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Les récifs de Grande Anse menacés, protégeons cette oasis de vie corallienneNous l’avons fait, les scientifiques l’ont fait. Ils ont parcouru tous les récifs coralliens de La Réunion pendant trois ans. Leur constat est clair, Grande Anse abrite le plus de coraux (recouvrement corallien moyen d’environ 54%), alors que la situation est très problématique à l’ouest (recouvrement corallien moyen d’environ 16% sur la pente externe de l'Hermitage - La Saline). À cela vient s’ajouter un livret rédigé par VieOcéane pour témoigner de la biodiversité exceptionnelle du bassin de baignade de Grande Anse. Ces résultats ont été partagés aux services de l’État compétents en la matière (la commune de Petite Ile, Préfecture, DEAL, etc.). Toutefois, la mairie et la préfecture prévoient l’agrandissement du bassin de baignade, les arguments étant la compétence du savoir nager en classe primaire et la sécurisation de la baignade. Le problème, c’est que cet agrandissement implique de grands aménagements : ⚠️La reconstruction de l'enrochement marin qui atteindrait un total de 6 500m². Le bassin doublerait de surface ! ⚠️Un enrochement si grand que le renouvellement de l'eau ne pourra pas garantir un bon état sanitaire et favorisera le développement de bactérie comme les staphylocoques ou Escherichia coli. ⚠️ Une fosse de natation creusée sur une surface de 650m² (environ 22x30m) avec une profondeur maximale de 1,50 m. Cette fosse représenterait 10% de la surface du futur bassin de Grande Anse. ⚠️ Une canalisation, d’une longueur d’environ 120m sous la plage et le bassin de baignade, construite pour dévier les eaux pluviales polluées par les différents usages du bassin versant (agriculture, eaux usées domestiques) directement sur le récif de Grande Anse ! Ce projet est incohérent sur de nombreux aspects. Incohérence écologique : 👉 Les travaux vont engendrer une destruction physique des colonies coralliennes du bassin. La commune de Petite-Île affirme que les travaux d’extension ne viendront pas impacter directement les formations coralliennes grâce à un suivi en continu de la turbidité des eaux sera mis en place pour éviter les impacts indirects sur les colonies coralliennes. Si théoriquement c’est possible, dans la pratique, la complexité vient questionner l’efficacité d’une telle mesure. En effet, les impacts physiques des machines de construction viendront déstabiliser la biodiversité, et des tonnes de sédiments en suspension viendraient étouffer les coraux du bassin mais aussi du récif corallien juxtaposé. Ainsi, les récifs coralliens auront peu de chance de pouvoir revenir à leur état actuel après les travaux, le changement climatique et les pressions grandissantes du bassin versant ne donnent pas les conditions environnementales à cette résilience. 👉 Cette dégradation attendue des récifs nous rend plus vulnérables face aux fortes houles et aux cyclones qui vont augmenter en intensité au vu des prévisions météorologiques locales. 👉 Ce projet d’aménagement s’inscrit dans un contexte plus global de dégradation accélérée des récifs coralliens mondiaux (50% des récifs coralliens mondiaux ont déjà disparu !) - et de la dégradation aiguë des récifs coralliens de La Réunion (environ 65% de recouvrement par les coraux en 1980 pour environ 20% de recouvrement en 2024). Parallèlement, des lois nationales visent à protéger la biodiversité, notamment la protection de 100% des récifs coralliens en 2025, objectif de la Stratégie Nationale pour les Aires Protégées. Ce projet d’extension du bassin est donc en totale contradiction avec ces objectifs nationaux. À l’heure où la biodiversité réunionnaise s’effondre, à l'heure où notre vulnérabilité face au changement climatique est galopante, avons-nous besoin de projets comme celui défendu par la commune de Petite-Île ? Incohérence sociale : 👉 Un argument en faveur du projet est la protection face aux requins. La commune affirme observer de façon récurrente des requins dans le bassin, sans pour autant donner les sources de ses propos. Or, le seul accès des requins serait l’ouverture à l’ouest du bassin lors des marées hautes. Est-ce que la commune de Petite-Ile assure la protection des usagers en ayant connaissance de ce fait sans n’avoir jamais fermé cet accès ? Si les requins constituent la raison principale du projet, il existe des alternatives, comme la construction d’un poste de secours et l’installation de blocs basaltiques pour fermer l’ouverture ouest, mesures qui semblent amplement suffisantes, et qui permettraient de réduire drastiquement les impacts sur les coraux. 👉 L’argument pour cet aménagement est d’offrir une capacité de charge supérieure au bassin actuel, qui selon la commune de Petite-Île est atteinte (selon quelle étude ?), ce qui assurerait l’accueil d’un public croissant. Or, aucune mesure n’est prévue pour freiner l’augmentation de la fréquentation du site. Il semble y avoir une incohérence entre les prérogatives de soutenabilité soulignées par France Stratégie et la stratégie locale d’augmenter l’attractivité d’un site touristique sans objectif de limiter l’augmentation de fréquentation. 