• Pas de pesticides dans nos robinets bretons !
    Ce document contient une disposition nouvelle qui consisterait à mieux protéger certaines aires de captage de notre eau potable en y interdisant l'utilisation d’herbicides sur maïs pour les parcelles les plus pentues. Des alternatives qui ont fait leurs preuves existent. Chaque jour des fermes les mettent déjà en pratique. Des structures d’accompagnement agricole compétentes sont présentes sur le territoire. Il n’y a plus de freins entendables à la mise en œuvre de cette règle d’intérêt général. Ainsi il permettrait de commencer à répondre à la situation sanitaire et environnementale alarmante sur notre territoire : sur les 11 000 km² du bassin de la Vilaine, seulement 8% des masses d’eau sont en bon état écologique. Les avancées du SAGE Vilaine sont une étape indispensable pour garantir à toutes et tous une eau de qualité et préserver la santé des habitant·es et du milieu naturel.  Or certaines voix s’élèvent aujourd’hui pour défendre le statu quo et le droit de continuer à épandre des pesticides y compris sur les aires de captage de l’eau potable. Nous demandons à l’Etat d’apporter les soutiens nécessaires à l’accompagnement aux changements de systèmes et à la transition agroécologique. En signant cette pétition, j’appelle les élu·es de la commission locale de l’eau à ne pas céder aux pressions, à valider en décembre prochain le projet de révision du SAGE de la Vilaine et l’interdiction des herbicides sur les aires de captage les plus polluées.  Il en va de la protection de l’eau et de la santé des 1.5 million d’habitant·es du bassin.  Pétition initiée par : • Confédération paysanne 35 et 56 • Eau et Rivières de Bretagne  • Agrobio35  Soutenue par :  • Bretagne Vivante • Confédération paysanne de Bretagne • Confédération paysanne 22 • FRAB Bretagne • FRCIVAM Bretagne • FNE Loire-Atlantique • FNE Pays de la Loire • La fédération de pêche d'Ille-et-Vilaine • La fédération de pêche de Loire-Atlantique • Le collectif de soutien aux victimes de pesticides de l'Ouest • La maison de la consommation et de l'environnement • Le groupe local Greenpeace de Nantes • UFC Loire-Atlantique * Le territoire du SAGE de la Vilaine s’étale sur six départements. Il couvre : • Les deux-tiers de l'Ille-et-Vilaine • Près de la moitié du Morbihan • Un tiers de la Loire-Atlantique • 15% des Côtes d'Armor • Et deux autres départements (3% de la Mayenne et 0,5% du Maine-et-Loire). https://www.greenvoice.fr/assets/uploads/2025/10/bassin-de-la-vilaine.png source : wikipedia
    11 341 sur 15 000 Signatures
    Créée par Confédération paysanne 35 et 56, Eau et Rivières de Bretagne, Agrobio35
  • JO 2030 : Nos montagnes, notre climat, notre argent, notre droit à décider
    Parce qu'il est encore temps de :  👉 Demander à l’Assemblée Nationale de modifier le projet de loi olympique pour qu’il respecte le code de l’environnement, notamment en matière de protection des espaces et espèces, des usages prioritaires de l’eau, d'artificialisation des sols et d'enquêtes publiques. 👉 Exiger du Comité d’Organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques (COJOP) d’abandonner les projets les plus impactants pour l’environnement :  • Pourquoi le site de Val d’Isère, non desservi par le rail et nécessitant un second village olympique, alors que Méribel, site initial, ne nécessite aucun aménagement, est desservi par le rail et par un ascenceur valléen depuis Brides-les-Bains, situé à 6 km de la gare de Moutiers et à 7 km du futur village olympique de Bozel ?  • Le projet de route à 3 voies entre Serre-Chevalier et Briançon est inutile : des mesures de gestion du trafic, des ajustements de voirie et des transports en commun suffisent pour les Jeux. • Le village olympique prévu sur le site classé du Fort des Trois Têtes (Vauban) à Briançon, mal desservi et hors de prix, est injustifié alors qu’une alternative existe avec le Club Med de Serre-Chevalier. • Construire une patinoire à Nice est aberrant : Marseille en a déjà une, aux normes olympiques et est bien mieux desservie. 👉 Solliciter une information et une consultation du public sur l’ensemble du projet sous l’égide de la Commission Nationale du Débat Public. ⏳ Le temps presse D’ici quelques semaines, tout sera gravé dans la loi, les projets actés, les marchés signés et la machine infernale lancée. C’est maintenant qu’il faut faire entendre nos voix et nous avons besoin de vous. 👉 Signez la pétition pour nos montagnes, notre climat, notre argent et notre droit à décider !
