• Pays COB : Pour un territoire à la hauteur des enjeux environnementaux et sociaux
    Pourtant, la concertation a été vivement écartée, au profit d’un projet qui n’est pas en mesure de répondre aux enjeux du territoire, notamment les conséquences de l'agro-industrie sur les ressources naturelles et la santé des populations, ou encore l’adaptation au changement climatique. 👫 En 2022, un groupe d'une trentaine d'habitants et d'habitantes s'est saisi du sujet de l'avenir du territoire Centre Ouest Bretagne en prenant en compte les évolutions du climat et la nécessité d'une réappropriation des ressources au profit des habitants et habitantes du territoire. Ce groupe a produit une série de propositions dans un Document d'Objectifs et d'Orientations.  ⛔ Ces propositions qui ont nécessité plus de 300 heures de travail collectif ont fait l'objet d'une présentation au Pays COB qui a, sitôt sa remise, écarté et mis au placard le document ! Tout au long de la procédure d'élaboration du SCoT, le Pays COB a minimisé la participation du public lors de la phase dite de "concertation", comme le relève la Commission d'enquête "en ne prenant pas position sur les observations du public, la commission d’enquête estime que le maître d’ouvrage n’a pas œuvré pour valoriser le rôle que la concertation, fusse-t-elle institutionnelle, peut jouer dans l’aménagement et le développement du territoire, et l’appropriation du projet." ⛔ La Commission d'enquête a analysé le projet de SCoT porté et élaboré par le Pays COB. Elle exprime un avis défavorable : le projet n'est pas récupérable tellement il est défaillant à atteindre ses objectifs. Le projet est ainsi décrit par la Commission d'enquête "Le scénario retenu, aux yeux de la commission d’enquête, est celui d’une poursuite des politiques passées. (...) Il ne permet pas de garantir une réelle mobilisation du parc vacant de logements, ni une redynamisation d’un territoire vieillissant, ni l’adaptation du territoire au réchauffement climatique et ses enjeux en matière de protection des ressources naturelles, des milieux naturels et de la santé humaine.". Il ne répond ainsi pas aux enjeux majeurs qui traversent notre territoire, et pourtant, il risque d’être validé prochainement par le préfet !  🌱 Nous aspirons à la mise en place d’orientations pour une transition du territoire vers l’agro-écologie, seule capable de respecter la santé des populations, de préserver les ressources naturelles et la biodiversité, de limiter les impacts climatiques pour les décennies à venir et d’offrir des emplois nombreux et de qualité à la population locale.  Par cette pétition, nous demandons ainsi : 👉 Le retrait du projet actuel, proposé par le Pays COB 👉 L'organisation d'une réelle concertation avec les habitant⸱s du territoire 👉 La prise en compte des enjeux (environnement, santé, mobilité, emplois) et des limites en ressources pour les 20 ans à venir en écartant, entre autres, le développement de l'agro-industrie et des fermes-usines. ❌ Agissons maintenant pour éviter la validation prochaine du projet de SCoT par le préfet ! Signez la pétition et suivez la campagne en restant informé⸱e par email. Contact : [email protected] Plus d'infos sur Rares Averses, rubrique "info-luttes".
    103 sur 200 Signatures
    Créée par Elona Q.
