• Message à l'industrie du plastique : arrêtez de nous raconter des salades
    Nous, associations de consommateurs et consommatrices, citoyens et citoyennes, ONG de protection de l’environnement, parlementaires et scientifiques, souhaitons vous adresser toutes nos félicitations : il semblerait que votre mobilisation ait payé. Grâce à vous, la France risque une nouvelle fois de connaître un recul sur une réglementation pourtant emblématique et pionnière, à savoir la fin de la vente de fruits et légumes sous plastique. C’est à un combat acharné de votre part que nous avons pu assister depuis l’adoption de cette mesure par l’Assemblée nationale. Le 29 novembre 2019, les député·es ont voté l’interdiction d’emballages plastiques pour les fruits et légumes vendus en supermarché (sauf exceptions) à compter du 1er janvier 2022. Dans le courant du mois de décembre qui a suivi, vos fédérations se sont émues contre une mesure « déraisonnable » d’après Plastalliance, s’inscrivant dans la « surenchère à l’interdiction de produits en plastique à usage unique » pour Elipso. Votre lutte ne faisait cependant que commencer, puisqu’un décret devait venir préciser la disposition en fixant une liste de fruits et légumes exemptés du sevrage plastique. C’est au Conseil national de l’alimentation (CNA) qu’ont échu les travaux préparatoires relatifs à ce décret, organisme d’habitude reconnu pour les positions consensuelles auxquelles il parvient à aboutir. Malgré tout, vous avez été incapables pendant les discussions du moindre compromis avec la société civile, représentée par les associations de consommateurs et consommatrices et les ONG environnementales. N’ayant de cesse de défendre les intérêts que vous estimiez menacés de vos secteurs d’activité, vous avez proposé des exemptions pour littéralement chaque fruit et légume examiné par le groupe de concertation. Le bon sens réclamait pourtant une mise en œuvre généralisée du principe d’interdiction : dès lors qu’une catégorie de fruits et légumes est déjà substantiellement vendue en vrac en supermarché, il est contre-productif de vouloir l’en exempter. Une dérogation à l’interdiction de plastique pour des pêches et nectarines d’ores et déjà achetées à plus de 70 % en vrac ne fait pas sens. Cela n’a pas été votre ligne, et c’est ce qui a conduit à l’adoption par le CNA d’un avis à deux vitesses, entre l’envie d’avancer d’une société civile qui a gardé en tête le principe de réalité, et des filières économiques et industrielles qui ne souhaitaient manifestement pas faire preuve de bonne volonté. Vous n’avez cessé de continuer à « réclamer des aménagements » pendant la concertation préalable à la rédaction du décret. Sensibles à vos doléances, les pouvoirs publics ont établi une liste d’exemptions à levée progressive par le décret n° 2021-1318 du 8 octobre 2021. Cela ne vous a pas suffi. Vous avez attaqué le texte en justice, Interfel regrettant une mesure prise « sans concertation préalable avec la filière professionnelle » ; Elipso déplorant un décret qui « [va] bien au-delà des dispositions définies [dans la loi] » ; Plastalliance en profitant pour rappeler qu’elle « n’a jamais soutenu ou cautionné les objectifs attentatoires à l’industrie plastique de l’emballage ». Vous avez finalement obtenu gain de cause : la rapporteure publique vous a donné raison le 14 novembre dernier en recommandant « l’annulation totale » du décret. À la suite de cet avis, le Conseil d’État a invalidé le texte. Un nouveau projet de décret a été mis en consultation par le ministère, avec un risque non négligeable de travail de sape de votre part, qui pourrait mener à une liste d’exemptions longue… et pérenne. Tout du long de l’élaboration de cette mesure, vous vous serez placés en porte-à-faux vis-à-vis des citoyens et citoyennes qui souhaitent pouvoir consommer des fruits et légumes frais sans inonder leurs poubelles de plastique à usage unique. 83 % des Français·es pensent que la réduction du plastique à usage unique doit être une priorité. Pour ce faire, elles et ils estiment qu’il faudrait éliminer complètement ou à tout le moins limiter autant que possible l’utilisation du plastique. Cette attente citoyenne s’est retrouvée au cœur des préoccupations exprimées par la Convention citoyenne pour le Climat, qui s’est prononcée dans sa proposition C3.1 pour le développement du vrac. Ce mode de distribution est déjà majoritaire pour les fruits et légumes, qui ne sont « que » 37 % à être vendus sous emballages. Cela représente néanmoins 2,8 millions d’emballages plastiques annuels – un chiffre qui a augmenté de 22 % depuis le début des années 2000. Le secteur des fruits et légumes est ainsi responsable de la production et de la mise aux ordures de près de 20 000 tonnes de plastiques par an. Nous parlons bien ici de ce plastique qui, tout « fantastique » qu’il est, sera à l’origine de 53,5 milliards de tonnes d’émissions de gaz à effet de serre en 2050 de par sa seule production. Ce même plastique inonde les océans de quelque 10 millions de tonnes par an ; 54 des 120 espèces de mammifères marins menacées identifiées par l’UICN se retrouvent à en consommer ou se coincer dedans. Les êtres humains ne sont pas en reste : nous en ingérons jusqu’à 5g par semaine. 20 000 tonnes de plastique par an, c'est autant de microplastiques qui pénètrent nos organismes. D’après les fédérations de fruits et légumes, 80 % de la filière serait en conformité avec la mesure. Qu’attendons-nous alors pour aller dans le sens de l’histoire et réduire notre recours aux emballages plastiques ? Qu’attendez-vous ? Nous, associations de consommateurs et consommatrices, citoyens et citoyennes, ONG de protection de l’environnement, parlementaires et scientifiques, prenons acte de l’annulation du décret et de la menace que vos actions font peser sur la lutte contre le fléau plastique. Nous serons au rendez-vous pour élaborer un texte qui reste ambitieux face à l’urgence environnementale comme aux attentes citoyennes. Le serez-vous ?
