• NON à l'installation de SHEIN à GRENOBLE, et partout en France !
    SHEIN c’est l’exploitation humaine : travail forcé des Ouïghours, travail d’enfants et d’ouvrier·es jusqu’à 18 h par jour.  SHEIN c’est la mise en ligne de 10 000 nouveaux vêtements par jour, dont 85 % finissent à la décharge. Des tee-shirts, pantalons et pulls portés en moyenne 7 fois. Shein, c’est la mode jetable.  🏭 SHEIN et l’ultra fast fashion c’est de la pollution massive, avec 45 millions de tonnes de CO₂/an, soit l’ensemble des émissions d’un pays comme le Portugal. ☢️ SHEIN c’est des matières de très mauvaise qualité : du polyester, du nylon, de l’acrylique qui sont dérivés de pétrole. Impossible de les recycler, nocifs pour notre santé, ces matières rejettent des microplastiques à chaque lavage. On y retrouve des produits non contrôlés avec des substances toxiques interdites en Union Européenne, qui finissent pourtant par arriver chez le consommateur. Nous refusons de faire porter cette responsabilité sur celles et ceux qui, faut de moyens et de temps, consomment de la fast fashion. Les responsables ne sont pas celles et ceux qui subissent la précarité mais le BHV, SHEIN et tous les autres qui profitent de ce modèle destructeur. DES ALTERNATIVES EXISTENT ! Nous encourageons chacune et chacun à se tourner vers des alternatives éthiques : magasins de seconde main, friperies associatives, créateur.ices et artisan.es locaux… Ces options sont nombreuses à Grenoble et pour la plupart accessibles à petits prix.  Pour toutes ces raisons, nous demandons à Olivier Klein, directeur du BHV GRENOBLE d'annuler l'installation de SHEIN au BHV Grenoble (ex-Galeries Lafayettes). Les Grenoblois et Grenobloises méritent mieux, et de multiples alternatives existent ! PS : Nous vous donnons rendez-vous samedi 22 novembre à partir de 14h30 devant le BHV (ex Galeries Lafayette) pour une action phare de sensibilisation.  Premiers signataires :  - Alternatiba Grenoble  - ATTAC Isère - Coordination Étudiante Grenoble - Extinction Rébellion Grenoble  - Jeunes Écolos Grenoble  - Jeunes Communistes Isère  - Jeunes de l’Après Isère  - Jeunes Socialistes Isère  - Jeunes Génération.S Isère  - OURSE - Sciences Po Grenoble - Résistance à l'Agression Publicitaire Grenoble
    245 sur 300 Signatures
    Créée par Collectif citoyen contre SHEIN
  • La sécurité, le calme, la salubrité ne sont pas des options !
     M. le maire et membres du conseil de la commune d’ANOULD,  Mme la maire et membres du conseil de la commune de SAINT LEONARD.  La sécurité, le calme, la salubrité ne sont pas des options !  Nous, habitants et riverains de la rue du Vagodel pour la commune de Saint Léonard, de la rue Pierre et Germaine Crevisier pour la commune d’Anould et des rues attenantes sans exhaustivité (rue du 9 novembre 1944, rue René Coty, rue Val de Meurthe, rue Pasteur) subissons les nuisances dues à l’importante circulation de ces voies, lesquelles servent régulièrement d’« itinéraire bis » de la route départementale lors des départs/retours de week-end, de travaux. En semaine, la circulation y est continue tout au long de la journée et plus encore lors des transits aux heures de pointe. C’est également le moyen d’accès privilégié à la déchetterie (rues qu’il faudrait rebaptiser « rue des remorques »?).   Ces nuisances ne font qu’augmenter depuis des années avec pour conséquences :   - vitesse excessive d’un nombre important de véhicules, accidents,   - nuisances sonores : outre le bruit motorisé, revêtement initialement de mauvaise qualité et en mauvais état de la route pour la partie sur la commune d’Anould (bruits de roulement), cahots des remorques des véhicules se rendant à la déchetterie,   - pollution des bas côtés, fossés et donc pollution de la Meurthe : jets de détritus par les fenêtres des véhicules, « perte » d’éléments de chargement des remorques lesquelles sont le plus souvent dépourvues de sangles ou bâches (sécurité!).  Pour la commune d’Anould, alors que notre rue est laissée totalement à l’abandon, le maire restant sourd aux interpellations, les efforts semblent curieusement se concentrer sur la rue Charlie Chaplin située de l’autre côté de la RD415 (article Vosges Matin du 02/10/25 lien ci-dessous) :  https://www.vosgesmatin.fr/faits-divers-justice/2025/10/02/anould-des-exces-de-vitesse-persistent-dans-la-rue-charlie-chaplin-utilisee-comme-raccourci) et cela est fait aux dépends des rues Crevisier/Vagodel en créant un report de la circulation.  