-
ISOLA 2000 : NON A LA RETENUE COLLINAIRE, NE SACRIFIONS PAS NOS MONTAGNES !Le projet de retenue s’implanterait au sud-est de la station du massif du Mercantour dans les Alpes-maritimes, dans le secteur Sistron, à une altitude de 2400 m et les travaux, d’un coût prévisionnel de 8 690 000 euros, devraient débuter en 2027. Elle stockerait l’eau exclusivement pour la production de neige de culture. Le volume prévu est énorme : 215 000 m3 (!!), venant s’ajouter aux 140 000 m3 déjà existants dans la retenue actuellement utilisée par la station…. Il serait soi-disant nécessaire pour alimenter les futurs projets d’enneigement artificiels. Ce projet démesuré viendrait détruire un secteur d’une grande richesse environnementale et paysagère au cœur d'un massif montagneux unique. Enfin, il porterait atteinte au paysage exceptionnel qui s’étend sur une grande partie du Parc National du Mercantour et plébiscité par de nombreux randonneurs. La zone concernée est en effet une zone de combes à neige regroupant une cinquantaine d’espèces de fleurs (recensement de juin 2023) dont certaines endémiques du massif du Mercantour ou des Alpes-Maritimes. Parmi elles, on y trouve de nombreuses espèces remarquables des Alpes sud-occidentales telles que la gentiane de Villars, le gaillet de Tende ou la joubarbe de Burnat, parmi de nombreuses autres. Deux espèces encore plus rares ont été signalées : - La saxifrage du Piémont : endémique du massif du Mercantour ; - La violette à feuilles de nummulaire : endémique des Alpes-Maritimes et de la Corse. A l’heure du dérèglement climatique et des sécheresses qui vulnérabilisent et raréfient de manière récurrente nos ressources en eau, à l’heure où la protection de notre environnement et de la biodiversité deviennent un enjeu vital pour l’avenir, nous nous opposons fermement à ce type de projet mal adapté, régulièrement remis en cause et ouvertement dénoncé, comme en témoigne l’exemple récent de la construction stoppée de la retenue d’eau de La Clusaz (74). La création d’une retenue collinaire pour la production de neige de culture est illusoire, irréversible, très coûteuse et non pérenne à court et moyen terme. La station d’Isola 2000 propose encore à ses visiteurs des secteurs sauvages d’une grande richesse naturelle pour la marche en montagne et le ski de randonnée par exemple. C’est un atout indéniable dans la cadre d’une démarche touristique éco-responsable, préservons-les ! EVITONS CETTE DEGRADATION ENVIRONNEMENTALE ET TOURNONS - NOUS VERS DES SOLUTIONS PLUS SOBRES, PLUS RESPECTUEUSES DE LA NATURE ET PLUS CONFORMES AUX ATTENTES DE TOUS ! Pétition soutenue par Aletrnatiba06, Mountain wilderness France478 of 500 SignaturesCreated by Greenpeace Nice et Vigilance Mercantour
-
Espace naturel menacé à Pessac !Ce terrain est la dernière zone naturelle boisée et humide à l'Est de Pessac. Le reste se compose de vignes, de zones pavillonnaires et plus au Sud, du domaine universitaire. Avec un parc municipal voisin ( bien tondu hélas... ) et une prairie avec des orchidées, il forme un ensemble de milieux complémentaires de près de 2 hectares. Tous les habitants de ce terrain tendent vers vous leurs pattes implorantes : signez cette pétition ! Merci d'avance pour eux !69 of 100 SignaturesCreated by marie-claude s.