    3 866 sur 4 000 Signatures
    Créée par France Nature Environnement Auvergne-Rhône-Alpes Picture
  • Urgent !!! Non à l’envoi des dauphins du marineland dans un autre delphinarium en Espagne !
    Bonjour, l’Espagne vient d’autoriser l’exportation des dauphins du marineland vers ses delphinariums. Le problème c’est que les conditions de captivité en Espagne sont bien pires qu’en France qui ne sont déjà pas bonnes. Le but de la fermeture du marineland est l’arrêt de l’exploitation des cétacés pour le spectacle. Ça n’a pas de sens si on les envoie faire des spectacles ailleurs. Huit dauphins risquent d’être envoyés à Selwo Marina qui a des bassins en très mauvais état et de trop petites tailles.  Mobilisons nous contre le transfert de ces dauphins en Espagne. Il y a des solutions comme des sanctuaires qui sont déjà en construction donc pas besoin de leur faire vivre pire que ce qu’ils ont déjà vécu !
    46 sur 100 Signatures
    Créée par Alexandre R.
  • Sauvons les trains de nuit Paris – Berlin et Paris – Vienne !
    Il n’est pas acceptable que les 2 seuls trains de nuit internationaux qui desservent la France à l’année disparaissent. Chacun des acteurs dispose d’une marge pour agir et chacun peut faire un pas pour relancer véritablement les trains de nuit internationaux. Nous, signataires de la pétition, demandons : - aux opérateurs SNCF, ÖBB et DB de déployer complètement l’offre annoncée avec 2 trains de nuit quotidiens, un vers Vienne et un vers Berlin, ce qui améliorera la fiabilité et l’équilibre économique. L’Autriche fournit les rames, qui représentent une grande part du coût des trains de nuit. Pour la SNCF, c’est donc une opportunité à ne pas manquer pour enfin tester les trains de nuit internationaux à pleine capacité. C’est une étape nécessaire pour permettre d’autres déploiements à l’avenir, vers Copenhague, Malmö, Barcelone, Madrid, Milan, Venise, Rome, Prague, etc. - à l’État français de continuer à soutenir ces trains, quitte à renégocier le montant de la subvention, en contrepartie d’un engagement à faire rouler le train tous les jours. - à l’UE d’autoriser plus clairement les subventions aux trains internationaux, au moins temporairement, sur la période où le kérosène reste défiscalisé. L’UE pourrait subventionner les trains de nuit pour équilibrer la concurrence avec l’avion et reconstruire le réseau des trains de nuit après 2 décennies de sous-investissement. C’est une action urgente pour disposer d’une alternative au moment où l’avion va devenir plus cher. Vite, il y a urgence, signez la pétition aujourd’hui pour montrer notre attachement à un mode de voyage bas-carbone ! 1ers signataires :  • Oui au train de nuit • Rester sur terre 
    92 932 sur 100 000 Signatures
    Créée par Oui au train de nuit
  • Pour un véritable débat citoyen et participatif sur notre avenir énergétique
    Face aux défis du changement climatique et de la transition énergétique, il est crucial que toutes les voix soient entendues. Nous souhaitons un processus démocratique incluant citoyens, experts, collectivités, associations et acteurs économiques.
    34 sur 100 Signatures
    Créée par jean R.