  • Refuge de biodiversité menacée par un projet routier, sauvegardons la ressource en eau
    Le conseil municipal a voté à l’unanimité l’expropriation de la ferme de la Boussine à l’emplacement de la source où l’eau jaillit naturellement du sol, dans les périmètres officiels et légaux de protection du captage d’eau potable l’exposant ainsi aux risques de chocs, de fissuration et à la pollution par les hydrocarbures et le sel  aggravée par le ruissellement sur la forte pente. Après avoir contourné la loi sur l’eau, sans avoir réalisé aucune étude géotechnique de faisabilité complète et aucune étude d’impact réglementaire, les travaux ont commencé en force. Ils ont nécessité le drainage de la zone humide, la modification de l’écoulement naturel de l’eau et des travaux de terrassement dans la ripisylve du ravin glissant vers le torrent et dans l’impluvium rapproché du captage.  Nous dénonçons la confiscation et l’artificialisation des sols, la mise en péril du captage monumental, vieux de plusieurs siècles et toujours fonctionnel, les menaces que ce projet fait peser sur l’équilibre de la ferme de la Boussine et la biodiversité, sans débat démocratique, dans une commune dépourvue de PLU, sans aucun intérêt pour les riverains, pour gagner 1 minute et 30 secondes. En effet, depuis que cet étroit chemin rural de raccourci, desservant les champs et notre ferme a été transféré dans le domaine public routier communal, il est détruit pour être transformé en route large, bitumée, dangereuse et inadaptée à la topographie, fracturant l’écosystème naturel dénaturant les 8 ha du site agricole et naturel et le confisquant aux marcheurs, cavaliers, vététistes et riverains.  Si les études obligatoires avaient été faites, les travaux ne pouvaient pas se réaliser en l’état. Nous demandons le respect de la loi qui protège le captage et le respect des protections définies par l’hydrogéologue agréé. Cet ouvrage hydraulique remarquable en pierre et chaux maçonnée, fruits de l’expérience, de l’observation et du bon sens, transmis par les Anciens doit être plus que jamais protégé et valorisé et non détruit d’autant plus dans une commune n’ayant aucune autonomie en eau. La préservation de cet ouvrage de notre patrimoine, Indispensable pour les cultures maraichères, sur ce site humide et boisé, apporte des réponses aux enjeux climatiques . Le collectif cherche à rejoindre d’autres collectifs pour oeuvrer ensemble à résister à la destruction de cet ouvrage agricole appartenant à notre patrimoine commun et mis en péril.  En apportant votre signature, vous soutenez notre action pour conserver 8 ha de terres agricoles humides fertiles, préserver la faune réfugiée dans les bois longeant les torrents et œuvrer à la sauvegarde et la mise en valeur du captage d’eau potable. Ensemble, construisons de beaux projets et allons de l’avant dans le respect de la nature et du VIVANT pour les générations à venir. Habitants et habitantes de Haute-Savoie, qui partout, voyez votre patrimoine rural et naturel détruit, c’est notre solidarité qui nous fera passeurs d’eau ! Signez aujourd’hui la pétition, et partagez-la autour de vous. Nous avons effectué plusieurs recours en justice, aidez-nous à financer notre action juridique par un don : https://www.helloasso.com/associations/les-jardins-de-la-boussine/formulaires/1.  Article de presse de La relève et la peste : https://lareleveetlapeste.fr/une-famille-se-bat-pour-sauver-un-puits-ancestral-menace-par-lelargissement-dune- route/ Les articles du Messager, du Dauphiné et de Librinfo du 07/08/2023 et 17/02/2024  
    175 sur 200 Signatures
    Créée par Collectif des Nants
  • Nettoyage du port de Vannes
    Nous avons remarqué que le port est pollué et ça nous impact. Ce problème, comme vous avez pu le remarquer lors de ces dernières inondations, en partie provoquées par l'accumulation de déchets en tout genre ; notamment les mégots de cigarette, les trottinettes, le plastique, entraîne une pollution de l'environnement. Par conséquent, vous comprenez que cette accumulation induit également d'autres problèmes. Premièrement, les déchets jetés entraînent une pollution visuelle qui peut avoir des conséquences sur le tourisme. Aussi, la santé publique et la vie marine sont menacées, avec un risque de propagation de la pollution dans le golfe dû aux marées. Nous, les services civiques de l'AFEV du Pôle Vannes, demandons un nettoyage approfondi du port par des personnes compétentes. Cela permettra de rendre le port plus attractif et plus propre. Nous souhaitons qu'à la rentrée scolaire prochaine, des mesures concrètes aient été mises en place.
