• La ferme cueillette de Servigny toujours en danger : AGIR AVANT LE 8 OCTOBRE 2025
    Mme la Préfète de l’Essonne, Représentant de L’Etat sur le projet de SCoT de Grand Paris Sud  M. le Directeur de l’Établissement Public d’Aménagement (EPA) de Sénart   Madame, Monsieur   Au printemps 2024, des milliers de citoyens exprimaient par la signature d’une pétition leur opposition au projet de l’Établissement Public d’Aménagement (EPA) de Sénart amputant de 35 ha de terres, la ferme-cueillette de Servigny, pour y installer une nouvelle zone industrielle, mettant gravement en péril les équilibres économiques et agronomiques de l’exploitation agricole.    Les signataires demandaient la sanctuarisation de la Ferme-Cueillette de Servigny et de ses terres car :  • Elle propose ses productions maraîchères et fruitières en circuit-court par de la vente directe ;  • Elle apporte des réponses aux enjeux du changement climatique et de la perte de biodiversité (haies, non-labour, engrais verts …) • Elle est un lieu de rencontre et de lien social ; • Elle permet de sensibiliser les enfants des écoles à l’agriculture nourricière ; • Elle concourt à la protection des terres fertiles, aux bonnes pratiques ;  • Elle répond ainsi aux objectifs de la stratégie agricole et alimentaire de Grand Paris Sud. En février 2025, les élus de la communauté d’agglomération de Grand Paris Sud Seine Essonne Sénart, votaient, à l’unanimité, le projet de Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT), document de planification stratégique pour le territoire, maintenant les 35 ha de la ferme cueillette par leur inscription en espace agricole. Préalablement à l’enquête publique, qui se déroule du 8 septembre au 8 octobre 2025, sur 42 Personnes Publiques Associées s’étant exprimées sur le projet de SCoT, seules 3 ont exprimé un avis défavorable. Le Conseil Régional d’Île-de-France a donné un avis favorable.  Mme la Préfète, au titre de représentant de l’Etat sur le projet de SCoT et M. le Directeur de l’EPA de Sénart, vous avez émis un avis défavorable sur celui-ci. Ce document : •  A été élaboré et voté à l’unanimité par le Conseil communautaire représentant 23 communes et plus de 360 000 habitants ; • Est approuvé par les élus de Sénart (ancienne ville nouvelle) qui ont demandé à l’EPA, par une motion le 24 juin 2025, sans succès, de revoir sa position; •  Répond aux besoins des habitants du territoire; • Est soutenu par les associations.   Ainsi, élus, habitants et associations sont confrontés à un déni démocratique face à une Zone d’Aménagement Concerté (ZAC) conçue il y a plus de 30 ans sur un modèle aujourd’hui dépassé.   Si on peut adhérer à la mise en œuvre d’une politique industrielle, créatrice d’emplois, celle-ci ne peut se faire par l’utilisation de terres agricoles de qualité, au détriment d’un lieu correspondant aux attentes et à l’intérêt de la population. Des alternatives peuvent être proposées par l’EPA. Nous demandons, dans le SCoT, le maintien des 35 ha en espace agricole, dans le respect des avis des élus, de la population et de ses associations. Copie : M. Bisson, Président de Communauté d’Agglomération de Grand Paris Sud             M. Raffalli, Vice-président en charge de l’aménagement, des grands projets, de l’habitat et du   logement de Grand Paris Sud          Pétition proposée par un collectif de quatorze associations     Alternatiba Sénart 77  LPO (Ligue de Protection des Oiseaux) - Grand Paris Sud ADE (Association de Défense de l’Environnement de Sénart et environs) ARNASSEN (Association pour la reconnaissance de Noisement) C-E-E (Corbeil-Essonnes-Environnement) TESSA (Transition Écologique et Sociale de Sénart et Alentours) Vergers Vivants de Lieusaint ABC (Association des Bois du Canton) ENDANA -Ressourcerie ERON (Education et Recherche sur les Oiseaux et la Nature) SOS Batraciens Les Coquelicombs SEE (Soisy-Etiolles- Environnement) La Voix du Village (Evry-Courcouronnes) Avec le soutien de FNE77 (France Nature Environnement Seine-et-Marne) et ENE ( Essonne Nature Environnement) En apportant votre signature, vous soutenez la conservation de terres agricoles fertiles, le maintien d’une exploitation de proximité, vertueuse et engagée pour les générations à venir. Grand Paris Sud : projet de SCoT  
