• Un moratoire pour dire stop aux projets routiers destructeurs !
    La France s'est engagée dans la Stratégie Nationale Bas Carbone et à l'objectif Zéro Artificialisation Nette (ZAN) en 2050. Ces stratégies impliquent de : - diviser par 2 la consommation d'espace sur la décennie qui arrive par rapport à la précédente. Hors les 55 projets contestés représentent actuellement 8000 hectares d'artificialisation - diminuer de 40% nos émissions territoriales en 2030 par rapport à 1990. Mais les émissions de Gaz à Effet de Serre territoriales supplémentaires dues aux projets d'aménagement routiers prévus par l’État ne sont pas compatibles avec les objectifs fixés en la matière. Et la question du trafic induit n'est que rarement prise en compte dans les études d'impact. L’État mène donc un double discours et un double jeu. D'un côté, il fixe des objectifs chiffrés pour réduire notre impact climatique et environnemental, de l'autre, il soutient financièrement et politiquement des dizaines de projets contestables et contestés au regard des enjeux écologiques, climatiques et sanitaires. Il est encore temps de prendre un autre chemin, et de stopper la destruction des paysages et la course folle vers l'augmentation des pollutions et émissions de CO2. Le Pays de Galles l'a déjà fait, pourquoi pas nous ? Les raisons de s'opposer à tous ces projets existent, elles sont simples, et elles sont nombreuses : - Construire des routes, c'est augmenter le trafic routier et l'étalement urbain. Un nouvel aménagement routier ne fait pas gagner de temps, au contraire. Les nouvelles routes induisent du trafic, et multiplient l'artificialisation des terres naturelles et agricoles en facilitant par exemple l'implantation de zones pavillonnaires ou logistiques. Aucune nouvelle route n'a jamais réduit les embouteillages, c'est un mensonge. Au contraire elle sera très vite saturée par de nouveaux bouchons. - Construire des routes, c'est augmenter les émissions de gaz à effet de serre, alors qu’il est urgent de les réduire pour lutter contre le changement climatique. - Construire des routes, c'est détruire des milliers d'hectares d'espaces naturels, agricoles et forestiers. C'est détruire des écosystèmes, des espèces protégées, et abîmer la biodiversité. - Construire des routes c'est gaspiller 18 milliard d'euros d'argent public, 18 milliards ! Imaginez tous les services publics qui pourraient être améliorés, créés. Plus de trains, plus d'écoles et de professeurs, des hôpitaux et des soignant-es traité-es correctement, plus de moyens pour la protection de l'enfance. De l'argent au service de l'intérêt général, non pas des intérêts privés des bétonneurs ! - Construire des routes, c'est nous enfermer toujours plus dans un modèle tout voiture, insoutenable socialement comme écologiquement. L'essence, les voitures thermiques ou électriques, tout ce qui est nécessaire au transport routier, cela coûte aussi cher, très cher, à toutes les personnes qui ont besoin de se déplacer quotidiennement. La route n'est pas un moyen de transport accessible à tout le monde, et les nombreux projets d'autoroute à péage vont augmenter encore la facture des usagers.  - Construire des routes c'est augmenter la pollution chronique ou accidentelle liée à la circulation des personnes et des marchandises par la route. Les risques que ce mode de transports fait peser sur notre santé à toutes et tous, en polluant l'air que l'on respire, en menaçant les ressources en eau, et par le bruit infernal de la circulation, sont inacceptables ! Nous, collectifs en lutte contre les projets, nous unissons nos forces pour lutter contre l'artificialisation à marche forcée de nos terres agricoles et naturelles, et pour engager la nécessaire sortie de route de tous les projets climaticides. Nous demandons aux parlementaires de nous rejoindre et de soutenir les luttes, en s'engageant à soutenir à l'Assemblée Nationale et au Sénat la proposition d'un moratoire sur tous les projets routiers, dans l'attente de leur ré-examen au regard des stratégies fixées par l’État et des enjeux climatiques, écologiques et sanitaires auxquels nous faisons face. Nous demandons à Clément Beaune et Élisabeth Borne de faire preuve de bon sens, d'entendre et d'étudier cette proposition. Ce que nous voulons, ce sont des mobilités choisies, et non subies, accessibles à toutes et tous ! Soutenez, rejoignez nos luttes, demandez avec nous ce moratoire, pour mettre les routes en déroute ! - SOS Oulala Montpellier - Manche Nature - Caveirac Vaunage Nîmes - Non à l'autoroute A133-A134 Rouen - Non à un contournement Nord de Maubeuge destructeur - Vivre respirer se déplacer en Tricastin Drôme Alternatives A480 Grenoble - Axe vert de La Ramée Toulouse - Non