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    Créée par Zero Waste France 🌱. Picture
  • Incendies, climat, biodiversité : STOP aux lanternes volantes !
    LES LANTERNES VOLANTES PEUVENT PROVOQUER DES INCENDIES Pour limiter le risque d’incendies (1), dans un contexte de sécheresses, de plus en plus de collectivités en viennent à devoir interdire le lancer de lanternes célestes sur leur territoire (dites aussi volantes, chinoises ou thaïlandaises). Cet été 2022, c’est en autres le cas de la Loire, du Calvados, de la Lozère, de l’Ille et Vilaine, etc. Bien sûr, la loi oblige toujours à déclarer les lancers de lanternes volantes un mois avant l’événement à la préfecture. Mais comment tous les contrôler dans une période estivale favorable aux festivités et notamment aux mariages ? Est-ce un risque qui mérite d’être pris ? Lâcher une lanterne enflammée, c’est perdre le contrôle du feu. LES INCENDIES SONT UN DRAME POUR LES FORÊTS, MAIS AUSSI POUR LE CLIMAT Les images de feux de forêt qui ont dévasté la France cet été ont choqué les Français et ont eu un effet désastreux sur le climat. Une forêt qui brûle, c’est un puits de carbone qui disparaît (2) mais c’est surtout des émissions de CO2 qui s’envolent : tout le CO2 séquestré dans les arbres pendant des centaines d’années est rejeté dans l’atmosphère en quelques minutes seulement. LES LANTERNES VOLANTES SONT DES DÉCHETS NON COMPOSTABLES ET DANGEREUX POUR LA FAUNE Parce que c’est la loi, pour pouvoir s’envoler sans brûler, elles doivent être “composées de matériaux non susceptibles de s’enflammer”, qui mettront du temps à se dégrader. Et parce que c’est comme cela qu’elles sont faites, elles ont aussi une structure métallique, qui peut s’avérer dangereuse pour les animaux. Autrement dit : les lanternes célestes sont des déchets dangereux qui s’envolent et finissent par tomber sans qu’on puisse savoir où. Dès lors, leur simple utilisation semble contraire à plusieurs articles existants dans la loi française, notamment le Code Pénal (article R632-1 qui interdit l’abandon de tout objet dans la nature) et le Code de l’Environnement (notamment article 541-2 qui tient tout producteur de déchets responsable de leur gestion jusqu’à leur élimination ou valorisation finale). Dans un contexte de multiplication d'épisodes de sécheresse, de dérèglement climatique et de lutte contre les déchets dangereux, il est donc temps d’interdire l’utilisation et la vente de lanternes volantes partout en France, toute l’année. Une mesure simple qui peut éviter beaucoup. ....... (1) En Allemagne au Nouvel An 2020, des lanternes avaient par exemple provoqué l’incendie d’un zoo. En France, on trouve des événements similaires sur Twitter par exemple : https://twitter.com/longbeachrpg/status/1521359592822820865 ou https://twitter.com/The_Ulfric/status/1461669915216203778 (2) Un puits de carbone est un réservoir naturel qui absorbe les émissions de CO2. On estime qu’¼ des émissions est absorbé par les océans, ½ se retrouve dans l’atmosphère, et ¼ est absorbé par les arbres grâce à la photosynthèse. (source GIEC)
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    Créée par Claire B.