    28 sur 100 Signatures
    Créée par Transition J. Picture
  • PETITION CITOYENNE CONTRE L'EXTENSION DE L'USINE DAIKIN à Oullins-Pierre-Bénite
    Cet arrêté, daté du 1er février 2024, précise les prescriptions complémentaires accordées à la société Daikin Chemical France concernant l’exploitation d’une nouvelle unité de production et stockage de pré-compound. Ce que nous reprochons à cet arrêté préfectoral:  • il autorise des rejets supplémentaires de substances chimiques dans l'air, notamment de COV (composés organiques volatils), dont certains sont des PFAS. L'enquête d'Emilie Rosso du 3 avril 2024 révèle un nouveau toxique utilisé et produit par Daikin(2) : le bisphénol A fluoré, cumulant les toxicités du bisphénol A (reprotoxique prouvé) et celles de la famille des PFAS; • il accorde à l'industriel un délai de 36 mois, non pas pour substituer les PFAS, mais pour proposer un plan de substitution. Et il offre une issue à l'industriel, en envisageant d'ores et déjà une impossibilité technico-économique à cette substitution (1). Cette unité de production pre-compounding a été délocalisée des Pays-Bas jusqu'au site de Pierre-Bénite car la réglementation des Pays-Bas par rapport aux PFAS y est plus contraignante.  Alors que les effets des PFAS sur la santé sont déjà très bien connus (cancers de la thyroïde, des testicules, maladies hépatiques, diabète, hypercholestérolémie…) l'extension de l’usine Daikin et de la pollution associée est insupportable pour les habitants et habitantes d’Oullins-Pierre-Bénite et plus généralement du sud de Lyon, déjà fortement impactés par la pollution aux perfluorés, majeure et largement documentée. Cette extension représente une inquiétude supplémentaire pour leur santé et celles de leurs enfants et renforce les questionnements existants : les pathologies dont souffrent certains riverains et riveraines ont-elles été déclenchées et/ou aggravées par la contamination généralisée au sud de Lyon ? Quel impact cette contamination aura-t-elle sur la santé et la qualité de vie des enfants ? La contamination aux PFAS généralisée dans l’environnement au sud de Lyon dans l’air, la terre et l’eau, est vécue par beaucoup de riverains et riveraines comme une épée de Damoclès au-dessus de leurs têtes et de celles de leurs enfants. Après les recommandation sur la non-consommation des oeufs en 2023, leur inquiétude a récemment été renforcée par la recommandation de la préfecture, en mars 2024, de ne pas consommer de légumes issus de potagers se situant dans un rayon de 500 mètres autour de la plate-forme industrielle d’ARKEMA et DAIKIN, de ne pas utiliser les eaux de pluie et les eaux des puits individuels. Il est incompréhensible que la préfecture constate une situation sanitaire dégradée et dans le même temps autorise un industriel à la dégrader encore plus !  Les habitants d’Oullins-Pierre-Bénite sont-ils abandonnés par les autorités censées les protéger ? Dans un rapport préliminaire à l’arrêté préfectoral (3), la DREAL mentionne le «contexte du sud Lyonnais [dans lequel on observe la] présence d’autres PFAS dans l’environnement du site » pour justifier l’autorisation d’exploitation accordée à Daikin. Doit-on comprendre que l’environnement au sud de Lyon est considéré comme une décharge à PFAS ? Il se trouve que des riverains et riveraines vivent dans cet environnement. Le rapport de la DREAL n’y fait aucunement mention. Les habitants d’Oullins-Pierre-Bénite sont-ils considérés comme des citoyens de seconde zone ? Les études épidémiologiques sérieuses n’ont même pas eu le temps d’être menées à leur terme qu’une source de pollution supplémentaire se rajoute déjà… Quelle déception lorsqu’on aimerait qu’on nous parle plutôt de dépollution ! Au vu de la pollution majeure et historique du site industriel, des effets cocktails mal documentés liés à la multiplicité des polluants, des zones d'ombres qui persistent sur les molécules utilisées et produites par Daikin et en vertu du principe de précaution, il convient de tout faire pour empêcher le fonctionnement de cette nouvelle unité de Daikin en l'état actuel des connaissances : cette unité ne doit être déployée ni ici, ni ailleurs.  La mobilisation citoyenne est en marche, comme l'a montré le succès de la marche festive pour un avenir sans polluants éternels organisée le 26 mai dernier à Oullins-Pierre-Bénite. Cette pétition permet à chaque habitant et habitante du sud-ouest lyonnais et au-delà, d'exprimer son désaccord au sujet de l'extension de l'usine DAIKIN et de l'arrêté préfectoral encadrant cette extension. Elle apporte un soutien au recours de l'association Bien Vivre à Pierre-Bénite, déposé contre l’arrêté DDPP-DREAL 2024-19.  Pour le droit de toutes et tous à vivre dans un environnement sain! As PFAS pollution knows no borders, here is a link to the petition in English and Italian: Poiché l'inquinamento da PFAS non conosce confini, ecco il link alla petizione in inglese e in italiano: https://docs.google.com/file/d/1FIp98VD-zXtcvxp2T9M7ap_VVN47WVaC/edit?filetype=msword (1) https://www.rhone.gouv.fr/contenu/telechargement/58574/399645/file/2024_02_01_APC_DAIKIN_PBenite.pdf (2) https://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/rhone/lyon/enquete-pfas-le-scandale-daikin-passe-sous-silence-des-tonnes-de-polluants-eternels-rejetes-dans-l-air-2949035.html (3) https://www.rhone.gouv.fr/contenu/telechargement/57984/396109/file/20230706-RAP-DAIKIN_projet_Compound-JA-v10_vs.pdf
    6 818 sur 7 000 Signatures
    Créée par Collectif PFAS contre Terre Picture
  • Non à la suppression d’un terrain de tennis aux Hauts de Massane et stop à la bétonisation !