à la Jonction Est à Toulouse - AutreCOM Montpellier - La Voie est Libre Castres Toulouse - La Lutte des Sucs - Coordination La Loire Vivra Orléans - Collectif Saint Etienne de Monluc - Puma LEO Avignon - GCO Non merci Strasbourg - Non au contournement sud d’Auxerre - Collectif RN126 Castres Toulouse - Association Nacicca Arles - Évreux Nature Environnement - Collectif Ussel - Collectif citoyen contre le développement du projet Sublimes routes du Vercors - Agissons pour le climat Granville Terre et Mer - Fédération Environnement Eure et Loir - Nord Écologie Conseil (contre la Lino au sud de la MEL) - Coordination Viure Pyrénées Orientales - Bien vivre en Vallespir Céret - Copra 184 IDF - Vivre sans BIP Val d'Oise - Seta - VN33 Non merci Lyon - Agis Ta Terre Chateaubourg - Vitré Vitalu - Non à la rocade Nord de Fougères - Eaux et Rivières de Bretagne - PassPasud2 - Collectif Les Lichens - Association CITEE Reventin Vaugris - Association ACPAT Thonon Machilly - ALTERRE St Péray - Comité de défense contre la déviation de St Christol Les Alès - Association Roya Expansion Nature - Association Sentinelle Nature 31650 - Coopérative Citoyenne Cherbourg - INATN A31bis Toul - Collectif Sequana Poissy - Collectif 924 Orne
    13,869 of 15,000 Signatures
    Created by Coalition La Déroute des Routes C. Picture
  • Amboise : + de poubelles pour une ville + propre
    Nous sommes des volontaires en Service Civique à Unis-Cité Val d'Amboise et Tours, engagé.e.s dans une mission environnementale. Nos locaux se trouvent au coeur du quartier Maletrenne dans la ville d'Amboise : nous sommes témoins chaque jour du nombre de déchets variés par terre ! En plus de ne pas être esthétique, ces déchets polluent l'environnement et la Loire ! Jeter les mégots dans les bouches d'égout, va les amener dans la Loire et polluer le fleuve et la vie maritime ! S'il y avait plus de poubelles dans ce quartier, les habitant.e.s les utiliseraient plus ! Pour lutter contre la production d'emballages plastiques initules, nous pouvons collectivement laisser lors de l'achat aux caisses de supermarché les emballages superflus qui ne servent à rien ! Si nous arrivons à collecter MILLE signatures, nous allons demander aux Elu.e.s de la CCVA et en particulier de la Ville d'Amboise plus de poubelles de tri dans le quartier Maletrenne !
    2,192 of 3,000 Signatures
    Created by Unis-Cité 3.
  • STOP, c'est pas Versailles à La-Côte-Saint-André (38)
    Dérèglement climatique et perte massive de la biodiversité.
    119 of 200 Signatures
    Created by Ludovic H. Picture
  • Béziers - Stop au gaspillage énergétique !
    À l’heure où l’on nous appelle, collectivement et individuellement, à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. L’effort fourni doit être réparti de façon juste et ne pas peser uniquement sur les citoyens et citoyennes. Aussi, l’effort ne doit pas affecter en premier lieu des services publics essentiels comme l’éducation ou le sport, mais bien commencer par interroger nos usages de la publicité superflue ! ⚡️ Alors que le gouvernement prévoit l’interdiction des publicités lumineuses entre 01H00 et 06H00 du matin (à l'exception des aéroports, gares ou stations de métro), cette mesure est loin d’être suffisante face au nombre croissant de ces panneaux inutiles qui n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. ⚡️ Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme en moyenne l’équivalent des besoins d’ un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager* : laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique est donc absurde ! Notre territoire a le pouvoir d’aller plus loin à travers le règlement local de publicité et de montrer l’exemple pour être à la hauteur des enjeux. Notre ville doit prendre les mesures suivantes de manière urgente, et sans attendre le pic de l’hiver où les tensions énergétiques se feront ressentir. 🛑👉Nous demandons : - L’extinction des panneaux lumineux et écrans publicitaires en continu, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés - Une meilleure gestion de l’éclairage public - L’extinction des lumières des bureaux dès leur fermeture 💡 De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées au-delà de la période de tension hivernale, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. D’autres villes comme Lyon ou Paris ont déjà mis en place des mesures plus fortes pour réduire leur consommation énergétique et s’inscrire dans le sens d’une sobriété choisie et responsable. 🌟 Notre ville aussi doit s’inscrire dans le sens de l’Histoire et mettre en place des solutions ambitieuses ! Source : *Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer)
    85 of 100 Signatures
    Created by Valerie A.
