• Pesticides à Grand Lieu Communauté : nous voulons veut la transparence !
    🌿 1. Protéger la santé de toutes et tous, ici et maintenant  Dans le village, des litres de produits chimiques (engrais, pesticides de synthèse) sont épandus autour de nos maisons, nos écoles et nos points d’eau. Ces substances ne s’arrêtent pas aux limites des champs : elles se diffusent dans l’air, l’eau, les poussières, les sols, notre alimentation et jusque dans nos corps. 🌿 2. Réduire de manière drastique les expositions aux polluants chimiques dans l’air L’étude PestiRiv de l’ANSES (publiée le 15 septembre 2025) confirme que les habitants et habitantes des zones agricoles respirent et ingèrent davantage de résidus de pesticides que les personnes en ville. Connaître les produits est un enjeu majeur et immédiat de santé publique, notamment pour les enfants, les femmes enceintes et les personnes vulnérables.   💧 3. Préserver l’eau et les sols pour les générations à venir  Les pesticides empoisonnent lentement et durablement les nappes phréatiques, les rivières, les océans, les nuages et les sols. Nous avons le droit de connaître les produits à risque pour mieux protéger la qualité de l’eau et éviter d’alourdir, dans l’avenir, les coûts déjà importants de santé et de la dépollution de l’eau (cf résultats scientifiques de Mickaël Derangeon de l’Université de Nantes). 🧭 4. Initier une démocratie agricole pour contribuer tous et toutes à la transition  L’agriculture ne peut plus être que l’affaire de quelques-uns. Les choix de cultures et de pratiques agricoles engagent tout le monde : notre santé, nos paysages, la biodiversité, notre eau, notre climat. La transparence sur les pesticides, c’est la première étape d’une démocratie agricole où l’ensemble des personnes habitant la commune peut contribuer à la transition agricole.  La décision du Tribunal administratif de Bordeaux du 1er juillet 2025, confirmant le droit d’accès aux registres d’épandage, ouvre cette voie : celle d’un pouvoir citoyen sur les choix agricoles.  NOTRE DEMANDE CONCRÈTE  Nous demandons à M. Johann Boblin, président de Grand Lieu Communauté   d’agir :  • Obtenir les registres d’utilisation des pesticides de la commune et les rendre accessibles aux habitants et habitantes des neuf communes de la communauté de commune « Grand Lieu » ) ;  • Financer une expertise indépendante pour analyser les produits, leurs risques et leurs alternatives agronomiques ;  • Organiser (avec les associations parties prenantes locales) des réunions publiques pour partager ces résultats avec les habitants et les habitantes des communes de la communauté de commune « Grand Lieu », riverain·es et exploitant·es agricoles notamment.  Il n’y a aucune raison de garder ces usages secrets. Nous devons sortir du silence et du déni face aux risques de pollution. La tension entre la protection de la santé et les difficultés de la profession agricole implique de nouvelles formes de dialogue. C’est ensemble, habitant·es, agriculteur·rices, consommateur·rices et élu·es, que nous pouvons regarder la réalité en face et imaginer des solutions justes et durables pour l’avenir.  📣  Signez la pétition aujourd'hui pour défendre votre droit de savoir, et affirmez vos préoccupations pour notre santé à toutes et tous Source : https://www.geoportail.gouv.fr/carte Le site de Géoportail permet de visualiser le type de cultures qui nous entoure. 
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    Créée par Riverains Ensemble
  • Ligne X75 Annonay-Lyon : pour une concertation préalable à toutes modifications.