    3 253 sur 4 000 Signatures
    Créée par Sauvons SERVIGNY
  • STOP AU MASSACRE DES TROUPEAUX DE VACHES
    La situation est très grave, puisque si tous les cheptels viennent à être touché (grandes races de vaches comprises, Labels)  il n'y aura plus de lait de nos campagnes, plus de produits laitiers de qualité, de bons fromages... Une biodiversité et des produits locaux de qualité qui disparaîtront. Ce ne sont pas les élevages industriels qui ont été touchés mais les élevages en plein air de qualité. Les prés de campagne avec leurs vaches disparaîtront également, ainsi que les fermes et les éleveurs. - Détresse des éleveurs et agriculteurs. Les nouveaux éleveurs ne pourront pas repartir, les jeunes se voient surendettés. - Destruction de l'agriculture paysanne et Familiale. C'est aussi tout le bon fruit du travail de Génération d'Eleveurs et d'Agriculteurs qui disparaît, sans respect ! C'est la ruines des fermes et la détresse paysanne. La France doit être informée de ce qui se passe dans nos campagnes.   Plusieurs départements s'organisent contre l'abattage total. Plusieurs Groupes et Collectifs sont mobilisés et essayent de faire barrage à l'euthanasie totale des animaux. Les Syndicats, Coordination Rurale, Confédération paysanne, Collectif du 47 !  Vos signatures récoltées aussi auprès de Greenpeace, lutteront contre ce massacre, et aideront les éleveurs. Merci pour eux.
    313 sur 400 Signatures
    Créée par Chris R et Sylviane C
  • POUR L'INVENTAIRE ET LE CONTRÔLE SANITAIRE DES ZONES DE BAIGNADE DES RIVIÈRES DU VAR
    Le contrôle sanitaire des eaux de baignade en mer est usuel, celui des eaux de rivière est exceptionnel alors que les risques sont aussi importants. Nous vous invitons à signer cette pétition afin de mobiliser nos élus sur l'équité mer et rivière sur le suivi de la qualité des eaux de baignade. 
    218 sur 300 Signatures
    Créée par Eau voleurs
  • Sauvons les arbres menacés d'abattage dans le parc du foyer rural de Baixas
    Suite aux réclamations des citoyens de la commune de Baixas concernant le besoin de stationnement, la décision des élus est de transformer le parc de jeu du foyer rural en parking.  Pour cela, ils envisagent d’abattre la quasi-totalité des arbres présents. Au total, ce parc contient 1 olivier, 9 muriers platanes, 3 platanes, 3 palmiers, 2 cyprès et 1 troène du Japon.  Même s’ils ne sont pas classés, la plupart de ces arbres sont suffisamment âgés pour rendre des services écosystémiques remarquables. Ils sont une ressource indéniable pour la biodiversité. Ils stockent le carbone  présent dans l’air vers le sol, créent de l’oxygène, améliorent la qualité de l’air et constituent un îlot de fraîcheur et d’ombre dans un village qui en compte bien peu. Les sacrifier va à l’opposé des préconisations actuelles pour lutter contre le réchauffement climatique et faire évoluer le village vers plus de résilience face aux fluctuations à venir. Les scientifiques sont formels. Le constat est alarmant. Le département glisse rapidement vers le stade de désert. La sécheresse s’installe, la qualité de l’air se dégrade avec la hausse des émissions de gaz à effet de serre, les nappes phréatiques s’assèchent, les sols appauvris se dégradent de plus en plus et la biodiversité s’effondre … Il faut agir ! 25 ans, c’est le temps dont nous disposons pour changer de trajectoire. (source : Plan bleu méditerranée) Les arbres et la végétalisation sont une des meilleures solutions pour nous permettre d’envisager un avenir résilient, avant qu’il ne soit trop tard. Planter des arbres, végétaliser les milieux urbains, créer des forêts péri-urbaines, et conserver le patrimoine arboré doivent être au cœur de nos préoccupations et de celles des élus. Ils ont pour mission de tout mettre en œuvre pour notre avenir. Il faut donc effectuer les aménagements tout en respectant et priorisant la vie des arbres. Le goudron et le béton emmagasinent la chaleur et créent une hausse des températures. Les arbres permettent d’éviter ce réchauffement en faisant de l’ombre (jusqu’à 10 degrés d’écart), ce qui protégera les véhicules. De plus, de nombreux arbres du village sont en mauvais état. Pour cause, le