  • Bassin de Marennes: Stop au gaspillage énergétique et à la pollution lumineuse !
    À l’heure où l’on nous appelle, collectivement et individuellement, à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. L’effort fourni doit être réparti de façon juste et ne pas peser uniquement sur les citoyens et citoyennes. Aussi, l’effort ne doit pas affecter en premier lieu des services publics essentiels comme l’éducation ou le sport, mais bien commencer par interroger nos usages de la publicité superflue ! De même les zones commerciales et professionnelles (parc d'entreprise, cabanes d'ostréiculture dans les marais) sont allumés toute la nuit par mesure de sécurité. ⚡️ Alors que le gouvernement prévoit l’interdiction des publicités lumineuses entre 01H00 et 06H00 du matin (à l'exception des aéroports, gares ou stations de métro), cette mesure est loin d’être suffisante face au nombre croissant de ces panneaux inutiles qui n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. ⚡️ Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 ou un projecteur consomme en moyenne l’équivalent des besoins d’ un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager(1) : laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique est donc absurde ! ⚡️ La pollution lumineuse est une source importante de chute de la biodiversité et de trouble de la santé humaine (2) Notre territoire a le pouvoir d’aller plus loin à travers le règlement local de publicité et d'éclairage et doit prendre les mesures suivantes de manière urgente, et sans attendre le pic de l’hiver où les tensions énergétiques se feront ressentir. 🛑👉Nous demandons : - L’extinction des panneaux lumineux et écrans publicitaires en continu, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - Une incitation et sensibilisation des professionnels, surtout ceux en milieu naturel, a modifier leur moyens de sécurisation (par exemple par des éclairages à détecteur et à spectre rouge et cameras infrarouges ne perturbant pas la faune alentour) - L'interdiction d’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés - L’extinction des lumières des bureaux dès leur fermeture 💡 De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées au-delà de la période de tension hivernale, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. D’autres territoires comme Lyon ou Paris ont déjà mis en place des mesures plus fortes pour réduire leur consommation énergétique et s’inscrire dans le sens d’une sobriété choisie et responsable. 🌟 Notre ville aussi doit s’inscrire dans le sens de l’Histoire et mettre en place des solutions ambitieuses ! Source : (1) Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer) (2) D'après l'https://www.anpcen.fr/ la lumière artificielle nocturne a des conséquences sur la biodiversité et de nombreux dérèglements biologiques. Un phénomène d’autant plus inquiétant qu’un grand nombre d’espèces animales terrestres sont nocturnes : c’est le cas de près d’un tiers des vertébrés et de deux tiers des invertébrés. Le ciel étoilé et la lune sont des repères cruciaux (c’est le cas des oiseaux migrateurs, des insectes volants ou des tortues marines, par exemple). https://www.futura-sciences.com/planete/questions-reponses/pollution-impact-pollution-lumineuse-organismes-1100/ et https://biodiversite.gouv.fr/actualite/lutter-contre-la-pollution-lumineuse-un-enjeu-crucial-pour-la-biodiversite-nocturne
    107 of 200 Signatures
    Created by Emmanuel H.
  • Pour des Conventions Citoyennes Locales des Transitions en Bretagne
    Depuis 50 ans nous échouons à répondre à l'urgence écologique. La Convention Citoyenne pour le Climat qui s'est déroulée en France entre octobre 2019 et juin 2020 a prouvé qu’un panel de citoyen·nes tiré·es au sort, représentatif·ves de la diversité de la société française, pouvait être force de propositions sur ces enjeux en allant dans le sens de l'intérêt général. Une fois (in)formés ces citoyen.nes ont répondu à l’objectif de « définir les mesures structurantes pour parvenir, dans un esprit de justice sociale, à réduire les émissions de gaz à effet de serre d'au moins 40 % d'ici 2030 par rapport à 1990 », en allant plus loin que tout ce que les politiques publiques ont pu mettre en place jusqu'à maintenant. Depuis, des Conventions Citoyennes locales ont vu le jour sur divers sujets (crise COVID-19, démocratie, climat,...) à différents endroits en France (Nantes, Rouen, Est Ensemble, Clermont-Ferrand ou plus localement à Rennes ou encore Brest). Mais il n’y a à ce jour aucune Convention Citoyenne Locale sur les enjeux transversaux de transition écologique en Bretagne. Pourtant cet outil de co-construction permet de légitimer des propositions ambitieuses répondant aux enjeux climatiques et du Vivant, de former des citoyen·nes et de les impliquer directement dans la vie politique. Cet appel du 3 décembre 2022, lancé à l’occasion du 3ème Forum des Coopérations organisé par le Réseau Cohérence, s’adresse à tou·tes. Pour accélérer les transitions écologiques nous avons impérativement besoin de mesures ambitieuses qui soient co-construites et portées par les citoyen·nes dans les territoires et de l’engagement du plus grand nombre. 