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NON A LA BETONISATION DU CHEMIN DES ARMONETTES DE LA JAMAYERE à BRIGNAIS !A la mi-avril, nous découvrons des panneaux d’interdiction de passer pour piétons et des tranchées ouvertes pour travaux sur le chemin des Armonettes. Puis très vite, nous découvrons d’énormes bandes de bétons posées sur le sol. Aucune concertation, aucun arrêté ne précisent l’origine de ces travaux. Les riverains sont inquiets, perplexes, tristes. Certains pensent que ces travaux sont réalisés à la demande des agriculteurs pour pouvoir passer avec leur tracteur, mais ce n’est pas le cas ! Le chemin communal au doux nom de »chemin des Armonettes » traverse la propriété de la Jamayère en direction de Chaponost. Ce lieu 100 % agricole est un lieu privilégié, calme, tranquille bien apprécié des Brignairots et des Brignairottes. C’est un chemin à accès réglementé, seuls quelques propriétaires riverains peuvent accéder en véhicule avec une borne téléguidée. Les cavaliers, les vaches, les joggers, les familles avec leurs enfants, leurs chiens, les cyclistes viennent s’y promener, heureux d’être en pleine nature. Il est inconcevable d’accepter sans rien dire la dénaturation de ce lieu nature et paisible ! L’artificialisation des sols est aujourd’hui l’une des premières causes du changement climatique et de l’érosion de la biodiversité. Le ministère de la transition écologique français souhaite protéger les espaces naturels, en instaurant l’objectif de « zéro artificialisation nette » alias ZAN prévu par le plan Biodiversité. Il est demandé de consommer moins de terres naturelles et agricoles. Un sol bétonné est donc mort. Savez-vous qu’il faut 50 ans pour RENATURER les sols ? . En signant cette pétition, vous affirmez avec nous le plaisir de faire du vélo en pleine nature, sur des chemins de terre. Nous participons ainsi à la réduction de l’empreinte carbone. Or, les pouvoirs publics probablement poussés par un besoin exacerbé de sécurisation vont à l’encontre de cette logique en aménageant bien mais en aménageant trop, en créant des voies douces en béton, empreinte carbone maximum qui laisse des traces indélébiles chez Dame Nature. De plus, la descente de ce nouveau revêtement va être dangereux. Le ballast posé au milieu (gros cailloux anguleux, utilisé pour stabiliser les rails de voies ferrées) est très douloureux en cas de chute et donc non adapté aux piétons, aux chevaux, aux vaches. . En signant cette pétition, vous dites avec nous que d’autres solutions sont possibles comme la création d’une journée d’entretien annuelle participative pour maintenir le chemin en état dans la bonne humeur et la convivialité. Exemple : La journée annuelle de Nettoyage du Garon remporte tous les ans un vif succès. Aussi, il est interdit de modifier le paysage à moins de 500 mètres d’une bâtisse classée telle que la bâtisse La Jamayère, classée aux Bâtiments de France. . Enfin, cette artificialisation du sol aura des conséquences terribles sur la modification de l’écoulement naturel de l’eau pluviale qui humidifie les prairies de la ferme la Jamayère et qui la maintenait en zone humide (grenouilles, batraciens…). Conséquence, cette prairie va s’assécher. La chaleur sur le béton en plein été va réduire la fraîcheur entre les haies, les vaches auront moins d’herbes. Manifestez avec nous votre désapprobation d’un chantier de bétonisation d’un chemin rural situé dans un milieu agricole. Il faut aider et soutenir nos agriculteurs et agricultrices. Et pour finir sur une note poétique, voici un extrait du livre de Sylvain Tesson « les Chemins noirs » : Oh ! comme il eût été salvateur d’opposer une « théorie politique du bocage » aux convulsions du monde. On se serait inspiré du génie de la haie. Elle séparait sans emmurer, délimitait sans opacifier, protégeait sans repousser. L’air y passait, l’oiseau y nichait, le fruit y poussait. On pouvait la franchir mais elle arrêtait le glissement de terrain. A son ombre fleurissait la vie, dans ses entrelacs prospéraient des mondes, derrière sa dentelle se déployaient les parcelles. » Pour la Nature, Merci de signer cette pétition et de la diffuser le plus largement possible !820 sur 1 000 SignaturesCréée par Collectif de citoyen-nes