goudron ou le marbre qui étouffe leurs racines et les empêche de se déployer sainement. Certains sont morts et d’autres le seront bientôt. Il existe de nombreuses alternatives au goudron et à la bétonisation. Des aménagements perméables permettent aux arbres, l’accès à l’eau de pluie, ainsi que d’éviter les risques d’inondation annoncées par les études scientifiques. Des dalles de parking ajourées sont une des solutions envisageable. Nous exigeons à ce que les arbres du parc de jeu du foyer rural soient conservés, et que les arbres du village soient entretenus dans le respect des règles écologiques. Au-delà de ce projet, il est temps que l'aménagement soit réfléchis en fonction de la biodiversité et que soient prises des mesures nécessaires à l’adaptation de notre village face aux risques et aux conséquences du réchauffement climatique. Protégeons nos grands arbres avant qu'il ne soit trop tard.
    653 sur 800 Signatures
    Créée par Nathalie A.
  • STOP!.... STOP AUX PLASTIQUES
    Nous citoyens européens devons faire entendre notre volonté. Cette pétition en la signant en est un moyen fort,  comme pour la "loi DUPLOMB", de dire à nos politiques et insdustriels que cela doit changer. Pas demain, pas au prochain coloque sur le plastique planétaire qui aura lieu on ne sait quand,  pas dans dix ans... TOUT DE SUITE. Notre planète et notemment les océans et l'ensemble du  monde animal, nous sommes  en train de CREVER, du fait d'hommes et de femmes qui n'ont aucun scrupule à faire du BIZNESS, sur notre Mort programmée. Nous tuons nos enfants dès à présent tous les jours à petite dose. STOP!!. Je suis un simple citoyen de 64 ans  qui ne sait plus comment sensibiliser, comment convaincre,  comment dire que c'est notre engagement. Ce sont nos voix qui doivent  dire, haut et fort: STOP AUX PLASTIQUES ! 
    170 sur 200 Signatures
    Créée par Robert S.
  • Non à la construction d’un 2ᵉ incinérateur. Protégeons notre santé et notre environnement
    NON à la construction d'un 2e incinérateur du Sourn : protégeons notre santé et notre environnement Sous le mot “extension” se cache en réalité la construction d’un 2ᵉ incinérateur, doublant ainsi les émissions polluantes. Les seuils sont mesurés à la sortie de chaque cheminée : deux cheminées = pollution multipliée par deux. Déjà, l’an passé, des dépassements de normes ont été relevés avec une seule cheminée. Avec deux, le risque est certain. Ce projet prévoit de passer de 25 000 à 60 000 tonnes de déchets brûlés par an, dont 68 % de déchets d’activités économiques (DAE), changeant la vocation initiale du site. Conséquences directes : • Plus de camions = plus de bruit, pollution, risques routiers. • Plus de fumées toxiques = particules fines, dioxines, métaux lourds. • Plus de nuisances sonores : broyeur à marteaux (85–105 dB), vibrations, fonctionnement continu 24h/24. • Plus de pollution = atteintes à l’air, aux sols, aux potagers et à la biodiversité. Les effets sur la santé sont connus et documentés : maladies respiratoires, cancers, troubles hormonaux, atteintes au développement des enfants. Même avec des filtres, aucun incinérateur n’est 100 % sûr. Ce 2ᵉ four fonctionnerait en continu à plus de 1 000 °C, jour et nuit, week-ends compris, générant fumées et bruit sans interruption. Le site, géré par une société privée, privilégiera la rentabilité plutôt que la santé publique. L’énergie produite serait surtout revendue à un industriel local (Lactalis), comme avec le premier four. Des alternatives existent : renforcer le tri, développer le compostage, réduire les déchets à la source. Et si une nouvelle unité est nécessaire, elle doit être implantée sur un autre territoire industriel, pour répartir équitablement les nuisances et éviter un cumul dangereux. Nous demandons : 1. Gel immédiat du projet de 2ᵉ incinérateur au Sourn. 2. Étude d’impact sanitaire indépendante avant toute décision. 3. Recherche et mise en œuvre d’alternatives durables à l’incinération massive. 📢 Signez la pétition pour dire NON à ce projet dangereux et OUI à un avenir plus sain et durable pour notre communauté. Votre voix compte : c’est ensemble que nous pouvons protéger notre santé, notre environnement et l’avenir de nos enfants.