  • Annecy : Campus XXL sans voiture, enfants sans futur
    L’avenir du Grand Annecy se joue aujourd’hui avec la validation du PLUi (Plan Local d'Urbanisme intercommunal) et des décisions importantes concernant le projet de TCSPi (Transport Collectif en Site Propre intégral) dit de Haute Mobilité. La pollution de l’air à Annecy particulièrement préoccupante Dans son dernier rapport en date, Santé Publique France juge la pollution de l’air en Haute-Savoie, et notamment à Annecy, particulièrement préoccupante. La situation dans le Grand Annecy est jugée même pire que dans la vallée de l’Arve, avec une pollution chronique, moins visible et plus sournoise, exposant la santé humaine quotidiennement à une qualité de l’air médiocre. Le rapport de Santé Publique France dénombre chaque année dans le Grand Annecy 121 morts dus aux particules fines PM2,5 et 53 morts dus au NO2 (dioxyde d’azote), marqueur du trafic routier, soit 174 morts  représentant 13.6% de la mortalité dans l’Agglo. La pollution de l’air nous affecte tous, mais touche particulièrement les enfants. Les enfants ont une fréquence de respiration plus rapide que les adultes et leur organisme en pleine croissance y est beaucoup plus sensible que celui des adultes, avec des risques de développer des pathologies, telles que des allergies, de l’asthme, de l’eczéma, mais aussi de l’obésité et des syndromes dépressifs, alerte l’UNICEF. La priorité du Grand Annecy doit être de réduire la pollution de l’air sur les axes les plus exposés, comme la Rocade, et pour les personnes les plus vulnérables, comme les enfants. Un site propre pour les bus entre Vignières et le PAE des Glaisins contre-productif Le projet de TCSPi prévoit cinq axes, intégralement en site propre. De l’aveu même de Didier Sarda, Vice-Président aux Mobilités du Grand Annecy, le bureau d’étude en charge du projet estime que le site propre ne se justifie pas partout. Le site propre intégral est donc un choix politique, dicté par des considérations d’image du Grand Annecy. Sur l’axe 1, entre Vignières et les Glaisins, la circulation est fluide et des bus en site propre mettraient le même temps que les bus de la ligne 1 actuelle, sans site propre. Le choix de ne faire passer plus que les bus au campus et de reporter tout le trafic vers la route de Thônes, la rue du Lachat et le chemin des Chapelaines, va créer d’importants bouchons dans lesquels se retrouveront coincés les bus des lignes 4 et 5 desservant respectivement le PAE des Glaisins et le campus. Au final, les usagers des bus de la ligne 1 ne gagneront pas de temps dans leurs trajets quand ceux des lignes 4 et 5 en perdront. Quelle que soit la solution retenue, site propre ou non, il est totalement inacceptable d’avoir un report du trafic vers 3 crèches, 4 écoles et 1 collège. La délocalisation des parkings du campus inefficace La Ville d’Annecy, voulant profiter d’un effet d’aubaine, a négocié avec le Département de la Haute-Savoie la construction d’un parking silo de 650 places dans le périmètre de l’Espace Rencontre en contre-partie de la construction du stade BMX de 8600 pour les championnats du monde de cyclisme 2027. Son objectif est que ce parking serve pour le campus, alors qu'il serait distant de 1 à 2km des différents établissements universitaires et donc trop éloignés. La priorité du Grand Annecy doit être d’inciter fortement à l’utilisation des modes de déplacement doux et des transports collectifs, et les besoins en stationnement sur le campus devront être prévus in situ, dans le périmètre même du campus, sans chercher à déplacer les nuisances liées à la voiture plutôt que de réduire sa place en ville. L'inaction du Grand Annecy dans la lutte contre la pollution de l’air intolérable Le Grand Annecy communique beaucoup  sur la nécessité de lutter contre la pollution de l’air, mais il n’agit pas et parfois il aggrave même la situation : • Les études réalisées dans le cadre du projet de TCSPi préconisaient de prioriser l’axe 2 Seynod-Pringy, où il y a la plus forte densité de population, et aussi la pollution de l’air la plus importante. Le Grand Annecy a préféré donner la priorité sur l’axe 1 Duingt-Glaisins, qui dessert la rive ouest du lac, le campus et le PAE des Glaisins, privilégiant la santé de l’économie à celle des habitants. • La mise en place d’une zone à faible émission mobilité (ZFE-m) a pour objectif principal de réduire la pollution de l’air pour les personnes les plus exposées. Or, les axes de transit mis en place, vers lesquels sont redirigées les voitures les plus polluantes, sont précisément déjà les plus fréquentés et les plus pollués, et la ZFE n’a fait qu’aggraver la pollution de l’air pour les habitants vivant au bord.   • Le projet de campus XXL sans voiture viendra, quant à lui, exposer les enfants de 3 crèches, 4 écoles et 1 collège à des niveaux de pollution de l’air particulièrement nocifs pour leur santé, à un endroit où la situation est aujourd’hui acceptable ; et cela aux seules fins de verdir l’image d’Annecy, ce qui est d’un cynisme insupportable. La responsabilité pénale de l’exécutif du Grand Annecy pourrait être engagée.
