• Lille - Monsieur Castelain : libérez-nous du tout-voiture !
    Notre territoire et celles et ceux qui y vivent souffrent de la pollution de l’air, qui constitue aujourd’hui une urgence sanitaire établie. Le trafic routier porte une responsabilité toute particulière en ce qui concerne les émissions de polluants atmosphériques dangereux pour la santé et doit absolument être restreint. Le trafic routier est également l’un des premiers secteurs émetteur de gaz à effet de serre à l’échelle de notre agglomération. L’urgence climatique nous impose d’agir rapidement et de sortir de notre dépendance collective au pétrole, au transport routier et à la voiture individuelle. C'est un enjeu essentiel et pour autant l’abandon des véhicules polluants et de la logique du tout-voiture ne doit laisser personne sur le carreau. Évidemment, nous savons qu’il n’est pas toujours facile de se passer de sa voiture, mais nous pensons qu’il est de la responsabilité de nos élu.es de nous en donner les moyens, en développant les alternatives et en accompagnant le changement, notamment pour les plus fragiles d’entre nous. Monsieur le Président de la Métropole Européenne de Lille , il est grand temps d’agir pour la transition écologique et pour une mobilité urbaine adaptée aux crises sanitaire et climatique. Nous vous demandons donc : - de renforcer et pérenniser les dispositions temporaires qui ont été mises en place en faveur du vélo et des piétons dans le contexte covid ; - de continuer à développer le réseau de transports en commun (amélioration des fréquences et amplitudes horaires, mise en place de couloirs réservés pour les autobus, mutualisation des systèmes de billettique entre les différentes offres de transports collectifs et avec les services de mobilités alternatifs, développement des transports urbains en site propre notamment vers/entre les quartiers périphériques denses mal desservis, etc.) ; - de prévoir un accompagnement et des aides à la transition, pour soutenir les particuliers et les professionnels dans le changement de véhicule ou, mieux, de moyen de transport ; de faire preuve d’exemplarité concernant la flotte des transports en commun et de la ville : optimiser et rationaliser les déplacements au sein de la collectivité et engager une véritable politique de mobilité durable. Il reste beaucoup à faire dans nos grandes villes françaises sur ce sujet de la lutte contre la pollution automobile, comme l’a démontré un classement des villes* publié en amont des élections municipales de 2020 par le Réseau Action Climat, Unicef France et Greenpeace France. La crise sanitaire Covid que nous traversons a mis une nouvelle fois en lumière la nécessité absolue d’avancer rapidement sur ces enjeux de mobilité urbaine. Sortir du tout-voiture, du diesel et de l’essence et prioriser d’autres manières de se déplacer en ville demande du courage politique et c’est indispensable pour faire face à l’urgence sanitaire et climatique. Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président de la MEL, l’expression de ma considération distinguée. *Source : https://www.greenpeace.fr/lutte-contre-la-pollution-de-lair-classement-des-12-plus-grandes-agglomerations-francaises/
    780 sur 800 Signatures
    Créée par Groupe local Greenpeace de Lille
  • On veut respirer à Rouen!