👉 Pour cela, nous appelons à ce que soient mises en place des Conventions Citoyennes Locales pour les transitions écologiques (du climat, du Vivant...) par les collectivités en Bretagne. Il nous paraît nécessaire que ces conventions citoyennes respectent l'exigence méthodologique qui permet de garantir leur succès, telle que proposée par plusieurs associations . Il est temps de mettre en œuvre des dispositifs ambitieux de co-élaboration et de participation citoyenne, sans quoi la réponse publique ne sera jamais à la hauteur des défis actuels. Elu·es, citoyen·nes, associations locales : portez cette idée de Convention Citoyenne dans vos territoires, pour construire ensemble un futur viable, pour partager le pouvoir d’agir et faire vivre vraiment la démocratie. Premiers signataires : • Aucant William - Citoyen tiré au sort de la Convention Citoyenne pour le Climat (Nationale) • Benhabib Lamia - Citoyenne tirée au sort de la Convention Citoyenne Locale Nantes Métropole • Briand Michel - Acteur de réseaux coopératifs en Bretagne • Denis Romain - Citoyen tiré au sort de la Convention Citoyenne Locale Nantes Métropole • Dion Cyril - Ecrivain, réalisateur, poète et militant écologiste • Dissaux Glen - Conseiller municipal - 12ème vice-président de Brest métropole - Plan climat air énergie territorial, COP26 locale, Agenda 2030. • Goater Jean-Marie - Conseiller délégué Rennes Métropole à la démocratie locale • Gomez Tomas Veronica - Juriste en droit international de l'environnement et citoyenne engagée sur le Pays de Morlaix • Imer Mathilde - Membre du comité de gouvernance/organisation de la convention citoyenne pour le climat • Lavault Akira - Co-fondatrice de Maison Glaz (tiers-lieu à Gâvres) • Le Coz Armel - Co-fondateur et coordinateur de Démocratie Ouverte Collectif d'innovation démocratique • Marchandise Charlotte - Militante de la démocratie et citoyenne engagée • Mermet Laurence - Co-fondatrice d'Eco-bretons et membre du Réseau Cohérence • N'Dem Thomas - Citoyen tiré au sort de la Convention Citoyenne Locale Nantes Métropole • Pierre Jean-Claude - Porte-parole du Réseau Cohérence
    184 of 200 Signatures
    Created by Solenne B.
  • POITIERS - STOP AU GASPILLAGE ENERGETIQUE
    Nous, citoyens et citoyennes de Poitiers demandons expressément la mise en place de mesures de bon sens et d’économie d’énergie. Un cadre légal existe, mais il est largement insuffisant face aux enjeux de sobriété auxquels nous faisons face. Pour le climat et pour nos factures d’électricité, Poitiers se doit d’être exemplaire. A l’heure où nous sommes appelés, collectivement et individuellement, à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. L’effort fourni doit être réparti de façon juste et ne pas peser uniquement sur les citoyens et citoyennes. Aussi, l’effort ne doit pas affecter en premier lieu des services publics essentiels comme l’éducation, la culture ou le sport, mais bien commencer par interroger nos usages de la publicité superflue. Alors que le gouvernement prévoit l’interdiction des publicités lumineuses entre 01H00 et 06H00 du matin (à l'exception des aéroports, gares ou stations de métro), cette mesure est loin d’être suffisante face au nombre croissant de ces panneaux inutiles qui n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme l’équivalent en moyenne des besoins d’un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager*, laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique est donc absurde. A ce jour, sur Grand Poitiers, les horaires d'extinction des pubs lumineuses sont de 23h à 7h du matin, sauf exceptions. Nous demandons une révision de ce règlement local de publicité. Nous avons le pouvoir de donner l’exemple, de poursuivre une politique locale ambitieuse pour l’écologie et la justice sociale. Notre ville et notre communauté de commune doivent prendre les mesures suivantes de manière urgente. Nous demandons : - L’extinction des panneaux lumineux et écrans publicitaires en continu, à n’importe quelle heure du jour et de la nuit, et pas uniquement de 23h à 7h du matin. Cela inclut également les panneaux numériques dans les vitrines des magasins. - L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses le jour, puis dès la fermeture des magasins, et non pas 1h avant l’ouverture et 1h après la fermeture. - L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés - L’extinction des lumières des bureaux dès la fermeture. De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées au-delà de la période de tension hivernale, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. Prenons exemple de la ville de Mordelles, première ville bretonne à dire non à la publicité depuis le 31 octobre 2022. Notre ville aussi doit s’inscrire dans le sens de l’Histoire et mettre en place des solutions ambitieuses ! Greenpeace Poitiers, Extinction Rébellion Poitiers. Source : *Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer)
