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ISOLA 2000 : NON A LA RETENUE COLLINAIRE, NE SACRIFIONS PAS NOS MONTAGNES !Le projet de retenue s’implanterait au sud-est de la station du massif du Mercantour dans les Alpes-maritimes, dans le secteur Sistron, à une altitude de 2400 m et les travaux, d’un coût prévisionnel de 8 690 000 euros, devraient débuter en 2027. Elle stockerait l’eau exclusivement pour la production de neige de culture. Le volume prévu est énorme : 215 000 m3 (!!), venant s’ajouter aux 140 000 m3 déjà existants dans la retenue actuellement utilisée par la station…. Il serait soi-disant nécessaire pour alimenter les futurs projets d’enneigement artificiels. Ce projet démesuré viendrait détruire un secteur d’une grande richesse environnementale et paysagère au cœur d'un massif montagneux unique. Enfin, il porterait atteinte au paysage exceptionnel qui s’étend sur une grande partie du Parc National du Mercantour et plébiscité par de nombreux randonneurs. La zone concernée est en effet une zone de combes à neige regroupant une cinquantaine d’espèces de fleurs (recensement de juin 2023) dont certaines endémiques du massif du Mercantour ou des Alpes-Maritimes. Parmi elles, on y trouve de nombreuses espèces remarquables des Alpes sud-occidentales telles que la gentiane de Villars, le gaillet de Tende ou la joubarbe de Burnat, parmi de nombreuses autres. Deux espèces encore plus rares ont été signalées : - La saxifrage du Piémont : endémique du massif du Mercantour ; - La violette à feuilles de nummulaire : endémique des Alpes-Maritimes et de la Corse. A l’heure du dérèglement climatique et des sécheresses qui vulnérabilisent et raréfient de manière récurrente nos ressources en eau, à l’heure où la protection de notre environnement et de la biodiversité deviennent un enjeu vital pour l’avenir, nous nous opposons fermement à ce type de projet mal adapté, régulièrement remis en cause et ouvertement dénoncé, comme en témoigne l’exemple récent de la construction stoppée de la retenue d’eau de La Clusaz (74). La création d’une retenue collinaire pour la production de neige de culture est illusoire, irréversible, très coûteuse et non pérenne à court et moyen terme. La station d’Isola 2000 propose encore à ses visiteurs des secteurs sauvages d’une grande richesse naturelle pour la marche en montagne et le ski de randonnée par exemple. C’est un atout indéniable dans la cadre d’une démarche touristique éco-responsable, préservons-les ! EVITONS CETTE DEGRADATION ENVIRONNEMENTALE ET TOURNONS - NOUS VERS DES SOLUTIONS PLUS SOBRES, PLUS RESPECTUEUSES DE LA NATURE ET PLUS CONFORMES AUX ATTENTES DE TOUS ! Pétition soutenue par Aletrnatiba06, Mountain wilderness France472 of 500 SignaturesCreated by Greenpeace Nice et Vigilance Mercantour
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Espace naturel menacé à Pessac !Ce terrain est la dernière zone naturelle boisée et humide à l'Est de Pessac. Le reste se compose de vignes, de zones pavillonnaires et plus au Sud, du domaine universitaire. Avec un parc municipal voisin ( bien tondu hélas... ) et une prairie avec des orchidées, il forme un ensemble de milieux complémentaires de près de 2 hectares. Tous les habitants de ce terrain tendent vers vous leurs pattes implorantes : signez cette pétition ! Merci d'avance pour eux !69 of 100 SignaturesCreated by marie-claude s.