    Notre territoire et celles et ceux qui y vivent souffrent de la pollution de l’air, qui constitue aujourd’hui une urgence sanitaire établie. Le trafic routier porte une responsabilité toute particulière en ce qui concerne les émissions de polluants atmosphériques dangereux pour la santé et doit absolument être restreint. Le trafic routier est également l’un des premiers secteurs émetteur de gaz à effet de serre à l’échelle de notre agglomération. L’urgence climatique nous impose d’agir rapidement et de sortir de notre dépendance collective au pétrole, au transport routier et à la voiture individuelle. C'est un enjeu essentiel et pour autant l’abandon des véhicules polluants et de la logique du tout-voiture ne doit laisser personne sur le carreau. Évidemment, nous savons qu’il n’est pas toujours facile de se passer de sa voiture, mais nous pensons qu’il est de la responsabilité de nos élu.es de nous en donner les moyens, en développant les alternatives et en accompagnant le changement, notamment pour les plus fragiles d’entre nous. Nicolas Mayer-Rossignol (président de la Métropole de Rouen), il est grand temps d’agir pour la transition écologique et pour une mobilité urbaine adaptée aux crises sanitaire et climatique. Nous vous demandons donc : - de programmer et d’organiser la sortie des véhicules polluants dans notre agglomération en fixant notamment un cap de sortie du diesel à horizon 2025 et de l’essence à horizon 2030, en prévoyant préalablement des alternatives accessibles à toutes les classes sociales; - de prendre des mesures visant à réduire la place dédiée à la voiture dans notre agglomération (mise en place de “rues scolaires”, développement des zones piétonnes et des zones à trafic limité, généralisation de la baisse des vitesses à 30 km/h et baisse de la vitesse sur les rocades, réduction du stationnement en voirie, etc.) et de réguler notamment la présence des véhicules les plus encombrants comme les SUV ; - de continuer à développer la solution vélo (plan vélo ambitieux à hauteur de 30€/an/hab minimum, mise en place d’un réseau express vélo métropolitain, activation des autres leviers d’un système vélo performant : stationnement sécurisé, intermodalité avec les transports en commun, services de location courte et longue durée, apprentissage pour tous, ateliers de réparation, etc.); - de continuer à développer le réseau de transports en commun (amélioration des fréquences et amplitudes horaires, mise en place de couloirs réservés pour les autobus, mutualisation des systèmes de billettique entre les différentes offres de transports collectifs et avec les services de mobilités alternatifs, développement des transports urbains en site propre notamment vers/entre les quartiers périphériques denses mal desservis, etc.) ; - de mettre en place une tarification sociale et solidaire basée sur les ressources pour les transports en commun ; Il reste beaucoup à faire dans nos grandes villes françaises sur la lutte contre la pollution automobile afin de respecter les normes européennes de qualité de l'air. La crise sanitaire Covid que nous traversons a mis une nouvelle fois en lumière la nécessité absolue d’avancer rapidement sur ces enjeux de mobilité urbaine. Sortir du tout-voiture, du diesel et de l’essence et prioriser d’autres manières de se déplacer en ville demande du courage politique et c’est indispensable pour faire face à l’urgence sanitaire et climatique. Maintenant que les élections sont passées, nous vous demandons de passer rapidement à l’action pour lutter de manière ambitieuse contre la pollution automobile, en commençant par honorer vos promesses de campagne sur ces enjeux et en prenant en compte nos demandes dans ce texte. Je vous prie d’agréer, Monsieur le Maire et Président de la Métropole, l’expression de ma considération distinguée. *Source : https://www.greenpeace.fr/lutte-contre-la-pollution-de-lair-classement-des-12-plus-grandes-agglomerations-francaises/
    597 sur 600 Signatures
    Créée par Groupe Local Greenpeace de Rouen
  • Sud-Plomb
    Difficile d'accepter qu'un tel projet soit mené sans aucune concertation préalable avec les riverains, et qu'il soit seulement précédé d'une enquête publique au délai minimum d'un mois. Difficile d'accepter qu'il soit mené sans aucune volonté d'informer les populations exposées à la pollution des sols. Difficile d'accepter qu'il soit mené sans aucun dépistage systématique de l'intoxication au plomb, sans fournir des mesures de la pollution des sols suffisantes, et cohérentes, et surtout sans tenir compte de ces mesures pour établir le périmètre de la zone d'institution des servitudes ou remplacer les sols. Et difficile d'accepter qu'un tel projet soit mené sans respecter le principe du pollueurpayeur, et qu'il fasse porter de manière injuste les frais de la pollution des sols aux populations exposées. Vu le nombre et l'importance des défauts mentionnés ci-dessus, nous, riverains de l'usine Exide, habitant Lille ou Faches-Thumesnil, ne pouvons accepter en l'état le projet d'institution des Servitudes d'Utilité Publique dans la zone Exide ZE. Par conséquent, nous demandons : 1 qu'un nouveau projet soit mené dans la concertation avec les riverains 2 qu'une information claire, entière et précise soit faite aux populations exposées à la pollution des sols 3 qu'un dépistage systématique soit mis en œuvre 4 qu'une nouvelle et plus complète investigation des sols soit menée 5 qu'à partir de ces nouvelles mesures de pollution des sols, un nouveau périmètre soit défini 6 qu'un remplacement des sols pollués soit possible gratuitement, si souhaité par les riverains concernés 7 qu'une politique de suivi de la pollution des sols, de l'air et de l'eau soit établie, et accessible au public 8 qu'un recours en indemnisation pour les différents préjudices subis(anxiété, corporels, sanitaires et patrimoniaux au prix du marché) soit possible, et juridiquement soutenu, si souhaité par les riverains concernes 9 qu'une demande d'expropriation soit possible, et là aussi juridiquement soutenue, si souhaitée par le riverain concerné
    6 sur 100 Signatures
    Créée par Jean-Luc D.
