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non aux constructions sur la zone boisée du parc des sportsces arbres sont âgés , avec des cavités , ce sont des platanes , marronniers d inde, érables sycomores , fresnes , peuplier euraméricains, chêne , noisetiers .. sur l autre partie du parc , on trouve des peupliers d italie , platanes , érables planes , tilleul , pawlonias , fresnes, épicéas , pins , ifs ... et un très bel hêtre pourpre , qui à une valeur particulière pour moi je suis naturaliste photographe amatrice, j habite en face du parc c est le seul espace vert du quartier en dessous de cette butte , se trouvent des fleurs patrimoniales, mellifères ( violettes , lotiers, achillée , millepertuis ,linaire , mauves ... cette zone en hauteur est un petit poumon vert , un corridor écologique, un espace récréatif ; au moins 20 espèces d oiseaux protégés fréquentent ces zones , y nichent je demande à la ville déjà de discuter avec les riverains , car les services ne nous tiennent jamais au courant des abatages , je me suis déjà fait violenter à cause de çà par un agent , de ne pas ignorer la présence des espèces , de repenser leur projet je demande une réunion publique avec les riverains , la concertation n ayant servi à rien pour moi il ne doit pas y avoir de constructions sur cette zone boisée il y a une vidéo sur le site du futur aménageur , mais on ne répond pas à mes questions, la ville n affiche jamais les autorisations d urbanisme sur le terrain7 sur 100 SignaturesCréée par odile k.
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NON à la station fruitière GEANTE !Que diriez vous d'une "tour" de 13m de haut sur une surface au sol de plus de 2000m2 au bout de votre jardin ? La station fruitière est susceptible de générer des nuisances importantes : - circulation accrue de poids lourds, induite par l’activité projetée ; - nuisances sonores liées au fonctionnement de l’installation ; - nuisances visuelles (l'équivalent du double du magasin LIDL, en superficie et hauteur) ; - atteinte à la tranquillité des riverains ; - artificialisation des terres agricoles, l'absence ou l'insuffisance d'étude d'impact environnemental est préoccupant ; - Baisse de la valeur des maisons voisines et atteinte au patrimoine des habitants. Cette immense construction engendrera une dégradation durable du cadre de vie dans ce secteur rural et résidentiel. Celle-ci ne respecte ni l'équilibre du territoire, ni la tranquillité des riverains.10 sur 100 SignaturesCréée par Margaux M.
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Pesticides Anjou, Loir et Sarthe Communauté : nous voulons la transparence !🌿 1. Protéger la santé de toutes et tous, ici et maintenant Dans le village, des litres de produits chimiques (engrais, pesticides de synthèse) sont épandus autour de nos maisons, nos écoles et nos points d’eau. Ces substances ne s’arrêtent pas aux limites des champs : elles se diffusent dans l’air, l’eau, les poussières, les sols, notre alimentation et jusque dans nos corps. https://www.greenvoice.fr/assets/uploads/2025/12/06898fa478bc9c72c30b2adb517cf99cf944883c-1.jpg 🌿 2. Réduire de manière drastique les expositions aux polluants chimiques dans l’air L’étude PestiRiv de l’ANSES (publiée le 15 septembre 2025) confirme que les habitants et habitantes des zones agricoles respirent et ingèrent davantage de résidus de pesticides que les personnes en ville. Connaître les produits est un enjeu majeur et immédiat de santé publique, notamment pour les enfants, les femmes enceintes et les personnes vulnérables. 💧 3. Préserver l’eau et les sols pour les générations à venir Les pesticides empoisonnent lentement et durablement les nappes phréatiques, les rivières, les océans, les nuages et les sols. Nous avons le droit de connaître les produits à risque pour mieux protéger la qualité de l’eau et éviter d’alourdir, dans l’avenir, les coûts déjà importants de santé et de la dépollution de l’eau (cf résultats scientifiques de Mickaël Derangeon de l’Université de Nantes). 