-
Où sont les 30 000 points d’eau potable prévus par la loi ?La pollution plastique est un fléau environnemental et sanitaire majeur, due en partie au recours irraisonné à la bouteille plastique, premier déchet plastique à usage unique retrouvé sur les plages en Europe.(2) C’est bien face à cette urgence, que la loi AGEC a décrété un objectif de zéro emballage plastique à usage unique en 2040 et une réduction de 50% des bouteilles en plastique en 2030 ! Vous avez une responsabilité majeure dans le succès ou l’échec de cet objectif car le développement des points d’eau est l’une des mesures phares prévues par la loi. Nous, associations de protection de l’environnement, de consommateurs, entreprises engagées, parlementaires, scientifiques, citoyens, acteurs publics et entreprises engagées, nous vous interpellons pour vous demander la mise en place avant l’été 2025 de ces points d'eau et l’information des visiteurs via une signalétique visible. Plus largement, la bouteille plastique constitue une aberration à plusieurs titres : - 15 milliards de bouteilles plastiques sont vendues en France par an - Fabriquée à partir de pétrole, la bouteille plastique est émettrice de gaz à effets de serre sur tout son cycle de vie - Des études évoquent 3 litres d’eau pour la fabrication d’une seule bouteille d’eau ! L’eau embouteillée contribue ainsi à assécher les nappes phréatiques. - Les bouteilles en plastique sont contaminées par des microplastiques, qui constituent un risque sanitaire. - Le coût de l'eau vendue en bouteille plastique est prohibitif dans les lieux accueillant du public et inadmissible, puisque l’accès gratuit à l’eau potable est obligatoire. Pour l’exemple, en gare, le prix moyen est de 2 euros à 2,50 euros pour une bouteille de 50 cl d’eau, soit plus de 8 euros pour une famille de 4 personnes. Selon les estimations du Ministère de la transition écologique, près de 30 000 points d’eau devraient être ouverts en France dans des lieux de forte affluence, notamment vos établissements. Or, force est de constater que vous n’êtes pas au rendez-vous. Nous vous rappelons que des sanctions(1) sont prévues en cas de non respect de la loi et que la complaisance par rapport à des difficultés techniques souvent largement exagérées(3), ne pourra pas durer. A l’approche de l’été, qui risque d’être à nouveau très chaud du fait du dérèglement climatique, nous vous demandons d’appliquer enfin la loi et de permettre aux millions de personnes qui passent par vos établissements de pouvoir s’hydrater facilement, sans recourir à la bouteille plastique onéreuse et polluante. Ces points d’eau devront être pérennisés et valorisés pour accompagner durablement cette transition nécessaire. Signez et partagez cette pétition pour demander aux établissements accueillant du public d’ouvrir et de signaler les points d’eau prévus par la loi avant l’été 2025. *** (1) Article L541-15-10 - Code de l'environnement https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000043974900, Article 77 - LOI n° 2020-105 du 10 février 2020 relative à la lutte contre le gaspillage et à l'économie circulaire https://www.legifrance.gouv.fr/loda/article_lc/JORFARTI000041553842 et décret n° 2020-1724 https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000042753962 Article D541-340 - Code de l'environnement https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000042883671 Article L171-8 - Code de l'environnement https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000038846886 (2) selon l’étude d’impact de la commission européenne (3) Reporterre, Fabienne Loiseau, 22/02/2023 : https://reporterre.net/Gares-et-metros-peinent-a-installer-des-fontaines-a-eau *** Premiers signataires : Surfrider Foundation Europe, Zero Waste France, Biocoop, CLCV (Association nationale de consommateurs et usagers), UFC Que Choisir, Arthur Le Vaillant (navigateur), Stephane Le Diraison (navigateur), Angèle Préville (sénatrice), Dorothée Moisan (journaliste), Capucine Dupuy (autrice), Catherine Chabaud (député européenne), Nelly Pons (auteure), Nathalie Gontard (scientifique), Fédération française de voile, France Nature Environnement, Ma Petite Planète, Label Protection des Océans, Réseau Vrac, Réseau Consigne, Association Water-Map, Objectif Zéro Plastique, Orléans Zéro Plastique, Circulab, M. & Mme Recyclage, La Fresque du Plastique, Wings of the Ocean, MerTerre, Swim for Change, World Cleanup Day, Collectif Eau 88, Coordination EAU Ile-de-France, OceanAsCommon, In Off Plastic, Cantine Sans Plastique, Waves Of Change, Eau de Paris, UAE (L'Union des professionnels du traitement de l'eau), Castalie, Ekō, Behring, HOALI, Twyd, Kanalien, Altereo, SMICVAL, Nathalie Gontard, Expédition Med, Brita France, Fondation Bye Bye Plastic, Plastic Attack France, Weetulip, Solable / LaVie, Gobi, Leko, Qwetch, Plastic Odyssey26 052 sur 30 000 SignaturesCréée par No Plastic In My Sea