    Nous sommes usagers et usagères de la ligne X75 Annonay-Lyon. Nous avons appris qu'à compter du 14 décembre la gare de Lyon Perrache ne serait plus desservie par les cars directs aussi bien à l'aller que pour les retours. À partir de cette même date, un arrêt supplémentaire aurait lieu à Venissieux (gare routière) pour permettre de rejoindre le métro. Pendant un certain temps les cars directs continueraient à desservir la gare de Lyon Part-Dieu mais à terme ils s'arrêteraient au terminus de Gerland en cours d'achèvement (janvier 2026). Ces modifications sont faites sans information large et préalable de toutes les personnes qui empruntent les cars directs. Elles ont des conséquences importantes sur l'organisation des déplacements notamment ceux liés au travail. Elles entrainent non seulement un allongement des temps de trajet et de correspondance (avec tous les aléas qui en découlent), mais également des coûts supplémentaires. Ces modifications risquent d'entrainer un usage plus important de la voiture individuelle pour rejoindre la gare de Péage de Roussillon, où les stationnement sont déjà insuffisants. Aucune collectivité locale (Agglos, Région,…) n'a informé ni associé les usagers et usagères de ces transformations conséquentes qui doivent s'intégrer dans un plan global de mobilité inter-urbaine.
    146 sur 200 Signatures
    Créée par Alternatiba Annonay _.
  • NON à l’installation d’une antenne relais à l’entrée de Néoules
    Les maires de La Roquebrussanne et de Néoules ont exprimé leur opposition à ce projet. La commune de La Roquebrussanne a engagé un recours juridique, malheureusement rejeté en première instance. Elle a aujourd’hui fait appel de cette décision.  Nous, habitants de Néoules et des environs, exprimons également notre ferme opposition à ce projet : • Nous refusons l’installation d’une structure dont l’impact sur notre cadre de vie est trop important au regard de l’utilité annoncée. • Nous dénonçons les nuisances potentielles et affirmons notre solidarité avec les riverains les plus proches, susceptibles d’en subir les conséquences sanitaires, psychologiques et économiques. • Nous rejetons un projet qui défigurera l’entrée d’un village provençal typique et portera atteinte à la valeur paysagère, patrimoniale et touristique du site. • À l’heure où la couverture internet par satellite se développe, et alors que la fibre est désormais déployée sur notre territoire, nous estimons qu’il existe des alternatives bien plus adaptées qu’une antenne de 30 mètres aux impacts aussi lourds. Même si ce type d’installation a pour l’instant obtenu un aval juridique, cela ne peut en aucun cas légitimer l’implantation d’une antenne de 30 mètres – équivalente à un immeuble de 10 étages – dans un paysage aussi préservé. En signant cette pétition, vous demandez l’abandon pur et simple de ce projet.
    411 sur 500 Signatures
    Créée par Claire S.
  • Pesticides à Corzé : nous voulons la transparence !
    🌿 1. Protéger la santé de toutes et tous, ici et maintenant  Dans le village, des litres de produits chimiques (engrais, pesticides de synthèse) sont épandus autour de nos maisons, nos écoles et nos points d’eau. Ces substances ne s’arrêtent pas aux limites des champs : elles se diffusent dans l’air, l’eau, les poussières, les sols, notre alimentation et jusque dans nos corps.  🌿 2. Réduire de manière drastique les expositions aux polluants chimiques dans l’air L’étude PestiRiv de l’ANSES (publiée le 15 septembre 2025) confirme que les habitants et habitantes des zones agricoles respirent et ingèrent davantage de résidus de pesticides que les personnes en ville. Connaître les produits est un enjeu majeur et immédiat de santé publique, notamment pour les enfants, les femmes enceintes et les personnes vulnérables.  💧 3. Préserver l’eau et les sols pour les générations à venir  Les pesticides empoisonnent lentement et durablement les nappes phréatiques, les rivières, les océans, les nuages et les sols. Nous avons le droit de connaître les produits à risque pour mieux protéger la qualité de l’eau et éviter d’alourdir, dans l’avenir, les coûts déjà importants de santé et de la dépollution de l’eau (cf résultats scientifiques de Mickaël Derangeon de l’Université de Nantes).  🧭 4. Initier une démocratie agricole pour contribuer tous et toutes à la transition  L’agriculture ne peut plus être que l’affaire de quelques-uns. Les choix de cultures et de pratiques agricoles engagent tout le monde : notre santé, nos paysages, la biodiversité, notre eau, notre climat. La transparence sur les pesticides, c’est la première étape d’une démocratie agricole où l’ensemble des personnes habitant la commune peut contribuer à la transition agricole.  