• "Maman j'ai arrêté l'avion" - L'appel des Atterristes
    C’est un engagement nécessaire. Nous savons que nos choix individuels seuls sont insuffisants pour limiter suffisamment le réchauffement climatique. L’État, les collectivités territoriales, les entreprises ont aussi un rôle primordial à jouer. Notre engagement est pourtant nécessaire : un aller-retour à Bangkok pour une personne est responsable de 3 tonnes de CO2e à lui tout seul, soit l'intégralité du budget carbone individuel à horizon 2030[1]. Renoncer à l’avion (ou ne pas commencer à le prendre) est un préalable pour inventer des vies bas carbone[2]. C’est un engagement qui nous semble profondément juste. Le transport aérien est le plus polluant, le plus inégalitaire, et le moins essentiel. Il cause des dommages irréversibles pour la majorité, à l’usage d’une minorité. 80 % des humains ne sont jamais montés dans un avion. 50% des émissions du secteur sont le fait de seulement 1% de la population mondiale[3]. A quoi bon partir à Bali si notre voyage contribue à rendre l’île inhabitable ? A quoi bon plonger dans la Grande Barrière de corail australienne si cela la fragilise, voire la condamne ? C’est un engagement joyeux. Quelle satisfaction de nous sentir aligné·es avec les valeurs que nous portons au quotidien ! Nous redécouvrons la beauté et la richesse des territoires qui nous entourent. Quand nous voyageons, nous expérimentons de nouvelles aventures, à pied, à vélo, en kayak, à la voile, en train (de nuit) [4]. Ce tourisme à portée de train est plus lent, c’est indéniable. Pour nous, il est surtout plus épanouissant, plus varié. Pour les habitant·es des territoires, il est plus durable et plus résilient. La fin de l’avion, ce n’est pas la fin du voyage ou des vacances, et c'est le début d'un autre rapport au monde. Rejoignez-nous dans cette aventure, devenez Atterriste ! Nous sommes convaincu·es que si nous sommes des milliers à affirmer haut et fort que la science climatique nous oblige, au-delà de nos opinions politiques, nous pouvons amener un changement beaucoup plus large. Ensemble, atterrissons. [1] https://www.unep.org/resources/emissions-gap-report-2021 [2] https://www.resistanceclimatique.org/inventons_nos_vies_bas_carbone [3] https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0959378020307779 [4] https://www.resistanceclimatique.org/vacances_et_voyage_bas_carbone
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    Créée par Résistance Climatique Picture
  • STOP à la déviation de la RN7 à Golfe-Juan, OUI à un projet éco-responsable !
    Nous, citoyens et associations environnementales, GREENPEACE NICE, ALTERNATIBA 06, TERRE BLEUE, ANV COP-21 NICE, CITOYENS POUR LE CLIMAT, ATTAC 06, PACTES, MYSOPHIAANTIPOLIS, signons cette tribune car il y a urgence pour demander l’arrêt immédiat du projet de déviation de la RN7 sur Golfe Juan, projet désastreux porté par le département des Alpes Maritimes et approuvé par M. Leonetti (Maire d'Antibes Juan les Pins) et M. Luciano (Maire de Vallauris Golfe Juan). Ce projet rétrograde datant des années 70 va imperméabiliser une trame verte continue de 7 hectares de terres naturelles (l’équivalent de 10 terrains de foot professionnels FIFA) et couper en deux les collines, les chemins et les vallons inondables de Golfe Juan. A l’origine, ce projet devait être une voie rapide « 4 voies » mais au vu de l’urbanisation massive de la zone d’implantation, c’est désormais un boulevard urbain « 2 voies » de 2,7 Km qui permettra même de libérer des parcelles destinées à de nouveaux projets immobiliers. Le béton appelle le béton ! Cette nouvelle route de confort CANNES/ANTIBES aura des conséquences irréversibles : 1/ AGGRAVATION DU RISQUE D’INONDATION Qui a oublié les morts des inondations d’octobre 2015 ? Ce projet traversera finalement onze vallons qui ont déjà débordé en 2015 provoquant des ruissellements incontrôlables et des dégâts matériels considérables pour les habitations, les bâtiments publics et la voirie. En particulier, vous pouvez voir sur le schéma que la portion de déviation sur Golfe Juan traverse les vallons du secteur englobant l’école Gachon, proches de 2 crèches, tous en zones rouges inondables