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PROTÉGEONS NOS ENFANTS DES NUISANCES DE L'AÉRODROME DE LOGNES EMERAINVILLE32 centres scolaires, 12 500 élèves et 520 professionnels subissent quotidiennement les nuisances de l'aérodrome de Lognes-Emerainville (LFPL) ! Madame, Monsieur, l’intensité de l’activité de cet aérodrome au-dessus des écoles, collèges, universités et le manque de contrôle ne sont plus tolérables pour nos enfants. Il est de notre devoir de vous informer de ce véritable scandale sanitaire et nous sollicitons votre aide afin d’y mettre un terme pour l'année scolaire 2022/2023. L’ activité de cet aérodrome s’est fortement accrue ces cinq dernières années, nous constatons des survols systématiques de ces aéronefs de loisirs au-dessus de ces groupes scolaires à des altitudes basses, ce qui gênent l’apprentissage des enfants, mais surtout qui nous préoccupent au niveau sanitaire et sécuritaire. Ces aéronefs fonctionnent pour la grande majorité au carburant au plomb. Lors de la haute saison (mars à octobre), certains groupes scolaires sont survolés avec jusqu’à 300 mouvements par jour toutes les 45 secondes. (Pour rappel, le carburant au plomb est prohibé dans le secteur routier, preuve que cela est nocif pour la santé). Ces survols beaucoup trop fréquents, avec des aéronefs vieillissants et de plus en plus rapprochés (nous avons constaté jusqu’à 2 avions simultanés au-dessus de certain ensemble scolaire), nous inquiètent pour la santé des élèves mais aussi pour leur sécurité. Il est indéniable que les nuisances sonores, jusqu’à 80 décibels, causées par ces aéronefs de loisirs, ne permettent pas aux élèves d’être dans un cadre d’apprentissage approprié. D’autre part la procédure Covid d’aération des classes n’est pas possible car les élèves ne peuvent entendre les professeurs parler lorsque les fenêtres sont ouvertes. La charte environnementale actuelle oblige des plages de tranquillité uniquement les weekends et jours fériés, nous souhaitons que les nuisances soient réduites également les jours de semaine pour le bien être des élèves. Liste des écoles et villes concernées Zone C : Emerainville : Ecole La Mare L'embûche, Ecole Lavoisier, Ecole Malnoue 2 Croissy Beaubourg : Ecole Alfred Chartier Noisy Le grand : Collège Saint Exupery, Ecoles des Yvris Zone D : Emerainville : Ecole Jean Jaures, Collège Van Gogh Lognes : Collège Le Segrais, Ecole Le Segrais, Ecole Le Four, Ecole Le Village Noisiel : Ecole Bois de La Grange Torcy : Ecole Jean Zay, Collège Victor Schoelcher, Lycée Jean-Moulin Croissy Beaubourg : Ecole Les Lions de Beaubourg Noisy Le grand : Lycée Gobelins Hors Zone PEB : Emerainville : Ecole du Bois d'Emery Collégien : Ecole des Saules Lognes : Lycée Emily Brontë, Ecole Mandinet Noisiel : Ecole Les Noyers, Ecole La Ferme du Buisson, Lycée Gérard de Nerval, Lycée René Cassin Champs sur Marne : Collège Pablo Picasso, Ecole Pablo Picasso, Universités Cité Descartes Noisy Le Grand : Ecole Paul Serelle, Ecole Richardets, Ecole des Charmilles2 670 sur 3 000 SignaturesCréée par Association ARALE
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Marseille bétonnée Stop à l'asphyxieJ'ai 35 ans, le paysage Marseillais change je le vois évoluer puisque j'y suis née, on dirait Paris! Et ce n'est pas ce que je souhaite pour notre belle ville. L'espace doit conserver un équilibre entre les zones bétonnées et espaces naturels. Je vivais aux Escourtines dans le 11 ème quand j'étais petite, je pouvais aller dans la colline, il y avait un stade pour faire du football, un terrain de basket, j'en ai passé du temps dans ce stade à faire du vélo, lancer des ballons dans le panier, regarder l'eau de la rivière couler... Les futures générations qu'auront-elles en bas de leur immeuble? Une future super résidence! Heureusement, la colline est toujours là... Ce n'est qu'un exemple parmi d'autres dans la frénésie de construction, au détriment du bien être (notre bien être=arbres, pelouse, fleurs)253 sur 300 SignaturesCréée par Cindy H.
