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De la sécurité pour les cyclistes à Villard-Bonnot!Actuellement, il est extrêmement dangereux de se déplacer à vélo ou à trottinette dans Villard-Bonnot: -l'axe principal (RD 523) est très étroit -il comporte latéralement des places de stationnement pour automobile, mais aucune piste cyclable dans les endroits les plus dangereux -le trafic y est souvent très dense, avec des semi-remorques, des tracteurs, des cars, et un effet de saturation le matin aux heures des écoles -la visibilité y est mauvaise avec des pentes et des virages. Or la commune ne respecte pas la loi en matière d'aménagement pour les cyclistes: -cet axe a été rebitumé l'été 2024, en traçant au sol des places de stationnement pour automobiles mais aucune piste cyclable, -alors qu'il est obligatoire de prévoir des aménagements cyclables à chaque rénovation d’axe routier en agglomération, selon l’article L228-2 du Code de l’Environnement, issu de la Loi sur l’Air et l’Utilisation Rationnelle de l’Energie (LAURE) de 1996, puis mis à jour et précisé par la Loi d’Orientation des Mobilités (LOM) en 2019). Nous, cyclistes habitant Villard-Bonnot, usagers de modes doux (vélos, trottinettes...) circulant sur l'axe RD 523 au sein de Villard-Bonnot, exigeons que la commune respecte la loi grâce à la mise en place par la mairie de deux pistes cyclables latérales, afin de pouvoir circuler en sécurité sur cet axe. L'espace nécessaire pour ce faire sera à prendre sur l'espace de stationnement réservé actuellement aux automobiles, en créant des aires de stationnement à la périphérie de la commune comme le font les communes de Provence, des Alpes-Maritimes, ou de Corse, dont les ruelles en escaliers ne permettent factuellement pas aux automobiles d'y circuler.21 sur 100 SignaturesCréée par Jean P.
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POUR UNE PISTE CYCLABLE SECURISEE DE GONDECOURT A NOYELLES EN PASSANT PAR HOUPLIN-ANCOISNEDepuis plusieurs années l’association environnementale Ahvenir milite pour cette piste cyclable. Ses demandes sont restées sans réponse, de la MEL d’une part, des conseillers départementaux du canton d’autre part. En effet cet axe est partagé entre le département du Nord et la Métropole Européenne de Lille et c'est pour cela que nous interpelons ces deux collectivités. Pourquoi cette demande ? L’usage du vélo se développe ces dernières années et c’est heureux. C’est bon pour la santé, la planète et le portemonnaie. C’est aussi utile dans la région lilloise, très embouteillée matin et soir, en permettant de réduire le nombre des véhicules. Et l’axe, constitué par les D147 à Gondecourt, rues Lebas et Lampin à Houplin-Ancoisne, rue d’Houplin à Noyelles, est particulièrement concerné par cette circulation qui met en danger cyclistes et piétons pour lesquels n’existent aucun aménagement routier. Dans ces différentes villes les personnes utilisant le vélo pour aller travailler, en particulier vers Lille et sa banlieue, sont de plus en plus nombreux. Nombreux aussi sont les collégiens et lycéens qui souhaiteraient se rendre d’Houplin-Ancoisne à Gondecourt pour rejoindre leur établissement scolaire et qui y renoncent compte-tenu du danger constitué par la circulation automobile sur une route étroite et sinueuse. Nous demandons donc que les deux collectivités se mettent d’accord pour constituer une vraie piste cyclable bidirectionnelle sur cet axe. Cette pétition, initiée par l’association environnementale Ahvenir, est soutenue par de nombreux citoyens. Elle est adressée aux présidents du département du Nord et de la Métropole Européenne de Lille. Nous comptons donc sur vous, messieurs les présidents, pour faire avancer cette demande de piste cyclable.318 sur 400 SignaturesCréée par Ahvenir
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Sauvons le jardin pédagogique de l’école RobespierreAvec la construction de l'écoquartier de l'Arsenal toujours en cours à Rueil-Malmaison (2300 logements à terme en 2027), le plus gros groupe scolaire du 92 , le groupe scolaire ROBESPIERRE ne suffit plus à absorber l'énorme afflux de population qui ne cesse d'augmenter. Malgré un programme complet de refonte programmé et réalisé de ce groupe scolaire et des écoles des environs dans ce quartier du Mont-Valérien, le groupe scolaire craque encore ! En attendant la construction d'une nouvelle école dont l'ouverture est prévue pour la rentrée 2030, le centre de loisirs maternel doit à la rentrée 2025, quitter des locaux tout neufs pour être provisoirement transféré dans des anciens locaux municipaux vétustes à rénover et adapter. Mais cela ne suffit pas ! La ville prévoit de supprimer le jardin pédagogique et le potager de l’école élémentaire Robespierre B pour y agrandir la cantine. Ce jardin pédagogique