La décision du Tribunal administratif de Bordeaux du 1er juillet 2025, confirmant le droit d’accès aux registres d’épandage, ouvre cette voie : celle d’un pouvoir citoyen sur les choix agricoles.  NOTRE DEMANDE CONCRÈTE  Nous demandons à Monsieur le Maire d’agir :  • Obtenir les registres d’utilisation des pesticides de la commune (et en informer l’ensemble des habitants et habitantes dans le bulletin municipal) ;  • Financer une expertise indépendante pour analyser les produits, leurs risques et leurs alternatives agronomiques ;  • Organiser (avec les associations parties prenantes locales) une réunion publique pour partager ces résultats avec les habitants et les habitantes de la commune, riverain·es et exploitant·es agricoles notamment.  Il n’y a aucune raison de garder ces usages secrets. Nous devons sortir du silence et du déni face aux risques de pollution. La tension entre la protection de la santé et les difficultés de la profession agricole implique de nouvelles formes de dialogue. C’est ensemble, habitant·es, agriculteur·rices, consommateur·rices et élu·es, que nous pouvons regarder la réalité en face et imaginer des solutions justes et durables pour l’avenir.  📣  Signez la pétition aujourd'hui pour défendre votre droit de savoir, et affirmez vos préoccupations pour notre santé à toutes et tous.  https://www.greenvoice.fr/assets/uploads/2025/11/carto-Corze.jpg https://solagro.org/nos-domaines-d-intervention/agroecologie/carte-pesticides-adonis L'indice se rapporte aux seules surfaces agricoles de la commune, quelle que soit la part de la surface agricole du territoire communal. L'Indicateur de Fréquence de Traitement (IFT) correspond au nombre de doses de produits phytosanitaires appliquées par hectare pendant une campagne culturale. L'IFT communal correspond à la moyenne des IFT  par culture. L'IFT total (hors biocontrôle) concerne tous les types de produits de synthèse (herbicides, insecticides, fongicides, traitements de semences, autres).
    5 sur 100 Signatures
    Créée par Riverains Ensemble
  • Un îlot de fraicheur, pas un parking : dites non!
    A l'heure du changement climatique il important d'agir pour notre cadre de vie, nous sommes un collectif citoyen conscient des ces effets.  Dans notre ville la voiture a pris largement sa place sur le domaine publique au dépend des habitant.es. Il est recommandé pour notre santé mental et physique de préserver des espaces verts dans la ville ou d'en créer pour nous faire de l ombrage en période de canicule. Compte tenu de la localisation de ce parking à coté d'espace pour enfant, de l' école Raymond Logeais, de la circulation aux abords de l école, Il est incohérent d' y construire un parking de 10 places mais plutôt d'y planter des arbres. Monsieur le Maire, cette décision va à l’encontre des intérêts des habitants du quartier Raymond Logeais. Signez la pétition avant le 15 décembre les travaux pouvant commencer rapidement.
    10 sur 100 Signatures
    Créée par Josiane A. Picture
  • MOBILISONS-NOUS CONTRE LE PROJET D’USINE 
DE MÉTHANISATION DE BOZOULS, QUI RESTE AUTORISÉ
    Les impacts de ce projet : – Trafic important pour l'alimentation de l'usine et l'évacuation des digestats, – Plan d’épandage des digestats prévu sur 25 communes et près de 2000 hectares, – Aménagement d’une route d’accès de plus de 500 mètres, à la charge des collectivités, avec destruction de haies arborées, – Nuisances et pollutions par rejets dans l’air, le sol et l’eau,  – Concurrence avec l’agriculture pastorale traditionnelle et nourricière, sont inadaptés aux enjeux et à la sensibilité de notre territoire :  – Sol calcaire et fragilité de la ressource en eau souterraine du causse Comtal, – Sensibilité de l’environnement et du paysage,  – Proximité des habitations et du village de Bozouls, – Vocation touristique et de loisirs,  – Voie Verte Bertholène/Espalion traversée par des dizaines de camions tous les jours. En conséquence, nous association Bozouls Comtal Citoyens et les citoyens pétitionnaires, demandons à Monsieur le Maire de Bozouls, à Monsieur le Président de la Communauté de Communes Comtal Lot Truyère et à Mesdames et Messieurs les candidats aux élections municipales 2026 de s’engager à empêcher la réalisation de ce projet d’usine de méthanisation à Bozouls et à n’accorder aucun nouveau financement direct ou indirect à ce projet.
