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Pour la santé et le climat, il faut plafonner le trafic aérien !La folle croissance de l’aérien doit cesser. Elle n’est soutenable ni pour le climat, ni pour les millions de personnes qui subissent nuit et jour le bruit et la pollution des aéronefs. Victimes de ces nuisances et victimes présentes et futures du réchauffement climatique, nous demandons le plafonnement des mouvements à la baisse ainsi qu’un couvre-feu, dans tous les aéroports, aérodromes et héliports de France. Nous ne pouvons plus tolérer que notre santé, notre bien-être et l’avenir de l’humanité passent très loin derrière les intérêts du secteur aérien. Malgré les slogans du secteur, l’avion silencieux, décarboné et non polluant n’est pas pour demain. Il n’y a donc pas d’autre solution à court et moyen terme que de mettre un coup d’arrêt à la croissance du trafic aérien et de le réduire progressivement pour limiter ses impacts à la fois sanitaires et climatiques. Un tel changement de cap n'étant pas sans conséquences sur l'emploi, il doit prendre en compte la reconversion des travailleurs et travailleuses concerné-es. Confrontés à l’aggravation des bouleversements climatiques et à la dégradation de la santé des populations, indignés par la persistance d’exemptions fiscales injustes et privilèges de tous ordres en matière réglementaire, par l’insignifiance des mesures prises à la suite de la Convention citoyenne pour le climat, nous sommes de plus en plus nombreux-ses, en France et en Europe, à nous mobiliser pour la réduction du trafic aérien et de ses impacts. Afin d’éviter le report des nuisances d’une plateforme à l’autre, nous demandons que les restrictions soient appliquées de manière coordonnée. En 2022, le gouvernement des Pays-Bas a pris une décision historique : plafonner le trafic de l’aéroport d’Amsterdam-Schiphol à 440 000 mouvements/an, en dessous du niveau de 2019, pour protéger les riverains et le climat. C’est pourquoi, Monsieur le ministre délégué en charge des transports, nous demandons que la France suive elle aussi une voie courageuse et prenne enfin des mesures concrètes dans les aéroports, les aérodromes et les héliports français, à savoir : la limitation du nombre de mouvements, la généralisation des couvre-feux et des dispositions qui orienteront à la baisse le bruit, la pollution de l’air et les émissions de CO2. *** Références : - Tribune “Pour la santé et le climat, un plafonnement des aéroports s’impose” | FranceInfo : https://www.francetvinfo.fr/economie/aeronautique/tribune-pour-la-sante-et-le-climat-plus-de-70-associations-environnementales-appellent-a-reduire-progressivement-le-trafic-aerien_5810564.html - Tribune "Plus de 100 professionnels de santé alertent sur le bruit aérien" (le Monde) : https://bit.ly/3JYinCE - Scénarios de transition écologique du secteur aérien de l'ADEME : https://bit.ly/3LHdOhd - Référentiel Aviation-Climat (ISAE SUPAERO) : https://bit.ly/3Z5hn3Z - Rapport annuel du Haut conseil pour le climat (2023) : https://www.hautconseilclimat.fr/publications/rapport-annuel-2023-acter-lurgence-engager-les-moyens/24 823 sur 25 000 SignaturesCréée par Rester sur Terre (Stay Grounded)
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On veut du fret ferroviaireAlors que le transport est le secteur le plus polluant au monde, le ferroviaire est notre meilleur allié pour aider à réduire nos émissions de gaz à effet de serre. Pourtant, le gouvernement déraille et roule une fois de plus à contresens de toute logique. Son nouveau projet ? Liquider Fret SNCF, l’acteur historique du fret ferroviaire, le transport de marchandises sur rail à faibles émissions. Avec comme seul crédo la concurrence, le gouvernement est en train de dilapider un outil clé de la transition écologique. Liquider Fret SNCF, c’est : - Menacer 5 000 emplois. 500 postes vont être supprimés et le reste va être fortement bousculé par la disparition de l’entreprise Fret SNCF. - Augmenter les camions sur les routes. Faute de repreneurs sur certains flux, les entreprises préféreront changer de moyen de transport et repasser sur les routes. - Privatiser les profits, socialiser les pertes. Les flux les plus intéressants seront repris par des entreprises étrangères mais l’entretien restera à la charge du contribuable. Aux côtés de SUD-Rail, l’Alliance écologique et sociale et Alternatiba Paris demandent de : - Créer un service public unifié et cohérent du transport ferroviaire et routier des marchandises ; - Prélever 1 milliard d’euros par an sur les profits réalisés sur les sociétés d’autoroutes pour les investir dans le développement des infrastructures ferroviaires fret ; - Fixer une écotaxe pour les poids lourds en transit qui refuseraient la solution du report modal, destinée à alimenter un fonds national d’investissement à destination de projets de fret ferroviaire et maritime ; - Interdire les nouvelles constructions de zones logistiques si celles-ci ne sont pas embranchées au réseau ferré. Vite, il y a urgence à agir : Fret SNCF pourrait disparaître d’ici la fin de l’année 2024 ! Pour le climat et pour l’emploi, je défends le fret ferroviaire et signe la pétition !36 437 sur 40 000 SignaturesCréée par Alliance écologique et sociale - PJC