  • NON à l'extension de la carrière Lafarge sur Château-Gontier (53)
    La demande d'extension de la Carrière des Coudrays par l'entreprise LafargeHolcim sur les communes de Château-Gontier sur Mayenne et Marigné-Peuton (53) est un projet destructeur au niveau environnemental. "Les impacts résultants du projet à la suite des mesures envisagées seront nuls à faibles, voire positifs à entièrement maitrisés" Etude d'impact - LafargeHolcim Vraiment? - Sur les 50ha concernés par cette demande d'extension, on trouve 17ha de forêt qui seront défrichés. Cette disparition d'espaces boisés portera atteinte à la survie de nombreuses espèces protégées (l'écureuil roux, l'autour des palombes, etc...). De plus, la forêt a un rôle essentiel dans la régulation du changement climatique (micro-climat, stockage carbone). - 3 zones humides sont également concernées : ce sont des écosystèmes complexes et précieux. On y trouve de nombreuses espèces d'amphibiens. Ces zones humides sont essentielles dans la préservation de la biodiversité. De plus on observe de plus en plus de phénomènes climatiques extrêmes (sécheresses, fortes pluies...) Ces espaces ont un rôle primordial pour limiter les inondations dans les villes. -Lafarge se vente de créer 3 emplois supplémentaires grâce à l'extension. Cependant, ne peut-on pas faire mieux? Sur les 33ha de terres agricoles menacés, il est possible d'installer au moins un agriculteur et même plus si on y développe des projets à taille humaine, tel que du maraîchage diversifié, de l'arboriculture, de l'élevage extensif... - Les exploitants de carrières sont dans l'obligation légale de restaurer le milieu suite à l'extraction. Ils se servent de déchets inertes pour compenser les matériaux retirés. Il n'y a aucune transparence sur l'origine de ces déchets et bien que des mesures soient mises en places pour assurer l'isolation de ceux-ci dans le sol une fois enfouis, nous ne sommes jamais entièrement à l'abri d'une pollution diffuse des eaux souterraines. De plus, la vie du sol ne sera jamais totalement retrouvée. - L'exploitation de la carrière actuelle consomme 66 000 m3 par an. Le projet d'extension va nécessité de venir puiser dans la nappe phréatique une quantité d'eau au moins égal à ce volume. La ressource en eau va devenir de plus en plus rare dans les années à venir, les sécheresses anormales que nous connaissons depuis quelques années en sont un signal fort. Il serait inconscient d'autoriser cette folie de plus. En plus d'avoir une atteinte à la biodiversité et au climat, ce projet participe à l'altération de notre paysage bocager. Il est important que nous nous opposions à ce projet pour préserver notre environnement à notre échelle. Nous sommes conscient que dans le système consumériste actuel, les matériaux extraits semblent indispensables, pour construire, bétonner, reconstruire... Il est temps que nous réalisions l'urgence d'évoluer vers plus de sobriété : rénovation de l'existant, utilisation de matériaux bio-sourcés ou recyclés, limitation de l'étalement urbain,... Signez cette pétition c'est faire votre part pour stopper un projet destructeur de plus. L'enquête publique se termine le jeudi 21 juillet à 17h. Nous remettrons en mains propres les signatures au commissaire enquêteur pour lui témoigner de la mobilisation citoyenne. La liste des signataires viendra peser dans l'évaluation de l'enquête publique. Ne sous-estimons pas l'importance du poids de l'avis des citoyens.
    3 679 sur 4 000 Signatures
    Créée par Coquelico T.
  • STOP AU METHANISEUR XXL
    Les CIVEs, issues de céréales et menues pailles, seront collectées auprès de 150 agriculteurs locaux adhérents au site de méthanisation. La collecte se fera dans un rayon de 75 km du site de méthanisation. Les CIVEs, cultivées sur une surface de 5400 ha !, viennent en concurrence des productions animalières et humaines de céréales, alors que la planète souffre d'une très grave crise alimentaire due au dérèglement climatique. L'introduction d’une seconde culture (du tournesol et du soja semés après récolte du seigle en CIVE) paraît bien théorique si le semis est effectué juste avant le 15 mai, compte tenu des sécheresses à répétition au printemps et en été. Ces cultures risquent fort de n'être que des cultures alibi, des cultures PAC, sans grand enjeu de productivité. En raison du changement climatique et dans un contexte alimentaire tendu au niveau mondial, l’utilisation des CIVEs et plus largement des céréales en méthanisation pose question. Plusieurs centaines, voire milliers d’hectares sont cultivés afin d’alimenter les méthaniseurs, et entrent ainsi en concurrence avec une culture à vocation alimentaire. Le projet consiste à devoir créer des cultures pour alimenter un méthaniseur, et à transporter sur de longues distances ces cultures. L’énergie fossile est toujours utilisée pour