Citation de l’article publié :  « Pour rejoindre Gérardmer depuis Saint-Dié, plusieurs automobilistes empruntent la rue Charlie-Chaplin afin d’éviter la RD 415. Des solutions ont été mises en place pour réduire la circulation sur cet axe (note : pose d’un panneau circulation interdite sauf desserte locale dans le sens Anould/St Dié, limitation vitesse 30km/h sur toute la longueur de la rue). Des excès de vitesse sont encore constatés. La mairie pourrait prendre une solution radicale.  La RD 415 fait partie des axes les plus fréquentés du département des Vosges. À Anould, lorsque celle-ci était embouteillée, de nombreux automobilistes, parfois encouragés par leur GPS, empruntaient la rue Charlie-Chaplin, sorte de « RD 415-bis » longue de 2,5 km environ, ce qui leur permettait de rejoindre Gérardmer depuis Saint-Dié (et inversement).  Une circulation devenue infernale pour... »  Visiblement ce qui prévaut d’un coté de la RD415 ne s’applique pas à l’autre côté !   Signataires de cette pétition, nous aimerions retrouver la quiétude. Aussi nous demandons aux édiles des deux communes de se concerter, de prendre des dispositions immédiates, efficaces et pérennes pour remédier à l’ensemble des faits décrits ci-dessus et de nous en tenir informés. 
    6 sur 100 Signatures
    Créée par Pascal W.
  • Pesticides sur la Communauté de Communes Bièvre Est : nous voulons la transparence !
    Source : https://www.geoportail.gouv.fr/carte 🌿 1. Protéger la santé de toutes et tous, ici et maintenant  Dans les villages de la CCBE, des litres de produits chimiques (engrais, pesticides de synthèse) sont épandus autour de nos maisons, nos écoles et nos points d’eau. (https://www.generations-futures.fr/geophyto) Ces substances ne s’arrêtent pas aux limites des champs : elles se diffusent dans l’air, l’eau, les poussières, les sols, notre alimentation et jusque dans nos corps.  L’étude PestiRiv de l’ANSES (publiée le 15 septembre 2025) confirme que les habitants et habitantes des zones agricoles respirent et ingèrent davantage de résidus de pesticides que les personnes en ville. Connaître les produits est un enjeu majeur et immédiat de santé publique, notamment pour les enfants, les femmes enceintes et les personnes vulnérables.  💧 2. Préserver l’eau et les sols pour les générations à venir  Les dernières analyses d'eau de l'ARS révèlent pour la Bièvre Est la présence de PFAS à la limite du seuil de référence sanitaire.  Les pesticides empoisonnent lentement et durablement les nappes phréatiques, les rivières, les océans, les nuages et les sols. Nous avons le droit de connaître les produits à risque pour mieux protéger la qualité de l’eau et éviter d’alourdir, dans l’avenir, les coûts déjà importants de santé et de la dépollution de l’eau  🧭 3. Initier une démocratie agricole pour contribuer tous et toutes à la transition  L’agriculture ne peut plus être que l’affaire de quelques-uns. Les choix de cultures et de pratiques agricoles engagent tout le monde : notre santé, nos paysages, la biodiversité, notre eau, notre climat. La transparence sur les pesticides, c’est la première étape d’une démocratie agricole où l’ensemble des personnes habitant la commune peut contribuer à la transition agricole.   La décision du Tribunal administratif de Bordeaux du 1er juillet 2025, confirmant le droit d’accès aux registres d’épandage, ouvre cette voie : celle d’un pouvoir citoyen sur les choix agricoles.  NOTRE DEMANDE CONCRÈTE  Nous demandons à  Monsieur Roger Valtat, Président de la Communauté de Communes Bièvre Est d’agir :  •     Obtenir les registres d'épandage des pesticides (par exemple auprès de la DRAAF ou de la Chambre d'Agriculture) et les rendre accessibles aux habitants et habitantes des quatorze communes de la CCBE ;  •     Financer une expertise indépendante pour analyser les produits, leurs risques et leurs alternatives agronomiques ;  •     Organiser (avec les associations parties prenantes locales) des réunions publiques pour partager ces résultats avec les habitants et les habitantes des communes de la communauté de commune Bièvre Est, riverain·es et exploitant·es agricoles notamment. Il n’y a aucune raison de garder ces usages secrets. Nous devons sortir du silence et du déni face aux risques de pollution. La tension entre la protection de la santé et les difficultés de la profession agricole implique de nouvelles formes de dialogue. C’est ensemble, habitant·es, agriculteur·rices, consommateur·rices et élu·es, que nous pouvons regarder la réalité en face et imaginer des solutions justes et durables pour l’avenir.     