🧭 4. Initier une démocratie agricole pour contribuer tous et toutes à la transition L’agriculture ne peut plus être que l’affaire de quelques-uns. Les choix de cultures et de pratiques agricoles engagent tout le monde : notre santé, nos paysages, la biodiversité, notre eau, notre climat. La transparence sur les pesticides, c’est la première étape d’une démocratie agricole où l’ensemble des personnes habitant la commune peut contribuer à la transition agricole. La décision du Tribunal administratif de Bordeaux du 1er juillet 2025, confirmant le droit d’accès aux registres d’épandage, ouvre cette voie : celle d’un pouvoir citoyen sur les choix agricoles. NOTRE DEMANDE CONCRÈTE Nous demandons à M. Jean-Jacques Girard, Président de la Communauté de commune Anjou, Loir et Sarthe d’agir : • Obtenir les registres d’utilisation des pesticides de la commune et les rendre accessibles aux habitants et habitantes des dix-sept communes de la communauté de commune Anjou, Loir et Sarthe ; • Financer une expertise indépendante pour analyser les produits, leurs risques et leurs alternatives agronomiques ; • Organiser (avec les associations parties prenantes locales) des réunions publiques pour partager ces résultats avec les habitants et les habitantes des communes de la communauté de commune Anjou, Loir et Sarthe, riverain·es et exploitant·es agricoles notamment. Il n’y a aucune raison de garder ces usages secrets. Nous devons sortir du silence et du déni face aux risques de pollution. La tension entre la protection de la santé et les difficultés de la profession agricole implique de nouvelles formes de dialogue. C’est ensemble, habitant·es, agriculteur·rices, consommateur·rices et élu·es, que nous pouvons regarder la réalité en face et imaginer des solutions justes et durables pour l’avenir. 📣 Signez la pétition aujourd'hui pour défendre votre droit de savoir, et affirmez vos préoccupations pour notre santé à toutes et tous https://solagro.org/nos-domaines-d-intervention/agroecologie/carte-pesticides-adonis L'indice se rapporte aux seules surfaces agricoles de la commune, quelle que soit la part de la surface agricole du territoire communal. L'Indicateur de Fréquence de Traitement (IFT) correspond au nombre de doses de produits phytosanitaires appliquées par hectare pendant une campagne culturale. L'IFT communal correspond à la moyenne des IFT par culture. L'IFT total (hors biocontrôle) concerne tous les types de produits de synthèse (herbicides, insecticides, fongicides, traitements de semences, autres).10 sur 100 SignaturesCréée par riverains E.
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Pesticides DLVAgglo : nous voulons la transparence !🌿 1. Protéger la santé de toutes et tous, ici et maintenant Dans le village, des litres de produits chimiques (engrais, pesticides de synthèse) sont épandus autour de nos maisons, nos écoles et nos points d’eau. Ces substances ne s’arrêtent pas aux limites des champs : elles se diffusent dans l’air, l’eau, les poussières, les sols, notre alimentation et jusque dans nos corps. 🌿 2. Réduire de manière drastique les expositions aux polluants chimiques dans l’air L’étude PestiRiv de l’ANSES (publiée le 15 septembre 2025) confirme que les habitants et habitantes des zones agricoles respirent et ingèrent davantage de résidus de pesticides que les personnes en ville. Connaître les produits est un enjeu majeur et immédiat de santé publique, notamment pour les enfants, les femmes enceintes et les personnes vulnérables. 💧 3. Préserver l’eau et les sols pour les générations à venir Les pesticides empoisonnent lentement et durablement les nappes phréatiques, les rivières, les océans, les nuages et les sols. Nous avons le droit de connaître les produits à risque pour mieux protéger la qualité de l’eau et éviter d’alourdir, dans l’avenir, les coûts déjà importants de santé et de la dépollution de l’eau (cf résultats scientifiques de Mickaël Derangeon de l’Université de Nantes). 🧭 4. Initier une démocratie agricole pour contribuer tous et toutes à la transition L’agriculture ne peut plus être que l’affaire de quelques-uns. Les choix de cultures et de pratiques agricoles engagent tout le monde : notre santé, nos paysages, la biodiversité, notre eau, notre climat. La transparence sur les pesticides, c’est la première étape d’une démocratie agricole où l’ensemble des personnes habitant la commune peut contribuer à la transition agricole. La décision du Tribunal administratif de Bordeaux du 1er juillet 2025, confirmant le droit d’accès aux registres d’épandage, ouvre cette voie : celle d’un pouvoir citoyen sur les choix agricoles. NOTRE DEMANDE CONCRÈTE Nous demandons à Camille Galtier, Président de la Communauté d'Agglomération DLVA d’agir : • Obtenir les registres d’utilisation des pesticides de la commune et les rendre accessibles aux habitants et habitantes des vingt-cinq communes de la communauté de commune « DLVA » ; • Financer une expertise indépendante pour analyser les produits, leurs risques et leurs alternatives agronomiques ; • Organiser (avec les associations parties prenantes locales) des réunions publiques pour partager ces résultats avec les habitants et les habitantes des communes de la communauté de commune « DLVA », riverain·es et exploitant·es agricoles notamment. Il n’y a aucune raison de garder ces usages secrets. Nous devons sortir du silence et du déni face aux risques de pollution. La tension entre la protection de la santé et les difficultés de la profession agricole implique de nouvelles formes de dialogue. C’est ensemble, habitant·es, agriculteur·rices, consommateur·rices et élu·es, que nous pouvons regarder la réalité en face et imaginer des solutions justes et durables pour l’avenir. 