semer, récolter et acheminer la marchandise jusqu’à la future usine de méthanisation et ce, en grande quantité, pour les 5400 ha de terre qui seront cultivés chaque année… Par conséquent, un bilan carbone bien positif qui n’a que peu d’intérêt aux yeux des porteurs de ce projet pour produire un gaz au final peu vert ! Les intrants tels qu’utilisés en méthanisation « raisonnée » ne sont donc plus des déchets, mais des cultures qui pourraient être utilisées à vocation alimentaire. Le collectif d’habitants que nous sommes alerte sur les dangers d’une méthanisation XXL non contrôlée ; il faut agir face à ces risques réels de pollution de l’air, des sols et de l’eau et pour mettre les pouvoirs publics devant leurs responsabilités. STOP ! Les profits des uns (largement subventionnés) ne peuvent se réaliser au prix de multiples pollutions pour les autres. Nous collectif d’habitants : - Refusons 20 000 poids lourds sur nos routes par an (nuisances sonores, dangerosité, dégradation des routes, pollution) ; - Refusons tout épandage de digestats sur le bassin d’alimentation des eaux de captage (risque élevé de pollution des nappes phréatiques sur un sol karstique) ; - Refusons le rejet de centaines de milliers de mètres cubes d’eau chargée dans nos nappes phréatiques (risque avéré de pollution des nappes phréatiques) ; - Refusons les rejets de méthane (le méthane est également un Gaz à Effet de Serre 28 à 80 fois plus nocif pour le climat que le CO2 s’il est envoyé tel quel dans l'atmosphère d’où des inquiétudes si il y a des fuites même légères !) et autres gaz (H2S, NH3, N2Oun Gaz à Effet de Serre 300 fois plus puissant que le CO2…) ; - Refusons l’altération et la dévaluation du patrimoine avoisinant ; - Refusons les risques liés à la sécurité de cette usine (incendies, explosions…) ; - Refusons ce projet d’usine dont le destin semble déjà décidé par les élus (plateformes de stockage délocalisées déjà construites en catimini), CIVEs déjà récoltées et stockées… sans information ni concertation des habitants concernés ! Nous ne refusons pas la méthanisation à la ferme, qui traite ses propres déchets pour son auto-consommation d'énergie, ni la méthanisation des vrais déchets, réalisée par de vrais professionnels, qui disposent des équipes spécialisées garantissant la sécurité et l'absence de pollution de leurs installations. Soutenez massivement notre combat pour une méthanisation raisonnée, mieux encadrée et mieux contrôlée, respectueuse de l'environnement et de l'ensemble de la population, en signant cette pétition! Sont contre le projet ou ont des avis très réservés : La Confédération Paysanne de Côte d’Or, France Nature Environnement, les syndicats des eaux, certaines communes, le Collectif National Vigilance Méthanisation, le Collectif Scientifique National Méthanisation et sans oublier un grand nombre d’agriculteurs…
    669 sur 800 Signatures
    Créée par KARINE B.
  • Pour un Véritable Débat National et Citoyen sur Notre Avenir Énergétique
    Pour un Véritable Débat National et Citoyen sur Notre Avenir Énergétique Nous citoyens, associations de défense de l’environnement et de défense des consommateurs, partis politiques et acteurs de la société civile en général, exigeons de la part des pouvoirs publics en place la mise en place d’un grand débat national sur l’énergie qui n’a jamais eu lieu à ce jour afin que les citoyens puissent décider de leur avenir énergétique pour la prochaine décennie. Ce débat devra répondre à l’une des questions essentielles qui a émergé ces dernières semaines sur notre avenir énergétique à travers la transition écologique voulue par la plus grande partie des hommes politiques lors de la campagne électorale des présidentielles du 10 et 24 avril 2022 . Il devra mettre en exergue la ou les meilleures solutions à la question sur ce thème : «  quelles sources de production d’énergies voulons nous mettre en place en priorité pour la prochaine décennie ? » Des propositions, des questions, des interrogations mais surtout des réponses claires à des problèmes répertoriés et connus devront êtres exprimées, tout en faisant attention que cela n'épuise pas le débat mais qu’il soit au cœur de nos interrogations. Tous ceux et celles qui voudrons participer à ce débat près de chez soi ou s’exprimer sur internet, dans l'Hexagone, l’outre-mer, dans les villages à l'initiative des maires, des élus, des responsables associatifs, mais aussi dans les assemblées parlementaires, régionales ou départementales pourront faire valoir ses propositions et ses idées. Il n'y aura pas de place aux questions interdites, montrons que nous sommes un peuple capable de parler, d'échanger, de débattre sur un sujet tabou politiquement car devenu clivant par manque de réel débat sur un sujet aussi capital, considérant qu’une démocratie participative doit être en mesure d'écouter plus