    Les habitants sont d’autant plus surpris que ce club de tennis a fait l’objet d’une rénovation en 2022 qui a coûté (officiellement) 113 500 € d’argent public ! Une demande a été faite à la mairie pour nous confirmer ce chiffre qui, à ce jour, demeure sans réponse.  Aujourd'hui, la mairie parle de détruire un seul terrain sur les cinq, mais le fait de prévoir de déclasser l'ensemble des terrains de tennis de zone naturelle à zone urbaine, ne nous garantit en rien que l'ensemble du site ne soit pas préservé de bâtiments.  Le site est implanté en plein cœur de la pinède qui entoure le magnifique lac des Garrigues. Il se compose de 5 courts de tennis en béton poreux qui limite l'imperméabilisation des sols, de 2 courts de tennis en gazon synthétique et d’un mur de frappe. Le club de tennis, géré par l’association Fête le Mur fondée par Yannick Noah, apporte énormément de points positifs pour la ville et ses habitants : • Il participe à la vie sociale du quartier et favorise une certaine mixité sociale dans la mesure où il profite  non seulement aux habitants du quartier mais aussi à des habitants d’autres quartiers • Il encourage énormément le sport féminin, offrant une opportunité précieuse aux jeunes filles • Cette suppression est en contradiction avec la volonté de la mairie de faire monter en puissance le club et et de favoriser la pratique sportive de tous, d’autant plus le quartier est caractérisé par une population très jeune. • On peut lire sur le site de l’association Fête le Mur qui gère le club : “Le site Fête le Mur Montpellier est un lieu où l’on trouve convivialité, solidarité, mixité sociale et culturelle. Notre action sur la cité consiste avant tout à utiliser le tennis comme un outil pour aider les enfants et adolescents à s’épanouir, à vivre et à grandir ensemble dans un esprit solidaire et citoyen. Nous permettons également aux plus motivés d’accéder à la compétition. De fait les licenciés de Fête le Mur Montpellier découvrent d’autres lieux, d’autres sites en France et rencontrent des jeunes de différents milieux. Les adultes et les parents ne sont pas en reste puisqu’ils ont également la possibilité de se confronter à d’autres clubs mais aussi d’assister à des tournois ATP, WTA et même du grand chelem (Roland Garros).” Ce batiment vise a accueilir l’association Uni’Sons. Nous n'avons rien contre cette association mais nous ne comprenons pas pourquoi la mairie a choisi ce site naturel pour l'implantation de cette association alors qu’il existe d’autres options pour ses nouveaux locaux.  Ecologiquement parlant, ce projet présente plusieurs risques : • d’imperméabiliser encore plus le site qui est entouré d’une zone naturelle protégée où il y a une certaine biodiversité dont écureuils roux et de nombreuses espèces d’oiseaux dont certaines classées sur la liste rouge des espèces menacées comme le chardonneret élégant. • de favoriser le ruissellement et les éboulements de terrain : lors des orages et épisodes cévenols, le ruissellement induit par la pente est très important. Les terrains existants sont dotés de revêtements poreux permettant de limiter le ruissellement des eaux alors que la construction de ce bâtiment induirait le contraire. • le site est situé en zone rouge à très fort risque d’incendie, plusieurs incendies majeurs ayant eu lieu par le passé. • les habitants craignent que les arbres qui entourent le terrain soient fragilisés voire abattus par les engins de chantier.  Les habitants s’élèvent avec force contre ce projet, dans une zone de pleine nature. Il est urgent de stopper ce projet ! Pour nous aider à préserver ce site remarquable, signez la pétition « Non à la suppression d’un terrain de tennis aux Hauts de Massane et stop à la bétonisation de ce quartier ! » Ajoutez simplement votre signature, puis aidez-nous à mobiliser le plus de personnes possible autour de notre action, en transférant ce message à vos proches, votre famille, vos amis et tous ceux qui, comme vous, ont à cœur de défendre la pratique universelle du sport et ce qui fait la beauté de nos paysages et de notre patrimoine ! Plus nous serons nombreux, plus nous aurons de chances d’être entendus pour stopper ce projet désastreux avant qu’il ne soit trop tard.  D’avance, un grand merci pour votre participation! Le collectif « Préservons les Hauts de Massane. »
    2 944 sur 3 000 Signatures
    Créée par Collectif Hauts de Massane
  • NON ! A L'EXTENSION DE LA CARRIERE DE BAINVILLE SUR MADON !