-
Photovoltaïque sur des terres naturelles, agricoles ou forestières : ne tombons pas dans le panneau!Lorsque E. Macron et la FNSEA prônent la robotique, la génétique et le numérique pour l'agriculture (13), et que le syndicat agro-industriel co-préside le lobby France Agrivoltaïsme ; le fondateur de ce dernier met en place la gestion des champs via l’intelligence artificielle (14). Ce sont ainsi deux visions de l'agriculture et de la société qui s'affrontent : l'agriculture industrielle, ultra-mécanisée et numérique sur des surfaces toujours plus grandes, face à l'autonomie paysanne ; les serveurs face aux cerveaux ; l'intelligence artificielle face à l'observation, la sensibilité et savoirs-faire des paysan·nes. Nous affirmons qu'il est nécessaire d'amorcer la désescalade de l’emprise technologique afin que les paysan·nes puissent travailler la terre eux-mêmes sans être dépendants de l'agro-industrie. Nous refusons l'industrialisation des campagnes, car quelle que soit sa surface, ou sa « participation citoyenne », une centrale photovoltaïque sur des terres agricoles, naturelles ou forestières, est une installation de nature industrielle. Les tonnes de métaux (silice, aluminium, zinc, plomb, étain, indium, antimoine) (15) recouvrant les terres; les milliers d'ancrages bétons et kilomètres de voies d'accès et de clôtures grillagées, lignes électriques enterrées ou aériennes, les postes de transformations et de livraisons, le bruit engendré par les onduleurs (16), les caméras de surveillance, les divers capteurs connectés, les obligations de déboisement en périphérie, détruisent nos campagnes. Les méga-centrales électrifient nos champs avec des effets documentés sur les animaux d'élevages (17). Nous n'oublions pas la fabrication industrielle de ces panneaux : exploitation d'êtres humains, extractivisme ravageur. Afin de produire 40 000 tonnes de silicium métal, l'une des six unités de production en France brûle 120 000 tonnes de quartz et 80 000 tonnes de bois (18), et engloutit en moyenne 11 mégawatts/heure par tonne de produit fini (19), soit chaque année l’équivalent électrique d’une ville de 150 000 habitants. Il faut aussi 280 kg de produits chimiques par kilo de silicium produit (20). Sans oublier les risques de pollution des eaux (21) et que les centrales peuvent entraîner « l’altération, la dégradation voire la destruction des milieux naturels (défrichements puis gestion de la végétation au plus près du sol ; terrassement et compactage des sols ; instauration de microclimats différenciés au-dessus et en dessous des panneaux ; création d’exclos par les clôtures, etc.). La modification des fonctions hydriques, climatiques ou biologiques qui peut en résulter conduit à l’artificialisation d’une partie parfois importante des sols [ainsi qu'une] modification des cortèges d’espèces végétales et animales » (22). Nous défendons un rapport sensible au monde qui nous est plus que jamais primordial. Alors même que l’agriculture est l’une des professions qui rémunère le moins, qu’un malaise est reconnu et qu’il faudra recruter massivement pour faire face aux nombreux départs en retraite, une motivation essentielle est la qualité de vie au travail, en plein air, dans un cadre beau ; regarder le ciel et écouter les sons de la vie. Travailler sous des panneaux, c’est dégrader notre qualité de vie au travail, mais aussi l’environnement et les paysages pour le bénéfice de quelques propriétaires et promoteurs. Au contraire, l'agriculture paysanne doit participer avec les citoyen·nes à rendre le milieu rural vivant dans un cadre de vie apprécié par toutes et tous. Notre autonomie de choix et d’action, n’est pas de devenir des jardiniers sous des panneaux. Notre métier n'est pas de cultiver des kilowatts, mais de produire une alimentation saine et de qualité pour le plus grand nombre, et d'être rémunéré en conséquence. Car si la contrepartie financière de plusieurs milliers d'euros par année et par hectare peut sembler alléchante (23), et générer un véritable dilemme pour des paysan·nes en difficulté ; en mettant notre outil de production à disposition de ces sociétés, nous les enrichissons et détournons la vocation nourricière de la terre agricole. L’unique raison de la pression industrielle actuelle sur les terres agricoles, naturelles et forestières est financière. Rejetant le mythe d'un capitalisme vert, ainsi que la vision d'une transition écologique allant vers une société de surconsommation ultra-connectée, nous appelons à une opposition massive à tous ces projets photovoltaïques industriels et exigeons leur interdiction sur toutes les terres agricoles, naturelles, forestières et les milieux aquatiques. ✍️ Citoyen·nes, signez la pétition pour soutenir notre appel ✍️ Organisations : ajoutez votre nom à la liste des signataires : https://act.gp/3Rc0CUe Les organisations en lutte contre les mégas-centrales photovoltaïque sur les terres agricoles, naturelles, forestières et en milieux aquatiques (liste des signataires ici : https://act.gp/3QKizro). nb : les sources sont disponibles dans le lien ci-après : https://act.gp/3uAL2IM1,759 of 2,000 SignaturesCreated by Coordination des organisations en lutte