référencées par le PPRI (Plan de Prévention des Risques Inondations). Aucun des bassins de rétention prévus sur le plan technique ne pourra remplacer l’absorption de 7 hectares de terres naturelles, donc le risque d’inondation ne peut qu’augmenter à l’avenir d’autant plus que les scientifiques prévoient la multiplication des épisodes climatiques toujours plus violents, risque non pris en compte par le département. Il suffit juste de voir ce qu’il s’est passé avec la tempête Alex dans la vallée de la Roya. 2/ AUGMENTATION DU TRAFIC ROUTIER, DE LA POLLUTION DE L’AIR ET DU BRUIT. > POLLUTION EN HAUSSE Alors que l’objectif était de diminuer le nombre de véhicules sur la RN7 (Avenue de la Liberté), les études d’impact départementales montrent le contraire d’autant que certaines perpendiculaires à la déviation et le bord de mer passeront en sens unique. Une route en plus, c’est un appel d’air à toujours plus de voitures, de trafic induit, c’est un fait scientifiquement prouvé ! Qui dit plus de voitures, dit qualité de l’air dégradée alors que la commune de Vallauris Golfe-Juan fait partie des villes les plus polluées du littoral soumise aux vignettes automobiles Crit’air lors des pics de pollution. Tout cela pour gagner, d’après le département, 7 MINUTES aux heures de pointe entre Cannes et Antibes en dépensant 26 millions d’euros ! > AUGMENTATION DU BRUIT : Le déviation ne sera pas dotée de murs anti-bruit efficaces car ils augmenteraient encore plus le risque d’inondation, c’est le département qui le dit ! Les habitants perdront en qualité de vie et sur le plan sécuritaire et sanitaire ! 3/ ATTEINTE A LA BIODIVERSITE Depuis des dizaines d’années l’emplacement de cette déviation est devenu une zone verte où faune et flore favorisent la pollinisation ou la captation des gaz à effet de serre. Aucune expertise scientifique n’a été menée pour évaluer la disparition des espèces sur ce qui reste des dernières terres et finalement les derniers « poumons » de la commune de Vallauris Golfe-Juan. NOTRE PROPOSITION ALTERNATIVE ECO-RESPONSABLE Nous pouvons agir autrement pour diminuer le trafic routier, sortir du « tout voiture » tout en luttant contre le réchauffement climatique. Le développement de nouveaux modes de mobilité douce doit devenir une priorité absolue pour notre département. Nous, citoyens et associations environnementales, demandons qu’un projet éco-responsable garant de la santé, de la sécurité, de la biodiversité et de la qualité de vie des habitants remplace la déviation de la RN7. Utiliser le financement de la déviation, soit 26 millions d'euros, pour : * Financer la mobilité à l’échelle de la CASA pour sortir du "tout voiture" (pistes cyclables, augmentation de la fréquence des bus, plateforme de co-voiturage à l’échelle de la CASA, gratuité de l’autoroute à Antibes…) * Créer une régie agricole bio en circuit court à destination des cantines scolaires en impliquant les associations environnementales au projet du PAT (Plan Alimentaire Territorial) financé par la CASA grâce au contrat Horizon 2026 et en accord avec le Plan Climat-Air-Energie, * Faire des jardins partagés, une coulée verte, un parcours de santé, un éco-parc pour les familles lié à des pistes cyclables, * Replanter des espèces adaptées et patrimoniales. Nous voulons rappeler que l’Etat vient d’être condamné pour inaction climatique. Nous voulons rappeler l’Accord de Paris. Nous voulons rappeler la COP 26. Nous voulons rappeler le rapport du GIEC. Nous voulons rappeler plus localement le pacte de gouvernance de la CASA avec le plan climat-air-énergie de 2020 à 2026. Cette déviation n’ira pas dans le sens de l’Histoire car nos élus locaux piétinent tous ces engagements et ces expertises ! Cette tribune leur montre qu’ils ne pourront plus se soustraire à leurs responsabilités, qu’on les pointera du doigt à l’avenir et que désormais personne ne pourra affirmer qu’on ne savait pas. Tribune portée par des citoyens et des associations environnementales : GREENPEACE NICE, ALTERNATIBA 06, TERRE BLEUE, ANV COP-21 NICE, CITOYENS POUR LE CLIMAT NICE, ATTAC 06, PACTES, MYSOPHIAANTIPOLIS. AIDEZ-NOUS A AGIR POUR DEMANDER L'ARRÊT IMMEDIAT DE CE PROJET RETROGRADE !
