne une pollution de l'environnement. Par conséquent, vous comprenez que cette accumulation induit également d'autres problèmes. Premièrement, les déchets jetés entraînent une pollution visuelle qui peut avoir des conséquences sur le tourisme. Aussi, la santé publique et la vie marine sont menacées, avec un risque de propagation de la pollution dans le golfe dû aux marées. Nous, les services civiques de l'AFEV du Pôle Vannes, demandons un nettoyage approfondi du port par des personnes compétentes. Cela permettra de rendre le port plus attractif et plus propre. Nous souhaitons qu'à la rentrée scolaire prochaine, des mesures concrètes aient été mises en place.57 sur 100 SignaturesCréée par Transition Juste
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Non à la suppression d’un terrain de tennis aux Hauts de Massane et stop à la bétonisation !Les habitants sont d’autant plus surpris que ce club de tennis a fait l’objet d’une rénovation en 2022 qui a coûté (officiellement) 113 500 € d’argent public ! Une demande a été faite à la mairie pour nous confirmer ce chiffre qui, à ce jour, demeure sans réponse. Aujourd'hui, la mairie parle de détruire un seul terrain sur les cinq, mais le fait de prévoir de déclasser l'ensemble des terrains de tennis de zone naturelle à zone urbaine, ne nous garantit en rien que l'ensemble du site ne soit pas préservé de bâtiments. Le site est implanté en plein cœur de la pinède qui entoure le magnifique lac des Garrigues. Il se compose de 5 courts de tennis en béton poreux qui limite l'imperméabilisation des sols, de 2 courts de tennis en gazon synthétique et d’un mur de frappe. Le club de tennis, géré par l’association Fête le Mur fondée par Yannick Noah, apporte énormément de points positifs pour la ville et ses habitants : • Il participe à la vie sociale du quartier et favorise une certaine mixité sociale dans la mesure où il profite non seulement aux habitants du quartier mais aussi à des habitants d’autres quartiers • Il encourage énormément le sport féminin, offrant une opportunité précieuse aux jeunes filles • Cette suppression est en contradiction avec la volonté de la mairie de faire monter en puissance le club et et de favoriser la pratique sportive de tous, d’autant plus le quartier est caractérisé par une population très jeune. • On peut lire sur le site de l’association Fête le Mur qui gère le club : “Le site Fête le Mur Montpellier est un lieu où l’on trouve convivialité, solidarité, mixité sociale et culturelle. Notre action sur la cité consiste avant tout à utiliser le tennis comme un outil pour aider les enfants et adolescents à s’épanouir, à vivre et à grandir ensemble dans un esprit solidaire et citoyen. Nous permettons également aux plus motivés d’accéder à la compétition. De fait les licenciés de Fête le Mur Montpellier découvrent d’autres lieux, d’autres sites en France et rencontrent des jeunes de différents milieux. Les adultes et les parents ne sont pas en reste puisqu’ils ont également la possibilité de se confronter à d’autres clubs mais aussi d’assister à des tournois ATP, WTA et même du grand chelem (Roland Garros).” Ce batiment vise a accueilir l’association Uni’Sons. Nous n'avons rien contre cette association mais nous ne comprenons pas pourquoi la mairie a choisi ce site naturel pour l'implantation de cette association alors qu’il existe d’autres options pour ses nouveaux locaux. Ecologiquement parlant, ce projet présente plusieurs risques : • d’imperméabiliser encore plus le site qui est entouré d’une zone naturelle protégée où il y a une certaine biodiversité dont écureuils roux et de nombreuses espèces d’oiseaux dont certaines classées sur la liste rouge des espèces menacées comme le chardonneret élégant. • de favoriser le ruissellement et les éboulements de terrain : lors des orages et épisodes cévenols, le ruissellement induit par la pente est très important. Les terrains existants sont dotés de revêtements poreux permettant de limiter le ruissellement des eaux alors que la construction de ce bâtiment