  • STOP AUX MAILLOTS DE FOOTBALL CHANGES A CHAQUE MATCH
    L'industrie textile pollue plus que les transports maritimes et aériens réunis soit 1,4 milliards de tonnes de CO2 par an. C'est pourquoi nous devons inciter les clubs à réutiliser leurs maillots tous le long de la saison; utiliser des fibres recyclées et recyclables et les donner à des organismes comme Emmaüs ou les revendre sur des applications comme Vinted à la fin de la saison.
    9 sur 100 Signatures
    Créée par Martin A.
  • Contre l’implantation d’une usine SEVESO à l’entrée de Marignane
    Implantation d’une usine SEVESO à Marignane qui impacterait aussi les communes environnantes telles que Chateauneuf les Martigues et Gignac la Nerthe Usine qui libérera dans l’atmosphère déjà très polluée de l’acide chlorhydrique et du chrome VI ( métal lourd cancérigène et mutagène reconnu). En cas d’incident de fuites de cuves (acide sulfurique,cadmium cyanure etc. …) en cas de fissures de sa dalle, d’incendie ( fréquents) elle polluerait les eaux souterraines’ les fossés, le canal du Rove et les marais. En effet cette usine sous le nom de PMA a dû fermer à Marseille dans le quartier Saint Louis 15 eme où depuis 2013 elle pollue l’eau des puits dans un rayon d’un kilomètre ainsi que le ruisseau des Aygalades .Elle a été obligée de fermer pour protéger la santé de 10000 personnes Elle doit réapparaître sous le nom de SATYS à l’entrée de Marignane sur le pourtour de l’étang de Berre dans la zone des Florides. La circulation étant saturée au niveau de Marignane, on verra en plus se rajouter des camions transportants des produits ultra dangereux Aidez-nous en signant cette pétition et en la diffusant largement Nous avons besoin de votre aide Merci
    32 sur 100 Signatures
    Créée par Marie paule D.
  • Condamnons tous les vide-ordures à Vélizy !
    Le tri est le premier geste citoyen. Il faut que nous puissions trier les déchets, et le vide-ordures ne permet pas cela ... Agissez pour vous, pour nous, et pour les générations à venir, signez !
    10 sur 100 Signatures
    Créée par Valérie M.
  • Retour des étoiles à Saint Maur des fossés
    Eteindre des lampadaires la nuit, permet de dormir plus paisiblement sans pollution lumineuse. Cela économise aussi une quantité faramineuse d'électricité donc d'argent aussi. Moins de pollution et plus d'économies pour un meilleur sommeil. Gagnant - gagnant
    56 sur 100 Signatures
    Créée par Lucie C.
  • Monsieur le Maire de Paray le Monial Libérez-nous du tout-voiture !
