• Projet logistique XXL à Beaugency, c’est encore et toujours NON !
    Préservons notre qualité de vie en refusant tout giga projet qui serait la porte ouverte à une bétonnisation galopante. Notre association « Beaugency, béton et camions, ça suffit ! Un développement alternatif, c’est possible ! » est une association citoyenne créée à l’occasion d’une première lutte contre l’implantation d’une plateforme logistique XXL à Beaugency. 👉 Ce que nous défendons : - Un développement à taille humaine de l'économie locale et des emplois, en concertation avec les acteurs de terrain ; - La réutilisation des friches et des locaux existants avant de bétonner ; - La préservation de l'environnement et des paysages : protection de la biodiversité, qualité de l'air, patrimoine Val de Loire Unesco, ... - Le maintien de la qualité de vie dans notre belle ville et d’une ceinture verte et agricole autour d’elle ; - Une vraie transparence démocratique, de l'écoute et de la participation, ainsi que l'équipe municipale s'y était engagée ; - Le respect des Accords de Paris sur la réduction du CO2. ⚠️ Tout nouveau projet accepté serait la porte ouverte à d’autres giga projets d’artificialisation des sols. ✍️ Signez maintenant pour dire stop ! ✍️
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  • Un moratoire pour dire stop aux projets routiers destructeurs !
    La France s'est engagée dans la Stratégie Nationale Bas Carbone et à l'objectif Zéro Artificialisation Nette (ZAN) en 2050. Ces stratégies impliquent de :  - diviser par 2 la consommation d'espace sur la décennie qui arrive par rapport à la précédente. Hors les 55 projets contestés représentent actuellement 8000 hectares d'artificialisation - diminuer de 40% nos émissions territoriales en 2030 par rapport à 1990. Mais les émissions de Gaz à Effet de Serre territoriales supplémentaires dues aux projets d'aménagement routiers prévus par l’État ne sont pas compatibles avec les objectifs fixés en la matière. Et la question du trafic induit n'est que rarement prise en compte dans les études d'impact. L’État mène donc un double discours et un double jeu. D'un côté, il fixe des objectifs chiffrés pour réduire notre impact climatique et environnemental, de l'autre, il soutient financièrement et politiquement des dizaines de projets contestables et contestés au regard des enjeux écologiques, climatiques et sanitaires. Il est encore temps de prendre un autre chemin, et de stopper la destruction des paysages et la course folle vers l'augmentation des pollutions et émissions de CO2. Le Pays de Galles l'a déjà fait, pourquoi pas nous ? Les raisons de s'opposer à tous ces projets existent, elles sont simples, et elles sont nombreuses : - Construire des routes, c'est augmenter le trafic routier et l'étalement urbain. Un nouvel aménagement routier ne fait pas gagner de temps, au contraire. Les nouvelles routes induisent du trafic, et multiplient l'artificialisation des terres naturelles et agricoles en facilitant par exemple l'implantation de zones pavillonnaires ou logistiques. Aucune nouvelle route n'a jamais réduit les embouteillages, c'est un mensonge. Au contraire elle sera très vite saturée par de nouveaux bouchons. - Construire des routes, c'est augmenter les émissions de gaz à effet de serre, alors qu’il est urgent de les réduire pour lutter contre le changement climatique. - Construire des routes, c'est détruire des milliers d'hectares d'espaces naturels, agricoles et forestiers. C'est détruire des écosystèmes, des espèces protégées, et abîmer la biodiversité. - Construire des routes c'est gaspiller 18 milliard d'euros d'argent public, 18 milliards ! Imaginez tous les services publics qui pourraient être améliorés, créés. Plus de trains, plus d'écoles et de professeurs, des hôpitaux et des soignant-es traité-es correctement, plus de moyens pour la protection de l'enfance. De l'argent au service de l'intérêt général, non pas des intérêts privés des bétonneurs ! - Construire des routes, c'est nous enfermer toujours plus dans un modèle tout voiture, insoutenable socialement comme écologiquement. L'essence, les voitures thermiques ou électriques, tout ce qui est nécessaire au transport routier, cela coûte aussi cher, très cher, à toutes les personnes qui ont besoin de se déplacer quotidiennement. La route n'est pas un moyen de transport accessible à tout le monde, et les nombreux projets d'autoroute à péage vont augmenter encore la facture des usagers.  - Construire des routes c'est augmenter la pollution chronique ou accidentelle liée à la circulation des personnes et des marchandises par la route. Les risques que ce mode de transports fait peser sur notre santé à toutes et tous, en polluant l'air que l'on respire, en menaçant les ressources en eau, et par le bruit infernal de la circulation, sont inacceptables ! Nous, collectifs en lutte contre les projets, nous unissons nos forces pour lutter contre l'artificialisation à marche forcée de nos terres agricoles et naturelles, et pour engager la nécessaire sortie de route de tous les projets climaticides. Nous demandons aux parlementaires de nous rejoindre et de soutenir les luttes, en s'engageant à soutenir à l'Assemblée Nationale et au Sénat la proposition d'un moratoire sur tous les projets routiers, dans l'attente de leur ré-examen au regard des stratégies fixées par l’État et des enjeux climatiques, écologiques et sanitaires auxquels nous faisons face. Nous demandons à Clément Beaune et Élisabeth Borne de faire preuve de bon sens, d'entendre et d'étudier cette proposition. Ce que nous voulons, ce sont des