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Pour un véritable débat citoyen et participatif sur notre avenir énergétiqueFace aux défis du changement climatique et de la transition énergétique, il est crucial que toutes les voix soient entendues. Nous souhaitons un processus démocratique incluant citoyens, experts, collectivités, associations et acteurs économiques.33 sur 100 SignaturesCréée par jean R.
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Annecy : Campus XXL sans voiture, enfants sans futurL’avenir du Grand Annecy se joue aujourd’hui avec la validation du PLUi (Plan Local d'Urbanisme intercommunal) et des décisions importantes concernant le projet de TCSPi (Transport Collectif en Site Propre intégral) dit de Haute Mobilité. La pollution de l’air à Annecy particulièrement préoccupante Dans son dernier rapport en date, Santé Publique France juge la pollution de l’air en Haute-Savoie, et notamment à Annecy, particulièrement préoccupante. La situation dans le Grand Annecy est jugée même pire que dans la vallée de l’Arve, avec une pollution chronique, moins visible et plus sournoise, exposant la santé humaine quotidiennement à une qualité de l’air médiocre. Le rapport de Santé Publique France dénombre chaque année dans le Grand Annecy 121 morts dus aux particules fines PM2,5 et 53 morts dus au NO2 (dioxyde d’azote), marqueur du trafic routier, soit 174 morts représentant 13.6% de la mortalité dans l’Agglo. La pollution de l’air nous affecte tous, mais touche particulièrement les enfants. Les enfants ont une fréquence de respiration plus rapide que les adultes et leur organisme en pleine croissance y est beaucoup plus sensible que celui des adultes, avec des risques de développer des pathologies, telles que des allergies, de l’asthme, de l’eczéma, mais aussi de l’obésité et des syndromes dépressifs, alerte l’UNICEF. La priorité du Grand Annecy doit être de réduire la pollution de l’air sur les axes les plus exposés, comme la Rocade, et pour les personnes les plus vulnérables, comme les enfants. Un site propre pour les bus entre Vignières et le PAE des Glaisins contre-productif Le projet de TCSPi prévoit cinq axes, intégralement en site propre. De l’aveu même de Didier Sarda, Vice-Président aux Mobilités du Grand Annecy, le bureau d’étude en charge du projet estime que le site propre ne se justifie pas partout. Le site propre intégral est donc un choix politique, dicté par des considérations d’image du Grand Annecy. Sur l’axe 1, entre Vignières et les Glaisins, la circulation est fluide et des bus en site propre mettraient le même temps que les bus de la ligne 1 actuelle, sans site propre. Le choix de ne faire passer plus que les bus au campus et de reporter tout le trafic vers la route de Thônes, la rue du Lachat et le chemin des Chapelaines, va créer d’importants bouchons dans lesquels se retrouveront coincés les bus des lignes 4 et 5 desservant respectivement le PAE des Glaisins et le campus. Au final, les usagers des bus de la ligne 1 ne gagneront pas de temps dans leurs trajets quand ceux des lignes 4 et 5 en perdront. Quelle que soit la solution retenue, site propre ou non, il est totalement inacceptable d’avoir un report du trafic vers 3 crèches, 4 écoles et 1 collège. La délocalisation des parkings du campus inefficace La Ville d’Annecy, voulant profiter d’un effet d’aubaine, a négocié avec le Département de la Haute-Savoie la construction d’un parking silo de 650 places dans le périmètre de l’Espace Rencontre en contre-partie de la construction du stade BMX de 8600 pour les championnats du monde de cyclisme 2027. Son objectif est que ce parking serve pour le campus, alors qu'il serait distant de 1 à 2km des différents établissements universitaires et donc trop éloignés. La priorité du Grand Annecy doit être d’inciter fortement à l’utilisation des modes de déplacement doux et des transports collectifs, et les besoins en stationnement sur le campus devront être prévus in situ, dans le périmètre même du campus, sans chercher à déplacer les nuisances liées à la voiture plutôt que de réduire sa place en ville. L'inaction