    32 sur 100 Signatures
    Créée par Bozouls Comtal Citoyens .. Picture
  • Non au pillage de l’eau en Poitou-Charentes !
    La coopérative d’irrigants Cogest’eau (départements 16, 17, 79, 86, 87) vient de déposer une demande de prélèvements d’eau à usage d’irrigation (AUP) pour les 15 ans à venir. Elle réclame un volume annuel de 52 Mm³, deux fois supérieur à la consommation moyenne actuelle et incompatible avec la ressource en eau de notre territoire. Une demande similaire, faite en 2017 avait été jugée illégale par les tribunaux. L’enquête publique trop courte : un mois, terminée le 24 novembre 2025, n’a pas permis à tout un chacun de prendre connaissance de la totalité des documents et de s’exprimer. Carte du territoire concerné : Périmètres élémentaires de l'OUGC Cogest'Eau Lien vers le dossier de la demande d’AUP :  https://www.projets-environnement.gouv.fr/page/fiche/?q=recordsid:202525476529 Lien vers un article (nécessite un abonnement) : https://www.mediapart.fr/journal/ecologie/151125/malgre-le-manque-d-eau-des-agriculteurs-veulent-contourner-des-arretes-secheresse Pourquoi agir maintenant ?  Le Préfet pourrait prendre, avec ses collègues des départements voisins, un Arrêté Préfectoral qui autoriserait ces prélèvements excessifs. Aidez-nous à bloquer ce projet d’AUP ! Qui sommes-nous ?  Le collectif Bassines Non Merci Aume-Couture est né en 2021 pour empêcher la création de 9 bassines supplémentaires sur un territoire qui en compte déjà 14. Ce territoire a été fortement impacté par les remembrements et la spécialisation céréalière, entraînant la destruction des haies, l’assèchement des zones humides, la rectification des cours d’eau et d’importants travaux de drainage. Toujours convaincus de l’injustice criante et de l’imbécilité écologique du système « bassines », il nous semble aujourd’hui urgent d’agir à la source ! C’est en tournant le dos au modèle agricole intensif et chimique, exigeant une irrigation disproportionnée et non ciblée, que l’espoir renait pour : • Une eau potable de qualité. • Une biodiversité solide et bienfaisante. • Des fermes nombreuses tenues pas des paysannes et des paysans bien rémunérés. • La réintroduction des systèmes polyculture-élevage. Lien court de cette pétition à communiquer : https://link.infini.fr/3nUtPGtC
    186 sur 200 Signatures
    Créée par Agnès B.
  • Un combat nommé DEZiR
    RéPIE est constituée d’un collectif d’Association qui luttent pour l’environnement, pour une justice sociale et écologique.  RéPIE est opposé à l’installation de Verso Energy et à son projet indésirable financé en grande partie par des subventions publiques pour fabriquer un "carburant vert" destiné à doubler le trafic aérien d'ici 2050.  DEZiR pour Décarbonation en Seine-Eure et sur la Zone industrielle de Rouen, est un  projet irresponsable qui vient perpétuer un modèle délétère et écocidaire, celui du dogme de la croissance, de la surconsommation et du tourisme de masse.  Nos organisations et associations combattent le trafic aérien qui représente plus de 4% des émissions de dioxyde de carbone, est responsable du tourisme de masse et conséquemment de la pression énorme sur les ressources locales et les sites naturels. Nous combattons le trafic aérien qui est non seulement le mode de transport le plus polluant mais également profondément injuste. Seule une minorité de riches peut prendre l’avion alors que ce sont surtout ceux qui ne le prennent pas qui subissent les conséquences du tourisme de masse et du réchauffement climatique. Nous sommes opposées à un projet qui légitimera l’énergie nucléaire, et donc l’EPR2, tant sa consommation énergétique est énorme puisque équivalente à la consommation de toute la ville de Rouen ! Et enfin, dernière raison et pas la moindre, nous alertons sur les dessous d'un projet qui installera sur notre territoire l’extrême droite et ses ramifications financières. Xavier CAITUCOLI, président de Verso Energy, comptent parmi les soutiens d’Eric Zemmour et a financé sa campagne." Pour toutes ces raisons, nous exigeons que le projet d’installation de l’usine à gaz de Verso Energy soit abandonné. 