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Jean Castex : ne prenez plus l’avion, faites une procuration !Monsieur le Premier ministre, nous avons été surpris d’apprendre, nous, vos concitoyens et concitoyennes, votre aller-retour en Falcon du 10 avril, pour rester, tout au plus, 2h à Prades (Pyrénées-Orientales) pour voter. - Nous avons été surpris, car un tel aller-retour émet environ 5 tonnes de CO2, soit autant qu’un français pendant 6 mois. - Nous avons été surpris, car l’urgence climatique demande à chacun de faire des efforts, et qu’un premier ministre ne doit pas être exempté de ces efforts. - Nous avons été surpris, car de nombreuses alternatives existent : si votre fonction vous impose de pouvoir revenir rapidement à Paris et vous empêche de prendre le train, moyen de transport le moins émetteur, pourquoi ne pas prendre un avion de ligne, qui émet 10 à 20 fois moins que votre avion privé. Ou bien pourquoi ne pas faire une procuration à un de vos proches habitant à Prades, ce qui vous épargnerait également du temps, et de l’argent au contribuable ? - Nous avons été surpris enfin, car nous pensons qu’à la fonction que vous occupez est attachée un devoir d’exemplarité, et qu’un tel aller-retour est désormais contraire à cette exemplarité. Alors que l’urgence climatique devrait être dans tous les débats et tous les programmes, et que les prix de l’énergie explosent, il n’est pas normal que le premier ministre se déplace en Falcon pour aller voter ! Monsieur le Premier ministre, nous vous demandons de faire une procuration au lieu de prendre l’avion pour les 3 prochaines échéances électorales. Ce sont 15 tonnes de CO2 qui pourraient ne pas être émises, soit autant qu’un français pendant 18 mois ! Mais cela constituerait aussi un signal fort auprès de tous vos concitoyens et concitoyennes, qui souhaitent également faire des efforts pour le climat, mais refusent d’être les seuls à les faire. Le 3ème volet du rapport du GIEC paru le lundi 4 avril est limpide sur le sujet : sans sentiment de justice, sans réduction des inégalités, nous ne pourrons pas, collectivement, inverser la vapeur dans les temps impartis pour conserver une planète vivable. Le GIEC nous alerte depuis des années, mais ses dernières conclusions sont sans appel : les émissions devraient atteindre un pic entre 2020 et au plus tard avant 2025 dans les trajectoires modélisées à l'échelle mondiale qui limitent le réchauffement à 1,5 °C. Dans ces conditions, chaque geste compte, ainsi que chaque tonne de CO2 non émise, et permet d’enclencher des dynamiques vertueuses. Monsieur le Premier ministre, nous vous implorons, avec les mots de Julia Steinberger, climatologue co-autrice du rapport du GIEC, de "prendre ce message à cœur et de faire partie des personnes qui vont agir pour le changement. Autrement, on n’y arrivera jamais”. Monsieur le Premier ministre, montrez votre attachement à préserver une planète vivable : le 24 avril, le 12 et le 19 juin, faites une procuration !37 058 sur 40 000 SignaturesCréée par Collectif de citoyen-nes
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Non à la bétonisation du Vallon du Salut !La création d’un nouveau lotissement risque de défigurer le Vallon du Salut (Bagnères-de-Bigorre), site exceptionnel. Le vallon du Salut est un lieu privilégié de promenade des Bagnérais et Bagnéraises ; de nos hôtes (familles, amis, touristes, curistes). Salut, les allées Maintenon sont un lieu partagé, intergénérationnel, où tous les genres se croisent, ouvert à toutes et tous. Il abrite une faune et une flore très riches ainsi que le CPIE Bigorre-Pyrénées et le conservatoire Botanique National Pyrénées. La construction de 10 pavillons au cœur de ce site exceptionnel est de nature à porter atteinte à sa beauté et à son calme. Nous avons la chance d’avoir ce site exceptionnel à deux pas de la ville, n’est-il pas important de le conserver en l’état pour le bien-être et le repos de toutes et tous ? L’étroitesse des voies reliant le centre ville au vallon du Salut et aux lotissements qui le jouxtent ne permet pas de supporter l’augmentation d’une circulation déjà problématique. Alors qu’on se penche sur les mobilités pour un meilleur partage des espaces, on accentuerait un point noir déjà connu ! Nous désirons des accès partagés et sécurisés pour tous, pas un accroissement des problèmes existants. Le permis d’aménager N° PA 065 059 22 00001 déposé le 7 février 2022 au service urbanisme de Bagnères-de-Bigorre est une atteinte à ce site remarquable. Alors que l’on s’achemine vers une révision du PLUi (plan local d’urbanisme intercommunal) de Bagnères-de-Bigorre dans les années à venir, la répétition des problèmes et des résistances liées au Vallon de Salut et ses abords devraient inciter les services d’urbanisme et les élu-es à une position d’attente en refusant tout nouveau projet. Nous appelons la population à dire NON à cette construction qui nuira fortement à notre environnement et à la qualité de ce site exceptionnel. Soyez nombreux à signer la pétition, à nous rejoindre pour conserver l’intégrité du site.1 432 sur 2 000 SignaturesCréée par La Voix Verte
