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"Non" au passage en zone CU des terrains à MontesquieuBonjour, Le collectif des habitants de MONTESQUIEU, village du Tarn et Garonne, se réunit autour de cette pétition, afin de vous faire part de son désespoir concernant le projet de construction de plusieurs lotissements sur la commune. Nous ne voulons pas des nuisances écologiques que ce projet va engendrer, une activité économique peut être développée en mettant nos atouts en avant, autour de LA NATURE ET L'AGRICULTURE. Les zones et les terrains qui jouxtent ce projet sont des zones humides. Il faut protéger ces zones vertes, nos prairies de fauchage, et nos forêts ; ce projet est à contre sens des demandes de l'état. D’ailleurs, un parcours pédestre, créé avec l’appui de l’Europe, permet aujourd’hui aux marcheurs d’apercevoir des espèces d’oiseaux rares et protégées, qui viennent nicher dans des talus sablonneux (guêpier d'Europe), ils seront détruits par cette consommation effrénée de l’espace constructible. La population des biches et chevreuils sera aussi fortement impactée par cet urbanisme irrespectueux de l’environnement. Ces parcelles ne sont pas en zone CU depuis plus de 9 ans et doivent redevenir ZONE NATURELLE. MERCI DE NOUS AIDER ! Notre objectif est d'atteindre le maximum de signatures, et nous avons besoin de plus de soutiens. Pour en savoir plus, et pour signer, c'est ici : https://chng.it/GCjdPsp8wy119 sur 200 SignaturesCréée par Didier L.
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Stop Horror BorealiaÀ l'entrée ouest de la ville, Amiens Métropole s’apprête à sacrifier 62 hectares de terres fertiles, soit l’équivalent de 86 terrains de foot ! Et ce ne serait que la première étape… A terme, 195 hectares de terres agricoles sont concernées entre Amiens et Pont-de-Metz. Tout ça pour quoi ? La Métropole projette d'aménager une nouvelle zone d’activités économiques sur le seul secteur périphérique encore préservé, ceinturant ainsi définitivement la ville d'entrepôts. Baptisée Boréalia 2 que nous préférons appeler HorrorBoréalia, celle-ci devrait accueillir des entreprises de « tout types », notamment 60% d'activités logistiques et de e-commerce - type Amazon. La MRAE (Mission Régionale d'Autorité Environnementale) pointe les nombreux manques et incohérences du projet dans son avis (consultable ici). La mise en œuvre de la politique zéro artificialisation nette inscrite au sein de la loi climat et résilience de 2021 impose à respecter une artificialisation de 9 hectares par an jusque 2030. Or, sans Boréalia 2, la métropole amiénoise se trouve déjà sur une trajectoire de 13 hectares artificialisés par an (avec notamment les projets à Poulainville, Amiens Nord et Pôle Jules Verne 2). HorrorBoréalia s'ajouterait à cette surconsommation foncière, sachant qu'il existe de nombreuses friches dans le Grand Amiénois ! L’artificialisation des sols est responsable d’une érosion de la biodiversité, d’une diminution de la résilience face aux inondations, d'une baisse des capacités de stockage en carbone, d’une perte de capacité de production agricole. Un tel projet n'est donc plus acceptable en raison de l'urgence climatique qui annonce baisse de rendements agricoles et phénomènes météorologiques inquiétants. L'agglomération a la responsabilité de gérer durablement son territoire, elle doit apprendre à optimiser l'affectation des terrains sans toujours sacrifier des terres agricoles. De plus, l'installation des entrepôts et autres bâtiments détériorerait la santé et la qualité de vie des habitants : atteinte des ressources en eau, difficulté de circulation, augmentation de la pollution sonore et de l’air, dénaturation des paysages... Ce projet risque de détruire plus d’emplois qu’il n'en pourra créer. Pour un emploi créé dans le domaine de la logistique, au minimum 2,2 emplois dans les commerces de proximité disparaissent. Il risque de nuire aux conditions de travail des salarié.e.s. Les enquêtes ne manquent pas de relever les pratiques contestables et les accidents du travail qui ont lieu dans les entrepôts des grands groupes de logistique. Finalement, la crise sanitaire récente nous rappelle, au contraire, la nécessité d’une économie locale respectueuse de l’environnement et des travailleuses et travailleurs. Sur 62 hectares de terres fertiles, un projet d’agriculture respectueuse de l’environnement est en mesure de satisfaire notamment les besoins de 17 000 personnes en légumes. Je vous demande donc : - l’abandon de ce projet destructeur pour l’environnement et désastreux pour l’économie - la mise en place rapidement d’une concertation citoyenne afin de co-construire le devenir de ces terres fertiles. Je vous prie de recevoir, Monsieur le Président, l’expression de mes salutations inquiètes pour l'avenir de notre agglomération.323 sur 400 SignaturesCréée par Isabelle B.
