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Un espace vert pour les enfants des écoles à Malissard !A l’heure du changement climatique, il est urgent de protéger au mieux les espaces naturels au centre des villages pour avoir des îlots de fraicheur et pour absorber le CO2. Ces terrains de pétanque peuvent être implantés sur des terrains déjà artificialisés autour de la salle des fêtes. La Mairie voulait d'ailleurs vendre l'espace vert sans l'artificialiser. Ici c’est urgent, les pelleteuses doivent arriver dans les prochaines semaines… Les enfants, vous pouvez signer cette pétition puisque vous êtes les premiers concernés, mais n’oubliez pas de faire signer vos parents ! Nous devons convaincre la Mairie de Malissard de sauver cet espace vert et de l’aménager pour vous !322 sur 400 SignaturesCréée par Jean-Claude L.
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Projet logistique XXL à Beaugency, c’est encore et toujours NON !Préservons notre qualité de vie en refusant tout giga projet qui serait la porte ouverte à une bétonnisation galopante. Notre association « Beaugency, béton et camions, ça suffit ! Un développement alternatif, c’est possible ! » est une association citoyenne créée à l’occasion d’une première lutte contre l’implantation d’une plateforme logistique XXL à Beaugency. 👉 Ce que nous défendons : - Un développement à taille humaine de l'économie locale et des emplois, en concertation avec les acteurs de terrain ; - La réutilisation des friches et des locaux existants avant de bétonner ; - La préservation de l'environnement et des paysages : protection de la biodiversité, qualité de l'air, patrimoine Val de Loire Unesco, ... - Le maintien de la qualité de vie dans notre belle ville et d’une ceinture verte et agricole autour d’elle ; - Une vraie transparence démocratique, de l'écoute et de la participation, ainsi que l'équipe municipale s'y était engagée ; - Le respect des Accords de Paris sur la réduction du CO2. ⚠️ Tout nouveau projet accepté serait la porte ouverte à d’autres giga projets d’artificialisation des sols. ✍️ Signez maintenant pour dire stop ! ✍️3 220 sur 4 000 SignaturesCréée par Association"Beaugency,béton et camions, ça suffit! ".
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Un moratoire pour dire stop aux projets routiers destructeurs !La France s'est engagée dans la Stratégie Nationale Bas Carbone et à l'objectif Zéro Artificialisation Nette (ZAN) en 2050. Ces stratégies impliquent de : - diviser par 2 la consommation d'espace sur la décennie qui arrive par rapport à la précédente. Hors les 55 projets contestés représentent actuellement 8000 hectares d'artificialisation - diminuer de 40% nos émissions territoriales en 2030 par rapport à 1990. Mais les émissions de Gaz à Effet de Serre territoriales supplémentaires dues aux projets d'aménagement routiers prévus par l’État ne sont pas compatibles avec les objectifs fixés en la matière. Et la question du trafic induit n'est que rarement prise en compte dans les études d'impact. L’État mène donc un double discours et un double jeu. D'un côté, il fixe des objectifs chiffrés pour réduire notre impact climatique et environnemental, de l'autre, il soutient financièrement et politiquement des dizaines de projets contestables et contestés au regard des enjeux écologiques, climatiques et sanitaires. Il est encore temps de prendre un autre chemin, et de stopper la destruction des paysages et la course folle vers l'augmentation des pollutions et émissions de CO2. Le Pays de Galles l'a déjà fait, pourquoi pas nous ? Les raisons de s'opposer à tous ces projets existent, elles sont simples, et elles sont nombreuses : - Construire des routes, c'est augmenter le trafic routier et l'étalement urbain. Un nouvel aménagement routier ne fait pas gagner de temps, au contraire. Les nouvelles routes induisent du trafic, et multiplient l'artificialisation des terres naturelles et agricoles en facilitant par exemple l'implantation de zones pavillonnaires ou logistiques. Aucune nouvelle route n'a jamais réduit les embouteillages, c'est un mensonge. Au contraire elle sera très vite saturée par de nouveaux bouchons. - Construire des routes, c'est augmenter les émissions de gaz à effet de serre, alors qu’il est urgent de les réduire pour lutter contre le changement climatique. - Construire des routes, c'est détruire des milliers d'hectares d'espaces naturels, agricoles et forestiers. C'est détruire des écosystèmes, des espèces protégées, et abîmer la biodiversité. - Construire des routes c'est gaspiller 18 milliard d'euros d'argent public, 18 milliards ! Imaginez tous les services publics qui pourraient être améliorés, créés. Plus de trains, plus d'écoles et de professeurs, des hôpitaux et des soignant-es traité-es correctement, plus de moyens pour la protection de l'enfance. De l'argent au service de l'intérêt général, non pas des intérêts privés des bétonneurs ! - Construire des routes, c'est nous enfermer toujours plus dans un modèle tout voiture, insoutenable socialement comme écologiquement. L'essence, les voitures thermiques ou électriques, tout ce qui est nécessaire au transport routier, cela coûte aussi cher, très cher, à toutes les personnes qui ont besoin de se déplacer quotidiennement. La route n'est pas un moyen de transport accessible