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NON aux nouveaux puits de pétrole sur le bassin d'Arcachon !🔥 Au même endroit, lors de l'été 2022, les forêts de la Teste de Buch (Bassin d'Arcachon - Gironde) et alentours ont été dévastées par d'immenses incendies. Si le changement climatique n’est pas une cause directe d’incendie, il influe sur les conditions d’éclosion et de propagation des incendies. Ainsi le changement climatique et l'exploitation des hydrocarbures sont en grande partie responsables de ces drames. Les habitants l'ont vécu comme un traumatisme et refusent de rendre leur territoire complice. 🛢️ Malgré les injonctions du GIEC à refuser tout nouveau projet d'exploitation d'énergies fossiles et la Loi de 2017 interdisant la production d'hydrocarbures en France à partir de 2040 et l'ouverture de nouveaux projets d'ici là, la compagnie pétrolière Vermillion prévoit l'ouverture de 8 nouveaux puits de pétrole dans le lac de Cazaux. Ce projet engendrera inévitablement une augmentation des émissions des Gaz à Effet de Serre (GES), contribuant ainsi au réchauffement climatique qui est déjà une réalité alarmante. Selon les données du GIEC, les activités humaines ont déjà provoqué environ 1,0°C d'élévation globale des températures depuis l'époque préindustrielle. Les accords de Paris prévoient de maintenir la température moyenne globale en dessous de 1,5°C. Le GIEC le répète : NON A TOUT NOUVEAU PROJET DE PRODUCTION D'ENERGIES FOSSILES ! Ces matières doivent rester dans nos sols pour espérer respecter les Accords de Paris sur le Climat. ✋ Certains voient dans ce projet un moyen pour la France de gérer sa propre production de pétrole et de contrôler les risques industriels localement. Mais il est important de souligner que ce projet n'influencera en rien le prix du pétrole en France car il est indexé sur le marché mondial. De plus, il ne modifiera pas non plus de manière significative l'indépendance énergétique de la France. En effet, l'ensemble de la production de pétrole sur le sol français ne représente qu'1% de la consommation française en pétrole. Rappelons une nouvelle fois que nous devons interdire tout nouveau projet de production d'hydrocarbures. 🌍 Dans ce contexte critique pour notre planète et nos générations futures, il est impensable que nous permettions un tel projet. Le 20 novembre 2023, la Commissaire Enquêtrice sur le dossier a émis un avis favorable à l'exploitation de ces nouveaux puits en ignorant les retours de la consultation publique qui comprenait davantage d'avis négatifs que positifs. Une consultation publique peu diffusée en regard de l'enjeu sous-jacent et du nombre d'habitants locaux (seulement une centaine de participations) Aujourd'hui, seul le préfet de Gironde Etienne Guyot a légalement la possibilité d'empêcher ce projet écocidaire. Nous demandons donc au Préfet d'user de ses pouvoirs pour empêcher cette exploitation destructrice. Liste des associations / collectifs signataires : Écocitoyens du Bassin d'Arcachon, Greenpeace Bordeaux, STOP Total Bordeaux, XR Bordeaux, Soulèvements de la Terre Pessac1,696 of 2,000 SignaturesCreated by Collectif Puits de pétrole à la Teste c'est NIET !
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Non aux taxis volants énergivores et bruyants, non à l'expérimentation d'ADP (Aéroport de Paris)Car ces taxis volants, hélicoptères électriques, dit e-VTOL, ce sont 0,7 tonnes de métal, 12 mètres de long, 18 hélices, pour transporter 1 passager (2 en version drone) + 1 bagage à 100 km/h sur une distance maximale de 35 km ! On nous annonce un « vertiport » à Austerlitz pour accueillir l’animal pendant les JO. Un simple gadget pour l’occasion ? Non, c’est une avant-première, l’objectif est de pérenniser l’équipement pour accueillir des e-VTOL venant de 23 aérodromes et de 9 hélistations. C’est donc dans cette perspective d’une noria d’e-VTOL venant des aéroports et héliports de la région qu'il faut décider si c’est un rêve ou un cauchemar. A la lecture du rapport de l’Autorité Environnementale, 4 adjectifs viennent à l’esprit pour qualifier ce projet : 🔴 TOXIQUE - l’e-VTOL n’est pas neutre carbone. Il consomme 12 fois plus d’énergie qu’une voiture électrique et émet ainsi à l’utilisation l’équivalent d’une voiture thermique, ce sans compter l’impact de sa construction et de son démantèlement, sur lequel le constructeur reste muet. 