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A Pleyel, protégeons 600 enfants contre la pollution d’une nouvelle bretelle autoroutière !Le groupe scolaire Pleyel - Anatole France est déjà exposé à des concentrations en dioxyde d’azote (NO2) qui dépassent le seuil de pollution recommandé par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Il n’est donc pas acceptable que la mise en place d’un échangeur autoroutier à 5 bretelles emprisonne littéralement ce groupe scolaire, concentrant ainsi la majeure partie de la circulation au cœur du quartier Pleyel. Avec ce projet, ce sont entre 10 000 et 20 000 véhicules supplémentaires qui vont longer les façades des deux écoles. Dans son format actuel, l’échangeur augmentera donc la pollution de l’air, ainsi que la pollution sonore, mettant encore plus en danger la santé : - de 600 écoliers de Pleyel - des 70 très jeunes enfants, âgés de 3 mois à 3 ans, de la crèche du même quartier - des employés de ces établissements - de toutes les personnes habitant au cœur du quartier Pleyel dont les enfants qui fréquentent ces deux écoles. Nous demandons avec cette pétition la mise en place d’un projet alternatif tel que porté par les parents d’élèves, les collectifs et les associations qui y travaillent depuis près de cinq ans. Ces projets alternatifs ne modifieront pas l’échangeur mais remettront la circulation là où elle a toujours été : en périphérie du quartier Pleyel. Ainsi ce sont tous les axes et les sens de circulation dans ce dernier qu’il faudra revoir afin d’impacter le moins possible le cœur du quartier Pleyel où se trouve ce groupe scolaire et où vivent des milliers de personnes. Éloigner la circulation routière d’une centaine de mètres sera bénéfique sur la santé des enfants, c’est la première mesure d’urgence à prendre. Néanmoins, ce n’est pas suffisant. Il faudra mesurer et suivre l’évolution de la qualité de l’air que respirent les enfants. Nous demandons donc l’installation de micro-capteurs sur les façades extérieures et dans la cour des deux écoles, ainsi que le déplacement de la station AirParif qui doit être installée à proximité du groupe scolaire et des voiries : les fenêtres de plusieurs classes donnent sur les voiries et non sur la cour du groupe scolaire. Cette station et ces micro-capteurs auront deux objectifs : rendre compte de l’évolution en temps réel de la qualité de l’air au cœur du quartier Pleyel où se trouve ce groupe scolaire, et permettront de prendre d’urgence les mesures correctrices nécessaires si la qualité de l’air se dégradait (tel que nous l’anticipons suite à la mise en service de l’échangeur à 5 bretelles). En plus de ces modifications et de ce système de relevé de pollution, nous demandons la création d’un jardin public d’1,2 hectare, à côté de l’école maternelle du groupe scolaire. Il permettrait d’éloigner la circulation induite par le futur échangeur de l’A86 à Pleyel et de créer un grand îlot de fraîcheur remplaçant un axe routier comprenant 4 puis 6 voies de circulation. Malheureusement le cas des enfants du groupe scolaire à Pleyel n’est pas isolé. D’autres établissements scolaires, comme l’école Michel Servet à Lyon ou l’école Cours Julien à Marseille, pour ne prendre que deux exemples, dépassent également largement les recommandations de l’OMS. Les condamnations de l’Etat pour ne pas protéger correctement ses citoyen.nes contre la pollution de l’air se multiplient : - En 2019 l'État français a été condamné par la justice européenne, - En 2021 le Conseil d’État a condamné la France à payer une amende de 10 millions d’euros, - Le 16 juin 2023 le Conseil d’État a condamné l’État à verser des indemnités aux familles de deux enfants dont la santé a été impactée par la pollution de l’air au point de devoir déménager. Qu’attendons-nous pour prendre des mesures concrètes pour protéger nos enfants ? Monsieur Macron et Monsieur Béchu, au nom de l’État français, et pour la santé des plus jeunes, doivent réagir ! Signez la pétition ! Pour en savoir plus, visitez https://bit.ly/3woazUB ou contactez la FCPE 93 : [email protected] Les organisations signataires : https://live.staticflickr.com/65535/52021344691_94893df339_z.png19 787 sur 20 000 SignaturesCréée par Collectif pour la qualité de l'air