à tout le monde, et les nombreux projets d'autoroute à péage vont augmenter encore la facture des usagers. - Construire des routes c'est augmenter la pollution chronique ou accidentelle liée à la circulation des personnes et des marchandises par la route. Les risques que ce mode de transports fait peser sur notre santé à toutes et tous, en polluant l'air que l'on respire, en menaçant les ressources en eau, et par le bruit infernal de la circulation, sont inacceptables ! Nous, collectifs en lutte contre les projets, nous unissons nos forces pour lutter contre l'artificialisation à marche forcée de nos terres agricoles et naturelles, et pour engager la nécessaire sortie de route de tous les projets climaticides. Nous demandons aux parlementaires de nous rejoindre et de soutenir les luttes, en s'engageant à soutenir à l'Assemblée Nationale et au Sénat la proposition d'un moratoire sur tous les projets routiers, dans l'attente de leur ré-examen au regard des stratégies fixées par l’État et des enjeux climatiques, écologiques et sanitaires auxquels nous faisons face. Nous demandons à Clément Beaune et Élisabeth Borne de faire preuve de bon sens, d'entendre et d'étudier cette proposition. Ce que nous voulons, ce sont des mobilités choisies, et non subies, accessibles à toutes et tous ! Soutenez, rejoignez nos luttes, demandez avec nous ce moratoire, pour mettre les routes en déroute ! - SOS Oulala Montpellier - Manche Nature - Caveirac Vaunage Nîmes - Non à l'autoroute A133-A134 Rouen - Non à un contournement Nord de Maubeuge destructeur - Vivre respirer se déplacer en Tricastin Drôme Alternatives A480 Grenoble - Axe vert de La Ramée Toulouse - Non à la Jonction Est à Toulouse - AutreCOM Montpellier - La Voie est Libre Castres Toulouse - La Lutte des Sucs - Coordination La Loire Vivra Orléans - Collectif Saint Etienne de Monluc - Puma LEO Avignon - GCO Non merci Strasbourg - Non au contournement sud d’Auxerre - Collectif RN126 Castres Toulouse - Association Nacicca Arles - Évreux Nature Environnement - Collectif Ussel - Collectif citoyen contre le développement du projet Sublimes routes du Vercors - Agissons pour le climat Granville Terre et Mer - Fédération Environnement Eure et Loir - Nord Écologie Conseil (contre la Lino au sud de la MEL) - Coordination Viure Pyrénées Orientales - Bien vivre en Vallespir Céret - Copra 184 IDF - Vivre sans BIP Val d'Oise - Seta - VN33 Non merci Lyon - Agis Ta Terre Chateaubourg - Vitré Vitalu - Non à la rocade Nord de Fougères - Eaux et Rivières de Bretagne - PassPasud2 - Collectif Les Lichens - Association CITEE Reventin Vaugris - Association ACPAT Thonon Machilly - ALTERRE St Péray - Comité de défense contre la déviation de St Christol Les Alès - Association Roya Expansion Nature - Association Sentinelle Nature 31650 - Coopérative Citoyenne Cherbourg - INATN A31bis Toul - Collectif Sequana Poissy - Collectif 924 Orne7 517 sur 8 000 SignaturesCréée par Coalition La Déroute des Routes C.
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Pétition : Les risques des trois grands projets d’aménagements routiers de La Manche• Des projets inutiles au vu de l’évolution démographique • Le trafic est en stagnation depuis plusieurs années sur les axes routiers concernés1. Ce constat reflète un taux démographique négatif sur l’ensemble de la Manche. La population du département est en diminution, qui plus est sa tranche active (15-64 ans) qui a diminué de 9% entre 2008 et 20192. Cette tendance ne semble pas près de s’inverser : « Si les tendances démographiques récentes se prolongeaient, le nombre de seniors manchois progresserait de 17 % d’ici à 2030 »2. De tels projets d’infrastructures apparaissent donc totalement inadéquats au regard des évolutions démographiques à venir. 1 DDTM 50 / 2 insee.fr • Un coût financier outrancier pour le contribuable • Les coûts de ces projets sont vertigineux : plus de 96 Millions d’euros pour l’axe Saint-Lô – Coutances (estimation 2021 que l’on sait d’ores et déjà largement sous-estimée), au moins 47 Millions d’euros pour la rocade Ouest de Cherbourg (estimation 2008). Par ailleurs, 69 Millions d’euros ont déjà été investis par le conseil départemental et la région Normandie pour les contournements de Marcey-les-Grèves et Sartilly (Axe Granville-Avranches). Sans compter les coûts liés aux compensations écologiques de ces travaux, ni l’augmentation majeure du prix de l’énergie et des matières premières qui induiront automatiquement des surcoûts considérables. Comment ne pas s’indigner de ces choix d’investissement d’argent public alors que la France traverse une crise économique et énergétique majeure et que les Français sont appelés à plus de sobriété ? • Des conditions de vie dégradées pour les habitants du territoire • La circulation de véhicules à 110 km/h près d’habitations, ce sont autant de nuisances auditives, visuelles, olfactives supplémentaires pour les habitants du territoire ! Sans compter la pollution de l’air qui sera aggravée par les vitesses autorisées sur les 2x2 voies ! • Des infrastructures aggravant les conditions de circulation • Paradoxalement, la création de nouvelles routes dans un réseau routier peut réduire la performance globale de ce réseau, lorsque les entités se déplaçant choisissent leur route individuellement (Paradoxe de