• Des arbres et une coulée verte à Saint-Mandé
    On pense aujourd’hui à demain. On plante aujourd’hui pour demain. A défaut de pouvoir éviter le choc du réchauffement climatique, on voudrait pouvoir l’amortir. Et vivre dès maintenant dans des villes plus accueillantes, plus conviviales, et plus résilientes.
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    Créée par Des arbres dans nos rues
  • Stop à la répression des activistes climat !
    Malgré les signaux catastrophiques de l'accélération du dérèglement climatique, le gouvernement français continue d'avancer à contre-courant de cette urgence, notamment en poursuivant les projets d'extensions d'aéroports. Dans le même temps, depuis le début du quinquennat Macron, l'augmentation de la répression de tout mouvement social, dont le mouvement climat, est frappante. Cette intrusion sur le tarmac de l’aéroport de Roissy le 3 octobre 2020, nous l’avons menée en connaissance de cause. Parce que nous avions épuisé tous les autres recours, c’est avec nos corps que nous avons voulu faire barrage. Nous avons pleinement conscience des risques auxquels nous expose la désobéissance civile et c'est bien la démesure des sanctions exigées à notre encontre que nous dénonçons. D'ailleurs, le bien-fondé de notre revendication a été reconnu par l'Etat, qui a officiellement annoncé l'abandon du projet de terminal à Roissy quelques mois plus tard ! Suite à cette action, en parallèle des 7 activistes aujourd'hui en procès, 84 militant·es, ont reçu une sanction administrative. Le préfet délégué à la sécurité des aéroports a décidé de sanctionner les activistes présent·es sur le tarmac par une amende de 750€. Le choix de réprimer les activistes est un donc choix délibéré de ce représentant de l’État qui n’a pas tenu compte du caractère revendicatif et légitime de cette action. Pire ! L'Etat a choisi de prononcer l’amende la plus élevée possible, insensible à nos revendications. En asphyxiant financièrement les mouvements de contestation, l'Etat exerce en réalité des tentatives d'intimidation des activistes dans leurs indispensables efforts de dénonciation de l’inaction politique face à l’urgence climatique. Et le gouvernement ne compte pas s'arrêter en si bon chemin dans sa répression démesurée ! Un projet de loi, porté par les ministres de la Transition écologique, de l'Economie et des Transports, a été adopté le 13 septembre. Cette loi, qui prévoit des sanctions accrues en cas d'intrusion sur des pistes aéroportuaires, cible très clairement les activistes climat, cherche à garantir que d'autres actions de ce type n’auront pas lieu. Il ouvre la voie à une répression systématique des actions de désobéissance civile, alors même qu'elles permettent de faire évoluer le droit dans le sens du bien commun. Pourtant, tant que le gouvernement faillira à prendre des mesures radicales et efficaces pour garantir la réduction des émissions de gaz à effet de serre, il sera de notre devoir de nous opposer à tout projet climaticide. Nous ne céderons pas à ses nombreuses tentatives de nous faire taire. Nous demandons, Messieurs le Président de la République, le ministre de l'Intérieur et le ministre de la Justice, l'arrêt des procédures administratives arbitraires et la fin de la répression des activistes non-violent·es, dont l'action est non seulement légitime, mais surtout nécessaire. N'hésitez pas à partager cette pétition à vos proches et à votre entourage ! Sources : https://reporterre.net/Plutot-que-reduire-le-trafic-aerien-le-gouvernement-veut-reprimer-les-activistes https://www.mediapart.fr/journal/france/140921/une-loi-criminalisant-l-activisme-climatique-passe-en-catimini Soutiens à cette pétition : Alternatiba/ANV-Cop 21 Greenpeace France Les Amis de la Terre Extinction Rebellion Collectif Non au T4 Notre Choix Crédit photo : Julien Hélaine
    19 382 sur 20 000 Signatures
    Créée par Alternatiba Paris
  • Amiens : Nous voulons + de repas végétariens et vegan