👉 De plus, la population de Petite-Île et les usagers de Grande Anse n'ont pas été sollicités en amont du projet. Cette extension ne répond à aucune demande citoyenne, elle répond aux intérêts économiques du tourisme [3].. ⏰ Jusqu’au 7 août, vous pouvez donner votre avis via une enquête publique : https://www.democratie-active.fr/enquete-publique-bassin-grande-anse/?fbclid=IwZXh0bgNhZW0CMTEAAR2Cc4TEMpj69Rtrmx_hMulglOw8Ll7tbghHNK5v1oTevc6KNrulXHx6woQ_aem_kRe5-q8MSfWPf3lWn4LJTA. ✊ Il est donc urgent de se mobiliser pour affirmer à la commune de Petite-Île que la population locale est contre ce projet qui est en incohérence avec les stratégies de soutenabilité que nous devons prendre collectivement. Cette mobilisation doit être aussi massive que possible pour faire face aux intérêts économiques du projet. Vous pouvez suivre les informations sur notre page Facebook. À vous de jouer. À nous de jouer ! ************ Notes et références : [1] Rapport de Broudic et al. 2024. [2 Livret de VieOcéane, 2024 [3] Le Comité d'Orientation Stratégique du Tourisme avait stipulé en 2013 que la "création de zones de loisirs structurées autour du bassins de baignade est une orientation prioritaire pour l'attractivité touristique de l'île de La Réunion".6 001 sur 7 000 SignaturesCréée par Greenpeace-La Réunion G.
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Nettoyage du port de VannesNous avons remarqué que le port est pollué et ça nous impact. Ce problème, comme vous avez pu le remarquer lors de ces dernières inondations, en partie provoquées par l'accumulation de déchets en tout genre ; notamment les mégots de cigarette, les trottinettes, le plastique, entraîne une pollution de l'environnement. Par conséquent, vous comprenez que cette accumulation induit également d'autres problèmes. Premièrement, les déchets jetés entraînent une pollution visuelle qui peut avoir des conséquences sur le tourisme. Aussi, la santé publique et la vie marine sont menacées, avec un risque de propagation de la pollution dans le golfe dû aux marées. Nous, les services civiques de l'AFEV du Pôle Vannes, demandons un nettoyage approfondi du port par des personnes compétentes. Cela permettra de rendre le port plus attractif et plus propre. Nous souhaitons qu'à la rentrée scolaire prochaine, des mesures concrètes aient été mises en place.56 sur 100 SignaturesCréée par Transition Juste
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Sauvons l’une des plus grandes zones humides d’Auvergne !Face au dérèglement climatique et à l'érosion de la biodiversité qui constituent les deux faces d'une même crise, les zones humides sont nos alliées, et pourtant nous les négligeons. Incontestables réservoirs naturels écrêtant les crues et atténuant l’impact des sécheresses, prairies agricoles accueillant une biodiversité remarquable, zones de stockage de carbone, les milieux humides représentent un atout majeur pour franchir les épreuves inédites auxquelles l'humanité est confrontée. Parfaite illustration à Nouvialle dans le Cantal (commune de Valuéjols), où la narse (de l’occitan narsa qui signifie zone humide), avec ses 200 hectares de prairies humides, joue un rôle fondamental dans le cycle de l’eau et abrite une biodiversité riche, favorisée par un élevage extensif typique des zones de moyenne montagne. Dans cette zone agricole d'importance, plus de 80 espèces animales et végétales protégées cohabitent avec près de 30 agriculteurs, faisant de la narse un parfait exemple de la possible et nécessaire harmonie entre activités humaines et biodiversité. Malgré ses multiples vertus pour la ressource en eau, l'agriculture, la biodiversité ou le cadre de vie, la narse de Nouvialle, reconnue d'intérêt européen par son classement Natura 2000, est menacée de destruction. La multinationale Imerys souhaite ouvrir en son sein des carrières de diatomite, et ce, en dépit de la forte opposition locale (élus, habitants et associations…), qui s’est réunie et organisée à travers le Collectif pour la narse de Nouvialle, association reconnue d'intérêt général regroupant plus de 3100 adhérents. Or, l'ouverture d'une nouvelle carrière de diatomite, roche sédimentaire siliceuse, n'est pas nécessaire ! Utilisée majoritairement pour la filtration des liquides alimentaires (bières, jus, huile, vin...), la diatomite est largement substituable par d'autres techniques déjà éprouvées par des firmes telles que Heineken, Andros... Nous, signataires de cet appel, demandons aujourd’hui à notre gouvernement l’application stricte du code de l’environnement qui énonce que « la préservation et la gestion durable des zones humides sont d’intérêt général », mais également le respect de la convention internationale Ramsar pour la préservation des zones humides, et les engagements pris par l’Etat dans le cadre du plan national zones humides 2022 – 2026. Cela implique de : - reconnaître la valeur écologique, économique et sociale des zones