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"Maman j'ai arrêté l'avion" - L'appel des AtterristesC’est un engagement nécessaire. Nous savons que nos choix individuels seuls sont insuffisants pour limiter suffisamment le réchauffement climatique. L’État, les collectivités territoriales, les entreprises ont aussi un rôle primordial à jouer. Notre engagement est pourtant nécessaire : un aller-retour à Bangkok pour une personne est responsable de 3 tonnes de CO2e à lui tout seul, soit l'intégralité du budget carbone individuel à horizon 2030[1]. Renoncer à l’avion (ou ne pas commencer à le prendre) est un préalable pour inventer des vies bas carbone[2]. C’est un engagement qui nous semble profondément juste. Le transport aérien est le plus polluant, le plus inégalitaire, et le moins essentiel. Il cause des dommages irréversibles pour la majorité, à l’usage d’une minorité. 80 % des humains ne sont jamais montés dans un avion. 50% des émissions du secteur sont le fait de seulement 1% de la population mondiale[3]. A quoi bon partir à Bali si notre voyage contribue à rendre l’île inhabitable ? A quoi bon plonger dans la Grande Barrière de corail australienne si cela la fragilise, voire la condamne ? C’est un engagement joyeux. Quelle satisfaction de nous sentir aligné·es avec les valeurs que nous portons au quotidien ! Nous redécouvrons la beauté et la richesse des territoires qui nous entourent. Quand nous voyageons, nous expérimentons de nouvelles aventures, à pied, à vélo, en kayak, à la voile, en train (de nuit) [4]. Ce tourisme à portée de train est plus lent, c’est indéniable. Pour nous, il est surtout plus épanouissant, plus varié. Pour les habitant·es des territoires, il est plus durable et plus résilient. La fin de l’avion, ce n’est pas la fin du voyage ou des vacances, et c'est le début d'un autre rapport au monde. Rejoignez-nous dans cette aventure, devenez Atterriste ! Nous sommes convaincu·es que si nous sommes des milliers à affirmer haut et fort que la science climatique nous oblige, au-delà de nos opinions politiques, nous pouvons amener un changement beaucoup plus large. Ensemble, atterrissons. [1] https://www.unep.org/resources/emissions-gap-report-2021 [2] https://www.resistanceclimatique.org/inventons_nos_vies_bas_carbone [3] https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0959378020307779 [4] https://www.resistanceclimatique.org/vacances_et_voyage_bas_carbone14 146 sur 15 000 SignaturesCréée par Résistance Climatique
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STOP à la déviation de la RN7 à Golfe-Juan, OUI à un projet éco-responsable !Nous, citoyens et associations environnementales, GREENPEACE NICE, ALTERNATIBA 06, TERRE BLEUE, ANV COP-21 NICE, CITOYENS POUR LE CLIMAT, ATTAC 06, PACTES, MYSOPHIAANTIPOLIS, signons cette tribune car il y a urgence pour demander l’arrêt immédiat du projet de déviation de la RN7 sur Golfe Juan, projet désastreux porté par le département des Alpes Maritimes et approuvé par M. Leonetti (Maire d'Antibes Juan les Pins) et M. Luciano (Maire de Vallauris Golfe Juan). Ce projet rétrograde datant des années 70 va imperméabiliser une trame verte continue de 7 hectares de terres naturelles (l’équivalent de 10 terrains de foot professionnels FIFA) et couper en deux les collines, les chemins et les vallons inondables de Golfe Juan. A l’origine, ce projet devait être une voie rapide « 4 voies » mais au vu de l’urbanisation massive de la zone d’implantation, c’est désormais un boulevard urbain « 2 voies » de 2,7 Km qui permettra même de libérer des parcelles destinées à de nouveaux projets immobiliers. Le béton appelle le béton ! Cette nouvelle route de confort CANNES/ANTIBES aura des conséquences irréversibles : 1/ AGGRAVATION DU RISQUE D’INONDATION Qui a oublié les morts des inondations d’octobre 2015 ? Ce projet traversera finalement onze vallons qui ont déjà débordé en 2015 provoquant des ruissellements incontrôlables et des dégâts matériels considérables pour les habitations, les bâtiments publics et la voirie. En particulier, vous pouvez voir sur le schéma que la portion de déviation sur Golfe Juan traverse les vallons du secteur englobant l’école Gachon, proches de 2 crèches, tous en zones rouges inondables référencées par le PPRI (Plan de Prévention des Risques Inondations). Aucun des bassins de rétention prévus sur le plan technique ne pourra remplacer l’absorption de 7 hectares de terres naturelles, donc le risque d’inondation ne peut qu’augmenter à l’avenir d’autant plus que les scientifiques prévoient la multiplication des épisodes climatiques toujours plus violents, risque non pris en compte par le département. Il suffit juste de voir ce qu’il s’est