souvent la voix de ses citoyens. L'épuisement des ressources naturelles, le dérèglement climatique et le conflit armé au sein de l’Europe en Ukraine nous obligent à repenser notre modèle de développement énergétique. Nous devons mettre en place rapidement un projet productif européen nouveau, plus juste, plus efficace, plus écologique et avec détermination . Ce débat devra faire émerger une clarification d’un projet national et européen avec de nouvelles idées et une autre manière d'envisager un avenir plus sereinement, en transformant les problèmes en solutions concrètes. Mais pour réussir cette transition, il faudra investir massivement et accompagner nos concitoyens les plus modestes . Quelles sont les solutions qui nous semblent prioritaires à privilégier en bonne intelligence pour produire de l’énergie électrique ? Comment financer cette transition écologique ? Par l'impôt, par les taxes, un nouveau plan Marshall ou bien des réorientations budgétaires plus cohérentes? Comment rendre les solutions concrètes accessibles à tous et les plus supportables sur un plan financier ? La période que notre pays traverse mais aussi l’Europe dans son ensemble, montre qu'il nous faut redonner plus de force à la démocratie et la citoyenneté a travers ce débat, afin de redonner espoir en nos institutions républicaines, avoir recours aux référendums si cela s’avère nécessaire, car beaucoup de nos compatriotes ne se sentent plus représentés à l'issue des élections. Aujourd'hui plus personne ne conteste l'impérieuse nécessité d'agir vite et plus nous tardons à nous remettre en cause, plus ces transformations seront douloureuses, coûteuses et sera un fardeau que devront gérer les générations futures. Si on ne change pas notre système de production d’énergie basée sur les matières fossiles et fissiles, polluantes et dangereuses, si on ne modifie pas notre modèle de consommation irrationnel basé sur le gaspillage sans prioriser les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique, nous courons à une crise sociétale bien plus grave encore en ce qui concerne les enjeux économiques et environnementaux . Envisager l’utilisation des ressources naturelles avec plus de respect, maintenir un niveau de consommation acceptable grâce à une consommation plus intelligente dans nos modes de vie, est la seule solution viable à long terme pour l’homme et la planète. " La maison brûle encore et nous continuons de regarder ailleurs » Agissons Tous Ensemble Rapidement !"
    183 sur 200 Signatures
    Créée par jean R.
  • Disons Non à l'exploitation du pétrole dans le Parc de Virunga, zone protégée par l’UNESCO
    Il y a à peine un an, la République Democratique du Congo a découvert des gisements de pétrole dans le parc national des Virunga, mais également à Luki dans le Congo central et dans l’Equateur. Pour les autorités congolaises, c'est une manne financière à exploiter. On estime les réserves de l'or noir dans le Parc des Virunga à 6758 milliards de barils, ce qui pourrait représenter une manne financière de quelque 7 milliards de dollars. Les autorités nationales défendent ainsi l'attrait économique du développement du secteur pétrolier pour la région. Le gouvernement a déjà lancé des appels d’offres pour l'exploitation du pétrole allant du 28 au 29 juillet prochain. Nous devons stopper ce projet écocide avant cette échéance! La ministre de l'environnement se trouve dans un dilemme: faut-il exploiter ces ressources ou agir pour le climat ? Pour celle qui ne jure que pour présenter le géant Congo comme pays solution, c’est une décision qui joue toute sa carrière politico-écologiste. Cependant Mme Eve Bazaiba ne s’en cache pas. Elle ne souhaite pas que la RDC se sacrifie pour le reste du monde sans compensation. “La communauté internationale doit apporter une réponse au manque à gagner économique et social’, estime-t-elle.. Contacter par DW à propos de l'exploitation des gisements, elle réponde: “Les choix appartiennent à la République démocratique du Congo. Nous allons protéger l'environnement pour l'intérêt du monde, de l'humanité, comme je l'ai dit, et c'est évidemment aussi notre propre intérêt. Mais le Congo se trouve dans un dilemme de dire : le pétrole, c'est le baromètre de l'économie, quand vous avez un accès difficile au pétrole, le prix des services et des biens montent. C'est le coût de la vie qui monte. Mais quand vous avez l'accès facile au pétrole, ce sont les coûts des services et des biens qui baissent et la population a accès à un minimum vital. Nous avons les ressources du sol et du sous-sol. C'est là qu’il y a des négociations avec la communauté internationale pour dire : devrions-nous, la RDC, nous sacrifier à ne pas exploiter notre pétrole pour les besoins de la protection de l'environnement ? En échange de quoi ? S’il y a une réponse, nous la mettrons sur la balance et nous