du Grand Annecy dans la lutte contre la pollution de l’air intolérable Le Grand Annecy communique beaucoup sur la nécessité de lutter contre la pollution de l’air, mais il n’agit pas et parfois il aggrave même la situation : • Les études réalisées dans le cadre du projet de TCSPi préconisaient de prioriser l’axe 2 Seynod-Pringy, où il y a la plus forte densité de population, et aussi la pollution de l’air la plus importante. Le Grand Annecy a préféré donner la priorité sur l’axe 1 Duingt-Glaisins, qui dessert la rive ouest du lac, le campus et le PAE des Glaisins, privilégiant la santé de l’économie à celle des habitants. • La mise en place d’une zone à faible émission mobilité (ZFE-m) a pour objectif principal de réduire la pollution de l’air pour les personnes les plus exposées. Or, les axes de transit mis en place, vers lesquels sont redirigées les voitures les plus polluantes, sont précisément déjà les plus fréquentés et les plus pollués, et la ZFE n’a fait qu’aggraver la pollution de l’air pour les habitants vivant au bord. • Le projet de campus XXL sans voiture viendra, quant à lui, exposer les enfants de 3 crèches, 4 écoles et 1 collège à des niveaux de pollution de l’air particulièrement nocifs pour leur santé, à un endroit où la situation est aujourd’hui acceptable ; et cela aux seules fins de verdir l’image d’Annecy, ce qui est d’un cynisme insupportable. La responsabilité pénale de l’exécutif du Grand Annecy pourrait être engagée.273 sur 300 SignaturesCréée par LES GLAISINS DE LA COLÈRE
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STOP au Méga canal Seine-Nord Europe, projet inutile et destructeur à 10 milliards d'eurosLes premiers travaux préparatoires, déjà dévastateurs, ont commencé : le temps presse ! https://www.greenvoice.fr/assets/uploads/2025/09/deux-photos.jpg Deux exemples au nord de Compiègne. À gauche : détournement du cours de l'Oise pour faire la place au projet de méga canal ! À droite : début des terrassements de la première des sept écluses monumentales du projet. Photos MCNM. IL N’EST JAMAIS TROP TARD ! Tous les "grands projets inutiles et imposés" qui ont été arrêtés par le passé l'ont été alors que d'importantes opérations étaient déjà lancées et que leurs promoteurs prétendaient qu’il était trop tard pour les stopper. LE PROJET SEINE-NORD EUROPE Un canal artificiel de 107 km entre Compiègne et la région de Cambrai, qui vise à permettre aux grands bateaux fluviaux belges et néerlandais de desservir la région parisienne. Cela alors que le canal du Nord assure déjà cette liaison à moyen gabarit, et qu'il n'est utilisé qu'au quart de sa capacité. Chiffré à 8 milliards d'euros en 2024, le coût du méga canal dépasse les 10 milliards quand on tient compte des travaux annexes occultés. UN CANAL GÉANT INUTILE Il est le projet de tous les superlatifs : les plus grands terrassements de France (10 fois le tunnel sous la Manche), les écluses parmi les plus hautes d’Europe, des digues allant jusqu’à 40 m de haut, des retenues d’eau correspondant à 55 fois la mégabassine de Sainte-Soline, une emprise de plus de 3 300 ha… Cela alors que l'utilité du projet, porté par la Région, est remise en cause au plus haut niveau de l'État, entre autres par l'Inspection générale des finances et le Conseil général de l'environnement et du développement durable. 1 MILLION DE CAMIONS EN MOINS ? NON, 8 MILLIONS DE CAMIONS EN PLUS ! La promesse "écologique" du canal – retirer des autoroutes 1 million de camions par an – est irréalisable : ce transfert est impossible entre deux modes de transport qui se complètent mais ne se remplacent pas. En réalité, le projet Seine-Nord Europe est un instrument au service de la mondialisation. Sa rentabilité est basée sur une augmentation continue et irréaliste des flux de transports, laquelle correspondrait, si l’on tient compte des propres données de la Société du canal, à 8 millions de camions supplémentaires en 2035 sur les routes du Nord-Ouest européen ! LE MENSONGE DES CRÉATIONS D'EMPLOIS Sans étude de marché, la Société du canal fait une promesse qui ne l'engage guère : la création de 