📣  Signez la pétition aujourd'hui pour défendre votre droit de savoir, et affirmez vos préoccupations pour notre santé à toutes et tous
    4 sur 100 Signatures
    Créée par Riverains Ensemble
  • Pesticides dans la Communauté de Communes Sud Retz Atlantique : nous voulons la transparence !
    https://www.greenvoice.fr/assets/uploads/2025/11/SUD-RETZ-AGGLO.jpg Source : https://www.geoportail.gouv.fr/carte 🌿 1. Protéger la santé de toutes et tous, ici et maintenant  Dans le village, des litres de produits chimiques (engrais, pesticides de synthèse) sont épandus autour de nos maisons, nos écoles et nos points d’eau. Ces substances ne s’arrêtent pas aux limites des champs : elles se diffusent dans l’air, l’eau, les poussières, les sols, notre alimentation et jusque dans nos corps.  L’étude PestiRiv de l’ANSES (publiée le 15 septembre 2025) confirme que les habitants et habitantes des zones agricoles respirent et ingèrent davantage de résidus de pesticides que les personnes en ville. Connaître les produits est un enjeu majeur et immédiat de santé publique, notamment pour les enfants, les femmes enceintes et les personnes vulnérables.  💧 2. Préserver l’eau et les sols pour les générations à venir  Les pesticides empoisonnent lentement et durablement les nappes phréatiques, les rivières, les océans, les nuages et les sols. Nous avons le droit de connaître les produits à risque pour mieux protéger la qualité de l’eau et éviter d’alourdir, dans l’avenir, les coûts déjà importants de santé et de la dépollution de l’eau (cf résultats scientifiques de Mickaël Derangeon de l’Université de Nantes). 🧭 3. Initier une démocratie agricole pour contribuer tous et toutes à la transition  L’agriculture ne peut plus être que l’affaire de quelques-uns. Les choix de cultures et de pratiques agricoles engagent tout le monde : notre santé, nos paysages, la biodiversité, notre eau, notre climat. La transparence sur les pesticides, c’est la première étape d’une démocratie agricole où l’ensemble des personnes habitant la commune peut contribuer à la transition agricole.   La décision du Tribunal administratif de Bordeaux du 1er juillet 2025, confirmant le droit d’accès aux registres d’épandage, ouvre cette voie : celle d’un pouvoir citoyen sur les choix agricoles. NOTRE DEMANDE CONCRÈTE  Nous demandons à Monsieur Laurent Robin, Président de la communauté de communes « Sud Retz Atlantique » d’agir :  • Pour obtenir les registres d’utilisation des pesticides de la commune et les rendre accessibles aux habitants et habitantes des huit communes de la communauté de commune « Sud Retz Atlantique » ) ;  • Financer une expertise indépendante pour analyser les produits, leurs risques et leurs alternatives agronomiques ;  • Organiser (avec les associations parties prenantes locales) des réunions publiques pour partager ces résultats avec les habitants et les habitantes des communes de la communauté de commune « Sud Retz Atlantique », riverain·es et exploitant·es agricoles notamment.  Il n’y a aucune raison de garder ces usages secrets. Nous devons sortir du silence et du déni face aux risques de pollution. La tension entre la protection de la santé et les difficultés de la profession agricole implique de nouvelles formes de dialogue. C’est ensemble, habitant·es, agriculteur·rices, consommateur·rices et élu·es, que nous pouvons regarder la réalité en face et imaginer des solutions justes et durables pour l’avenir.  📣  Signez la pétition aujourd'hui pour défendre votre droit de savoir, et affirmez vos préoccupations pour notre santé à toutes et tous
    2 sur 100 Signatures
    Créée par Riverains Ensemble
  • Stop au nourrissage des sangliers pour ensuite les massacrer chez eux!