dirons : pétrole, reste dans le sous-sol. Nous avons d'autres fonds, nous avons l'alternative de notre survie. Mais s’il n'y a pas cette alternative, on ne peut pas observer le pétrole comme des poissons dans l'aquarium. Nous sommes en train de parler avec les partenaires internationaux, avec tous les partenaires au développement technique et financier “ A la question de savoir si l’énergie solaire ne pourrait pas faire l'affaire contre le pétrole en RD Congo, elle répond: “ Oui, mais justement, l'alternative, c'est quoi ? Nous avons d'abord les centrales hydroélectriques d'Inga, où nous demandons de tous nos vœux que tous les fonds pour lutter contre le réchauffement climatique soient financés à Inga. Inga va booster la desserte en électricité. On n'aura pas besoin nécessairement du pétrole. Deuxièmement, nous disons que le soleil nous passe par-dessus la tête. Nous avons besoin de beaucoup de technologie et d'expertise pour que nous puissions développer l'énergie photovoltaïque. Troisièmement, nous avons besoin des technologies et de l'expertise pour développer l'énergie de la biomasse. Et aussi, nous avons besoin de la technologie et de l'expertise pour la transformation locale de nos ressources stratégiques, minerais stratégiques, qui nous amènent à la transition écologique au lieu d'utiliser le pétrole, donc le carburant, l'essence et le gazole dans le véhicule.... mais si nous utilisons des voitures électriques, ça nécessite une transformation locale. Nous avons la panoplie de tous ces procédés pour nous amener à la transition écologique. Nous avons beaucoup de tours dans nos manches, mais ça nécessite l'expertise, la technologie et cela équivaut à des moyens” Dans ce contexte d'accélération de la crise climatique, nous encourageons le gouvernement à privilégier la voie de la diplomatie écologique pour la compensation et à stopper ce projet d’exploitation du pétrole. Il est inadmissible qu’un gouvernement se donne à l'exploitation d’un nouveau gisement pétrolier. Pire certains de ces blocs se trouvent dans le parc des Virunga dans l’est du pays, une réserve naturelle protégée par l'UNESCO qui abrite les gorilles de montagnes "Espèces en voie de disparition”. L’exploitation du pétrole pollue les eaux et infertilité terre. A part le fait que ce projet va entraîner la destruction de la faune et la flore de ce patrimoine mondial aux espaces rares, elle plongera également les populations riveraines dans une souffrance proche de la misère; elles qui ne vivent que de l’agriculture. Ce serait un acte suicidaire que de polluer expressément l’air, la terre et l’eau d’une population qui vit quotidiennement les atrocités de la guerre depuis un quart de siècle. La peur est qu’il s’observe des contradictions dans l’approche écologique de ce projet dans le chef des autorités. Pour certains politiques moins soucieux de l'environnement “Le pays gagnerait plus en les exploitant qu'en les conservant non exploités” c'est ce qu'explique le député national Lucain Kasongo. Pour lui le pays gagnerait en conservant la nature d'un côté et l'exploitation du pétrole de l'autre côté. Une absurdité totale! La RDC est le deuxième poumons par lequel respire très difficilement notre planète. Il est inadmissible de laisser les autorités congolaises décider de ses forêts et réserves naturelles sans tenir compte des exigences de la crise climatique. Plusieurs Organisations écologistes ont déjà alerté sur ce projet d’exploitation du pétrole dans le parc des Virunga en vain. Le gouvernement s'entête. A deux mois du risque que des contrats soient signés, nous devons à tout prix empêcher ce projet. L’unique urgence actuelle est la transition énergétique. Disons tous non aux fossiles!
    334 sur 400 Signatures
    Créée par Guellord M.
  • STOP CROISIERES A TOULON ET LA SEYNE SUR MER
    Les décideurs , croisiéristes , présentent toujours avec un grand cynisme les retombées économiques , impossible à quantifier sérieusement , et ne parlent jamais des milliers de morts dus à la pollution de l'air
    891 sur 1 000 Signatures
    Créée par GUILLAUME P. Picture
  • Le nouveau BAC et le Brevet des Collèges : La correction qui pollue !
    Plusieurs épreuves écrites du baccalauréat sont corrigées de façon dématérialisée sans profit réel, des millions de pages sont scannées (avec un pourcentage non négligeable d’erreurs ou de bugs). La correction est effectuée ensuite en ligne sur le logiciel Santaurin (des millions d’heures d’utilisation) et amplifie donc le désastre inutilement… En outre ce travail de correction sur écran est nocif pour les yeux des professeurs qui se voient contraints, en cas de problème, d’imprimer les copies et de les numériser à nouveau une fois corrigées ! Enfin ces scans sont stockés. Signez pour que ce gâchis ne se reproduise plus !
    85 sur 100 Signatures
    Créée par nicole m.