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STOP à la bétonisation des terres agricoles du FlorivalAujourd'hui, la Communauté de Communes de la Région de Guebwiller (CCRG) et la commune d'Issenheim ont décidé de transformer des terres agricoles, destinées à produire notre nourriture, en espaces bétonnés. Il s'agit d'un projet de création d'une ZAC de 37 ha au lieu-dit Daweid. Ce sont ainsi en tout l'équivalent de plus de 50 terrains de football, soustraits aux espaces naturels et agricoles, qui sont en danger ! Et c'est sans compter les nombreuses zones déjà artificialisées au cours des vingt dernières années... Action Climat Florival est un collectif de citoyen⋅nes attaché⋅es à leur territoire. Nous voulons défendre notre lieu de vie et celui que nous léguerons à nos enfants. Nous nous mobilisons pour arrêter ces projets inutiles et destructeurs. Nous demandons la sanctuarisation des espaces naturels et agricoles ainsi qu’un moratoire sur tous les projets d’urbanisation massive engagés actuellement et à l’avenir sur le ban de la commune d’Issenheim. - Il y a URGENCE pour le projet Pfleck dont les travaux d'aménagement ont déjà commencé. Pour nous contacter : [email protected] et [email protected] Pour prendre connaissance du projet présenté par la CCRG et pour participer à la concertation publique : https://www.cc-guebwiller.fr/projet-de-zac-daweid/5 811 sur 6 000 SignaturesCréée par Action Climat Florival
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Initiative pour une option végétarienne à la cantine du lycée !Aujourd'hui, à la cantine du lycée, nous n’avons pas d’autre choix que de manger de la viande tous les jours ou presque. Cette situation contribue à la surproduction de viande industrielle qui accélère le réchauffement climatique et contribue à la déforestation (1). C’est aussi un problème pour notre santé (2). Nous, élèves du lycée de la plaine de l'Ain, rejoignons l’initiative afin d’affirmer notre engagement pour l’environnement, et demandons à la direction du lycée d’agir pour notre futur. Nous ne sommes pas tous végétarien·es mais nous voulons avoir le choix de consommer moins de viande. Nous demandons la mise en place d’une option végétarienne quotidienne équilibrée et de qualité, accessible à tout.es. De nombreuses cantines lycéennes offrent déjà cette possibilité, pourquoi pas la notre ? Ce menu végétarien offrira la possibilité à chaque lycéen·ne de choisir tous les jours son repas, et d’agir concrètement pour la transition écologique. L’instauration de ce menu végétarien quotidien aura des effets positifs sur le climat (3), et dans le même temps, diminuer la part de viande permettra de libérer du budget pour introduire des produits de meilleure qualité et pour servir des repas plus variés (4). Il est urgent d’agir pour la planète et il n’y a aucune raison de ne pas le faire. La nouvelle loi climat propose à tous les lycées qui le souhaitent d’expérimenter ce menu végétarien quotidien en plus d’un menu végétarien hebdomadaire, désormais obligatoire (article 252, loi climat et résilience). Avec cette initiative, nous voulons ouvrir le dialogue entre les élèves, et avec la direction, pour agir concrètement en faveur de la transition écologique. Signez et partagez l’initiative aux élèves de votre classe pour montrer votre soutien. Sources : (1) IPBES 2020 et FAO 2013 (2) Cancer : cancérogénicité de la consommation de viande rouge et de viande transformée, OMS 2015, https://bit.ly/3AfSshU (3) Rapport de Greenpeace "Menus végétariens à la cantine, quels impacts pour la planète?" - sept 2020 : https://bit.ly/35MBnR4 (4) Rapport Greenpeace et AVF “Option végétarienne dans les cantines : la réalité du terrain” - Février 2021 : https://bit.ly/3lh94BE81 sur 100 SignaturesCréée par Kevin L.