mobilités choisies, et non subies, accessibles à toutes et tous ! Soutenez, rejoignez nos luttes, demandez avec nous ce moratoire, pour mettre les routes en déroute ! - SOS Oulala Montpellier - Manche Nature - Caveirac Vaunage Nîmes - Non à l'autoroute A133-A134 Rouen - Non à un contournement Nord de Maubeuge destructeur - Vivre respirer se déplacer en Tricastin Drôme  Alternatives A480 Grenoble - Axe vert de La Ramée Toulouse  - Non à la Jonction Est à Toulouse - AutreCOM Montpellier - La Voie est Libre Castres Toulouse  - La Lutte des Sucs - Coordination La Loire Vivra Orléans - Collectif Saint Etienne de Monluc - Puma LEO Avignon - GCO Non merci Strasbourg - Non au contournement sud d’Auxerre - Collectif RN126 Castres Toulouse  - Association Nacicca Arles - Évreux Nature Environnement  - Collectif Ussel  - Collectif citoyen contre le développement du projet Sublimes routes du Vercors - Agissons pour le climat Granville Terre et Mer - Fédération Environnement Eure et Loir - Nord Écologie Conseil (contre la Lino au sud de la MEL) - Coordination Viure Pyrénées Orientales - Bien vivre en Vallespir Céret - Copra 184 IDF - Vivre sans BIP Val d'Oise - Seta  - VN33 Non merci Lyon - Agis Ta Terre Chateaubourg - Vitré Vitalu  - Non à la rocade Nord de Fougères - Eaux et Rivières de Bretagne - PassPasud2 - Collectif Les Lichens - Association CITEE Reventin Vaugris - Association ACPAT Thonon Machilly - ALTERRE St Péray - Comité de défense contre la déviation de St Christol Les Alès - Association Roya Expansion Nature - Association Sentinelle Nature 31650 - Coopérative Citoyenne Cherbourg - INATN A31bis Toul - Collectif Sequana Poissy - Collectif 924 Orne
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    Créée par Coalition La Déroute des Routes Picture
  • Les risques des trois grands projets d’aménagements routiers de La Manche
    • Des projets inutiles au vu de l’évolution démographique • Le trafic est en stagnation depuis plusieurs années sur les axes routiers concernés1. Ce constat reflète un taux démographique négatif sur l’ensemble de la Manche. La population du département est en diminution, qui plus est sa tranche active (15-64 ans) qui a diminué de 9% entre 2008 et 20192. Cette tendance ne semble pas près de s’inverser : « Si les tendances démographiques récentes se prolongeaient, le nombre de seniors manchois progresserait de 17 % d’ici à 2030 »2. De tels projets d’infrastructures apparaissent donc totalement inadéquats au regard des évolutions démographiques à venir. 1 DDTM 50 / 2 insee.fr • Un coût financier outrancier pour le contribuable • Les coûts de ces projets sont vertigineux : plus de 96 Millions d’euros pour l’axe Saint-Lô – Coutances (estimation 2021 que l’on sait d’ores et déjà largement sous-estimée), au moins 47 Millions d’euros pour la rocade Ouest de Cherbourg (estimation 2008). Par ailleurs, 69 Millions d’euros ont déjà été investis par le conseil départemental et la région Normandie pour les contournements de Marcey-les-Grèves et Sartilly (Axe Granville-Avranches). Sans compter les coûts liés aux compensations écologiques de ces travaux, ni l’augmentation majeure du prix de l’énergie et des matières premières qui induiront automatiquement des surcoûts considérables. Comment ne pas s’indigner de ces choix d’investissement d’argent public alors que la France traverse une crise économique et énergétique majeure et que les Français sont appelés à plus de sobriété ? • Des conditions de vie dégradées pour les habitants du territoire • La circulation de véhicules à 110 km/h près d’habitations, ce sont autant de nuisances auditives, visuelles, olfactives supplémentaires pour les habitants du territoire ! Sans compter la pollution de l’air qui sera aggravée par les vitesses autorisées sur les 2x2 voies ! • Des infrastructures aggravant les conditions de circulation • Paradoxalement, la création de nouvelles routes dans un réseau routier peut réduire la performance globale de ce réseau, lorsque les entités se déplaçant choisissent leur route individuellement (Paradoxe de Braess1). Cet effet concerne l’axe Saint-Lô-Coutances par exemple, dont la construction risque de renforcer l’effet goulot d'étranglement sur les 2 giratoires situés aux 2 bouts de l'axe, mais également sur la commune de La Chapelle - Belval. Sur l’axe Granville-Avranches, on risque de la même façon de voir s’accroître l’effet entonnoir aux principales sorties de cet axe en concentrant les automobilistes qui souhaitent emprunter la route la plus efficace. Un effet totalement contre-productif et de l’argent public d’autant plus gaspillé ! • Des projets en inadéquation avec la politique nationale de revitalisation des centres villes • Le renforcement des centres villes est prôné par les programmes politiques et notamment Petites Villes de Demain. L’urbanisation le long d’un nouvel axe ne paraît ni entrer en cohérence avec cette stratégie, ni être réalisable au regard de l’enveloppe foncière restante au niveau départemental. De nombreux bourgs et petites communes situées de long des axes routiers risquent de devenir des villages dortoirs. • Une fragilisation accrue de notre agriculture • Comment ne pas s’inquiéter également pour l’agriculture de notre département, territoire productif où l’on espère pouvoir consommer toujours plus localement. Les projets routiers sont très gourmands en consommation foncière et risquent de nuire à la production agricole du département, déjà fragilisée par les aléas climatiques en hausse et la conjoncture économique. Sur l'axe Saint-Lô – Coutances par exemple, pas moins de 85 exploitations