induirait le contraire. • le site est situé en zone rouge à très fort risque d’incendie, plusieurs incendies majeurs ayant eu lieu par le passé. • les habitants craignent que les arbres qui entourent le terrain soient fragilisés voire abattus par les engins de chantier. Les habitants s’élèvent avec force contre ce projet, dans une zone de pleine nature. Il est urgent de stopper ce projet ! Pour nous aider à préserver ce site remarquable, signez la pétition « Non à la suppression d’un terrain de tennis aux Hauts de Massane et stop à la bétonisation de ce quartier ! » Ajoutez simplement votre signature, puis aidez-nous à mobiliser le plus de personnes possible autour de notre action, en transférant ce message à vos proches, votre famille, vos amis et tous ceux qui, comme vous, ont à cœur de défendre la pratique universelle du sport et ce qui fait la beauté de nos paysages et de notre patrimoine ! Plus nous serons nombreux, plus nous aurons de chances d’être entendus pour stopper ce projet désastreux avant qu’il ne soit trop tard. D’avance, un grand merci pour votre participation! Le collectif « Préservons les Hauts de Massane. »3 238 sur 4 000 SignaturesCréée par Collectif Hauts de Massane
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Pour une vraie démocratie participative à Marseille : signez pour la votation citoyenne !Cette initiative s’inscrit dans le cadre de La Cité des possibles - Arrivée du Tour Alternatiba, qui a pour objectif la transformation des territoires. Nous demandons l'instauration de votations citoyennes à minima annuelles à Marseille. Marseille, un besoin essentiel d'adaptation au dérèglement climatique Notre constat alors que les enjeux liés au changement climatique sont gigantesques et participent à l'effondrement de la biodiversité : • La prise de conscience collective est présente mais les actions restent largement insuffisantes pour répondre à ce défi. • Les habitantes et habitants ont pourtant envie de participer. • Au niveau national, la Convention Citoyenne pour le Climat a été un modèle d'implication mais ses préconisations ont été bafouées par un pouvoir qui privilégie l'économie à la vie alors que ces mesures auraient pu être soumises à un référendum. En ces temps où les atteintes à la démocratie se renforcent, il faut accélérer la participation citoyenne, ne pas se contenter de proposer aux électrices et aux électeurs un vote de temps en temps et redonner plus de pouvoir de décision aux habitantes et habitants. Pas de transition écologique et sociale sans véritable démocratie Localement, il y a des améliorations notables dans les concertations et des expériences commencent à voir le jour, avec notamment la création de l'Assemblée Citoyenne du Futur, le budget participatif ou le Conseil de Développement de la Métropole, mais il faut aller plus loin et plus vite ! Ailleurs (Paris, Poitiers, Grenoble, Quimper, ..) la démocratie participative est bien plus avancée et donne de bons résultats quand la population est consultée. Notre proposition • Les Marseillaises et les Marseillais se prononceront sur une votation citoyenne par an concernant la ville et une votation citoyenne par an concernant chacun des 8 secteurs de la ville. • Les propositions soumises à la votation citoyenne seront formulées par une assemblée citoyenne chargée d'en évaluer le caractère non discriminatoire et la faisabilité, appuyée par des expertes et experts, associations, comités de quartier et autres collectifs. • Nous demandons que les institutions concernées s'engagent à respecter le résultat de ces votes et les mette en application dans les deux ans. • Nous demandons que la Mairie organise les votations citoyennes, et que la 1re édition le soit d'ici octobre 2025. Remarque : l'assemblée citoyenne pourrait être l'Assemblée Citoyenne du Futur ou une assemblée populaire auto organisée L'objectif D'après le règlement intérieur de la Ville de Marseille, pour que l'instauration de votations citoyennes soit débattue en conseil municipal, il suffit de réunir 10 000 signatures d'électrices et électeurs de la Ville de Marseille ! Si cet objectif est atteint, nous veillerons à ce que la Métropole en débatte également en conseil métropolitain. Pour une vraie démocratie participative: signez pour la votation citoyenne à Marseille ! Quelque soit votre lieu de vote ou de résidence, même si vous ne votez pas à Marseille, votre signature est très importante pour signifier votre soutien. Le Tour Alternatiba 2024 est parti de Nantes le 1er juin et arrivera à Marseille du 4 au 6 octobre)3 144 sur 4 000 SignaturesCréée par La Cité des possibles