  • Pour la transparence sur le bilan carbone des élus & candidats
    Pourquoi le demander aux élus & candidats ? Le but de cette pétition n’est pas de blâmer les élus ou candidats pour leur bilan individuel mais de faire en sorte que 100% des élus et futurs élus aient connaissance de leur bilan carbone, de quoi il est composé et de comment le faire baisser individuellement et collectivement. Évidemment, il faudrait encore plus car savoir c'est pouvoir agir. Il faut bien commencer quelque part et nous pensons que faire son bilan est un bon début, avant de lire le rapport du GIEC pour les décideurs : https://www.ipcc.ch/site/assets/uploads/sites/2/2019/09/IPCC-Special-Report-1.5-SPM_fr.pdf Il est très important que les futurs députés qui feront la loi pour les années qui viennent et les autres élus et politiques français comprennent les ordres de grandeurs et priorités pour que les émissions de français passent de 9.8 tonnes de CO2 par an à 2 tonnes par an en 2050 (objectif de l'Accord de Paris - COP21). Voilà pourquoi nous demandons aux maires, maires-adjoints, conseillers municipaux, conseillers métropolitain, conseillers départementaux, conseillers régionaux, députés français et européens et sénateurs. 🗳️ Pourquoi est-ce si important ? Il est primordial que celles et ceux qui nous représentent comprennent l'urgence et que l'heure est aux actions ambitieuses et non plus aux déclarations d'intention. L’urgence climatique est déjà là, le réchauffement climatique continue et devient de plus en plus alarmant alors que les prises de conscience et les actions se font timides voire inexistantes. L' objectif est posé : limiter le réchauffement climatique à un niveau inférieur à 2 degrés, de préférence à 1,5 degré celsius. Nous avons besoin d’un sursaut collectif, imminent et d’ampleur pour que les prochaines politiques et lois s’attaquent réellement aux activités humaines néfastes pour l’environnement. Demandez à vos élus locaux, aux candidats à ceux qui vous représentent cette transparence. « Mieux vaut prendre le changement par la main avant qu'il ne nous prenne par la gorge.» W. Churchill Pour en savoir plus : https://www.youtube.com/watch?v=tk-QuMCbw2I https://datagir.ademe.fr/blog/budget-empreinte-carbone-c-est-quoi/ https://www.ipcc.ch/site/assets/uploads/sites/2/2019/09/IPCC-Special-Report-1.5-SPM_fr.pdf
    262 sur 300 Signatures
    Créée par Jules V.
  • "fight against PLASTIC pollution "
    Vue le problème de réchauffement climatique qui sévit à l'échelle mondiale nous sommes exposés à un nombre incalculable de dangers pouvant nuire à notre santé et même nous guider sur le chemin de la mort. Depuis plusieurs dizaines d'années et absolument partout sur la planète de grands pays lancent des campagnes de sensibilisation sur la question de pollution qui est la principale cause du changement global. Et Haïti étant un pays sous développé, il fait partie de l'un des pays les plus à risque. Cependant du point de vue national rien n'est décidé, rien n'est fait… Parmi les causes de cette question de pollution, la plus courante en Haïti est : « les déchets plastiques ». Malgré l’arrêté ministériel du 10 juillet 2013 « interdisant la production, l’importation, la commercialisation et l’utilisation, sous quelque format que ce soit, des sacs en polyéthylène et des intrants et objets en polystyrène expansé (PSE ou PS cristal ou styrofoam) à usage alimentaire unique, tels que plateaux, barquettes, bouteilles, sachets, gobelets et assiettes » Nous faisons face à une montagnes de ces déchets dans nos rivières, nos rues... notre système étatique reste muet et est à la dérive. Toutefois étant des universitaires nous ne pouvons pas simplement nous figés dans nos études nous devons avoir une vision globale des choses, nous impliquer plus pour le bien être de notre chère planète bleue c’est pourquoi la question que nous devons nous poser n'est rien d’autre que : « Quelle est la position de l'université face à ce fléau ». Dans un pays où l’État est quasi absent, n'est ce pas à nous jeunes d'aujourd'hui et responsable de demain de poser les bases en sensibilisant la population sur les risques et dangers que représentent l’expansion des déchets plastiques dans un pays comme le nôtre. Un environnement sain, une population en bonne santé... C'est ainsi que "Green and Blue " en colaboration avec la "vie estudiantine de la FMP-/EBMO" de l'université d'État d'Haïti lance un projet baptisé " break free from plastic", un projet d'écolo dans l'objectif de faire le premier pas. Et enfin Comme on dit en médecine, un simple geste peur sauver une vie. Si nous considérons que nous sommes aux environs de sept milliards de personnes peuplant la terre, si chacun s’implique et se donne à fond on peut réduire considérablement l’expansion des déchets plastiques et pourquoi pas diminuer le plus grand problème que le monde fait face au vingt et unième siècle.
    235 sur 300 Signatures
    Créée par Hans Peter P.