    273 sur 300 Signatures
    Créée par LES GLAISINS DE LA COLÈRE
  • STOP au Méga canal Seine-Nord Europe, projet inutile et destructeur à 10 milliards d'euros
    Les premiers travaux préparatoires, déjà dévastateurs, ont commencé : le temps presse ! https://www.greenvoice.fr/assets/uploads/2025/09/deux-photos.jpg Deux exemples au nord de Compiègne. À gauche : détournement du cours de l'Oise pour faire la place au projet de méga canal ! À droite : début des terrassements de la première des sept écluses monumentales du projet. Photos MCNM. IL N’EST JAMAIS TROP TARD ! Tous les "grands projets inutiles et imposés" qui ont été arrêtés par le passé l'ont été alors que d'importantes opérations étaient déjà lancées et que leurs promoteurs prétendaient qu’il était trop tard pour les stopper. LE PROJET SEINE-NORD EUROPE Un canal artificiel de 107 km entre Compiègne et la région de Cambrai, qui vise à permettre aux grands bateaux fluviaux belges et néerlandais de desservir la région parisienne. Cela alors que le canal du Nord assure déjà cette liaison à moyen gabarit, et qu'il n'est utilisé qu'au quart de sa capacité. Chiffré à 8 milliards d'euros en 2024, le coût du méga canal dépasse les 10 milliards quand on tient compte des travaux annexes occultés. UN CANAL GÉANT INUTILE Il est le projet de tous les superlatifs : les plus grands terrassements de France (10 fois le tunnel sous la Manche), les écluses parmi les plus hautes d’Europe, des digues allant jusqu’à 40 m de haut, des retenues d’eau correspondant à 55 fois la mégabassine de Sainte-Soline, une emprise de plus de 3 300 ha… Cela alors que l'utilité du projet, porté par la Région, est remise en cause au plus haut niveau de l'État, entre autres par l'Inspection générale des finances et le Conseil général de l'environnement et du développement durable.   1 MILLION DE CAMIONS EN MOINS ?  NON, 8 MILLIONS DE CAMIONS EN PLUS ! La promesse "écologique" du canal – retirer des autoroutes 1 million de camions par an – est irréalisable : ce transfert est impossible entre deux modes de transport qui se complètent mais ne se remplacent pas. En réalité, le projet Seine-Nord Europe est un instrument au service de la mondialisation. Sa rentabilité est basée sur une augmentation continue et irréaliste des flux de transports, laquelle correspondrait, si l’on tient compte des propres données de la Société du canal, à 8 millions de camions supplémentaires en 2035 sur les routes du Nord-Ouest européen ! LE MENSONGE DES CRÉATIONS D'EMPLOIS  Sans étude de marché, la Société du canal fait une promesse qui ne l'engage guère : la création de 50 000 emplois… en 2070. Les retombées d'un fumeux « effet réseau ». Évidemment, le transport de gravier ou de blé par bateaux de 3 000 tonnes (plutôt que par 800 tonnes sur le canal du Nord actuel) n’est pas de nature à permettre la réindustrialisation des Hauts-de-France.  LE DÉNI DU DÉRÈGLEMENT CLIMATIQUE  Chaque année, la navigation fluviale européenne connaît déjà des arrêts dus au manque d'eau, mais le dérèglement climatique ne semble pas inquiéter la Société du canal. Celle-ci utilise une méthode de calcul contraire aux préconisations de Météo France et qui ne prend pas en compte la possibilité de sécheresses à répétition, lesquelles pourraient un jour empêcher l'alimentation en eau du canal. PRÈS DE 300 ESPÈCES PROTÉGÉES MENACÉES Le projet du canal passe sur des zones sauvages, dont plusieurs zones Natura 2000, et entraîne la destruction d’habitats de près de 300 espèces