50 000 emplois… en 2070. Les retombées d'un fumeux « effet réseau ». Évidemment, le transport de gravier ou de blé par bateaux de 3 000 tonnes (plutôt que par 800 tonnes sur le canal du Nord actuel) n’est pas de nature à permettre la réindustrialisation des Hauts-de-France. LE DÉNI DU DÉRÈGLEMENT CLIMATIQUE Chaque année, la navigation fluviale européenne connaît déjà des arrêts dus au manque d'eau, mais le dérèglement climatique ne semble pas inquiéter la Société du canal. Celle-ci utilise une méthode de calcul contraire aux préconisations de Météo France et qui ne prend pas en compte la possibilité de sécheresses à répétition, lesquelles pourraient un jour empêcher l'alimentation en eau du canal. PRÈS DE 300 ESPÈCES PROTÉGÉES MENACÉES Le projet du canal passe sur des zones sauvages, dont plusieurs zones Natura 2000, et entraîne la destruction d’habitats de près de 300 espèces protégées, comme la cigogne noire, le balbuzard pêcheur, ou encore le guêpier d’Europe, allant même jusqu'à les éradiquer sur des secteurs entiers. LA SOUVERAINETÉ ALIMENTAIRE DES HAUTS-DE-FRANCE ENTRAVÉE Avec son emprise totale de 3 300 ha, le méga canal détruirait au moins 2 500 ha de terres agricoles, parmi les plus riches de France. Une surface qui, cultivée en maraîchage, pourrait fournir des paniers de légumes à plus de 400 000 personnes ! POUR LA DÉFENSE DU TRANSPORT FLUVIAL Plutôt que consacrer 10 milliards d'euros au méga canal, il est impératif de procurer à Voies navigables de France (VNF) les quelque 200 millions qui lui manquent chaque année pour entretenir et moderniser le réseau fluvial et pour préserver, entre autres, notre batellerie artisanale. Côté grand gabarit, la région parisienne devrait logiquement être alimentée par Le Havre et la Seine, et non par Anvers ou Rotterdam via le projet Seine-Nord Europe. … ET LA DÉFENSE DU TRANSPORT FERROVIAIRE Le chemin de fer est le mode le plus respectueux du climat, mais son réseau se dégrade et il a besoin d'investissements massifs. La puissance publique ne doit pas lui imposer la concurrence ruineuse d'un grand canal dont les études montrent qu'il prendrait plus de trafic au fer qu'à la route. UN AVENIR DÉSIRABLE POUR LES HAUTS-DE-FRANCE Plutôt que d’être contraintes à payer un canal inutile, les collectivités territoriales devraient consacrer leurs moyens à arrêter la destruction de leurs services publics : maternités, écoles, transports en commun, logement… ⚠️ Il y a urgence ! Chaque jour qui passe, les travaux du canal détruisent des écosystèmes et gaspillent des fonds publics. Signez la pétition ! ------------------------------- • INFORMEZ-VOUS, PARTICIPEZ : www.megacanal.org voir la vidéo de 14 minutes : https://vimeo.com/1072990174/247cd33f44 • SOUTENEZ FINANCIÈREMENT NOTRE LUTTE ET NOS RECOURS EN JUSTICE : www.helloasso.com/associations/protection-du-territoire-seine-escaut/formulaires/1 ------------------------------- Pétition soutenue par Greenpeace France et Greenpeace Lille6 924 sur 7 000 SignaturesCréée par le collectif Méga Canal Non Merci (MCNM)
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STOP AU MASSACRE DES TROUPEAUX DE VACHESLa situation est très grave, puisque si tous les cheptels viennent à être touché (grandes races de vaches comprises, Labels) il n'y aura plus de lait de nos campagnes, plus de produits laitiers de qualité, de bons fromages... Une biodiversité et des produits locaux de qualité qui disparaîtront. Ce ne sont pas les élevages industriels qui ont été touchés mais les élevages en plein air de qualité. Les prés de campagne avec leurs vaches disparaîtront également, ainsi que les fermes et les éleveurs. - Détresse des éleveurs et agriculteurs. Les nouveaux éleveurs ne pourront pas repartir, les jeunes se voient surendettés. - Destruction de l'agriculture paysanne et Familiale. C'est aussi tout le bon fruit du travail de Génération d'Eleveurs et d'Agriculteurs qui disparaît, sans respect ! C'est la ruines des fermes et la détresse paysanne. La France doit être informée de ce qui se passe dans nos campagnes. Plusieurs départements s'organisent contre l'abattage total. Plusieurs Groupes et Collectifs sont mobilisés et essayent de faire barrage à l'euthanasie totale des animaux. Les Syndicats, Coordination Rurale, Confédération paysanne, Collectif du 47 ! Vos signatures récoltées aussi auprès de Greenpeace, lutteront contre ce massacre, et aideront les éleveurs. Merci pour eux.4 747 sur 5 000 SignaturesCréée par Chris R et Sylviane C