est l'unique lieu de nature et de fraîcheur de la cour. C'est un espace précieux où nos enfants découvrent la nature, cultivent, observent, apprennent… autrement. Ils y lisent, y jardinent, observent les saisons, découvre le monde animal et végétal et sa biodiversité, y trouvent le calme et la fraIcheur à l’heure du déjeuner, et parfois même, ils y font classe à l’ombre d’un arbre. Un lieu rare, vivant, que la ville veut faire disparaître. A l'heure où les dépenses des mairies sont contraintes, un budget significatif va être consacré pour quelques tables supplémentaires alors que d'autres solutions seraient moins onéreuses et préserveraient ce jardin pédagogique. Nous croyons fermement qu’un projet d’extension peut et doit coexister avec le respect des espaces naturels déjà en place. Supprimer ce jardin dans notre école, labellisée Eco-école et au plus au niveau de la démarche E3D (Ecole en démarche de développement durable) de notre écoquartier, c’est appauvrir le cadre éducatif et symbolique de l’école et dégrader le bien-être de nos enfants. Nous, parents d’élèves, disons NON ! Nous demandons à Patrick Ollier Maire de Ville de Rueil Malmaison de préserver ce jardin, pour nos enfants d’aujourd’hui et ceux de demain. Mobilisons-nous ! Monsieur le Maire, sauvez leur jardin ! Les parents des élèves de l'école Robespierre B de Rueil-Malmaison398 sur 400 SignaturesCréée par Peep R.
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Pollution de l'air et mobilités : ne sacrifions pas les plus vulnérablesEn 2025, 100% des Français sont exposés à des niveaux de pollution supérieurs aux recommandations de l’OMS pour au moins un polluant atmosphérique (1). Poisons invisibles et silencieux, les polluants s’infiltrent dans tout l’organisme et peuvent être impliqués dans le développement de pathologies respiratoires, cardiovasculaires, métaboliques… ou même neurodégénératives. Les enfants sont particulièrement vulnérables à cette pollution, qui est responsable de près de 20 % des nouveaux cas de maladies respiratoires chez les 0-17 ans. C’est encore pire dans les zones où le trafic est dense : à Paris, la pollution routière est responsable à elle seule de près d’un cas d’asthme infantile sur trois - des chiffres saisissants, alors que 11 000 enfants de moins de trois ans sont hospitalisés chaque année en urgence pour asthme. Les plus précaires - qui sont pourtant en moyenne moins véhiculés - sont également plus exposés. A Paris, le risque de mourir de la pollution de l’air est ainsi 5 fois plus élevé pour les plus pauvres. Pour répondre à cette urgence sanitaire et sociale, plusieurs outils, bien que perfectibles, ont déjà fait leurs preuves, motivés par la perspective des ZFE : développer l'offre de transports collectifs avec une tarification solidaire, renforcer les aides à l'achat pour un véhicule moins polluant, améliorer les infrastructures cyclables et aider à l'achat d'un vélo… Partout où ces leviers ont été actionnés, la qualité de l'air s’est améliorée (2) : à Paris, à Lyon, à Strasbourg, à Montpellier… Pourtant, aujourd'hui, ces outils sont menacés. Alors que les collectivités concernées appellent à de la cohérence et à de la continuité, la menace de la suppression des ZFE plane et s'accompagne déjà de reculs massifs : division par deux des aides à l'achat de véhicules électriques, diminution de 80% du fonds vélo, rabot de plus d'un milliard d'euros pour le fonds vert destiné aux collectivités. Ce retour en arrière est inacceptable. Reculer, c’est sacrifier la santé de dizaines de milliers de Français. C’est rester sourd à l’urgence sanitaire et sociale. C’est abandonner les plus précaires, et ne rien résoudre aux inégalités de mobilités. Au contraire, nous avons besoin de plus de solutions et non de moins. En France, 15 millions de personnes sont aujourd’hui en situation de précarité mobilité. Leur problème, ce n’est pas les ZFE, mais le manque d’alternatives concrètes à la voiture individuelle. Il est indispensable et urgent de débloquer des investissements pour pallier ce manque : aides à l’achat de véhicules électriques (neufs ou d’occasion) et de vélos, développement des transports en commun… Nous avons besoin de politiques publiques ambitieuses, équitables et efficaces pour réduire la pollution, protéger les plus vulnérables, et accompagner le développement de la mobilité durable pour toutes et tous. La séquence à venir est décisive : dans les semaines qui viennent, les responsables politiques vont décider de l'avenir des ZFE, mais aussi déterminer des priorités d'investissement pour les transports, à travers le dispositif Ambition France Transports. Nous leur demandons de la cohérence : maintenir les ZFE, renforcer les outils associés, et garantir des financements pérennes pour la mobilité durable. Nous