protégées, comme la cigogne noire, le balbuzard pêcheur, ou encore le guêpier d’Europe, allant même jusqu'à les éradiquer sur des secteurs entiers. LA SOUVERAINETÉ ALIMENTAIRE DES HAUTS-DE-FRANCE ENTRAVÉE  Avec son emprise totale de 3 300 ha, le méga canal détruirait au moins 2 500 ha de terres agricoles, parmi les plus riches de France. Une surface qui, cultivée en maraîchage, pourrait fournir des paniers de légumes à plus de 400 000 personnes ! POUR LA DÉFENSE DU TRANSPORT FLUVIAL Plutôt que consacrer 10 milliards d'euros au méga canal, il est impératif de procurer à Voies navigables de France (VNF) les quelque 200 millions qui lui manquent chaque année pour entretenir et moderniser le réseau fluvial et pour préserver, entre autres, notre batellerie artisanale. Côté grand gabarit, la région parisienne devrait logiquement être alimentée par Le Havre et la Seine, et non par Anvers ou Rotterdam via le projet Seine-Nord Europe. … ET LA DÉFENSE DU TRANSPORT FERROVIAIRE Le chemin de fer est le mode le plus respectueux du climat, mais son réseau se dégrade et il a besoin d'investissements massifs. La puissance publique ne doit pas lui imposer la concurrence ruineuse d'un grand canal dont les études montrent qu'il prendrait plus de trafic au fer qu'à la route. UN AVENIR DÉSIRABLE POUR LES HAUTS-DE-FRANCE  Plutôt que d’être contraintes à payer un canal inutile, les collectivités territoriales devraient consacrer leurs moyens à arrêter la destruction de leurs services publics : maternités, écoles, transports en commun, logement… ⚠️ Il y a urgence ! Chaque jour qui passe, les travaux du canal détruisent des écosystèmes et gaspillent des fonds publics. Signez la pétition ! ------------------------------- • INFORMEZ-VOUS, PARTICIPEZ : www.megacanal.org voir la vidéo de 14 minutes : https://vimeo.com/1072990174/247cd33f44 • SOUTENEZ FINANCIÈREMENT NOTRE LUTTE ET NOS RECOURS EN JUSTICE : www.helloasso.com/associations/protection-du-territoire-seine-escaut/formulaires/1 ------------------------------- Pétition soutenue par Greenpeace France et Greenpeace Lille
    6 978 sur 7 000 Signatures
    Créée par le collectif Méga Canal Non Merci (MCNM) Picture
  • STOP AU MASSACRE DES TROUPEAUX DE VACHES
    La situation est très grave, puisque si tous les cheptels viennent à être touché (grandes races de vaches comprises, Labels)  il n'y aura plus de lait de nos campagnes, plus de produits laitiers de qualité, de bons fromages... Une biodiversité et des produits locaux de qualité qui disparaîtront. Ce ne sont pas les élevages industriels qui ont été touchés mais les élevages en plein air de qualité. Les prés de campagne avec leurs vaches disparaîtront également, ainsi que les fermes et les éleveurs. - Détresse des éleveurs et agriculteurs. Les nouveaux éleveurs ne pourront pas repartir, les jeunes se voient surendettés. - Destruction de l'agriculture paysanne et Familiale. C'est aussi tout le bon fruit du travail de Génération d'Eleveurs et d'Agriculteurs qui disparaît, sans respect ! C'est la ruines des fermes et la détresse paysanne. La France doit être informée de ce qui se passe dans nos campagnes.   Plusieurs départements s'organisent contre l'abattage total. Plusieurs Groupes et Collectifs sont mobilisés et essayent de faire barrage à l'euthanasie totale des animaux. Les Syndicats, Coordination Rurale, Confédération paysanne, Collectif du 47 !  Vos signatures récoltées aussi auprès de Greenpeace, lutteront contre ce massacre, et aideront les éleveurs. Merci pour eux.