humides et de faire prévaloir leur intégrité sur tout projet d'exploitation intensif et industriel, tout en allouant les moyens nécessaires pour leur restauration, en lien avec une agriculture extensive adaptée. - planifier la production et la vente des minerais tels que la diatomite afin que ceux-ci ne soient pas dilapidés pour des intérêts privés dans des débouchés non-essentiels (litière pour chat, porte dentifrice anti-humidité, tapis de bain absorbant...) ou substituables (filtration de la bière, du vin, des jus de fruits, des huiles...). Nous avons besoin des zones humides. Privilégions leur préservation pour l’intérêt commun plutôt que l'exploitation des ressources minières au profit des multinationales ! Nous pouvons agir dès aujourd’hui pour enrayer ce projet destructeur, avant que l’entreprise IMERYS ne dépose sa demande d’exploitation ! https://www.youtube.com/watch?v=m8abhe0Vtm423 043 sur 25 000 SignaturesCréée par Collectif pour la narse de Nouvialle
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PETITION CITOYENNE CONTRE L'EXTENSION DE L'USINE DAIKIN à Oullins-Pierre-BéniteCet arrêté, daté du 1er février 2024, précise les prescriptions complémentaires accordées à la société Daikin Chemical France concernant l’exploitation d’une nouvelle unité de production et stockage de pré-compound. Ce que nous reprochons à cet arrêté préfectoral: • il autorise des rejets supplémentaires de substances chimiques dans l'air, notamment de COV (composés organiques volatils), dont certains sont des PFAS. L'enquête d'Emilie Rosso du 3 avril 2024 révèle un nouveau toxique utilisé et produit par Daikin(2) : le bisphénol A fluoré, cumulant les toxicités du bisphénol A (reprotoxique prouvé) et celles de la famille des PFAS; • il accorde à l'industriel un délai de 36 mois, non pas pour substituer les PFAS, mais pour proposer un plan de substitution. Et il offre une issue à l'industriel, en envisageant d'ores et déjà une impossibilité technico-économique à cette substitution (1). Cette unité de production pre-compounding a été délocalisée des Pays-Bas jusqu'au site de Pierre-Bénite car la réglementation des Pays-Bas par rapport aux PFAS y est plus contraignante. Alors que les effets des PFAS sur la santé sont déjà très bien connus (cancers de la thyroïde, des testicules, maladies hépatiques, diabète, hypercholestérolémie…) l'extension de l’usine Daikin et de la pollution associée est insupportable pour les habitants et habitantes d’Oullins-Pierre-Bénite et plus généralement du sud de Lyon, déjà fortement impactés par la pollution aux perfluorés, majeure et largement documentée. Cette extension représente une inquiétude supplémentaire pour leur santé et celles de leurs enfants et renforce les questionnements existants : les pathologies dont souffrent certains riverains et riveraines ont-elles été déclenchées et/ou aggravées par la contamination généralisée au sud de Lyon ? Quel impact cette contamination aura-t-elle sur la santé et la qualité de vie des enfants ? La contamination aux PFAS généralisée dans l’environnement au sud de Lyon dans l’air, la terre et l’eau, est vécue par beaucoup de riverains et riveraines comme une épée de Damoclès au-dessus de leurs têtes et de celles de leurs enfants. Après les recommandation sur la non-consommation des oeufs en 2023, leur inquiétude a récemment été renforcée par la recommandation de la préfecture, en mars 2024, de ne pas consommer de légumes issus de potagers se situant dans un rayon de 500 mètres autour de la plate-forme industrielle d’ARKEMA et DAIKIN, de ne pas utiliser les eaux de pluie et les eaux des puits individuels. Il est incompréhensible que la préfecture constate une situation sanitaire dégradée et dans le même temps autorise un industriel à la dégrader encore plus ! Les habitants d’Oullins-Pierre-Bénite sont-ils abandonnés par les autorités censées les protéger ? Dans un rapport préliminaire à l’arrêté préfectoral (3), la DREAL mentionne le «contexte du sud Lyonnais [dans lequel on observe la] présence d’autres PFAS dans l’environnement du site » pour justifier l’autorisation d’exploitation accordée à Daikin. Doit-on comprendre que l’environnement au sud de Lyon est considéré comme une décharge à PFAS ? Il se trouve que des riverains et riveraines vivent dans cet environnement. Le rapport de la DREAL n’y fait aucunement mention. Les habitants d’Oullins-Pierre-Bénite sont-ils considérés comme des citoyens de seconde zone ? Les études épidémiologiques sérieuses n’ont même pas eu le temps d’être menées à leur terme qu’une source de pollution supplémentaire se rajoute déjà… Quelle déception lorsqu’on aimerait qu’on nous parle plutôt de dépollution ! Au vu de la pollution majeure et historique du site industriel, des effets cocktails mal documentés liés à la multiplicité des polluants, des zones d'ombres qui persistent sur les molécules utilisées et produites par Daikin et en vertu du principe de précaution, il convient de tout faire pour empêcher le fonctionnement de cette nouvelle unité de Daikin en l'état actuel