🔴 NUISIBLE - l’e-VTOL volera à 150 mètres d’altitude et il est bruyant, de l’ordre de 70dB, c’est-à-dire un niveau largement suffisant pour avoir des effets sérieux sur la santé humaine. 🔴 DANGEREUX - il est facile de détourner un e-VTOL, et le projeter de 150 mètres d’altitude sur un lieu touristique, ce qui ne contribuerait pas à renforcer l’attractivité de notre capitale. 🔴 PERVERS - l’eVTOL ne s’adresse ni aux super-riches (pas assez confortable), ni aux touristes (pas assez de place), mais vise en réalité le marché des cadres supérieurs, banquiers, consultants, comme moyen commode de relier aéroport et centre ville sans perdre de temps dans les embouteillages. De ce fait, il lève un frein à l’utilisation de l’avion pour les courtes durées, au détriment du train… Nous rejetons aussi ce projet pour des questions de : ❌ Régression environnementale : Depuis 1948, la ville de Paris et ses habitants sont protégés par une réglementation interdisant le survol de la ville à moins de 2.000 mètres d’altitude sauf dérogations spécifiques. Aujourd’hui, ce sont les aéronefs en service de mission médicale d’urgence qui desservent les hôpitaux et ceux de la sécurité civile qui bénéficient de telles dérogations. Permettre le survol de Paris par des aéronefs de type “taxis volants” à 150 mètres d’altitude pour le transport de personnes souhaitant éviter les transports en commun ou les embouteillages constitue une régression environnementale. ❌ Impact financier : L'impact pour les finances publiques n'est pas renseigné mais il laisse supposer un support public. Avec le CDG Express, bien trop d’argent public a été consacré à des transports réservés à une petite minorité. La priorité doit être donnée aux transports collectifs. ❌ Déni de démocratie : Nous dénonçons la carence de consultation des citoyens dans un processus de décision très lourd de conséquences pour l'avenir de la collectivité puisqu’il s’agit de pérenniser un nouveau mode de déplacement inter aéroportuaire individuel. Les oppositions se multiplient et s’organisent : - l’Autorité Environnementale juge l’étude d’impact incomplète et critique le projet - l’opposition des communes périphériques survolées : https://act.gp/4a2P39e - Le Conseil de Paris a refusé le projet le 14 novembre 2023 : https://act.gp/4a2mHvF 👉 Emettez un avis négatif sur le registre d’enquête publique, jusqu'au 08/12/23. Le dossier complet est accessible ici : https://act.gp/3TbSrbX. Il est important de contribuer à l’enquête et de dire NON ! 👉 Signez et relayez notre pétition Alors que l’Autorité Environnementale juge l’étude d’impact incomplète, et que le Conseil de Paris comme les communes survolées ont rendu un avis négatif, le projet, soutenu par l’Etat et la région Ile-de-France pourrait malgré tout voir le jour. 💥 Mobilisons-nous tous de toute urgence pour enterrer cette aberration écologique. Vous êtes Parisien, Francilien, Français ou simplement amoureux de la Ville Lumière et soucieux de la préservation de notre environnement et notre patrimoine alors signez notre pétition et surtout relayez-la autour de vous. Il est encore temps de faire machine arrière ! Associations signataires : UFCNA (Union Française Contre les Nuisances des Aéronefs), ADERA (pour le respect de l’environnement à Beauvais-Tillé), FNE Paris, FNE IDF, Val de Marne Environnement, SOS Paris, ADA 13, InCOPruptibles, Environnement 92, Chaville Environnement.5,567 of 6,000 SignaturesCreated by FNE Paris
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Non à l’extension de la Mine de Glomel en plein cœur de la Bretagne !