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    Créée par Collectif Stop Déviation 0 6.
  • Paris, respectez le tri !
    Si certains arrondissements frôlent l'exemplarité concernant la collecte des déchets, d'autres comme le 18ème arrondissement sont encore à la traîne. Alors que des journalistes de zone interdite avaient interpellé la Mairie de Paris sur le sujet, la situation n'avait toujours pas évoluée le 09 novembre dernier. J'ai en effet pu observer, boulevard Ornano, des éboueurs vider dans le même camion poubelle : une poubelle jaune, une poubelle verte et une poubelle de rue ... De plus, il paraît invraisemblable qu'en 2021 le tri sélectif ne soit pas automatique dans toutes les poubelles de rue de la ville de Paris. Encore plus invraisemblable quand la Maire de Paris, Anne Hidalgo, se revendique appartenir au courant de pensée écologiste. Paris, il est temps de respecter le tri !
    183 sur 200 Signatures
    Créée par Marina Y.
  • STOP à la bétonisation des terres agricoles du Florival
    Aujourd'hui, la Communauté de Communes de la Région de Guebwiller (CCRG) et la commune d'Issenheim ont décidé de transformer des terres agricoles, destinées à produire notre nourriture, en espaces bétonnés. Il s'agit d'un projet de création d'une ZAC de 37 ha au lieu-dit Daweid. Ce sont ainsi en tout l'équivalent de plus de 50 terrains de football, soustraits aux espaces naturels et agricoles, qui sont en danger ! Et c'est sans compter les nombreuses zones déjà artificialisées au cours des vingt dernières années... Action Climat Florival est un collectif de citoyen⋅nes attaché⋅es à leur territoire. Nous voulons défendre notre lieu de vie et celui que nous léguerons à nos enfants. Nous nous mobilisons pour arrêter ces projets inutiles et destructeurs. Nous demandons la sanctuarisation des espaces naturels et agricoles ainsi qu’un moratoire sur tous les projets d’urbanisation massive engagés actuellement et à l’avenir sur le ban de la commune d’Issenheim. - Il y a URGENCE pour le projet Pfleck dont les travaux d'aménagement ont déjà commencé. Pour nous contacter : [email protected] et [email protected] Pour prendre connaissance du projet présenté par la CCRG et pour participer à la concertation publique : https://www.cc-guebwiller.fr/projet-de-zac-daweid/
    5 744 sur 6 000 Signatures
    Créée par Action Climat Florival
  • Sur autoroute, 110 pour le Climat et l'Ukraine ! Du concret, pas du blabla.
    Je suis un citoyen très préoccupé par la gravité de la crise climatique et surtout par notre incapacité collective à réduire effectivement les émissions de gaz à effet de serre. Et ce ne sont pas les résultats de la COP 26 fin 2021 qui vont me rassurer. Seule l’an dernier la crise sanitaire du Covid, avec ses restrictions de déplacement, a entraîné une diminution sensible des émissions (-5% mondialement, malheureusement presque déjà rattrapée en 2021) (*1). Je suis persuadé que la solution pour le climat passe par une remise en cause profonde de notre mode de vie, avec une réduction drastique de nos consommations d’énergie, car 80% de l’énergie que nous utilisons est d’origine fossile (*2), et, sauf à croire au Père Noël, on ne pourra pas remplacer tout ça par des énergies propres. Dans ce contexte, lorsqu’en juin 2020 la Convention Citoyenne pour le Climat (CCC) a présenté ses 149 propositions, celle concernant la réduction de la vitesse sur autoroute de 130 à 110 km/h m’est apparue comme particulièrement intéressante à 2 titres : 1) La réduction de consommation de carburant , donc d’émission de gaz à effet de serre (-20%), est très significative (*3). 