-
STOP CROISIERES GRANDE RADE DE TOULONA quai, un tel mastodonte émet autant de dioxyde d'azote et de particules fines que 30.000 voitures roulant à 30 km/heure et autant d'oxyde de soufre que plusieurs millions de voitures diesel. Il consomme 8 à 10 fois plus de carburant qu'un ferry. Autoriser 100 de ces paquebots géants à faire escale équivaut à rajouter 800 à 1.000 escales de ferry aux 1.200 déjà programmées à Toulon. Mais cette fois à La Seyne-sur-Mer. Sur un quai qui n'est même pas électrifié. Le centre de Toulon et les quartiers adjacents au port sont déjà asphyxiés par les ferries et le flux des véhicules embarquant et débarquant. Un objet laissé sur le balcon s’y recouvre de suie en 24h. Les particules que contiennent les fumées sont responsables de maladies respiratoires. Nous ne pouvons pas laisser cette situation empirer ni s’étendre à La Seyne-sur-Mer. Les citoyens seront bientôt soumis à une zone à faible émission (ZFE) en ville. Mais quel sens cela a-t-il si, juste à côté, la pollution explose ? L’électrification des quais, entreprise par la municipalité après des années de réclamations, ne résoudra pas tout, loin s’en faut : les navires trop anciens ne sont pas équipés pour se brancher - mais le port les accueille quand même - et les ferries, en été surtout, font une escale à la fois trop courte et trop énergivore pour pouvoir couper les machines. Il y a urgence : dès ce printemps, MSC, l'armateur qui cause tant de soucis à Marseille, a ouvert une tête de ligne au môle d'armement de la Seyne, c'est-à-dire que les passagers y embarqueront et débarqueront 26 fois dans la saison. En mer comme à quai, c'est toute la Méditerranée qui est mise en danger par les rejets de ces véritables villes flottantes. Selon l'ONG Transport et Environnement, les 203 paquebots qui ont sillonné les espaces maritimes européens en 2017 sont responsables de l’émission de plus de 10 millions de tonnes de dioxyde de carbone. Pire : cette flotte a rejeté 20 fois plus d’oxyde de soufre que les 260 millions de voitures qui circulent sur les routes européennes. Cerise sur le gâteau : si elles sont une source indéniable de pollution, les croisières n’ont que de maigres retombées sur l’économie locale. Les repas sont servis à bord, une bonne partie des touristes ne débarque pas (30 à 70 % selon l'élu de Marseille délégué à l'économie). Maigres, sauf peut-être pour le concessionnaire des ports qui espère augmenter de 10% les 11 millions d'euros de son chiffre d'affaire. Nous n'entendons lui sacrifier ni notre cadre de vie ni notre santé. La Méditerranée, son environnement et ses habitants doivent être préservés. Bornes électrifiées ou pas, que ce soit à La Seyne ou à Toulon, les paquebots de croisières, nous n'en voulons pas. Pour une rade vivable, pour un environnement préservé et pour la santé de tous, signez et faites signer la pétition, rejoignez la campagne Stop Croisière grande rade de Toulon. Plus d'infos sur : https://stop-croisieres.org/ Contact : [email protected] Destinataires : Lionel MOSNIER, Commandant du port de Toulon Christine ROSSO, Directrice des ports de la CCI du Var Jean-Pierre GIRAN , Président du Conseil de la métropole TPM Jean-Louis MASSON, Président du Conseil départemental du Var Renaud MUSELIER, Président du conseil régional de PACA Sébastien FOREST, Directeur régional de l’environnement, de l’aménagement et du logement de PACA Christophe BÉCHU, Ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires5 379 sur 6 000 SignaturesCréée par Collectif Climat Zéro Fossile Toulon et environ
-
Mauvaise qualité de l'air à Rouen et en NormandieLors des pics de pollution, on a les yeux irrités, le brouillard est jaune sur la métropole. La respiration est difficile. Si les dégazages des usines étaient interdits lors des pics de pollution, cela éviterait de rajouter à la pollution dûe au chauffage et aux transports. Malgré les vignettes Crit'Air, et les efforts de baisse de chauffage des particuliers, les entreprises doivent faire leur part en n'ajoutant pas de pollution chimique supplémentaire. Par ailleurs, Atmo Normandie ne teste que 4 polluants dont ozone et microparticules de moins de 10 microns et moins de 2,5 microns (ceux qui vont dans le sang sans être filtrés par les poumons). Les polluants émis par les incendies d'usine et d'entrepôt ne sont pas détectés par Atmo Normandie. Pour les capteurs, la qualité de l'air est .. normale. Afin de garantir la santé et la sécurité de la population, il apparait nécessaire de tester d'autres polluants.117 sur 200 SignaturesCréée par Marie Agnès W.