⚠️ Cette extension aggraverait des pollutions et nuisances qui sont déjà trop importantes ⚠️ 💧 Sur la ressource en eau : o Le Centre Bretagne est le château d’eau de la Bretagne. La carrière, implantée en tête des bassins versants du Blavet et de l’Ellé, a déjà entraîné la destruction de plus de 40 hectares de zones humides et de plusieurs cours d’eau. L’extension de la fosse 4 aboutirait à la destruction des zones humides de Kerroué. o Aucune des fosses existantes n’est étanchéifiée, ce qui cause un risque de pollution des eaux souterraines par infiltration, idem pour les eaux de pluie pénétrant dans les verses. Il en sera de même pour la fosse 4 en projet. ☠️ Sur la santé, dont nous, habitant-es aux alentours de la Mine, subissons déjà les conséquences : o Pollution de l’air avec les poussières générées par l’usine, les verses de stériles et les résidus de traitement. o Le bruit subi (tirs de mines, travail de la roche, sirènes et passage de camions) dépasse régulièrement les niveaux autorisés, aucune étude acoustique indépendante n’a été menée. 🌱 Sur la biodiversité : o La destruction de dizaines d'hectares de milieux naturels impacte fortement les conditions de vie des espèces et leur circulation (la carrière constitue déjà une barrière étanche qui rompt les corridors écologiques) ; ⛰️ Sur les paysages : o Si la fosse 4 se réalisait, deux verses atteindraient 300m, autant que les points culminants du Morbihan et des Côtes d'Armor situés à proximité (Minez Du et Calotte St Joseph) ; 🌡️ Sur le climat : o il faut beaucoup d’énergies, fossiles en particulier, pour extraire, raffiner, transporter les minerais. Continuer à étendre et faire durer cette exploitation contribue à l’augmentation des émissions de gaz à effet de serre et au dérèglement climatique. Pour justifier son activité, IMERYS invoque le maintien et la création d’emploi. Ce chantage à l’emploi démontre une vision court-termiste de l’économie locale et pourrait laisser penser qu’écologie et emplois s’opposent. Il est en réalité temps de penser la transition écologique et sociale ensemble, et sur le long-terme : pour des emplois aujourd’hui ET demain, sur une planète vivable et pourvoyeuse de terres agricoles et d’eau saine pour toutes et tous, nous devons refuser l’extension nocive de la mine de Glomel. 1️⃣ Signez cette pétition pour aider à stopper l’extension de ce projet destructeur ! 2️⃣ Participez tout de suite à l’enquête publique en cours (sur la demande d’autorisation environnementale jusqu’au 15 décembre 2023 : https://www.registre-dematerialise.fr/4810/documents) pour déposer vos questionnements et objections sur l’extension de cette multinationale. Voici un document pour vous aider à contribuer à l'enquête publique : http://refracterres.org/wp-content/uploads/2023/12/aides-a-la-decla-.pdf La liste des signataires de la pétition viendra peser dans l'évaluation de l'enquête publique. 3️⃣ Relayez cette pétition autour de vous ! Bascule Argoat, Douar Bev, Refrac'terres SIGNATAIRES : Bascule Argoat Blavet 2050 Douar Bev Eau & rivières Bretagne FNE Bretagne OzACTES Refrac'terres Réseau Cohérence Soulèvements de la terre Quimperlé Stop Mine 03 Stop mine 23 Terres de luttes VIVARMOR Nature XR Kreiz Breizh785 of 800 SignaturesCreated by Bascule Argoat, Douar Bev, Refrac'terres
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NON AU PROJET DE SABLIÈRE À LORETZ D’ARGENTONNous sommes opposés à ce projet pour plusieurs raisons : - Suppression de terres agricoles et dégradation de l’environnement. - Hausse du trafic routier : passages très fréquents de poids lourds, 44 T, dans les bourgs avec détérioration des routes et mise en danger des piétons, en particulier des enfants (proximité d'écoles). Passage de camions prévus à la sortie d'un parc. - Détérioration de la nappe phréatique : mise à ciel ouvert de la nappe phréatique, modification du ruissellement souterrain qui alimente l'Argenton, avec risque d'assèchement des terrains voisins de certains puits. - Enfouissement de matériaux inertes : cailloux, briques, déchets du BTP. - Partie sud du projet située en zone inondable. - Nuisances sonores sur le site et sur les routes empruntées par les camions. - Poussières impactant les riverains et mettant à mal les terres labellisées bio d'un exploitant agricole. - Remise en cause de camping d'Argenton l'Eglise en cours de classement Eco Tourisme. - Baisse de la valeur immobilière des terrains, maisons de Loretz d'Argenton. Une enquête publique va s’ouvrir : il n’est donc pas trop tard pour influer sur le cours des choses et nous positionner contre ce mauvais projet au mauvais endroit. Notre mobilisation peut faire la différence. Signez cette pétition dès maintenant. Faites la connaître et partagez la avec votre entourage et vos réseaux. Pour plus de précisions sur le projet ou sur l’association La Vallée de l’Argenton en Danger (VAD), à l’origine de cette pétition. Contact : [email protected] Facebook : Vallée de l'Argenton en Danger170 of 200 SignaturesCreated by La Vallée de l’Argenton en Danger