    199 sur 200 Signatures
    Créée par Stop au deuxième Four sur la zone Pontivy – Le Sourn
  • ❌ NON à la relocalisation de l’usine INOE à Carrières-sous-Poissy !
     🔥 Ce projet est une menace directe pour notre cadre de vie  INOE est une société de traitement de déchets actuellement implantée à Vernouillet. Là-bas, les habitants témoignent de nuisances graves directement liées à son activité :  • Incendies, • Odeurs nauséabondes, • Poussières de bois dans l’air, • Maladies respiratoires en hausse, • Dégradation du cadre de vie et de l’urbanisme local. Le projet à Carrières-sous-Poissy prévoit :   • 5 unités de traitement et stockage de déchets bois, verts et plastiques, • Une station-service, • Des zones de broyage et de décomposition à l’air libre, • Une plateforme logistique routière à proximité immédiate de zones d’habitation.   ⚠️ Une accumulation de risques déjà identifiés par l’État Selon les documents officiels publiés par la DRIEAT Île-de-France, la décision du 11 juillet 2025 impose à INOE une évaluation environnementale obligatoire, en raison de multiples réserves techniques et sanitaires. Ces réserves confirment ce que redoutent déjà les habitants : ➡️ ce projet est dangereux, mal encadré, et porteur de nuisances majeures. 🚨 Un projet absurde et destructeur à tous les niveaux : 1. Une catastrophe sanitaire Avec une ville en pleine croissance démographique (plus d’une naissance et demie par jour en 2025), il est irresponsable d’implanter une activité industrielle polluante à proximité immédiate d’habitations, d’écoles et d’équipements publics. Le risque sanitaire est réel et documenté. 2. Un contresens écologique majeur Le site envisagé est en bordure de Seine et du Parc du Peuple de l’Herbe, joyau écologique de 113 hectares financé par le Département. Comment justifier un tel projet destructeur à la porte même d’un espace naturel protégé ? 3. Un suicide économique et immobilier Le projet de « centralité » a fortement urbanisé la zone, avec des milliers de logements récents. L’implantation de l’usine INOE à cet endroit rendrait le secteur invivable et invendable, annihilant des années d’investissements publics et privés. L’arrivée du RER E, du Tram 13 et la construction d’un nouveau lycée à proximité sont autant d’opportunités qui seraient gâchées si le secteur devenait synonyme de pollution et de nuisances. ❗ Le choix de l’omission et de l’enfumage Nous dénonçons également l’absence totale de concertation publique sur ce dossier. Le Maire de Carrières-sous-Poissy, Eddie Aït, a tenté de minimiser – voire de nier – l’existence de ce projet. Ce n’est qu’après avoir été interpellé publiquement par des élus d’opposition qu’il a consenti à faire voter une simple motion symbolique, alors qu’une délibération contraignante aurait eu un poids juridique et politique bien supérieur. 📣 Nous exigeons :   1. L’abandon immédiat du projet d’implantation d’INOE sur le territoire de Carrières-sous-Poissy. 2. Un moratoire sur toute activité industrielle polluante au sein de l’Écopôle Seine Aval. 3. La publication de l’ensemble des documents d’étude et d’évaluation environnementale. 4. La tenue d’une concertation publique élargie, avec les habitants, les associations et les collectivités concernées.   📝 Cette pétition est adressée :   • à M. Pierre Bédier, Président de l’EPAMSA (aménageur de l’Écopôle Seine Aval) • à M. Eddie Aït, Maire de Carrières-sous-Poissy et membre du Conseil d’administration de l’EPAMSA • à M. Frédéric Rose, Préfet des Yvelines   🚫 Carrières-sous-Poissy n’est pas une poubelle Nous avons déjà payé le prix fort avec la « mer des déchets » et les activités éco-curatives existantes (Incinérateur AZALYS, station d'épuration du SIAAP, déchetteries...) . Il est temps de dire STOP ! ➡️ Signez et partagez cette pétition pour protéger notre santé, notre environnement et l’avenir de cette boucle de Seine.  