-
STOP AUX FILTRES DE CIGARETTES SYNTHÉTIQUES !En France chaque année, 68 Milliards de cigarettes sont fumées par 15 Millions de fumeurs. 40 Milliards de mégots avec filtre sont jetés au sol, soit environ 25 000 tonnes ! Dans le monde, ce sont 4 300 Milliards de mégots jetés dans la rue ou la nature par an, soit 137 000 par seconde !90 sur 100 SignaturesCréée par Pierre-Stéphen J.
-
Amboise : + de poubelles pour une ville + propreNous sommes des volontaires en Service Civique à Unis-Cité Val d'Amboise et Tours, engagé.e.s dans une mission environnementale. Nos locaux se trouvent au coeur du quartier Maletrenne dans la ville d'Amboise : nous sommes témoins chaque jour du nombre de déchets variés par terre ! En plus de ne pas être esthétique, ces déchets polluent l'environnement et la Loire ! Jeter les mégots dans les bouches d'égout, va les amener dans la Loire et polluer le fleuve et la vie maritime ! S'il y avait plus de poubelles dans ce quartier, les habitant.e.s les utiliseraient plus ! Pour lutter contre la production d'emballages plastiques initules, nous pouvons collectivement laisser lors de l'achat aux caisses de supermarché les emballages superflus qui ne servent à rien ! Si nous arrivons à collecter MILLE signatures, nous allons demander aux Elu.e.s de la CCVA et en particulier de la Ville d'Amboise plus de poubelles de tri dans le quartier Maletrenne !2 217 sur 3 000 SignaturesCréée par Unis-Cité 37
-
Message à l'industrie du plastique : arrêtez de nous raconter des saladesNous, associations de consommateurs et consommatrices, citoyens et citoyennes, ONG de protection de l’environnement, parlementaires et scientifiques, souhaitons vous adresser toutes nos félicitations : il semblerait que votre mobilisation ait payé. Grâce à vous, la France risque une nouvelle fois de connaître un recul sur une réglementation pourtant emblématique et pionnière, à savoir la fin de la vente de fruits et légumes sous plastique. C’est à un combat acharné de votre part que nous avons pu assister depuis l’adoption de cette mesure par l’Assemblée nationale. Le 29 novembre 2019, les député·es ont voté l’interdiction d’emballages plastiques pour les fruits et légumes vendus en supermarché (sauf exceptions) à compter du 1er janvier 2022. Dans le courant du mois de décembre qui a suivi, vos fédérations se sont émues contre une mesure « déraisonnable » d’après Plastalliance, s’inscrivant dans la « surenchère à l’interdiction de produits en plastique à usage unique » pour Elipso. Votre lutte ne faisait cependant que commencer, puisqu’un décret devait venir préciser la disposition en fixant une liste de fruits et légumes exemptés du sevrage plastique. C’est au Conseil national de l’alimentation (CNA) qu’ont échu les travaux préparatoires relatifs à ce décret, organisme d’habitude reconnu pour les positions consensuelles auxquelles il parvient à aboutir. Malgré tout, vous avez été incapables pendant les discussions du moindre compromis avec la société civile, représentée par les associations de consommateurs et consommatrices et les ONG environnementales. N’ayant de cesse de défendre les intérêts que vous estimiez menacés de vos secteurs d’activité, vous avez proposé des exemptions pour littéralement chaque fruit et légume examiné par le groupe de concertation. Le bon sens réclamait pourtant une mise en œuvre généralisée du principe d’interdiction : dès lors qu’une catégorie de fruits et légumes est déjà substantiellement vendue en vrac en supermarché, il est contre-productif de vouloir l’en exempter. Une dérogation à l’interdiction de plastique pour des pêches et nectarines d’ores et déjà achetées à plus de 70 % en vrac ne fait pas sens. Cela n’a pas été votre ligne, et c’est ce qui a conduit à l’adoption par le CNA d’un avis à deux vitesses, entre l’envie d’avancer d’une société civile qui a gardé en tête le principe de réalité, et des filières économiques et industrielles qui ne souhaitaient manifestement pas faire preuve de bonne volonté. Vous n’avez cessé de continuer à « réclamer des aménagements » pendant la concertation préalable à la rédaction du décret. Sensibles à vos doléances, les pouvoirs publics ont établi une liste d’exemptions à levée progressive par le décret n° 2021-1318 du 8 octobre 2021. Cela ne vous a pas suffi. Vous avez attaqué le texte en justice, Interfel regrettant une mesure prise « sans concertation préalable avec la filière professionnelle » ; Elipso déplorant un décret qui « [va] bien au-delà des dispositions définies [dans la loi] » ; Plastalliance en profitant pour rappeler qu’elle « n’a jamais soutenu ou cautionné les objectifs attentatoires à l’industrie plastique de l’emballage ». Vous avez finalement obtenu gain de cause : la rapporteure publique vous a donné raison le 14 novembre dernier en recommandant « l’annulation totale » du décret. À la suite de cet avis, le Conseil d’État a invalidé le texte. Un nouveau projet de décret a été mis en consultation par le ministère, avec un risque non négligeable de travail de sape de votre part, qui pourrait mener à une liste d’exemptions longue… et pérenne. Tout du long de l’élaboration de cette mesure, vous vous serez placés en porte-à-faux vis-à-vis des citoyens et citoyennes qui souhaitent pouvoir consommer des fruits et légumes frais sans inonder leurs poubelles de plastique à usage unique. 