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Photovoltaïque sur des terres naturelles, agricoles ou forestières : ne tombons pas dans le panneau!Lorsque E. Macron et la FNSEA prônent la robotique, la génétique et le numérique pour l'agriculture (13), et que le syndicat agro-industriel co-préside le lobby France Agrivoltaïsme ; le fondateur de ce dernier met en place la gestion des champs via l’intelligence artificielle (14). Ce sont ainsi deux visions de l'agriculture et de la société qui s'affrontent : l'agriculture industrielle, ultra-mécanisée et numérique sur des surfaces toujours plus grandes, face à l'autonomie paysanne ; les serveurs face aux cerveaux ; l'intelligence artificielle face à l'observation, la sensibilité et savoirs-faire des paysan·nes. Nous affirmons qu'il est nécessaire d'amorcer la désescalade de l’emprise technologique afin que les paysan·nes puissent travailler la terre eux-mêmes sans être dépendants de l'agro-industrie. Nous refusons l'industrialisation des campagnes, car quelle que soit sa surface, ou sa « participation citoyenne », une centrale photovoltaïque sur des terres agricoles, naturelles ou forestières, est une installation de nature industrielle. Les tonnes de métaux (silice, aluminium, zinc, plomb, étain, indium, antimoine) (15) recouvrant les terres; les milliers d'ancrages bétons et kilomètres de voies d'accès et de clôtures grillagées, lignes électriques enterrées ou aériennes, les postes de transformations et de livraisons, le bruit engendré par les onduleurs (16), les caméras de surveillance, les divers capteurs connectés, les obligations de déboisement en périphérie, détruisent nos campagnes. Les méga-centrales électrifient nos champs avec des effets documentés sur les animaux d'élevages (17). Nous n'oublions pas la fabrication industrielle de ces panneaux : exploitation d'êtres humains, extractivisme ravageur. Afin de produire 40 000 tonnes de silicium métal, l'une des six unités de production en France brûle 120 000 tonnes de quartz et 80 000 tonnes de bois (18), et engloutit en moyenne 11 mégawatts/heure par tonne de produit fini (19), soit chaque année l’équivalent électrique d’une ville de 150 000 habitants. Il faut aussi 280 kg de produits chimiques par kilo de silicium produit (20). Sans oublier les risques de pollution des eaux (21) et que les centrales peuvent entraîner « l’altération, la dégradation voire la destruction des milieux naturels (défrichements puis gestion de la végétation au plus près du sol ; terrassement et compactage des sols ; instauration de microclimats différenciés au-dessus et en dessous des panneaux ; création d’exclos par les clôtures, etc.). La modification des fonctions hydriques, climatiques ou biologiques qui peut en résulter conduit à l’artificialisation d’une partie parfois importante des sols [ainsi qu'une] modification des cortèges d’espèces végétales et animales » (22). Nous défendons un rapport sensible au monde qui nous est plus que jamais primordial. Alors même que l’agriculture est l’une des professions qui rémunère le moins, qu’un malaise est reconnu et qu’il faudra recruter massivement pour faire face aux nombreux départs en retraite, une motivation essentielle est la qualité de vie au travail, en plein air, dans un cadre beau ; regarder le ciel et écouter les sons de la vie. Travailler sous des panneaux, c’est dégrader notre qualité de vie au travail, mais aussi l’environnement et les paysages pour le bénéfice de quelques propriétaires et promoteurs. Au contraire, l'agriculture paysanne doit participer avec les citoyen·nes à rendre le milieu rural vivant dans un cadre de vie apprécié par toutes et tous. Notre autonomie de choix et d’action, n’est pas de devenir des jardiniers sous des panneaux. Notre métier n'est pas de cultiver des kilowatts, mais de produire une alimentation saine et de qualité pour le plus grand nombre, et d'être rémunéré en conséquence. Car si la contrepartie financière