    476 of 500 Signatures
    Created by Extinction Rebellion Poitiers et Greenpeace Poitiers Picture
  • Oui à la transition énergétique, non à la destruction du patrimoine public
    De nombreux projets industriels de production photovoltaïques se développent dans l'Aude, en Occitanie, et plus largement dans tout le pays. Certains de ces projets, parfois portés par des conglomérats industriels aux pratiques discutables et ayant fait fortune dans le pétrole sont en contradiction totale avec le discours écologiste et responsable dont ils veulent se parer. En effet, sacrifier des dizaines voire des centaines d'hectares de terres agricoles produisant aujourd'hui des céréales n'est pas responsable en pleine crise alimentaire. Sacrifier des zones classées au plus haut niveau de protection Natura 2000 n'est pas un positionnement allant dans le sens de l'écologie durable et du maintien de la biodiversité Sacrifier nos paysages qui font aujourd'hui la richesse des territoires n'est pas responsable pour l'avenir de ces derniers. Sacrifier le soutien des populations en évitant toute forme de concertation en amont du choix des implantations n'est pas responsable alors que nous savons que la transition ne peut se faire qu'avec le soutien de tous les citoyens. Sacrifier notre patrimoine commun quel que soit sa nature sur l'autel des indicateurs français et européens ne saurait en aucun cas suffire. La transition énergétique ne doit pas se faire à marche forcée mais de façon raisonnée. L'ADEME elle même l'écrit : des gisements suffisants existent sur friches industrielles, toitures et zones d'activité à hauteur de 95GWc, permettant largement d'atteindre les objectifs du plan de programmation pluriannuelle de l'énergie (+51GWc pour atteindre 101 à 113 GWc). Nous exigeons la responsabilité et le respect par les promoteurs et les décideurs, des recommandations émises par certaines communautés de communes, le ministère de la transition écologique et les préfectures. -Privilégier les sites déjà artificialisés et proscrire les installations en zones protégées (Natura 2000, ZNIEFF). -Éviter les espaces agricoles pour maintenir la capacité de production dans un contexte de crise alimentaire. -Limiter au maximum les impacts paysagers pour un patrimoine touristique et architectural préservé. -Communiquer en amont vers les riverains pour une transition menée en concertation. Un gros projet est en cours sur les communes de Belpech, Pécharic et le Py, Plaigne, Saint Sernin. Il porte sur 172Ha de terres agricoles produisant des céréales et en zone de protection spéciale Natura 2000. Nous devons réagir vite sur ce projet pour que les bonnes pratiques soient imposées sur les prochains. Signez maintenant pour exiger la transition énergétique vertueuse.
    504 of 600 Signatures
    Created by Alice D.
  • Non au bitumage du chemin vert de Eu
    Lors d’un entretien avec Eddie Facque, président de la CCVS, nous avons eu confirmation que l’aménagement du chemin vert du Petit Caux aurait bien lieu. Estimés à un peu moins de 2 millions d’euros, les travaux – semblent-ils subventionnés à 80% par l’Etat, la région Normandie et le Département de Seine-Maritime – comprennent l’élagage et la coupe des arbres et buissons, la restauration des ouvrages d’art, la réalisation d’une bande de bitume de 3 mètres de large – entraînant l'élargissement du chemin à 6 mètres minimum – sur 7 kilomètres et, en principe, la plantation d’arbres en lieu et place de ceux qui auront été abattus. Nous avons redit au président notre opposition à cette hérésie et mis en avant les presque 7000 signatures enregistrées à ce jour de citoyens s’opposant eux aussi à ce désastre. Nos arguments, tant environnementaux que financiers, n’ont reçu aucun écho. Nous vous invitons à nous retrouver le samedi 19 novembre à 14h30 à l’entrée du chemin vert, à Eu. Venez nombreux, en famille, à pied, en vélo, à cheval…pour marquer à nouveau votre opposition à ce projet contre nature !!
    116 of 200 Signatures
    Created by Sarah G.