    Notre territoire et celles et ceux qui y vivent souffrent de la pollution de l’air, qui constitue aujourd’hui une urgence sanitaire établie. Le trafic routier porte une responsabilité toute particulière en ce qui concerne les émissions de polluants atmosphériques dangereux pour la santé et doit absolument être restreint. Le trafic routier est également l’un des premiers secteurs émetteur de gaz à effet de serre à l’échelle de notre agglomération. L’urgence climatique nous impose d’agir rapidement et de sortir de notre dépendance collective au pétrole, au transport routier et à la voiture individuelle. C'est un enjeu essentiel et pour autant l’abandon des véhicules polluants et de la logique du tout-voiture ne doit laisser personne sur le carreau. Évidemment, nous savons qu’il n’est pas toujours facile de se passer de sa voiture, mais nous pensons qu’il est de la responsabilité de nos élu.es de nous en donner les moyens, en développant les alternatives et en accompagnant le changement, notamment pour les plus fragiles d’entre nous. Monsieur NESME, il est grand temps d’agir pour la transition écologique et pour une mobilité urbaine adaptée aux crises sanitaire et climatique. Nous vous demandons donc : - de programmer et d’organiser la sortie des véhicules polluants dans notre ville/intercommunalité, à travers la mise en oeuvre d’une Zone à Faibles Emissions sur un périmètre géographique ambitieux, en intégrant les différentes catégories de véhicules polluants, en particulier les véhicules individuels, fixant notamment un cap de sortie du diesel à horizon 2025 et de l’essence à horizon 2030 ; - de continuer à développer le réseau de transports en commun (amélioration des fréquences et amplitudes horaires, mise en place de couloirs réservés pour les autobus, mutualisation des systèmes de billettique entre les différentes offres de transports collectifs et avec les services de mobilités alternatifs, développement des transports urbains en site propre notamment vers/entre les quartiers périphériques denses mal desservis, etc.) ; - de mettre en place une tarification sociale et solidaire basée sur les ressources pour les transports en commun ; Il reste beaucoup à faire dans nos grandes villes françaises sur ce sujet de la lutte contre la pollution automobile, comme l’a démontré un classement des villes* publié en amont des élections municipales de 2020 par le Réseau Action Climat, Unicef France et Greenpeace France. La crise sanitaire Covid que nous traversons a mis une nouvelle fois en lumière la nécessité absolue d’avancer rapidement sur ces enjeux de mobilité urbaine. Sortir du tout-voiture, du diesel et de l’essence et prioriser d’autres manières de se déplacer en ville demande du courage politique et c’est indispensable pour faire face à l’urgence sanitaire et climatique. Maintenant que les élections sont passées, nous vous demandons de passer rapidement à l’action pour lutter de manière ambitieuse contre la pollution automobile, en commençant par honorer vos promesses de campagne sur ces enjeux [le cas échéant si promesses il y a eu] et en prenant en compte nos demandes dans ce texte. Je vous prie d’agréer, Monsieur le Maire, l’expression de ma considération distinguée. *Source : https://www.greenpeace.fr/lutte-contre-la-pollution-de-lair-classement-des-12-plus-grandes-agglomerations-francaises/
    34 sur 100 Signatures
    Créée par Cheyenne C.
  • PLUS D'AMIANTE, PLUS DE DECHETS SUR DES SITES NATURELS
    Cela fait 8 ans de bataille seul face aux pollueurs ! Voudriez vous que l'on déverse des déchets polluants chez vous !!. Amiante et boues polluants ainsi les cours d'eau !! Chemins par des déchets qui devraient se trouver dans une décharge agréée (tromperie de marchés public) ! Si cela continue nos enfants ne pourront plus voir la nature! La santé des personnes est plus importante ou moins importante qu'une dépollution!.
    167 sur 200 Signatures
    Créée par Lucien F.
  • Les déchets ne connaissent pas le confinement !
    En période de confinement, continuons et met même vu que certains ont plus de temps libre, profitons en pour débarrasser notre environnement des déchets. Plages, forêts, parcs, n'attendons pas les actions isolées de nettoyage organisés par diverses associations. Utilisons l'heure de sortie autorisée pour ramasser les déchets sur les plages, ramasser les masques laissés par terre,...
    84 sur 100 Signatures
    Créée par Cédric M.
  • Lumière des villes laisse place à la lumière des étoiles
    Si toi aussi tu souhaites revoir le ciel de tes ancêtres, signe cette pétition pour stopper les lumières des villes la nuit de 23h à 5h du matin.
    128 sur 200 Signatures
    Créée par Trycia P.