de plusieurs milliers d'euros par année et par hectare peut sembler alléchante (23), et générer un véritable dilemme pour des paysan·nes en difficulté ; en mettant notre outil de production à disposition de ces sociétés, nous les enrichissons et détournons la vocation nourricière de la terre agricole. L’unique raison de la pression industrielle actuelle sur les terres agricoles, naturelles et forestières est financière. Rejetant le mythe d'un capitalisme vert, ainsi que la vision d'une transition écologique allant vers une société de surconsommation ultra-connectée, nous appelons à une opposition massive à tous ces projets photovoltaïques industriels et exigeons leur interdiction sur toutes les terres agricoles, naturelles, forestières et les milieux aquatiques. ✍️ Citoyen·nes, signez la pétition pour soutenir notre appel ✍️ Organisations : ajoutez votre nom à la liste des signataires : https://act.gp/3Rc0CUe Les organisations en lutte contre les mégas-centrales photovoltaïque sur les terres agricoles, naturelles, forestières et en milieux aquatiques (liste des signataires ici : https://act.gp/3QKizro). nb : les sources sont disponibles dans le lien ci-après : https://act.gp/3uAL2IM1,754 of 2,000 SignaturesCreated by Coordination des organisations en lutte
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🛒 Des Tickets-Restaurants pour payer ses courses et consommer plus de BIO ? Agissons ! 🌍🛒 Face à l’urgence sociale, nous exigeons la pérennisation (sans restriction à certains types de produits transformés) de la possibilité de faire des courses alimentaires avec nos Tickets-Restaurants. 🌍Parce que nous n’oublions pas l’urgence écologique, nous demandons une mesure audacieuse et complémentaire en faveur de la planète. Nous proposons d’inclure dans cette pérennisation, une mesure coup de pouce en faveur d’une consommation responsable et de l'agriculture biologique. 🧑🌾L’Etat doit offrir une réduction de 10% pour l'achat de produits bio avec un Ticket-Restaurant. Cette mesure simple serait un soutien aux agriculteurs en bio qui souffrent de la crise actuelle. Ce serait également un soutien aux restaurateurs qui font le choix d’utiliser des produits BIO. Ce serait au final une possibilité de nous aider à faire des choix alimentaires en accord avec nos convictions et de contribuer, à notre échelle, à des pratiques alimentaires plus durables. ✊Vous aussi, vous pensez que nous devons pouvoir continuer de faire nos courses alimentaires avec des Tickets-Restaurants et également bénéficier d’un soutien à une consommation responsable ? Pour cette mesure concrète de justice sociale et environnementale, signez et partagez cette pétition ! Nous pouvons y arriver car le gouvernement doit prendre une mesure en urgence d’ici la fin de l’année. Ensemble, faisons entendre notre voix pour sauvegarder notre pouvoir d'achat et promouvoir une consommation responsable !5,999 of 6,000 SignaturesCreated by Clara, Frédérique & Sylvain
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Zéro watt pour la pub !¤¤ La publicité lumineuse est invasive, nuisible et climaticide ¤¤ La publicité lumineuse est le symbole parfait de « l’ancien monde », dont le moteur principal impose une croissance perpétuelle, quels qu’en soient les effets sur notre environnement et notre vie : - Elle contribue au gaspillage d’énergie et de ressources. Un panneau numérique de 2 m² consomme environ 2 000 kWh par an(1). Sur l’ensemble de son cycle de vie, les émissions de gaz à effet de serre s’élèvent à 2,5 tonnes en équivalent CO2. - Elle défigure les paysages urbains. Elle crée une gêne visuelle, qui peut s’avérer accidentogène, et oblige les passant·e·s à évoluer dans un espace pollué, engendrant une banalisation et standardisation des espaces publics, parfois réduits en centres commerciaux à ciel ouvert. - Elle nuit gravement à la biodiversité. La pollution lumineuse perturbe les oiseaux migrateurs nocturnes et dérègle l’horloge biologique de nombreuses espèces.La publicité lumineuse, par ses éclairages horizontaux, y concourt grandement. - Elle compromet la santé psychologique. Les panneaux lumineux captent davantage l’attention que les non-lumineux. Le caractère répétitif et invasif de ces dispositifs peut aller