    Depuis des lustres les chasseurs nourrissent les sangliers dans les bois et les forêts à l'aide de distributeurs de grains. Pourquoi font ils ça?  me direz-vous... Ça permet de regrouper les animaux tous au même endroit de façon régulière et de faciliter leur chasse et de les abattre ensuite sans trop se fatiguer à devoir les poursuivre sur des kilomètres. Certains agriculteurs ont manifesté leur mécontentement par rapport au nourrissage du gros gibier lors des manifestations contre le Mercosur car le nourrissage augmente leur nombre et cela provoque forcément des dégâts dans les champs des agriculteurs. C'est cette raison qui me pousse à parler de ce sujet qui me pèse. Chaque dimanche où une battue est annoncée (comme aujourd'hui) j'ai le coeur gros et je me sens mal de ne rien pouvoir faire pour empêcher ce jeu macabre.  Pour les chasseurs, c'est un sport, ils aiment la nature et régulent la population. Les nourrir, c'est simplement de l'agrainage (mettre quelques denrées alimentaires pour attirer les sangliers les veilles de jour de chasse) alors qu'en réalité il les nourrissent de façon très régulière au fond de la forêt dans des zones bien stratégiques dans des citernes à grains. Certains promeneurs les voient.  Mon vieil oncle de 80 ans m'a montré une photo très ancienne, en noir et blanc où l'on voyait très clairement la citerne à grains. Si nous les humains n'étions pas obligés d'aller travailler ? Que ferions-nous? ne passerions-nous pas plus de temps sous la couette à copuler et se reproduire ? Et bien c'est ce que font  les sangliers. C'est plus facile de se nourrir donc ils ont le temps de se reproduire au lieu de chercher de la nourriture et du coup cela favorise effectivement des dégâts un peu partout dans les champs d'agriculteurs.  Cela dérègle les choses. La nature n'appartient pas aux chasseurs. Il faut arrêter cela parce que c'est du massacre gratuit.
    8 sur 100 Signatures
    Créée par Sandra S.
  • Pesticides à Pornic Agglo Pays de Retz : nous voulons la transparence !