agricoles, parmi lesquelles des terres bio et AOP, risquent d’être affectées par la parcellisation et l’artificialisation des zones agricoles. Une incohérence totale vu le contexte actuel de tension pour la sécurité alimentaire de notre pays. • Une aberration environnementale, des déséquilibres écologiques aggravés • Alors que la COP 27 se tient en Egypte, comment ne pas dénoncer le non-sens écologique de ces projets ! La construction de routes supplémentaires, ce sont autant de surfaces non végétalisées qui rendent encore plus difficile la résilience de notre environnement face aux étés caniculaires. Ce sont aussi toujours plus de faune et de flore saccagées par la bétonisation, toujours plus de zones humides détruites (250 concernées sur l’axe Saint-Lô-Coutances, zones essentielles pour la reproduction des amphibiens ainsi que pour les équilibres hydrologiques). Ce sont également des cours d’eau fortement impactés par un ruissellement plus important et une diminution de la possibilité d’infiltration de l’eau de pluie par les sols. Ce sont enfin des zones boisées encore plus morcelées, tel que le bois du Mingrey, dont les chemins d'accès des grands mammifères seraient impactés et qui déserteraient ce bois qu'ils affectionnent. Le collectif D972, l'association Agissons pour le climat Granville Terre et Mer et Extinction Rébellion Sud Manche se rassemblent aujourd'hui pour pour demander une vraie concertation citoyenne et trouver des solutions alternatives !
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    Créée par Philippine B.
  • Clermont-Ferrand : Stop au gaspillage énergétique !
    Nous, citoyens et citoyennes de Clermont-Ferrand demandons expressément la mise en place de mesures de bon sens et d’économie d’énergie. Un cadre légal existe, mais il est non seulement mal appliqué, mais en plus largement insuffisant face aux enjeux de sobriété auxquels nous faisons face. Pour le climat et pour nos factures d’électricité, Clermont-Ferrand se doit d’être exemplaire ! A l’heure où nous sommes appelés, collectivement et individuellement, à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. L’effort fourni doit être réparti de façon juste et ne pas peser uniquement sur les citoyens et citoyennes. Aussi, l’effort ne doit pas affecter en premier lieu des services publics essentiels comme l’éducation ou le sport, mais bien commencer par interroger nos usages de la publicité superflue ! Alors que le gouvernement prévoit l’interdiction des publicités lumineuses entre 01H00 et 06H00 du matin (à l'exception des aéroports, gares ou stations de métro), cette mesure est loin d’être suffisante face au nombre croissant de ces panneaux inutiles qui n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme l’équivalent en moyenne des besoins d’ un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager*, laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique est donc absurde ! Notre territoire a le pouvoir d’aller plus loin à travers le règlement local de publicité et de montrer l’exemple pour être à la hauteur des enjeux. Notre ville doit prendre les mesures suivantes de manière urgente, et sans attendre le pic de l’hiver où les tensions énergétiques se feront ressentir. Nous demandons : - L’extinction des panneaux lumineux et écrans publicitaires en continu, et pas uniquement de 1h à 6h du matin. - L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin, et pas uniquement de 1h à 6h du matin. - L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés - L’extinction des lumières des bureaux dès la fermeture De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées au-delà de la période de tension hivernale, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. D’autres villes comme Lyon ou Paris ont déjà mis en place des mesures plus fortes pour réduire leur consommation énergétique et s’inscrire dans le bon sens d’une sobriété choisie et responsable. Notre ville aussi doit s’inscrire dans le sens de l’Histoire et mettre en place des solutions ambitieuses ! Greenpeace Clermont-Ferrand, Extinction Rébellion Clermont-Ferrand, Alternatiba 63 et ANV Cop21 63 Source : *Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer)
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    Créée par Greenpeace Clermont-Ferrand, Extinction Rebellion Clermont-Ferrand, ANV-COP21 63 et Alternatiba 63
  • Laisse béton honfleur lutte contre l’artificialisation des terres cultivées à Honfleur
    Notre ville d’honfleur connaît une croissance des constructions exponentielles depuis 30 ans ,en perdant 2,1 % de sa population chaque année . En 2026 , elle pourrait compter un logement par habitant. Non contente de remplir les dents creuses et de convertir les friches industrielles, la municipalité s’attaque aux terrains agricoles au détriment des habitants de la ville haute venus s’y réfugier pour échapper au tourisme de masse à présent hors de contrôle . La loi climat et résilience est ignorée . Le plan d’urbanisme pour la communauté de communes est de nouveau en discussion. Rejoignez nous pour sanctuariser les zones agricoles et naturelles et transformer les zones à urbaniser en zone agricole.Sans intervention des citoyens la zone bucolique du plateau deviendra un quartier où les champs auront été remplacés par les immeubles la voiture et le béton . Il ne suffit pas de dire que le quartier est écologique pour pouvoir bétonner. https://m.facebook.com/profile.php?id=100085706020901
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    Créée par Laisse Béton
  • Sauvons les dernières terres fertiles de Nantes !