avons les moyens d’agir. Signez la pétition aujourd’hui pour demander au gouvernement et aux parlementaires des mesures fortes en faveur de la santé de toutes et tous, et des investissements pour des transports sains et durables. Vite, il y a urgence, le maintien ou non des ZFE sera décidé à l’Assemblée Nationale à partir du 30 mai. Respirer un air pur et se déplacer librement sont des droits, pas des privilèges ! Pétition lancée par : - Alliance des Collectivités Qualité de l'Air - Clean Cities France - Fédération française des Usagères et Usagers de la Bicyclette - France Nature Environnement - Fondation pour la Nature et l'Homme - Réseau Action Climat - Respire - Secours Catholique Sources : (1) https://www.atmo-france.org/ (2) https://cleancitiescampaign.org/research-list/lez-essential-guide/5 333 sur 6 000 SignaturesCréée par Collectif pour la qualité de l'air
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Pour des restaux u à prix libre !La précarité étudiante est inquiétante : en 2023, un étudiant sur 5 déclare des difficultés financières telles qu’il lui a été impossible de répondre à ses besoins (alimentation, loyer, gaz ou électricité, etc.). Dans ce contexte, garantir le droit à l'alimentation est essentiel. Des distributions alimentaires et des épiceries sociales et solidaires (Agoraé) sont mises en place par des associations, mais elles ne suffisent pas à répondre au besoin : parmi les bénéficiaires des Agoraé, 66% sont contraints de sauter des repas toutes les semaines selon la Fédération des Asssociations Générales Etudiantes (FAGE). Les repas en restaurants universitaires sont une option relativement abordable, en particulier pour les étudiants boursiers, bénéficiaires du repas à 1€. Cependant, selon l'association Linkee qui réalise des distributions alimentaires, seulement 29% de leurs bénéficiaires sont boursiers. Les autres doivent donc payer 3,30€ pour manger au restau u, comme tout les étudiants et étudiantes sans bourse. De plus, plus de 50% de leur bénéficiaires ont un budget inférieur à 2€ par jour après paiement de leur loyer, ne leur permettant pas de payer 2 repas par jour au restau u, même à 1€. Le repas à 1€ pour toutes et tous ne résoudrait donc pas entièrement le problème. De l'autre côté, d'après le rapport de 2023 de l'observatoire de la vie étudiante, les étudiants ont en moyenne 1129€ par mois, pour 781€ de dépenses. Il y a donc de fortes inégalités entre les étudiant.e.s, et tandis que certain.e.s n'ont pas assez de moyens pour se nourrir, d'autres sont en capacité de mettre de l'argent de côté. Il est donc souhaitable que chacun et chacune contribue selon ses moyen. Comme on l'a vu avec les bourses, la détermination de combien chaque personne doit contribuer par des critères chiffrés de revenus ne permet pas de s'adapter aux spécificités des situations individuelles (certains parents donnent une plus grande part de leur revenus à leurs enfants que d'autres, parfois le lien familial est totalement rompu). Le prix libre est donc le meilleur moyen d'y parvenir. Il est inclusif, moins stigmatisant pour les personnes qui ont peu de moyens que les distributions alimentaires et permet de mettre en oeuvre la solidarité étudiante. A titre personnel, en tant qu'étudiante salariée qui mange régulièrement au restau u, je serais ravie de payer un peu plus cher si c'est pour que d'autres étudiantes et étudiants puissent manger à leur faim. Ce modèle a déjà fait ses preuves dans d'autres contextes de restauration collectives, tels que les Petite Cantines, nées à Lyon et dont le succès permet leur dissémination ailleurs en France. Ces restaurants payent (bien) leurs salariés et le loyer de leurs locaux, entièrement grâce aux contributions à prix libre de leur clients. La tarification à prix libre serait ainsi plus rentable pour le CROUS que la tarification universelle à 1€, et peut-être même que la tarification actuelle ! L'argent ainsi gagné pourrait ainsi être utilisé pour une meilleure rémunération ou une embauche de personnel, une amélioration de l'offre de restauration (par exemple affichage des ingrédients et allergènes, offre végétalienne quotidienne, augmentation de la part de produits issus de l'agriculture biologiques), ou pourrait participer au financement d'autres services du CROUS (logements étudiants, etc). Pour que ce système fonctionne, la transparence sur les coûts de production des repas (coût des ingrédients, rémunération du personnel, etc) est essentielle, afin que chacun et chacune puisse choisir le prix qu'il ou elle souhaite payer de manière éclairée. Nous demandons donc : - La tarification à prix libre dans tous les restaurants universitaires de France - La transparence sur les coûts de la production de l'offre de restauration8 sur 100 SignaturesCréée par Emilie F.