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Nos quartiers ont besoin d'une bouffée d'air !Comment pouvons-nous ne pas nous indigner ? Particules fines, quartiers bétonnés, autoroutes et usines à proximité de nos écoles… Depuis toujours, on étouffe. Il aura fallu attendre les JO 2024 pour mettre en lumière la différence de traitement de nos quartiers. Les athlètes auront le droit de respirer un air plus propre, mais évidemment… pas nous ! Même si la dernière analyse sur l’exposition des quartiers populaires à la pollution de l’air date de 1995, les statistiques récentes nous alarment : La surexposition aux particules fines tue entre 40 000 et 100 000 personnes chaque année en France. Surtout dans nos banlieues, où les gens ont 3 fois plus de risques de décéder après un épisode de pollution. L’injustice ne s’arrête pas là, puisque les enfants de familles modestes sont plus exposés et plus vulnérables : 3 enfants sur 4 respirent un air pollué. Que notre message soit clair, notre santé ne sera dorénavant plus laissée pour compte. En Seine-Saint-Denis et dans de nombreuses villes de banlieues, la pollution nous expose à des dangers constants pour notre santé au quotidien : troubles respiratoires, asthme, allerges, anxiété, cancers, maladies cardiovasculaires… Il est temps que les autorités prennent leurs responsabilités et engagent des politiques qui comprennent le danger de la pollution de l’air. C’est pourquoi nous réclamons des mesures d'urgence et des investissements massifs pour les transports en commun, les ZFE et les espaces verts : 1/ Nous appelons à des mesures concrètes pour améliorer le réseau de transports en commun et le rendre à la fois efficace et abordable pour tous les franciliens. Afin d'encourager la population à délaisser les voitures individuelles, l'accessibilité financière des transports en commun est nécessaire pour garantir l'égalité d'accès aux déplacements et pour réduire les inégalités sociales en matière de mobilité. 2/ Nous insistons également sur l'importance d'appliquer des exigences de justice sociale aux mesures de réduction du trafic routier. Environ 13 millions de Français.es sont estimé.es en situation de “précarité mobilité”, et dépendent entièrement de leur voiture ou ne disposent pas de moyen de transport régulier. Les bénéfices sanitaires des zones à faibles émissions (ZFE) doivent bénéficier à tous les habitants, en particulier ceux des quartiers populaires. De plus, il est crucial de créer des espaces verts et sans voitures accessibles à tous·tes, en particulier dans les quartiers populaires et près des écoles. L’initiative des "Rues aux écoles" est un exemple concret de mesures visant à protéger nos enfants des dangers de la circulation motorisée et de la pollution pour leur bien-être et leur sécurité. 3/ Nous demandons une transparence totale dans l’accès des données sur la qualité de l'air au public, notamment pour une meilleure prise en compte des enjeux sociaux dans les études d’impact dans les quartiers populaires. Nous insistons sur la nécessité d'assurer aux citoyens concernés un accès à la justice pour contester les actions de l'État et leur garantir le droit à la compensation et à la réparation des dommages liés à la santé. Une réelle implication des personnes vulnérables est indispensable dans l’élaboration des politiques de santé environnementale pour que chacun·e puisse contribuer aux décisions qui façonnent son cadre de vie. En signant