    ◼ Pourquoi luttons-nous ? ✊ Stop à l’artificialisation des sols à Nantes Sauvons les dernières terres fertiles pour une agriculture bio et locale à Nantes Canicules, sécheresses, incendies, inondations, … Après l’été désastreux que nous venons de passer, plus rien ne justifie l’artificialisation de terres et de zones naturelles. 🔥 Les scientifiques ont démontré depuis longtemps déjà que l’artificialisation est l’une des causes majeures de la pollution et des dérèglements climatiques. Localement, un GIEC Pays de la Loire s’est formé et a publié un rapport alarmant, pointant du doigt la très rapide artificialisation des sols de la région, en particulier en Loire-Atlantique. Ce département est effectivement l’un des plus bétonnés de France, où 15 % des sols sont déjà artificialisés, soit 6 points de plus que la moyenne (trop élevée) en France. La situation est claire : préservons les terres, arrêtons la bétonisation. 🏢 Pourtant, Nantes Métropole s’obstine avec le projet de ZAC Doulon-Gohards qui prévoit l’artificialisation de 50 hectares de terres maraîchères et naturelles à Nantes, soit 7 fois le jardin des plantes de Nantes. Personne n'est dupe de la tentative de greenwashing de la métropole, en mettant en avant l’installation de petites fermes qui ne cultiveront que 9 ha de terres. Si elles sont les bienvenues, les fermes urbaines sont l'arbre qui cache le désert de la bétonisation. Pendant ce temps, Nantes métropole autorise l'extension du centre commercial Paridis, vaste zone déjà artificialisée. Nous n’avons pas besoin de plus de zones commerciales, de bureaux et de “loisirs”. Arrêtons cette fuite en avant. Les 72 000 m2 d’extension prévue pourraient permettre la construction d’environ 2 000 logements. Nantes métropole doit entendre les avertissements climatiques de cet été et mettre un point d’arrêt à ces projets écocidaires. Plantons des légumes à Doulon, construisons des logements à Paridis. Plus généralement, avec le projet de la ZAC Doulon Gohards et l’artificialisation galopante dans l’agglomération posent la question de la croissance très rapide de Nantes et des politiques de métropolisation. Cela n’a plus aucun sens ni écologiquement, ni socialement, de vouloir faire grossir nos grandes villes à tout prix. Il faut arrêter ce schéma qui produit toujours plus d’inégalités sociales et territoriales, et de pollution. Ce qui se joue ici à Doulon, c’est plus que la destruction insupportable de zones naturelles. Ce qui se joue à Doulon, c’est la contestation de tout un modèle et la promotion d’une autre ville, pour une autre vie. ◼ Qui sommes-nous ? Le collectif Sauvons les Gohards, ce sont des habitantes, habitants et militant•es écologistes qui refusent de voir les dernières terres de Nantes disparaître sous le béton ! En 2022, avec tout ce que l’on sait des conséquences de l'artificialisation, il est inimaginable de continuer à tout détruire. ✋ Merci déjà à Alternatiba Nantes, GIGNV, Extinction Rebellion Nantes, Youth For Climate Nantes, Terres de luttes, Maison du peuple de Nantes, Collectif Nantes-nord pour une écologie citoyenne, Nantes en commun, Union Communiste Libertaire Nantes - UCL Permabocage, le jardin des ronces et le Mouvement national de lutte pour l'environnement PDL, de leur soutien ! On invite toutes les personnes et organisations qui le souhaitent à rejoindre cette mobilisation pour le vivant, et à soutenir la mobilisation à leur manière ! ◼ Pourquoi il y a urgence maintenant ? Les travaux sur la première zone ouest des Gohards, peuvent commencer dès l’automne, c’est donc maintenant que nous devons nous mobiliser. C’est la combinaison des modes d’action juridiques et de résistance sur le terrain qui peut nous faire emporter une nouvelle bataille pour le vivant. ◼ Quelles actions ont déjà été menées ? ✊ Sur le plan juridique nous avons déposé deux recours : un premier contre l’Autorisation environnementale accordée par la Préfecture, et un second contre le permis de construire de la première zone du projet. ✊ Sur le plan de la mobilisation nous avons organisé le 1er octobre notre première journée d’action de résistance : nous avons planté le verger-potager des Gohards sur le premier champ menacé. Près de 400 personnes ont participé et soutenu cette action, et ce, malgré la pluie incessante ! ◼ Plus d’information sur les enjeux : La ZAC Doulon-Gohards, c'est : 🔹 L'artificialisation de 50 hectares de terres maraîchères et naturelles à Doulon 🔹 Un énième projet d'étalement urbain : 2 700 logements, parking-immeuble, ... 🔹 Destruction de la faune et de la flore et des espaces de promenades sauvages 🔹 Des travaux jusqu'en 2035 ◼ Dès l'automne, destruction des Gohards Ouest : 🔹 Artificialisation de 2,5 ha de terres maraîchères et naturelles (au bord du ruisseau des Gohards 🔹 La destruction d’un bois de bouleaux à l'ouest 🔹 1 parking-immeuble de 20 m de haut 204 logements dont des immeubles de 5 étages à 10m du ruisseau des Gohards d'ici 2025 🔹 1 seule voie d'accès rue Henri Loiret pour 400 voitures supplémentaires ! 🔹 Des maisons de 10 m de haut juste derrière l'avenue de l'horticulture 🔹 La remise à l'air libre du ruisseau des Gohards au niveau du stade : risque d'inondations annuelles des maisons aux alentours Merci pour votre soutien ! 🎺 “Nantes Métropole détruit nos sols, protégeons nos terres agricoles !” ➡ Nos réseaux sociaux : Le Facebook du collectif : https://www.facebook.com/profile.php?id=100085447885693 Sur instagram : https://www.instagram.com/sauvonslesgohards/ Twitter : https://twitter.com/GohardsEnDanger