Braess1). Cet effet concerne l’axe Saint-Lô-Coutances par exemple, dont la construction risque de renforcer l’effet goulot d'étranglement sur les 2 giratoires situés aux 2 bouts de l'axe, mais également sur la commune de La Chapelle - Belval. Sur l’axe Granville-Avranches, on risque de la même façon de voir s’accroître l’effet entonnoir aux principales sorties de cet axe en concentrant les automobilistes qui souhaitent emprunter la route la plus efficace. Un effet totalement contre-productif et de l’argent public d’autant plus gaspillé ! • Des projets en inadéquation avec la politique nationale de revitalisation des centres villes • Le renforcement des centres villes est prôné par les programmes politiques et notamment Petites Villes de Demain. L’urbanisation le long d’un nouvel axe ne paraît ni entrer en cohérence avec cette stratégie, ni être réalisable au regard de l’enveloppe foncière restante au niveau départemental. De nombreux bourgs et petites communes situées de long des axes routiers risquent de devenir des villages dortoirs. • Une fragilisation accrue de notre agriculture • Comment ne pas s’inquiéter également pour l’agriculture de notre département, territoire productif où l’on espère pouvoir consommer toujours plus localement. Les projets routiers sont très gourmands en consommation foncière et risquent de nuire à la production agricole du département, déjà fragilisée par les aléas climatiques en hausse et la conjoncture économique. Sur l'axe Saint-Lô – Coutances par exemple, pas moins de 85 exploitations agricoles, parmi lesquelles des terres bio et AOP, risquent d’être affectées par la parcellisation et l’artificialisation des zones agricoles. Une incohérence totale vu le contexte actuel de tension pour la sécurité alimentaire de notre pays. • Une aberration environnementale, des déséquilibres écologiques aggravés • Alors que la COP 27 se tient en Egypte, comment ne pas dénoncer le non-sens écologique de ces projets ! La construction de routes supplémentaires, ce sont autant de surfaces non végétalisées qui rendent encore plus difficile la résilience de notre environnement face aux étés caniculaires. Ce sont aussi toujours plus de faune et de flore saccagées par la bétonisation, toujours plus de zones humides détruites (250 concernées sur l’axe Saint-Lô-Coutances, zones essentielles pour la reproduction des amphibiens ainsi que pour les équilibres hydrologiques). Ce sont également des cours d’eau fortement impactés par un ruissellement plus important et une diminution de la possibilité d’infiltration de l’eau de pluie par les sols. Ce sont enfin des zones boisées encore plus morcelées, tel que le bois du Mingrey, dont les chemins d'accès des grands mammifères seraient impactés et qui déserteraient ce bois qu'ils affectionnent. Le collectif D972, l'association Agissons pour le climat Granville Terre et Mer et Extinction Rébellion Sud Manche se rassemblent aujourd'hui pour pour demander une vraie concertation citoyenne et trouver des solutions alternatives !757 sur 800 SignaturesCréée par Philippine B.
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Fleurance, Stop au gaspillage énergétique !! Fleurantins et Fleurantines DONNONS L’ EXEMPLE!!À l’heure où l’on nous appelle, collectivement et individuellement, à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. L’effort fourni doit être réparti de façon juste et ne pas peser uniquement sur les citoyens et citoyennes. Aussi, l’effort ne doit pas affecter en premier lieu des services publics essentiels comme l’éducation ou le sport, mais bien commencer par interroger nos usages de la publicité superflue ! ⚡️ Alors que le gouvernement prévoit l’interdiction des publicités lumineuses entre 01H00 et 06H00 du matin (à l'exception des aéroports, gares ou stations de métro), cette mesure est loin d’être suffisante face au nombre croissant de ces panneaux inutiles qui n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. ⚡️ Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme en moyenne l’équivalent des besoins d’ un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager* : laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique est donc absurde ! Notre territoire a le pouvoir d’aller plus loin à travers le règlement local de publicité et de montrer l’exemple pour être à la hauteur des enjeux. Notre ville doit prendre les mesures suivantes de manière urgente, et sans attendre le pic de l’hiver où les tensions énergétiques se feront ressentir. 🛑👉Nous demandons : - L’extinction des panneaux lumineux et écrans publicitaires en continu, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés - Une meilleure gestion de l’éclairage public - L’extinction des lumières des bureaux dès leur fermeture 💡 De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées au-delà de la période de tension hivernale, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. D’autres villes comme Lyon ou Paris ont déjà mis en place des mesures plus fortes pour réduire leur consommation énergétique et s’inscrire dans le sens d’une sobriété choisie et responsable. 🌟 Notre ville aussi doit s’inscrire dans le sens de l’Histoire et mettre en place des solutions ambitieuses ! Source : *Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer)36 sur 100 SignaturesCréée par Chloé T.