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POUR L'INVENTAIRE ET LE CONTRÔLE SANITAIRE DES ZONES DE BAIGNADE DES RIVIÈRES DU VARLe contrôle sanitaire des eaux de baignade en mer est usuel, celui des eaux de rivière est exceptionnel alors que les risques sont aussi importants. Nous vous invitons à signer cette pétition afin de mobiliser nos élus sur l'équité mer et rivière sur le suivi de la qualité des eaux de baignade.570 sur 600 SignaturesCréée par Eau voleurs
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Sauvons les arbres menacés d'abattage dans le parc du foyer rural de BaixasSuite aux réclamations des citoyens de la commune de Baixas concernant le besoin de stationnement, la décision des élus est de transformer le parc de jeu du foyer rural en parking. Pour cela, ils envisagent d’abattre la quasi-totalité des arbres présents. Au total, ce parc contient 1 olivier, 9 muriers platanes, 3 platanes, 3 palmiers, 2 cyprès et 1 troène du Japon. Même s’ils ne sont pas classés, la plupart de ces arbres sont suffisamment âgés pour rendre des services écosystémiques remarquables. Ils sont une ressource indéniable pour la biodiversité. Ils stockent le carbone présent dans l’air vers le sol, créent de l’oxygène, améliorent la qualité de l’air et constituent un îlot de fraîcheur et d’ombre dans un village qui en compte bien peu. Les sacrifier va à l’opposé des préconisations actuelles pour lutter contre le réchauffement climatique et faire évoluer le village vers plus de résilience face aux fluctuations à venir. Les scientifiques sont formels. Le constat est alarmant. Le département glisse rapidement vers le stade de désert. La sécheresse s’installe, la qualité de l’air se dégrade avec la hausse des émissions de gaz à effet de serre, les nappes phréatiques s’assèchent, les sols appauvris se dégradent de plus en plus et la biodiversité s’effondre … Il faut agir ! 25 ans, c’est le temps dont nous disposons pour changer de trajectoire. (source : Plan bleu méditerranée) Les arbres et la végétalisation sont une des meilleures solutions pour nous permettre d’envisager un avenir résilient, avant qu’il ne soit trop tard. Planter des arbres, végétaliser les milieux urbains, créer des forêts péri-urbaines, et conserver le patrimoine arboré doivent être au cœur de nos préoccupations et de celles des élus. Ils ont pour mission de tout mettre en œuvre pour notre avenir. Il faut donc effectuer les aménagements tout en respectant et priorisant la vie des arbres. Le goudron et le béton emmagasinent la chaleur et créent une hausse des températures. Les arbres permettent d’éviter ce réchauffement en faisant de l’ombre (jusqu’à 10 degrés d’écart), ce qui protégera les véhicules. De plus, de nombreux arbres du village sont en mauvais état. Pour cause, le goudron ou le marbre qui étouffe leurs racines et les empêche de se déployer sainement. Certains sont morts et d’autres le seront bientôt. Il existe de nombreuses alternatives au goudron et à la bétonisation. Des aménagements perméables permettent aux arbres, l’accès à l’eau de pluie, ainsi que d’éviter les risques d’inondation annoncées par les études scientifiques. Des dalles de parking ajourées sont une des solutions envisageable. Nous exigeons à ce que les arbres du parc de jeu du foyer rural soient conservés, et que les arbres du village soient entretenus dans le respect des règles écologiques. Au-delà de ce projet, il est temps que l'aménagement soit réfléchis en fonction de la biodiversité et que soient prises des mesures nécessaires à l’adaptation de notre village face aux risques et aux conséquences du réchauffement climatique. Protégeons nos grands arbres avant qu'il ne soit trop tard.767 sur 800 SignaturesCréée par Nathalie A.