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    Créée par Ecureuil G.
  • Non à la LGV Bordeaux Toulouse : une aberration économique, écologique et sociale
    Le projet LGV Bordeaux - Toulouse - Dax est une aberration tant sur le plan financier qu'écologique et social. Il a été largement refusé par la population lors d'une enquête d'utilité publique le 30 mars 2015. La commission d’enquête publique, à la majorité de ses membres, émet un avis défavorable relatif au projet LGV, 90% des votants ayant voté contre. Madame Borne, alors ministre des transports, avait "enterré" le dossier. Or, en fin de mandature de Monsieur Macron... il réapparaît.  Une nouvelle Commission d'enquête environnementale s'est tenue du 15 juillet au 28 août 2024. 2800 participants ; 92% d'avis défavorables. Pas une ligne n'évoque ce résultat ni sur le rapport "favorable" de la commission d'enquête ni dans le communiqué de presse du Préfet Guyot qui se félicite pourtant de la participation !!! Rappelons l’impact néfaste de ce projet sur les habitants, la biodiversité et le paysage :  - Ce projet détruira 403 propriétés bâties, un cimetière à Roquefort, une station d’épuration, huit sites Natura 2000, 413 espèces animales et végétales dont 197 protégées, la vallée du Ciron (classée exceptionnelle) ainsi que des paysages jusque là intacts. - 53 millions de m3 de matériaux devront être déplacés soit 2 360 camions par jour pendant 10 ans. - Une taxe spéciale va être créée pour 3 000 communes TSE soit près de 5 millions d’habitants qui, pour la plupart, ne prendront jamais ce train ! Les villes intermédiaires n’étant même pas desservies, ce projet est réellement déconnecté des besoins de la région. Les collectivités territoriales ont signé un chèque en blanc à l'état puisqu'elles s'engagent à combler les déficits. - Ce projet, estimé à 14 milliards d'€, à ce jour, ne sera pas soutenu par L'Union Européenne. Madame Karima Delli, Présidente de la Commission transports au Parlement Européen ayant déclaré à Lyon le 22 juin 2022 : “Nous n’avons pas retenu le projet de ligne à grande vitesse GPSO. Il nous a semblé que les alternatives fondées sur les lignes existantes permettraient de diminuer fortement l’empreinte environnementale du projet et seraient plus utiles à la mobilité quotidienne des habitants.” Ce projet permettrait de “gagner du temps” et de développer les territoires. De quoi parle-t-on réellement ?  - D’un un gain de temps minime : Paris - Toulouse sans arrêt : 36 minutes de “gagnées”; avec arrêts à Agen et Montauban : 26 minutes de “gagnées”. - Par ailleurs, un train qui ne s’arrête pas dans les gares ne peut contribuer à l’aménagement du territoire… Marmande, Langon… Agen est une agglomération qui se développe très bien avec le TGV actuel, et notons que Toulouse est largement desservie par l’avion (qui n’est pas la meilleure solution écologique), le train de nuit remis en service, et le TGV Paris Bordeaux Toulouse.  - Mont de Marsan marginalisée, en 2027 l’Espagne fera circuler des trains jusqu’à la frontière à 250km/h mais sur des voies différentes que celles utilisées en France. Une grande partie des habitants va donc subir les taxes, les destructions, la pollution, les nuisances sans profiter de ce train qui leur passera sous le nez. La priorité est donc la réhabilitation des lignes existantes, des lignes du quotidien, des trains de nuit et du fret. Ces arguments visant à la rénovation des voies existantes rejoignent ceux de la Cour des Comptes, du Conseil d’analyse économique et social, de la Commission des finances de l’Assemblée Nationale, de la Commission économique du Sénat, des Assisses ferroviaires, du CESE, de dizaines d’élus du Sud-ouest, d’associations (Trans’Cub, Sepanso 33, France Nature Environnement, TGV en Albret, Stop LGV 47, NINA et bien d’autres associations y compris de chasseurs…). Si tous ces arguments (montages financiers plus que fragiles, taxes imposées aux riverains, destruction de forêts et de paysages) ont convaincu les députés européens de refuser leur soutien, rien n’est gagné. L'autorité environnementale et le conseil national de la protection de la nature ont émis deux avis défavorables en pointant "des lacunes rédhibitoires" dans les dossiers présentés. Signons la pétition massivement pour dénoncer ce projet et bloquer ces financements ! Il est important de faire entendre nos voix trop méprisées jusqu’alors, aidez-nous ! Pour que ce projet soit définitivement enterré, il est urgent de se mobiliser. Nous demandons à Monsieur Barnier, Madame Carole Delga, Monsieur Alain Rousset de travailler en concertation avec la population sur une solution alternative de réhabilitation des lignes existantes. Soutiens de la pétition : TGV-albret (qui regroupe nombre d’associations), Collectif stop LGV Bordeaux Métropole (pour les transports du quotidien), Association de sauvegarde des Landes de Gascogne, l’ASDLG de Saint Martin de Curton, Stop LGV 47 et NINA, LGV non merci....