passé avec la tempête Alex dans la vallée de la Roya. 2/ AUGMENTATION DU TRAFIC ROUTIER, DE LA POLLUTION DE L’AIR ET DU BRUIT. > POLLUTION EN HAUSSE Alors que l’objectif était de diminuer le nombre de véhicules sur la RN7 (Avenue de la Liberté), les études d’impact départementales montrent le contraire d’autant que certaines perpendiculaires à la déviation et le bord de mer passeront en sens unique. Une route en plus, c’est un appel d’air à toujours plus de voitures, de trafic induit, c’est un fait scientifiquement prouvé ! Qui dit plus de voitures, dit qualité de l’air dégradée alors que la commune de Vallauris Golfe-Juan fait partie des villes les plus polluées du littoral soumise aux vignettes automobiles Crit’air lors des pics de pollution. Tout cela pour gagner, d’après le département, 7 MINUTES aux heures de pointe entre Cannes et Antibes en dépensant 26 millions d’euros ! > AUGMENTATION DU BRUIT : Le déviation ne sera pas dotée de murs anti-bruit efficaces car ils augmenteraient encore plus le risque d’inondation, c’est le département qui le dit ! Les habitants perdront en qualité de vie et sur le plan sécuritaire et sanitaire ! 3/ ATTEINTE A LA BIODIVERSITE Depuis des dizaines d’années l’emplacement de cette déviation est devenu une zone verte où faune et flore favorisent la pollinisation ou la captation des gaz à effet de serre. Aucune expertise scientifique n’a été menée pour évaluer la disparition des espèces sur ce qui reste des dernières terres et finalement les derniers « poumons » de la commune de Vallauris Golfe-Juan. NOTRE PROPOSITION ALTERNATIVE ECO-RESPONSABLE Nous pouvons agir autrement pour diminuer le trafic routier, sortir du « tout voiture » tout en luttant contre le réchauffement climatique. Le développement de nouveaux modes de mobilité douce doit devenir une priorité absolue pour notre département. Nous, citoyens et associations environnementales, demandons qu’un projet éco-responsable garant de la santé, de la sécurité, de la biodiversité et de la qualité de vie des habitants remplace la déviation de la RN7. Utiliser le financement de la déviation, soit 26 millions d'euros, pour : * Financer la mobilité à l’échelle de la CASA pour sortir du "tout voiture" (pistes cyclables, augmentation de la fréquence des bus, plateforme de co-voiturage à l’échelle de la CASA, gratuité de l’autoroute à Antibes…) * Créer une régie agricole bio en circuit court à destination des cantines scolaires en impliquant les associations environnementales au projet du PAT (Plan Alimentaire Territorial) financé par la CASA grâce au contrat Horizon 2026 et en accord avec le Plan Climat-Air-Energie, * Faire des jardins partagés, une coulée verte, un parcours de santé, un éco-parc pour les familles lié à des pistes cyclables, * Replanter des espèces adaptées et patrimoniales. Nous voulons rappeler que l’Etat vient d’être condamné pour inaction climatique. Nous voulons rappeler l’Accord de Paris. Nous voulons rappeler la COP 26. Nous voulons rappeler le rapport du GIEC. Nous voulons rappeler plus localement le pacte de gouvernance de la CASA avec le plan climat-air-énergie de 2020 à 2026. Cette déviation n’ira pas dans le sens de l’Histoire car nos élus locaux piétinent tous ces engagements et ces expertises ! Cette tribune leur montre qu’ils ne pourront plus se soustraire à leurs responsabilités, qu’on les pointera du doigt à l’avenir et que désormais personne ne pourra affirmer qu’on ne savait pas. Tribune portée par des citoyens et des associations environnementales : GREENPEACE NICE, ALTERNATIBA 06, TERRE BLEUE, ANV COP-21 NICE, CITOYENS POUR LE CLIMAT NICE, ATTAC 06, PACTES, MYSOPHIAANTIPOLIS. AIDEZ-NOUS A AGIR POUR DEMANDER L'ARRÊT IMMEDIAT DE CE PROJET RETROGRADE !3 783 sur 4 000 SignaturesCréée par Collectif Stop Déviation 0 6.
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Paris, respectez le tri !Si certains arrondissements frôlent l'exemplarité concernant la collecte des déchets, d'autres comme le 18ème arrondissement sont encore à la traîne. Alors que des journalistes de zone interdite avaient interpellé la Mairie de Paris sur le sujet, la situation n'avait toujours pas évoluée le 09 novembre dernier. J'ai en effet pu observer, boulevard Ornano, des éboueurs vider dans le même camion poubelle : une poubelle jaune, une poubelle verte et une poubelle de rue ... De plus, il paraît invraisemblable qu'en 2021 le tri sélectif ne soit pas automatique dans toutes les poubelles de rue de la ville de Paris. Encore plus invraisemblable quand la Maire de Paris, Anne Hidalgo, se revendique appartenir au courant de pensée écologiste. Paris, il est temps de respecter le tri !184 sur 200 SignaturesCréée par Marina Y.