📣 Signez la pétition aujourd'hui pour défendre votre droit de savoir, et affirmez vos préoccupations pour notre santé à toutes et tous https://www.greenvoice.fr/assets/uploads/2025/12/CARTO-SOLAGRO-DLVA.png https://solagro.org/nos-domaines-d-intervention/agroecologie/carte-pesticides-adonis L'indice se rapporte aux seules surfaces agricoles de la commune, quelle que soit la part de la surface agricole du territoire communal. L'Indicateur de Fréquence de Traitement (IFT) correspond au nombre de doses de produits phytosanitaires appliquées par hectare pendant une campagne culturale. L'IFT communal correspond à la moyenne des IFT par culture. L'IFT total (hors biocontrôle) concerne tous les types de produits de synthèse (herbicides, insecticides, fongicides, traitements de semences, autres).27 sur 100 SignaturesCréée par Riverains Ensemble
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Pesticides à Les Mées : nous voulons la transparence !🌿 1. Protéger la santé de toutes et tous, ici et maintenant Dans le village, des litres de produits chimiques (engrais, pesticides de synthèse) sont épandus autour de nos maisons, nos écoles et nos points d’eau. Ces substances ne s’arrêtent pas aux limites des champs : elles se diffusent dans l’air, l’eau, les poussières, les sols, notre alimentation et jusque dans nos corps. 🌿 2. Réduire de manière drastique les expositions aux polluants chimiques dans l’air L’étude PestiRiv de l’ANSES (publiée le 15 septembre 2025) confirme que les habitants et habitantes des zones agricoles respirent et ingèrent davantage de résidus de pesticides que les personnes en ville. Connaître les produits est un enjeu majeur et immédiat de santé publique, notamment pour les enfants, les femmes enceintes et les personnes vulnérables. 💧 3. Préserver l’eau et les sols pour les générations à venir Les pesticides empoisonnent lentement et durablement les nappes phréatiques, les rivières, les océans, les nuages et les sols. Nous avons le droit de connaître les produits à risque pour mieux protéger la qualité de l’eau et éviter d’alourdir, dans l’avenir, les coûts déjà importants de santé et de la dépollution de l’eau (cf résultats scientifiques de Mickaël Derangeon de l’Université de Nantes). 🧭 4. Initier une démocratie agricole pour contribuer tous et toutes à la transition L’agriculture ne peut plus être que l’affaire de quelques-uns. Les choix de cultures et de pratiques agricoles engagent tout le monde : notre santé, nos paysages, la biodiversité, notre eau, notre climat. La transparence sur les pesticides, c’est la première étape d’une démocratie agricole où l’ensemble des personnes habitant la commune peut contribuer à la transition agricole. La décision du Tribunal administratif de Bordeaux du 1er juillet 2025, confirmant le droit d’accès aux registres d’épandage, ouvre cette voie : celle d’un pouvoir citoyen sur les choix agricoles. NOTRE DEMANDE CONCRÈTE Nous demandons à M. Frédéric Puech , maire de Les Mées d’agir : • Obtenir les registres d’utilisation des pesticides de la commune (et en informer l’ensemble des habitants et habitantes dans le bulletin municipal) ; • Financer une expertise indépendante pour analyser les produits, leurs risques et leurs alternatives agronomiques ; • Organiser (avec les associations parties prenantes locales) une réunion publique pour partager ces résultats avec les habitants et les habitantes de la commune, riverain·es et exploitant·es agricoles notamment. Il n’y a aucune raison de garder ces usages secrets. Nous devons sortir du silence et du déni face aux risques de pollution. La tension entre la protection de la santé et les difficultés de la profession agricole implique de nouvelles formes de dialogue. C’est ensemble, habitant·es, agriculteur·rices, consommateur·rices et élu·es, que nous pouvons regarder la réalité en face et imaginer des solutions justes et durables pour l’avenir. 