    Avec cette nouvelle extension, les tirs de mine qui font trembler les maisons les plus proches (rue Pierre et Marie Curie, rue mairesse) vont continuer et concerneront d’autres quartiers. Ces fortes secousses risquent de fragiliser les galeries de l’ancienne mine Saint Jean qui alimentent en eau potable le haut de Pont Saint Vincent.  Et le va et vient des camions, ainsi que le bruit des engins d’extraction continuera avec leurs émissions de CO2. Le remblaiement de la carrière existante avec des déchets issus du BTP transformera le plateau en une énorme déchetterie avec un risque éventuel de pollution de l’eau souterraine. Une nouvelle partie de la prairie  à très forts enjeux faune/flore (26 % des espèces végétales protégées en lorraine pousse sur les pelouses calcaire), riche de part sa biodiversité, disparaîtra définitivement : une dérogation ayant été demandée pour cette destruction d’espèces protégées (ex : crapaud sonneur à ventre jaune, vipère aspic).  C’est sans parler du paysage défiguré pour de nombreuses décennies encore. Les alertes du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) et de l’IPBES (Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques) ne suffisent-elles pas à faire comprendre que nous allons dans le mur en continuant à développer ce type d’exploitation pour produire des granulats qui permettent de fabriquer du ciment pour continuer à construire et à bétonner, alors que l’heure est à la désartificialisation des sols ?
    3 114 sur 4 000 Signatures
    Créée par antoinette p.
  • Pour une vraie démocratie participative à Marseille : signez pour la votation citoyenne !
    Cette initiative s’inscrit dans le cadre de La Cité des possibles - Arrivée du Tour Alternatiba, qui a pour objectif la transformation des territoires. Nous demandons l'instauration de votations citoyennes à minima annuelles à Marseille.  Marseille, un besoin essentiel d'adaptation au dérèglement climatique Notre constat alors que les enjeux liés au changement climatique sont gigantesques et participent à l'effondrement de la biodiversité :  • La prise de conscience collective est présente mais les actions restent largement insuffisantes pour répondre à ce défi. • Les habitantes et habitants ont pourtant envie de participer.  • Au niveau national, la Convention Citoyenne pour le Climat a été un modèle d'implication mais ses préconisations ont été bafouées par un pouvoir qui privilégie l'économie à la vie alors que ces mesures auraient pu être soumises à un référendum. En ces temps où les atteintes à la démocratie se renforcent, il faut accélérer la participation citoyenne, ne pas se contenter de proposer aux électrices et aux électeurs un vote de temps en temps et redonner plus de pouvoir de décision aux habitantes et habitants. Pas de transition écologique et sociale sans véritable démocratie Localement, il y a des améliorations notables dans les concertations et des expériences commencent à voir le jour, avec notamment la création de l'Assemblée Citoyenne du Futur, le budget participatif ou le Conseil de Développement de la Métropole, mais il faut aller plus loin et plus vite ! Ailleurs (Paris, Poitiers, Grenoble, Quimper, ..) la démocratie participative est bien plus avancée et donne de bons résultats quand la population est consultée. Notre proposition  • Les Marseillaises et les Marseillais se prononceront sur une votation citoyenne par an concernant la ville et une votation citoyenne par an concernant chacun des 8 secteurs de la ville. • Les propositions soumises à la votation citoyenne seront formulées par une assemblée citoyenne chargée d'en évaluer le caractère non discriminatoire et la faisabilité, appuyée par des expertes et experts, associations, comités de quartier et autres collectifs. • Nous demandons que les institutions concernées s'engagent à respecter le résultat de ces votes et les mette en application dans les deux ans.  • Nous demandons que la Mairie organise les votations citoyennes, et que la 1re édition le soit d'ici octobre 2025.  Remarque : l'assemblée citoyenne pourrait être l'Assemblée Citoyenne du Futur ou une assemblée populaire auto organisée L'objectif D'après le règlement intérieur de la Ville de Marseille, pour que l'instauration de votations citoyennes soit débattue en conseil municipal, il suffit de réunir 10 000 signatures d'électrices et électeurs de la Ville de Marseille ! Si cet objectif est atteint, nous veillerons à ce que la Métropole en débatte également en conseil métropolitain.  Pour une vraie démocratie participative: signez pour la votation citoyenne à Marseille ! Quelque soit votre lieu de vote ou de résidence, même si vous ne votez pas à Marseille, votre signature est très importante pour signifier votre soutien. Le Tour Alternatiba 2024 est parti de Nantes le 1er juin et arrivera à Marseille du 4 au 6 octobre) 
    393 sur 400 Signatures
    Créée par La Cité des possibles
  • La Ferme-Cueillette de Servigny à Lieusaint (77) en danger !