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    Créée par Marie A.
  • STOP A L'ABATTAGE SYSTÉMATIQUE DES ARBRES
    STOP à l'ABATTAGE SYSTÉMATIQUE DES ARBRES A SAVIGNY SUR ORGE A l’heure où les villes amplifient la végétalisation des façades, des espaces communs et des rues, pour limiter l’impact carbone et abaisser les températures, au mois d'avril dernier, de nombreux saviniens ont été scandalisés par l'abattage de près d'une centaine d'arbres qui bordaient l'avenue Carnot et quelques semaines plus tard, c'était le tour de trois arbres de la rue des Palombes. Pourtant il y a un peu plus d'un an, lors d'une réunion publique, une grande majorité de nos concitoyens voulait conserver ces arbres dans la mesure où ils étaient sains, en ne procédant qu'à des remplacements progressifs en variant les espèces. Les conséquences de cet abattage brutal viennent récemment d'être ressenties par les riverains : plus aucune protection contre la chaleur intense, et pour de nombreuses années, alors que la multiplication des épisodes caniculaires devient réalité. La destruction de ces arbres est une catastrophe environnementale, elle réduit la présence d'oiseaux et d'insectes, élément de la biodiversité qui doivent être préservés et développés dans nos villes. Cette action contredit les données scientifiques actuelles, et les réglementations qui s'ensuivent, qui imposent la végétalisation des villes. Nous estimons que l'on ne doit pas dégrader davantage la qualité de vie et la santé des Saviniens pour quelques places de parking supplémentaires. M. le Maire ne faites plus abattre d'arbres sans en faire apparaître la nécessité absolue, et sans concertation avec les riverains. ELAN-SAVIGNY ENVIRONNEMENT 12 Grande Rue 91600 SAVIGNY SUR ORGE Association Loi 1901 NO W913001582 Site : htpps://elansavignyenv.org Courriel : [email protected] Tel : 01 84 18 00 92
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    Créée par ELAN-SAVIGNY ENVIRONNEMENT Picture
  • STOP au projet de classement de 22 300 m² en zone à urbaniser à Orcet
    Le PLUi (Plan Local d'Urbanisme intercommunal) de Mond'Arverne Communauté prévoit le reclassement à Orcet de 2,23Ha actuellement classée agricole (A) en zone à urbaniser (AUB) ; reclassement s’accompagnant d’une Opération d’Aménagement Programmée dite « O.A.P. de la rue des vergers » prévoyant un front bâti avec activités (non précisées) et de l’habitat. Nous sommes opposés au classement en zone à urbaniser sur cette zone pour les raisons suivantes : - Suppression de terres cultivables : cette surface est actuellement composée de jardins familiaux et de champs, le projet entrainera une perte définitive de ces terres nourricières. - Suppression d’une zone d’intérêt environnemental : les champs sont entrecoupés de haies et bosquets et le secteur est proche de l’Auzon. Cette zone fait partie de la trame verte et bleue, réseau permettant aux espèces animales de s’alimenter, se reproduire, se reposer et assurer ainsi leur cycle de vie. - Création d’activités délocalisées par rapport aux lieux de vie du village : la localisation d’activités à cet endroit entrainera une pérennisation de l’usage de la voiture (situation le long d’une route et éloignée de l’école, halte-garderie, maisons senior) avec les conséquences connues sur le climat et la santé et un risque d’abandon progressif des activités du centre bourg « moins accessibles » en voiture. - Imperméabilisation des sols : les sols naturels seront recouverts par des revêtements et des bâtiments entrainant une artificialisation des sols. Les conséquences sont l’augmentation des risques d’inondation (limite de la zone inondable de l’Auzon), la pénurie d’eau (infiltration des sols réduite, impact possible sur la zone humide limitrophe) et de réchauffement (ilot de chaleur créé par les surfaces artificialisées) - Impact sur le paysage : la zone est longée par un chemin de petite randonnée permettant une vue dégagée sur le bourg d’Orcet. Celui-ci ne sera plus du tout visible depuis ce chemin. Le projet dégradera l’entrée du lotissement des Queuilles (intérêt paysager du parc et de la bâtisse du château). Le processus d'élaboration du PLUi arrive sur les phases finales d'élaboration: il est urgent de se mobiliser! Auteur : Collectif stopurba63
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    Créée par StopUrba63
  • Montpellier : Contre le projet immobilier destructeur !