📣 Signez la pétition aujourd'hui pour défendre votre droit de savoir, et affirmez vos préoccupations pour notre santé à toutes et tous. https://www.greenvoice.fr/assets/uploads/2025/12/Carte-IFT-solagro-Les-Mees.jpg https://solagro.org/nos-domaines-d-intervention/agroecologie/carte-pesticides-adonis L'indice se rapporte aux seules surfaces agricoles de la commune, quelle que soit la part de la surface agricole du territoire communal. L'Indicateur de Fréquence de Traitement (IFT) correspond au nombre de doses de produits phytosanitaires appliquées par hectare pendant une campagne culturale. L'IFT communal correspond à la moyenne des IFT par culture. L'IFT total (hors biocontrôle) concerne tous les types de produits de synthèse (herbicides, insecticides, fongicides, traitements de semences, autres).8 sur 100 SignaturesCréée par Riverains Ensemble
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Non, le Parc Naturel Régional du Haut Languedoc ne doit pas devenir un Parc industriel !Malgré les avis des citoyen-nes en réunions publiques et les 21 000 signatures sur une pétition, malgré le vote des élu-es du territoire en faveur de critères raisonnés concernant le développement de la production d’électricité, le projet de Charte du Parc 2028-2043 qui vient d’être rendu public est une catastrophe. Nous aurions des éoliennes à 150m de haut (nous en avons déjà trop : 300 mais à 90/100m), plus 900 hectares de photovoltaïque sur sol naturel, agricole, forestier et sur plans d’eau, des méthaniseurs agro-industriels… bref, le Parc offre ses espaces naturels aux promoteurs, au lieu de les protéger. Non seulement l’avis des habitant.es a été ignoré au profit des exigences des promoteurs et des objectifs quantitatifs de l’État mais, dans une lettre ahurissante, les préfets du Tarn et de l’Hérault enjoignent les instances du Parc de ne pas tenir compte des souhaits de leurs élu.es ! 8 associations environnementales* ont demandé une réunion tripartite (État, PNR, associations) aux préfets du Tarn et de l'Hérault pour négocier une Charte assurant mieux les missions d’un Parc naturel régional. Porte close : les préfets les renvoient à l’enquête publique pour faire part de leurs doléances ! (*) FNE Occitanie-Pyrénées, FNE Occitanie-Méditerranée, La LPO, le Conservatoire d’espaces naturels Occitanie, Nature en Occitanie, la Société française pour l’étude et la protection des mammifères, l’Union protection nature environnement du Tarn et le Collectif régional TNE Occitanie-environnement. La mission fondamentale d’un Parc naturel est de protéger ses paysages, d’enrichir sa biodiversité, de veiller au bien-être de ses habitants ; elle n’est pas de produire de l’électricité. Cette mission semble avoir été oubliée par le PNR du Haut Languedoc lors de l’écriture de sa nouvelle Charte. Les orientations qui sont prises et les décisions qui en découleraient, auraient des graves effets sur l’environnement humain et naturel de ce territoire. Le PNRHL se félicite d’avoir augmenté sa production d’énergie de 43% en 15 ans et d’être de ce fait largement excédentaire (le PNR produit 8% du renouvelable d’Occitanie). Pourquoi continuer à produire toujours plus ? Nous demandons - que Le PNR Haut Languedoc ne soit pas transformé en parc industriel pour satisfaire les appétits financiers d’énergéticiens toujours plus avides de bénéfices que soucieux de biodiversité, de bien-être collectif et de démocratie ; - un retour au seuil maximum des 125 mètres de hauteur pour les éoliennes (ce que précise la Charte actuelle) ; - du photovoltaïque sur les toits des parkings, centres commerciaux, entrepôts, ateliers municipaux, zones artificialisées… mais pas sur sol naturel, agricole, forestier et sur plan d’eau ; - et pas d’agrivoltaïque, ni méthaniseurs agro-industriels, qui transforment les paysans en producteurs d’électricité. Si la Charte est approuvée en l’état, nous n’aurons pas d’autre choix que de l’attaquer devant la justice administrative. Devant l’omerta, nous souhaitons lancer une campagne de publi-rédactionnels, affiches, tracts… et nous avons besoin, pour poursuivre nos actions, de votre soutien financier. Merci de votre générosité et soutien - via la plateforme Helloasso - https://www.helloasso.com/associations/occitanie-energies-environnement/formulaires/2 - qui vous délivre aussitôt un reçu fiscal au nom de OC.2E, vous ouvrant une réduction d'impôts de 66 % (avec un reçu fiscal, un don de 50€ ne vous coûtant alors que 17€). - par chèque bancaire à l'ordre de l'association OC.2E, adressé à : OC.2E / TNE, mairie 38 place de la mairie 81240 Le Rialet (le trésorier vous enverra alors le reçu fiscal vous ouvrant à la même réduction d'impôts). Nous écrire : [email protected]151 sur 200 SignaturesCréée par Françoise M.