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Stop au greenwashing de Skyscanner !❓ Pourquoi cette pétition ?❓ J'ai voulu calculer l'impact carbone d'un trajet Paris-Nantes dans le cadre d'un trajet professionnel. En regardant sur Skyscanner, grosse surprise : la grande majorité des vols sont qualifiés comme "éco-responsables", émettant du "CO2 en moins", y compris pour des vols Paris-Nantes via Barcelone ! ⚠️Pourquoi c’est une pratique aberrante et une communication trompeuse ?⚠️ Prenons l’exemple d’un trajet Paris-Nantes pour le week-end du 31 mars au 2 avril 2023, recherché le 21/11/2022. Pour ce trajet, l’impact carbone pour un aller simple est de 0.9kg de CO2 en train, contre 79kg en avion pour un trajet direct¹. L'affichage sur Skyscanner est le suivant : 1️⃣ 100 % des vols sur les 30 premiers résultats de recherche sont qualifiés "éco-responsables" et indiqués comme émettant "moins de CO2" que la moyenne 2️⃣ Des vols Paris-Nantes avec escale via Toulouse, Lyon, Genève ou encore Barcelone sont qualifiés “éco-responsables” et indiqués comme émettant du “CO2 en moins” 3️⃣ Pourtant, sur le cas d‘un Paris-Nantes via Barcelone, l’impact carbone d’un aller simple émet 394 fois plus de CO2 qu’un Paris Nantes en train, et 4.5 fois plus qu'un vol direct¹ Cette pratique est généralisée à l’ensemble du site internet et des vols³, y compris des vols lointains très carbonés : Paris-Buenos Aires, Paris-Tokyo, Paris-Honolulu... J'ai donc pris des initiatives afin de faire interdire cette pratique : 👉 J'ai d'abord déposé une plainte pour interdire cette pratique auprès du Jury de Déontolongie Publicitaire de l'ARPP. Sans retour pour le moment. 👉 J'ai également dénoncé la situation sur Linkedin, et interpellé Skyscanner directement. Skyscanner m'a répondu de façon "politiquement correcte", sans prendre de mesures correctives concrètes et sans s'engager à en prendre. Les nombreuses réactions sur Linkedin m'ont ainsi motivé à lancer cette pétition citoyenne afin d'accélérer l'interdiction de cette pratique de greenwashing. 🧯Urgence à interdire cette pratique🧯 Le problème est que Skyscanner jouit d’une audience hors du commun en France, avec près de 5 millions de visites par mois sur son site internet². C’est donc une pratique qui désinforme, induit en erreur et trompe des millions de Français chaque mois, dans l’objectif de vendre par ailleurs ces services extrêmement polluants. Rappelons que le tourisme représente 11% des émissions de gaz à effet de serre de la France d’après l’ADEME⁴, dont 41% sont directement issues du transport aérien⁴. Des émissions qui ont été multipliées par 2.2 en 30 ans⁵ et que Skyscanner contribue à faire croître. ⛔ Interdisons cet affichage⛔ Nous citoyens, soucieux des enjeux climatiques et de notre avenir, demandons à Skyscanner de cesser son affichage qualifiant les vols d’“éco-responsables” émettant du “CO2 en moins”. Avec effet immédiat, pour TOUS les vols. ✒️ Auteur de la pétition ✒️ Guillaume Jouffre - Ingénieur, co-fondateur de GreenGo ✍️ Premiers signataires ✍️ Alexis Chailloux - Responsable engagement citoyen de GreenPeace Charlène Fleury - Coordinatrice du réseau Rester sur terre / Stay Grounded Guillaume Cromer - Président des Acteurs du Tourisme Durable (ATD) Lou Welgryn - Co-présidente de Data for Good Camille Chaudron - Conférencière, médiactiviste et influenceuse @girl_go_green Benjamin de Molliens - Conférencier, environnementaliste et influenceur @ben_expedition_zero Benjamin Martinie - Réalisateur/YouTubeur spécialisé dans le voyage bas carbone @globetolter ✍️ Mise à jour - 24/02/2023✍️ Suite au cap des 10 000 signataires de cette pétition, Skyscanner a temporairement suspendu son affichage environnemental sur la localisation "France" seulement. La suspension n'est effective nulle part ailleurs, et la réponse de Skyscanner - qui prétexte un problème de traduction - laisse présager un maintien de l'affichage durablement. Le combat continue donc pour obtenir le retrait effectif de cet affichage durablement et dans toutes les localisations. [SOURCES] ¹ ADEME - Datagir - Mon Impact Transport ² SimilarWeb pour Skyscanner.fr, en août 2022 ³ Constaté sur de nombreux vols au départ de Paris, non exhaustivement : Paris-Marseille, Paris-Londres, Paris-Budapest, Paris-Berlin, Paris-Doha, Paris-Buenos Aires... ⁴ ADEME : "Bilan des émissions de gaz à effet de serre du secteur du tourisme en France", 2021 ⁵ ADEME : "Transport aérien : 3 scénarios pour une transition écologique"11 565 sur 15 000 SignaturesCréée par Guillaume J.