2) Le sujet nous concerne car cette proposition est, de loin, celle qui a été la plus débattue dans les médias et la population. Très rapidement cependant, le Président a rejeté cette proposition, à cause de son impopularité supposée. Mais alors comment se fait-il qu'après 8 mois de travaux et débats sur la crise climatique et ses causes, les 150 citoyennes et citoyens choisis par tirage au sort pour faire partie de cette convention se soient retrouvés à 60% à supporter cette mesure ? Certainement parce qu'après une bonne information et un bon débat, on arrive collectivement à rendre acceptables les mesures nécessaires. (*4) La campagne pour l’élection présidentielle doit permettre de débattre sérieusement du climat, comme l’ont fait les membres de la CCC. La remise en cause de notre mode de vie est un sujet sensible, potentiellement impopulaire. Mais face à la crise climatique, notre mode de vie serait-il non négociable ? Qui peut croire qu’on ait la moindre chance de résoudre un problème aussi grave si nos élus n’osent pas parler des sujets qui fâchent ? De plus l'IFOP vient de sortir un sondage (juillet 2022) indiquant que les français soutiennent maintenant à 63% le 110 sur autoroute (*6) C’est donc à nous citoyennes, citoyens, de montrer notre détermination à lutter pour un climat vivable en appelant pour la réduction de la vitesse à 110km/h sur autoroute et en interpellant notre député pour qu'il soutienne cette mesure emblématique de sobriété. 3 actions sont proposées pour soutenir cet appel : 1) Signez la pétition et diffusez-là auprès de vos amis et de votre famille 2) Participez à la campagne 110 sur autoroute en téléchargeant l'autocollant à afficher sur votre voiture. Plus d'informations sur le site web taca : https://www.taca.asso.fr/314+comment-se-procurer-les-autocollants.html 3) Interpellez votre député, il vient d'être élu, tout à l'écoute de ses électeurs. C'est très facile à faire: https://www.taca.asso.fr/319+interpellons-notre-depute-sur-le-110-sur-autoroute.html Premières personnalités signataires : Dominique Bourg philosophe ; Cyril Dion, garant de la Convention Citoyenne pour le Climat ; Lionel Moncla, viticulteur membre de la Convention Citoyenne pour le Climat ; Pierre Verdalle retraité membre Convention Citoyenne pour le Climat; Christian de Perthuis, économiste, Denis Cheissoux (CO2 mon amour, France Inter). Associations en soutien de la campagne : Alofa Tuvalu (membre du Réseau Action Climat) ; Résistance Climatique ; Inventons Nos Vies Bas Carbone ; Echo Logis Bordeaux; Cyberacteurs Références: *1 : https://www.statista.com/statistics/276629/global-co2-emissions/ *2 : https://fr.wikipedia.org/wiki/Combustible_fossile *3 : https://blog.direct-assurance.fr/actu/rouler-a-110-au-lieu-de-130-sur-autoroute-quelles-differences *4 : https://propositions.conventioncitoyennepourleclimat.fr/objectif/reduire-les-emissions-des-gaz-a-effet-de-serre-sur-les-autoroutes-et-les-voies-rapides/ *5: https://www.franceinter.fr/emissions/l-edito-eco/l-edito-eco-du-mardi-08-mars-2022 (merci d'écouter jusqu'à la fin de cet édito!) *6: https://www.ifop.com/publication/les-francais-et-la-reduction-de-la-vitesse-a-110km-h-sur-lautoroute/
    7 949 sur 8 000 Signatures
    Créée par Association TACA
  • Non au développement d’un aéroport dédié aux plus riches au cœur du vignoble de Saint-Emilion
    Pétition initiale : Il est urgent d’arrêter le projet de développement de l’aérodrome des Artigues de Lussac pour accueillir des jets privés : un non-sens social, économique et climatique ! La CALI (communauté d’agglomération du Libournais) et la communauté de communes du Grand Saint-Emilionnais ont pour projet d’acheter l’aérodrome des Artigues-de-Lussac, afin d’y développer un aéroport international réservé à “l’aviation d’affaires”, c’est-à-dire aux jets privés (1), ce pour desservir notamment les vignobles de Saint-Emilion. Plus de 6 millions d’euros d’argent public (2) doivent ainsi être investis pour faciliter les excès des plus riches au détriment de la santé des habitants du Libournais. Dites non à ce projet aberrant ! À l’heure où les politiques demandent aux citoyen·ne·s de faire des efforts pour réduire leur empreinte carbone, n’est-il pas intolérable de les voir soutenir l’essor des jets privés, qui émettent 10 fois plus de CO2 qu’un vol commercial (3) et 500 fois plus que le train (4) ? En 1h de vol ces avions émettent 2 tonnes de CO2, c'est-à-dire les émissions annuelles autorisées par personne dans un scénario permettant de respecter l’Accord de Paris ! Au lieu d’encourager un tourisme international réservé aux plus riches de la planète, ne devrions-nous pas plutôt soutenir