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Pour de lourdes condamnations à l’encontre des graves propos de la police à Sainte Soline!!!Bonjour, "des merdes comme çà il faut les brûler " "j’ai envie d’aller les tabasser" "on va les manger, il faut qu’on les tue" "je ne compte plus les mecs qu’on a éborgnés" "j’espère que t’en as éborgnés, un vrai kiff" "tiens ta mère la pute" "bande de merdes" "sale chien va" "ces fils de pute de journalistes" Voici quelques uns des propos énoncés par les policiers lors de la manifestation de Sainte Soline le 25 mars 2023 qui a fait plus de 200 blessés. Ces personnes qui tiennent ces propos doivent être lourdement condamnées et n’ont rien à faire dans les rangs de la police. Ces propos sont extrêmement graves, ces gens sont des danger publics surtout quand ils sont censés représenter l’état et "maintenir l’ordre". En plus de la violence verbale, il y a eu ce jour là énormément de violence physique, principalement avec les plus de 5000 grenades tirées en quelques heures, soit une toutes les 2 secondes. Demandons de lourdes condamnations pour les policiers qui on tenu ces propos à Sainte Soline. Stop à la violence policière.12 sur 100 SignaturesCréée par Alexandre R.
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Pesticides à Ambres : nous voulons la transparence !🌿 1. Protéger la santé de toutes et tous, ici et maintenant Dans le village, des litres de produits chimiques (engrais, pesticides de synthèse) sont épandus autour de nos maisons, nos écoles et nos points d’eau. Ces substances ne s’arrêtent pas aux limites des champs : elles se diffusent dans l’air, l’eau, les poussières, les sols, notre alimentation et jusque dans nos corps. 🌿 2. Réduire de manière drastique les expositions aux polluants chimiques dans l’air L’étude PestiRiv de l’ANSES (publiée le 15 septembre 2025) confirme que les habitants et habitantes des zones agricoles respirent et ingèrent davantage de résidus de pesticides que les personnes en ville. Connaître les produits est un enjeu majeur et immédiat de santé publique, notamment pour les enfants, les femmes enceintes et les personnes vulnérables. 💧 3. Préserver l’eau et les sols pour les générations à venir Les pesticides empoisonnent lentement et durablement les nappes phréatiques, les rivières, les océans, les nuages et les sols. Nous avons le droit de connaître les produits à risque pour mieux protéger la qualité de l’eau et éviter d’alourdir, dans l’avenir, les coûts déjà importants de santé et de la dépollution de l’eau (cf résultats scientifiques de Mickaël Derangeon de l’Université de Nantes). 🧭 4. Initier une démocratie agricole pour contribuer tous et toutes à la transition L’agriculture ne peut plus être que l’affaire de quelques-uns. Les choix de cultures et de pratiques agricoles engagent tout le monde : notre santé, nos paysages, la biodiversité, notre eau, notre climat. La transparence sur les pesticides, c’est la première étape d’une démocratie agricole où l’ensemble des personnes habitant la commune peut contribuer à la transition agricole. La décision du Tribunal administratif de Bordeaux du 1er juillet 2025, confirmant le droit d’accès aux registres d’épandage, ouvre cette voie : celle d’un pouvoir citoyen sur les choix agricoles. NOTRE DEMANDE CONCRÈTE Nous demandons à Mme Bénédicte PORTAL, maire de Ambres d’agir : • Obtenir les registres d’utilisation des pesticides de la commune (et en informer l’ensemble des habitants et habitantes dans le bulletin municipal) ; • Financer une expertise indépendante pour analyser les produits, leurs risques et leurs alternatives agronomiques ; • Organiser (avec les associations parties prenantes locales) une réunion publique pour partager ces résultats avec les habitants et les habitantes de la commune, riverain·es et exploitant·es agricoles notamment. Il n’y a aucune raison de garder ces usages secrets. Nous devons sortir du silence et du déni face aux risques de pollution. La tension entre la protection de la santé et les difficultés de la profession agricole implique de nouvelles formes de dialogue. C’est ensemble, habitant·es, agriculteur·rices, consommateur·rices et élu·es, que nous pouvons regarder la réalité en face et imaginer des solutions justes et durables pour l’avenir. 📣 Signez la pétition aujourd'hui pour défendre votre droit de savoir, et affirmez vos préoccupations pour notre santé à toutes et tous.3 sur 100 SignaturesCréée par riverains E.