      En apportant votre signature, vous soutenez notre action pour la conservation de terres agricoles fertiles, le maintien d’une exploitation de proximité, vertueuse et engagée pour les générations à venir. Pétition proposée par un collectif de quatorze associations : *      FNE Grand Paris Sud *      FNE Seine-et-Marne *      Essonne Nature Environnement *      Alternatiba Sénart  *      Groupe Local LPO Grand Paris Sud *      ADE (Association de Défense de l’Environnement de Sénart et environs) *      ARNASSEN (Association pour la reconnaissance de Noisement) *      C-E-E (Corbeil-Essonnes-Environnement) *      SEE (Soisy-Etiolles- Environnement) *      TESSA (Transition Écologique et Sociale de Sénart et Alentours)  *      Vergers Vivants de Lieusaint,  *      ABC (Association des Bois du Canton) *      GABI (Groupement des Apiculteurs de Bréviande) *      Les Coquelicombs
    5 586 sur 6 000 Signatures
    Créée par Sauvons S.
  • TERRAIN DE RUGBY : SAUVONS LA DERNIERE GRANDE PELOUSE DE TAVERNY !
    PETITION TERRAIN DE RUGBY : SAUVONS LA DERNIERE GRANDE PELOUSE DE TAVERNY ! Pourquoi le terrain du rugby de Pontalis, un des derniers grands espaces verts en accès libre, risque-t-il de disparaître ?  La mairie a annoncé la vente de ce terrain communal au privé et sa bétonisation pour du foot en salle et du padel. Ce poumon vert est un espace important pour les familles qui peuvent l’utiliser à leur guise : sa destruction va une fois de plus fortement baisser la surface des espaces verts à Taverny. C’est mauvais pour l’environnement, la biodiversité, la santé des habitants, le bien-être. Les bâtiments construits sur le terrain de rugby devraient être d’imposants hangars : des verrues dans le paysage, à côté du bois de Boissy. 16 900 m2 d’espaces naturels seraient ainsi détruits ! Le padel sera opéré par une entreprise privée et non par l’association du club de Tennis de Taverny (Cosmo). Le foot en salle également sera géré par cette entreprise privée Urban Soccer : alors qu’il existe déjà une entreprise de foot et padel en salle à Beauchamp à 3000 m. Celle-ci s’est d’ailleurs installée en zone d’activité de Beauchamp et non en centre-ville pour limiter les nuisances. Tandis qu’avec ce projet à Taverny les nuisances seront fortes, jusqu’à une heure du matin et les voitures nombreuses. Le terrain est situé à proximité des lycées et des collèges, entre les deux quartiers prioritaires de la ville. Il est utilisé pour les évènements, forum associatif, festival, course solidaire « Lisa Forever », rencontres sportives inter établissements. Il est donc préférable pour la commune et ses habitants de garder ce dernier grand terrain libre d’accès : Pourquoi cet acharnement de la maire et de sa majorité à vouloir tout bétonner et marchandiser ? Plus d'informations et les plans d'implantations sur : https://changeonsderetaverny.fr/2024/05/19/petition-terrain-de-rugby-sauvons-la-derniere-grande-pelouse-de-taverny/ Contact : [email protected]  Avec les places de stationnement et la voie d’accès, la majeure partie du terrain est sacrifiée. Stop à la marchandisation : la ville a déjà vendu pour plus de 10 millions d’euros de terrains communaux. Nous nous appauvrissons : ce patrimoine nous apparatient à toutes et tous or il est cédé de façon irreversible à des promoteurs. Cette grande pelouse en accès libre est un bien commun : elle doit rester dans le patrimoine public ! Elle ne doit pas être vendue. Les activités sportives peuvent être organisées par nos associations : il n’est pas nécessaire de les privatiser. Ce sera cher, réservé à quelques uns et d’autant plus aberrant que tout près des terrains de foot et padel en salle sont déjà présents en nombre à Beauchamp. Mme le maire et sa majorité doivent abandonner ce projet délirant et toxique : le terrain doit au contraire être valorisé.  16 900 m2 d'espaces verts publics en milieu urbain, c'est un joyaux à préserver, à valoriser, à garder dans le patrimoine public : et non à vendre au privé et à bétonner. Sauvons cette pépite tabernacienne ! 