83 % des Français·es pensent que la réduction du plastique à usage unique doit être une priorité. Pour ce faire, elles et ils estiment qu’il faudrait éliminer complètement ou à tout le moins limiter autant que possible l’utilisation du plastique. Cette attente citoyenne s’est retrouvée au cœur des préoccupations exprimées par la Convention citoyenne pour le Climat, qui s’est prononcée dans sa proposition C3.1 pour le développement du vrac. Ce mode de distribution est déjà majoritaire pour les fruits et légumes, qui ne sont « que » 37 % à être vendus sous emballages. Cela représente néanmoins 2,8 millions d’emballages plastiques annuels – un chiffre qui a augmenté de 22 % depuis le début des années 2000. Le secteur des fruits et légumes est ainsi responsable de la production et de la mise aux ordures de près de 20 000 tonnes de plastiques par an. Nous parlons bien ici de ce plastique qui, tout « fantastique » qu’il est, sera à l’origine de 53,5 milliards de tonnes d’émissions de gaz à effet de serre en 2050 de par sa seule production. Ce même plastique inonde les océans de quelque 10 millions de tonnes par an ; 54 des 120 espèces de mammifères marins menacées identifiées par l’UICN se retrouvent à en consommer ou se coincer dedans. Les êtres humains ne sont pas en reste : nous en ingérons jusqu’à 5g par semaine. 20 000 tonnes de plastique par an, c'est autant de microplastiques qui pénètrent nos organismes. D’après les fédérations de fruits et légumes, 80 % de la filière serait en conformité avec la mesure. Qu’attendons-nous alors pour aller dans le sens de l’histoire et réduire notre recours aux emballages plastiques ? Qu’attendez-vous ? Nous, associations de consommateurs et consommatrices, citoyens et citoyennes, ONG de protection de l’environnement, parlementaires et scientifiques, prenons acte de l’annulation du décret et de la menace que vos actions font peser sur la lutte contre le fléau plastique. Nous serons au rendez-vous pour élaborer un texte qui reste ambitieux face à l’urgence environnementale comme aux attentes citoyennes. Le serez-vous ?11 825 sur 15 000 SignaturesCréée par Zero Waste France 🌱.
-
Incendies, climat, biodiversité : STOP aux lanternes volantes !LES LANTERNES VOLANTES PEUVENT PROVOQUER DES INCENDIES Pour limiter le risque d’incendies (1), dans un contexte de sécheresses, de plus en plus de collectivités en viennent à devoir interdire le lancer de lanternes célestes sur leur territoire (dites aussi volantes, chinoises ou thaïlandaises). Cet été 2022, c’est en autres le cas de la Loire, du Calvados, de la Lozère, de l’Ille et Vilaine, etc. Bien sûr, la loi oblige toujours à déclarer les lancers de lanternes volantes un mois avant l’événement à la préfecture. Mais comment tous les contrôler dans une période estivale favorable aux festivités et notamment aux mariages ? Est-ce un risque qui mérite d’être pris ? Lâcher une lanterne enflammée, c’est perdre le contrôle du feu. LES INCENDIES SONT UN DRAME POUR LES FORÊTS, MAIS AUSSI POUR LE CLIMAT Les images de feux de forêt qui ont dévasté la France cet été ont choqué les Français et ont eu un effet désastreux sur le climat. Une forêt qui brûle, c’est un puits de carbone qui disparaît (2) mais c’est surtout des émissions de CO2 qui s’envolent : tout le CO2 séquestré dans les arbres pendant des centaines d’années est rejeté dans l’atmosphère en quelques minutes seulement. LES LANTERNES VOLANTES SONT DES DÉCHETS NON COMPOSTABLES ET DANGEREUX POUR LA FAUNE Parce que c’est la loi, pour pouvoir s’envoler sans brûler, elles doivent être “composées de matériaux non susceptibles de s’enflammer”, qui mettront du temps à se dégrader. Et parce que c’est comme cela qu’elles sont faites, elles ont aussi une structure métallique, qui peut s’avérer dangereuse pour les animaux. Autrement dit : les lanternes célestes sont des déchets dangereux qui s’envolent et finissent par tomber sans qu’on puisse savoir où. Dès lors, leur simple utilisation semble contraire à plusieurs articles existants dans la loi française, notamment le Code Pénal (article R632-1 qui interdit l’abandon de tout objet dans la nature) et le Code de l’Environnement (notamment article 541-2 qui tient tout producteur de déchets responsable de leur gestion jusqu’à leur élimination ou valorisation finale). Dans un contexte de multiplication d'épisodes de sécheresse, de dérèglement climatique et de lutte contre les déchets dangereux, il est donc temps d’interdire l’utilisation et la vente de lanternes volantes partout en France, toute l’année. Une mesure simple qui peut éviter beaucoup. ....... (1) En Allemagne au Nouvel An 2020, des lanternes avaient par exemple provoqué l’incendie d’un zoo. En France, on trouve des événements similaires sur Twitter par exemple : https://twitter.com/longbeachrpg/status/1521359592822820865 ou https://twitter.com/The_Ulfric/status/1461669915216203778 (2) Un puits de carbone est un réservoir naturel qui absorbe les émissions de CO2. On estime qu’¼ des émissions est absorbé par les océans, ½ se retrouve dans l’atmosphère, et ¼ est absorbé par les arbres grâce à la photosynthèse. (source GIEC)191 sur 200 SignaturesCréée par Claire B.