des connaissances : cette unité ne doit être déployée ni ici, ni ailleurs. La mobilisation citoyenne est en marche, comme l'a montré le succès de la marche festive pour un avenir sans polluants éternels organisée le 26 mai dernier à Oullins-Pierre-Bénite. Cette pétition permet à chaque habitant et habitante du sud-ouest lyonnais et au-delà, d'exprimer son désaccord au sujet de l'extension de l'usine DAIKIN et de l'arrêté préfectoral encadrant cette extension. Elle apporte un soutien au recours de l'association Bien Vivre à Pierre-Bénite, déposé contre l’arrêté DDPP-DREAL 2024-19. Pour le droit de toutes et tous à vivre dans un environnement sain! As PFAS pollution knows no borders, here is a link to the petition in English and Italian: Poiché l'inquinamento da PFAS non conosce confini, ecco il link alla petizione in inglese e in italiano: https://docs.google.com/file/d/1FIp98VD-zXtcvxp2T9M7ap_VVN47WVaC/edit?filetype=msword (1) https://www.rhone.gouv.fr/contenu/telechargement/58574/399645/file/2024_02_01_APC_DAIKIN_PBenite.pdf (2) https://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/rhone/lyon/enquete-pfas-le-scandale-daikin-passe-sous-silence-des-tonnes-de-polluants-eternels-rejetes-dans-l-air-2949035.html (3) https://www.rhone.gouv.fr/contenu/telechargement/57984/396109/file/20230706-RAP-DAIKIN_projet_Compound-JA-v10_vs.pdf7 246 sur 8 000 SignaturesCréée par Collectif PFAS contre Terre
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Non à la suppression d’un terrain de tennis aux Hauts de Massane et stop à la bétonisation !Les habitants sont d’autant plus surpris que ce club de tennis a fait l’objet d’une rénovation en 2022 qui a coûté (officiellement) 113 500 € d’argent public ! Une demande a été faite à la mairie pour nous confirmer ce chiffre qui, à ce jour, demeure sans réponse. Aujourd'hui, la mairie parle de détruire un seul terrain sur les cinq, mais le fait de prévoir de déclasser l'ensemble des terrains de tennis de zone naturelle à zone urbaine, ne nous garantit en rien que l'ensemble du site ne soit pas préservé de bâtiments. Le site est implanté en plein cœur de la pinède qui entoure le magnifique lac des Garrigues. Il se compose de 5 courts de tennis en béton poreux qui limite l'imperméabilisation des sols, de 2 courts de tennis en gazon synthétique et d’un mur de frappe. Le club de tennis, géré par l’association Fête le Mur fondée par Yannick Noah, apporte énormément de points positifs pour la ville et ses habitants : • Il participe à la vie sociale du quartier et favorise une certaine mixité sociale dans la mesure où il profite non seulement aux habitants du quartier mais aussi à des habitants d’autres quartiers • Il encourage énormément le sport féminin, offrant une opportunité précieuse aux jeunes filles • Cette suppression est en contradiction avec la volonté de la mairie de faire monter en puissance le club et et de favoriser la pratique sportive de tous, d’autant plus le quartier est caractérisé par une population très jeune. • On peut lire sur le site de l’association Fête le Mur qui gère le club : “Le site Fête le Mur Montpellier est un lieu où l’on trouve convivialité, solidarité, mixité sociale et culturelle. Notre action sur la cité consiste avant tout à utiliser le tennis comme un outil pour aider les enfants et adolescents à s’épanouir, à vivre et à grandir ensemble dans un esprit solidaire et citoyen. Nous permettons également aux plus motivés d’accéder à la compétition. De fait les licenciés de Fête le Mur Montpellier découvrent d’autres lieux, d’autres sites en France et rencontrent des jeunes de différents milieux. Les adultes et les parents ne sont pas en reste puisqu’ils ont également la possibilité de se confronter à d’autres clubs mais aussi d’assister à des tournois ATP, WTA et même du grand chelem (Roland Garros).” Ce batiment vise a accueilir l’association Uni’Sons. Nous n'avons rien contre cette association mais nous ne comprenons pas pourquoi la mairie a choisi ce site naturel pour l'implantation de cette association alors qu’il existe d’autres options pour ses nouveaux locaux. Ecologiquement parlant, ce projet présente plusieurs risques : • d’imperméabiliser encore plus le site qui est entouré d’une zone naturelle protégée où il y a une certaine biodiversité dont écureuils roux et de nombreuses espèces d’oiseaux dont certaines classées sur la liste rouge des espèces menacées comme le chardonneret élégant. • de favoriser le ruissellement et les éboulements de terrain : lors des orages et épisodes cévenols, le ruissellement induit par la pente est très important. Les terrains existants sont dotés de revêtements poreux permettant de limiter le ruissellement des eaux alors que la construction de ce bâtiment induirait le contraire. • le site est situé en zone rouge à très fort risque d’incendie, plusieurs incendies majeurs ayant eu lieu par le passé. • les habitants craignent que les arbres qui entourent le terrain soient fragilisés voire abattus par les engins de chantier. Les habitants s’élèvent avec force