  • STOP à la POLLUTION par rejets en MÉDITERRANÉE
    La Méditerranée est la mer la plus polluée du monde. Elle détiendrait des concentrations quatre fois plus élevées de micro-plastiques au kilomètre carré que le 7e continent, ce qui ferait d’elle la mer la plus polluée au monde, selon National Geographic. ❌ Ne nous rendons pas complices d’une pollution cette fois causée par les rejets des eaux de lavage des gaz d'échappement des navires qui sillonnent la Méditerranée. 🌊Le contexte : Sous couvert de crise sanitaire, la France vient d'autoriser par dérogation, l'enfumage en milieu marin (rejets de polluants directement sous l'eau), en adaptant ses textes qui réglementent ces rejets, à la demande de 2 compagnies dont Corsica Linea (7 navires dont 5 appartenant à Corsica Linea) Voici le détail de la dérogation => source : https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000044106303 : L’article 2 de l’Arrêté du 23 novembre 1987 est modifié par Arrêté du 22 septembre 2021 « Les rejets, dans le milieu marin, d’effluents provenant des méthodes de réduction des émissions fonctionnant en système ouvert sont interdits à moins de 3 milles nautiques de la terre la plus proche dans les eaux sous juridiction française ». « A titre transitoire, l'administration française peut accorder à un navire existant, effectuant des voyages réguliers entre deux ports, une exemption dont la durée de validité doit être limitée au strict minimum et ne peut excéder le 1er janvier 2026. La demande d'exemption doit démontrer l'impossibilité de se conformer à cette règle et indiquer la ou les solution (s) de mise en conformité retenue (s) et leur date prévisionnelle de mise en œuvre. » 🌊🌊 Pour mieux comprendre le problème : Au niveau mondial, le trafic maritime est régi par la Convention MARPOL. En 2005, afin d’abaisser la pollution de l’air émise par les navires, la convention prévoit de limiter la teneur en soufre du carburant qui doit passer de 4,5 % à 3,5 % en 2012, et à 0,5 % en 2020. Mais, le 15 mai 2015, un amendement est apporté sournoisement par les groupes pétroliers et par les compagnies maritimes pour naviguer à moindre coût. Les compagnies maritimes sont donc autorisées à équiper leurs navires de systèmes de nettoyage des fumées, les scrubbers, afin de continuer à utiliser un fuel plus soufré, largement disponible et surtout bien moins cher. Ces scrubbers peuvent être à boucle fermées (ils stockent les résidus polluants de lavage pour un retraitement à terre), ou ouvertes (ils rejettent directement en mer les eaux de lavage des gaz d’échappement, qui contiennent en quantités variables des métaux lourds, des hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP), des nitrates ainsi que les éventuels additifs chimiques utilisés) =>Source : https://le-garde.fr/la-france-autorise-lenfumage-du-milieu-marin-de-la-corse-jusquen-2026/ ❌ À ce jour, 23 États et 71 ports ont décidé d’interdire les rejets des scrubbers en boucle ouverte dans leurs eaux territoriales ou leurs eaux portuaires. Dernièrement, la Turquie, l’Autorité du Canal de Suez, Oman et l’Arabie Saoudite ont rejoint cette liste. En France, certains grands ports maritimes comme Marseille, Nantes-St Nazaire et La Rochelle ont déjà modifié leur règlement portuaire pour y inscrire une interdiction des rejets. =>Source : https://www.anave.es/images/documentos/C-12192_Annex_1_-_french_ban_on_scrubbers_discharges.pdf 🌊🌊🌊 Signez la pétition, demandons l'annulation stricte de ces dérogations partout en mer Méditerranée ! Le développement économique de certains ne peut pas condamner la faune marine et amplifier la catastrophe écologique que subit la mer Méditerranée, et les Océans en général. Les coraux blanchissent partout, les températures et teneurs en CO2 des océans augmentent d'une manière exponentielle, la sur-pêche continue, et à ce rythme, il n'y aura plus de poissons en 2050. Que voulons-nous laisser de notre passage sur notre planète ? Mobilisons-nous pour sauver ce qui peut encore l'être en signant cette pétition !
    8 940 sur 9 000 Signatures
    Créée par Groupe local Greenpeace Montpellier
  • "Non" au passage en zone CU des terrains à Montesquieu
    Bonjour, Le collectif des habitants de MONTESQUIEU, village du Tarn et Garonne, se réunit autour de cette pétition, afin de vous faire part de son désespoir concernant le projet de construction de plusieurs lotissements sur la commune. Nous ne voulons pas des nuisances écologiques que ce projet va engendrer, une activité économique peut être développée en mettant nos atouts en avant, autour de LA NATURE ET L'AGRICULTURE. Les zones et les terrains qui jouxtent ce projet sont des zones humides. Il faut protéger ces zones vertes, nos prairies de fauchage, et nos forêts ; ce projet est à contre sens des demandes de l'état. D’ailleurs, un parcours pédestre, créé avec l’appui de l’Europe, permet aujourd’hui aux marcheurs d’apercevoir des espèces d’oiseaux rares et protégées, qui viennent nicher dans des talus sablonneux (guêpier d'Europe), ils seront détruits par cette consommation effrénée de l’espace constructible. La population des biches et chevreuils sera aussi fortement impactée par cet urbanisme irrespectueux de l’environnement. Ces parcelles ne sont pas en zone CU depuis plus de 9 ans et doivent redevenir ZONE NATURELLE. MERCI DE NOUS AIDER ! Notre objectif est d'atteindre le maximum de signatures, et nous avons besoin de plus de soutiens. Pour en savoir plus, et pour signer, c'est ici : https://chng.it/GCjdPsp8wy
    115 sur 200 Signatures
    Créée par Didier L.