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Pesticides à Giroussens : nous voulons la transparence !🌿 1. Protéger la santé de toutes et tous, ici et maintenant Dans le village, des litres de produits chimiques (engrais, pesticides de synthèse) sont épandus autour de nos maisons, nos écoles et nos points d’eau. Ces substances ne s’arrêtent pas aux limites des champs : elles se diffusent dans l’air, l’eau, les poussières, les sols, notre alimentation et jusque dans nos corps. 🌿 2. Réduire de manière drastique les expositions aux polluants chimiques dans l’air L’étude PestiRiv de l’ANSES (publiée le 15 septembre 2025) confirme que les habitants et habitantes des zones agricoles respirent et ingèrent davantage de résidus de pesticides que les personnes en ville. Connaître les produits est un enjeu majeur et immédiat de santé publique, notamment pour les enfants, les femmes enceintes et les personnes vulnérables. 💧 3. Préserver l’eau et les sols pour les générations à venir Les pesticides empoisonnent lentement et durablement les nappes phréatiques, les rivières, les océans, les nuages et les sols. Nous avons le droit de connaître les produits à risque pour mieux protéger la qualité de l’eau et éviter d’alourdir, dans l’avenir, les coûts déjà importants de santé et de la dépollution de l’eau (cf résultats scientifiques de Mickaël Derangeon de l’Université de Nantes). 🧭 4. Initier une démocratie agricole pour contribuer tous et toutes à la transition L’agriculture ne peut plus être que l’affaire de quelques-uns. Les choix de cultures et de pratiques agricoles engagent tout le monde : notre santé, nos paysages, la biodiversité, notre eau, notre climat. La transparence sur les pesticides, c’est la première étape d’une démocratie agricole où l’ensemble des personnes habitant la commune peut contribuer à la transition agricole. La décision du Tribunal administratif de Bordeaux du 1er juillet 2025, confirmant le droit d’accès aux registres d’épandage, ouvre cette voie : celle d’un pouvoir citoyen sur les choix agricoles. NOTRE DEMANDE CONCRÈTE Nous demandons à M. Gilles Turlan, maire de Giroussens d’agir : • Obtenir les registres d’utilisation des pesticides de la commune (et en informer l’ensemble des habitants et habitantes dans le bulletin municipal) ; • Financer une expertise indépendante pour analyser les produits, leurs risques et leurs alternatives agronomiques ; • Organiser (avec les associations parties prenantes locales) une réunion publique pour partager ces résultats avec les habitants et les habitantes de la commune, riverain·es et exploitant·es agricoles notamment. Il n’y a aucune raison de garder ces usages secrets. Nous devons sortir du silence et du déni face aux risques de pollution. La tension entre la protection de la santé et les difficultés de la profession agricole implique de nouvelles formes de dialogue. C’est ensemble, habitant·es, agriculteur·rices, consommateur·rices et élu·es, que nous pouvons regarder la réalité en face et imaginer des solutions justes et durables pour l’avenir. 📣 Signez la pétition aujourd'hui pour défendre votre droit de savoir, et affirmez vos préoccupations pour notre santé à toutes et tous.5 sur 100 SignaturesCréée par riverains E.
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Sauvons le Bois de la Faucherie — Non à l’abattage de 599 arbres à La RochelleUn arrêté préfectoral autorisant l'abattage de 599 arbres du bois de la Faucherie, Espace Boisé Classé de La Rochelle, a été publié ce 6 novembre. Ce projet de l’aéroport , plusieurs fois contesté par les propriétaires du bois, les riverains, des citoyens et des élu.es, largement mobilisé.es contre la disparition d’un patrimoine remarquable et unique sur notre agglomération, a été validé par la Préfecture et attend une dernière autorisation du Maire de La Rochelle pour être exécuté. La stupeur et de la colère exprimées par de nombreux habitants et habitantes du territoire, ne semblent pas remettre en question la décision de l’abattage qui serait exécutée dans les prochains jours ou les prochaines semaines. 🌳 Pourquoi ce projet est inacceptable Nous n'acceptons pas le massacre du bois et de sa biodiversité. Le bois de la Faucherie s'étend sur une parcelle de 1,5 hectare proche de l’aéroport. L'abattage de 599 arbres aura un impact majeur en termes d’environnement et de paysage. Une telle coupe massive met en péril non seulement la biodiversité locale, mais aussi un espace vert essentiel pour les habitants — un poumon écologique et un cadre de vie que beaucoup apprécient et souhaitent préserver. Nous, associations, citoyens et élus constitués en collectif, refusons ce que certains considèrent comme inéluctable pour se conformer à la réglementation aérienne, à savoir la destruction programmée d’un espace de biodiversité inestimable non seulement par le nombre d’arbres mais aussi par la richesse et la diversité des espèces et de leurs habitats impactés, largement sous-évaluées dans l’étude