contre ce projet, dans une zone de pleine nature. Il est urgent de stopper ce projet ! Pour nous aider à préserver ce site remarquable, signez la pétition « Non à la suppression d’un terrain de tennis aux Hauts de Massane et stop à la bétonisation de ce quartier ! » Ajoutez simplement votre signature, puis aidez-nous à mobiliser le plus de personnes possible autour de notre action, en transférant ce message à vos proches, votre famille, vos amis et tous ceux qui, comme vous, ont à cœur de défendre la pratique universelle du sport et ce qui fait la beauté de nos paysages et de notre patrimoine ! Plus nous serons nombreux, plus nous aurons de chances d’être entendus pour stopper ce projet désastreux avant qu’il ne soit trop tard. D’avance, un grand merci pour votre participation! Le collectif « Préservons les Hauts de Massane. »3 232 sur 4 000 SignaturesCréée par Collectif Hauts de Massane
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NON ! A L'EXTENSION DE LA CARRIERE DE BAINVILLE SUR MADON !Avec cette nouvelle extension, les tirs de mine qui font trembler les maisons les plus proches (rue Pierre et Marie Curie, rue mairesse) vont continuer et concerneront d’autres quartiers. Ces fortes secousses risquent de fragiliser les galeries de l’ancienne mine Saint Jean qui alimentent en eau potable le haut de Pont Saint Vincent. Et le va et vient des camions, ainsi que le bruit des engins d’extraction continuera avec leurs émissions de CO2. Le remblaiement de la carrière existante avec des déchets issus du BTP transformera le plateau en une énorme déchetterie avec un risque éventuel de pollution de l’eau souterraine. Une nouvelle partie de la prairie à très forts enjeux faune/flore (26 % des espèces végétales protégées en lorraine pousse sur les pelouses calcaire), riche de part sa biodiversité, disparaîtra définitivement : une dérogation ayant été demandée pour cette destruction d’espèces protégées (ex : crapaud sonneur à ventre jaune, vipère aspic). C’est sans parler du paysage défiguré pour de nombreuses décennies encore. Les alertes du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) et de l’IPBES (Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques) ne suffisent-elles pas à faire comprendre que nous allons dans le mur en continuant à développer ce type d’exploitation pour produire des granulats qui permettent de fabriquer du ciment pour continuer à construire et à bétonner, alors que l’heure est à la désartificialisation des sols ?3 444 sur 4 000 SignaturesCréée par antoinette p.
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Pour une vraie démocratie participative à Marseille : signez pour la votation citoyenne !Cette initiative s’inscrit dans le cadre de La Cité des possibles - Arrivée du Tour Alternatiba, qui a pour objectif la transformation des territoires. Nous demandons l'instauration de votations citoyennes à minima annuelles à Marseille. Marseille, un besoin essentiel d'adaptation au dérèglement climatique Notre constat alors que les enjeux liés au changement climatique sont gigantesques et participent à l'effondrement de la biodiversité : • La prise de conscience collective est présente mais les actions restent largement insuffisantes pour répondre à ce défi. • Les habitantes et habitants ont pourtant envie de participer. • Au niveau national, la Convention Citoyenne pour le Climat a été un modèle d'implication mais ses préconisations ont été bafouées par un pouvoir qui privilégie l'économie à la vie alors que ces mesures auraient pu être soumises à un référendum. En ces temps où les atteintes à la démocratie se renforcent, il faut accélérer la participation citoyenne, ne pas se contenter de proposer aux électrices et aux électeurs un vote de temps en temps et redonner plus de pouvoir de décision aux habitantes et habitants. Pas de transition écologique et sociale sans véritable démocratie Localement, il y a des améliorations notables dans les concertations et des expériences commencent à voir le jour, avec notamment la création de l'Assemblée Citoyenne du Futur, le budget participatif ou le Conseil de Développement de la Métropole, mais il faut aller plus loin et plus vite ! Ailleurs (Paris, Poitiers, Grenoble, Quimper, ..) la démocratie participative est bien plus avancée et donne de bons résultats quand la population est consultée. Notre proposition • Les Marseillaises et les Marseillais se prononceront sur une votation citoyenne par an concernant la ville et une votation citoyenne par an concernant chacun des 8 secteurs de la ville. • Les propositions soumises à la votation citoyenne seront formulées par une assemblée citoyenne chargée d'en évaluer le caractère non discriminatoire et la faisabilité, appuyée par des expertes et experts, associations, comités de quartier et autres collectifs. • Nous demandons que les institutions concernées s'engagent à respecter le résultat de ces votes et les mette en application dans les deux ans. • Nous demandons que la Mairie organise les votations citoyennes, et que la 1re édition le soit d'ici