     https://www.greenvoice.fr/assets/uploads/2025/11/CARTEG1.jpg  Source : https://www.geoportail.gouv.fr/carte 🌿 1. Protéger la santé de toutes et tous, ici et maintenant  Dans le village, des litres de produits chimiques (engrais, pesticides de synthèse) sont épandus autour de nos maisons, nos écoles et nos points d’eau. Ces substances ne s’arrêtent pas aux limites des champs : elles se diffusent dans l’air, l’eau, les poussières, les sols, notre alimentation et jusque dans nos corps.  L’étude PestiRiv de l’ANSES (publiée le 15 septembre 2025) confirme que les habitants et habitantes des zones agricoles respirent et ingèrent davantage de résidus de pesticides que les personnes en ville. Connaître les produits est un enjeu majeur et immédiat de santé publique, notamment pour les enfants, les femmes enceintes et les personnes vulnérables.  💧 2. Préserver l’eau et les sols pour les générations à venir  Les pesticides empoisonnent lentement et durablement les nappes phréatiques, les rivières, les océans, les nuages et les sols. Nous avons le droit de connaître les produits à risque pour mieux protéger la qualité de l’eau et éviter d’alourdir, dans l’avenir, les coûts déjà importants de santé et de la dépollution de l’eau (cf résultats scientifiques de Mickaël Derangeon de l’Université de Nantes). 🧭 3. Initier une démocratie agricole pour contribuer tous et toutes à la transition  L’agriculture ne peut plus être que l’affaire de quelques-uns. Les choix de cultures et de pratiques agricoles engagent tout le monde : notre santé, nos paysages, la biodiversité, notre eau, notre climat. La transparence sur les pesticides, c’est la première étape d’une démocratie agricole où l’ensemble des personnes habitant la commune peut contribuer à la transition agricole.   La décision du Tribunal administratif de Bordeaux du 1er juillet 2025, confirmant le droit d’accès aux registres d’épandage, ouvre cette voie : celle d’un pouvoir citoyen sur les choix agricoles.  NOTRE DEMANDE CONCRÈTE  Nous demandons à Madame Pascale Briand, Présidente de la communauté de communes « Pornic agglo pays de Retz » d’agir :  •     Obtenir les registres d’utilisation des pesticides de la commune et les rendre accessibles à l’ensemble des habitants et habitantes des quinze communes de la communauté de commune « Pornic agglo pays de Retz ») ;  •     Financer une expertise indépendante pour analyser les produits, leurs risques et leurs alternatives agronomiques ;  •     Organiser (avec les associations parties prenantes locales) des réunions publiques pour partager ces résultats avec les habitants et les habitantes des communes de la communauté de commune « Pornic agglo pays de Retz », riverain·es et exploitant·es agricoles notamment. Il n’y a aucune raison de garder ces usages secrets. Nous devons sortir du silence et du déni face aux risques de pollution. La tension entre la protection de la santé et les difficultés de la profession agricole implique de nouvelles formes de dialogue. C’est ensemble, habitant·es, agriculteur·rices, consommateur·rices et élu·es, que nous pouvons regarder la réalité en face et imaginer des solutions justes et durables pour l’avenir.  📣  Signez la pétition aujourd'hui pour défendre votre droit de savoir, et affirmez vos préoccupations pour notre santé à toutes et tous
    5 sur 100 Signatures
    Créée par Riverains Ensemble
  • Supercalculateur pour l'IA à Eybens : on arrête et on réfléchit