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Mettons fin aux violences dans les abattoirs : pour un contrôle strict et le respect animalStop aux violences dans les abattoirs : pour une surveillance stricte et une justice pour les animaux ! Chaque année, des millions d'animaux sont tués dans les abattoirs. Mais au-delà de la mise à mort, ce sont les conditions inhumaines, les coups, les cris, et les souffrances inutiles qui choquent. Des vidéos d’enquêtes récentes montrent des actes de cruauté intolérables, bien loin de ce que la loi autorise. Trop souvent, ces violences restent impunies, car elles sont invisibles. Nous sommes trois jeunes engagés pour la cause animale. Comme des milliers de citoyens, nous ne supportons plus de fermer les yeux sur cette réalité. Nous croyons qu’un monde plus juste commence par le respect des plus vulnérables, y compris les animaux. Nous voulons que la souffrance ne soit jamais le prix du silence. Ce que nous demandons est simple : la mise en place de caméras de surveillance obligatoires dans tous les abattoirs, un accès facilité aux inspections indépendantes, et des sanctions claires pour chaque acte de maltraitance. Ces mesures ont déjà porté leurs fruits dans d'autres pays : elles réduisent les abus et responsabilisent les acteurs du secteur. Chaque jour compte. Tant que rien ne change, des milliers d’animaux continuent de souffrir en silence. Plus nous attendons, plus l’impunité règne. Il est temps d’agir, pour eux. Signez cette pétition pour exiger la fin des violences dans les abattoirs. Ensemble, faisons entendre leur douleur et notre volonté de justice23 sur 100 SignaturesCréée par Margaux D.
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SAUVONS LES ARBRES MENACES D’ABATTAGE A PROVINS !Aujourd’hui, nous continuons à nous opposer à la réalisation de la 2ème phase du projet, avec 3 objectifs précis : OBJECTIF N°1 : Urgence pour les frênes du Boulevard d’Aligre! Jusqu’au 15 août, 32 frênes sont en sursis, menacés d’abattage alors que leur état ne le justifie pas. Il est donc important d’agir immédiatement et avant les vacances d’été. Nous demandons à la Mairie de Provins de reporter ces abattages jusqu’à ce qu’une étude de l’état phytosanitaire et mécanique des arbres concernés ait été menée par un expert INDÉPENDANT de la mairie, expert qui ne sera chargé ni directement ni indirectement des abattages qui s’avéreraient indispensables. OBJECTIF N°2 : Suppression du “plan de renouvellement” des arbres Les documents que nous avons pu obtenir par recours gracieux auprès de M. le Préfet de Seine-et-Marne évoquent un “plan de renouvellement” des arbres, qui est en fait un plan d’abattage. Il prévoit l’abattage de 44 autres arbres de la promenade dans un délai qui peut aller de 5 ans (4 ans désormais) à 10 ans, sans que l’échéance précise puisse être connue. Les 254 arbres restants, parmi les plus anciens de la promenade, semblent maintenus pendant dix ans avant leur “renouvellement”. Le plan de la mairie vise donc un total de 367 arbres depuis 2024 dont la majeure partie sont des arbres centenaires. Rappelons que l’on connaît aujourd’hui la valeur des arbres anciens, tout ce qu’ils apportent à notre santé, combien ils sont importants pour le stockage du carbone, et quel rôle ils jouent dans le maintien de la biodiversité. Il ne peut plus être question de “gérer” un espace arboré en planifiant le remplacement régulier des plus vieux par de jeunes plants, avec l’espoir de garder toujours un “parc” de jeunes arbres. D’autant plus que le taux de mortalité des arbres plantés en 2024 (blessures causées par le chantier, survie aléatoire en raison du changement climatique) accentuera le “déboisement” de la Promenade. Cette vision désormais dépassée, qui s’apparente à un consumérisme public, est délétère pour le vivant en général et dangereuse pour l’environnement. Aussi nous demandons à la Mairie de Provins de supprimer son plan d’abattage et de faire procéder à une surveillance des arbres par un expert indépendant de la Mairie, qui ne sera chargé ni directement ni indirectement des travaux d’abattage qui pourraient s’avérer nécessaires pour la sécurité du public. Cette surveillance permettrait d’engager une gestion au cas par cas plus adaptée à l’évolution naturelle et imprévisible des plantations. OBJECTIF N°3 : Moratoire sur les travaux d’extension de la Promenade jusqu’en Ville haute Les travaux déjà réalisés ont abouti à une artificialisation