octobre 2025. Remarque : l'assemblée citoyenne pourrait être l'Assemblée Citoyenne du Futur ou une assemblée populaire auto organisée L'objectif D'après le règlement intérieur de la Ville de Marseille, pour que l'instauration de votations citoyennes soit débattue en conseil municipal, il suffit de réunir 10 000 signatures d'électrices et électeurs de la Ville de Marseille ! Si cet objectif est atteint, nous veillerons à ce que la Métropole en débatte également en conseil métropolitain. Pour une vraie démocratie participative: signez pour la votation citoyenne à Marseille ! Quelque soit votre lieu de vote ou de résidence, même si vous ne votez pas à Marseille, votre signature est très importante pour signifier votre soutien. Le Tour Alternatiba 2024 est parti de Nantes le 1er juin et arrivera à Marseille du 4 au 6 octobre)3 105 sur 4 000 SignaturesCréée par La Cité des possibles
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La Ferme-Cueillette de Servigny à Lieusaint (77) en danger !En apportant votre signature, vous soutenez notre action pour la conservation de terres agricoles fertiles, le maintien d’une exploitation de proximité, vertueuse et engagée pour les générations à venir. Pétition proposée par un collectif de quatorze associations : * FNE Grand Paris Sud * FNE Seine-et-Marne * Essonne Nature Environnement * Alternatiba Sénart * Groupe Local LPO Grand Paris Sud * ADE (Association de Défense de l’Environnement de Sénart et environs) * ARNASSEN (Association pour la reconnaissance de Noisement) * C-E-E (Corbeil-Essonnes-Environnement) * SEE (Soisy-Etiolles- Environnement) * TESSA (Transition Écologique et Sociale de Sénart et Alentours) * Vergers Vivants de Lieusaint, * ABC (Association des Bois du Canton) * GABI (Groupement des Apiculteurs de Bréviande) * Les Coquelicombs8 596 sur 9 000 SignaturesCréée par Sauvons S.
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TERRAIN DE RUGBY : SAUVONS LA DERNIERE GRANDE PELOUSE DE TAVERNY !PETITION TERRAIN DE RUGBY : SAUVONS LA DERNIERE GRANDE PELOUSE DE TAVERNY ! Pourquoi le terrain du rugby de Pontalis, un des derniers grands espaces verts en accès libre, risque-t-il de disparaître ? La mairie a annoncé la vente de ce terrain communal au privé et sa bétonisation pour du foot en salle et du padel. Ce poumon vert est un espace important pour les familles qui peuvent l’utiliser à leur guise : sa destruction va une fois de plus fortement baisser la surface des espaces verts à Taverny. C’est mauvais pour l’environnement, la biodiversité, la santé des habitants, le bien-être. Les bâtiments construits sur le terrain de rugby devraient être d’imposants hangars : des verrues dans le paysage, à côté du bois de Boissy. 16 900 m2 d’espaces naturels seraient ainsi détruits ! Le padel sera opéré par une entreprise privée et non par l’association du club de Tennis de Taverny (Cosmo). Le foot en salle également sera géré par cette entreprise privée Urban Soccer : alors qu’il existe déjà une entreprise de foot et padel en salle à Beauchamp à 3000 m. Celle-ci s’est d’ailleurs installée en zone d’activité de Beauchamp et non en centre-ville pour limiter les nuisances. Tandis qu’avec ce projet à Taverny les nuisances seront fortes, jusqu’à une heure du matin et les voitures nombreuses. Le terrain est situé à proximité des lycées et des collèges, entre les deux quartiers prioritaires de la ville. Il est utilisé pour les évènements, forum associatif, festival, course solidaire « Lisa Forever », rencontres sportives inter établissements. Il est donc préférable pour la commune et ses habitants de garder ce dernier grand terrain libre d’accès : Pourquoi cet acharnement de la maire et de sa majorité à vouloir tout bétonner et marchandiser ? Plus d'informations et les plans d'implantations sur : https://changeonsderetaverny.fr/2024/05/19/petition-terrain-de-rugby-sauvons-la-derniere-grande-pelouse-de-taverny/ Contact : [email protected] Avec les places de stationnement et la voie d’accès, la majeure partie du terrain est sacrifiée. Stop à la marchandisation : la ville a déjà vendu pour plus de 10 millions d’euros de terrains communaux. Nous nous appauvrissons : ce patrimoine nous apparatient à toutes et tous or il est cédé de façon irreversible à des promoteurs. Cette grande pelouse en accès libre est un bien commun : elle doit rester dans le patrimoine public ! Elle ne doit pas être vendue. Les activités sportives peuvent être organisées par nos associations : il n’est pas nécessaire de les privatiser. Ce sera cher, réservé à quelques uns et d’autant plus aberrant que tout près des terrains de foot et padel en salle sont déjà présents en nombre à Beauchamp. Mme le maire et sa majorité doivent abandonner ce projet délirant et toxique : le terrain doit au contraire être valorisé. 16 900 m2 d'espaces verts publics en milieu urbain, c'est un joyaux à préserver, à valoriser, à garder dans le patrimoine public : et non à vendre au privé et à bétonner. Sauvons cette pépite tabernacienne !5 248 sur 6 000 SignaturesCréée par Thomas C.