cette pétition, vous soutenez notre détermination à défendre notre droit à un environnement sain, et contribuez avec nous à exiger des actions concrètes de la part des autorités. Cette pétition a servi de point de départ à la discussion que nous, les jeunes, avons porté auprès des élus franciliens dans le cadre du Parlement Génération Climat à l’Académie du Climat le 30 mars 2024, à présent allons plus loin. Rejoignez-nous dans notre combat contre la pollution de l’air ! Rania et Corentin de Banlieue Climat, Maël de Pour Un Réveil Ecologique et Léo de Oxfam Paris. (1) Analyse RESPIRE Carte IDF 2013-2019 (respire-asso.org) (2) À l’aube des J.O 2024, où en est la qualité de l’air à Paris ? | CNRS Terre & Univers Teqoya J0 2024 - Village athlètes air purifié (teqoya.fr) (3) « L’écologie, un truc de bourgeois » Socialter, n°62, février-mars 2024, page 44 (socialter.fr) (4) Karn Vohra, Alina Vodonos, Joel Schwartz, Eloise A. Marais, Melissa P. Sulprizio, Loretta J. Mickley, Global mortality from outdoor fine particle pollution generated by fossil fuel combustion: Results from GEOS-Chem, Environmental Research, Volume 195, 2021, 110754, ISSN 0013-9351, https://doi.org/10.1016/j.envres.2021.110754. (5) De l'Injustice Sociale dans l'Air - Rapport de l'UNICEF et Réseau Action Climat (6) La pollution de l'air en 10 questions (ademe.fr) (7) Rapport Mobilités Solidaires : pour un passage à l'échelle - Laboratoire de la Mobilité Inclusive (mobiliteinclusive.com) (8) Baromètre : 13,3 millions de Français en situation de précarité mobilité (fnh.org) (9) Plus de 200 « rues aux écoles » dans Paris - Ville de Paris www.greenvoice.fr/assets/uploads/2024/03/CLT.png3 462 sur 4 000 SignaturesCréée par Banlieues Climat, Pour un Réveil Ecologique, Oxfam Paris
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Pour des politiques locales solidaires et écologiques dans l'AubeLe contexte : Aujourd'hui, nous sommes de plus en plus nombreux.ses à appeler à une transition de notre société face aux grands enjeux qui la menacent : changement climatique, chute de la biodiversité, explosion des inégalités, déficit démocratique, etc. Or, pour agir, le niveau individuel est insuffisant. Il faut donc changer d'échelle et de politiques. Au niveau local, le Pacte pour la Transition offre donc de nombreuses opportunités pour engager les élus et structurer les politiques locales. Le Pacte pour la transition : Co-créé par 54 Mouvements Citoyens, ces collectifs ont interrogé des citoyens et des experts afin de co-rédiger 3 principes et 32 mesures sur lesquelles les mouvements se sont mis d’accord. Aujourd'hui, ces mesures sont proposées aux communes et intercommunalités de l'Aube, afin qu’ils s'engagent sur chacune d'elles. Le Plan d'actions du Pacte : Premier semestre 2024 1. Faire connaître localement le Pacte au plus grand nombre en nous appuyant sur les réseaux locaux et plateforme.s de pétition Deuxième semestre 2024 : 2. Soumettre les mesures du Pacte aux communes et intercommunalités 3. Faire signer le Pacte 4. Evaluer la politique menée par un cabinet externe spécialisé (à la charge des communes) 5. Planifier leurs actions 2025/2026 : 6. Evaluer la progression à 6 mois, un an, deux ans Communiquer aux médias et signataires le respect des engagements à chaque étape LES 3 PRINCIPES : # Principe A : Sensibilisation et formation à la transition Impulser et soutenir des actions de sensibilisation et de formation sur la transition auprès de différents publics : élu·es, agent·es territoriaux, jeunes, habitant·es, acteurs économiques, etc. # Principe B : Co-construction des politiques locales Engager un processus de construction collective des politiques locales, en associant élu·es, citoyen·nes, agent·es et représentant·es des acteurs locaux, notamment pour la mise en œuvre et le suivi des engagements du Pacte pour la Transition. # Principe C : Intégration des impacts à long terme et de l’urgence climatique et sociale Pour répondre à l'urgence climatique et sociale, intégrer des critères environnementaux