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Victoire : Refusons l’atoll artificiel de surf sur le lac du Bourget !Les indignations se multiplient, que ce soient celles des usagers, des plaisanciers, des pêcheurs, des riverains, des élus sensibles, et même des commerçants. Ils ne souhaitent pas voir de dégradation du paysage et des installations techniques sortir de l’eau. Le projet privé est présenté habilement pour jouer de séduction - mais doté d’un « greenwashing » grossier et illusoire - imaginant une adaptation de nurserie pour poissons et un système de dépollution des cyanobactéries alors qu'elles ne posent pas de problèmes. De même la société propose d'oxygéner le lac...qui n'en a plus besoin depuis longtemps. Tout cela prouve une méconnaissance totale du milieu lacustre local. C’est un conte pour faire passer la pilule. Cet atoll est en effet une fiction, il n’a jamais été créé nulle part encore. Evidemment, ces arguments commerciaux sont d’ores et déjà récusés par les scientifiques du milieu lacustre local, pour lesquels le brassage des eaux est une violence et la maîtrise de la pollution un domaine éminemment sérieux. Quant aux promesses de gain touristique, on pourrait se poser la question du phénomène repoussoir au contraire, vu l’image naturelle du lac habituellement promue par la Savoie. La consommation d’énergie nécessaire pour ce dispositif pose aussi le problème de peser inutilement sur le dérèglement climatique. Alors, • Manifestez avec nous votre désapprobation d’un projet dégradant, à visée uniquement commerciale, • Dites avec nous que le lac du Bourget ne peut s’artificialiser tel un parc d’attraction, • Affirmez avec nous que l’espace naturel est très précieux pour préserver l’eau, • Faites valoir avec nous que le lac du Bourget est un bien commun inaliénable, Signez cette pétition et diffusez-la le plus largement possible !21 629 sur 25 000 SignaturesCréée par FNE 73 Savoie
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Initiative pour une option végétarienne à la cantine du lycée !Aujourd'hui, à la cantine du lycée, nous n’avons pas d’autre choix que de manger de la viande tous les jours ou presque. Cette situation contribue à la surproduction de viande industrielle qui accélère le réchauffement climatique et contribue à la déforestation (1). C’est aussi un problème pour notre santé (2). Nous, élèves du lycée Triboulet, rejoignons l’initiative afin d’affirmer notre engagement pour l’environnement, et demandons à la direction du lycée d’agir pour notre futur. Nous ne sommes pas tous végétarien·es mais nous voulons avoir le choix de consommer moins de viande. Nous demandons la mise en place d’une option végétarienne quotidienne équilibrée et de qualité, accessible à tout.es. De nombreuses cantines lycéennes offrent déjà cette possibilité, pourquoi pas la notre ? Ce menu végétarien offrira la possibilité à chaque lycéen·ne de choisir tous les jours son repas, et d’agir concrètement pour la transition écologique. L’instauration de ce menu végétarien quotidien aura des effets positifs sur le climat (3), et dans le même temps, diminuer la part de viande permettra de libérer du budget pour introduire des produits de meilleure qualité et pour servir des repas plus variés (4). Il est urgent d’agir pour la planète et il n’y a aucune raison de ne pas le faire. La nouvelle loi climat propose à tous les lycées qui le souhaitent d’expérimenter ce menu végétarien quotidien en plus d’un menu végétarien hebdomadaire, désormais obligatoire (article 252, loi climat et résilience). Avec cette initiative, nous voulons ouvrir le dialogue entre les élèves, et avec la direction, pour agir concrètement en faveur de la transition écologique. Signez et partagez l’initiative aux élèves de votre classe pour montrer votre soutien. Sources : (1) IPBES 2020 et FAO 2013 (2) Cancer : cancérogénicité de la consommation de viande rouge et de viande transformée, OMS 2015, https://bit.ly/3AfSshU (3) Rapport de Greenpeace "Menus végétariens à la cantine, quels impacts pour la planète?" - sept 2020 : https://bit.ly/35MBnR4 (4) Rapport Greenpeace et AVF “Option végétarienne dans les cantines : la réalité du terrain” - Février 2021 : https://bit.ly/3lh94BE47 sur 100 SignaturesCréée par Emy A.