    28 sur 100 Signatures
    Créée par Laura T.
  • NON à l'installation de SHEIN à GRENOBLE, et partout en France !
    SHEIN c’est l’exploitation humaine : travail forcé des Ouïghours, travail d’enfants et d’ouvrier·es jusqu’à 18 h par jour.  SHEIN c’est la mise en ligne de 10 000 nouveaux vêtements par jour, dont 85 % finissent à la décharge. Des tee-shirts, pantalons et pulls portés en moyenne 7 fois. Shein, c’est la mode jetable.  🏭 SHEIN et l’ultra fast fashion c’est de la pollution massive, avec 45 millions de tonnes de CO₂/an, soit l’ensemble des émissions d’un pays comme le Portugal. ☢️ SHEIN c’est des matières de très mauvaise qualité : du polyester, du nylon, de l’acrylique qui sont dérivés de pétrole. Impossible de les recycler, nocifs pour notre santé, ces matières rejettent des microplastiques à chaque lavage. On y retrouve des produits non contrôlés avec des substances toxiques interdites en Union Européenne, qui finissent pourtant par arriver chez le consommateur. Nous refusons de faire porter cette responsabilité sur celles et ceux qui, faut de moyens et de temps, consomment de la fast fashion. Les responsables ne sont pas celles et ceux qui subissent la précarité mais le BHV, SHEIN et tous les autres qui profitent de ce modèle destructeur. DES ALTERNATIVES EXISTENT ! Nous encourageons chacune et chacun à se tourner vers des alternatives éthiques : magasins de seconde main, friperies associatives, créateur.ices et artisan.es locaux… Ces options sont nombreuses à Grenoble et pour la plupart accessibles à petits prix.  Pour toutes ces raisons, nous demandons à Olivier Klein, directeur du BHV GRENOBLE, ainsi qu'à Frédéric Merlin, président de la Société des Grands Magasins, d'annuler l'installation de SHEIN au BHV Grenoble (ex-Galeries Lafayettes). Les Grenoblois et Grenobloises méritent mieux, et de multiples alternatives existent ! Premiers signataires :  - Alternatiba Grenoble  - ATTAC Isère - Coordination Étudiante Grenoble - Extinction Rébellion Grenoble  - Jeunes Écolos Grenoble  - Jeunes Communistes Isère  - Jeunes de l’Après Isère  - Jeunes Socialistes Isère  - Jeunes Génération.S Isère  - OURSE - Sciences Po Grenoble - Résistance à l'Agression Publicitaire Grenoble
    8 503 sur 9 000 Signatures
    Créée par Collectif citoyen contre SHEIN
  • La sécurité, le calme, la salubrité ne sont pas des options !