du sol de la promenade et d’une partie des berges de la Fausse Rivière (pose d’un enrobé, construction de gradins en béton et remodelage de la berge au prix de l’éviction de la biodiversité qu’elle recélait). Le projet d’extension de la “requalification” de la promenade jusqu’en ville haute ne fera que prolonger cette artificialisation. L’objectif affiché est de permettre des “liaisons douces” par le biais de la “voie verte”. Mais ces liaisons douces existent depuis longtemps puisque la promenade est utilisée en l’état par les cyclistes. Quant au début de cette seconde tranche des travaux, nous n’avons pas d’information. Il est possible qu’elle suive immédiatement la réalisation de la 1ère tranche (fin 2025 ou début 2026). Une réfection du sol peut être envisagée pour rendre la promenade plus praticable, mais il existe des solutions plus naturelles - et d’ailleurs moins coûteuses - que l’enrobé. Quant à la “requalification” complète de la promenade sur toute son étendue, il paraît indispensable que les habitant(e)s soient associés au processus de décision, dans la mesure où il s’agit de lieux qui leur sont chers et qui font partie de leur patrimoine culturel et naturel. Dès lors, nous demandons à la mairie de Provins de suspendre tous travaux et toutes préparations de travaux visant la promenade jusqu’à une information complète et contradictoire suivie d’une consultation des Provinois(es). Notre promenade, nos arbres, nos berges, ont déjà suffisamment souffert de ce projet daté et inutile. Il est temps que les autorités écoutent ce que disent les principaux intéressés. Nous soutenir dès maintenant par votre signature, c’est nous permettre d’anticiper. Forts de votre appui, nous pourrons faire entendre notre voix avant les prochaines échéances. C’est aussi nous permettre de sensibiliser à cette cause, par l’effet du nombre, des publics nouveaux. Avec vous, nous pouvons encore sauver nos arbres centenaires et une promenade pleine de charme qui donne asile à de nombreuses espèces protégées.3 630 sur 4 000 SignaturesCréée par Association Provins Nature et Avenir (APNA)
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Pour une autre économie : Renforçons le règlement de publicité dans le Grand Besançon Métropole🧠 Une pollution mentale trop souvent sous-estimée La publicité fabrique des désirs, dicte des normes, rend enviable un mode de vie basé sur la surconsommation et les apparences. Elle nous éloigne de la sobriété, de la simplicité choisie, elle biaise nos idéaux (1). Comment éduquer nos enfants aux mécanismes trompeurs de la publicité, alors qu’ils y sont exposés dès le plus jeune âge, parfois avant même de savoir parler ? Comment leur faire comprendre que la respectabilité d’une femme ne se mesure pas à son physique et celle d’un homme à sa voiture ? Comment, même en tant qu’adultes, pouvons-nous résister aux injonctions contradictoires qui nous crient en gros caractères de consommer toujours plus et murmurent en petit « à consommer avec modération » ? 💰 Une économie qui fragilise plus qu’elle ne soutient Réduire la place de la publicité dans l’espace public n’est pas nuire à l’économie. C’est en questionner les effets réels. La publicité agit de trois manières : • elle pousse à produire et vendre toujours plus, au mépris des limites planétaires et de la santé des vivants, humains compris (1) . Cette logique a des répercussions négatives sur les finances des services publics (2) (3) ; • elle oriente l’attention – donc les achats – vers les marques les plus visibles, au détriment des commerces de proximité et des initiatives locales, moins dotées, mais plus vertueuses (4) ; • elle augmente les prix des produits, et donc alourdit les dépenses des ménages, pour soutenir son modèle économique (2). Dans tous les cas, elle renforce les inégalités et rend notre économie dépendante d’un modèle insoutenable. Donner moins d’espace à la publicité, c’est favoriser une économie plus enracinée, plus résiliente, plus diversifiée. Nous ne voulons pas d’une économie des « fleurons » qui brillent en façade, mais d’une économie des chardons : robuste, modeste, ancrée dans les réalités du territoire. 