    DataOne consommera beaucoup d’électricité et produira beaucoup de chaleur. Le data center consommera aussi un volume d’eau non négligeable, nécessaire à son refroidissement. La métropole de Grenoble n’est pas épargnée par les vagues de chaleur et les restrictions d’eau en période de sécheresse. Il nous semble important de ne pas aggraver la situation. Par ailleurs, ce projet se situe dans le cadre d’un développement rapide et non concerté de l’intelligence artificielle. Les besoins en énergie et en matériaux du secteur numérique augmentent très fortement. La croissance actuelle de ce secteur a des impacts sociaux et environnementaux insoutenables [5]. Nos demandes : ·       Un moratoire sur le projet : pas d’extension de la puissance au-delà de 15 MW  ·       Des études d’impact sur le devenir de la chaleur et sur la consommation d’eau ·       Une réflexion sur l’aménagement du territoire par rapport aux besoins concurrents en électricité, au niveau des communes et de la métropole, voire du département, dans le cadre de la transition vers une économie sobre et bas carbone  ·       Les citoyen-ne-s doivent être informé-es et consulté-es  Organisations signataires : ADES, Alternatiba/ANVCOP21 Grenoble, Attac Isère, CGT Culture-Spectacle Isère, Extinction Rébellion Grenoble, FNE Isère, FSU Isère, Greenpeace Grenoble, Les Amis de la Terre Savoie, Les Écologistes Isère, Nos Voisins Lointains 3.11, NPA - L’Anticapitaliste Isère, Scientifiques en Rébellion Grenoble, Solidaires Isère, Sortir du Nucléaire Isère. DataOne développe un autre supercalculateur à Villefontaine, près de Lyon, contre lequel il existe aussi une pétition. Nous vous invitons à la signer : https://www.change.org/p/stop-au-projet-du-data-center-de-1gw-à-villefontaine Sources :  [1] https://c.ledauphine.com/economie/2025/02/11/ia-les-plus-grands-supercalculateurs-d-europe-vont-etre-iserois [2] https://www.lemonde.fr/economie/article/2025/06/01/data-centers-et-intelligence-artificielle-la-course-au-gigantisme_6609751_3234.html [3] https://www.ecoflow.com/fr/blog/1-mw-alimente-combien-de-foyers [4] https://www.edf.fr/groupe-edf/comprendre/production/nucleaire/nucleaire-en-chiffres [5] https://bonpote.com/intelligence-artificielle-le-vrai-cout-environnemental-de-la-course-a-lia/
    602 sur 800 Signatures
    Créée par Collectif d’organisations et de citoyens opposés aux giga-datacenters de DataOne
  • Stop au projet écocide de retenue collinaire en Capcir dans les Pyrénées-Orientales!
    Le 4 septembre 2025, le maire ainsi que les membres du conseil municipal des Angles ont décidé d'échanger plus de 6 hectares de terrains appartenant à l'état et situés entre le Roc d'Aude et le mont Llaret contre près de 34 hectares de forêts communales situées au dessus du lac de Balcere. L'objectif étant de permettre la construction d'une retenue colinéaire au sommet du Roc d'Aude. Une méga bassine de 3,5 hectares, un cratère pouvant stocker 110 000M3 d'eau et profond de 7 mètres, en plein cœur du parc naturel des Pyrénées Catalanes dont l'atteinte à l'environnement sera irréversible. Ce projet qui a été accepté par le Préfet, vise à sécuriser l'enneigement artificiel de la station de ski.  Il s'agit donc de servir certains intérêts privés au mépris de ceux du public,de la biodiversité et des écosystèmes: - De défigurer un des plus beaux paysages du Capcir,  - D'engendrer des travaux de terrassement démesurés et de modifier tout le système hydrique du roc d'aude,  - De menacer un site particulièrement favorable à la Perdix gris et au Grand Tétras qui sont des espèces sur la liste rouge de l'UICN et en déclin dans les Pyrénées,  Pour éviter la contestation sur la consommation d'eau, la commune prétends à un multi-usage mythique pour abreuver les bestiaux et assure l'alimentation en eau potable. Paradoxalement, en pleine période de sécheresse, l'industrie de gaspillage des canons à neige n'a pas été restreinte. L'eau est une ressource commune et précieuse. Il en va de même de notre patrimoine naturel Leur privatisation est inacceptable. Pour contester ce projet écocide , un front associatif c'est constitué au sein de la population du village et au-delà. Montrons que nous sommes nombreux à nous opposer . Nous avons besoin de vous ! Soutenez la préservation de nos écosystèmes et de leur équilibre dont notre avenir et celui des générations futures dépend !
    1 888 sur 2 000 Signatures
    Créée par Nathalie A.