-
Arrêtez l'exploitation d'une ressource minière transfrontalière(Haïtiano-Dominicaine)Selon les études scientifiques, L'exploitation des ressources naturelles peut causer beaucoup de problème dans les espaces avoisinnants de la dite exploitation et déranger l'environnement dans son ensemble. En effet, l'exploitation de cette mine d'or transfrontalière entre Haïti et la République dominicaine n'est pas sans conséquences sur l'environnement selon les quotidiens des deux pays. C'est à la compagnie d'exploitation minière Unigold qu'on a attribué la concession de plusieurs hectares pour l'extraction de l'or sur la frontière haïtiano-dominicaine, cette compagnie d'exploitation attend juste son permis d'exploration et d'exploitation, selon Ayibopost, un quotidien Haïtien en ligne. La suspension de cette exploitation minière entraînera un soulagement pour les habitants des deux pays vivant en milieu frontalier, la non pollution de l'eau de surface , l'utilisation équitable de l'eau naturelle dont les deux pays se trouvaient déjà en crise même avant l'exploitation, toujours selon Ayibopost. Nous nous trouvons face à une évidence exceptionnelle que si nous ne forçons pas les concernés à prendre les dispositions adéquates pour la suspension de ce projet d'exploitation , cela coûtera la vie des habitans ainsi que d'autres espèces vivant en milieu frontalier, et surtout la dégradation de l'environnement dans son ensemble , et qui dit la dégradation de l'environnement dit l'un des effets du changement climatique. Les deux pays voisins, partageant l'île, sont très vulnérables en matière d'aléas du changement climatique, selon les dernières données de L'ONU environnement. Je vous demande de me rejoindre dans cette pétition pour épargner notre environnement qui est déjà dans un état très critique.96 of 100 SignaturesCreated by Djems J.
-
NON au projet routier du BIP, OUI à la préservation des espaces naturels !Vous habitez Soisy, Montmorency, Deuil, Groslay, Montmagny, Sarcelles, Arnouville ou Garges ? Alors votre ville serait traversée ou longée par le BIP ou "avenue du Parisis", un projet de route 2x2 ou 2X3 voies large comme une autoroute dont la construction pourrait démarrer en 2024. Il est encore temps de stopper ce projet ! 🚗🚛 La construction du tronçon Est (Groslay - Sarcelles - Arnouville - Garges) est bloqué depuis 2016 par un recours juridique porté par le collectif Vivre sans BIP. Après sa victoire en appel en 2022, le département du Val d'Oise, qui porte le projet, s’est pourvu en cassation. S'il gagne en justice dans les prochains mois, la construction du tronçon Est pourrait démarrer dès l'année prochaine ! Ensuite il ne resterait que 5 km à réaliser pour relier la A1 à la A15. Ne doutons pas qu'ils passeront en force pour boucler le BIP ! Ce projet routier serait une catastrophe. 👉 Le BIP couperait nos villes en deux, détruisant au passage une centaine d'hectares d'espaces naturels (chemins de randonnée, bois, jardins partagés, friches riches en biodiversité...), un trésor aux portes de nos villes préservé jusqu'ici de l'urbanisation ! 👉 Ce projet routier détruirait aussi la ferme Lemoine : ses espace maraichers dont les légumes sont en vente directe auprès des habitants, et ses magnifiques prairies, l'un des derniers poumons verts à proximité de Sarcelles, Garges et Arnouville ! 👉 Comme toutes les nouvelles routes, cette voie rapide provoquerait un afflux de trafic additionnel. Ce trafic induit augmenterait la circulation routière actuelle, phénomène démontré depuis les années 90 et reconnu par l'ADEME (1). Cette route s'engorgerait rapidement de camions circulant de la A1 à la A15, entre la zone d'entrepôts la plus grande d'IDF à Garonor et les entrepôts de Roissy qui viennent d'être agrandis (Fedex, DHL) à l'Est, jusqu'au port de Gennevilliers et le futur entrepôt géant "Green Dock" à l'Ouest. On estime le futur trafic entre 40 et 60 000 véhicules/jour minimum ! (source : enquête publique) 👉 En attirant plus de trafic, cette route 2X2 voies provoquerait une forte augmentation de la pollution atmosphérique et sonore. Alors que nous respirons trop de pollution et que nous sommes déjà sous les couloirs aériens de Roissy ! 