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Destinataire(s) : Madame le Préfet de Meurthe et Moselle.

NON ! A L'EXTENSION DE LA CARRIERE DE BAINVILLE SUR MADON !

 OUI, Nous voulons la préservation des espèces protégées présentes et à venir sur le plateau.
OUI, à la sauvegarde de 14 Ha de pelouse calcaire.
OUI ! au principe de précaution quant au risque d'effondrement des galeries alimentant en eau potable la commune de Pont Saint Vincent.
OUI ! pour garder en zone naturelle la parcelle concernée par la révision simplifiée du PLU de Bainville sur Madon.
OUI, Au silence et à la quiétude
STOP ! à la destruction de la biodiversité
STOP aux tirs de mines qui fragilisent les habitations les plus proches et les galeries de la mine St Jean.
STOP au bruit des engins de chantier
NON! à la prolongation d'autorisation d'exploitation et à l'extension de la carrière actuelle
NON! à la modification du PLU de Bainville sur Madon.

Et nous demandons  à Mme Le préfet, de ne pas accorder les autorisations sollicitées pour des intérêts économiques au détriment des populations et de l'intérêt général. Et ainsi participer à la démarche indispensable de transition qui permettrait d'espérer maintenir la planète Terre vivable pour l'humanité.

Pourquoi faut-il agir maintenant ?


Avec cette nouvelle extension, les tirs de mine qui font trembler les maisons les plus proches (rue Pierre et Marie Curie, rue mairesse) vont continuer et concerneront d’autres quartiers. Ces fortes secousses risquent de fragiliser les galeries de l’ancienne mine Saint Jean qui alimentent en eau potable le haut de Pont Saint Vincent. 

Et le va et vient des camions, ainsi que le bruit des engins d’extraction continuera avec leurs émissions de CO2.

Le remblaiement de la carrière existante avec des déchets issus du BTP transformera le plateau en une énorme déchetterie avec un risque éventuel de pollution de l’eau souterraine.

Une nouvelle partie de la prairie  à très forts enjeux faune/flore (26 % des espèces végétales protégées en lorraine pousse sur les pelouses calcaire), riche de part sa biodiversité, disparaîtra définitivement : une dérogation ayant été demandée pour cette destruction d’espèces protégées (ex : crapaud sonneur à ventre jaune, vipère aspic). 

C’est sans parler du paysage défiguré pour de nombreuses décennies encore.

Les alertes du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) et de l’IPBES (Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques) ne suffisent-elles pas à faire comprendre que nous allons dans le mur en continuant à développer ce type d’exploitation pour produire des granulats qui permettent de fabriquer du ciment pour continuer à construire et à bétonner, alors que l’heure est à la désartificialisation des sols ?

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