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STOP!.... STOP AUX PLASTIQUESNous citoyens européens devons faire entendre notre volonté. Cette pétition en la signant en est un moyen fort, comme pour la "loi DUPLOMB", de dire à nos politiques et insdustriels que cela doit changer. Pas demain, pas au prochain coloque sur le plastique planétaire qui aura lieu on ne sait quand, pas dans dix ans... TOUT DE SUITE. Notre planète et notemment les océans et l'ensemble du monde animal, nous sommes en train de CREVER, du fait d'hommes et de femmes qui n'ont aucun scrupule à faire du BIZNESS, sur notre Mort programmée. Nous tuons nos enfants dès à présent tous les jours à petite dose. STOP!!. Je suis un simple citoyen de 64 ans qui ne sait plus comment sensibiliser, comment convaincre, comment dire que c'est notre engagement. Ce sont nos voix qui doivent dire, haut et fort: STOP AUX PLASTIQUES !319 sur 400 SignaturesCréée par Robert S.
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Non à la construction d’un 2ᵉ incinérateur. Protégeons notre santé et notre environnementNON à la construction d'un 2e incinérateur du Sourn : protégeons notre santé et notre environnement Sous le mot “extension” se cache en réalité la construction d’un 2ᵉ incinérateur, doublant ainsi les émissions polluantes. Les seuils sont mesurés à la sortie de chaque cheminée : deux cheminées = pollution multipliée par deux. Déjà, l’an passé, des dépassements de normes ont été relevés avec une seule cheminée. Avec deux, le risque est certain. Ce projet prévoit de passer de 25 000 à 60 000 tonnes de déchets brûlés par an, dont 68 % de déchets d’activités économiques (DAE), changeant la vocation initiale du site. Conséquences directes : • Plus de camions = plus de bruit, pollution, risques routiers. • Plus de fumées toxiques = particules fines, dioxines, métaux lourds. • Plus de nuisances sonores : broyeur à marteaux (85–105 dB), vibrations, fonctionnement continu 24h/24. • Plus de pollution = atteintes à l’air, aux sols, aux potagers et à la biodiversité. Les effets sur la santé sont connus et documentés : maladies respiratoires, cancers, troubles hormonaux, atteintes au développement des enfants. Même avec des filtres, aucun incinérateur n’est 100 % sûr. Ce 2ᵉ four fonctionnerait en continu à plus de 1 000 °C, jour et nuit, week-ends compris, générant fumées et bruit sans interruption. Le site, géré par une société privée, privilégiera la rentabilité plutôt que la santé publique. L’énergie produite serait surtout revendue à un industriel local (Lactalis), comme avec le premier four. Des alternatives existent : renforcer le tri, développer le compostage, réduire les déchets à la source. Et si une nouvelle unité est nécessaire, elle doit être implantée sur un autre territoire industriel, pour répartir équitablement les nuisances et éviter un cumul dangereux. Nous demandons : 1. Gel immédiat du projet de 2ᵉ incinérateur au Sourn. 2. Étude d’impact sanitaire indépendante avant toute décision. 3. Recherche et mise en œuvre d’alternatives durables à l’incinération massive. 📢 Signez la pétition pour dire NON à ce projet dangereux et OUI à un avenir plus sain et durable pour notre communauté. Votre voix compte : c’est ensemble que nous pouvons protéger notre santé, notre environnement et l’avenir de nos enfants.1 977 sur 2 000 SignaturesCréée par Stop au deuxième Four sur la zone Pontivy – Le Sourn