    Aujourd'hui, à la cantine du lycée, nous mangeons de la viande ou du poisson tous les jours ou presque. Manger trop de viande, oeufs et produits laitiers notamment issus de l’élevage industriel, a un impact énorme sur la dégradation de l’environnement et le dérèglement climatique (l’élevage industriel est responsable de 14,5% des émissions de gaz à effet de serre*). Tous cela sans parler du manque flagrant d'éthique. L’urgence climatique est un drame pour notre futur. Nous ne sommes pas tous végétarien·es mais nous sommes unanimes : nous voulons consommer moins de viande. Proviseure du lycée Robert de Luzarches - Corrine Pollet, il est grand temps d’agir pour la transition écologique. En plus de respecter la loi “Agriculture et Alimentation” qui prévoit l'introduction d’un repas végétarien par semaine obligatoire dans les cantines scolaires, nous vous demandons d'introduire dès maintenant dans notre lycée : - 2 menus végétariens pour tous par semaine; - Un choix végétarien équilibré et de qualité les autres jours; - Une majorité de produits frais, locaux et bio. Comme l’a démontré un récent rapport de Greenpeace, l’instauration de menus végétariens a des effets positifs sur le climat, l’eau et réduit les risques de déforestation. Dans le même temps, diminuer la part de viande permettra de libérer du budget pour introduire des produits de meilleure qualité et pour servir des repas plus variés. De nombreuses recettes végétariennes compatibles avec la restauration scolaire existent, des exemples sont consultables sur le site www.vegecantines.fr . De nombreuses mairies s’engagent réellement, en proposant deux menus végétariens par semaine, comme c’est le cas à Lille, Mouans-Sartoux, Grenoble ou Paris 19ème et 2ème. Ces menus leur ont permis d’améliorer la qualité des plats et d’acheter davantage de produits bio. Si ces établissements ont déjà opéré une transition végétale des cantines pourquoi pas Amiens? OUI, Amiens doit jouer son rôle dans la préservation de l’environnement, et cela passe aussi par notre assiette. Sources : *IPBES et FAO 2013 Rapport de Greenpeace "Menus végétariens à la cantine, quels impacts pour la planète?" - sept 2020 : https://bit.ly/35MBnR4
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    Créée par Charybde S.
  • SITE POLLUANT CHIMIQUE EN ZONE PAVILLONNAIRE A BOBIGNY
    Ma maman âgée de 73 ans est veuve d ancien combattant depuis 1999, handicapée à 80 pour cent, porteuse d un pace maker et souffrant d une amputation respiratoire de 32 pour cent, avec AVC cérébral en 2019 et hausse de la troponine admise en déchocage par le SAMU. Son pavillon se situe en face de l usine de traitements de produits isolants chimiques au 8 rue Proudhon à Bobigny. La société BNB isolation est immatriculée au 52 rue Littre à Aulnay sous bois en 2018 alors que dans les faits , l activité se déroule au 8 rue proudhon à Bobigny depuis au moins 9 ans en pleine zone pavillonnaire. Depuis le mois de juin 2022, les mêmes individus ont créé une autre société dénommée GST ISOLATION immatriculée au sein d une boîte aux lettres au 54 avenue Henri barbusse a Drancy en juin 2022, puis transfert du siège social en décembre 2022 au 8 rue proudhon a Bobigny. Le proprietaire du 10 et 8 rue proudhon à Bobigny est la SCI SINGH IMMO située au 21 rue Andre Jaouen à bobigny au sein d un pavillon. Le pavillon du 10 rue proudhon a bobigny est pétri de locataires et subdivisé en studios multiples. La société GST isolation occasionne de graves nuisances diurnes et nocturnes avec leurs machines et leurs 40 camions Mercedes, intimidations, gestes obscènes... Il s'agit des mêmes individus qui exercent tant au sein de la société BNB isolation que de la société GST isolation. J'ai alerté le Maire de Bobigny, le service hygiène et salubrité publique, relations économiques, urbanisme, préfet départemental de la seine Saint Denis, Ministre de l'écologie et de la santé, Ministre de l'Intérieur, Premier Ministre. Seul le Ministre de la santé, Monsieur Olivier Veran a procédé à la saisine du Préfet départemental de la Seine Saint Denis en 2021. Apportez moi votre soutien pour faire procéder à la fermeture administrative de ce local de traitement de produits chimiques en pleine zone pavillonnaire et des bruits détonants des machines présentes aux fins de préserver notre santé et notre environnement, sans compter les nuisances olfactives et sonores occasionnées par les 40 camions du gérant. Par courriel du 23 septembre 2021, Monsieur Jacques Wiktowski, Préfet Departemental de la Seine Saint Denis me fait savoir qu'il va me recevoir, nous sommes le 24 mars 2023 !