🌿 Une écologie des liens L’écologie, au fond, c’est l’étude des interfaces dans les écosystèmes. L’étude des liens entre les humains et ce qui les entoure, entre les adultes et les enfants, entre les genres, entre les territoires et leurs acteurs économiques. Restreindre la publicité dans l’espace public, c’est protéger ces liens contre les récits toxiques, contre les injonctions qui formatent, divisent, stigmatisent. Le modèle actuel de la publicité est aveugle à ses effets délétères. Puisque nous n’avons ni la possibilité de choisir les messages qu’elle diffuse, ni celle d’influer sur comment les messagers la propagent, nous demandons qu’il y ait tout simplement moins de publicité. 👀 Le regard piégé, des paysages défigurés L'envahissement de nos rues par la publicité crée des nuisances visuelles, qui dégradent le cadre de vie. Les panneaux ferment les perspectives et masquent les paysages. Ils captent les regards, retiennent l'attention, au détriment des panoramas sur l'environnement et le patrimoine. ✊ Pour un espace public libéré, pour une société plus saine L’espace public est notre bien commun. Il doit servir à éduquer, à relier, à respirer, à vivre bien – pas à vendre. Il est temps que la métropole du Grand Besançon fasse un choix courageux : celui d’une société qui mise sur la conscience plutôt que sur la consommation, sur le lien plutôt que sur les biens. D’autres métropoles comme celles de Lyon, de Grenoble ou de Rennes ont déjà renforcé leur règlement. A nous de leur emboîter le pas. Dans la continuité de nos actions, nous appelons également les député.es élu.es sur notre territoire, Mme Voynet et M. Croizier, à porter notre voix au Parlement. Nous leur demandons de soutenir toute initiative visant à réduire la publicité, comme cela avait été proposé – puis retiré – dans le projet de Stratégie nationale pour l’alimentation, la nutrition et le climat afin de « Réduire efficacement l’exposition des enfants et des adolescents aux publicités et parrainages pour des produits trop gras, sucrés, salés, sur les différents médias (traditionnels et numériques) par un renforcement à terme du cadre réglementaire » (5) , projet qui sera bientôt débattu à l’Assemblée Nationale. (1)Didier Courbet. The economic unconscious and non-conscious influences of advertising. Deleterious effects on freedom, happiness, and health?. In Analysis, 2024, 8 (3), pp.1-11. ⟨10.1016/j.inan.2024.100464⟩. ⟨hal-04790512⟩ (2) Institut Veblen & Communication et Démocratie. (2021). Publicité et consommation : pour une régulation au service de la transition écologique. Rapport complet. (3) Sénat. Mmes Élisabeth DOINEAU, rapporteure générale, et Cathy APOURCEAU-POLY (2023). Rapport r23-638. https://www.senat.fr/rap/r23-638/r23-6381.pdf (4) INSPECTION GÉNÉRALE DES FINANCES, IGED, IGAC. (2024). Contribution et régulation de la publicité pour une consommation plus durable : https://communicationdemocratie.osuny.org/media/download/eyJfcmFpbHMiOnsiZGF0YSI6IjIzMGJkOGE5LWUzNjYtNDAwYy04ZmMwLTNkMjQ5YWMwZjUwOCIsInB1ciI6ImJsb2JfaWQifX0=--be632b5c019569fc03ddf2a35d8457acaae75761 (5) Réseau Action Climat. (2025). Stratégie nationale pour l’alimentation, la nutrition et le climat : l’appel des associations environnementales et de santé : https://reseauactionclimat.org/strategie-nationale-pour-lalimentation-la-nutrition-et-le-climat-lappel-des-associations-environnementales-et-de-sante/467 sur 500 SignaturesCréée par Alternatiba ANV-COP21 Besançon ..
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Non au Surf Park à Talmont Saint-Hilaire.Le promoteur (Société Les Frangines) projette la création d'un complexe sportif avec une méga-piscine à vagues pour surfeurs à Talmont-Saint Hilaire, commune voisine des Sables d'Olonne. Le site est à 250 m de l'océan et très proche de spots de surf reconnus. Nous, collectif ACdevagues à Talmont et les citoyens pétitionnaires, Nous refusons l'artificialisation ou imperméabilisation de 7380 m² pour la construction d'une piscine à vagues de surf de technologie Wavegarden Cove complétée d'espaces commerciaux et de restauration en plus de la surface déjà occupée par l'aquarium. Cet ensemble jouxte une zone Natura 2000 qui risque d'être mise en danger par le bruit et les vibrations des pompes et moteurs (capables de générer de 300 à 600 vagues par heure), la fréquentation importante, l'organisation d'évènements et la circulation routière augmentée. Ce complexe utilisera de l'eau de mer dessalée sans que soient précisés le volume d'eau concerné ni la technique utilisée (opération énergivore et créatrice de déchets). En cas de fuite des bassins, il y a un risque de salinisation des sols du bois de La Mine situé en aval du projet Le permis de construire présente beaucoup