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Droit à l'alimentation - pour l'ouverture de Conseils Locaux de l'AlimentationPourquoi la Sécurité Sociale de l'Alimentation Durable ? La Déclaration Universelle des Droits de l’Homme de 1948 déclare, en son paragraphe 1 de l’article 25, que : “Toute personne a droit à un niveau de vie suffisant pour assurer sa santé, son bien-être et ceux de sa famille, notamment pour l’alimentation”. Par ailleurs, le droit à l’alimentation est reconnu en France par l’article L1 du Code rural précisant que : “Dans le cadre de la politique de l'alimentation définie par le Gouvernement, d'assurer à la population l'accès à une alimentation sûre, saine, diversifiée, de bonne qualité et en quantité suffisante, produite dans des conditions économiquement et socialement acceptables par tous, favorisant l'emploi, la protection de l'environnement et des paysages et contribuant à l'atténuation et à l'adaptation aux effets du changement climatique”. Aucune de ces garanties ne sont respectées aujourd’hui par le gouvernement ! Une France qui a faim : • 1/3 des Français·es ne mange pas 3 repas équilibrés par jour, faute de moyens. • En 2020, 7 millions de personnes ont dû avoir recours à l’aide alimentaire. Un système agricole qui broie les agriculteur·ice : • 1 à 2 paysan·nes se suicide tous les jours en France. • Les agriculteur.ices sont aussi les premières victimes des pesticides Un système agricole qui ne respecte pas les limites planétaires et menace notre sécurité alimentaire : • Le secteur agricole représente 1/5 des émissions de gaz à effet de serre de la France. • L’agriculture est la première activité utilisatrice d’eau douce, avec 58% du volume total consommé. • En 2022, les épisodes de sécheresse ont entraîné des pertes allant de 10 à 30% pour de nombreuses cultures Ce système agro-industriel capitaliste est à bout de souffle. Il est à la fois dangereux et contraire à la logique d'adaptation au dérèglement climatique. Notre gouvernement, par ses choix criminels délibérés, par son soutien à l’agro-business et par la guerre sociale qu’il impose aux plus pauvres, laisse une partie de sa population dans la faim, mine la santé des plus précaires, tue ses paysan.nes, détruit les terres qui nous nourrissent et menace notre sécurité alimentaire. Pourtant, des solutions justes et démocratiques existent et montrent déjà leur efficacité ! Pour que cesse l’ensemble de ces violences dont sont victimes les producteur·ices, les consommateur·ices et l’environnement, nous demandons la mise en place de Conseils Locaux de l’Alimentation (CLA). Ces conseils, initiés par les collectivités, seront ensuite gérés de manière démocratique par les citoyen·nes. Ces instances collectives sont une occasion de s’approprier les questions alimentaires et de rencontrer des producteur·ices locaux pour favoriser une agriculture durable. Au sein de ces conseils, les citoyen.nes pourront sélectionner et conventionner des aliments, des points de vente et des producteur.ices selon différents critères définis démocratiquement. Les Conseils Locaux de l’Alimentation ont pour objectif d’initier la mise en place d’une Sécurité Sociale de l’Alimentation Durable (SSAD). Actuellement, une trentaine d’initiatives locales de SSAD existent dans différents territoires en France. Notre objectif est qu’à terme, la SSAD soit étendue à tout le pays. Cette solution permettrait à chaque habitant.e, indépendamment de sa condition sociale, de bénéficier d’une carte vitale de l’alimentation d’un montant de 150€ tous les mois. Cette carte permettra d’acheter des produits sélectionnés et conventionnés préalablement par les citoyen.nes de manière démocratique. Comme pour la Sécurité sociale de la santé de 1946, le financement se fera par un système de cotisations, avec des caisses autogérées par les citoyen.nes, assurant ainsi une juste répartition. La SSAD permettra à la fois aux citoyen·nes de se réapproprier leur alimentation, de garantir une plus juste rémunération aux producteur.ices et d’amorcer une transition agricole vers un modèle plus durable. Parce que nous allons nous battre pour que notre droit à l’alimentation choisie soit respecté, signons cette pétition !89 sur 100 SignaturesCréée par Riposte Alimentaire Tours