le tourisme local ? À l’heure où les habitant·e·s apprécient le calme de ce secteur rural, il est inadmissible d’augmenter le trafic aérien de l’aéroport qui, de part ses nuisances sonores, va affecter la santé des populations survolées et des riverain·es de l’aéroport. Pour rappel, dans un avis datant de 2004, le Conseil supérieur d’hygiène publique de France estimait que le bruit des avions ou d’un aéronef constitue un problème de santé publique. De nouvelles études confirment qu’une exposition au bruit des avions crée un risque de mortalité plus élevé sur l’ensemble des maladies cardiovasculaires et affecte l’état de santé de manière générale (5). À l’heure de restrictions budgétaires dans les services publics et dans un territoire marqué par la précarité, n’est-il pas choquant de faire cadeau de 6 millions d’euros d’argent public aux plus riches pour qu’ils puissent voler au-dessus de nos têtes en jets privés ? À l’heure où la biodiversité s’effondre, il est urgent de stopper toute nouvelle artificialisation des sols. Cet aérodrome étant déjà implanté, pourquoi ne pas le transformer en une zone d’activité économique vertueuse et compatible avec les enjeux climatiques ? Les besoins dans les métiers de la transition ne manquent pas ! Nous demandons : - L’abandon pur et simple du projet de développement de l’aérodrome des Artigues de Lussac - La fermeture de l’aérodrome actuel et à sa place, le développement d’une zone d’activité dédiée à la transition pour des emplois d’avenir et de qualité. A l’heure de l’urgence climatique et alors qu’il reste beaucoup à faire pour développer des projets viables économiquement, socialement et environnementalement, nous ne laisserons pas des intérêts privés nous voler notre avenir et notre santé. Signez et partagez cette campagne pour demander l’abandon du projet et mettre fin à cette dérive climatique ! Rejoignez-nous sur Facebook pour suivre les actualités de la lutte : https://www.facebook.com/Non-%C3%A0-la%C3%A9roport-du-Saint-Emilionnais-105670285231096 Soutiens : Extinction Rebellion Nouvelle-Aquitaine, ANV-COP 21 Gironde, Il est encore temps - Bordeaux, Youth For Climate Bordeaux Sources : (1) “La rentrée de la CALI”, Le résistant 12/09/2021 (2) Article de Sud Ouest, 07/07/2021 (3) Empreinte carbone des jets privés https://ouvaton.link/Sv6s8v (4) L'avion émet 50 fois plus de CO2 que le TGV https://bonpote.com/le-match-co2-train-vs-avion/ (5) Bruit avions https://ouvaton.link/ILZnKL
    7 326 sur 8 000 Signatures
    Créée par Les Braises .. Picture
  • STOP AU BETON - NON à l'urbanisation de 12 ha de surfaces agricoles et naturelles à HEM
    Un projet d’envergure dit « la Tribonnerie 2 » est envisagé (finalisation des études automne 2021) sur les terres cultivées de la Tribonnerie entre la rue de la Tribonnerie, la rue du Général Leclerc et la voie rapide (M6d). Il est prévu la construction de 250 à 300 logements ! Un projet sur près de 12 hectares de terres cultivées et naturelles et qui impactera en réalité plus de 20 hectares. Un projet qui - supprimerait des terres cultivées et naturelles de manière irréversible ; - impacterait la biodiversité du territoire ; - amènerait près de 600 voitures supplémentaires sur des axes déjà saturés (22 000 voitures par jour sur la voie rapide) ; - augmenterait la pollution de l'air déjà largement au-dessus de la valeur limite réglementaire (les particules PM 2,5 sont au double de la valeur et les PM 10 les dépasse largement) ; - élèverait les risques d’inondation (suppression de prairies potentiellement humides, suppression d’une zone tampon à proximité de la Marque) ; - mettrait en tension les services publics et privés (écoles, absence de transports en commun adaptés et dimensionnés, équipements…). Alors même, que la loi climat a été votée le 4 mai 2021 et dont l’objectif est de diviser par 2 le rythme d’artificialisation des sols notant que la biodiversité, le réchauffement climatique, le cycle de l’eau et les terres jouent un rôle crucial pour la planète. Alors même que le SCoT (schéma de cohérence territoriale) de l’arrondissement de Lille a pour objectif de réduire la consommation