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Les trains de nuit ont besoin d’itinéraires bis en cas de travauxLes horaires sont dégradés sur Paris-Rodez/Aurillac Depuis 2014 et au moins jusqu'en 2030 la voie ferrée Paris-Orléans-Limoges-Toulouse (POLT) est fermée plusieurs nuits par semaine. Pour éviter les travaux, le Paris-Rodez/Aurillac circule avec des horaires de jour : il part de Paris entre 18h21 et 19h30. Dans l'autre sens, il arrive à Paris entre 8h30 et 10h53 le matin. Ces horaires sont peu attractifs. L'horizon s'obscurcit pour le Paris – Toulouse – Latour-de-Carol Le 24 mai 2023, le ministère des transports a confirmé « le cumul des travaux fait craindre une forte limitation ou une suppression à longueur d’année dès 2025 ». En effet, en 2025, les horaires du train de nuit Paris-Toulouse se dégradent fortement, avec un départ de Toulouse à 19h46 plusieurs jours par semaine. Le Paris-Latour-de-Carol sera supprimé ces jours-là, sur plusieurs mois par an. Réaliser les travaux sur une voie pour maintenir les trains sur l'autre Pour certaines catégories de travaux, une solution consiste à ne fermer qu’une seule voie sur deux pour maintenir les circulations sur la voie contigüe. Cette méthode historique est à nouveau occasionnellement pratiquée par SNCF Réseau et sa généralisation est en débat, particulièrement pour l'axe POLT. C'est la solution optimale car l’itinéraire le plus court reste disponible et les horaires sont peu perturbés. Prévoir des itinéraires bis quand les itinéraires principaux sont entièrement coupés Quand les travaux nécessitent de couper la circulation sur les deux voies simultanément, des itinéraires de détournement sont nécessaires pour maintenir les circulations. Cette solution est largement mise en œuvre pour les trains de nuit vers Toulouse/Latour-de-Carol, avec une alternance entre les itinéraires via Limoges ou via Bordeaux. Malheureusement, l’ampleur des travaux de nuit au Sud de Bordeaux sur 2025-2032 paralyse l’itinéraire via Bordeaux. De plus, cet itinéraire ne bénéficiait pas aux trains vers Rodez/Aurillac. Ouvrir les itinéraires bis Coutras-Brive, Poitiers-Limoges et Figeac-Toulouse Un autre itinéraire a été mis en œuvre en 2017 pour contourner les travaux via Coutras (Gironde)-Brive. Point positif : en 2022, SNCF Réseau a ouvert l'itinéraire bis Limoges-Périgueux-Brive. Cet itinéraire gagnera à être complété à l'avenir par d'autres itinéraire bis comme Poitiers-Limoges et Figeac-Toulouse. Le 24 mai 2023, l'État a déclaré avoir "commandé une étude à SNCF Réseau pour étudier les itinéraires alternatifs". Cette étude est pour l'instant maintenue confidentielle. Elle gagnerait au contraire à être publiée pour éclairer le débat public. L’actualisation du contrat de performance de SNCF Réseau : l’occasion d’agir Signé en avril 2022, le contrat de performance de SNCF Réseau définit les moyens alloués pour la régénération et modernisation du réseau ferroviaire. De nombreux acteurs ont critiqué l'insuffisance des financements. En février 2023, l’État a annoncé d’un investissement de 100 Milliards d’euros. Depuis, le contrat de performance reste en attente d'actualisation pour inclure ce financement. Les trains de nuit du Sud-Est sont aussi fragilisés Pour les trains de nuit du Sud-Est (vers Cerbère-Portbou, Nice et Briançon), des itinéraires bis sont également à déployer, par exemple via Moulins. L’État a demandé à SNCF Réseau d'étudier l'itinéraire Grenoble-Veynes pour le Paris-Briançon. Là aussi, l'étude reste à publier pour éclairer le débat public. SNCF Réseau serait incapable d’ouvrir les itinéraires la nuit par manque d’agents Les études sur les itinéraires bis sont restées confidentielles, mais elles révéleraient que SNCF Réseau manque de personnel et serait donc contrainte de fermer de nombreuses voies ferrées la nuit. Cela impacte dramatiquement les trains de nuit et les trains de fret qui ont un besoin commun : parcourir de longues distances, la nuit, malgré les travaux. Besoin de commander des locomotives bimodes Pour que les trains de nuit puissent circuler sur ces itinéraires bis souvent non électrifiés, il est nécessaire que l’État commande sans délais des locomotives bimodes. Cette commande est d'autant plus urgente que le vieillissement des locomotives actuelles induit de nombreuses suppressions de train et que les délais de livraison sont d'environ 3 ans. Nous, signataires de la pétition, demandons à l’État de : 1) publier les études de SNCF Réseau sur les itinéraires bis Coutras - Brive, Poitiers-Limoges et Grenoble-Veynes. 2) donner les moyens à SNCF Réseau de maintenir des itinéraires bis pour les trains de nuit et de fret, afin de mailler à nouveau le réseau ferroviaire. 3) commander des locomotives bimodes pour emprunter plus facilement les itinéraires bis. Et à la SNCF de : 4) réaliser les travaux sur une voie de façon à maintenir les circulations sur la voie contiguë. 5) maintenir les circulations quotidiennes et des horaires optimisés pour les trains de nuit3 176 sur 4 000 SignaturesCréée par Oui au train de nuit !.