-
NON à l'extension de la carrière Lafarge sur Château-Gontier (53)La demande d'extension de la Carrière des Coudrays par l'entreprise LafargeHolcim sur les communes de Château-Gontier sur Mayenne et Marigné-Peuton (53) est un projet destructeur au niveau environnemental. "Les impacts résultants du projet à la suite des mesures envisagées seront nuls à faibles, voire positifs à entièrement maitrisés" Etude d'impact - LafargeHolcim Vraiment? - Sur les 50ha concernés par cette demande d'extension, on trouve 17ha de forêt qui seront défrichés. Cette disparition d'espaces boisés portera atteinte à la survie de nombreuses espèces protégées (l'écureuil roux, l'autour des palombes, etc...). De plus, la forêt a un rôle essentiel dans la régulation du changement climatique (micro-climat, stockage carbone). - 3 zones humides sont également concernées : ce sont des écosystèmes complexes et précieux. On y trouve de nombreuses espèces d'amphibiens. Ces zones humides sont essentielles dans la préservation de la biodiversité. De plus on observe de plus en plus de phénomènes climatiques extrêmes (sécheresses, fortes pluies...) Ces espaces ont un rôle primordial pour limiter les inondations dans les villes. -Lafarge se vente de créer 3 emplois supplémentaires grâce à l'extension. Cependant, ne peut-on pas faire mieux? Sur les 33ha de terres agricoles menacés, il est possible d'installer au moins un agriculteur et même plus si on y développe des projets à taille humaine, tel que du maraîchage diversifié, de l'arboriculture, de l'élevage extensif... - Les exploitants de carrières sont dans l'obligation légale de restaurer le milieu suite à l'extraction. Ils se servent de déchets inertes pour compenser les matériaux retirés. Il n'y a aucune transparence sur l'origine de ces déchets et bien que des mesures soient mises en places pour assurer l'isolation de ceux-ci dans le sol une fois enfouis, nous ne sommes jamais entièrement à l'abri d'une pollution diffuse des eaux souterraines. De plus, la vie du sol ne sera jamais totalement retrouvée. - L'exploitation de la carrière actuelle consomme 66 000 m3 par an. Le projet d'extension va nécessité de venir puiser dans la nappe phréatique une quantité d'eau au moins égal à ce volume. La ressource en eau va devenir de plus en plus rare dans les années à venir, les sécheresses anormales que nous connaissons depuis quelques années en sont un signal fort. Il serait inconscient d'autoriser cette folie de plus. En plus d'avoir une atteinte à la biodiversité et au climat, ce projet participe à l'altération de notre paysage bocager. Il est important que nous nous opposions à ce projet pour préserver notre environnement à notre échelle. Nous sommes conscient que dans le système consumériste actuel, les matériaux extraits semblent indispensables, pour construire, bétonner, reconstruire... Il est temps que nous réalisions l'urgence d'évoluer vers plus de sobriété : rénovation de l'existant, utilisation de matériaux bio-sourcés ou recyclés, limitation de l'étalement urbain,... Signez cette pétition c'est faire votre part pour stopper un projet destructeur de plus. L'enquête publique se termine le jeudi 21 juillet à 17h. Nous remettrons en mains propres les signatures au commissaire enquêteur pour lui témoigner de la mobilisation citoyenne. La liste des signataires viendra peser dans l'évaluation de l'enquête publique. Ne sous-estimons pas l'importance du poids de l'avis des citoyens.3 690 sur 4 000 SignaturesCréée par Coquelico T.