réalisée par le bureau d’études. Dans un territoire qui vise la neutralité carbone en 2040, les projets de micro-forêts « bleues » ne remplaceront pas les arbres coupés ! Les demandes De surseoir à l’exécution de cet arrêté et en particulier la suspension de la dérogation espèces protégées, 1. De diligenter un complément d’inventaire sur toutes les espèces protégées et sur l’ensemble des cycles biologiques des espèces (4 saisons), 2. De conduire des études sur l’impact d’un abattage en période d’hibernation des chiroptères (chauve-souris) et des conséquences sur les populations (état de conservation), - de garantir l'état de conservation de l'ensemble des espèces protégées présentes sur le site ou utilisant ce site dans leur cycle biologique (avec une nécessité d'élargir le périmètre d'étude, non limité à la seule zone concernée par le présent arrêté), 3. De conduire des études permettant de modifier la trajectoire des avions sans impacter le bois de la Faucherie Un grand rassemblement citoyen le 7 décembre à 11h au Bois de la Faucherie RDV : Bois de la Faucherie, route de Monsidun à La Rochelle Présence de Thomas Brail (gréviste de la faim contre la coupe d'arbres sur le tracé de l'A69) pour manifester notre opposition résolue à ce projet et découvrir cet écrin de biodiversité à préserver. Soyons nombreux et nombreuses à montrer notre attachement à notre patrimoine naturel et la biodiversité. Le Collectif de Défense du Bois classé de la Faucherie 📚 Quelques sources ● « La Rochelle : feu vert pour un abattage massif au bois de la Faucherie » — Sud Ouest, 27/11/2025. Sud-Ouest ● Décision "incompréhensible" ou "obligatoire" : Polémique après la décision d'autoriser la coupe de plus de 500 arbres près de cet aéroport - France 3 Nouvelle Aquitaine, 29/11/2025 - France 3 ● « Bois de la Faucherie : combien d’arbres réellement menacés près de l’aéroport de La Rochelle ? » — Ma Vie Rochelaise, 25/11/2025. Ma Vie Rochelaise ● Consultation publique pour la demande de dérogation relative à la coupe d’arbres et destruction d’habitats dans le Bois de la Faucherie — DREAL Nouvelle-Aquitaine, 08/10/2025. Développement Durable Nouvelle-Aquitaine ● Réglementation relative aux coupes de bois en forêts privées / Espace Boisé Classé — services de l’État en Charente-Maritime / Code forestier. Charente-Maritime 🌳 Soutenez le Collectif du Bois classé de la Faucherie ! Contribuez à financer les futures actions juridiques menées avec nos avocats et experts pour protéger nos espaces verts. 👉 🌱 Faire un don maintenant : https://www.helloasso.com/associations/nature-environnement-17/formulaires/5 ✅ N’oubliez pas de laisser vos coordonnées afin de recevoir votre reçu fiscal, qui vous permettra de défiscaliser 66 % de votre don.4 722 sur 5 000 SignaturesCréée par Le Collectif de Défense du Bois classé de la Faucherie
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Pesticides à Challans Gois Communauté : nous voulons la transparence !🌿 1. Protéger la santé de toutes et tous, ici et maintenant Dans le village, des litres de produits chimiques (engrais, pesticides de synthèse) sont épandus autour de nos maisons, nos écoles et nos points d’eau. Ces substances ne s’arrêtent pas aux limites des champs : elles se diffusent dans l’air, l’eau, les poussières, les sols, notre alimentation et jusque dans nos corps. 🌿 2. Réduire de manière drastique les expositions aux polluants chimiques dans l’air L’étude PestiRiv de l’ANSES (publiée le 15 septembre 2025) confirme que les habitants et habitantes des zones agricoles respirent et ingèrent davantage de résidus de pesticides que les personnes en ville. Connaître les produits est un enjeu majeur et immédiat de santé publique, notamment pour les enfants, les femmes enceintes et les personnes vulnérables. 💧 3. Préserver l’eau et les sols pour les générations à venir Les pesticides empoisonnent lentement et durablement les nappes phréatiques, les rivières, les océans, les nuages et les sols. Nous avons le droit de connaître les produits à risque pour mieux protéger la qualité de l’eau et éviter d’alourdir, dans l’avenir, les coûts déjà importants de santé et de la dépollution de l’eau (cf résultats scientifiques de Mickaël Derangeon de l’Université de Nantes). 