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Urgence pour les trains en Loire-Atlantique : exigeons un service de qualité, tous les 1/4h au + tôtFace à la crise sociale (flambée des prix) et climatique (nécessité de diminuer notre empreinte carbone), nous, habitantes et habitants de Nantes Métropole et des communes environnantes demandons une amélioration urgente du service, de l'attractivité et l'accessibilité du réseau des trains de proximité : fréquence/régularité, nouvelles dessertes, fiabilité/sécurité, élargissement des horaires, maillage avec le réseau Aléop. Notre réseau actuel est inadapté aux besoins des habitantes et habitants du territoire qui veulent se déplacer en polluant moins, en dépensant moins, en participant et en bénéficiant d'un cadre de vie plus sain et sûr : ❌ Qualité de services dégradée (trains supprimés, surchargés, en retard, manque d'emplacements vélos,...). ❌ Manque d'ambition (fréquence, plages horaires). ❌ Infrastructures insuffisantes ou dégradées : entretien reporté, réseau saturé, fermetures de gares, de haltes et de guichets. ❌ Manque de matériel roulant et de personnel. ❌ Les propositions de création de nouvelles haltes ou gares, pôles multimodaux et les interconnexions avec les transports en commun existants s'avèrent notoirement insuffisantes. ❌ Le projet de Service Express Métropolitain actuellement présenté est insuffisant et manque d'ambitions. Nous demandons aux différentes autorités organisatrices des transports de s'engager immédiatement pour les mesures suivantes : ✅ Des trains toutes les 15 min en heures de pointe dans l'aire urbaine et 30 min en heures creuses avec un service de 5h à 00h tous les jours. Avec une population grandissante, des trains toutes les 15 minutes permettraient de désengorger significativement les axes routiers et d’offrir une alternative viable à la voiture. ✅ Accès à des transports collectifs de haute fréquence à moins de 5kms pour les communes hors zones urbaines. ✅ Création de nouvelles liaisons Nord/Sud et Est/Ouest avec la diamétralisation du réseau en étoile (c'est à dire sans changement de train en gare de Nantes) et la création de nouvelles gares multimodales comme à Sainte-Luce, Carquefou... ✅ Création de nouvelles haltes et gares, notamment sur l'île de Nantes, en plus de la gare prévue à Bouguenais. ✅ Étendre les services de vélos partagés, d'autopartage et les plateformes de covoiturage. ✅ Financement du matériel nécessaire et recrutement du personnel. ✅ Extension de la tarification unique et adaptée aux besoins. Agissons ensemble pour mettre notre avenir sur de bons rails ! Cette pétition est à l'initiative du collectif FerNantes composé de : Alternatiba Nantes, ANDE, Attac44, AVEC Nantes, CGT Cheminots Nantes, UL CGT Nantes, UD CGT 44, Collectif Transport, Convergence Nationale Rail, FNAUT Pays de la Loire, FSU44, La France Insoumise 44, EELV Nantes, Extinction Rébellion Nantes, Gauche démocratique et sociale, Génération Écologie 44, Génération-s 44, GIGNV, Greenpeace groupe local de Nantes, Collectif « Le livre blanc pour le climat », MNLE Pays de la Loire Naturellement, Nantes en commun, PCF 44, Rezé à Gauche Toute, Rue de l’Avenir Grand Ouest, Sud Loire Avenir, UDB, 60 millions de piétons, Collectif Fer-Retz.5 463 sur 6 000 SignaturesCréée par Fer Nantes
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2ème pétition Saint-Sauveur - Tout le monde veut que la friche devienne un très grand parcPetit rappel des faits : À Lille, tout le monde connaît le dossier Saint-Sauveur et le bras de fer que la MEL, la Ville de Lille et des associations de défense de l’environnement ont entamé. 👀 Deux visions s’affrontent : → 🔴 Celle de la concentration urbaine, de la destruction de l’existant et de la gentrification portée par les collectivités. 2500 logements (soit 5000 habitants) sur 23 hectares, 30 000 m2 de bureaux, 20 000 m2 de commerce, un centre aquatique avec une piscine olympique (désormais sans fosse de plongée) ainsi qu’un espace vert de 3,5 hectares, soit la taille du parc rouge (JB Lebas)... Cette densité dont rêvent les aménageurs, copiée-collée de la Porte de Valenciennes ou du Bois Habité (bd Hoover), les Lilloises et les Lillois n’en veulent pas, et n’en ont jamais voulu ! De plus, sous couvert d’un projet à caractère social permettant à l’avenir de lutter contre la crise du logement, nos décideurs ont permis ici et maintenant, sur la friche, l’expulsion de personnes exilées et sans domicile fixe, sans solution de relogement. Nul doute, au regard des nouveaux aménagements de la gare Saint-Sauveur, que le futur quartier s'adressera demain davantage aux cadres supérieurs qu’aux ménages dans le besoin. →✅ Celle de l’égalité environnementale et de la préservation du site. Portée par les défenseurs et défenseuses de la friche, cette vision exprime la nécessité d’un très grand parc (23 hectares) sur ce site dont sont dépourvus les quartiers populaires de Wazemmes et de Moulins. 