-
STOP AU METHANISEUR XXLLes CIVEs, issues de céréales et menues pailles, seront collectées auprès de 150 agriculteurs locaux adhérents au site de méthanisation. La collecte se fera dans un rayon de 75 km du site de méthanisation. Les CIVEs, cultivées sur une surface de 5400 ha !, viennent en concurrence des productions animalières et humaines de céréales, alors que la planète souffre d'une très grave crise alimentaire due au dérèglement climatique. L'introduction d’une seconde culture (du tournesol et du soja semés après récolte du seigle en CIVE) paraît bien théorique si le semis est effectué juste avant le 15 mai, compte tenu des sécheresses à répétition au printemps et en été. Ces cultures risquent fort de n'être que des cultures alibi, des cultures PAC, sans grand enjeu de productivité. En raison du changement climatique et dans un contexte alimentaire tendu au niveau mondial, l’utilisation des CIVEs et plus largement des céréales en méthanisation pose question. Plusieurs centaines, voire milliers d’hectares sont cultivés afin d’alimenter les méthaniseurs, et entrent ainsi en concurrence avec une culture à vocation alimentaire. Le projet consiste à devoir créer des cultures pour alimenter un méthaniseur, et à transporter sur de longues distances ces cultures. L’énergie fossile est toujours utilisée pour semer, récolter et acheminer la marchandise jusqu’à la future usine de méthanisation et ce, en grande quantité, pour les 5400 ha de terre qui seront cultivés chaque année… Par conséquent, un bilan carbone bien positif qui n’a que peu d’intérêt aux yeux des porteurs de ce projet pour produire un gaz au final peu vert ! Les intrants tels qu’utilisés en méthanisation « raisonnée » ne sont donc plus des déchets, mais des cultures qui pourraient être utilisées à vocation alimentaire. Le collectif d’habitants que nous sommes alerte sur les dangers d’une méthanisation XXL non contrôlée ; il faut agir face à ces risques réels de pollution de l’air, des sols et de l’eau et pour mettre les pouvoirs publics devant leurs responsabilités. STOP ! Les profits des uns (largement subventionnés) ne peuvent se réaliser au prix de multiples pollutions pour les autres. Nous collectif d’habitants : - Refusons 20 000 poids lourds sur nos routes par an (nuisances sonores, dangerosité, dégradation des routes, pollution) ; - Refusons tout épandage de digestats sur le bassin d’alimentation des eaux de captage (risque élevé de pollution des nappes phréatiques sur un sol karstique) ; - Refusons le rejet de centaines de milliers de mètres cubes d’eau chargée dans nos nappes phréatiques (risque avéré de pollution des nappes phréatiques) ; - Refusons les rejets de méthane (le méthane est également un Gaz à Effet de Serre 28 à 80 fois plus nocif pour le climat que le CO2 s’il est envoyé tel quel dans l'atmosphère d’où des inquiétudes si il y a des fuites même légères !) et autres gaz (H2S, NH3, N2Oun Gaz à Effet de Serre 300 fois plus puissant que le CO2…) ; - Refusons l’altération et la dévaluation du patrimoine avoisinant ; - Refusons les risques liés à la sécurité de cette usine (incendies, explosions…) ; - Refusons ce projet d’usine dont le destin semble déjà décidé par les élus (plateformes de stockage délocalisées déjà construites en catimini), CIVEs déjà récoltées et stockées… sans information ni concertation des habitants concernés ! Nous ne refusons pas la méthanisation à la ferme, qui traite ses propres déchets pour son auto-consommation d'énergie, ni la méthanisation des vrais déchets, réalisée par de vrais professionnels, qui disposent des équipes spécialisées garantissant la sécurité et l'absence de pollution de leurs installations. Soutenez massivement notre combat pour une méthanisation raisonnée, mieux encadrée et mieux contrôlée, respectueuse de l'environnement et de l'ensemble de la population, en signant cette pétition! Sont contre le projet ou ont des avis très réservés : La Confédération Paysanne de Côte d’Or, France Nature Environnement, les syndicats des eaux, certaines communes, le Collectif National Vigilance Méthanisation, le Collectif Scientifique National Méthanisation et sans oublier un grand nombre d’agriculteurs…681 sur 800 SignaturesCréée par KARINE B.