👉 La santé de 10 000 enfants est menacée ! Une quarantaine d'écoles de la crèche au lycée sont situés le long du tracé du BIP. Un véritable scandale ! On sait désormais que les enfants sont les premières victimes de la pollution de l'air et que le bruit entraine des retards d'apprentissage. 👉 Le BIP augmenterait les émissions de CO2 ! Le passage progressif à la voiture électrique ne suffira pas à atteindre nos objectifs climatiques comme le montrent les études. Une réduction du trafic routier est nécessaire au profit de transports collectifs ou de mobilités actives comme le souligne le GIEC. Voilà pourquoi nous demandons l'abandon définitif de ce projet d'un autre siècle, conçu dans les années 30 😱 Depuis le monde a changé ! La biodiversité et le climat sont menacés, des routes ont été construites partout (près de 100 m2 par Français, plus que de surface habitable !), la mobilité doit être transformée et les habitants désirent une meilleure qualité de vie. La majorité des maires sur le tracé et la plupart des habitants sont opposés à ce projet. Nous souhaitons un projet alternatif d'avenir qui préserve ces espaces naturels ! ✊ Nous pouvons obtenir l'abandon définitif de ce projet si nous nous mobilisons ! Signez et partagez cette pétition ! (1) https://theconversation.com/pourquoi-supprimer-des-autoroutes-peut-reduire-les-embouteillages-1715627,987 of 8,000 SignaturesCreated by Amis de la Terre val d’Oise et Collectif Vivre sans BIP
-
Montpellier, classons le Coteau de Malbosc en zone naturelleAu Nord-Ouest de Montpellier, entouré d’une urbanisation dense, existe un espace naturel (le Coteau de Malbosc) de plusieurs dizaines d’hectares dont une bonne partie est réservée depuis 2007 pour la construction d’un millier de logements dans le cadre d’une ZAC. Au fil du temps, le Coteau est devenu pour les milliers de riverains, la seule possibilité de se retrouver au calme dans un environnement naturel, aisément et gratuitement accessible. Pour eux, le Coteau répond à un besoin vital pour leur bien-être et contribue à développer des liens avec la nature. Les habitants des quartiers environnants demandent que, dans le cadre du PLUi-C de la Métropole de Montpellier en cours d’élaboration, le Coteau de Malbosc soit entièrement classé en zone naturelle (N). Par ailleurs, maintenir le Coteau en zone naturelle contribuera à lutter contre l’érosion de la biodiversité et à limiter les îlots de chaleur ; n’augmentera pas le risque d’inondation à l’aval lors d’épisodes de grandes pluies, préservera la qualité d’un paysage apprécié, maintiendra une capacité de stockage du carbone par le sol, n’accentuera pas les embouteillages existants dans les voies de dessertes traversant les quartiers riverains, etc. Urbaniser, artificialiser le Coteau de Malbosc est un projet d’un autre siècle ! Sanctuariser le Coteau de Malbosc en zone naturelle serait une importante contribution pour que Montpellier soit une ville mieux adaptée au défi du dérèglement climatique et favorable au bien-être de sa population. Mesdames et messieurs les élus de la Métropole de Montpellier, nous vous demandons de classer le Coteau de Malbosc en zone naturelle (N) dans le futur PLUi-C ! * PLUi-C : Plan local d’urbanisme intercommunal - Climat4,320 of 5,000 SignaturesCreated by Collectif Coteau de Malbosc
-
STOP AUX ATTEINTES À L’EAU, AU TERRITOIRE ET À L’ENVIRONNEMENT DANS NOS COMMUNES !Ce sont pourtant des biens communs que nous nous devons de défendre et de protéger ! Si vous soutenez l’action de notre collectif Eau voleurs, Signez notre pétition ! Rejoignez le mouvement ! https://www.helloasso.com/associations/adeep/adhesions/bulletin-d-adhesion-et-de-cotisation-prix-libre1,906 of 2,000 SignaturesCreated by Collectif Eau voleurs
-