🌳🌳🌳 Les arguments en faveur du parc sont multiples : - ce secteur souffre d’une très mauvaise qualité de l’air (et les voitures des 5 000 nouveaux habitants vont l’aggraver, sans compter les déplacements liés aux nouveaux bureaux, commerces et centre aquatique), - le nombre de m2 d’espaces verts à Lille est un des plus mauvais scores des villes françaises et de plus, ces m2 sont très inégalement répartis sur la ville, quasiment absents des quartiers les plus pauvres et les plus peuplés, - la crise du logement et notamment du logement social ne sera nullement réglée avec ce projet, moins de 200 logements dits très sociaux (PLAI) seront en effet construits sur les 2500 programmés. Rappelons que 240 logements PLAI ont par ailleurs été détruits récemment côté Parc JB Lebas. Les 500 autres logements sociaux prévus seront ouverts aux populations à revenus moyens et échapperont ainsi à ceux qui en ont le plus besoin, - la crise de l’eau interroge le modèle de développement de la Métropole Européenne de Lille et ses projets luxueux de centre aquatique en lieu et place des piscines dont ont besoin les habitants. La rénovation de Marx Dormoy aurait déjà dû être faite depuis longtemps au lieu de poursuivre de telles chimères. - dans les 5 dernières années, les bureaux n’ont cessé de sortir de terre (Porte d’Arras, Porte des Postes, Bois-Blancs) et nombre d’entre eux n’ont pas trouvé preneurs, - le nombre de logements vacants est important, - les grandes opérations de renouvellement urbain (Aviateurs, Concorde) détruisent des milliers de logements dits très sociaux sans que cette offre soit reconstituée, 🌍 À l’heure du dérèglement climatique, ce modèle urbain proposé par les collectivités est dépassé. Il n’est plus question de concentrer toujours en les mêmes lieux, et toujours pour les mêmes, les investissements et les équipements qui au contraire devraient se répartir sur l’ensemble du territoire métropolitain voire régional. Les Lillois.es l’ont compris. Le fragile équilibre de leur territoire (circulation saturée, mauvaise qualité de l’air, espaces verts réduits, transports publics insuffisants, immense déficit de logements très sociaux) ne peut continuer de se dégrader encore en poursuivant les mêmes politiques qui ont conduit à cette situation. ⚖️ Enfin, malgré ce que les collectivités veulent faire croire, la partie n’est pas terminée sur le front juridique. Plusieurs recours ne sont pas encore jugés notamment celui qui conteste la dernière délibération déclarant l’intérêt général du projet qu’a votée la Métropole Européenne de Lille en octobre 2022… Et les associations sont déterminées à aller jusqu’au bout, jusqu’à ce qu’enfin, une ou un élu.e éclairé.e prenne la décision attendue d’abandonner ce projet dépassé et d’offrir un grand parc aux Lilloises et Lillois qui n’attendent que cela. 🌳 C’est dans une vision solidaire des autres territoires que le projet du grand Parc Saint-Sauveur doit voir le jour, annonçant l’émergence d’une nouvelle vision urbaine, celle de la recherche de la juste répartition des ressources naturelles à l’échelle d’un territoire élargi. Le grand parc Saint-Sauveur doit désormais faire un tout avec le parc JB Lebas et permettre de sortir de Lille en vélo en reliant Fives, Ronchin et Villeneuve d'Ascq et son lac. Il ne faudrait pas grand chose pour que cette friche devienne un parc, que la faune et la flore qui y ont déjà trouvé refuge n’en soient pas chassées, que les initiatives solidaires et démarches collectives puissent y prendre forme. 👉 Nous comptons sur votre soutien pour que vive le futur parc Saint-Sauveur. Cette pétition permet de dire et de redire quelles sont véritablement les attentes des habitants de Lille pour cet espace. 🌟 Les associations et collectifs engagé.e.s dans la défense du futur parc Saint-Sauveur : - P.A.R.C Saint-Sauveur - Soulèvements de la Terre Lille - Alternatiba Lille - NADA - Non à l’Agrandissement De l’Aéroport de Lille-Lesquin - Aut’Mel - XR Lille - Robin des Bios - Entrelianes - Les Amis de la Terre Nord - ANV COP 21 Lille - Youth for Climate Lille3 615 sur 4 000 SignaturesCréée par Friche Saint-Sauveur