jusqu’à ébranler l’intégrité psychologique des personnes qui y sont soumises. - Elle porte atteinte aux libertés fondamentales. La publicité extérieure est la seule forme de publicité à laquelle personne ne peut échapper. Lorsqu’elle est lumineuse, il est impossible d’éviter la captation de l’attention car elle utilise des mécanismes conçus dans ce but. Elle conduit à une forme d’invasion, voire de matraquage publicitaire qui n’a fait l’objet d’aucun consentement. ¤¤ Élu·e·s, parlementaires, agissez dès maintenant ! ¤¤ Maires et président·e·s d’intercommunalité, vous disposez d’un outil permettant d’agir concrètement sur votre territoire : le règlement local de publicité (RLP). D’ores et déjà, plusieurs collectivités ont interdit la publicité numérique, ainsi que les enseignes numériques sur leur territoire, faisant preuve d’une réelle volonté de répondre aux enjeux environnementaux actuels. De nombreux RLP ont été approuvés au cours des dernières années. Il est grand temps de les actualiser en prenant en compte ces nouvelles exigences de sobriété. Parlementaires, vous avez le devoir impérieux de modifier le Code de l’environnement afin d’y intégrer l’interdiction de la publicité lumineuse, sous toutes ses formes (numérique, éclairée par projection ou transparence). Zéro watt pour la pub, éclairons l’essentiel ! Sources : (1) https://www.actu-environnement.com/media/pdf/news-36209-Etude-ademe-impact-ecrans-publicite.pdf Campagne lancée par : - Agir pour L'environnement - Attac - Extinction Rebellion France - France Nature Environnement - Greenpeace France - Les Amis de la Terre - Ligue pour la Protection des Oiseaux - Naturalistes des Terres - Paysages de France - Résistance à l'Agression Publicitaire393 of 400 SignaturesCreated by Collectif inter-associatif Zéro Watt pour la pub !
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ANNECY : NON au projet de densification et d’extension du Parc d’Activité Économique des GlaisinsLe Plan Local d'Urbanisme intercommunal Habitat Mobilités et Bioclimatique (PLUi HMB) en cours d’élaboration va définir l’avenir de notre territoire. Nous payons chaque jour le prix des erreurs de ces dernières décennies. Le PAE des Glaisins est un exemple type de l’urbanisme des années 70 et un concentré à lui seul de tous ses maux. Mais au lieu d’essayer de les soigner, le Grand Annecy persiste et signe avec un projet de densification et d’extension du parc qui ne fera que les aggraver. Nous demandons que ce projet soit repensé en concertation avec les habitants et en adéquation avec les enjeux de la transition écologique. La préservation des terres agricoles est indispensable pour assurer notre autonomie alimentaire. Il est hors de question d’en détruire davantage pour une extension du PAE des Glaisins. Trop de gens n'arrivent pas à se loger à un prix abordable dans l'agglomération et la difficulté à se loger est considérée par les entreprises comme un frein majeur dans leur recrutement. La construction de logements doit être au cœur du projet, alors que l'accueil de toujours plus d'entreprises ne fera qu'aggraver la situation. Le Grand Annecy a placé en priorité l’axe Glaisins pour le projet de Transport en Commun en Site Propre intégral (TCSPi) , mais elle continue à mener une politique du tout-voiture en prévoyant dans le PAE des Glaisins un parking relais de 450 places « intra-agglo », c'est à dire destiné aux automobilistes venant du cœur de l'agglomération et disposant d'alternatives à la voiture (transports en commun, vélo, trottinette électrique...). Une pollution aux PFAS, des substances per- et polyfluoroalkylées encore appelées polluants éternels, a été découverte sur la nappe des îles à Annecy. La question de la pollution au sein du PAE des Glaisins, dont la majeure partie des eaux de ruissellement termine dans le Fier en amont de cette nappe, doit être traitée de façon drastique et transparente. Enfin, le Grand Annecy ne peut plus feindre d’ignorer les préoccupations des habitants concernant la protection des espaces naturels et agricoles. Une enquête publique est donc nécessaire avant tout réaménagement du PAE des Glaisins.1,117 of 2,000 SignaturesCreated by Greenpeace Annecy