    J'habite Montpellier à Port Marianne. J'ai vu sur ce superbe jardin avec magistral micocoulier, un olivier, plusieurs fruitiers, feuillus et résineux. Ce jardin abrite à lui tout seul plusieurs espèces de passereaux comme des moineaux, rougequeues noir, verders, tourterelle, merle, pie et des groupes d'étourneaux lors des migrations. J'ai même pu faire la constatation (sonore) deux années de suite qu'il y avait des chouettes hulottes qui passaient le soir à la recherche d'un partenaire. Aujourd'hui ce petit espace de biodiversité niché entre les résidences va être rompu. Ils ont pour projet de couper les arbres pour construire la nouvelle résidence nommée Australis. Je ne sais pas quoi faire, je ne peux pas rester les bras croisés ça fait 10 ans que j'habite cette ville et j'ai vu trop de jardins rasés pour du béton. Le maire élu avait promis d'arrêter les constructions abusives au profit d'une ville plus verte, une ville-parc. C'est l'occasion de revoir sa copie ! Pour que ce jardin puisse rester un réservoir à biodiversité et montrer qu'on peut penser des projets autour du vivant comme un potager urbain en lien avec l'association du quartier plutôt que des constructions de résidences qui nous éloignent les uns des autres.
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    Créée par Catherine P.
  • NON A LA BETONISATION DU CHEMIN DES ARMONETTES DE LA JAMAYERE à BRIGNAIS !
    A la mi-avril, nous découvrons des panneaux d’interdiction de passer pour piétons et des tranchées ouvertes pour travaux sur le chemin des Armonettes. Puis très vite, nous découvrons d’énormes bandes de bétons posées sur le sol. Aucune concertation, aucun arrêté ne précisent l’origine de ces travaux. Les riverains sont inquiets, perplexes, tristes. Certains pensent que ces travaux sont réalisés à la demande des agriculteurs pour pouvoir passer avec leur tracteur, mais ce n’est pas le cas ! Le chemin communal au doux nom de »chemin des Armonettes » traverse la propriété de la Jamayère en direction de Chaponost. Ce lieu 100 % agricole est un lieu privilégié, calme, tranquille bien apprécié des Brignairots et des Brignairottes. C’est un chemin à accès réglementé, seuls quelques propriétaires riverains peuvent accéder en véhicule avec une borne téléguidée. Les cavaliers, les vaches, les joggers, les familles avec leurs enfants, leurs chiens, les cyclistes viennent s’y promener, heureux d’être en pleine nature. Il est inconcevable d’accepter sans rien dire la dénaturation de ce lieu nature et paisible ! L’artificialisation des sols est aujourd’hui l’une des premières causes du changement climatique et de l’érosion de la biodiversité. Le ministère de la transition écologique français souhaite protéger les espaces naturels, en instaurant l’objectif de « zéro artificialisation nette » alias ZAN prévu par le plan Biodiversité. Il est demandé de consommer moins de terres naturelles et agricoles. Un sol bétonné est donc mort. Savez-vous qu’il faut 50 ans pour RENATURER les sols ? . En signant cette pétition, vous affirmez avec nous le plaisir de faire du vélo en pleine nature, sur des chemins de terre. Nous participons ainsi à la réduction de l’empreinte carbone. Or, les pouvoirs publics probablement poussés par un besoin exacerbé de sécurisation vont à l’encontre de cette logique en aménageant bien mais en aménageant trop, en créant des voies douces en béton, empreinte carbone maximum qui laisse des traces indélébiles chez Dame Nature. De plus, la descente de ce nouveau revêtement va être dangereux. Le ballast posé au milieu (gros cailloux anguleux, utilisé pour stabiliser les rails de voies ferrées) est très douloureux en cas de chute et donc non adapté aux piétons, aux chevaux, aux vaches. . En signant cette pétition, vous dites avec nous que d’autres solutions sont possibles comme la création d’une journée d’entretien annuelle participative pour maintenir le chemin en état dans la bonne humeur et la convivialité. Exemple : La journée annuelle de Nettoyage du Garon remporte tous les ans un vif succès. Aussi, il est interdit de modifier le paysage à moins de 500 mètres d’une bâtisse classée telle que la bâtisse La Jamayère, classée aux Bâtiments de France. . Enfin, cette artificialisation du sol aura des conséquences terribles sur la modification de