d’espaces agricoles et naturels. Alors même que le PLU 2 (Plan local d’urbanisme) de la MEL adopté le 12 décembre 2019 rappelle les objectifs d’ « utilisation économe des espaces naturels, la préservation des espaces affectés aux activités agricoles et forestières et la protection des sites, des milieux et paysages naturels » Pour rappel, la MEL bénéficie d'un des plus faibles taux d'espace naturel national soit environ 15% de son territoire. Ce projet va donc à l’encontre de toutes ces orientations et objectifs. Il est à contre sens des enjeux actuels ! « L'artificialisation des sols est aujourd'hui l'une des causes premières du changement climatique et de l'érosion de la biodiversité », dit le ministère de la Transition écologique. La transformation d'un espace naturel en sol artificialisé modifie, voire détruit, l'habitat des espèces animales ou végétales. Un sol artificialisé n'absorbe plus de CO2 et participe donc à la hausse des températures. Il perd également sa capacité à absorber l'eau de pluie, multipliant ainsi les risques d'inondations. Sur le plan agricole, l'artificialisation des sols limite la production alimentaire. Enfin, afin d'être accessibles et fonctionnels, ces terrains nécessitent quantité d'entretien et d'efforts d'aménagement, comme la construction de nouvelles routes. L’argument principal de la commune de Hem et de la MEL est de pouvoir répondre à une demande de logements, notamment les logements sociaux. Il existe sur la MEL de nombreux espaces (friches industrielles, friches commerciales, entrepôts…) encore non exploités, à valoriser et sur lesquels des nouvelles constructions ne supprimeraient pas d’espaces agricoles et naturels. Ces zones doivent être priorisées. La planification doit se faire aussi de façon régionale ! Pendant que la Métropole Européenne de Lille attire les entreprises, les commerces et l’activité ; les villes moyennes aux alentours sont parfois à la peine (perte ou stabilisation de la population, manque de dynamisme du marché de l’emploi et des commerces…). La MEL n’a pas vocation à devenir une région à elle seule ! Un autre projet est possible, répondant aux enjeux actuels et à l’urgence écologique, avec la création d’un grand espace naturel composé de forêts, de prairie et d’un espace de promenade (piétons et vélos), de biodiversité, d’agriculture locale type maraichage bio, qui préserverait les zones humides et la biodiversité, qui laisserait mieux respirer les habitants et proposerait une alimentation saine et locale. Le PLU 2 doit être modifié ; la zone concernée AUDM (urbanisation différée) doit être requalifiée en zone naturelle (NP). Pour faire entendre votre VOIX, signez cette pétition. Partagez là ! Rejoignez le collectif citoyen «la Tribonnerie autrement» : [email protected] https://www.facebook.com/latribonnerieautrement
    235 sur 300 Signatures
    Créée par La Tribonnerie Autrement
  • Non à l'Ecoparc du Genevois, sauvons les terres agricoles
    Le Projet « d’éco parc » du Genevois: 25 hectares de terres agricoles condamnées alors que Saint Julien a déjà perdu 73% de ses surfaces labourables en 10 ans. (source: chambre agriculture, Etude d’impact P122) 25 hectares qui disparaissent pour que s’installent des entreprises ou des commerces aux emplois précaires. Un coût d’aménagement de 11,7 millions d’euros qui sera supporté par les contribuables. Des conséquences désastreuses: La mort de 25hectares de terres agricoles broyées sous le béton alors que nous pourrions y produire une nourriture locale pour répondre aux défis de la souveraineté alimentaire et d’une nourriture de qualité pour tous, en mettant en place des jardins partagés et/ou un pôle agricole de proximité. Une menace de plus pour les commerces et la vie du centre ville de Saint Julien déjà en difficulté. La destruction d’un territoire de bocage repère de biodiversité aux portes de Saint Julien alors que l’urbanisation a déjà détruit des nombreux espaces naturels ces dernières années « L’éco parc », n’a donc d’écologique que le nom. Alors pour la biodiversité, pour un centre ville dynamique, pour produire une nourriture de qualité : refusons ce projet!