d'approximations (traitement des eaux : présence de désinfectants ou pas, volume de pompage existant insuffisant, évacuations des vidanges et trop pleins dues aux fortes pluies inexistantes, consommation énergétique, présence d'une fosse de plongée de 40 m de profondeur, évaluation des incidences Natura 2000 ignorée pourtant obligatoire pour garantir la préservation de la biodiversité de ces zones protégées …) Nous refusons ce projet Illégitime et indécent moralement, socialement et écologiquement, au regard des détériorations climatiques et de l'atteinte à la biodiversité. Les scientifiques du monde entier le martèlent : il faut diminuer fortement notre pression sur l'environnement et donc s'interdire tout nouveau projet non-essentiel qui émet des gaz à effet de serre, consomme de l'eau et de l'énergie en grande quantité et bétonne la Terre. Nous refusons ce projet aberrant et anachronique à l'heure où l'urgence climatique, la préservation des ressources et de la biodiversité sont au centre des préoccupations mondiales. Notre futur dépend des décisions prises localement ici et aujourd'hui. Que dire de la présence d'un tel parc d'attraction à quelques minutes d'un site appelé à devenir « Grand site de France » ? La communauté de communes Vendée Grand Littoral a par ailleurs mis en place un Plan Climat Air Énergie Territorial dont l'objectif 5.1 est de «limiter l'artificialisation des sols sur le long terme, dans une logique d'économie circulaire et de solidarité territoriale». Alors, faut-il accepter ce projet inutile, non essentiel et énergivore qui risque d'accentuer une surpopulation déjà existante ? Tout ça à 250 m de l'océan, sans aucune étude environnementale sérieuse… Au vu de ces constats, nous demandons à Monsieur Maxence de Rugy, maire de Talmont-Saint-Hilaire et président de la Communauté de communes, d’agir auprès de la société « Les Frangines" pour qu’elle renonce à leur projet de surf park. Par ma signature, moi aussi je dis non à la méga-piscine à vagues de Talmont Saint Hilaire. Suivez nos actualités via la pétition, et Facebook : ACdevagues Talmont Saint Hilaire Pour nous contacter par mail : [email protected]8 648 sur 9 000 SignaturesCréée par AC de vagues à Talmont C.
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Pour des conditions d’apprentissage dignes à l’école à LyonUne école inadaptée : un frein à l’apprentissage Les vagues de froid, les périodes de canicule prolongées et les températures extrêmes affectent la concentration des élèves et rendent les conditions de travail des enseignant·es et du personnel des écoles plus difficiles. Ces situations extrêmement difficiles en été à cause du manque d'adaptation et d'isolation du bâti vont s'aggraver avec les conséquences du réchauffement climatiques Un gaspillage énergétique évitable Alors que notre école est encore chauffée au gaz ou au fioul, une énergie fossile très émettrice de gaz à effet de serre, il y a aussi une surconsommation énergétique, liée à une mauvaise isolation et à des équipements vieillissants, ce qui alourdit inutilement la facture de notre commune. Pourtant, des solutions existent : une rénovation énergétique de notre école permettrait de réduire drastiquement la consommation d’énergie, tout en améliorant le confort quotidien des élèves et du personnel éducatif. Nous demandons : De manière urgente : • La mise à disposition publique du DPE • L'organisation d'un audit énergétique • Publier cet audit énergétique et de s’engager sur un plan d’action d’ici [date] • De trouver une solution d’urgence pour permettre la tenue des cours dans les cas de grand froid/grand chaud • autre A plus long terme, De faire de notre école un moteur de la transition écologique, au service du bien-être des élèves et du corps enseignant, et garants d’un avenir meilleur, avec par exemple la mise en place : • d’une étude de faisabilité pour installer des panneaux solaires sur les toits du/des bâtiments de l’école • d’un DPE A, B ou C • d’une cour végétalisée pour lutter contre les îlots de chaleur urbains Nous demandons à nos élus de prioriser la rénovation énergétique des écoles et d’y consacrer les moyens nécessaires. Ensemble, faisons de notre école un lieu exemplaire, à la fois respectueux de la planète et garant d’un avenir meilleur pour les générations futures. Signez cette pétition pour dénoncer la situation actuelle et soutenir la rénovation thermique de notre école !7 sur 100 SignaturesCréée par Maelis L.