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Lycée Jacques Monod : Pour Une Option Végétarienne !Aujourd'hui, à la cantine du lycée Jacques Monod, nous n’avons pas d’autre choix que de manger de la viande tous les jours ou presque. Cette situation contribue à la surproduction de viande industrielle qui accélère le réchauffement climatique et contribue à la déforestation (1). C’est aussi un problème pour notre santé (2). Nous, élèves du lycée Jacques Monod, rejoignons l’initiative afin d’affirmer notre engagement pour l’environnement, et demandons à la direction du lycée d’agir pour notre futur. Nous ne sommes pas tous végétarien·es mais nous voulons avoir le choix de consommer moins de viande. Nous demandons la mise en place d’une option végétarienne quotidienne équilibrée et de qualité, accessible à tout.es. De nombreuses cantines lycéennes offrent déjà cette possibilité, pourquoi pas la notre ? Ce menu végétarien offrira la possibilité à chaque lycéen·ne de choisir tous les jours son repas, et d’agir concrètement pour la transition écologique. L’instauration de ce menu végétarien quotidien aura des effets positifs sur le climat (3), et dans le même temps, diminuer la part de viande permettra de libérer du budget pour introduire des produits de meilleure qualité et pour servir des repas plus variés (4). Il est urgent d’agir pour la planète et il n’y a aucune raison de ne pas le faire. La nouvelle loi climat propose à tous les lycées qui le souhaitent d’expérimenter ce menu végétarien quotidien en plus d’un menu végétarien hebdomadaire, désormais obligatoire (article 252, loi climat et résilience). Avec cette initiative, nous voulons ouvrir le dialogue entre les élèves, et avec la direction, pour agir concrètement en faveur de la transition écologique. Signez et partagez l’initiative aux élèves de votre classe pour montrer votre soutien. Sources : (1) IPBES 2020 et FAO 2013 (2) Cancer : cancérogénicité de la consommation de viande rouge et de viande transformée, OMS 2015, https://bit.ly/3AfSshU (3) Rapport de Greenpeace "Menus végétariens à la cantine, quels impacts pour la planète?" - sept 2020 : https://bit.ly/35MBnR4 (4) Rapport Greenpeace et AVF “Option végétarienne dans les cantines : la réalité du terrain” - Février 2021 : https://bit.ly/3lh94BE46 sur 100 SignaturesCréée par Ethan L.
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Sauvons le Bois des Coutures à Cléon !Fin août à Cléon, 2 hectares de forêt étaient rasés en quelques jours. Aujourd’hui dans le Bois des Brûlins, il ne reste plus trace des arbres cinquantenaires qui accueillaient les cabanes et les jeux des enfants, les balades du dimanche. La destruction du bois des Brûlins pourrait devenir le symbole des décisions politiques court-termistes qui ne peuvent plus être reproduites. Mais 13 hectares de forêt sont menacés un peu plus loin, dans le cadre du projet de ZAE des Coutures. Le 13 juillet 2017 déjà, dans l’enquête publique, la Préfète indiquait que « le projet nécessitera le déboisement de la quasi-totalité de la zone comprise dans un ensemble considéré comme un corridor écologique et constitutive d’habitats favorables pour des espèces de faune protégées ». La Métropole a déjà initié en 2020 la demande de dérogation pour détruire les espèces protégées présentes sur le site. Si rien n'est fait, nous pourrons dire adieu aux écureuils roux, hérissons d'Europe, aux chauve-souris, aux rossignols philomèle, ainsi qu'à la belle ancolie commune. Plus que jamais aujourd’hui, il faut stopper la destruction des espaces naturels et la bétonnisation, si nous voulons lutter contre le dérèglement climatique et préparer notre adaptation à ses impacts. Cet été, les éléments climatiques destructeurs se sont multipliés, jusqu’aux terribles inondations dans le Gard à la mi-septembre. Le rapport du GIEC publié en juillet est sans appel, c’est maintenant qu’il faut agir, y compris si cela veut dire revoir ou stopper des projets en cours. Plus tard, ce sera trop tard. L’arrêt de la bétonnisation, et la préservation de nos poumons verts, doivent être des priorités absolues pour répondre à l'urgence climatique, déclarée en décembre 2020 par la Métropole. Les nouveaux projets, l'aménagement du territoire, doivent être pensés désormais à la lumière de ce qui est bon pour notre santé, pour notre environnement et pour l'avenir de nos enfants. De nombreuses friches peuvent être utilisées pour accueillir de nouvelles activités ou des habitations. Utilisons l’espace dont nous disposons, construisons la ville sur la ville, et stoppons l’artificialisation. A Cléon, il est encore temps d’agir, sauvons le bois des Coutures !353 sur 400 SignaturesCréée par Verts et Solidaires -.