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Grand Chambery : Pour une réglementation des publicités respectueuse de l'environnement !Pour les prochaines années, souhaitons-nous voir au bord des routes et à tous les coins de rues de Grand Chambéry des publicités : - envahir notre espace visuel, hypnotiser sans notre consentement les adultes et à fortiori les enfants ? - nous inciter à consommer, en véhiculant souvent des stéréotypes racistes, sexistes, grossophobes ? - laisser la part belle aux multinationales et délaisser les petits commerçants ? 📆 Le projet de Règlement Local de Publicité intercommunal (RLPi) doit être finalisé en décembre, c’est donc le moment pour nous faire entendre ! Ne laissons pas passer l’occasion ! Ce document aura un impact décisif sur les paysages et cadre de vie des habitants : en collaboration avec les élu.e.s qui sont aux manettes, les citoyen.ne.s, associations, commerçants, ont le pouvoir d’agir sur la quantité, la localisation et la taille de panneaux. Notre collectif de citoyen.ne.s et d’associations (liste ci-dessous) souhaite un territoire libéré de la publicité. Nous avons 8 demandes : 1️⃣ Pas de dérogation au Règlement National de Publicité, alors que cela est prévu actuellement, en particulier autour des monuments historiques, 2️⃣ Interdiction des enseignes et publicités numériques et des publicités lumineuses, 3️⃣ Limitation de la taille maximale des publicités à 2m2 et de la distance entre deux panneaux à 160m 4️⃣ Simplification du zonage et des règles du RLPi, pour faciliter la compréhension et l’application du RLPi, ainsi que le contrôle de la conformité des publicités, 5️⃣ Instauration d’une zone blanche autour des établissements éducatifs et culturels, pour protéger les enfants et les jeunes des impacts de la publicité, 6️⃣ Interdiction des publicités commerciales sur les abris urbains destinés au public, 7️⃣ Harmonisation des règles pour les enseignes entre les centres-villes et les autres zones, 8️⃣ Pas de dérogation pour les enseignes et publicités temporaires. L’ensemble de ces mesures rejoint la proposition 2.2 de la Convention Citoyenne pour le Climat dans : « Interdire les panneaux publicitaires dans les espaces extérieurs, hors information locale et culturelle, ainsi que les panneaux indiquant la localisation d'un lieu de distribution » et permettrait de s’aligner sur la sobriété demandée aux citoyennes et citoyens. 🌳 Ces mesures permettront de réduire les incitations à la surconsommation et à l’épuisement des ressources naturelles. 🩺Elles doivent aussi protéger nos citoyens et leur santé, en limitant les distractions au volant et les troubles de la mémoire, du sommeil ou de l'attention liés à l’exposition aux écrans et à certains messages publicitaires, comme le préconise l’Agence Nationale de la Sécurité Sanitaire et le Haut Conseil de la Santé Publique1. 🏔 Elles protégeront notre cadre de vie en embellissant les centres-villes et les portes d’entrées de notre territoire, en cohérence avec le projet de Grand Chambéry de développer un tourisme intégré et respectueux de la vie locale et des patrimoines. 🦋 Ces mesures protègent par ailleurs notre environnement en réduisant la pollution lumineuse, comme le préconisent le ministère de l’Environnement et l’Office Français de la Biodiversité2. En effet, la pollution lumineuse provoque le dérèglement des rythme de vie des espèces animales, la perturbation des déplacements des espèces et la fragmentation des milieux naturels. 💡 Cela réduirait de plus la consommation d’électricité et le risque de tension sur le réseau électrique. L’extinction des publicités est prévue à titre exceptionnel par la loi3 et soutenue par l'entreprise gestionnaire du réseau public de transport d'électricité (RTE)4. M. Gamen, Mme Wolff, respectivement en tant que Président de Grand Chambéry et Vice-présidente chargée de l'urbanisme et du droit des sols, nous vous demandons de traduire dans le RLPi les messages que vous portez de vos administré.e.s. En effet, vous incitez les habitantes et les habitants de Grand Chambéry à apposer un autocollant « stop pub – oui aux publications des services publics » sur nos boites aux lettres. D’ailleurs, grâce à cet autocollant, nous avons reçu le dernier Cmag dans nos boites aux lettres, où nous pouvons y lire ces mots de Philippe Gamen : « Nous sommes un territoire naturellement surprenant, où il fait bon vivre et travailler », et surtout, « nous souhaitons le rester. » La cohérence des politiques publiques impose de poursuivre cette logique dans le RLPi en limitant drastiquement la publicité sur notre territoire. Ce serait une mesure claire de votre ambition et de votre engagement environnemental! Nous comptons sur vous ! Pétition soutenue par les associations et collectifs suivants : Greenpeace Chambéry, Conscience et Impact Ecologique Savoie, Amis de la Terre 73, Attac Savoie, Extinction Rebellion Chambéry, Alternatiba Savoie. Pour plus d'infos sur le RLPI : https://www.grandchambery.fr/3400-reglement-local-de-publicite-intercommunal-rlpi.htm 1 Source : https://www.hcsp.fr/Explore.cgi/avisrapportsdomaine?clefr=1000 2 Sources : https://www.ofb.gouv.fr/actualites/un-nouvel-indicateur-pour-mesurer-la-pollution-lumineuse et https://www.ecologie.gouv.fr/pollution-lumineuse 3 Article D143-2 du Code de l’environnement 4 Source : https://assets.rte-france.com/prod/public/2021-12/Bilan-previsionnel-2019-rapport.pdf983 sur 1 000 SignaturesCréée par Greenpeace Chambéry