    1 351 sur 2 000 Signatures
    Créée par RSNE R.
  • SAUVONS l'émission "SECRETS D'INFOS" sur France Inter
    Nous sommes des milliers à aimer ce moment précieux qui nous élève par la véracité et le sérieux des enquêtes : Comme cela est écrit par L’équipe de la cellule investigation de Radio France sur Mediapart :  "Est-il nécessaire de rappeler que des enquêtes comme celles sur les airbags Takata, l'Abbé Pierre, les assistants parlementaires du Modem ou la fraude aux eaux minérales Nestlé, ( + L’hexane : un résidu d’essence bien présent dans nos assiettes + le drame des  Observateurs de pêche : enquête sur un métier à risque ... ) n’auraient jamais vu le jour sans l'émission Secrets d'infos, et l'indépendance de la cellule investigation ?" Nous sommes des milliers à ne pas accepter cette décision injuste !  Vos signatures seront le nectar des esprits libres de ce pays qui ne veulent pas perdre en qualité ni en humanité sur la radio publique. 
    1 098 sur 2 000 Signatures
    Créée par Violette M.
  • NON A LA DESTRUCTION DE 18 HECTARES DE FORET AU PROFIT DE RTE A CUBNEZAIS (33)
    1/Nous avons besoin de vos signatures pour sauver cette forêt et les animaux qui y résident.  2/Cette sur-industrialisation de la commune de CUBNEZAIS (33620) va tuer la ruralité. 3/Aidez-nous. 4/Ensemble nous pouvons faire changer les choses. 5/Ensemble préservons la nature, préservons la vie. Merci beaucoup
    65 sur 100 Signatures
    Créée par Nadia B.
  • BIOL : Préservons notre forêt !
    SAUVONS LA FORÊT DE BIOL Depuis l'automne 2024, notre forêt est saccagée, violée, massacrée à coup de tronçonneuses. Deux engins monstrueux la parcourent de long en large afin de prélever les troncs coupés, en laissant d'immenses ornières et bien sûr, en écrasant tout sur leur passage (hérissons et autres petits mammifères, orvets, salamandres, lézards verts, etc.). Nous sommes nombreux à être choqués et révoltés par ces méthodes. Il ne s'agit pas là de coupes raisonnées, ni de gestion durable. C'est juste un carnage. Tout ça pour quoi ? Et bien pour alimenter les chaufferies de l'agglomération grenobloise, un non-sens absolu ! Vite, signez la pétition pour dénoncer ces pratiques délétères. Cette forêt d'environ 400 hectares abrite une biodiversité riche et complète. Entre 15 et 20 hectares ont été littéralement rasés. Des sols nus et dévastés subissent à présent les brûlures du soleil. Et ce n'est pas terminé. Les coupes reprendront en septembre. Tout ça sous couvert d'une soit-disant écologie. Mais quelle écologie ? Des tonnes de bois sont coupés, broyés dans la foulée, et avant d'alimenter les chaufferies, et bien ces copeaux doivent être séchés artificiellement. Je suis bien consciente que cette forêt doit être entretenue, mais de façon durable. L'exploitant forestier se moque bien des cicatrices qu'il laisse derrière lui puisque son seul Dieu se nomme profit. Sur ces parcelles se trouvaient de magnifiques chênes plus que centenaires, et pour certains, bicentenaires. Si les propriétaires avaient fait couper seulement 2 ou 3 chênes de leur parcelle, ils auraient pu encaisser de 2 000 à 4 500€. Avant de vendre à un exploitant forestier qui vous démarche, il serait préférable de vous renseigner sur le bonhomme afin de connaître ses méthodes, pourquoi et pour qui. Il vous aurait fallu bien peu de temps pour comprendre que cet exploitant n'a pas une réputation très enviable dans la région. Il faut arrêter cela au plus vite. Il est nécessaire que les propriétaires prennent conscience de ce désastre, et que les autorités locales exercent un contrôle renforcé. Je vous remercie de vous joindre à mon combat en SIGNANT CETTE PÉTITION. Karen, fille de Biol et de sa forêt.