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STOP AU BETON - NON à l'urbanisation de 12 ha de surfaces agricoles et naturelles à HEMUn projet d’envergure dit « la Tribonnerie 2 » est envisagé (finalisation des études automne 2021) sur les terres cultivées de la Tribonnerie entre la rue de la Tribonnerie, la rue du Général Leclerc et la voie rapide (M6d). Il est prévu la construction de 250 à 300 logements ! Un projet sur près de 12 hectares de terres cultivées et naturelles et qui impactera en réalité plus de 20 hectares. Un projet qui - supprimerait des terres cultivées et naturelles de manière irréversible ; - impacterait la biodiversité du territoire ; - amènerait près de 600 voitures supplémentaires sur des axes déjà saturés (22 000 voitures par jour sur la voie rapide) ; - augmenterait la pollution de l'air déjà largement au-dessus de la valeur limite réglementaire (les particules PM 2,5 sont au double de la valeur et les PM 10 les dépasse largement) ; - élèverait les risques d’inondation (suppression de prairies potentiellement humides, suppression d’une zone tampon à proximité de la Marque) ; - mettrait en tension les services publics et privés (écoles, absence de transports en commun adaptés et dimensionnés, équipements…). Alors même, que la loi climat a été votée le 4 mai 2021 et dont l’objectif est de diviser par 2 le rythme d’artificialisation des sols notant que la biodiversité, le réchauffement climatique, le cycle de l’eau et les terres jouent un rôle crucial pour la planète. Alors même que le SCoT (schéma de cohérence territoriale) de l’arrondissement de Lille a pour objectif de réduire la consommation d’espaces agricoles et naturels. Alors même que le PLU 2 (Plan local d’urbanisme) de la MEL adopté le 12 décembre 2019 rappelle les objectifs d’ « utilisation économe des espaces naturels, la préservation des espaces affectés aux activités agricoles et forestières et la protection des sites, des milieux et paysages naturels » Pour rappel, la MEL bénéficie d'un des plus faibles taux d'espace naturel national soit environ 15% de son territoire. Ce projet va donc à l’encontre de toutes ces orientations et objectifs. Il est à contre sens des enjeux actuels ! « L'artificialisation des sols est aujourd'hui l'une des causes premières du changement climatique et de l'érosion de la biodiversité », dit le ministère de la Transition écologique. La transformation d'un espace naturel en sol artificialisé modifie, voire détruit, l'habitat des espèces animales ou végétales. Un sol artificialisé n'absorbe plus de CO2 et participe donc à la hausse des températures. Il perd également sa capacité à absorber l'eau de pluie, multipliant ainsi les risques d'inondations. Sur le plan agricole, l'artificialisation des sols limite la production alimentaire. Enfin, afin d'être accessibles et fonctionnels, ces terrains nécessitent quantité d'entretien et d'efforts d'aménagement, comme la construction de nouvelles routes. L’argument principal de la commune de Hem et de la MEL est de pouvoir répondre à une demande de logements, notamment les logements sociaux. Il existe sur la MEL de nombreux espaces (friches industrielles, friches commerciales, entrepôts…) encore non exploités, à valoriser et sur lesquels des nouvelles constructions ne supprimeraient pas d’espaces agricoles et naturels. Ces zones doivent être priorisées. La planification doit se faire aussi de façon régionale ! Pendant que la Métropole Européenne de Lille attire les entreprises, les commerces et l’activité ; les villes moyennes aux alentours sont parfois à la peine (perte ou stabilisation de la population, manque de dynamisme du marché de l’emploi et des commerces…). La MEL n’a pas vocation à devenir une région à elle seule ! Un autre projet est possible, répondant aux enjeux actuels et à l’urgence écologique, avec la création d’un grand espace naturel composé de forêts, de prairie et d’un espace de promenade (piétons et vélos), de biodiversité, d’agriculture locale type maraichage bio, qui préserverait les zones humides et la biodiversité, qui laisserait mieux respirer les habitants et proposerait une alimentation saine et locale. Le PLU 2 doit être modifié ; la zone concernée AUDM (urbanisation différée) doit être requalifiée en zone naturelle (NP). Pour faire entendre votre VOIX, signez cette pétition. Partagez là ! Rejoignez le collectif citoyen «la Tribonnerie autrement» : [email protected] https://www.facebook.com/latribonnerieautrement244 sur 300 SignaturesCréée par La Tribonnerie Autrement