  • STOP à l'agrandissement de la carrière Bonnardel - Côte du Pin - St Peray
    Nous habitants de la commune de St Peray avons été alerté par un projet d'extension de la carrière Bonnardel, située côte du Pin, par le biais du PLUIH dans lequel la carrière  vise l'acquisition de la parcelle 0118 à Saint Péray. Il y a environ 2 ans, la mairie de St Peray a autorisé l'entreprise Bonnardel à utiliser une partie de la  parcelle 0118 comme zone de sécurité. En effet, l'entreprise Bonnardel a exploité la parcelle 0117 sans prévoir de zone de sécurité obligatoire. De ce fait, la mairie de St Peray a accepté l'entreprise à utiliser une partie de la parcelle 0118 pour créer cette zone obligatoire.  Aujourd'hui, une partie de cette zone de sécurité a été exploité sans autorisation. Si la carrière s'étend sur cette parcelle, la maison de Mme Bert le Mezec est directement menacée, puisqu'à 50m des abords. Or, cette maison a déjà de nombreuses fissures liées selon toute probabilité aux activités de la carrière. Depuis 34 ans d'exploitation de cette carrière, plusieurs maisons ont montré des problèmes de fissures dues aux tirs de mines et des travaux sont toujours en cours aujourd'hui pour pallier à ce problème. Une expertise des maisons situées à proximité de la carrière a été effectué par un huissier en 1991, avant l'ouverture de la carrière. Il n'en reste aucune trace. Le constat d'huissier n'a pas été communiqué aux riverains.  Quand nous avons demandé à Mr Bonnardel cette expertise, en vue de demander réparation il nous a signifié que le document avait disparu. Nous n'avons pas été averties correctement des tirs de mines effectués très régulièrement comme l'oblige la règlementation. Nous constatons de nombreuses nuisances depuis des années, fissures sur les maisons, pollution sonore, poussière conséquente, etc.  Aucun test sur l'impact de la carrière sur nos habitations n'a été correctement menés auprès des riverains.  Enfin, les mesures de restauration de la carrière prévus dans les arrêtés préfectoraux sur les parties inexploitées ne semblent pas respectées : pas de plantations, de renaturation observées.  Nous attendons un soutien de la part des élus de Saint-Peray, de la CCRC et des communes riveraines à la carrière Bonnardel à savoir Toulaud - Champis - Alboussière. Habitants de St Peray et des communes environnantes, nous avons jusqu'au 14 novembre 2025 pour empêcher la parcelle 0118, zone agricole boisée de de devenir zone de carrière ! Nous devons agir maintenant en signant cette pétition en ligne et en positionnant auprès du commissaire enquêteur de l'enquête publique en cours! Enquête publique en cours, jusqu'au 14 novembre 2025 - 17h, dans les différentes mairies de la Communauté de Communes Rhone-Crussol ou en ligne pour récolter vos avis sur le changement de PLUIH qui concerne l'agrandissement de la carrière Bonnardel de St Peray. https://www.registre-dematerialise.fr/6546/deroulement Mme Bert le Mezec Quartier Combettes 430 Chemin de Fauterie 07130 St Peray [email protected]
    542 sur 600 Signatures
    Créée par Mireille B.
  • Grenoble : transports gratuits pour tous !
    Les travailleurs comme les étudiants qui contribuent à la croissance de notre ville ne devrait pas avoir à se soucier de l'impact de leurs trajets dans une ville qui se veut écologiste. La Mairie de Grenoble aurait tout à gagner à instaurer la gratuité des transports dans son agglomération : moins d'embouteillages, moins de pollution de l'air, des déplacements plus fluides et un espace plus sain pour les Grenoblois.
    36 sur 100 Signatures
    Créée par Eline M.
  • Pesticides à Lavaur : On veut la transparence !