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STOP à la bétonisation des terres agricoles du FlorivalAujourd'hui, la Communauté de Communes de la Région de Guebwiller (CCRG) et la commune d'Issenheim ont décidé de transformer des terres agricoles, destinées à produire notre nourriture, en espaces bétonnés. Il s'agit d'un projet de création d'une ZAC de 37 ha au lieu-dit Daweid. Ce sont ainsi en tout l'équivalent de plus de 50 terrains de football, soustraits aux espaces naturels et agricoles, qui sont en danger ! Et c'est sans compter les nombreuses zones déjà artificialisées au cours des vingt dernières années... Action Climat Florival est un collectif de citoyen⋅nes attaché⋅es à leur territoire. Nous voulons défendre notre lieu de vie et celui que nous léguerons à nos enfants. Nous nous mobilisons pour arrêter ces projets inutiles et destructeurs. Nous demandons la sanctuarisation des espaces naturels et agricoles ainsi qu’un moratoire sur tous les projets d’urbanisation massive engagés actuellement et à l’avenir sur le ban de la commune d’Issenheim. - Il y a URGENCE pour le projet Pfleck dont les travaux d'aménagement ont déjà commencé. Pour nous contacter : [email protected] et [email protected] Pour prendre connaissance du projet présenté par la CCRG et pour participer à la concertation publique : https://www.cc-guebwiller.fr/projet-de-zac-daweid/5 811 sur 6 000 SignaturesCréée par Action Climat Florival
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Sur autoroute, 110 pour le Climat et l'Ukraine ! Du concret, pas du blabla.Je suis un citoyen très préoccupé par la gravité de la crise climatique et surtout par notre incapacité collective à réduire effectivement les émissions de gaz à effet de serre. Et ce ne sont pas les résultats de la COP 26 fin 2021 qui vont me rassurer. Seule l’an dernier la crise sanitaire du Covid, avec ses restrictions de déplacement, a entraîné une diminution sensible des émissions (-5% mondialement, malheureusement presque déjà rattrapée en 2021) (*1). Je suis persuadé que la solution pour le climat passe par une remise en cause profonde de notre mode de vie, avec une réduction drastique de nos consommations d’énergie, car 80% de l’énergie que nous utilisons est d’origine fossile (*2), et, sauf à croire au Père Noël, on ne pourra pas remplacer tout ça par des énergies propres. Dans ce contexte, lorsqu’en juin 2020 la Convention Citoyenne pour le Climat (CCC) a présenté ses 149 propositions, celle concernant la réduction de la vitesse sur autoroute de 130 à 110 km/h m’est apparue comme particulièrement intéressante à 2 titres : 1) La réduction de consommation de carburant , donc d’émission de gaz à effet de serre (-20%), est très significative (*3). 2) Le sujet nous concerne car cette proposition est, de loin, celle qui a été la plus débattue dans les médias et la population. Très rapidement cependant, le Président a rejeté cette proposition, à cause de son impopularité supposée. Mais alors comment se fait-il qu'après 8 mois de travaux et débats sur la crise climatique et ses causes, les 150 citoyennes et citoyens choisis par tirage au sort pour faire partie de cette convention se soient retrouvés à 60% à supporter cette mesure ? Certainement parce qu'après une bonne information et un bon débat, on arrive collectivement à rendre acceptables les mesures nécessaires. (*4) La campagne pour l’élection présidentielle doit permettre de débattre sérieusement du climat, comme l’ont fait les membres de la CCC. La remise en cause de notre mode de vie est un sujet sensible, potentiellement impopulaire. Mais face à la crise climatique, notre mode de vie serait-il non négociable ? Qui peut croire qu’on ait la moindre chance de résoudre un problème aussi grave si nos élus n’osent pas parler des sujets qui fâchent ? De plus l'IFOP vient de sortir un sondage (juillet 2022) indiquant que les français soutiennent maintenant à 63% le 110 sur autoroute (*6) C’est donc à nous citoyennes, citoyens, de montrer notre détermination à lutter pour un climat vivable en appelant pour la réduction de la vitesse à 110km/h sur autoroute et en interpellant notre député pour qu'il soutienne cette mesure emblématique de sobriété. 3 actions sont proposées pour soutenir cet appel : 1) Signez la pétition et diffusez-là auprès de vos amis et de votre famille 2) Participez à la campagne 110 sur autoroute en téléchargeant l'autocollant à afficher sur votre voiture. Plus d'informations sur le site web taca : https://www.taca.asso.fr/314+comment-se-procurer-les-autocollants.html 3) Interpellez votre député, il vient d'être élu, tout à l'écoute de ses électeurs. C'est très facile à faire: https://www.taca.asso.fr/319+interpellons-notre-depute-sur-le-110-sur-autoroute.html Premières personnalités signataires : Dominique Bourg philosophe ; Cyril Dion, garant de la Convention Citoyenne pour le Climat ; Lionel Moncla, viticulteur membre de la Convention Citoyenne pour le Climat ; Pierre Verdalle retraité membre Convention