et sociaux, ainsi que les impacts à long terme décisifs dans les arbitrages des projets locaux et dans l’organisation de la commune et ses groupements. PARMI LES 32 MESURES : - Appuyer la structuration de filières paysannes, bio et locales, rémunératrices pour les agriculteurs et agricultrices. - Se doter d’une politique ambitieuse d’achats publics responsables (incluant des dispositions sociales, environnementales et locales) - Préserver et mobiliser le foncier agricole et accompagner l'installation de nouveaux agriculteurs et agricultrices dans une logique paysanne. - Proposer une alimentation biologique, moins carnée, locale et équitable dans la restauration collective. - Préserver et développer les trames vertes (couvert végétal), bleues (cycles de l'eau), brunes (sol) et noires (éclairage) pour redonner sa place au vivant sur le territoire. - Protéger la ressource en eau, en assurer une meilleure qualité et un accès garanti à toutes et tous, en la considérant comme un bien commun. - Renforcer l’offre, l’accès et l’attractivité des transports en commun sur le territoire et prioriser les mobilités actives (marche, vélo) dans l’espace public - Alimenter les bâtiments et l’éclairage publics en énergie 100% renouvelable et locale - Et, les autres en ligne sur le site : https://www.pacte-transition.org/#mesures67 sur 100 SignaturesCréée par Collectif Solidaire et Ecologique d.
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2ème pétition Saint-Sauveur - Tout le monde veut que la friche devienne un très grand parcPetit rappel des faits : À Lille, tout le monde connaît le dossier Saint-Sauveur et le bras de fer que la MEL, la Ville de Lille et des associations de défense de l’environnement ont entamé. 👀 Deux visions s’affrontent : → 🔴 Celle de la concentration urbaine, de la destruction de l’existant et de la gentrification portée par les collectivités. 2500 logements (soit 5000 habitants) sur 23 hectares, 30 000 m2 de bureaux, 20 000 m2 de commerce, un centre aquatique avec une piscine olympique (désormais sans fosse de plongée) ainsi qu’un espace vert de 3,5 hectares, soit la taille du parc rouge (JB Lebas)... Cette densité dont rêvent les aménageurs, copiée-collée de la Porte de Valenciennes ou du Bois Habité (bd Hoover), les Lilloises et les Lillois n’en veulent pas, et n’en ont jamais voulu ! De plus, sous couvert d’un projet à caractère social permettant à l’avenir de lutter contre la crise du logement, nos décideurs ont permis ici et maintenant, sur la friche, l’expulsion de personnes exilées et sans domicile fixe, sans solution de relogement. Nul doute, au regard des nouveaux aménagements de la gare Saint-Sauveur, que le futur quartier s'adressera demain davantage aux cadres supérieurs qu’aux ménages dans le besoin. →✅ Celle de l’égalité environnementale et de la préservation du site. Portée par les défenseurs et défenseuses de la friche, cette vision exprime la nécessité d’un très grand parc (23 hectares) sur ce site dont sont dépourvus les quartiers populaires de Wazemmes et de Moulins. 🌳🌳🌳 Les arguments en faveur du parc sont multiples : - ce secteur souffre d’une très mauvaise qualité de l’air (et les voitures des 5 000 nouveaux habitants vont l’aggraver, sans compter les déplacements liés aux nouveaux bureaux, commerces et centre aquatique), - le nombre de m2 d’espaces verts à Lille est un des plus mauvais scores des villes françaises et de plus, ces m2 sont très inégalement répartis sur la ville, quasiment absents des quartiers les plus pauvres et les plus peuplés, - la crise du logement et notamment du logement social ne sera nullement réglée avec ce projet, moins de 200 logements dits très sociaux (PLAI) seront en effet construits sur les 2500 programmés. Rappelons que 240 logements PLAI ont par ailleurs été détruits récemment côté Parc JB Lebas. Les 500 autres logements sociaux prévus seront ouverts aux populations à revenus moyens et échapperont ainsi à ceux qui en ont le plus besoin, - la crise de l’eau interroge le modèle de développement de la