    4 922 sur 5 000 Signatures
    Créée par Thomas C.
  • Droit à l'alimentation - pour l'ouverture de Conseils Locaux de l'Alimentation
    Pourquoi la Sécurité Sociale de l'Alimentation Durable ?  La Déclaration Universelle des Droits de l’Homme de 1948 déclare, en son paragraphe 1 de l’article 25, que : “Toute personne a droit à un niveau de vie suffisant pour assurer sa santé, son bien-être et ceux de sa famille, notamment pour l’alimentation”.  Par ailleurs, le droit à l’alimentation est reconnu en France par l’article L1 du Code rural précisant que :  “Dans le cadre de la politique de l'alimentation définie par le Gouvernement, d'assurer à la population l'accès à une alimentation sûre, saine, diversifiée, de bonne qualité et en quantité suffisante, produite dans des conditions économiquement et socialement acceptables par tous, favorisant l'emploi, la protection de l'environnement et des paysages et contribuant à l'atténuation et à l'adaptation aux effets du changement climatique”.  Aucune de ces garanties ne sont respectées aujourd’hui par le gouvernement ! Une France qui a faim : • 1/3 des Français·es ne mange pas 3 repas équilibrés par jour, faute de moyens. • En 2020, 7 millions de personnes ont dû avoir recours à l’aide alimentaire. Un système agricole qui broie les agriculteur·ice : • 1 à 2 paysan·nes se suicide tous les jours en France. • Les agriculteur.ices sont aussi les premières victimes des pesticides  Un système agricole qui ne respecte pas les limites planétaires et menace notre sécurité alimentaire : • Le secteur agricole représente 1/5 des émissions de gaz à effet de serre de la France. • L’agriculture est la première activité utilisatrice d’eau douce, avec 58% du volume total consommé. • En 2022, les épisodes de sécheresse ont entraîné des pertes allant de 10 à 30% pour de nombreuses cultures Ce système agro-industriel capitaliste est à bout de souffle. Il est à la fois dangereux et contraire à la logique d'adaptation au dérèglement climatique. Notre gouvernement, par ses choix criminels délibérés, par son soutien à l’agro-business et par la guerre sociale qu’il impose aux plus pauvres, laisse une partie de sa population dans la faim, mine la santé des plus précaires, tue ses paysan.nes, détruit les terres qui nous nourrissent et menace notre sécurité alimentaire. Pourtant, des solutions justes et démocratiques existent et montrent déjà leur efficacité ! Pour que cesse l’ensemble de ces violences dont sont victimes les producteur·ices, les consommateur·ices et l’environnement, nous demandons la mise en place de Conseils Locaux de l’Alimentation (CLA). Ces conseils, initiés par les collectivités, seront ensuite gérés de manière démocratique par les citoyen·nes.  Ces instances collectives sont une occasion de s’approprier les questions alimentaires et de rencontrer des producteur·ices locaux pour favoriser une agriculture durable. Au sein de ces conseils, les citoyen.nes pourront sélectionner et conventionner des aliments, des points de vente et des producteur.ices selon différents critères définis démocratiquement.   Les Conseils Locaux de l’Alimentation ont pour objectif d’initier la mise en place d’une Sécurité Sociale de l’Alimentation Durable (SSAD). Actuellement, une trentaine d’initiatives locales de SSAD existent dans différents territoires en France. Notre objectif est qu’à terme, la SSAD soit étendue à tout le pays. Cette solution permettrait à chaque habitant.e, indépendamment de sa condition sociale, de bénéficier d’une carte vitale de l’alimentation d’un montant de 150€ tous les mois. Cette carte permettra d’acheter des produits sélectionnés et conventionnés préalablement par les citoyen.nes de manière démocratique. Comme pour la Sécurité sociale de la santé de 1946, le financement se fera par un système de cotisations, avec des caisses autogérées par les citoyen.nes, assurant ainsi une juste répartition.  La SSAD permettra à la fois aux citoyen·nes de se réapproprier leur alimentation, de garantir une plus juste rémunération aux producteur.ices et d’amorcer une transition agricole vers un modèle plus durable.  Parce que nous allons nous battre pour que notre droit à l’alimentation choisie soit respecté, signons cette pétition !