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❌ NON à la relocalisation de l’usine INOE à Carrières-sous-Poissy !🔥 Ce projet est une menace directe pour notre cadre de vie INOE est une société de traitement de déchets actuellement implantée à Vernouillet. Là-bas, les habitants témoignent de nuisances graves directement liées à son activité : • Incendies, • Odeurs nauséabondes, • Poussières de bois dans l’air, • Maladies respiratoires en hausse, • Dégradation du cadre de vie et de l’urbanisme local. Le projet à Carrières-sous-Poissy prévoit : • 5 unités de traitement et stockage de déchets bois, verts et plastiques, • Une station-service, • Des zones de broyage et de décomposition à l’air libre, • Une plateforme logistique routière à proximité immédiate de zones d’habitation. ⚠️ Une accumulation de risques déjà identifiés par l’État Selon les documents officiels publiés par la DRIEAT Île-de-France, la décision du 11 juillet 2025 impose à INOE une évaluation environnementale obligatoire, en raison de multiples réserves techniques et sanitaires. Ces réserves confirment ce que redoutent déjà les habitants : ➡️ ce projet est dangereux, mal encadré, et porteur de nuisances majeures. 🚨 Un projet absurde et destructeur à tous les niveaux : 1. Une catastrophe sanitaire Avec une ville en pleine croissance démographique (plus d’une naissance et demie par jour en 2025), il est irresponsable d’implanter une activité industrielle polluante à proximité immédiate d’habitations, d’écoles et d’équipements publics. Le risque sanitaire est réel et documenté. 2. Un contresens écologique majeur Le site envisagé est en bordure de Seine et du Parc du Peuple de l’Herbe, joyau écologique de 113 hectares financé par le Département. Comment justifier un tel projet destructeur à la porte même d’un espace naturel protégé ? 3. Un suicide économique et immobilier Le projet de « centralité » a fortement urbanisé la zone, avec des milliers de logements récents. L’implantation de l’usine INOE à cet endroit rendrait le secteur invivable et invendable, annihilant des années d’investissements publics et privés. L’arrivée du RER E, du Tram 13 et la construction d’un nouveau lycée à proximité sont autant d’opportunités qui seraient gâchées si le secteur devenait synonyme de pollution et de nuisances. ❗ Le choix de l’omission et de l’enfumage Nous dénonçons également l’absence totale de concertation publique sur ce dossier. Le Maire de Carrières-sous-Poissy, Eddie Aït, a tenté de minimiser – voire de nier – l’existence de ce projet. Ce n’est qu’après avoir été interpellé publiquement par des élus d’opposition qu’il a consenti à faire voter une simple motion symbolique, alors qu’une délibération contraignante aurait eu un poids juridique et politique bien supérieur. 📣 Nous exigeons : 1. L’abandon immédiat du projet d’implantation d’INOE sur le territoire de Carrières-sous-Poissy. 2. Un moratoire sur toute activité industrielle polluante au sein de l’Écopôle Seine Aval. 3. La publication de l’ensemble des documents d’étude et d’évaluation environnementale. 4. La tenue d’une concertation publique élargie, avec les habitants, les associations et les collectivités concernées. 📝 Cette pétition est adressée : • à M. Pierre Bédier, Président de l’EPAMSA (aménageur de l’Écopôle Seine Aval) • à M. Eddie Aït, Maire de Carrières-sous-Poissy et membre du Conseil d’administration de l’EPAMSA • à M. Frédéric Rose, Préfet des Yvelines 🚫 Carrières-sous-Poissy n’est pas une poubelle Nous avons déjà payé le prix fort avec la « mer des déchets » et les activités éco-curatives existantes (Incinérateur AZALYS, station d'épuration du SIAAP, déchetteries...) . Il est temps de dire STOP ! ➡️ Signez et partagez cette pétition pour protéger notre santé, notre environnement et l’avenir de cette boucle de Seine.3 172 sur 4 000 SignaturesCréée par RSNE R.
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NON A LA DESTRUCTION DE 18 HECTARES DE FORET AU PROFIT DE RTE A CUBNEZAIS (33)1/Nous avons besoin de vos signatures pour sauver cette forêt et les animaux qui y résident. 2/Cette sur-industrialisation de la commune de CUBNEZAIS (33620) va tuer la ruralité. 3/Aidez-nous. 4/Ensemble nous pouvons faire changer les choses. 5/Ensemble préservons la nature, préservons la vie. Merci beaucoup207 sur 300 SignaturesCréée par Nadia B.