🧭 4. Initier une démocratie agricole pour contribuer tous et toutes à la transition L’agriculture ne peut plus être que l’affaire de quelques-uns. Les choix de cultures et de pratiques agricoles engagent tout le monde : notre santé, nos paysages, la biodiversité, notre eau, notre climat. La transparence sur les pesticides, c’est la première étape d’une démocratie agricole où l’ensemble des personnes habitant la commune peut contribuer à la transition agricole. La décision du Tribunal administratif de Bordeaux du 1er juillet 2025, confirmant le droit d’accès aux registres d’épandage, ouvre cette voie : celle d’un pouvoir citoyen sur les choix agricoles. NOTRE DEMANDE CONCRÈTE Nous demandons à M. Alexandre Huvet, Président de la communauté de commune « Challans Gois » d’agir : • Obtenir les registres d’utilisation des pesticides de la commune et les rendre accessibles aux habitants et habitantes des onze communes de la communauté de commune « Challans Gois ») ; • Financer une expertise indépendante pour analyser les produits, leurs risques et leurs alternatives agronomiques ; • Organiser (avec les associations parties prenantes locales) des réunions publiques pour partager ces résultats avec les habitants et les habitantes des communes de la communauté de commune « Challans Gois », riverain·es et exploitant·es agricoles notamment. Il n’y a aucune raison de garder ces usages secrets. Nous devons sortir du silence et du déni face aux risques de pollution. La tension entre la protection de la santé et les difficultés de la profession agricole implique de nouvelles formes de dialogue. C’est ensemble, habitant·es, agriculteur·rices, consommateur·rices et élu·es, que nous pouvons regarder la réalité en face et imaginer des solutions justes et durables pour l’avenir. 📣 Signez la pétition aujourd'hui pour défendre votre droit de savoir, et affirmez vos préoccupations pour notre santé à toutes et tous https://www.greenvoice.fr/assets/uploads/2025/12/Carte-CHALLANS.jpg Source : https://www.geoportail.gouv.fr/carte Le site de Géoportail permet de visualiser le type de cultures qui nous entoure.37 sur 100 SignaturesCréée par Riverains Ensemble
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Pesticides à Grand Lieu Communauté : nous voulons la transparence !🌿 1. Protéger la santé de toutes et tous, ici et maintenant Dans le village, des litres de produits chimiques (engrais, pesticides de synthèse) sont épandus autour de nos maisons, nos écoles et nos points d’eau. Ces substances ne s’arrêtent pas aux limites des champs : elles se diffusent dans l’air, l’eau, les poussières, les sols, notre alimentation et jusque dans nos corps. 🌿 2. Réduire de manière drastique les expositions aux polluants chimiques dans l’air L’étude PestiRiv de l’ANSES (publiée le 15 septembre 2025) confirme que les habitants et habitantes des zones agricoles respirent et ingèrent davantage de résidus de pesticides que les personnes en ville. Connaître les produits est un enjeu majeur et immédiat de santé publique, notamment pour les enfants, les femmes enceintes et les personnes vulnérables. 💧 3. Préserver l’eau et les sols pour les générations à venir Les pesticides empoisonnent lentement et durablement les nappes phréatiques, les rivières, les océans, les nuages et les sols. Nous avons le droit de connaître les produits à risque pour mieux protéger la qualité de l’eau et éviter d’alourdir, dans l’avenir, les coûts déjà importants de santé et de la dépollution de l’eau (cf résultats scientifiques de Mickaël Derangeon de l’Université de Nantes). 🧭 4. Initier une démocratie agricole pour contribuer tous et toutes à la transition L’agriculture ne peut plus être que l’affaire de quelques-uns. Les choix de cultures et de pratiques agricoles engagent tout le monde : notre santé, nos paysages, la biodiversité, notre eau, notre climat. La transparence sur les pesticides, c’est la première étape d’une démocratie agricole où l’ensemble des personnes habitant la commune peut contribuer à la transition agricole. La décision du Tribunal administratif de Bordeaux du 1er juillet 2025, confirmant le droit d’accès aux registres d’épandage, ouvre cette voie : celle d’un pouvoir citoyen sur les choix agricoles. NOTRE DEMANDE CONCRÈTE Nous demandons à M. Johann Boblin, président de Grand Lieu Communauté d’agir : • Obtenir les registres d’utilisation des pesticides de la commune et les rendre accessibles aux habitants et habitantes des neuf communes de la communauté de commune « Grand Lieu » ) ; • Financer une expertise indépendante pour analyser les produits, leurs risques et leurs alternatives agronomiques ; • Organiser (avec les associations parties prenantes locales) des réunions publiques pour partager ces résultats avec les habitants et les habitantes des communes de la communauté de commune « Grand Lieu », riverain·es et exploitant·es agricoles notamment. Il n’y a aucune raison de garder ces usages secrets. Nous devons sortir du silence et du déni face aux risques de pollution. La tension entre la protection de la santé et les difficultés de la profession agricole implique de nouvelles formes de dialogue. C’est ensemble, habitant·es, agriculteur·rices, consommateur·rices et élu·es, que nous pouvons regarder la réalité en face et imaginer des solutions justes et durables pour l’avenir. 📣 Signez la pétition aujourd'hui pour défendre votre droit de savoir, et affirmez vos préoccupations pour notre santé à toutes et tous https://www.greenvoice.fr/assets/uploads/2025/12/Grand-lieu-carte-1.jpg Source : https://www.geoportail.gouv.fr/carte Le site de Géoportail permet de visualiser le type de cultures qui nous entoure.18 sur 100 SignaturesCréée par Riverains Ensemble