    196 sur 200 Signatures
    Créée par Emilie W.
  • Des arbres et une coulée verte à Saint-Mandé
    On pense aujourd’hui à demain. On plante aujourd’hui pour demain. A défaut de pouvoir éviter le choc du réchauffement climatique, on voudrait pouvoir l’amortir. Et vivre dès maintenant dans des villes plus accueillantes, plus conviviales, et plus résilientes.
    2 800 sur 3 000 Signatures
    Créée par Des arbres dans nos rues
  • Stop à la répression des activistes climat !
    Malgré les signaux catastrophiques de l'accélération du dérèglement climatique, le gouvernement français continue d'avancer à contre-courant de cette urgence, notamment en poursuivant les projets d'extensions d'aéroports. Dans le même temps, depuis le début du quinquennat Macron, l'augmentation de la répression de tout mouvement social, dont le mouvement climat, est frappante. Cette intrusion sur le tarmac de l’aéroport de Roissy le 3 octobre 2020, nous l’avons menée en connaissance de cause. Parce que nous avions épuisé tous les autres recours, c’est avec nos corps que nous avons voulu faire barrage. Nous avons pleinement conscience des risques auxquels nous expose la désobéissance civile et c'est bien la démesure des sanctions exigées à notre encontre que nous dénonçons. D'ailleurs, le bien-fondé de notre revendication a été reconnu par l'Etat, qui a officiellement annoncé l'abandon du projet de terminal à Roissy quelques mois plus tard ! Suite à cette action, en parallèle des 7 activistes aujourd'hui en procès, 84 militant·es, ont reçu une sanction administrative. Le préfet délégué à la sécurité des aéroports a décidé de sanctionner les activistes présent·es sur le tarmac par une amende de 750€. Le choix de réprimer les activistes est un donc choix délibéré de ce représentant de l’État qui n’a pas tenu compte du caractère revendicatif et légitime de cette action. Pire ! L'Etat a choisi de prononcer l’amende la plus élevée possible, insensible à nos revendications. En asphyxiant financièrement les mouvements de contestation, l'Etat exerce en réalité des tentatives d'intimidation des activistes dans leurs indispensables efforts de dénonciation de l’inaction politique face à l’urgence climatique. Et le gouvernement ne compte pas s'arrêter en si bon chemin dans sa répression démesurée ! Un projet de loi, porté par les ministres de la Transition écologique, de l'Economie et des Transports, a été adopté le 13 septembre. Cette loi, qui prévoit des sanctions accrues en cas d'intrusion sur des pistes aéroportuaires, cible très clairement les activistes climat, cherche à garantir que d'autres actions de ce type n’auront pas lieu. Il ouvre la voie à une répression systématique des actions de désobéissance civile, alors même qu'elles permettent de faire évoluer le droit dans le sens du bien commun. Pourtant, tant que le gouvernement faillira à prendre des mesures radicales et efficaces pour garantir la réduction des émissions de gaz à effet de serre, il sera de notre devoir de nous opposer à tout projet climaticide. Nous ne céderons pas à ses nombreuses tentatives de nous faire taire. Nous demandons, Messieurs le Président de la République, le ministre de l'Intérieur et le ministre de la Justice, l'arrêt des procédures administratives arbitraires et la fin de la répression des activistes non-violent·es, dont l'action est non seulement légitime, mais surtout nécessaire. N'hésitez pas à partager cette pétition à vos proches et à votre entourage ! Sources : https://reporterre.net/Plutot-que-reduire-le-trafic-aerien-le-gouvernement-veut-reprimer-les-activistes https://www.mediapart.fr/journal/france/140921/une-loi-criminalisant-l-activisme-climatique-passe-en-catimini Soutiens à cette pétition : Alternatiba/ANV-Cop 21 Greenpeace France Les Amis de la Terre Extinction Rebellion Collectif Non au T4 Notre Choix Crédit photo : Julien Hélaine
    19 367 sur 20 000 Signatures
    Créée par Alternatiba Paris
  • Pour réduire la pollution par les particules fines, mortelles
    Les interessés sont apparemment insensibles aux conséquences de cette habitude devenue normale et perpétrée partout et tout le temps. Il me semble qu'une campagne de sensibilisation par les médias pourrait être une première initiative. Ensuite un décret pour déclarer cette incroyable habitude en tant qu 'infraction
    119 sur 200 Signatures
    Créée par Michel E.