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BIOL : Préservons notre forêt !SAUVONS LA FORÊT DE BIOL Depuis l'automne 2024, notre forêt est saccagée, violée, massacrée à coup de tronçonneuses. Deux engins monstrueux la parcourent de long en large afin de prélever les troncs coupés, en laissant d'immenses ornières et bien sûr, en écrasant tout sur leur passage (hérissons et autres petits mammifères, orvets, salamandres, lézards verts, etc.). Nous sommes nombreux à être choqués et révoltés par ces méthodes. Il ne s'agit pas là de coupes raisonnées, ni de gestion durable. C'est juste un carnage. Tout ça pour quoi ? Et bien pour alimenter les chaufferies de l'agglomération grenobloise, un non-sens absolu ! Vite, signez la pétition pour dénoncer ces pratiques délétères. Cette forêt d'environ 400 hectares abrite une biodiversité riche et complète. Entre 15 et 20 hectares ont été littéralement rasés. Des sols nus et dévastés subissent à présent les brûlures du soleil. Et ce n'est pas terminé. Les coupes reprendront en septembre. Tout ça sous couvert d'une soit-disant écologie. Mais quelle écologie ? Des tonnes de bois sont coupés, broyés dans la foulée, et avant d'alimenter les chaufferies, et bien ces copeaux doivent être séchés artificiellement. Je suis bien consciente que cette forêt doit être entretenue, mais de façon durable. L'exploitant forestier se moque bien des cicatrices qu'il laisse derrière lui puisque son seul Dieu se nomme profit. Sur ces parcelles se trouvaient de magnifiques chênes plus que centenaires, et pour certains, bicentenaires. Si les propriétaires avaient fait couper seulement 2 ou 3 chênes de leur parcelle, ils auraient pu encaisser de 2 000 à 4 500€. Avant de vendre à un exploitant forestier qui vous démarche, il serait préférable de vous renseigner sur le bonhomme afin de connaître ses méthodes, pourquoi et pour qui. Il vous aurait fallu bien peu de temps pour comprendre que cet exploitant n'a pas une réputation très enviable dans la région. Il faut arrêter cela au plus vite. Il est nécessaire que les propriétaires prennent conscience de ce désastre, et que les autorités locales exercent un contrôle renforcé. Je vous remercie de vous joindre à mon combat en SIGNANT CETTE PÉTITION. Karen, fille de Biol et de sa forêt.802 sur 1 000 SignaturesCréée par Karen M.
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Halte au massacre de la forêt des îles de Bonny-sur-LoireHalte au massacre de la forêt des îles de Bonny-sur-Loire, halte à la destruction des milieux de vie Mi juillet 2025, les tronçonneuses sont en action jour après jour dans une zone exceptionnelle, située entre les bords de Loire et un de ses affluents, la Cheuille : des centaines d’arbres – peupliers, chênes, etc. - sont abattus méthodiquement. C’est une coupe à blanc. La zone est pourtant décrite dans les guides comme une mosaïques d’habitats fluviaux, avec la forêt alluviale, les prairies, les milliers d’oiseaux dont les guêpiers d’Europe, balbuzards, hérons, garzettes, sternes, gravelots, chevaliers, milans noirs, grives musiciennes et fauvettes, pics, etc. Une grande partie du territoire, attenante à la coupe, est placée sous la protection du Conservatoire d’Espaces Naturels Centre-Val de Loire, (CEN). La coupe se situe quant à elle dans des parcelles privées, situées dans une zone Natura 2000 avec un classement d’inventaire destiné à protéger les oiseaux sauvages (Zone importante pour la conservation des oiseaux, « ZICO »), en ZNIEFF 2 (Zone naturelle d’intérêt écologique faunistique et floristique). La Cheuille a été l’objet d’une restauration écologique récemment. Un troupeau de brebis et d’agneaux en pâturage broute les herbes et entretient les sous-bois en piétinant les bois morts de la ripisylve. Un panneau du Conservatoire invite les promeneurs à être attentifs au site. En quelques jours, cette zone supposée être protégée et respectée est massacrée par une coupe à blanc. On est entre deux épisodes caniculaires, en période de nidification, et chacun sait désormais que le temps est compté pour aider les êtres vivants, les