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Les trottoirs pour les piétons et une vraie piste pour les cyclistes sur le pont Saint-Esprit !En effet, depuis les travaux de 2018 liés au Tram’bus, les expérimentations de circulation en place donnent lieu à une cohabitation malheureuse et dangereuse entre piétons et cyclistes, tandis que les bus sont régulièrement bloqués dans les embouteillages avec les voitures. Cette situation, qui dure depuis près de six ans, met en péril la sécurité de tous les usagers et nuit à la qualité de vie dans nos quartiers. C’est pourquoi nous demandons sans attendre des espaces séparés et sûrs pour les piétons et cyclistes, afin de faire du pont Saint-Esprit un véritable lieu de passage dynamique, bénéfique à toute la communauté. Il est temps de rendre le pont Saint-Esprit accessible, sûr et accueillant pour tous les Bayonnais.1 198 sur 2 000 SignaturesCréée par Txirrind'Ola
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Stop aux liens plastiques des poubelles, protégeons notre santé et l'environnementCes liens causent des dommages irréparables; il est temps d'agir, en mettant fin à cette pollution évitable. 1. Impact Environnemental Grave Les liens détachables des sacs poubelles, souvent non-recyclables, augmentent significativement notre empreinte plastique. Leur petite taille les rend difficiles à ramasser et à recycler, favorisant ainsi leur accumulation dans l'environnement. Ces liens en plastique ne se dégradent pas et peuvent subsister dans l'environnement pendant des siècles, contaminant nos sols et nos cours d'eau. Chaque année, 8 millions de tonnes de plastique finissent dans nos océans. Les créatures marines, y compris des espèces en danger comme les tortues marines et les cétacés, confondent souvent ces liens avec de la nourriture. Leur ingestion peut être fatale. Les oiseaux, pris au piège, peuvent subir des mutilations ou mourir d'épuisement et de faim. La sécurité de notre biodiversité est en jeu. Ce n'est pas seulement une pollution visuelle, c'est une crise écologique. 2. Danger pour la santé humaine Pour nous, les humains, ces liens représentent un risque direct. Les liens en plastique peuvent causer des coupures et des blessures, en particulier pour les enfants. Ils peuvent également être ingérés accidentellement par des jeunes enfants, ce qui peut entraîner des étouffements ou des occlusions intestinales. Ils sont potentiellement dangereux pour les Seniors provoquant des chutes accidentelles par amoncellement sur les trottoirs. De plus, en se décomposant, ils se transforment en microplastiques, infiltrant la chaîne alimentaire et impactant notre santé de manière encore inconnue et imprévisible. Selon l'étude menée par l'université de Newcastle en 2019, 52.000 microparticules de plastique finissent dans nos assiettes chaque année. Malgré ça, la production de plastique augmente de 4% par an depuis 2000. Chaque lien abandonné peut devenir une menace invisible mais persistante. 3. Difficultés de recyclage Actuellement, le recyclage des liens en plastique est complexe et coûteux, et la plupart finissent dans nos décharges ou incinérateurs, libérant des toxines dans l'air et le sol. Beaucoup d'entre eux sont irrécupérables, car dispersés en fragments dans nos campagnes. Nous avons des alternatives viables et respectueuses de l'environnement, telles que des liens en matériaux biodégradables ou des sacs avec fermetures intégrées. 4. Existence d'alternatives Des solutions existent déjà : de nombreux fabricants proposent des sacs poubelles équipés de liens biodégradables ou compostables. Ces alternatives sont non seulement efficaces mais aussi bénéfiques pour notre environnement. Déjà, grâce à la Directive (UE) 2019/904, les fabricants sont tenus de solidariser les bouchons aux bouteilles en plastique. Adopter ces alternatives est un pas vers un mode de vie plus sûr et durable pour chacun de nous. Conclusion L'interdiction des liens en plastique dans les sacs poubelles est une action cruciale pour protéger notre planète et assurer un avenir sain pour les générations à venir. Votre signature sur cette pétition peut pousser l'Union européenne à agir à la veille des élections européennes. Ensemble, faisons entendre notre voix pour un changement positif. Signez cette pétition maintenant et partagez-la largement. Chaque signature compte, chaque action compte – et rapproche notre communauté d'un environnement plus propre et plus sûr pour nous tous.87 sur 100 SignaturesCréée par Bianca M.
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