    705 sur 800 Signatures
    Créée par Karen M.
  • Halte au massacre de la forêt des îles de Bonny-sur-Loire
    Halte au massacre de la forêt des îles de Bonny-sur-Loire, halte à la destruction des milieux de vie Mi juillet 2025, les tronçonneuses sont en action jour après jour dans une zone exceptionnelle, située entre les bords de Loire et un de ses affluents, la Cheuille : des centaines d’arbres – peupliers, chênes, etc. - sont abattus méthodiquement. C’est une coupe à blanc. La zone est pourtant décrite dans les guides comme une mosaïques d’habitats fluviaux, avec la forêt alluviale, les prairies, les milliers d’oiseaux dont les guêpiers d’Europe, balbuzards, hérons, garzettes, sternes, gravelots, chevaliers, milans noirs, grives musiciennes et fauvettes, pics, etc. Une grande partie du territoire, attenante à la coupe, est placée sous la protection du Conservatoire d’Espaces Naturels Centre-Val de Loire, (CEN). La coupe se situe quant à elle dans des parcelles privées, situées dans une zone Natura 2000 avec un classement d’inventaire destiné à protéger les oiseaux sauvages (Zone importante pour la conservation des oiseaux, « ZICO »), en ZNIEFF 2 (Zone naturelle d’intérêt écologique faunistique et floristique). La Cheuille a été l’objet d’une restauration écologique récemment. Un troupeau de brebis et d’agneaux en pâturage broute les herbes et entretient les sous-bois en piétinant les bois morts de la ripisylve. Un panneau du Conservatoire invite les promeneurs à être attentifs au site. En quelques jours, cette zone supposée être protégée et respectée est massacrée par une coupe à blanc. On est entre deux épisodes caniculaires, en période de nidification, et chacun sait désormais que le temps est compté pour aider les êtres vivants, les rivières, les milieux, et les habitants, à affronter les effets destructeurs du changement climatique et de l’effondrement de la biodiversité. Le fait que les parcelles saignées à blanc appartiennent à des exploitants privés ne justifie en rien le silence des instances contactées pour alerter sur le massacre en cours. Ni le CEN, ni l’OFB, ni la DREAL ne réagissent aux appels. Pour comprendre la situation, voir les compte-rendus : https://bureau122.fr/2025/07/11/coupe-a-blanc-dans-le-sentier-des-iles-de-bonny/ https://bureau122.fr/2025/07/15/coupe-a-blanc-a-bonny-sur-loire-en-plein-territoire-natura-2000 Voir aussi l'expertise réalisée par Joseph Garrigue, ancien conservateur de la Réserve Naturelle Nationale "Forêt de la Massane" une forêt inscrite au patrimoine mondial de l’humanité et qui nous explique que "Au vu des éléments régissant les milieux naturels et les espèces présentes ainsi qu’au constat fait sur place, il s’avère que les coupes réalisées à cette saison ont entraîné la destruction d’habitats et d’espèces protégées et sont de ce fait illégales et devraient faire l’objet d’un dépôt de plainte pour destruction d’espèces et d’habitats protégés". La protection des sites par des labels patrimoniaux n’est qu’apparente : elle cache la destruction généralisée du vivant et des écosystèmes. Les politiques dites de sensibilisation ne suffisent pas. La simple préservation de quelques parcelles protégées ne servira à rien si l’ensemble des milieux environnants sont détruits méthodiquement. Il faut que les organismes, les élus, les habitants, les témoins, assument leurs responsabilités, ne soient pas complices des destructions, et agissent pour l’intérêt commun. Il reste une solution : en appeler à toutes celles et tous ceux qui, ici comme ailleurs, savent qu’il est impossible de continuer à détruire et exploiter. Nous demandons : - Au niveau local, à Bonny-sur-Loire : 1. L’arrêt immédiat de cette coupe à blanc, 