     M. le maire et membres du conseil de la commune d’ANOULD,  Mme la maire et membres du conseil de la commune de SAINT LEONARD.  La sécurité, le calme, la salubrité ne sont pas des options !  Nous, habitants et riverains de la rue du Vagodel pour la commune de Saint Léonard, de la rue Pierre et Germaine Crevisier pour la commune d’Anould et des rues attenantes sans exhaustivité (rue du 9 novembre 1944, rue René Coty, rue Val de Meurthe, rue Pasteur) subissons les nuisances dues à l’importante circulation de ces voies, lesquelles servent régulièrement d’« itinéraire bis » de la route départementale lors des départs/retours de week-end, de travaux. En semaine, la circulation y est continue tout au long de la journée et plus encore lors des transits aux heures de pointe. C’est également le moyen d’accès privilégié à la déchetterie (rues qu’il faudrait rebaptiser « rue des remorques »?).   Ces nuisances ne font qu’augmenter depuis des années avec pour conséquences :   - vitesse excessive d’un nombre important de véhicules, accidents,   - nuisances sonores : outre le bruit motorisé, revêtement initialement de mauvaise qualité et en mauvais état de la route pour la partie sur la commune d’Anould (bruits de roulement), cahots des remorques des véhicules se rendant à la déchetterie,   - pollution des bas côtés, fossés et donc pollution de la Meurthe : jets de détritus par les fenêtres des véhicules, « perte » d’éléments de chargement des remorques lesquelles sont le plus souvent dépourvues de sangles ou bâches (sécurité!).  Pour la commune d’Anould, alors que notre rue est laissée totalement à l’abandon, le maire restant sourd aux interpellations, les efforts semblent curieusement se concentrer sur la rue Charlie Chaplin située de l’autre côté de la RD415 (article Vosges Matin du 02/10/25 lien ci-dessous) :  https://www.vosgesmatin.fr/faits-divers-justice/2025/10/02/anould-des-exces-de-vitesse-persistent-dans-la-rue-charlie-chaplin-utilisee-comme-raccourci) et cela est fait aux dépends des rues Crevisier/Vagodel en créant un report de la circulation.  Citation de l’article publié :  « Pour rejoindre Gérardmer depuis Saint-Dié, plusieurs automobilistes empruntent la rue Charlie-Chaplin afin d’éviter la RD 415. Des solutions ont été mises en place pour réduire la circulation sur cet axe (note : pose d’un panneau circulation interdite sauf desserte locale dans le sens Anould/St Dié, limitation vitesse 30km/h sur toute la longueur de la rue). Des excès de vitesse sont encore constatés. La mairie pourrait prendre une solution radicale.  La RD 415 fait partie des axes les plus fréquentés du département des Vosges. À Anould, lorsque celle-ci était embouteillée, de nombreux automobilistes, parfois encouragés par leur GPS, empruntaient la rue Charlie-Chaplin, sorte de « RD 415-bis » longue de 2,5 km environ, ce qui leur permettait de rejoindre Gérardmer depuis Saint-Dié (et inversement).  Une circulation devenue infernale pour... »  Visiblement ce qui prévaut d’un coté de la RD415 ne s’applique pas à l’autre côté !   Signataires de cette pétition, nous aimerions retrouver la quiétude. Aussi nous demandons aux édiles des deux communes de se concerter, de prendre des dispositions immédiates, efficaces et pérennes pour remédier à l’ensemble des faits décrits ci-dessus et de nous en tenir informés. 
    26 sur 100 Signatures
    Créée par Pascal W.
  • Pesticides dans la Communauté de Communes Sud Retz Atlantique : nous voulons la transparence !
    🌿 1. Protéger la santé de toutes et tous, ici et maintenant  Dans le village, des litres de produits chimiques (engrais, pesticides de synthèse) sont épandus autour de nos maisons, nos écoles et nos points d’eau. Ces substances ne s’arrêtent pas aux limites des champs : elles se diffusent dans l’air, l’eau, les poussières, les sols, notre alimentation et jusque dans nos corps. 🌿 2. Réduire de manière drastique les expositions aux polluants chimiques dans l’air L’étude PestiRiv de l’ANSES (publiée le 15 septembre 2025) confirme que les habitants et habitantes des zones agricoles respirent et ingèrent davantage de résidus de pesticides que les personnes en ville. Connaître les produits est un enjeu majeur et immédiat de santé publique, notamment pour les enfants, les femmes enceintes et les personnes vulnérables.   