Métropole Européenne de Lille et ses projets luxueux de centre aquatique en lieu et place des piscines dont ont besoin les habitants. La rénovation de Marx Dormoy aurait déjà dû être faite depuis longtemps au lieu de poursuivre de telles chimères. - dans les 5 dernières années, les bureaux n’ont cessé de sortir de terre (Porte d’Arras, Porte des Postes, Bois-Blancs) et nombre d’entre eux n’ont pas trouvé preneurs, - le nombre de logements vacants est important, - les grandes opérations de renouvellement urbain (Aviateurs, Concorde) détruisent des milliers de logements dits très sociaux sans que cette offre soit reconstituée, 🌍 À l’heure du dérèglement climatique, ce modèle urbain proposé par les collectivités est dépassé. Il n’est plus question de concentrer toujours en les mêmes lieux, et toujours pour les mêmes, les investissements et les équipements qui au contraire devraient se répartir sur l’ensemble du territoire métropolitain voire régional. Les Lillois.es l’ont compris. Le fragile équilibre de leur territoire (circulation saturée, mauvaise qualité de l’air, espaces verts réduits, transports publics insuffisants, immense déficit de logements très sociaux) ne peut continuer de se dégrader encore en poursuivant les mêmes politiques qui ont conduit à cette situation. ⚖️ Enfin, malgré ce que les collectivités veulent faire croire, la partie n’est pas terminée sur le front juridique. Plusieurs recours ne sont pas encore jugés notamment celui qui conteste la dernière délibération déclarant l’intérêt général du projet qu’a votée la Métropole Européenne de Lille en octobre 2022… Et les associations sont déterminées à aller jusqu’au bout, jusqu’à ce qu’enfin, une ou un élu.e éclairé.e prenne la décision attendue d’abandonner ce projet dépassé et d’offrir un grand parc aux Lilloises et Lillois qui n’attendent que cela. 🌳 C’est dans une vision solidaire des autres territoires que le projet du grand Parc Saint-Sauveur doit voir le jour, annonçant l’émergence d’une nouvelle vision urbaine, celle de la recherche de la juste répartition des ressources naturelles à l’échelle d’un territoire élargi. Le grand parc Saint-Sauveur doit désormais faire un tout avec le parc JB Lebas et permettre de sortir de Lille en vélo en reliant Fives, Ronchin et Villeneuve d'Ascq et son lac. Il ne faudrait pas grand chose pour que cette friche devienne un parc, que la faune et la flore qui y ont déjà trouvé refuge n’en soient pas chassées, que les initiatives solidaires et démarches collectives puissent y prendre forme. 👉 Nous comptons sur votre soutien pour que vive le futur parc Saint-Sauveur. Cette pétition permet de dire et de redire quelles sont véritablement les attentes des habitants de Lille pour cet espace. 🌟 Les associations et collectifs engagé.e.s dans la défense du futur parc Saint-Sauveur : - P.A.R.C Saint-Sauveur - Soulèvements de la Terre Lille - Alternatiba Lille - NADA - Non à l’Agrandissement De l’Aéroport de Lille-Lesquin - Aut’Mel - XR Lille - Robin des Bios - Entrelianes - Les Amis de la Terre Nord - ANV COP 21 Lille - Youth for Climate Lille3 623 sur 4 000 SignaturesCréée par Friche Saint-Sauveur
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🛒 Des Tickets-Restaurants pour payer ses courses et consommer plus de BIO ? Agissons ! 🌍🛒 Face à l’urgence sociale, nous exigeons la pérennisation (sans restriction à certains types de produits transformés) de la possibilité de faire des courses alimentaires avec nos Tickets-Restaurants. 🌍Parce que nous n’oublions pas l’urgence écologique, nous demandons une mesure audacieuse et complémentaire en faveur de la planète. Nous proposons d’inclure dans cette pérennisation, une mesure coup de pouce en faveur d’une consommation responsable et de l'agriculture biologique. 