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    Créée par Latifa H. Picture
  • Pour réduire la pollution par les particules fines, mortelles
    Les interessés sont apparemment insensibles aux conséquences de cette habitude devenue normale et perpétrée partout et tout le temps. Il me semble qu'une campagne de sensibilisation par les médias pourrait être une première initiative. Ensuite un décret pour déclarer cette incroyable habitude en tant qu 'infraction
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    Créée par Michel E.
  • Monsieur Pascal Thévenot, Maire de Vélizy-Villacoublay : libérez-nous du tout-voiture !
    Notre territoire et celles et ceux qui y vivent souffrent de la pollution de l’air, qui constitue aujourd’hui une urgence sanitaire établie. Le trafic routier porte une responsabilité toute particulière en ce qui concerne les émissions de polluants atmosphériques dangereux pour la santé et doit absolument être restreint. Le trafic routier est également l’un des premiers secteurs émetteur de gaz à effet de serre à l’échelle de notre agglomération. L’urgence climatique nous impose d’agir rapidement et de sortir de notre dépendance collective au pétrole, au transport routier et à la voiture individuelle. C'est un enjeu essentiel et pour autant l’abandon des véhicules polluants et de la logique du tout-voiture ne doit laisser personne sur le carreau. Évidemment, nous savons qu’il n’est pas toujours facile de se passer de sa voiture, mais nous pensons qu’il est de la responsabilité de nos élu.es de nous en donner les moyens, en développant les alternatives et en accompagnant le changement, notamment pour les plus fragiles d’entre nous. Monsieur Thévenot, il est grand temps d’agir pour la transition écologique et pour une mobilité urbaine adaptée aux crises sanitaire et climatique. Nous vous demandons donc : - de continuer à développer la solution vélo (plan vélo ambitieux à hauteur de 30€/an/hab minimum, mise en place d’un réseau express vélo métropolitain, activation des autres leviers d’un système vélo performant : stationnement sécurisé, intermodalité avec les transports en commun, services de location courte et longue durée, apprentissage pour tous, ateliers de réparation, etc.) ; - de continuer à développer le réseau de transports en commun, notamment à Vélizy bas, qui manque cruellement d'une offre de transports en commun adaptée (amélioration des fréquences et amplitudes horaires, mise en place de couloirs réservés pour les autobus, mutualisation des systèmes de billettique entre les différentes offres de transports collectifs et avec les services de mobilités alternatifs, développement des transports urbains en site propre notamment vers/entre les quartiers périphériques denses mal desservis, etc.) ; - de prévoir un accompagnement et des aides à la transition, pour soutenir les particuliers et les professionnels dans le changement de véhicule ou, mieux, de moyen de transport ; de faire preuve d’exemplarité concernant la flotte des transports en commun et de la ville : optimiser et rationaliser les déplacements au sein de la collectivité et engager une véritable politique de mobilité durable. Il reste beaucoup à faire dans nos grandes villes françaises sur ce sujet de la lutte contre la pollution automobile, comme l’a démontré un classement des villes* publié en amont des élections municipales de 2020 par le Réseau Action Climat, Unicef France et Greenpeace France. La crise sanitaire Covid que nous traversons a mis une nouvelle fois en lumière la nécessité absolue d’avancer rapidement sur ces enjeux de mobilité urbaine. Sortir du tout-voiture, du diesel et de l’essence et prioriser d’autres manières de se déplacer en ville demande du courage politique et c’est indispensable pour faire face à l’urgence sanitaire et climatique. Maintenant que les élections sont passées, nous vous demandons de passer rapidement à l’action pour lutter de manière ambitieuse contre la pollution automobile, en commençant par honorer vos promesses de campagne sur ces enjeux et en prenant en compte nos demandes dans ce texte. Je vous prie d’agréer, Monsieur Thévenot, l’expression de ma considération distinguée. *Source : https://www.greenpeace.fr/lutte-contre-la-pollution-de-lair-classement-des-12-plus-grandes-agglomerations-francaises/
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    Créée par Lucie C.