💧 3. Préserver l’eau et les sols pour les générations à venir  Les pesticides empoisonnent lentement et durablement les nappes phréatiques, les rivières, les océans, les nuages et les sols. Nous avons le droit de connaître les produits à risque pour mieux protéger la qualité de l’eau et éviter d’alourdir, dans l’avenir, les coûts déjà importants de santé et de la dépollution de l’eau (cf résultats scientifiques de Mickaël Derangeon de l’Université de Nantes). 🧭 4. Initier une démocratie agricole pour contribuer tous et toutes à la transition  L’agriculture ne peut plus être que l’affaire de quelques-uns. Les choix de cultures et de pratiques agricoles engagent tout le monde : notre santé, nos paysages, la biodiversité, notre eau, notre climat. La transparence sur les pesticides, c’est la première étape d’une démocratie agricole où l’ensemble des personnes habitant la commune peut contribuer à la transition agricole.  La décision du Tribunal administratif de Bordeaux du 1er juillet 2025, confirmant le droit d’accès aux registres d’épandage, ouvre cette voie : celle d’un pouvoir citoyen sur les choix agricoles.  NOTRE DEMANDE CONCRÈTE  Nous demandons à Monsieur Laurent Robin, Président de la communauté de communes « Sud Retz Atlantique » d’agir :  • Obtenir les registres d’utilisation des pesticides de la commune et les rendre accessibles aux habitants et habitantes des huit communes de la communauté de commune « Sud Retz Atlantique » ) ;  • Financer une expertise indépendante pour analyser les produits, leurs risques et leurs alternatives agronomiques ;  • Organiser (avec les associations parties prenantes locales) des réunions publiques pour partager ces résultats avec les habitants et les habitantes des communes de la communauté de commune « Sud Retz Atlantique », riverain·es et exploitant·es agricoles notamment.  Il n’y a aucune raison de garder ces usages secrets. Nous devons sortir du silence et du déni face aux risques de pollution. La tension entre la protection de la santé et les difficultés de la profession agricole implique de nouvelles formes de dialogue. C’est ensemble, habitant·es, agriculteur·rices, consommateur·rices et élu·es, que nous pouvons regarder la réalité en face et imaginer des solutions justes et durables pour l’avenir.  📣  Signez la pétition aujourd'hui pour défendre votre droit de savoir, et affirmez vos préoccupations pour notre santé à toutes et tous  https://www.greenvoice.fr/assets/uploads/2025/11/SUD-RETZ-AGGLO.jpg Source : https://www.geoportail.gouv.fr/carte Le site de Géoportail permet de visualiser le type de cultures qui nous entoure.
    11 sur 100 Signatures
    Créée par Riverains Ensemble
  • Stop au nourrissage des sangliers pour ensuite les massacrer chez eux!
    Depuis des lustres les chasseurs nourrissent les sangliers dans les bois et les forêts à l'aide de distributeurs de grains. Pourquoi font ils ça?  me direz-vous... Ça permet de regrouper les animaux tous au même endroit de façon régulière et de faciliter leur chasse et de les abattre ensuite sans trop se fatiguer à devoir les poursuivre sur des kilomètres. Certains agriculteurs ont manifesté leur mécontentement par rapport au nourrissage du gros gibier lors des manifestations contre le Mercosur car le nourrissage augmente leur nombre et cela provoque forcément des dégâts dans les champs des agriculteurs. C'est cette raison qui me pousse à parler de ce sujet qui me pèse. Chaque dimanche où une battue est annoncée (comme aujourd'hui) j'ai le coeur gros et je me sens mal de ne rien pouvoir faire pour empêcher ce jeu macabre.  Pour les chasseurs, c'est un sport, ils aiment la nature et régulent la population. Les nourrir, c'est simplement de l'agrainage (mettre quelques denrées alimentaires pour attirer les sangliers les veilles de jour de chasse) alors qu'en réalité il les nourrissent de façon très régulière au fond de la forêt dans des zones bien stratégiques dans des citernes à grains. Certains promeneurs les voient.  Mon vieil oncle de 80 ans m'a montré une photo très ancienne, en noir et blanc où l'on voyait très clairement la citerne à grains. Si nous les humains n'étions pas obligés d'aller travailler ? Que ferions-nous? ne passerions-nous pas plus de temps sous la couette à copuler et se reproduire ? Et bien c'est ce que font  les sangliers. C'est plus facile de se nourrir donc ils ont le temps de se reproduire au lieu de chercher de la nourriture et du coup cela favorise effectivement des dégâts un peu partout dans les champs d'agriculteurs.  Cela dérègle les choses. La nature n'appartient pas aux chasseurs. Il faut arrêter cela parce que c'est du massacre gratuit.
    32 sur 100 Signatures
    Créée par Sandra S.