Biodiversité et agriculture menacées à Simiane Collongue par un projet de ZALa région PACA, les Boûches du Rhône et plus particulièrement Simiane souffrent terriblement de l'artificialisation des sols. La proximité de zones en tout genre, commerciales et autres, ne justifie pas ce énième projet, sachant que, par ailleurs, les espaces agricoles sont insuffisants. Dans son rapport de présentation, pour la démarche PLU de 2021, la commune spécifiait que :"L’agriculture à Simiane-Collongue tient une part très faible dans l’économie générale de la commune." Cherchons la cohérence. Ainsi, ce projet aura pour conséquences: - la destruction de terres actuellement à vocation agricole et qui pourraient être destinées au développement d'une agriculture de proximité, - la disparition d'espèces protégées comme la Chouette Chevêche d'Athéna : la zone en question est aussi un habitat important pour la Chevêche d‘Athéna, classée sur la liste rouge mondiale des espèces menacées, répertoriée dans l'Atlas de la Biodiversité Communautaire comme une espèce avec un enjeu fort (source bulletin municipal Simiane Info octobre-novembre 2022). Trois couples fréquentent le site pour se nourrir et se reproduire. Ils seraient voués à disparaître si le projet aboutissait. Enfin, la protection de la chouette chevêche, animal nocturne, et la mise en place d'une trame noire décrétée par la municipalité, ne vont pas être non plus en cohérence avec l'implantation d'un site qui a toutes les chances de rester éclairé la nuit. - l'artificialisation d'une zone riche en biodiversité, - l'augmentation des nuisances pour les riverains. Face à l'incohérence de ce projet, deux actions sont importantes : - signer cette pétition et la diffuser largement, - se déplacer et donner ses arguments auprès du commissaire enquêteur lors de l'enquête publique qui se déroulera en mairie et dont la date n'est pas encore fixée.1,277 of 2,000 SignaturesCreated by Vivre à Simiane
-
Destruction d'un hectare de forêt et mort de la fauneNous habitons un quartier de la commune de Saint-Leu Roche Café à l'Ile de la Réunion. En 2010 ce quartier est devenu une ZAC : immeubles, lotissements et villas cohabitent dans la mixité sociale. Il ne reste plus qu'un seul hectare de forêt, dernier refuge de la faune qui a vu son espace se réduire considérablement : des oiseaux protégés et des chauve-souris y nichent. Le Maire a décidé de raser 30% de l'hectare boisé sans tenir compte de l'avis des riverains (les 70% restant sont inconstructibles car dans une ravine). Il estime qu' une maison de quartier et un terrain multi sports , en construisant une voie en béton et des parkings et en mettant des projecteurs autour du stade en gazon artificiel est le mieux pour ses administrés. Or, Les riverains, très nombreux, réclament une révision de ce projet inadapté et aberrant. En effet, à 500 mètres de là une maison de quartier existe déjà bien que peu utilisée ainsi qu'un terrain de foot artificiel qui n'est d'ailleurs pas entretenu. Nous craignons la disparition d'espèces protégées comme les pailles en queue, les papangues, les chauve souris, et également les nuisances sonores et le réchauffement d'une zone déjà très ensoleillée : il fait 35 à 38° sous les arbres durant l'été. Les riverains tiennent à avoir en face de chez eux un espace tranquille sans pollution et sans nuisance sonore Nous voulons que Monsieur le Maire modifie son projet, en restant dans la logique d'une ZAC. Nous réclamons un parcours de santé avec des équipements sportifs adaptés à la forêt, et la plantation d'arbres endémiques avec les associations qui nous soutiennent et une aire de jeux pour les petits, sous les arbres avec des bancs. Toutes les générations sont ainsi concernées et la faune garde son dernier espace vital Notre commune est la mieux équipée du département : 5 terrains de sports, 1 mur d'escalade, une piscine, des salles de karaté et judo, un terrain de skate. Aussi plutôt que d'ajouter des structures qui ne serviraient qu'à des jeunes , nous demandons de laisser ce lieu aux tout petits, aux adolescents, aux parents, ainsi qu'aux seniors qui sont pour le moment oubliés par la commune Pour compenser ,le maire et le TCO pourraient mettre à la disposition des jeunes du quartier un bus qui desservirait toutes les structures sportives de la commune .Il existe d'autres terrains dans la ZAC sans arbres ,plats aptes à recevoir ce que désire le maire alors pourquoi détruire la dernière forêt ?930 of 1,000 SignaturesCreated by Collectif Rocacristal
-