  • Lubrizol : pour que des informations transparentes soient données aux équipes de recherche
    Direction de Lubrizol France Direction de Lubrizol Monde Madame, Monsieur, Le 26 septembre 2019, votre site rouennais était touché par un incendie majeur, menant à une catastrophe industrielle sans précédent pour notre territoire. Cette date restera dans l’esprit des habitant.es de la métropole rouennaise et au-delà, comme un traumatisme. Près de deux ans plus tard, nous ne savons pas encore quelles ont été, sont et seront les conséquences de cet incendie et du dégagement de fumées qui en a découlé. Nous nous souvenons vivement du sentiment d’impuissance qui nous avait saisi en 2019, en tant qu’élus, incapables que nous étions de répondre aux questionnements des habitant.es quant à la nature des produits qui avaient brûlé et à leur potentiel danger pour notre santé et nos écosystèmes. Deux ans après, cette incertitude reste la même. En effet, malgré nos demandes répétées, aucun registre de santé n’a été ouvert à Rouen pour suivre les effets de cette catastrophe, et les études environnementales menées ont été largement insuffisantes. Ce flou déplorable résulte notamment du fait que les pouvoirs publics et les citoyen.nes n’ont eu connaissance de la liste des produits qui avait brûlé que le 30 septembre. Cela a eu pour conséquence d’empêcher la prise de mesures appropriées : ne sachant pas quoi chercher, rien n’a été trouvé, ou presque. Pourtant, les produits stockés étaient pour certains hautement toxiques. Nous ne parlons pas du pentasulfure de phosphore, heureusement évacué à temps par les salariés de l’usine, alors qu’il n’avait rien à faire dans cet entrepôt. Dans le but de remédier à ce déficit de connaissances concernant les conséquences de l’incendie du 26 septembre, un projet de recherche a été lancé, piloté par le docteur Matthieu Fournier, visant à reproduire l’incendie et à pouvoir se rapprocher le plus possible de la réalité de l’impact de cet événement. Pour mener à bien cette expérience, les scientifiques engagés dans cette démarche vous ont sollicités afin que vous leur transmettiez des échantillons de tous les produits qui ont brûlé. Alors qu’on leur avait laissé entendre dans un premier temps que cela ne poserait pas de problème, ils ont reçu il y a peu une fin de non-recevoir de la part de votre entreprise concernant la fourniture de ces échantillons. Nous sommes extrêmement perplexes quant à ce retournement de situation. En effet, pourquoi refuser la possibilité à des scientifiques de faire tout simplement leur travail, d’établir des connaissances les plus précises et objectives possibles sur cet épisode ? De notre point de vue, ce refus témoigne d’une opacité qui ne peut que susciter la défiance, alors que c’est de confiance dont nous avons besoin entre industriels, pouvoirs publics et habitant.es. Ce blocage ne va pas dans le sens de la politique du « bon voisin », que vous dites pourtant prôner sur notre territoire. Aussi, nous vous demandons solennellement, au nom de la transparence et de la confiance, de transmettre dans les meilleurs délais les échantillons demandés à M. Fournier et son équipe, afin de pouvoir enfin faire la lumière, au moins en partie, sur les conséquences de l’incendie du 26 septembre 2019, condition de notre collaboration à l’avenir. Premières signatures : Marie Toussaint (députée européenne), David Cormand (député européen, Sylvie Nick-Croizat (co-présidente du Groupe des Ecologistes, Solidaire et Citoyen de la Métropole de Rouen), Cyrille Moreau (co-président du Groupe des Ecologistes, Solidaire et Citoyen de la Métropole de Rouen), Laura Slimani (co-présidente du groupe Rouen - l'écologie en actes), Jean Michel Bérégovoy (co-président du groupe Rouen - l'écologie en actes), Aliénor Bensahhou (élue à Rouen), Enora Chopard (élue à Rouen), Samuel de Gentil-Baichis (élu à Rouen), Fatima El Khili (élue à Rouen), Françoise Lesconnec (élue à Rouen), Nicolas Levaray (élu à Rouen), Frédéric Marchand (élu à Rouen), Stéphane Martot (élu à Rouen), Pierre-Yves Rolland (élu à Rouen), Mikaela delamare (élue à Petit Quevilly), Abdelghani Rabhi (élu à Petit Quevilly), Pascal Rigaud (élu à Petit Quevilly), Juliette Biville (élue à Saint Etienne du Rouvray), David Fontaine (élu à Saint Etienne du Rouvray), Grégory Leconte (élu à Saint Etienne du Rouvray), Marie Caron (élue à Canteleu), Elise Cléro (élue à Canteleu), Gérard Levillain (élu à Canteleu), Valérie Auvray (élue à Elbeuf), Mathieu Peru (élu à Elbeuf), Marie Mabille (élue à Bois Guillaume), Aurélien Béhengaray (élu à Bois Guillaume), Vincent Bourges (élu à Bois Guillaume), Jean Christophe Chatelain (élu à Bois Guillaume), Pascal Magoarou (élu à Mont Saint Aignan), Eve Cognetta (élue à Sotteville-lès-Rouen), Hervé Demorgny (élu à Sotteville-lès-Rouen), Julie Godichaud (élue à Sotteville-lès-Rouen), Alexis Vernier (élu à Sotteville-lès-rouen), Auban Al Jiboury (élu au Houlme), Laëticia Malherbe (élue au Houlme)
    1 234 sur 2 000 Signatures
    Créée par Laura Slimani et Jean Michel Bérégovoy R.