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NON A L'ABATTAGE DES 27 ARBRES DE LA RUE DE L'ÉGALITÉLe conseil municipal projette d’aménager la rue de l’Égalité (rue du collège Langevin). Cette action s’inscrit dans le cadre d’un enfouissement des câbles et de rénovation des canalisations d’eau et de gaz. Une ébauche du projet a été présentée en septembre et novembre 2022 en commission municipale. Vue l’absence de pistes cyclables et l’abattage de 27 arbres de la rue, la commission n’a pas validé le projet. D’autorité, Monsieur le Maire a arrêté le projet définitif et l’a communiqué aux riverains lors d’une réunion publique le 22 novembre 2022 en l’absence des élus de la commission. 18 personnes étaient présentes. Le nouveau projet présente des intérêts, notamment des noues (petits fossés) pour l’infiltration de l’eau de pluie, une voie exclusivement piétonne sécurisée car séparée de la chaussée et un travail sur le visuel pour apaiser la circulation des véhicules. Monsieur le Maire choisit d’oublier que les arbres d’alignement sont de par la Loi protégés (Loi 3DS, Décret n° 2023-384 du 19 mai 2023). Leur abattage s’inscrit dans des conditions très particulières et exceptionnelles liées à la sécurité que seul le préfet peut décider. Ce choix «d’aménagement paysager» qui est celui du Maire, ne peut justifier la disparition de ces arbres patrimoniaux. Dans un contexte climatique où la nécessité d’adaptation des villes est plus qu’urgente et compte tenu que d'autres solutions existent comme la surélévation du trottoir, choix retenu pour l'autre côté de la rue, ce projet est une aberration d’une autre époque. NOUS DEMANDONS LA REVISION DU PROJET D’AMENAGEMENT PREVU RUE DE L’ÉGALITÉ AVEC EN 1ER LIEU, UN MORATOIRE POUR LES ARBRES, le temps d’étudier l’état des sujets par un organisme indépendant, avec une approche strictement phytosanitaire et mécanique (et donc sécuritaire, pour le végétal et pour les personnes). NOUS DEMANDONS A ETRE ASSOCIES A LA PRESENTATION DES CONCLUSIONS DE CETTE ETUDE COMPLEMENTAIRE. Pour lutter contre les phénomènes d’îlots de chaleur urbain, les vieux arbres ont toute leur utilité. Ils sont même les derniers remparts parce qu’ils nous apportent de la fraicheur en période de canicule (-10° à l’ombre), captent certains polluants et particules auxquels nous sommes exposés, participent à l’infiltration des eaux pluviales, stockent du carbone et produisent de l’oxygène bien plus efficacement qu’un jeune arbre. Enfin, ils favorisent la présence de nombreuses espèces animales et végétales et contribuent à la fertilité de nos sols... Tous ces aspects de notre qualité de vie sont en jeu. Ce projet va conditionner cette rue pour les 50 prochaines années. Il ne peut se décider sans prendre en compte le contexte socio-climatique actuel. Nous le disons depuis notre élection, Trith-saint-Léger est une ville dans laquelle le végétal doit garder une grande place car il a une grande utilité. A une époque chaque naissance donnait lieu à la plantation d’un nouvel arbre baptisé du nom de l’enfant. Pourquoi aujourd’hui faut-il nous battre pour préserver ce cadre de vie ? Pourquoi alors que la situation climatique n’a jamais été aussi préoccupante, la municipalité en place refuse toujours de considérer les atouts des arbres et des voies pour les mobilités actives bénéfiques pour toutes les trithoises et tous les trithois ?797 of 800 SignaturesCreated by Christophe V.
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Plus de produits locaux et équilibré à la cafétéria du lycéeNous sommes en 1ere au lycée. Cependant, dans notre cafétéria, les repas proposés sont ultra transformés et contribue à une alimentation déséquilibrée. Nous avons la possibilité de manger à l'extérieur et de ramener notre propre repas or tous les élèves n'ont pas les moyens de manger dehors et la possibilité de ramener leur repas. Il n'existe aucune alternative saine pour eux. Nous souhaitons qu'une offre équilibrée soit proposée. Cela permettrai de responsabiliser les élèves sur la manière de consommer et de permettre à tous un accès à une alimentation saine. Le but est de réussir à atteindre cet objectif progressivement sur les prochains mois.55 of 100 SignaturesCreated by Elsa B.
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