NON A LA MEGA PLATEFORME LIDL DU MAS DE BAGUAIPour ces raisons de gigantisme et de destruction de la biodiversité nous demandons l'abandon de ce projet aux conséquences négatives multiples : - circulation de centaines de semi-remorque en plus par jour, entrainant pollutions de l'air et nuisances sonores, davantage d'insécurité routière et de dégradation onéreuse des routes ; -artificialisation des sols et inadaptation au changement climatique (perte de biodiversité, suppression de la capacité des sols à capter le carbone, à retenir les inondations...) ; -consommation de beaucoup d’espace pour peu d’emplois, au détriment de l’implantation de PME ; - anticipation erronée sur la création d’emploi alors que ces méga plateformes sont destinées à être robotisées à l’avenir - impact négatif sur le tourisme et l'attractivité de la ville. Agissons maintenant, signez pour dire stop au béton ! rejoignez nous sur VIVE GARRIGUE3,179 of 4,000 SignaturesCreated by ASSOCIATION VIVE GARRIGUE
-
NON AU PROJET SUR L'ANCIEN AÉROPORT DE SAINT BRIEUC SITUÉ AUX PLAINES VILLES À PLOUFRAGANBétonisation massive, suppression de terres agricoles, disparition de ruisseaux, le risque de perte complète de la trame verte pourtant si nécessaire à la vie animale et végétale naturelle à protéger. (120 hectares) La zone des Plaines Villes, au nord de Ploufragan, évolue. L’aérodrome, qui occupait le site de 1939 aux années 80, laisse aujourd’hui place à de l’habitat et à des activités tertiaires, prémisses d’un nouveau quartier. Sa surface appartient pour la plus grande partie à la Chambre de commerce et d’industrie des Côtes d’Armor et est situé à 95% sur le territoire de Ploufragan. Dans cette friche la VIE s'est installée : plus de 42 oiseaux nichent dont certains sont sur la liste rouge. Sans compter les plantes, des insectes, des chauves-souris, reptiles, vipères, faune sauvage... Regardez ce film : https://www.youtube.com/watch?v=ZeBL3t8t-Hs&t=19s et sur Youtube : https://www.youtube.com/user/yannlemeur J'ai demandé à des associations de protection de la Nature de réaliser des inventaires. VivArmor Nature, la Ligue pour la protection des Oiseaux, le Centre d'études ornithologique des Côtes d'Armor et l'association pour la protection de la faune Sauvage. Car pour moi je ne peux pas faire grand chose : qu'en parler c'est pourquoi je réalise cette pétition. C’est pourquoi nous lançons un appel à toutes et tous ! Signez la pétition et faites-la circuler dans vos réseaux ! Votre soutien et vos propositions nous permettront de présenter des projets répondants aux besoins des habitants de nos collectivités. MERCI C'est un lieu magique ! Auteur : yann Le Meur249 of 300 SignaturesCreated by yann L.
-
URGENT arbres centenaires, familles d'hérissons en période d'hibernation, STOP au massacreEspace vert, arbres centenaires et animaux qui y vivent vont être tous sacrifié, tous massacrés pour recevoir des blocs de béton sur quatre étages . Je dois assister à toute cette horreur car cela va se passer a seulement quelques mètres de mon habitation qui elle aussi va être impactée par ce paysage de béton , fini la verdure, les chants d'oiseaux, les hérissons venant dans mon jardin, plus de levé de soleil ni de soleil tout court. J'avais la chance de travailler et de profiter chaque jour de la nature et la vie de tous ces petits animaux qui y vivaient , de pouvoir partager tout cela avec les enfants que j'accueille et pour qui la nature , les animaux, la verdure, les extérieurs et le soleil faisaient partie des belles choses de la vie. Aujourd'hui les machines ont commencé a tout détruire sur leurs passages sans aucune pitié . Le maire de Carolis n'a jamais pris la peine de me recevoir depuis mars 2022 avant que le projet soit validé, idem pour son adjointe Sophie Aspord qui me demande d'être positive car oui j'oubliais, nous allons avoir la chance qu'entre ces blocs de béton il va y avoir un minuscule espace vert qui va être crée et aussi que les toits seront végétalisés, on se paye vraiment la tête des gens. A savoir que ces blocs de béton vont dominer le quartier, ce seront les plus grands, à leurs pieds des maisons comme la mienne qui seront englouties. Béton dominant nos jardins, car balcons et terrasses en direction de nos vies intimes, de nos espaces de détente et de travail comme ma maison et mon jardin ou le soleil sera occulté par la hauteur des blocs de béton. Stop a toutes ces constructions ou Gogedim, Mr de Carolis, Mme Aspord ... préférent le béton a nos arbres , notre verdures et toutes les espéces qui y vivent. STOP AU MASSACRE.429 of 500 SignaturesCreated by Pascale R.
Your consent is important to us. The use of cookies, or similar technologies, enables us to guarantee an optimal experience on our site, to get to know you better and to have a precise idea of the people who visit our pages.
You are free to accept or refuse the use of non-essential cookies, which have no impact on navigation on this site. Find out more