rivières, les milieux, et les habitants, à affronter les effets destructeurs du changement climatique et de l’effondrement de la biodiversité. Le fait que les parcelles saignées à blanc appartiennent à des exploitants privés ne justifie en rien le silence des instances contactées pour alerter sur le massacre en cours. Ni le CEN, ni l’OFB, ni la DREAL ne réagissent aux appels. Pour comprendre la situation, voir les compte-rendus : https://bureau122.fr/2025/07/11/coupe-a-blanc-dans-le-sentier-des-iles-de-bonny/ https://bureau122.fr/2025/07/15/coupe-a-blanc-a-bonny-sur-loire-en-plein-territoire-natura-2000 Voir aussi l'expertise réalisée par Joseph Garrigue, ancien conservateur de la Réserve Naturelle Nationale "Forêt de la Massane" une forêt inscrite au patrimoine mondial de l’humanité et qui nous explique que "Au vu des éléments régissant les milieux naturels et les espèces présentes ainsi qu’au constat fait sur place, il s’avère que les coupes réalisées à cette saison ont entraîné la destruction d’habitats et d’espèces protégées et sont de ce fait illégales et devraient faire l’objet d’un dépôt de plainte pour destruction d’espèces et d’habitats protégés". La protection des sites par des labels patrimoniaux n’est qu’apparente : elle cache la destruction généralisée du vivant et des écosystèmes. Les politiques dites de sensibilisation ne suffisent pas. La simple préservation de quelques parcelles protégées ne servira à rien si l’ensemble des milieux environnants sont détruits méthodiquement. Il faut que les organismes, les élus, les habitants, les témoins, assument leurs responsabilités, ne soient pas complices des destructions, et agissent pour l’intérêt commun. Il reste une solution : en appeler à toutes celles et tous ceux qui, ici comme ailleurs, savent qu’il est impossible de continuer à détruire et exploiter. Nous demandons : - Au niveau local, à Bonny-sur-Loire : 1. L’arrêt immédiat de cette coupe à blanc, 2. Une expertise juridique pour vérifier si la réglementation relative aux autorisations de coupes en forêt privée a été respectée, et notamment pour vérifier si un dossier d'incidence Natura 2000 a été déposé auprès de la DDT du Loiret, si cette demande a été validée par le comité de gestion et s’il existe un arrêté préfectoral d'autorisation des travaux, 3. Une expertise foncière pour déterminer si le parcellaire foncier a été respecté, 4. Un inventaire naturaliste réalisé par des experts indépendants afin de déterminer les effets de cette coupe à blanc sur l’écosystème des îles de Bonny, 5. Une remise en état immédiate du sentier pédestre, 6. Une restauration écologique des milieux détruits. - Au niveau national : Nous demandons à tous les organismes de protection et de gestion de l’environnement, à tous les niveaux, mais aussi à tous les élus garants de la préservation des avenirs des êtres de vivants dont leurs propres enfants, d’agir pour empêcher ces destructions, par tous les moyens (réunions publiques, chartes, affichages, campagnes). Nous réclamons des engagements publics et des actions de la part de celles et ceux qui sont en charge de l’entretien et de la transmission de milieux et ressources. Nul ne peut au nom de la propriété privée, détruire ce qui menace les conditions de vie d'innombrables êtres et habitants. Premiers signataires : Joëlle Le Marec, Professeure au Muséum National d’Histoire Naturelle, UMR IRD/CNRS PaLoc, trésorière de Bureau 122 (Bonny-sur-loire) Igor Babou, Professeur à l’université Paris Cité, UMR CNRS LaDyss, président de Bureau 122 (Bonny-sur-loire) Catherine Fumé, secrétaire de Bureau 122 (Bonny-sur-Loire) Pierre Henri Gouyon, Professeur émérite au Muséum National d'Histoire Naturelle, Institut de Systématique, Évolution, Biodiversité – MNHN-CNRS, UMR 7205 Jacques Tassin, Chercheur écologue au CIRAD (Montpellier), Membre de l'unité de recherche "Forêts et Sociétés", biographe de Maurice Genevoix Joseph Garrigues, Conservateur de la Réserve Naturelle de la Massane de 1992 à 2023.4 063 sur 5 000 SignaturesCréée par Bureau 122
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