  • Soutien au Laboratoire Ecologique Zéro Déchets de Pantin - Victoire !
    En 2018, le Laboratoire Ecologique Zéro Déchet voit le jour à Noisy-le-Sec avec un projet : créer un lieu de lutte contre le gaspillage alimentaire et matériel, où les activités seraient gratuites et où l'écologie rimerait avec solidarité, apprentissages et culture. Quelques mois plus tard, le LÉØ a pu mettre en place un atelier de réparation, une cuisine, une AMAP, accueillir d’autres associations, attirer les habitants du quartier. Mais le collectif est expulsé et finit par s’implanter dans l'actuel entrepôt de Pantin, un bâtiment abandonné appartenant à l’EPFIF. Dans ce lieu de 4 000 mètres carrés, le LÉØ peut poursuivre son projet et se déployer. En quelques mois, le LÉØ devient un acteur incontournable et irremplaçable pour les habitant.es et un lieu-ressource pour un nombre impressionnant d'initiatives solidaires. Aujourd’hui, le LÉØ a créé un solide réseau de partenaires et agit avec eux pour la préservation de la biodiversité, la renaturation et la désartificialisation des sols, le recyclage, la réparation, le réemploi, la réduction des déchets, etc. Ce réseau comporte également nombre de collectifs, des professionnel.les du secteur médico-social, des ONG (Action contre la faim), ainsi que des chercheur.euses qui travaillent avec le LEØ. Des dizaines d’acteurs institutionnels reconnaissent le LEØ comme partenaire de confiance et le sollicitent pour venir en aide aux personnes vulnérables. A titre d'exemple, au moment du confinement de mars 2020, le LÉØ a ainsi pris le relais de structures à l'arrêt en stockant et redistribuant des milliers de boîtes de lait infantile et autres produits d’hygiène, en confectionnant des masques, en préparant des colis pour les jeunes mamans sans revenus. Aujourd'hui, le LÉØ aide directement et indirectement des milliers de personnes en proposant: • un atelier d’auto-réparation et de construction ainsi qu’une matériau-thèque gratuite • un atelier couture zéro déchet • des actions de récupération d'invendus alimentaires • une cantine végétale à prix libre • des actions de compostage • des actions de renaturation dans deux friches • une gratuiterie • des dons de colis alimentaires et vestimentaires, des dons d’électroménager, meubles, vaisselle, etc. pour des familles démunies (environ 70 à 100 colis distribués mois) • de l’hébergement d’urgence et de l’accompagnement individuel pour les femmes, jeunes mamans et mineurs isolés • une plateforme logistique de dons confiés par Action contre la faim pour être redistribués aux familles et aux associations du 93. • une étude ethno-photographique réalisée par un sociologue depuis 3 ans avec la sortie d’un livre en juin 2020. • un lieu de vie ouvert sur le quartier avec des projections de documentaires, spectacles, débats, conférences, stockages, ateliers, réunions, répétitions… Mais aussi via des associations partenaires et des professionnel.les engagé.es à leurs côtés : • des cours de français pour les femmes • des ateliers parentalité • des ateliers et groupes de paroles pour les femmes/mères • des ateliers boxe en non mixité • des ateliers d’auto-défense féministes • des distributions alimentaires • des ateliers low-tech /soudure /sérigraphie /crochet zéro déchet • une Amap et sa coopérative d’achats de produits secs Tout cela entre pleinement dans ce que défendent et revendiquent les collectivités territoriales : des actions écologiques accessibles à toutes et tous, une réduction conséquente des déchets et une sensibilisation du public, des ateliers et espaces de rencontre de quartier inclusifs avec une très grande mixité sociale, une solidarité de terrain efficace et qui ne coûte rien aux institutions. Soulignons que le travail constant et sans relâche de seulement trois personnes a permis ce résultat incroyable d’un lieu qui fonctionne sans aucune subvention, montrant ainsi ce qu'il est possible d’accomplir à l'échelle d'un territoire lorsque l'on s'attaque de front à la précarité économique, sociale et écologique, au cœur même des quartiers. A l'heure où nos élu.es votent une « loi consacrée au climat et