    https://www.greenvoice.fr/assets/uploads/2025/10/lavaur.png 🌿 1. Protéger la santé de toutes et tous, ici et maintenant  Dans le village, des litres de produits chimiques (engrais, pesticides de synthèse) sont épandus autour de nos maisons, nos écoles et nos points d’eau. Ces substances ne s’arrêtent pas aux limites des champs : elles se diffusent dans l’air, l’eau, les sols, notre alimentation et jusque dans nos corps. L’étude PestiRiv de l’ANSES (publiée le 15 septembre 2025) confirme que les habitants et habitantes des zones agricoles respirent et ingèrent davantage de résidus de pesticides que les personnes en ville. Connaître les produits est un enjeu majeur et immédiat de santé publique, notamment pour les enfants, les femmes enceintes et les personnes vulnérables.  💧 2. Préserver l’eau et les sols pour les générations à venir  Les pesticides empoisonnent lentement et durablement les nappes phréatiques, les rivières, les océans, les nuages et les sols. Nous avons le droit de connaître les produits à risque pour mieux protéger la qualité de l’eau et éviter d’alourdir, dans l’avenir, les coûts déjà importants de santé et de la dépollution de l’eau (cf résultats des scientifiques : ex Mickaël Derangeon).  🧭 3. Initier une démocratie agricole pour contribuer tous et toutes à la transition  L’agriculture ne peut plus être que l’affaire de quelques-uns. Les choix de cultures et de pratiques agricoles engagent tout le monde : notre santé, nos paysages, la biodiversité, notre eau, notre climat. La transparence sur les pesticides, c’est la première étape d’une démocratie agricole où l’ensemble des personnes habitant la commune peut contribuer à la transition agricole.   La décision du Tribunal administratif de Bordeaux du 1er juillet 2025, confirmant le droit d’accès aux registres d’épandage, ouvre cette voie : celle d’un pouvoir citoyen sur les choix agricoles.  NOTRE DEMANDE CONCRETE  Nous demandons à Monsieur le Maire d’agir :  • Solliciter officiellement la DRAAF pour obtenir les registres d’utilisation des pesticides de la commune (et en informer l’ensemble des habitants et habitantes dans le bulletin municipal) ;  • Financer une expertise indépendante pour analyser les produits, leurs risques et leurs alternatives agronomiques ;  • Organiser (avec les associations parties prenantes locales) une assemblée du village, réunion publique pour partager ces résultats avec les habitants et les habitantes de la commune, riverain·es et exploitant·es agricoles notamment  Il n’y a aucune raison de garder ces usages secrets. Nous devons sortir du silence et du déni face aux risques de pollution. La tension entre la protection de la santé et les difficultés de la profession agricole implique de nouvelles formes de dialogue. C’est ensemble, habitant·es, agriculteur·rices, consommateur·rices et élu·es, que nous pouvons regarder la réalité en face et imaginer des solutions justes et durables pour l’avenir.  📣  Signez la pétition aujourd'hui pour défendre votre droit de savoir, et affirmez vos préoccupations pour notre santé à toutes et tous
    5 sur 100 Signatures
    Créée par Riverains Ensemble
  • SHEOUT: Non à l’implantation de Shein à Grenoble
    Nous, citoyens et jeunes engagés de Grenoble, refusons de voir Shein s’implanter dans nos Galeries. Grenoble est une ville pionnière de la transition écologique, souvent citée comme exemple en France et en Europe pour son engagement envers le climat. L’arrivée de Shein ici serait une énorme contradiction avec ces valeurs : comment parler d’écologie tout en accueillant un géant de la fast fashion, symbole mondial de la surconsommation ? Shein, c’est plus de 8,52 millions de tonnes de CO₂ émises rien qu’en transport de marchandises en 2024. C’est une marque qui met sur le marché jusqu’à 10 000 nouveaux articles par jour, produits à bas coût dans des conditions souvent opaques et dénoncées à plusieurs reprises pour non-respect des droits humains. L’industrie textile représente aujourd’hui près de 10 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre, soit plus que l’aviation et le maritime réunis . Et chaque seconde, dans le monde, l’équivalent d’un camion de textile est brûlé ou enfoui. Nous vivons dans une époque où chaque geste compte : trier ses déchets, limiter le plastique, consommer local. Alors, voir une marque comme Shein s’installer à Grenoble, c’est un pas en arrière énorme. Ce n’est pas juste une question de mode, c’est une question de cohérence écologique et sociale. Nous voulons protéger notre planète, soutenir nos commerçants locaux, et encourager une mode plus responsable, basée sur la qualité, la durabilité et le respect. Plutôt que d’accueillir une multinationale polluante, soutenons nos commerçants locaux, ceux qui font vivre nos rues et défendent une consommation plus humaine et durable. En tant que jeunes citoyens, nous voulons que Grenoble reste fidèle à ses engagements climatiques. Nous voulons montrer qu’une autre consommation est possible, et que les habitants ont leur mot à dire sur le futur de leur ville. Ensemble, disons non à l’implantation de Shein, et oui à une mode éthique et durable à Grenoble.
    699 sur 800 Signatures
    Créée par Yamina A.