Citoyenne pour le Climat; Christian de Perthuis, économiste, Denis Cheissoux (CO2 mon amour, France Inter). Associations en soutien de la campagne : Alofa Tuvalu (membre du Réseau Action Climat) ; Résistance Climatique ; Inventons Nos Vies Bas Carbone ; Echo Logis Bordeaux; Cyberacteurs Références: *1 : https://www.statista.com/statistics/276629/global-co2-emissions/ *2 : https://fr.wikipedia.org/wiki/Combustible_fossile *3 : https://blog.direct-assurance.fr/actu/rouler-a-110-au-lieu-de-130-sur-autoroute-quelles-differences *4 : https://propositions.conventioncitoyennepourleclimat.fr/objectif/reduire-les-emissions-des-gaz-a-effet-de-serre-sur-les-autoroutes-et-les-voies-rapides/ *5: https://www.franceinter.fr/emissions/l-edito-eco/l-edito-eco-du-mardi-08-mars-2022 (merci d'écouter jusqu'à la fin de cet édito!) *6: https://www.ifop.com/publication/les-francais-et-la-reduction-de-la-vitesse-a-110km-h-sur-lautoroute/7 953 sur 8 000 SignaturesCréée par Association TACA
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Non au développement d’un aéroport dédié aux plus riches au cœur du vignoble de Saint-EmilionPétition initiale : Il est urgent d’arrêter le projet de développement de l’aérodrome des Artigues de Lussac pour accueillir des jets privés : un non-sens social, économique et climatique ! La CALI (communauté d’agglomération du Libournais) et la communauté de communes du Grand Saint-Emilionnais ont pour projet d’acheter l’aérodrome des Artigues-de-Lussac, afin d’y développer un aéroport international réservé à “l’aviation d’affaires”, c’est-à-dire aux jets privés (1), ce pour desservir notamment les vignobles de Saint-Emilion. Plus de 6 millions d’euros d’argent public (2) doivent ainsi être investis pour faciliter les excès des plus riches au détriment de la santé des habitants du Libournais. Dites non à ce projet aberrant ! À l’heure où les politiques demandent aux citoyen·ne·s de faire des efforts pour réduire leur empreinte carbone, n’est-il pas intolérable de les voir soutenir l’essor des jets privés, qui émettent 10 fois plus de CO2 qu’un vol commercial (3) et 500 fois plus que le train (4) ? En 1h de vol ces avions émettent 2 tonnes de CO2, c'est-à-dire les émissions annuelles autorisées par personne dans un scénario permettant de respecter l’Accord de Paris ! Au lieu d’encourager un tourisme international réservé aux plus riches de la planète, ne devrions-nous pas plutôt soutenir le tourisme local ? À l’heure où les habitant·e·s apprécient le calme de ce secteur rural, il est inadmissible d’augmenter le trafic aérien de l’aéroport qui, de part ses nuisances sonores, va affecter la santé des populations survolées et des riverain·es de l’aéroport. Pour rappel, dans un avis datant de 2004, le Conseil supérieur d’hygiène publique de France estimait que le bruit des avions ou d’un aéronef constitue un problème de santé publique. De nouvelles études confirment qu’une exposition au bruit des avions crée un risque de mortalité plus élevé sur l’ensemble des maladies cardiovasculaires et affecte l’état de santé de manière générale (5). À l’heure de restrictions budgétaires dans les services publics et dans un territoire marqué par la précarité, n’est-il pas choquant de faire cadeau de 6 millions d’euros d’argent public aux plus riches pour qu’ils puissent voler au-dessus de nos têtes en jets privés ? À l’heure où la biodiversité s’effondre, il est urgent de stopper toute nouvelle artificialisation des sols. Cet aérodrome étant déjà implanté, pourquoi ne pas le transformer en une zone d’activité économique vertueuse et compatible avec les enjeux climatiques ? Les besoins dans les métiers de la transition ne manquent pas ! Nous demandons : - L’abandon pur et simple du projet de développement de l’aérodrome des Artigues de Lussac - La fermeture de l’aérodrome actuel et à sa place, le développement d’une zone d’activité dédiée à la transition pour des emplois d’avenir et de qualité. A l’heure de l’urgence climatique et alors qu’il reste beaucoup à faire pour développer des projets viables économiquement, socialement et environnementalement, nous ne laisserons pas des intérêts privés nous voler notre avenir et notre santé. Signez et partagez cette campagne pour demander l’abandon du projet et mettre fin à cette dérive climatique ! Rejoignez-nous sur Facebook pour suivre les actualités de la lutte : https://www.facebook.com/Non-%C3%A0-la%C3%A9roport-du-Saint-Emilionnais-105670285231096 Soutiens : Extinction Rebellion Nouvelle-Aquitaine, ANV-COP 21 Gironde, Il est encore temps - Bordeaux, Youth For Climate Bordeaux Sources : (1) “La rentrée de la CALI”, Le résistant 12/09/2021 (2) Article de Sud Ouest, 07/07/2021 (3) Empreinte carbone des jets privés https://ouvaton.link/Sv6s8v (4) L'avion émet 50 fois plus de CO2 que le TGV https://bonpote.com/le-match-co2-train-vs-avion/ (5) Bruit avions https://ouvaton.link/ILZnKL7 325 sur 8 000 SignaturesCréée par Les Braises ..
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