à la résilience », des lieux comme le LEØ devraient voir le jour partout et des initiatives semblables être encouragées. Tout comme la ferme du Bec-Hellouin a démontré ce que pouvait faire la permaculture, le LEØ, véritable laboratoire d'écologie sociale et solidaire, nous montre tout ce qu'un éco-lieu reposant sur le partage, l'intelligence collective et la créativité peut réaliser. Pour toutes ces raisons, et au nom de toutes les personnes et associations qui bénéficient directement ou indirectement des activités du LEØ, au nom de toutes les citoyennes et citoyens (en France et ailleurs) qui, en ces temps sombres, face à la catastrophe écologique en cours, ont besoin d'horizons positifs et de réalisations inspirantes, nous demandons à ce qu'une solution soit trouvée pour que le LEØ puisse continuer à exercer ses activités sur le bâtiment de Pantin, conformément au jugement rendu par le tribunal de Pantin, ou ailleurs dans des conditions équivalentes. Il y a urgence : l'EPFIF a choisi de faire appel du jugement favorable au LEØ de novembre 2019, et a refusé les demandes de conciliation, recommandées par le tribunal de Pantin. Le LEØ est passé devant la Cour d'Appel le 20 mai et le jugement sera rendu le 17 juin. Merci de diffuser cette pétition et de faire connaître le LEØ. Vidéo de présentation : https://urlz.fr/fBx3
    3 546 sur 4 000 Signatures
    Créée par Collectif de soutien du LEØ
  • Recyclons au lieu de brûler nos papiers et cartons en Nouvelle Aquitaine
    Tenons la feuille de route de Néo Terra mise en œuvre par la Région Nouvelle Aquitaine : • Notre projet ORIGAMI d’économie circulaire, doit s'appuyer sur les pouvoirs Publics et les acteurs de l’Economie Sociale et Solidaire car notre association a pour ambition d'être est en phase avec les objectifs de la feuille de route Néo Terra mise en œuvre par la Région Nouvelle Aquitaine : • Contribuons à faire de la Région Nouvelle Aquitaine un territoire de création d’entreprises sociales et solidaires. • Visons la sobriété énergétique par le développement de produits bio-sourcés. • Préservons la bio-diversité par le recyclage de Papiers & Cartons Recyclés. • Impliquons les citoyens. • Soutenons l’économie de proximité. https://avenirpapeteriedebegles.fr/
    1 179 sur 2 000 Signatures
    Créée par mario C.
  • Non à la construction d'un aéroport international au coeur des Pyrénées - Victoire !
    La Chambre de commerce d’Andorre prévoit de construire un aéroport international en plein coeur des alpages pyrénéens, à 2000 m d'altitude. Cet aéroport est conçu pour accueillir des avions de type A320 ou Boeing 737 et jusqu'à 500 000 passagers par an. Il est destiné à développer un tourisme de LUXE ciblant une clientèle fortunée originaire d’Europe, de Russie, du Moyen-Orient et d’Asie et à attirer des investissements étrangers. Nous, habitants andorrans, catalans, français et espagnols de la région pyrénéenne, et nous tous habitants de la Terre, soutenus par des associations de défense de l'environnement, nous opposons fermement à ce projet qui va à l'encontre des objectifs de lutte contre le RECHAUFFEMENT climatique, de protection de la biodiversité et de l'environnement. Nous refusons que des intérêts purement économiques alimentent la fuite en avant d’une croissance sans limites du trafic aérien. A l’heure où le secteur aérien représente déjà 6,4% des émissions de CO2 de la France, et alors que les solutions de décarbonation de l'aviation n'ont pas fait leurs preuves et n’auraient qu'un impact trop tardif et trop limité face à l’URGENCE climatique, construire de nouveaux aéroports va à l'encontre des objectifs de l'Accord de Paris. À l’heure où la BIODIVERSITE s’effondre, il est inacceptable de mettre en danger de nombreuses espèces végétales et animales par un projet entraînant d’énormes nuisances sonores, le bétonnage de la montagne et la pollution de zones humides. A l'heure où les touristes et les vacanciers viennent chercher à la montagne le calme et l'air pur qu'ils ne trouvent plus dans les villes, est-il bien opportun de créer des NUISANCES sonores et de nouvelles pollutions dans un endroit encore préservé, qui affecteront également toute l’année les habitants de la Principauté et des régions environnantes ? A l’heure où le réchauffement climatique rend de plus en plus incertain l'ENNEIGEMENT des Pyrénées, est-il bien raisonnable de construire un aéroport destiné pour une bonne part à amener des skieurs « au pied des pistes » ? A l'heure où l'on s'interroge sur la viabilité économique des trop nombreux petits aéroports, est-il bien fondé d'en construire un nouveau ?  