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Non aux taxis volants énergivores et bruyants, non à l'expérimentation d'ADP (Aéroport de Paris)Car ces taxis volants, hélicoptères électriques, dit e-VTOL, ce sont 0,7 tonnes de métal, 12 mètres de long, 18 hélices, pour transporter 1 passager (2 en version drone) + 1 bagage à 100 km/h sur une distance maximale de 35 km ! On nous annonce un « vertiport » à Austerlitz pour accueillir l’animal pendant les JO. Un simple gadget pour l’occasion ? Non, c’est une avant-première, l’objectif est de pérenniser l’équipement pour accueillir des e-VTOL venant de 23 aérodromes et de 9 hélistations. C’est donc dans cette perspective d’une noria d’e-VTOL venant des aéroports et héliports de la région qu'il faut décider si c’est un rêve ou un cauchemar. A la lecture du rapport de l’Autorité Environnementale, 4 adjectifs viennent à l’esprit pour qualifier ce projet : 🔴 TOXIQUE - l’e-VTOL n’est pas neutre carbone. Il consomme 12 fois plus d’énergie qu’une voiture électrique et émet ainsi à l’utilisation l’équivalent d’une voiture thermique, ce sans compter l’impact de sa construction et de son démantèlement, sur lequel le constructeur reste muet. 🔴 NUISIBLE - l’e-VTOL volera à 150 mètres d’altitude et il est bruyant, de l’ordre de 70dB, c’est-à-dire un niveau largement suffisant pour avoir des effets sérieux sur la santé humaine. 🔴 DANGEREUX - il est facile de détourner un e-VTOL, et le projeter de 150 mètres d’altitude sur un lieu touristique, ce qui ne contribuerait pas à renforcer l’attractivité de notre capitale. 🔴 PERVERS - l’eVTOL ne s’adresse ni aux super-riches (pas assez confortable), ni aux touristes (pas assez de place), mais vise en réalité le marché des cadres supérieurs, banquiers, consultants, comme moyen commode de relier aéroport et centre ville sans perdre de temps dans les embouteillages. De ce fait, il lève un frein à l’utilisation de l’avion pour les courtes durées, au détriment du train… Nous rejetons aussi ce projet pour des questions de : ❌ Régression environnementale : Depuis 1948, la ville de Paris et ses habitants sont protégés par une réglementation interdisant le survol de la ville à moins de 2.000 mètres d’altitude sauf dérogations spécifiques. Aujourd’hui, ce sont les aéronefs en service de mission médicale d’urgence qui desservent les hôpitaux et ceux de la sécurité civile qui bénéficient de telles dérogations. Permettre le survol de Paris par des aéronefs de type “taxis volants” à 150 mètres d’altitude pour le transport de personnes souhaitant éviter les transports en commun ou les embouteillages constitue une régression environnementale. ❌ Impact financier : L'impact pour les finances publiques n'est pas renseigné mais il laisse supposer un support public. Avec le CDG Express, bien trop d’argent public a été consacré à des transports réservés à une petite minorité. La priorité doit être donnée aux transports collectifs. ❌ Déni de démocratie : Nous dénonçons la carence de consultation des citoyens dans un processus de décision très lourd de conséquences pour l'avenir de la collectivité puisqu’il s’agit de pérenniser un nouveau mode de déplacement inter aéroportuaire individuel. Les oppositions se multiplient et s’organisent : - l’Autorité Environnementale juge l’étude d’impact incomplète et critique le projet - l’opposition des communes périphériques survolées : https://act.gp/4a2P39e - Le Conseil de Paris a refusé le projet le 14 novembre 2023 : https://act.gp/4a2mHvF 👉 Signez et relayez notre pétition Alors que l’Autorité Environnementale juge l’étude d’impact incomplète, et que le Conseil de Paris comme les communes survolées ont rendu un avis négatif, le projet, soutenu par l’Etat et la région Ile-de-France pourrait malgré tout voir le jour. 👉 Soutenez nos actions et nos recours juridiques en finançant notre cagnotte défiscalisée https://www.helloasso.com/associations/sos-paris/collectes/taxis-volants-non-merci! 💥 Mobilisons-nous tous de toute urgence pour enterrer cette aberration écologique. Vous êtes Parisien, Francilien, Français ou simplement amoureux de la Ville Lumière et soucieux de la préservation de notre environnement et notre patrimoine alors signez notre pétition et surtout relayez-la autour de vous. Il est encore temps de faire machine arrière ! Associations signataires : UFCNA (Union Française Contre les Nuisances des Aéronefs), ADERA (pour le respect de l’environnement à Beauvais-Tillé), FNE Paris, FNE IDF, Val de Marne Environnement, SOS Paris, ADA 13, InCOPruptibles, Environnement 92, Chaville Environnement.18 005 sur 20 000 SignaturesCréée par Le Collectif Taxis Volants Non merci !