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Madame la Première Ministre, sauvez les 3 milliards pour le train !Madame la Première Ministre, Les études le montrent : le train est un mode de transport nettement moins polluant que l’avion ou la voiture. A trajet équivalent, le train émet en moyenne 66 fois moins de GES que l'avion et 20 fois moins que la voiture (1). Investir dans le ferroviaire c'est donc investir pour lutter contre la crise climatique. Lundi 31 octobre, le vote historique par l’Assemblée nationale allouant 3 milliards d’euros de plus pour le ferroviaire dans le budget 2023 (2) représentait une réelle bouffée d’oxygène et un espoir de donner enfin les coudées franches pour redévelopper ce mode de transport que nous n’aurions jamais dû délaisser. Pourtant, suite à ce vote, votre ministre délégué aux transports, Clément Beaune a raillé “Ce sont les milliards qui volent en escadrille”. Jusqu’à présent ce sont surtout les émissions de gaz à effet de serre des transports qui s’envolent ! Premier secteur d’émissions en France, les transports représentent à eux seuls un tiers du budget carbone de la France, et c’est le seul secteur où les émissions étaient plus élevées en 2019 qu’en 1990. Dans son dernier rapport annuel “Dépasser les constats, mettre en œuvre les solutions”, le Haut Conseil pour le Climat rappelle qu'il faudrait atteindre près de 4 Mt de réduction par an pour le secteur des transports, alors que l'on a réduit en moyenne de seulement 0,7 Mt par an (depuis 2002) (3). Cela revient à multiplier l'effort par près de 6 au cours des prochaines années. Donner les moyens au train de se développer est donc tout sauf un caprice, c’est une absolue nécessité, car comme le note le Haut Conseil pour le Climat “les financements ne sont pas assurés dans la durée et le développement des services de mobilité bas carbone est encore lent et hétérogène” D’autre part, les moyens de transport polluants comme la voiture ont bénéficié encore très récemment de sommes colossales allouées par le gouvernement : 8 milliards d’euros en aides sur les carburants qui ont atterri principalement dans la poche de ménages les plus aisés (4) durant la crise énergétique, alors que le train reste toujours la dernière roue du carrosse. Le GIEC nous alerte depuis des années, et les conclusions des derniers rapports parus cette année sont sans appel : les émissions doivent s’infléchir sans tarder pour limiter le réchauffement global à 1,5 °C. Dans ces conditions, chaque investissement compte. Et chaque investissement faisant défaut nous expose à un “scénario catastrophe”, tel que prédit par le récent rapport de l’ONU, qui établit que l’Europe se réchauffe deux fois plus vite que le reste du monde. En France, nous pourrions atteindre +3,8°C à l’horizon 2100 (5). Madame la Première Ministre, pour préparer l’avenir, pour protéger les populations du changement climatique et structurer les mobilités de demain, nous vous demandons de ne pas couper les ailes du train ! Allouez ces 3 milliards d’euros indispensables au développement du ferroviaire en France ! *** *** Premiers signataires : Zoé Mary (Alternatiba), Marie Cohuet (ANV-COP21), Jean-François Julliard (Greenpeace France), Pascal Dauboin (Collectif Oui au train de nuit), Jean-Baptiste Dusson (Résistance climatique), Charlène Fleury (Rester sur Terre), Victor Vauquois (Terre de luttes), Capucine Saulpic (NADA Lille), Florence Joly (Collectif Stop Extension Aéroport Marseille Provence), Gilliane Le Gallic (Alofa Tuvalu), Airy Chrétien et Thierry Bitouzé (Collectif citoyen 06, Nice), Bernard Schéou (enseignant-chercheur), Nicole Tagand (Collectif de l’étoile ferroviaire de Veynes), Catherine Rainaudo (Collectif ligne Nice-Breil sur Roya-Cuneo-Vintimille), Gilles Marcel (NOSTERPACA), Raymond Pelloux (Mobilités Alpines), Alain Filhol (AGV ligne Grenoble Veynes Gap), Stephane Coppey (Destination trains de nuit), Marc Gouttebroze (Collectif Nous Voyageurs ! Massif central), Joël Hillaireau (Sauvons les trains Nantes-La Rochelle-Bordeaux), Stuart Page (Collectif "Atterrissons d'urgence", Montpellier), Hervé Gasdon (Société Alpine de Protection de la Nature - France Nature Environnement Hautes-Alpes), AMIGA (Association des amis du viaduc de Garabit et de la ligne Béziers Neussargues Clermont-Ferrand), Erick Marchandise (Collectif "Mon vélo dans le train") Sources : (1) Base Carbone ADEME (2) Amendementn°II-345 du PLF 2023 : https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/16/amendements/0273C/AN/345 (3) Observatoire Climat Energie : https://www.observatoire-climat-energie.fr/climat/transport/ (4) https://www.google.com/url?q=https://www.lesechos.fr/economie-france/conjoncture/carburants-les-plus-aises-premiers-beneficiaires-de-la-ristourne-a-la-pompe-1778083 (5) https://esd.copernicus.org/articles/13/1397/2022/esd-13-1397-2022.pdf6 050 sur 7 000 SignaturesCréée par Aymeric F.