A l'heure où le gouvernement français souhaite revitaliser l'offre de TRAINS de nuit, est-il logique de concurrencer la ligne historique Paris - Latour-de-Carol qui dessert la Principauté ? Il est encore temps d’agir et de dire NON à la construction d’un aéroport international en Andorre. Signez et partagez cette campagne pour demander l’abandon du projet. Ensemble, faisons en sorte que ce non-sens climatique, environnemental, social et économique ne voie pas le jour. SOUTIENS : Greenpeace France, Alternatiba, ANV-COP21, Mountain Wilderness France, Mountain Wilderness Catalunya, Rester sur Terre (Stay Grounded), AndRail - Plataforma pel ferrocarril a Andorra, Confederación de Ecologistas en Acción, Un Climat de Changement, Ceretània, Bien vivre en Pyrénées catalanes... __ En català __ No a la construcció d’un aeroport internacional al cor dels Pirineus. Renúncia a la construcció d’un aeroport internacional a Andorra, al cor de les muntanyes pirinenques: un despropòsit climàtic, ambiental, social i econòmic. Per què hem d’actuar ara? La Cambra de Comerç d’Andorra té previst construir un aeroport internacional al cor de les pastures pirinenques, a 2000 m d’altitud. Aquest aeroport està dissenyat per allotjar avions tipus A320 o Boeing 737 i fins a 500.000 passatgers a l'any. Es pretén desenvolupar un turisme de LUXE dirigit a una clientela rica d’Europa, Rússia, Orient Mitjà i Àsia i atraure inversions estrangeres. Nosaltres, habitants andorrans, catalans, francesos i espanyols de la regió dels Pirineus, i tots els habitants de la Terra, recolzats per associacions per a la defensa del medi ambient, ens oposem fermament a aquest projecte que va en contra dels objectius de la lluita: ESCALFAMENT climàtic, protecció de la biodiversitat i del medi ambient. Ens neguem a permetre que els interessos purament econòmics alimentin la precipitació d'un creixement il·limitat del trànsit aeri. En un moment en què el sector de l’aviació ja representa el 6,4% de les emissions de CO2 de França i, tot i que les solucions de descarbonització de l’aviació no han estat demostrades, i que tindrien un impacte massa tardà i massa limitat davant de l’EMERGÈNCIA climàtica, la construcció de nous aeroports va en contra dels objectius de l'Acord de París. En un moment en què la BIODIVERSITAT s’enfonsa, és inacceptable posar en perill moltes espècies de plantes i animals per un projecte que provoca una enorme contaminació acústica, el formigonat de les muntanyes i la contaminació dels aiguamolls. En un moment en què els turistes i els estiuejants venen a la muntanya a buscar aire tranquil i pur que ja no troben a les ciutats, és realment adequat crear MOLÈSTIES acústiques i nova contaminació en un lloc encara preservat, que també afectarà els habitants del Principat i de les regions circumdants durant tot l'any? En un moment en què l'escalfament global fa que el nivell d’INNIVACIÓ al Pirineu sigui cada vegada més incert, és realment raonable construir un aeroport destinat principalment a portar els esquiadors "a peu de pistes"? En un moment en què ens preguntem sobre la viabilitat econòmica dels aeroports petits, que ja són massa nombrosos, està justificat construir-ne un de nou? En un moment en què el govern francès vol revitalitzar l'oferta nocturna de TRENS, és lògic competir amb la línia històrica París - Latour-de-Carol que dona servei al Principat? Encara som a temps d’actuar i dir NO a la construcció d’un aeroport internacional a Andorra. Firmeu i compartiu aquesta campanya per exigir l’abandonament del projecte. Junts, assegurem-nos que aquest despropòsit climàtic, ambiental, social i econòmic no vegi la llum del dia.