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ANNECY : NON au projet de densification et d’extension du Parc d’Activité Économique des GlaisinsLe Plan Local d'Urbanisme intercommunal Habitat Mobilités et Bioclimatique (PLUi HMB) en cours d’élaboration va définir l’avenir de notre territoire. Nous payons chaque jour le prix des erreurs de ces dernières décennies. Le PAE des Glaisins est un exemple type de l’urbanisme des années 70 et un concentré à lui seul de tous ses maux. Mais au lieu d’essayer de les soigner, le Grand Annecy persiste et signe avec un projet de densification et d’extension du parc qui ne fera que les aggraver. Nous demandons que ce projet soit repensé en concertation avec les habitants et en adéquation avec les enjeux de la transition écologique. La préservation des terres agricoles est indispensable pour assurer notre autonomie alimentaire. Il est hors de question d’en détruire davantage pour une extension du PAE des Glaisins. Trop de gens n'arrivent pas à se loger à un prix abordable dans l'agglomération et la difficulté à se loger est considérée par les entreprises comme un frein majeur dans leur recrutement. La construction de logements doit être au cœur du projet, alors que l'accueil de toujours plus d'entreprises ne fera qu'aggraver la situation. Le Grand Annecy a placé en priorité l’axe Glaisins pour le projet de Transport en Commun en Site Propre intégral (TCSPi) , mais elle continue à mener une politique du tout-voiture en prévoyant dans le PAE des Glaisins un parking relais de 450 places « intra-agglo », c'est à dire destiné aux automobilistes venant du cœur de l'agglomération et disposant d'alternatives à la voiture (transports en commun, vélo, trottinette électrique...). Une pollution aux PFAS, des substances per- et polyfluoroalkylées encore appelées polluants éternels, a été découverte sur la nappe des îles à Annecy. La question de la pollution au sein du PAE des Glaisins, dont la majeure partie des eaux de ruissellement termine dans le Fier en amont de cette nappe, doit être traitée de façon drastique et transparente. Enfin, le Grand Annecy ne peut plus feindre d’ignorer les préoccupations des habitants concernant la protection des espaces naturels et agricoles. Une enquête publique est donc nécessaire avant tout réaménagement du PAE des Glaisins.1 385 sur 2 000 SignaturesCréée par Greenpeace Annecy
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Tous unis pour le bien-être de nos mamiesNous demandons la garantie que le village sénior sera construit dans de bonnes conditions, près des commerces pour ceux qui ne peuvent pas bien se déplacer, dans un cadre un peu bucolique à la place de l’ancien foyer logement au calme et au milieu des oiseaux qui chantent, en préservant le petit bois à côté et la belle rangée d’arbres et de chênes qui ont dû naître en même temps que nos mamies dans l’EHPAD. Ayant appris qu’un quart du parc était menacé, nous nous sentons concernés en tant que citoyens et nous nous inquiétons pour le patrimoine de notre belle commune. Nous avons confiance en le CCAS pour gérer ensuite le village sénior, pour être sûrs qu’on s’occupe vraiment du bien-être des résidents et de garantir aux personnes qui habitent déjà sur place qu’elles seront relogées sans détériorer leurs conditions de vie déjà difficiles. Nos aînés de l’EHPAD ont la chance d’être au milieu du parc, avec une jolie vue, et nous voulons garantir cette vue et cette paix à tous les résidents. Nous nous inquiétons pour la qualité de l’air parce que dans les grandes villes et avec le réchauffement climatique les personnes âgées risquent d’être malades et que c’est important pour l’EHPAD d’avoir un air sain, et nous demandons des mesures sérieuses en ce sens, notamment en mesurant l’impact sur la qualité de l’air de ces nouvelles constructions tout près de l’EHPAD. Ensuite nous voulons être sûrs que nos aînés de l’EHPAD pourront toujours facilement se déplacer à pied sur des petits chemins piétons, sans avoir à traverser des routes pour se rendre au centre ville. Il est donc très important d’éviter qu’il y ait trop de circulation automobile autour de l’EHPAD, pour la sécurité de nos aînés, aussi nous demandons qu’il n’y ait aucun accroissement de la circulation automobile entre l’EHPAD et le cimetière, afin que nos aînés puissent continuer de fleurir les tombes de leurs proches en toute sécurité. Nous aimerions une clarté absolue sur tous les tenants et aboutissants financiers relatifs à ce projet, afin d’être sûrs que ce que nous payons pour le bien-être des personnes âgées soit le mieux employé possible, et aussi de valoriser notre beau patrimoine. Nous aimerions ne pas lésiner sur les moyens à employer pour réaliser ce beau projet dans les meilleures conditions, et réfléchir vraiment tous ensemble à comment on pourrait le financer de façon intelligente, pour que tout le monde y trouve son compte, et qu’on puisse préserver les arbres chers à nos aînés. Afin de réaliser cela, nous demandons l’arrêt de la vente du petit bois, le repositionnement du village sénior à l’emplacement de l’ancien foyer logement comme promis, qu’une commission étudie le financement de ce projet et que des études soient menées sur la circulation, l’urbanisme et l’impact sur la qualité de l’air ainsi qu’une évaluation indépendante systématique du patrimoine vendu pour financer ce projet avant de valider toute sorte de travaux ou vente.121 sur 200 SignaturesCréée par Pascal A.