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Clermont-Ferrand : Stop au gaspillage énergétique !Nous, citoyens et citoyennes de Clermont-Ferrand demandons expressément la mise en place de mesures de bon sens et d’économie d’énergie. Un cadre légal existe, mais il est non seulement mal appliqué, mais en plus largement insuffisant face aux enjeux de sobriété auxquels nous faisons face. Pour le climat et pour nos factures d’électricité, Clermont-Ferrand se doit d’être exemplaire ! A l’heure où nous sommes appelés, collectivement et individuellement, à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. L’effort fourni doit être réparti de façon juste et ne pas peser uniquement sur les citoyens et citoyennes. Aussi, l’effort ne doit pas affecter en premier lieu des services publics essentiels comme l’éducation ou le sport, mais bien commencer par interroger nos usages de la publicité superflue ! Alors que le gouvernement prévoit l’interdiction des publicités lumineuses entre 01H00 et 06H00 du matin (à l'exception des aéroports, gares ou stations de métro), cette mesure est loin d’être suffisante face au nombre croissant de ces panneaux inutiles qui n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme l’équivalent en moyenne des besoins d’ un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager*, laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique est donc absurde ! Notre territoire a le pouvoir d’aller plus loin à travers le règlement local de publicité et de montrer l’exemple pour être à la hauteur des enjeux. Notre ville doit prendre les mesures suivantes de manière urgente, et sans attendre le pic de l’hiver où les tensions énergétiques se feront ressentir. Nous demandons : - L’extinction des panneaux lumineux et écrans publicitaires en continu, et pas uniquement de 1h à 6h du matin. - L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin, et pas uniquement de 1h à 6h du matin. - L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés - L’extinction des lumières des bureaux dès la fermeture De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées au-delà de la période de tension hivernale, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. D’autres villes comme Lyon ou Paris ont déjà mis en place des mesures plus fortes pour réduire leur consommation énergétique et s’inscrire dans le bon sens d’une sobriété choisie et responsable. Notre ville aussi doit s’inscrire dans le sens de l’Histoire et mettre en place des solutions ambitieuses ! Greenpeace Clermont-Ferrand, Extinction Rébellion Clermont-Ferrand, Alternatiba 63 et ANV Cop21 63 Source : *Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer)1 001 sur 2 000 SignaturesCréée par Greenpeace Clermont-Ferrand, Extinction Rebellion Clermont-Ferrand, ANV-COP21 63 et Alternatiba 63
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Protégez définitivement la forêt du Madrillet !LA FORÊT DU MADRILLET : toujours menacée ! Début 2020 : citoyens, associations et élus se mobilisent pour dire NON au béton sur les 62 ha de la forêt du Madrillet (dont une 1ère pétition avec plus de 9000 signatures !) Juillet 2020 : le nouveau Président de la Métropole de Rouen, Mr Mayer-Rossignol, s’engage à ne pas urbaniser et décrète un moratoire. Juillet 2021 : l’association Bouillons Terres d’Avenir demande pourquoi la modification N°2 du plan local d’urbanisme (PLUI ) n’a pas remis ces 62 ha en zone naturelle comme se trouve le reste de la forêt du Rouvray ? Le Président répond par écrit « la possibilité de l’inscrire dans le contexte de la modification en cours présente des fragilités juridiques , CETTE ORIENTATION SERA PROPOSÉE AU VOTE DU CONSEIL MÉTROPOLITAIN AU PLUS TARD EN 2022, selon les formes juridiques appropriés » Octobre 2022 : nous en sommes à la 5ème modification du PLUI ( consultable sur https://www.registre-numerique.fr/mrn-plu-modif5/documents ,site sur lequel on peut déposer une contribution ) on y découvre que les 62 ha de forêts sont toujours classées en zone économique et peuvent légalement toujours être bétonnées en partie ou totalité. La ville de Rouen dans cette modification N°5 en cours a prévu de reclasser un bois qui était aussi urbanisable ( au Châtelet ) en zone naturelle boisée, le rendant ainsi non constructible. Pourquoi la Métropole et la ville de Petit Couronne refusent-elles encore de faire la même chose pour la forêt du Madrillet ? Que cachent ces retards de la part de la Métropole de Rouen ? De même, le dossier de demande de classement en forêt de protection de ces 62 ha pour les rendre définitivement inconstructibles, par un arrêté ministériel, comme l’est l’ensemble de la forêt du Rouvray, n’est pas encore amorcé ! NOUS DEMANDONS LE RECLASSEMENT DES 62 HA DE LA FORÊT DU MADRILLET EN ZONE NATURELLE BOISÉE DANS LA MODIFICATION N°5 DU PLUI ACTUELLEMENT EN COURS. Nous déposerons les signatures de cette pétition aux commissaires enquêteurs avant la fin de l’enquête publique prévu le 10 novembre 2022. (Nous avons demandé une « enquête complémentaire » aux commissaires enquêteurs pour inclure cette nouvelle modification et une prolongation de cette enquête publique). Association Bouillons Terres d'Avenir657 sur 800 SignaturesCréée par Titouan M.