-
Pour un Véritable Débat National et Citoyen sur Notre Avenir ÉnergétiquePour un Véritable Débat National et Citoyen sur Notre Avenir Énergétique Nous citoyens, associations de défense de l’environnement et de défense des consommateurs, partis politiques et acteurs de la société civile en général, exigeons de la part des pouvoirs publics en place la mise en place d’un grand débat national sur l’énergie qui n’a jamais eu lieu à ce jour afin que les citoyens puissent décider de leur avenir énergétique pour la prochaine décennie. Ce débat devra répondre à l’une des questions essentielles qui a émergé ces dernières semaines sur notre avenir énergétique à travers la transition écologique voulue par la plus grande partie des hommes politiques lors de la campagne électorale des présidentielles du 10 et 24 avril 2022 . Il devra mettre en exergue la ou les meilleures solutions à la question sur ce thème : « quelles sources de production d’énergies voulons nous mettre en place en priorité pour la prochaine décennie ? » Des propositions, des questions, des interrogations mais surtout des réponses claires à des problèmes répertoriés et connus devront êtres exprimées, tout en faisant attention que cela n'épuise pas le débat mais qu’il soit au cœur de nos interrogations. Tous ceux et celles qui voudrons participer à ce débat près de chez soi ou s’exprimer sur internet, dans l'Hexagone, l’outre-mer, dans les villages à l'initiative des maires, des élus, des responsables associatifs, mais aussi dans les assemblées parlementaires, régionales ou départementales pourront faire valoir ses propositions et ses idées. Il n'y aura pas de place aux questions interdites, montrons que nous sommes un peuple capable de parler, d'échanger, de débattre sur un sujet tabou politiquement car devenu clivant par manque de réel débat sur un sujet aussi capital, considérant qu’une démocratie participative doit être en mesure d'écouter plus souvent la voix de ses citoyens. L'épuisement des ressources naturelles, le dérèglement climatique et le conflit armé au sein de l’Europe en Ukraine nous obligent à repenser notre modèle de développement énergétique. Nous devons mettre en place rapidement un projet productif européen nouveau, plus juste, plus efficace, plus écologique et avec détermination . Ce débat devra faire émerger une clarification d’un projet national et européen avec de nouvelles idées et une autre manière d'envisager un avenir plus sereinement, en transformant les problèmes en solutions concrètes. Mais pour réussir cette transition, il faudra investir massivement et accompagner nos concitoyens les plus modestes . Quelles sont les solutions qui nous semblent prioritaires à privilégier en bonne intelligence pour produire de l’énergie électrique ? Comment financer cette transition écologique ? Par l'impôt, par les taxes, un nouveau plan Marshall ou bien des réorientations budgétaires plus cohérentes? Comment rendre les solutions concrètes accessibles à tous et les plus supportables sur un plan financier ? La période que notre pays traverse mais aussi l’Europe dans son ensemble, montre qu'il nous faut redonner plus de force à la démocratie et la citoyenneté a travers ce débat, afin de redonner espoir en nos institutions républicaines, avoir recours aux référendums si cela s’avère nécessaire, car beaucoup de nos compatriotes ne se sentent plus représentés à l'issue des élections. Aujourd'hui plus personne ne conteste l'impérieuse nécessité d'agir vite et plus nous tardons à nous remettre en cause, plus ces transformations seront douloureuses, coûteuses et sera un fardeau que devront gérer les générations futures. Si on ne change pas notre système de production d’énergie basée sur les matières fossiles et fissiles, polluantes et dangereuses, si on ne modifie pas notre modèle de consommation irrationnel basé sur le gaspillage sans prioriser les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique, nous courons à une crise sociétale bien plus grave encore en ce qui concerne les enjeux économiques et environnementaux . Envisager l’utilisation des ressources naturelles avec plus de respect, maintenir un niveau de consommation acceptable grâce à une consommation plus intelligente dans nos modes de vie, est la seule solution viable à long terme pour l’homme et la planète. " La maison brûle encore et nous continuons de regarder ailleurs » Agissons Tous Ensemble Rapidement !"183 sur 200 SignaturesCréée par jean R.
-
Disons Non à l'exploitation du pétrole dans le Parc de Virunga, zone protégée par l’UNESCOIl y a à peine un an, la République Democratique du Congo a découvert des gisements de pétrole dans le parc national des Virunga, mais également à Luki dans le Congo central et dans l’Equateur. Pour les autorités congolaises, c'est une manne financière à exploiter. On estime les réserves de l'or noir dans le Parc des Virunga à 6758 milliards de barils, ce qui pourrait représenter une manne financière de quelque 7 milliards de dollars. Les autorités nationales défendent ainsi l'attrait économique du développement du secteur pétrolier pour la région. Le gouvernement a déjà lancé des appels d’offres pour l'exploitation du pétrole allant du 28 au 29 juillet prochain. Nous devons stopper ce projet écocide avant cette échéance! La ministre de l'environnement se trouve dans un dilemme: faut-il exploiter ces ressources ou agir pour le climat ? Pour celle qui ne jure que pour présenter le géant Congo comme pays solution, c’est une décision qui joue toute sa carrière politico-écologiste. Cependant Mme Eve Bazaiba ne s’en cache pas. Elle ne souhaite pas que la RDC se