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Non à l'A104 bis, Oui à la préservation de notre environnementLa continuité de l’autoroute A104 est abandonnée par l'État. Avec un investissement de 200 millions d'euros, le département se substitue à l'État pour connecter l'A15 à l'A13. En 2012, malgré un avis "Négatif" du commissaire enquêteur lors de l'enquête publique, la préfecture des Yvelines passe outre et signe la Déclaration d'Utilité Publique. https://www.greenvoice.fr/assets/uploads/2023/10/Bandeau-petition-2.png Ce projet, vendu comme une solution de décongestion du trafic local, se révèle obsolète. Les données actuelles indiquent que le trafic a diminué ces dernières années. Le trafic sur le Pont de Poissy a, par exemple, chuté de façon constante depuis 2006. 📌 En 2017, le département a même fourni des chiffres montrant une baisse cumulée de 10,2%, malgré une augmentation de la population de 10%. La période post-Covid a probablement accentué cette diminution. Une étude du cabinet Egis, commandée par le département, prédit que la réalisation de cette nouvelle voie à quatre voies entraînera une congestion du réseau routier d'ici 2032 ! 🚗 Par exemple, le trafic sur le pont de Conflans passerait de 25 700 véhicules par jour à 96 860 véhicules par jour ! 🚗 Sur la nouvelle voie d'Achères à Triel, plus de 40 000 véhicules par jour sont prévus par le département ! 🚗 De plus, aux heures de pointe, la liaison entre l'A15 et l'A13 connaîtrait une saturation, avec des véhicules se déversant sur les réseaux secondaires via les nombreux ronds-points du tracé, traversant ainsi nos villes. Les impacts environnementaux de ce projet sont préjudiciables : ❌ pour la santé des habitants, en particulier aux 9 000 enfants scolarisés le long du tracé. ❌ par l’augmentation des émissions de gaz à effet de serre, ce qui va à l’encontre des demandes de l’Etat dans son objectif de neutralité carbone d'ici 2050. ❌ par l’accroissement de la consommation énergétique de 14%, contredisant les appels à la sobriété énergétique. ❌ pour la biodiversité, l'arrêté sur les espèces protégées est lacunaire, il ne mentionne pas certaines espèces répertoriées officiellement et attestées par des experts ❌ pour le patrimoine des berges de Seine, impactant les promenades, les pistes cyclables et les îles d'Andrésy et de Carrières sous Poissy. 📢 Ce projet n'est pas d'intérêt public majeur, n'apporte aucune solution et aggrave la situation sur les plans environnemental, sanitaire, financier, contribuant ainsi au dérèglement climatique. Abandonner ce projet est le seul geste d'utilité publique. Nous appelons le département des Yvelines, nos élus locaux et nationaux, ainsi que le préfet des Yvelines, à agir dans l'intérêt général en abandonnant ce projet.15 897 sur 20 000 SignaturesCréée par Denis M.
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Sauvons les Tilleuls des PromenadesSoucieux de la sauvegarde du patrimoine de notre ville, des habitants de Clamecy et des environs se sont constitués en collectif contre l'abattage des tilleuls de la place des promenades. Considérant, en effet, que la coupe de ces arbres a été présentée comme un fait incontournable et une nécessité lors de la consultation populaire, nous pensons qu'à ce titre la réflexion a été insuffisante, voire biaisée. Nous, signataires de cette pétition demandons la mise en place d'un moratoire d'une durée permettant une nouvelle information et une réelle réflexion concernant la conservation des tilleuls. A signer et diffuser rapidement, merci.669 sur 800 SignaturesCréée par Claire R.
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NON A L'ABATTAGE SYSTEMATIQUE DES ARBRES RUE VICTOR HUGO - LE QUESNOYUne ébauche du projet d'aménagement a été présentée en juillet 2021 aux élus et conseillers de quartiers. Le projet définitif a été communiqué lors d’une réunion publique le 26 septembre 2023 en Mairie. Mme la Maire justifie son choix d’aménagement paysager sur la base d'un diagnostic arboricole réalisé en mars 2016 par l'Office national des Forêts qui soulève des risques de fragilité de sujets nécessitant leur abattage. Or les arbres d’alignement sont de par la Loi protégés et leur disparition s’inscrit dans des conditions très particulières et exceptionnelles liées à la sécurité. NOUS DEMANDONS UNE CONTRE-EXPERTISE SUR CES POINTS PRECIS CONCERNANT LA SITUATION SANITAIRE DES ARBRES ET LES RISQUES AVERES QU'ILS PRESENTERAIENT POUR LA SECURITE DES PERSONNES. Dans un contexte climatique où la nécessité d'adaptation des villes est plus qu'urgente, nous pensons que les vieux arbres ont toute leur utilité pour lutter contre les phénomènes d’îlots de chaleur urbain. Parce qu’ils nous apportent de la fraicheur en période de canicule, captent certains polluants, participent à l'infiltration des eaux pluviales, stockent du carbone et produisent de l'oxygène bien plus efficacement qu’un jeune arbre, favorisent la présence de nombreuses espèces animales et végétales, contribuent à la fertilité de nos sols… Tous ces aspects de notre qualité de vie sont en jeu ; ils sont d’ailleurs rappelés dans le bulletin municipal du mois de juillet 2023 en page 16. Qui plus est, le contexte social de notre Ville composé de foyers modestes est un facteur aggravant car nombreux quercitains sont dépourvus des moyens de se protéger efficacement des épisodes de forte chaleur. Réduire les espaces ombragés, c’est donc les fragiliser encore davantage. Cela vaut aussi pour les nombreux touristes qui arpentent nos rues. Nous souhaitons, dans le souci de la préservation du vivant et l'amélioration des conditions de vie des habitants et habitantes, ainsi que des visiteurs, que la ville soit pensée en fonction des usages, sans pour autant en nier sa fonction touristique et donc son attractivité. La rue Victor Hugo sans arbre, c’est certes une visibilité accrue de nos remparts mais aussi des fossés à leur pied qui ressemblent parfois à des égouts à ciel ouvert. Enfin, ce projet va conditionner cette Porte de la Flamengrie, entrée de ville majeure pour les 50 prochaines années, il ne peut se décider sans également prendre en compte les pratiques nouvelles en termes de déplacements doux. Une ville fortifiée est une ville vivante, habitée, qui ne doit pas rester figée sur une époque de son histoire (l’alignement d’arbres est aussi historiquement très présent dans les villes fortifiées). SIGNER CETTE PETITION AUJOURD'HUI, C'EST FAIRE ENSEMBLE DU QUESNOY UNE VILLE DU XXIEME SIECLE.416 sur 500 SignaturesCréée par Le Quesnoy pour demain E.