    4 782 sur 5 000 Signatures
    Créée par Chris R et Sylviane C
  • POUR L'INVENTAIRE ET LE CONTRÔLE SANITAIRE DES ZONES DE BAIGNADE DES RIVIÈRES DU VAR
    Le contrôle sanitaire des eaux de baignade en mer est usuel, celui des eaux de rivière est exceptionnel alors que les risques sont aussi importants. Nous vous invitons à signer cette pétition afin de mobiliser nos élus sur l'équité mer et rivière sur le suivi de la qualité des eaux de baignade. 
    570 sur 600 Signatures
    Créée par Eau voleurs Picture
  • Sauvons les arbres menacés d'abattage dans le parc du foyer rural de Baixas
    Suite aux réclamations des citoyens de la commune de Baixas concernant le besoin de stationnement, la décision des élus est de transformer le parc de jeu du foyer rural en parking.  Pour cela, ils envisagent d’abattre la quasi-totalité des arbres présents. Au total, ce parc contient 1 olivier, 9 muriers platanes, 3 platanes, 3 palmiers, 2 cyprès et 1 troène du Japon.  Même s’ils ne sont pas classés, la plupart de ces arbres sont suffisamment âgés pour rendre des services écosystémiques remarquables. Ils sont une ressource indéniable pour la biodiversité. Ils stockent le carbone  présent dans l’air vers le sol, créent de l’oxygène, améliorent la qualité de l’air et constituent un îlot de fraîcheur et d’ombre dans un village qui en compte bien peu. Les sacrifier va à l’opposé des préconisations actuelles pour lutter contre le réchauffement climatique et faire évoluer le village vers plus de résilience face aux fluctuations à venir. Les scientifiques sont formels. Le constat est alarmant. Le département glisse rapidement vers le stade de désert. La sécheresse s’installe, la qualité de l’air se dégrade avec la hausse des émissions de gaz à effet de serre, les nappes phréatiques s’assèchent, les sols appauvris se dégradent de plus en plus et la biodiversité s’effondre … Il faut agir ! 25 ans, c’est le temps dont nous disposons pour changer de trajectoire. (source : Plan bleu méditerranée) Les arbres et la végétalisation sont une des meilleures solutions pour nous permettre d’envisager un avenir résilient, avant qu’il ne soit trop tard. Planter des arbres, végétaliser les milieux urbains, créer des forêts péri-urbaines, et conserver le patrimoine arboré doivent être au cœur de nos préoccupations et de celles des élus. Ils ont pour mission de tout mettre en œuvre pour notre avenir. Il faut donc effectuer les aménagements tout en respectant et priorisant la vie des arbres. Le goudron et le béton emmagasinent la chaleur et créent une hausse des températures. Les arbres permettent d’éviter ce réchauffement en faisant de l’ombre (jusqu’à 10 degrés d’écart), ce qui protégera les véhicules. De plus, de nombreux arbres du village sont en mauvais état. Pour cause, le goudron ou le marbre qui étouffe leurs racines et les empêche de se déployer sainement. Certains sont morts et d’autres le seront bientôt. Il existe de nombreuses alternatives au goudron et à la bétonisation. Des aménagements perméables permettent aux arbres, l’accès à l’eau de pluie, ainsi que d’éviter les risques d’inondation annoncées par les études scientifiques. Des dalles de parking ajourées sont une des solutions envisageable. Nous exigeons à ce que les arbres du parc de jeu du foyer rural soient conservés, et que les arbres du village soient entretenus dans le respect des règles écologiques. Au-delà de ce projet, il est temps que l'aménagement soit réfléchis en fonction de la biodiversité et que soient prises des mesures nécessaires à l’adaptation de notre village face aux risques et aux conséquences du réchauffement climatique. Protégeons nos grands arbres avant qu'il ne soit trop tard.