  • APPEL A LA REVOLUTION ECOLOGIQUE DANS LE GRAND LIBOURNAIS
    MOBILISATION GENERALE Nous vivons la fin d'un monde et devons co-construire ensemble le nouveau. Climat, énergie, vivant, pollution, épuisement démocratique, sécession des élites, inégalités sociales, ressentiment généralisé, extrême droite, inflation, covid, guerre... La crise est devenue systémique, globale. Elle va s'amplifier dans la décennie et aggraver les pénuries. Les premiers signaux d'alarme ont résonné à partir des années 30, avec Ellul et Charbonneau. Plus fort dans les années 60, avec la compréhension du rôle du DDT dans la disparition des oiseaux et la parution du « Printemps silencieux » de Rachel Carson. Plus stridents encore au début des années 70 avec le rapport Meadows, vendu à 1 million d'exemplaires. Et les années 80, avec la création du GIEC, les Conférence des Nations unies sur les changements climatiques, les COP, et les rapports scientifiques qui se succèdent, c'est carrément le hurlement des sirènes d'alarme et les voyants d'alertes rouges clignotants. Cela dans l’indifférence quasi générale. Cela fait 30 ans qu'il y a consensus scientifique sur les causes et les conséquences prévisibles du dérèglement climatique. 30 ans que nous savons ce qui va se passer. 30 ans que les lobbies économiques nous mentent pour gagner du temps et de l'argent. 30 ans que nous ne faisons rien à la hauteur des enjeux. Et en 30 ans la production des gaz à effet de serre, a progressé de 50% ! Mis à part une poignée de militants écologistes, ces alertes n'ont été entendues, ni par la grande majorité de nos concitoyens, ni par les élites économiques et politiques. Elles sont comme tétanisées, incapables de remettre en cause ce modèle économique qu'elles ont mis en place, qui les enrichit et... qui détruit l'habitabilité de la planète. Ils nous ont conduit dans une impasse. Quelle va être leur légitimité quand la population, notamment les jeunes, va comprendre ce qui les attend ? Les crises vont être de plus en plus rapprochées et violentes. Cela va être brutal. Rassembler le plus grand nombre de nos concitoyens pour adapter collectivement et rapidement notre modèle économique, social et démocratique, est notre meilleure chance de redonner un avenir au moins de 50 ans. Que faire ? Comment atterrir ? Vu le poids des lobbies et le déni de réalité de la quasi-totalité du monde économique et politique, il n'y aura pas de solutions descendantes à la hauteur des enjeux. Elles ne pourront remonter que de la société civile : nous ! Nous vous proposons d'agir là où nous le pouvons encore, le local. Pour cela il s'agit de mobiliser et renforcer l'engagement écologique et solidaire du plus grand nombre de citoyen.ne.s du Grand libournais : - en s'appuyant sur les initiatives existantes, en les renforçant, en participant à leur convergence - en créant des dynamiques d'éducation populaire, de démocratie participative - en inventant des espaces de rencontres, de convivialité, des projets culturels, artistiques, festifs qui travaillent sur l'imaginaire, font émerger de nouveaux récits, plus attractifs que les passions tristes - en construisant sur le territoire un rapport de force organisé non violent favorable à la vie En signant cette pétition, nous demandons à l'ensemble des élu.e.s du Grand Libournais d’agir résolument et de co-construire avec les citoyennes et les citoyens, la révolution écologique, solidaire et non-violente du territoire. Citoyen.ne.s du Grand libournais nous souhaitons participer activement à la mise en œuvre de cette politique et travailler avec les élu.e.s, tout en réduisant notre propre impact carbone et en participant activement à des projets citoyens locaux. Pour construire ce futur désirable sur notre territoire, nous serons nombreux à participer aux États Généraux pour le climat..., qui auront lieu le dimanche 20 novembre de 14h00 à 19h00 au Château des Rochers à Belvès de Castillon. Nous y co-construirons un diagnostic et lancerons des actions à l'échelle locale. A crise systémique, réponse systémique, les chantiers à réaliser sont multiples. Réduire de 55% notre production de GES d'ici 2030, adapter collectivement notre territoire et accompagner les plus fragiles, doivent être nos priorités. Rien n'a été anticipé. Nous devons devenir résilients. D'après le World Resources Institute, nous devons multiplier par 6 les transports publics, diviser par 10 notre utilisation de ciment, diviser par 5 notre consommation de viande, multiplier par 10 les financements publics pour la transition écologique... Ce qui doit nous amener par exemple d'ici 2030 à : - Produire une agriculture et une alimentation 100 % bio, beaucoup plus riche en légumes, céréales et protéines végétales, en prioriser la distribution aux femmes enceintes, aux enfants de moins de 3 ans, aux personnes à faibles ressources financières... - Arracher 10 000 hectares de vignes pour y installer 1000 paysans bio en agroécologie, agroforesterie, permaculture, polyculture élevage, traction animale... qui produiront des protéines végétales, des isolants bio sourcées, des ENR pour la ferme - Réduire de 50% la circulation automobile en multipliant les déplacements à pied, en vélo, le co-voiturage, les transports en commun, en triplant le nombre de TER en circulation - Isoler 10 000 « passoires énergétiques » du parc immobilier avec des agromatériaux (paille, chanvre...) produit sur le territoire - Multiplier les sources de production d'énergies renouvelables - Construire des réseaux de solidarité, d'entraide et de coopération au profit des personnes les plus fragile du territoire, des territoires voisins et des futurs réfugiés climatiques Elu.e.s comme non élu.e.s. nous portons toutes et tous une part de responsabilité dans la situation actuelle. Plus ou moins importante selon les fonctions. Les citoyennes et les citoyens du Grand Libournais ont besoin de se sentir soutenu.e.s et accompagné.e.s pour que vive l'espoir de garder notre planète habitable pour les générations actuelles et futures.