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NON au projet routier du BIP, OUI à la préservation des espaces naturels !Vous habitez Soisy, Montmorency, Deuil, Groslay, Montmagny, Sarcelles, Arnouville ou Garges ? Alors votre ville serait traversée ou longée par le BIP ou "avenue du Parisis", un projet de route 2x2 ou 2X3 voies large comme une autoroute dont la construction pourrait démarrer en 2024. Il est encore temps de stopper ce projet ! 🚗🚛 La construction du tronçon Est (Groslay - Sarcelles - Arnouville - Garges) est bloqué depuis 2016 par un recours juridique porté par le collectif Vivre sans BIP. Après sa victoire en appel en 2022, le département du Val d'Oise, qui porte le projet, s’est pourvu en cassation. S'il gagne en justice dans les prochains mois, la construction du tronçon Est pourrait démarrer dès l'année prochaine ! Ensuite il ne resterait que 5 km à réaliser pour relier la A1 à la A15. Ne doutons pas qu'ils passeront en force pour boucler le BIP ! Ce projet routier serait une catastrophe. 👉 Le BIP couperait nos villes en deux, détruisant au passage une centaine d'hectares d'espaces naturels (chemins de randonnée, bois, jardins partagés, friches riches en biodiversité...), un trésor aux portes de nos villes préservé jusqu'ici de l'urbanisation ! 👉 Ce projet routier détruirait aussi la ferme Lemoine : ses espace maraichers dont les légumes sont en vente directe auprès des habitants, et ses magnifiques prairies, l'un des derniers poumons verts à proximité de Sarcelles, Garges et Arnouville ! 👉 Comme toutes les nouvelles routes, cette voie rapide provoquerait un afflux de trafic additionnel. Ce trafic induit augmenterait la circulation routière actuelle, phénomène démontré depuis les années 90 et reconnu par l'ADEME (1). Cette route s'engorgerait rapidement de camions circulant de la A1 à la A15, entre la zone d'entrepôts la plus grande d'IDF à Garonor et les entrepôts de Roissy qui viennent d'être agrandis (Fedex, DHL) à l'Est, jusqu'au port de Gennevilliers et le futur entrepôt géant "Green Dock" à l'Ouest. On estime le futur trafic entre 40 et 60 000 véhicules/jour minimum ! (source : enquête publique) 👉 En attirant plus de trafic, cette route 2X2 voies provoquerait une forte augmentation de la pollution atmosphérique et sonore. Alors que nous respirons trop de pollution et que nous sommes déjà sous les couloirs aériens de Roissy ! 👉 La santé de 10 000 enfants est menacée ! Une quarantaine d'écoles de la crèche au lycée sont situés le long du tracé du BIP. Un véritable scandale ! On sait désormais que les enfants sont les premières victimes de la pollution de l'air et que le bruit entraine des retards d'apprentissage. 👉 Le BIP augmenterait les émissions de CO2 ! Le passage progressif à la voiture électrique ne suffira pas à atteindre nos objectifs climatiques comme le montrent les études. Une réduction du trafic routier est nécessaire au profit de transports collectifs ou de mobilités actives comme le souligne le GIEC. Voilà pourquoi nous demandons l'abandon définitif de ce projet d'un autre siècle, conçu dans les années 30 😱 Depuis le monde a changé ! La biodiversité et le climat sont menacés, des routes ont été construites partout (près de 100 m2 par Français, plus que de surface habitable !), la mobilité doit être transformée et les habitants désirent une meilleure qualité de vie. La majorité des maires sur le tracé et la plupart des habitants sont opposés à ce projet. Nous souhaitons un projet alternatif d'avenir qui préserve ces espaces naturels ! ✊ Nous pouvons obtenir l'abandon définitif de ce projet si nous nous mobilisons ! Signez et partagez cette pétition ! (1) https://theconversation.com/pourquoi-supprimer-des-autoroutes-peut-reduire-les-embouteillages-17156212 269 sur 15 000 SignaturesCréée par Amis de la Terre val d’Oise et Collectif Vivre sans BIP
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