    767 sur 800 Signatures
    Créée par Nathalie A.
  • STOP!.... STOP AUX PLASTIQUES
    Nous citoyens européens devons faire entendre notre volonté. Cette pétition en la signant en est un moyen fort,  comme pour la "loi DUPLOMB", de dire à nos politiques et insdustriels que cela doit changer. Pas demain, pas au prochain coloque sur le plastique planétaire qui aura lieu on ne sait quand,  pas dans dix ans... TOUT DE SUITE. Notre planète et notemment les océans et l'ensemble du  monde animal, nous sommes  en train de CREVER, du fait d'hommes et de femmes qui n'ont aucun scrupule à faire du BIZNESS, sur notre Mort programmée. Nous tuons nos enfants dès à présent tous les jours à petite dose. STOP!!. Je suis un simple citoyen de 64 ans  qui ne sait plus comment sensibiliser, comment convaincre,  comment dire que c'est notre engagement. Ce sont nos voix qui doivent  dire, haut et fort: STOP AUX PLASTIQUES ! 
    320 sur 400 Signatures
    Créée par Robert S.
  • Non à la construction d’un 2ᵉ incinérateur. Protégeons notre santé et notre environnement
    NON à la construction d'un 2e incinérateur du Sourn : protégeons notre santé et notre environnement Sous le mot “extension” se cache en réalité la construction d’un 2ᵉ incinérateur, doublant ainsi les émissions polluantes. Les seuils sont mesurés à la sortie de chaque cheminée : deux cheminées = pollution multipliée par deux. Déjà, l’an passé, des dépassements de normes ont été relevés avec une seule cheminée. Avec deux, le risque est certain. Ce projet prévoit de passer de 25 000 à 60 000 tonnes de déchets brûlés par an, dont 68 % de déchets d’activités économiques (DAE), changeant la vocation initiale du site. Conséquences directes : • Plus de camions = plus de bruit, pollution, risques routiers. • Plus de fumées toxiques = particules fines, dioxines, métaux lourds. • Plus de nuisances sonores : broyeur à marteaux (85–105 dB), vibrations, fonctionnement continu 24h/24. • Plus de pollution = atteintes à l’air, aux sols, aux potagers et à la biodiversité. Les effets sur la santé sont connus et documentés : maladies respiratoires, cancers, troubles hormonaux, atteintes au développement des enfants. Même avec des filtres, aucun incinérateur n’est 100 % sûr. Ce 2ᵉ four fonctionnerait en continu à plus de 1 000 °C, jour et nuit, week-ends compris, générant fumées et bruit sans interruption. Le site, géré par une société privée, privilégiera la rentabilité plutôt que la santé publique. L’énergie produite serait surtout revendue à un industriel local (Lactalis), comme avec le premier four. Des alternatives existent : renforcer le tri, développer le compostage, réduire les déchets à la source. Et si une nouvelle unité est nécessaire, elle doit être implantée sur un autre territoire industriel, pour répartir équitablement les nuisances et éviter un cumul dangereux. Nous demandons : 1. Gel immédiat du projet de 2ᵉ incinérateur au Sourn. 2. Étude d’impact sanitaire indépendante avant toute décision. 3. Recherche et mise en œuvre d’alternatives durables à l’incinération massive. 📢 Signez la pétition pour dire NON à ce projet dangereux et OUI à un avenir plus sain et durable pour notre communauté. Votre voix compte : c’est ensemble que nous pouvons protéger notre santé, notre environnement et l’avenir de nos enfants.
    1 981 sur 2 000 Signatures
    Créée par Stop au deuxième Four sur la zone Pontivy – Le Sourn