    181 of 200 Signatures
    Created by Collectif climat du Grand L.
  • STOP au projet du parc photovoltaïque dans les bois de Janiol de Grignan
    👉La direction départementale des territoires (DDT) déconseille fortement l’utilisation des sites agricoles ou naturels pour l’implantation des centrales photovoltaïques : "Il est nécessaire de noter en premier lieu que l'implantation de projet en espace boisé est contraire aux recommandations départementales et la DDT ne pourra évaluer de façon positive ce type de projet" (Point 3.1.3 en page 12 des Recommandations départementales des projets photovoltaïques https://www.drome.gouv.fr/IMG/pdf/20211021_recommandationsdepartementalespv_v5.pdf) La Commission Départementale de Préservation des Espaces Naturels Agricoles et Forestiers (CDPENAF) https://www.registre-dematerialise.fr/4231/download/component/4617/2-12-2-avis-modificatif-corrections-erreurs-ppv-grignan-signe-30-08-2022.pdf a d'ailleurs émis un avis défavorable au dossier considérant que : - Les travaux entraineraient la destruction de 9,2 ha de forêt (chênes verts et pubescents) au sein d'un vaste secteur naturel et forestier. - L'implantation d'un tel parc sur ce site serait de nature à contribuer à la fragmentation de la forêt, et accélèrerait la baisse de la biodiversité. - Sur le principe de l'évitement, le dossier n'apporte pas la démonstration suffisante de l'impossibilité d'installer ce parc sur une zone de moindre enjeu écologique y compris à l'échelle intercommunale. - L'artificialisation de 9,2 ha d'espaces naturels irait à l'encontre des objectifs des objectifs de sobriété foncière et de trajectoire "zéro artificialisation nette" du Plan Biodiversité (juillet 2018) et de la stratégie régionale "Eau-Air-Sol" (mai 2020). - Les recommandations à l'échelle nationale et départementale sont de prioriser le développement des parcs photovoltaïques sur le bâti et sur les sites déjà artificialisés. - Les divers impacts potentiels qu'auraient lesdits travaux sur les zones naturelles, le réseau écologique, la flore et les habitats naturels de la faune. - Le projet serait de nature à modifier les corridors de déplacements et entrainerait des destructions d'habitats de vie notamment pour des cortèges d'oiseaux forestiers, pour des mammifères tels que la genette commune et le hérisson d'Europe et surtout pour les chiroptères dont la barbastelle d'Europe et le petit rhinolophe. - Le dossier évoque au titre du défrichement un besoin de compensation de 30 à 32 hectares sans en préciser ni les modalités ni la localisation ce qui ne permet pas d'en apprécier l'impact sur les surfaces agricoles et naturelles. - Le projet est de nature à compromettre la préservation des terres naturelles, agricoles ou forestières au sens de l'article L122-1-1 du code rural et de la pêche maritime. 👉Pour limiter l'artificialisation des sols et maitriser la consommation d'espace naturel, les terrains favorables pour ce type d’installation sont les terres arides ou polluées, les friches industrielles, les terrains militaires en reconversion, les carreaux de mines, les abords d’aéroports ou d’autoroute, les anciennes décharges… mais en aucun les espaces boisés naturels. 👉Nous ne pouvons plus accepter AUCUNE dérogation à la destruction d’espèces protégées à l’ère de la 6ème extinction de masse du vivant. Le défrichement de plus de 8 hectares aurait un impact fort sur la biodiversité, notamment sur les espèces locales*, avec la destruction illégale d'espèces protégées. *des oiseaux comme l'Alouette lulu ou la Huppe fasciée ; des chiroptères comme la Barbastelle d'Europe ou le Petit Rhinolophe ; des mammifères comme la Genette commune ou le Hérisson d'Europe ; des reptiles comme la Vipère aspic ; des insectes... 