l’écoulement naturel de l’eau pluviale qui humidifie les prairies de la ferme la Jamayère et qui la maintenait en zone humide (grenouilles, batraciens…). Conséquence, cette prairie va s’assécher. La chaleur sur le béton en plein été va réduire la fraîcheur entre les haies, les vaches auront moins d’herbes. Manifestez avec nous votre désapprobation d’un chantier de bétonisation d’un chemin rural situé dans un milieu agricole. Il faut aider et soutenir nos agriculteurs et agricultrices. Et pour finir sur une note poétique, voici un extrait du livre de Sylvain Tesson « les Chemins noirs » : Oh ! comme il eût été salvateur d’opposer une « théorie politique du bocage » aux convulsions du monde. On se serait inspiré du génie de la haie. Elle séparait sans emmurer, délimitait sans opacifier, protégeait sans repousser. L’air y passait, l’oiseau y nichait, le fruit y poussait. On pouvait la franchir mais elle arrêtait le glissement de terrain. A son ombre fleurissait la vie, dans ses entrelacs prospéraient des mondes, derrière sa dentelle se déployaient les parcelles. » Pour la Nature, Merci de signer cette pétition et de la diffuser le plus largement possible !
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    Créée par Collectif de citoyen-nes Picture
  • PROTÉGEONS NOS ENFANTS DES NUISANCES DE L'AÉRODROME DE LOGNES EMERAINVILLE
    32 centres scolaires, 12 500 élèves et 520 professionnels subissent quotidiennement les nuisances de l'aérodrome de Lognes-Emerainville (LFPL) ! Madame, Monsieur, l’intensité de l’activité de cet aérodrome au-dessus des écoles, collèges, universités et le manque de contrôle ne sont plus tolérables pour nos enfants. Il est de notre devoir de vous informer de ce véritable scandale sanitaire et nous sollicitons votre aide afin d’y mettre un terme pour l'année scolaire 2022/2023. L’ activité de cet aérodrome s’est fortement accrue ces cinq dernières années, nous constatons des survols systématiques de ces aéronefs de loisirs au-dessus de ces groupes scolaires à des altitudes basses, ce qui gênent l’apprentissage des enfants, mais surtout qui nous préoccupent au niveau sanitaire et sécuritaire. Ces aéronefs fonctionnent pour la grande majorité au carburant au plomb. Lors de la haute saison (mars à octobre), certains groupes scolaires sont survolés avec jusqu’à 300 mouvements par jour toutes les 45 secondes. (Pour rappel, le carburant au plomb est prohibé dans le secteur routier, preuve que cela est nocif pour la santé). Ces survols beaucoup trop fréquents, avec des aéronefs vieillissants et de plus en plus rapprochés (nous avons constaté jusqu’à 2 avions simultanés au-dessus de certain ensemble scolaire), nous inquiètent pour la santé des élèves mais aussi pour leur sécurité. Il est indéniable que les nuisances sonores, jusqu’à 80 décibels, causées par ces aéronefs de loisirs, ne permettent pas aux élèves d’être dans un cadre d’apprentissage approprié. D’autre part la procédure Covid d’aération des classes n’est pas possible car les élèves ne peuvent entendre les professeurs parler lorsque les fenêtres sont ouvertes. La charte environnementale actuelle oblige des plages de tranquillité uniquement les weekends et jours fériés, nous souhaitons que les nuisances soient réduites également les jours de semaine pour le bien être des élèves. Liste des écoles et villes concernées Zone C : Emerainville : Ecole La Mare L'embûche, Ecole Lavoisier, Ecole Malnoue 2 Croissy Beaubourg : Ecole Alfred Chartier Noisy Le grand : Collège Saint Exupery, Ecoles des Yvris Zone D : Emerainville : Ecole Jean Jaures, Collège Van Gogh Lognes : Collège Le Segrais, Ecole Le Segrais, Ecole Le Four, Ecole Le Village Noisiel : Ecole Bois de La Grange Torcy : Ecole Jean Zay, Collège Victor Schoelcher, Lycée Jean-Moulin Croissy Beaubourg : Ecole Les Lions de Beaubourg Noisy Le grand : Lycée Gobelins Hors Zone PEB : Emerainville : Ecole du Bois d'Emery Collégien : Ecole des Saules Lognes : Lycée Emily Brontë, Ecole Mandinet Noisiel : Ecole Les Noyers, Ecole La Ferme du Buisson, Lycée Gérard de Nerval, Lycée René Cassin Champs sur Marne : Collège Pablo Picasso, Ecole Pablo Picasso, Universités Cité Descartes Noisy Le Grand : Ecole Paul Serelle, Ecole Richardets, Ecole des Charmilles
    2 670 sur 3 000 Signatures
    Créée par Association ARALE