🧑🌾L’Etat doit offrir une réduction de 10% pour l'achat de produits bio avec un Ticket-Restaurant. Cette mesure simple serait un soutien aux agriculteurs en bio qui souffrent de la crise actuelle. Ce serait également un soutien aux restaurateurs qui font le choix d’utiliser des produits BIO. Ce serait au final une possibilité de nous aider à faire des choix alimentaires en accord avec nos convictions et de contribuer, à notre échelle, à des pratiques alimentaires plus durables. ✊Vous aussi, vous pensez que nous devons pouvoir continuer de faire nos courses alimentaires avec des Tickets-Restaurants et également bénéficier d’un soutien à une consommation responsable ? Pour cette mesure concrète de justice sociale et environnementale, signez et partagez cette pétition ! Nous pouvons y arriver car le gouvernement doit prendre une mesure en urgence d’ici la fin de l’année. Ensemble, faisons entendre notre voix pour sauvegarder notre pouvoir d'achat et promouvoir une consommation responsable !6 453 sur 7 000 SignaturesCréée par Clara, Frédérique & Sylvain
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ANNECY : NON au projet de densification et d’extension du Parc d’Activité Économique des GlaisinsLe Plan Local d'Urbanisme intercommunal Habitat Mobilités et Bioclimatique (PLUi HMB) en cours d’élaboration va définir l’avenir de notre territoire. Nous payons chaque jour le prix des erreurs de ces dernières décennies. Le PAE des Glaisins est un exemple type de l’urbanisme des années 70 et un concentré à lui seul de tous ses maux. Mais au lieu d’essayer de les soigner, le Grand Annecy persiste et signe avec un projet de densification et d’extension du parc qui ne fera que les aggraver. Nous demandons que ce projet soit repensé en concertation avec les habitants et en adéquation avec les enjeux de la transition écologique. La préservation des terres agricoles est indispensable pour assurer notre autonomie alimentaire. Il est hors de question d’en détruire davantage pour une extension du PAE des Glaisins. Trop de gens n'arrivent pas à se loger à un prix abordable dans l'agglomération et la difficulté à se loger est considérée par les entreprises comme un frein majeur dans leur recrutement. La construction de logements doit être au cœur du projet, alors que l'accueil de toujours plus d'entreprises ne fera qu'aggraver la situation. Le Grand Annecy a placé en priorité l’axe Glaisins pour le projet de Transport en Commun en Site Propre intégral (TCSPi) , mais elle continue à mener une politique du tout-voiture en prévoyant dans le PAE des Glaisins un parking relais de 450 places « intra-agglo », c'est à dire destiné aux automobilistes venant du cœur de l'agglomération et disposant d'alternatives à la voiture (transports en commun, vélo, trottinette électrique...). Une pollution aux PFAS, des substances per- et polyfluoroalkylées encore appelées polluants éternels, a été découverte sur la nappe des îles à Annecy. La question de la pollution au sein du PAE des Glaisins, dont la majeure partie des eaux de ruissellement termine dans le Fier en amont de cette nappe, doit être traitée de façon drastique et transparente. Enfin, le Grand Annecy ne peut plus feindre d’ignorer les préoccupations des habitants concernant la protection des espaces naturels et agricoles. Une enquête publique est donc nécessaire avant tout réaménagement du PAE des Glaisins.1 387 sur 2 000 SignaturesCréée par Greenpeace Annecy
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Plus de produits locaux et équilibré à la cafétéria du lycéeNous sommes en 1ere au lycée. Cependant, dans notre cafétéria, les repas proposés sont ultra transformés et contribue à une alimentation déséquilibrée. Nous avons la possibilité de manger à l'extérieur et de ramener notre propre repas or tous les élèves n'ont pas les moyens de manger dehors et la possibilité de ramener leur repas. Il n'existe aucune alternative saine pour eux. Nous souhaitons qu'une offre équilibrée soit proposée. Cela permettrai de responsabiliser les élèves sur la manière de consommer et de permettre à tous un accès à une alimentation saine. Le but est de réussir à atteindre cet objectif progressivement sur les prochains mois.136 sur 200 SignaturesCréée par Elsa B.
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