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Non à l'Ecoparc du Genevois, sauvons les terres agricolesLe Projet « d’éco parc » du Genevois: 25 hectares de terres agricoles condamnées alors que Saint Julien a déjà perdu 73% de ses surfaces labourables en 10 ans. (source: chambre agriculture, Etude d’impact P122) 25 hectares qui disparaissent pour que s’installent des entreprises ou des commerces aux emplois précaires. Un coût d’aménagement de 11,7 millions d’euros qui sera supporté par les contribuables. Des conséquences désastreuses: La mort de 25hectares de terres agricoles broyées sous le béton alors que nous pourrions y produire une nourriture locale pour répondre aux défis de la souveraineté alimentaire et d’une nourriture de qualité pour tous, en mettant en place des jardins partagés et/ou un pôle agricole de proximité. Une menace de plus pour les commerces et la vie du centre ville de Saint Julien déjà en difficulté. La destruction d’un territoire de bocage repère de biodiversité aux portes de Saint Julien alors que l’urbanisation a déjà détruit des nombreux espaces naturels ces dernières années « L’éco parc », n’a donc d’écologique que le nom. Alors pour la biodiversité, pour un centre ville dynamique, pour produire une nourriture de qualité : refusons ce projet!201 sur 300 SignaturesCréée par Emilie W.
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Amiens : Nous voulons + de repas végétariens et veganAujourd'hui, à la cantine du lycée, nous mangeons de la viande ou du poisson tous les jours ou presque. Manger trop de viande, oeufs et produits laitiers notamment issus de l’élevage industriel, a un impact énorme sur la dégradation de l’environnement et le dérèglement climatique (l’élevage industriel est responsable de 14,5% des émissions de gaz à effet de serre*). Tous cela sans parler du manque flagrant d'éthique. L’urgence climatique est un drame pour notre futur. Nous ne sommes pas tous végétarien·es mais nous sommes unanimes : nous voulons consommer moins de viande. Proviseure du lycée Robert de Luzarches - Corrine Pollet, il est grand temps d’agir pour la transition écologique. En plus de respecter la loi “Agriculture et Alimentation” qui prévoit l'introduction d’un repas végétarien par semaine obligatoire dans les cantines scolaires, nous vous demandons d'introduire dès maintenant dans notre lycée : - 2 menus végétariens pour tous par semaine; - Un choix végétarien équilibré et de qualité les autres jours; - Une majorité de produits frais, locaux et bio. Comme l’a démontré un récent rapport de Greenpeace, l’instauration de menus végétariens a des effets positifs sur le climat, l’eau et réduit les risques de déforestation. Dans le même temps, diminuer la part de viande permettra de libérer du budget pour introduire des produits de meilleure qualité et pour servir des repas plus variés. De nombreuses recettes végétariennes compatibles avec la restauration scolaire existent, des exemples sont consultables sur le site www.vegecantines.fr . De nombreuses mairies s’engagent réellement, en proposant deux menus végétariens par semaine, comme c’est le cas à Lille, Mouans-Sartoux, Grenoble ou Paris 19ème et 2ème. Ces menus leur ont permis d’améliorer la qualité des plats et d’acheter davantage de produits bio. Si ces établissements ont déjà opéré une transition végétale des cantines pourquoi pas Amiens? OUI, Amiens doit jouer son rôle dans la préservation de l’environnement, et cela passe aussi par notre assiette. Sources : *IPBES et FAO 2013 Rapport de Greenpeace "Menus végétariens à la cantine, quels impacts pour la planète?" - sept 2020 : https://bit.ly/35MBnR4106 sur 200 SignaturesCréée par Charybde S.
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Sauvez SALONGALe Parc national de la Salonga est la plus grande réserve de forêt tropicale humide d’Afrique. Il est l'habitat de nombreuses espèces endémiques menacées, telles que le bonobo, le paon du Congo, l'éléphant de forêt et le crocodile africain. Malgre les assurances apportées par le gouvernement congolais, ce parc va être livré à l'exploitation des compagnies pétrolières et du fait de sa zone géographique instable, il sera IMPOSSIBLE de continuer à le protèger208 sur 300 SignaturesCréée par Catherine MENANTEAU D.
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