👉Par défrichement, il faut comprendre "déforestation" avec retrait des souches. La déforestation a pour effet de rompre l'équilibre systémique de la forêt en exposant à la sécheresse des milieux naguère sous couvert. Les bois et forêt forment un microclimat favorable à la rétention d'eau par les sols (eau verte). En ces périodes de sécheresses successives et d'épisodes caniculaires au cours desquels notre territoire a connu, cet été et aujourd'hui encore, des restrictions d'eau voire des coupures sur certaines communes (Clansayes, Montségur-sur-Lauzon...), il est urgent de prendre conscience de l'importance de préserver les espaces naturels et les zones boisées. Les forêts et zones boisées participent au cycle de l'eau et jouent un véritable rôle pour la préservation de cette ressource. Elles participent à ce cycle en contribuant à l'évaporation de l'eau qu'elles reçoivent par les précipitations, et ce, au cœur même des territoires. Au cours de ces cycles, l'eau est stockée dans les sols et alimente les nappes phréatiques. Il est donc de notre devoir de préserver ce précieux commun naturel qu'est l'eau. Nous rappelons également à Madame la Préfète, qu'en matière de coupe rase, elle s'est engagée à se rapprocher de divers interlocuteurs dont l'OFB (Office Français de la Biodiversité) au vu de la récente réforme réglementaire (décret n°2022-527 du 12 avril 2022 ; https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000045551000) qui inscrit dans la loi le principe d'une stratégie nationale des aires protégées qui vise à couvrir 30% du territoire national par un réseau d'aires protégées et 10% de même territoire sous protection forte.
    1,890 of 2,000 Signatures
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  • Protégez définitivement la forêt du Madrillet !
    LA FORÊT DU MADRILLET : toujours menacée ! Début 2020 : citoyens, associations et élus se mobilisent pour dire NON au béton sur les 62 ha de la forêt du Madrillet (dont une 1ère pétition avec plus de 9000 signatures !) Juillet 2020 : le nouveau Président de la Métropole de Rouen, Mr Mayer-Rossignol, s’engage à ne pas urbaniser et décrète un moratoire. Juillet 2021 : l’association Bouillons Terres d’Avenir demande pourquoi la modification N°2 du plan local d’urbanisme (PLUI ) n’a pas remis ces 62 ha en zone naturelle comme se trouve le reste de la forêt du Rouvray ? Le Président répond par écrit « la possibilité de l’inscrire dans le contexte de la modification en cours présente des fragilités juridiques , CETTE ORIENTATION SERA PROPOSÉE AU VOTE DU CONSEIL MÉTROPOLITAIN AU PLUS TARD EN 2022, selon les formes juridiques appropriés » Octobre 2022 : nous en sommes à la 5ème modification du PLUI ( consultable sur https://www.registre-numerique.fr/mrn-plu-modif5/documents ,site sur lequel on peut déposer une contribution ) on y découvre que les 62 ha de forêts sont toujours classées en zone économique et peuvent légalement toujours être bétonnées en partie ou totalité. La ville de Rouen dans cette modification N°5 en cours a prévu de reclasser un bois qui était aussi urbanisable ( au Châtelet ) en zone naturelle boisée, le rendant ainsi non constructible. Pourquoi la Métropole et la ville de Petit Couronne refusent-elles encore de faire la même chose pour la forêt du Madrillet ? Que cachent ces retards de la part de la Métropole de Rouen ? De même, le dossier de demande de classement en forêt de protection de ces 62 ha pour les rendre définitivement inconstructibles, par un arrêté ministériel, comme l’est l’ensemble de la forêt du Rouvray, n’est pas encore amorcé ! NOUS DEMANDONS LE RECLASSEMENT DES 62 HA DE LA FORÊT DU MADRILLET EN ZONE NATURELLE BOISÉE DANS LA MODIFICATION N°5 DU PLUI ACTUELLEMENT EN COURS. Nous déposerons les signatures de cette pétition aux commissaires enquêteurs avant la fin de l’enquête publique prévu le 10 novembre 2022. (Nous avons demandé une « enquête complémentaire » aux commissaires enquêteurs pour inclure cette nouvelle modification et une prolongation de cette enquête publique). Association Bouillons Terres d'Avenir
    723 of 800 Signatures
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