    7 968 sur 8 000 Signatures
    Créée par Collectif Non à l'aéroport d'Andorre
  • La mafia des océans
    Regardez le reportage : SEASPIRACY la pêche en question pour mieux comprendre ( sur Netflix ou autres plateformes). La pêche industrielle pour l’industrie du poisson est responsable à elle seule de plus de la moitié des déchets plastiques dans les différents océans du mondes . Si l’on ne réagit pas nos océans ne seront bientôt plus que des décharges flottantes arides de vie . Il faut oublier nos habitudes néfastes pour la planète afin de la laisser se régénérer. Pendant que 10 millions d’hectares de forêt subissent la déforestation chaque année (l équivalent de 27 terrains de football sont rasés par minute )cela semble énorme mais n’est rien en comparaison de la déforestation maritime qui s’étend à 1,5 milliard d’hectares an ( l’équivalent de 4316 terrains de football par minute ) . La moitié des espèces animal pêchées sont rejetées « inertes de vie »(dauphins , oiseaux marins, tortue ... pour que l’autre moitié soit consommée . Les élevages consomment plus de kilos de poissons qu’il n’en produisent en cages sans compter les maladies et parasites qui pullulent , l’esclavagisme dans certain pays ainsi que la pollution qui en résultent ... Nos enfants ne connaîtront pas la plupart des ressources que nous avons connu et leurs enfants ne pourront tout simplement plus répondre à leur besoins si l’on apprend pas dès maintenant à gérer nos ressources mondiales. Pour cela il faut RÉAGIR VITE ET ENSEMBLE !!! Pour commencer il faut mettre fin au massacre des 10 000 dauphins tués au large des côtes du sud de la France chaque année par des filets et divers matériaux de pêche ensuite il nous faut voir plus loin mais commençons par ce qu’il est juste sous nos yeux et que personne ne veut voir. RÉAGISSONS TOUS ENSEMBLE pour que par la suite en France puis dans le monde entier nous réussissons à faire comprendre , à montrer l’exemple ils nous faut absolument mettre fin à la pêche industrielle avant qu’il n’y est plus rien !! SIGNEZ PARTAGEZ
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    Créée par Stanislas V. Picture
  • Soutenez le classement du site de Grignon au titre des monuments historiques
    Le domaine de Grignon est vendu par l’Etat pour financer le déménagement d’AgroParisTech à Saclay. Le peu de transparence sur la vente et l’absence de concertation des riverains et de la communauté AgroParisTech nous ont contraints à nous mobiliser. Nous avons ainsi bloqué le campus pendant trois semaines pour protester contre les conditions de vente du site. Face aux difficultés à avoir accès aux projets des acheteurs, et face aux informations que nous avons sur leur volonté de morceler le site, nous tentons de protéger le domaine avant qu’il ne soit trop tard. Le domaine historique de Grignon (à savoir les terres agricoles, la forêt et les bâtiments construits avant 1941, entourés par 7 km de murs) est inscrit aux monuments historiques depuis 1941. Cependant, cette protection n’est pas suffisante: elle est très peu contraignante pour l'entretien des bâtiments, n'empêche pas le morcellement du site et est relativement facile à annuler. Une procédure de classement a déjà été évoquée en 2020 mais le dossier n’a pas été retenu pour des raisons inconnues. Afin d’obtenir une garantie d’obligation de conserver l’authenticité et l’intégrité du domaine historique et naturel, nous avons envoyé une demande de classement auprès de M. Jean-François Hébert, Directeur général du patrimoine et de l’architecture et à M. Albéric de Montgolfier, président de la Commission Nationale du Patrimoine et de l’Architecture (CNPA). Nous réaffirmons par ce mouvement notre attachement au domaine de Grignon et à ses atouts historiques, scientifiques et écologiques. L'intérêt de ce site porte bien au-delà de l’enceinte d’AgroParisTech. Les enjeux mis en cause concernent toutes celles et ceux qui souhaitent voir se développer des projets d’avenir en termes d’écologie, d’éducation et de culture. Préservons le patrimoine! Devenons des citoyen.ne.s engagés pour le bien commun! Pour plus d'informations, vous pouvez consulter notre site internet https://sauvonsgrignon.fr/ ou notre vidéo de présentation du domaine https://youtu.be/4syoAHtfgQM
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