    76 sur 100 Signatures
    Créée par Riposte Alimentaire Tours
  • Les trottoirs pour les piétons et une vraie piste pour les cyclistes sur le pont Saint-Esprit !
    En effet, depuis les travaux de 2018 liés au Tram’bus, les expérimentations de circulation en place donnent lieu à une cohabitation malheureuse et dangereuse entre piétons et cyclistes, tandis que les bus sont régulièrement bloqués dans les embouteillages avec les voitures. Cette situation, qui dure depuis près de six ans, met en péril la sécurité de tous les usagers et nuit à la qualité de vie dans nos quartiers.  C’est pourquoi nous demandons sans attendre des espaces séparés et sûrs pour les piétons et cyclistes, afin de faire du pont Saint-Esprit un véritable lieu de passage dynamique, bénéfique à toute la communauté.  Il est temps de rendre le pont Saint-Esprit accessible, sûr et accueillant pour tous les Bayonnais.
    1 172 sur 2 000 Signatures
    Créée par Txirrind'Ola
  • Stop aux liens plastiques des poubelles, protégeons notre santé et l'environnement
    Ces liens causent des dommages irréparables; il est temps d'agir, en mettant fin à cette pollution évitable. 1. Impact Environnemental Grave Les liens détachables des sacs poubelles, souvent non-recyclables, augmentent significativement notre empreinte plastique. Leur petite taille les rend difficiles à ramasser et à recycler, favorisant ainsi leur accumulation dans l'environnement. Ces liens en plastique ne se dégradent pas et peuvent subsister dans l'environnement pendant des siècles, contaminant nos sols et nos cours d'eau. Chaque année, 8 millions de tonnes de plastique finissent dans nos océans. Les créatures marines, y compris des espèces en danger comme les tortues marines et les cétacés, confondent souvent ces liens avec de la nourriture. Leur ingestion peut être fatale. Les oiseaux, pris au piège, peuvent subir des mutilations ou mourir d'épuisement et de faim. La sécurité de notre biodiversité est en jeu. Ce n'est pas seulement une pollution visuelle, c'est une crise écologique. 2. Danger pour la santé humaine Pour nous, les humains, ces liens représentent un risque direct. Les liens en plastique peuvent causer des coupures et des blessures, en particulier pour les enfants. Ils peuvent également être ingérés accidentellement par des jeunes enfants, ce qui peut entraîner des étouffements ou des occlusions intestinales. Ils sont potentiellement dangereux pour les Seniors provoquant des chutes accidentelles par amoncellement sur les trottoirs. De plus, en se décomposant, ils se transforment en microplastiques, infiltrant la chaîne alimentaire et impactant notre santé de manière encore inconnue et imprévisible. Selon l'étude menée par l'université de Newcastle en 2019, 52.000 microparticules de plastique finissent dans nos assiettes chaque année. Malgré ça, la production de plastique augmente de 4% par an depuis 2000. Chaque lien abandonné peut devenir une menace invisible mais persistante. 3. Difficultés de recyclage Actuellement, le recyclage des liens en plastique est complexe et coûteux, et la plupart finissent dans nos décharges ou incinérateurs, libérant des toxines dans l'air et le sol. Beaucoup d'entre eux sont irrécupérables, car dispersés en fragments dans nos campagnes. Nous avons des alternatives viables et respectueuses de l'environnement, telles que des liens en matériaux biodégradables ou des sacs avec fermetures intégrées. 4. Existence d'alternatives Des solutions existent déjà : de nombreux fabricants proposent des sacs poubelles équipés de liens biodégradables ou compostables. Ces alternatives sont non seulement efficaces mais aussi bénéfiques pour notre environnement. Déjà, grâce à la Directive (UE) 2019/904, les fabricants sont tenus de solidariser les bouchons aux bouteilles en plastique. Adopter ces alternatives est un pas vers un mode de vie plus sûr et durable pour chacun de nous. Conclusion L'interdiction des liens en plastique dans les sacs poubelles est une action cruciale pour protéger notre planète et assurer un avenir sain pour les générations à venir. Votre signature sur cette pétition peut pousser l'Union européenne à agir à la veille des élections européennes. Ensemble, faisons entendre notre voix pour un changement positif. Signez cette pétition maintenant et partagez-la largement. Chaque signature compte, chaque action compte – et rapproche notre communauté d'un environnement plus propre et plus sûr pour nous tous.
    72 sur 100 Signatures
    Créée par Bianca M.