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Un char à voile pour charrier Christophe Galtier !Monsieur Galtier, nous sommes fier·e·s de vous : votre discours est à la hauteur de l’urgence climatique. Vous avez clamé haut et fort votre envie de vous tourner vers les mobilités douces… en l’occurrence le char à voile. Nous lançons donc une pétition dans le but de vous offrir un char à voile, afin de garantir des déplacements plus fluides et plus écologiques pour le PSG. Ainsi, vous élèverez le niveau du PSG aussi sur le climat ! BON VENT MONSIEUR GALTIER !1 168 sur 2 000 SignaturesCréée par Olivier S.
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Air France doit cesser de tromper ses passagers. Stop au greenwashing !Aujourd’hui, les avancées technologiques sont loin d’être prêtes pour permettre une réduction significative des émissions de gaz à effet de serre des avions. En prenant un billet, le client se voit proposer, entre une option “Siège” et une option “Bagages”, une option “Environnement” qu’il peut décliner de plusieurs manières : - une proposition de reforestation, très bon marché, pour « planter assez d’arbres pour absorber autant de CO2 que le vol en émet » - une proposition de contribution au développement des carburants “durables” (SAF - Sustainable Aviation Fuel), au montant conséquent (presque autant que le prix du billet) - un mélange des deux A chaque proposition est associée une infographie avec d’un côté les émissions de CO2 du vol selon le calcul d’Air France et de l’autre « le CO2 absorbé par la reforestation » et « le CO2 en MOINS avec les SAF ». Cela tend à faire penser que l’on pourrait voler sans émettre de CO2, ce qui est totalement faux : - La reforestation n’est pas une solution magique qui permettrait d’absorber les émissions de CO2 du vol car cela ne peut pas se réduire à une opération comptable. Aussi, au regard du prix très bas (moins de 4% du prix du voyage), on pourrait penser que la compensation est simple et efficace, alors que c’est tout le contraire (1). - Contribuer au développement des carburants d’aviation dits “durables” (SAF) ne permet pas de réduire les émissions de CO2 d’aujourd’hui. Or les émissions doivent être réduites drastiquement dès maintenant pour que le réchauffement ne dépasse pas 1,5 °C, objectif fixé par l’Accord de Paris sur le climat. Aujourd’hui, la réglementation française oblige Air France à incorporer un minimum de 1 % de SAF dans le kérosène classique. A ce niveau, la réduction des émissions n’est au mieux que de 0.4 %. Nous sommes donc bien loin des 100 % ! - L’impact climatique du transport aérien ne se limite pas au CO2 (2): la combustion de kérosène en altitude génère d’autres émissions qu’Air France n’inclut pas dans ses calculs, alors que leur impact climatique est environ deux fois plus important que celui du CO2 (3). La présentation d’Air France est trompeuse. Elle fait croire à ses clients qu’ils peuvent voler sans générer d’émissions nuisibles au climat ou en les compensant. Nous demandons à la compagnie de la revoir et lui proposons de l’aider à la rendre plus acceptable. Une plainte a déjà été déposée en parallèle à la DGCCRF (Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes). Enfin, nous rappelons qu’en attendant le déploiement effectif de solutions bas carbone, seule une réduction du trafic aérien (4) peut permettre de réduire les émissions du secteur. Aidez-nous à nous faire entendre en signant la pétition : ensemble, interpellons Air France pour l'obliger à adopter un discours honnête sur la décarbonation de l’aviation ! Romain Morizot, Ingénieur aéronautique, membre de l’association Les Ateliers ICARE (suite du collectif ICARE, membre du PAD) Premiers signataires: Frédéric Berthelot, ingénieur déserteur en évolution professionnelle, membre de l’Association les Ateliers ICARE Charlène Fleury, militante climat et porte parole d'Alternatiba / ANV-COP21 Yoann Lafficher, ingénieur aéronautique, membre de l’association Les Ateliers ICARE Christophe Laratte, pilote de ligne, militant Europe Ecologie Les Verts, représentant syndical Eric Lombard, coordinateur de Rester sur Terre (Stay-Grounded) Sources : (1) https://all4trees.org/dossiers/treewashing/ (2) https://rester-sur-terre.org/fact-sheet-climate-impact/ (3) https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1352231020305689 (4) https://www.isae-supaero.fr/fr/horizons-186/referentiel-aviation-et-climat/referentiel-aviation-et-climat/7 806 sur 8 000 SignaturesCréée par Romain M.
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