2. Une expertise juridique pour vérifier si la réglementation relative aux autorisations de coupes en forêt privée a été respectée, et notamment pour vérifier si un dossier d'incidence Natura 2000 a été déposé auprès de la DDT du Loiret, si cette demande a été validée par le comité de gestion et s’il existe un arrêté préfectoral d'autorisation des travaux, 3. Une expertise foncière pour déterminer si le parcellaire foncier a été respecté, 4. Un inventaire naturaliste réalisé par des experts indépendants afin de déterminer les effets de cette coupe à blanc sur l’écosystème des îles de Bonny, 5. Une remise en état immédiate du sentier pédestre, 6. Une restauration écologique des milieux détruits. - Au niveau national : Nous demandons à tous les organismes de protection et de gestion de l’environnement, à tous les niveaux, mais aussi à tous les élus garants de la préservation des avenirs des êtres de vivants dont leurs propres enfants, d’agir pour empêcher ces destructions, par tous les moyens (réunions publiques, chartes, affichages, campagnes).  Nous réclamons des engagements publics et des actions de la part de celles et ceux qui sont en charge de l’entretien et de la transmission de milieux et ressources. Nul ne peut au nom de la propriété privée, détruire ce qui menace les conditions de vie d'innombrables êtres et habitants.  Premiers signataires : Joëlle Le Marec, Professeure au Muséum National d’Histoire Naturelle, UMR IRD/CNRS PaLoc, trésorière de Bureau 122 (Bonny-sur-loire) Igor Babou, Professeur à l’université Paris Cité, UMR CNRS LaDyss, président de Bureau 122 (Bonny-sur-loire) Catherine Fumé, secrétaire de Bureau 122 (Bonny-sur-Loire) Pierre Henri Gouyon, Professeur émérite au Muséum National d'Histoire Naturelle, Institut de Systématique, Évolution, Biodiversité – MNHN-CNRS, UMR 7205 Jacques Tassin, Chercheur écologue au CIRAD (Montpellier), Membre de l'unité de recherche "Forêts et Sociétés", biographe de Maurice Genevoix Joseph Garrigues, Conservateur de la Réserve Naturelle de la Massane de 1992 à 2023.
    4 002 sur 5 000 Signatures
    Créée par Bureau 122 Picture
  • Pour que les cuisiniers de La Réunion réduisent l'intensité des cyclones
    L'alimentation sans animal a 3 bénéfices majeurs : 1 - Limiter le réchauffement climatique,  2 - éviter la souffrance animale  3 - et réduire les risques de maladies chez l'humain. Les climatologues ont démontré que le réchauffement climatique provoque des cyclones plus intenses. Selon l'INSEE, il est lié aux émissions carbones dont 22% proviennent de l'alimentation. Plus de la moitié des gaz à effet de serre (GES) de l’empreinte carbone de l’alimentation est d’origine biologique et notamment du méthane (CH4). Or, ce gaz a une durée de vie d'une dizaine d'années dans l'atmosphère, au contraire du CO2 qui perdure 10 à 100 fois plus longtemps. Cela signifie que le changement peut être visible au cours de votre vie. Nous vous proposons de signer cette pétition pour demander aux cuisinier.e.s, professionnels ou non, de proposer un menu végétalien protéiné. Vous pouvez également les contacter directement pour leur suggérer de proposer ce type de plats en ce jour spécial. Vous pouvez rejoindre ce groupe FB, y mentionner les cuisiniers participants et avoir des informations : https://www.facebook.com/groups/1394985728461727 Vous pouvez obtenir des informations complémentaires sur ce document en ligne :  https://mypads2.framapad.org/p/l214eme-jour-argumentaire-6y4ijz9u8 Le 2 août 2025, vous pouvez tout changer. Merci pour votre aide.  #L214emejour #rechauffementclimatique #bienetreanimal Pour le Collectif citoyen réunionnais "L214eme jour" Bernard Padé
    171 sur 200 Signatures
    Créée par Bernard P.