sacrifie pour le reste du monde sans compensation. “La communauté internationale doit apporter une réponse au manque à gagner économique et social’, estime-t-elle.. Contacter par DW à propos de l'exploitation des gisements, elle réponde: “Les choix appartiennent à la République démocratique du Congo. Nous allons protéger l'environnement pour l'intérêt du monde, de l'humanité, comme je l'ai dit, et c'est évidemment aussi notre propre intérêt. Mais le Congo se trouve dans un dilemme de dire : le pétrole, c'est le baromètre de l'économie, quand vous avez un accès difficile au pétrole, le prix des services et des biens montent. C'est le coût de la vie qui monte. Mais quand vous avez l'accès facile au pétrole, ce sont les coûts des services et des biens qui baissent et la population a accès à un minimum vital. Nous avons les ressources du sol et du sous-sol. C'est là qu’il y a des négociations avec la communauté internationale pour dire : devrions-nous, la RDC, nous sacrifier à ne pas exploiter notre pétrole pour les besoins de la protection de l'environnement ? En échange de quoi ? S’il y a une réponse, nous la mettrons sur la balance et nous dirons : pétrole, reste dans le sous-sol. Nous avons d'autres fonds, nous avons l'alternative de notre survie. Mais s’il n'y a pas cette alternative, on ne peut pas observer le pétrole comme des poissons dans l'aquarium. Nous sommes en train de parler avec les partenaires internationaux, avec tous les partenaires au développement technique et financier “ A la question de savoir si l’énergie solaire ne pourrait pas faire l'affaire contre le pétrole en RD Congo, elle répond: “ Oui, mais justement, l'alternative, c'est quoi ? Nous avons d'abord les centrales hydroélectriques d'Inga, où nous demandons de tous nos vœux que tous les fonds pour lutter contre le réchauffement climatique soient financés à Inga. Inga va booster la desserte en électricité. On n'aura pas besoin nécessairement du pétrole. Deuxièmement, nous disons que le soleil nous passe par-dessus la tête. Nous avons besoin de beaucoup de technologie et d'expertise pour que nous puissions développer l'énergie photovoltaïque. Troisièmement, nous avons besoin des technologies et de l'expertise pour développer l'énergie de la biomasse. Et aussi, nous avons besoin de la technologie et de l'expertise pour la transformation locale de nos ressources stratégiques, minerais stratégiques, qui nous amènent à la transition écologique au lieu d'utiliser le pétrole, donc le carburant, l'essence et le gazole dans le véhicule.... mais si nous utilisons des voitures électriques, ça nécessite une transformation locale. Nous avons la panoplie de tous ces procédés pour nous amener à la transition écologique. Nous avons beaucoup de tours dans nos manches, mais ça nécessite l'expertise, la technologie et cela équivaut à des moyens” Dans ce contexte d'accélération de la crise climatique, nous encourageons le gouvernement à privilégier la voie de la diplomatie écologique pour la compensation et à stopper ce projet d’exploitation du pétrole. Il est inadmissible qu’un gouvernement se donne à l'exploitation d’un nouveau gisement pétrolier. Pire certains de ces blocs se trouvent dans le parc des Virunga dans l’est du pays, une réserve naturelle protégée par l'UNESCO qui abrite les gorilles de montagnes "Espèces en voie de disparition”. L’exploitation du pétrole pollue les eaux et infertilité terre. A part le fait que ce projet va entraîner la destruction de la faune et la flore de ce patrimoine mondial aux espaces rares, elle plongera également les populations riveraines dans une souffrance proche de la misère; elles qui ne vivent que de l’agriculture. Ce serait un acte suicidaire que de polluer expressément l’air, la terre et l’eau d’une population qui vit quotidiennement les atrocités de la guerre depuis un quart de siècle. La peur est qu’il s’observe des contradictions dans l’approche écologique de ce projet dans le chef des autorités. Pour certains politiques moins soucieux de l'environnement “Le pays gagnerait plus en les exploitant qu'en les conservant non exploités” c'est ce qu'explique le député national Lucain Kasongo. Pour lui le pays gagnerait en conservant la nature d'un côté et l'exploitation du pétrole de l'autre côté. Une absurdité totale! La RDC est le deuxième poumons par lequel respire très difficilement notre planète. Il est inadmissible de laisser les autorités congolaises décider de ses forêts et réserves naturelles sans tenir compte des exigences de la crise climatique. Plusieurs Organisations écologistes ont déjà alerté sur ce projet d’exploitation du pétrole dans le parc des Virunga en vain. Le gouvernement s'entête. A deux mois du risque que des contrats soient signés, nous devons à tout prix empêcher ce projet. L’unique urgence actuelle est la transition énergétique. Disons tous non aux fossiles!353 sur 400 SignaturesCréée par Guellord M.
-
STOP CROISIERES A TOULON ET LA SEYNE SUR MERLes décideurs , croisiéristes , présentent toujours avec un grand cynisme les retombées économiques , impossible à quantifier sérieusement , et ne parlent jamais des milliers de morts dus à la pollution de l'air891 sur 1 000 SignaturesCréée par GUILLAUME P.
Votre consentement est important pour nous. L'utilisation de cookies, ou de technologies similaires, nous permet de vous garantir une expérience optimale sur notre site, de mieux vous connaître et d'avoir une idée précise des personnes qui visitent nos pages.
Vous êtes libre d'accepter ou de refuser l'utilisation de cookies non essentiels, qui n'ont pas d'impact sur la navigation sur ce site. En savoir plus