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DEMANDE DE SUSPENSION DU CONTRAT OLYMPIQUE ALPES 2030Parce que le projet JEUX OLYMPIQUES ET PARALYMPIQUES 2030 aura un très fort impact sur l’environnement, notamment sur les écosystèmes montagnards fragiles et encore fragilisés par le réchauffement climatique. Parce que, accentuant encore notre dépendance au tourisme lié à la neige, il accroît la vulnérabilité de l’économie montagnarde au réchauffement climatique. Parce qu’il est en totale contradiction avec notre constitution et des conventions internationales, les présidents des régions AURA et PACA et le CNOSF, porteurs du projet J.O.P. 2030 n’ayant à aucun moment respecté leurs obligations d’information et de consultation du public. Parce que les garanties financières exorbitantes exigées par le C.I.O. et les financements publics très conséquents qui vont être engagés par l’État et les régions AURA et PACA, doivent être débattues et validées par des représentantes et représentants du peuple souverain. Parce que l’aberration environnementale, le déni démocratique et la gabegie financière constitutifs du projet J.O.P. 2030 ne doivent pas, ne peuvent pas rester sans réponse ni action. [Mise à jour du 21 mai 2025] Pour toutes ces raisons, nous, Collectif Citoyen JOP 2030, engagé(es) en faveur de la démocratie et de la transparence de la vie publique, avons déposé une première fois notre « péti-motion » auprès du COJOP 2030 et de la région AURA, le 16 mai 2025, pour leur demander la suspension du projet J.O.P. 2030 le temps que soit organisée une véritable consultation du public sur l’ensemble du projet. Toutefois, depuis le 17 mai 2025, nous poursuivons le combat et maintenons cette pétition en ligne pour qu'elle continue à se diffuser largement, ainsi nous la représenterons juste avant le vote des futures lois olympiques qui seront votées dans le second semestre 2025, voire même en fin d'année 2025 (?!?). Nous comptons sur vous !!!! 😃 Suivez tout notre actualité sur https://www.collectifcitoyenjop2030.fr/5 008 sur 6 000 SignaturesCréée par Collectif Citoyen JOP 2030
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Aéroport de St Etienne - Loire : STOP au gaspillage d’argent publicUN AEROPORT INUTILE DE TROP Cette année 2025, ce sera encore 1,2 millions d’€ injectés dans cet aéroport fantôme. Or, depuis 2017, aucune ligne régulière ne dessert l’aéroport. Et pour cause, l’aéroport international de Lyon St Exupéry (10,5 millions de passagers/an) n’est qu’à 90 km. Mais, pour les élus locaux, qu’importe les réalités socio-économiques, il en va de « l’image de marque » du territoire. UN PUITS SANS FOND Chaque année, des millions d’€ sont versés par le Département de la Loire, St-Etienne Métropole, Loire Forez Agglomération, CC Forez-Est et la CCI. Avec le désengagement de l’Etat, c’est plusieurs centaines de milliers d’€ qui vont alourdir davantage les charges de cet aéroport. DES FINANCEURS EN DIFFICULTES BUDGETAIRES Avec les difficultés financières du Département de la Loire (principal contributeur financier de l’aéroport) qui souhaite se recentrer sur ses compétences obligatoires, les administrateurs de l’aéroport en appellent désormais à la générosité de la Région Auvergne Rhône-Alpes pour alimenter ce tonneau des Danaïdes. Demander à la Région qu’elle sauve cet aéroport fantôme est une provocation dans un contexte de contraintes budgétaires croissantes. LA PRIORITE, C'EST LA MOBILITE DU QUOTIDIEN, PAS L'AVION Car en matière de mobilité, la priorité est toute autre pour les ligériens : tous les jours, 80 000 véhicules bouchonnent aux portes de St-Etienne sur l’A72, faute de transport en commun suffisamment calibré. La Région, responsable des mobilités, laisse se dégrader le train de banlieue forézien qui transporte 350 000 passagers/an avec son lot de retards, annulations, manque de places. Beaucoup préfèrent prendre la voiture dans des conditions de circulations difficiles plutôt que de prendre le risque d’utiliser le TER trop peu fiable. La Région doit agir en faveur des salariés, lycéens et étudiants qui prennent le train et désirent simplement arriver à l’heure au travail ou en cours. La priorité n’est pas d’aider des footballeurs ou des excursionnistes à voyager avec plus de confort. POUR LA DEFENSE DES SERVICES PUBLICS LIGERIENS REELLEMENT NECESSAIRES Les subventions en faveur de l’aéroport doivent être réaffectées sur d’autres politiques publiques plus urgentes : - fiabiliser l’offre train TER entre le Forez et St Etienne (Région AURa) - aider les maisons de retraites et les collèges en déficit (Département de la Loire) - accélérer le projet de Service Express Régional Métropolitain (St-Etienne Métropole) - intégrer un volet mobilité au Plan d’Urbanisme Intercommunal (Forez-Est) - développer des pistes cyclables dans la centralité montbrisonnaise (LFA) POUR UNE MEILLEURE UTILISATION DE L'ARGENT PUBLIC À travers cette pétition, nous souhaitons ouvrir un débat sur l’usage des subventions publiques et la définition même du service public local. Nous déplorons que la séance de débat budgétaire du syndicat de l’aéroport soit prononcée à huis-clos pour empêcher le public d’assister aux échanges. Signez cette pétition pour demander une gestion transparente et plus utile de l’argent public dans le Sud-Loire. Non au gaspillage des fonds publics ligériens dans l’aéroport de St Etienne Loire. Non à l’intervention financière de la Région pour sauver coûte que coûte cet aérogouffre.1 174 sur 2 000 SignaturesCréée par Forez Agir
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