  • M. le Maire de Saint-Nazaire : libérez-nous du tout-voiture !
    Notre territoire et celles et ceux qui y vivent souffrent de la pollution de l’air, qui constitue aujourd’hui une urgence sanitaire établie. Le trafic routier porte une responsabilité toute particulière en ce qui concerne les émissions de polluants atmosphériques dangereux pour la santé et doit absolument être restreint. Le trafic routier est également l’un des premiers secteurs émetteur de gaz à effet de serre à l’échelle de notre agglomération. L’urgence climatique nous impose d’agir rapidement et de sortir de notre dépendance collective au pétrole, au transport routier et à la voiture individuelle. C'est un enjeu essentiel et pour autant l’abandon des véhicules polluants et de la logique du tout-voiture ne doit laisser personne sur le carreau. Évidemment, nous savons qu’il n’est pas toujours facile de se passer de sa voiture, mais nous pensons qu’il est de la responsabilité de nos élu.es de nous en donner les moyens, en développant les alternatives et en accompagnant le changement, notamment pour les plus fragiles d’entre nous. Monsieur David Samzun, il est grand temps d’agir pour la transition écologique et pour une mobilité urbaine adaptée aux crises sanitaire et climatique. Nous vous demandons donc : - de programmer et d’organiser la sortie des véhicules polluants dans notre ville/intercommunalité, à travers la mise en oeuvre d’une Zone à Faibles Emissions sur un périmètre géographique ambitieux, en intégrant les différentes catégories de véhicules polluants, en particulier les véhicules individuels, fixant notamment un cap de sortie du diesel à horizon 2025 et de l’essence à horizon 2030 ; - de prendre des mesures visant à réduire la place dédiée à la voiture dans notre ville/intercommunalité (mise en place de “rues scolaires”, mise en place ou développement des zones piétonnes et des zones à trafic limité, généralisation de la baisse des vitesses à 30 km/h et baisse de la vitesse sur les rocades, réduction du stationnement en voirie, etc.) et de réguler notamment la présence des véhicules les plus encombrants comme les SUV ; - d’abandonner tout projet de nouvelle infrastructure routière/autoroutière ou d’extension des capacités routières ; - de continuer à développer la solution vélo (plan vélo ambitieux à hauteur de 30€/an/hab minimum, mise en place d’un réseau express vélo métropolitain, activation des autres leviers d’un système vélo performant : stationnement sécurisé, intermodalité avec les transports en commun, services de location courte et longue durée, apprentissage pour tous, ateliers de réparation, etc.) ; - de continuer à développer le réseau de transports en commun (amélioration des fréquences et amplitudes horaires, mise en place de couloirs réservés pour les autobus, mutualisation des systèmes de billettique entre les différentes offres de transports collectifs et avec les services de mobilités alternatifs, développement des transports urbains en site propre notamment vers/entre les quartiers périphériques denses mal desservis, etc.) ; - de prévoir un accompagnement et des aides à la transition, pour soutenir les particuliers et les professionnels dans le changement de véhicule ou, mieux, de moyen de transport ; Il reste beaucoup à faire dans nos grandes villes françaises sur ce sujet de la lutte contre la pollution automobile, comme l’a démontré un classement des villes* publié en amont des élections municipales de 2020 par le Réseau Action Climat, Unicef France et Greenpeace France. La crise sanitaire Covid que nous traversons a mis une nouvelle fois en lumière la nécessité absolue d’avancer rapidement sur ces enjeux de mobilité urbaine. Sortir du tout-voiture, du diesel et de l’essence et prioriser d’autres manières de se déplacer en ville demande du courage politique et c’est indispensable pour faire face à l’urgence sanitaire et climatique. Maintenant que les élections sont passées, nous vous demandons de passer rapidement à l’action pour lutter de manière ambitieuse contre la pollution automobile, en commençant par honorer vos promesses de campagne sur ces enjeux et en prenant en compte nos demandes dans ce texte. Je vous prie d’agréer, Monsieur le Maire, l’expression de ma considération distinguée. *Source : https://www.greenpeace.fr/lutte-contre-la-pollution-de-lair-classement-des-12-plus-grandes-agglomerations-francaises/
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    Créée par Sylvie A.