• CESSON, Arrêt de la chasse dans le bois brûlé et petites forêts près des habitations
    Pour ou contre, Depuis 2 ans la chasse à Cesson est de plus en plus près des habitations et les règles qui la régissent semble de moins en moins respectées. En effet, en période de chasse , nous sommes face à des situations anormales telles que de retrouver des animaux morts des jours après avoir été abbatus, des coups de feux qui semble être trop près des habitations et absolument aucune comunication et contrôle sur ce qui se passe. Les petites forêts près de Cesson n'ont pas besoin d'être regulées au vu de leurs tailles, du nombres d'animaux qui y vivent et de la proximité des habitations. Par conséquent la chasse n'a pas sa place dans ces bois. À ce stade, elle est plus facteur de risques et source de dérangement pour les habitants qu'utile à la biodiversité. Chaque signature supplémentaire démontrera un peu plus l'importance de ce sujet pour les Cessonnais
    262 of 300 Signatures
    Created by Dimitri G.
  • SAUVONS LES CHALETS FLOTTANTS DE LA GALIOTTE !
    SAUVONS LES CABANES FLOTTANTES DE L'ETANG DE LA GALIOTTE !!! Un joyau du Patrimoine des Yvelines, unique en Ile de France, est sur le point de disparaître. Le département des Yvelines a décrété pour fin 2025 la destruction des 37 cabanes flottantes de l’Etang de la Galiotte. C'est un pan de l'histoire et de l'architecture de Carrières-sous-Poissy qui va être effacé... Un incompréhensible gâchis: Les rives fleuries de ce site charmant et poétique abritent au sein du Parc du Peuple de l’herbe un ensemble architectural exceptionnel dans notre région.  Immortalisé par Yann Arthus Bertrand, ce village lacustre de pêcheurs est blotti depuis 50 ans entre Poissy et Carrières-sous-Poissy.  Ces cabanes sont un formidable exemple d'habitat bas carbone et écologique, car elles tirent leur énergie de panneaux solaires ou de petites éoliennes, sont économes en eau, et équipées de toilettes sèches. Nous voulons investir encore afin de faire des cabanes flottantes  un exemple rayonnant d'excellence écologique qui n'aurait plus aucun impact sur la faune et la flore de l'étang de la Galiotte.  Nous avons pourtant proposé  au département des solutions innovantes pour conserver les cabanes flottantes tout en respectant l’environnement, au sein d'un projet culturel: résidences d'artistes, visites éducatives et scolaires autour de nombreux sujets liés aux oiseaux, à l'écologie et à cet habitat original. AGISSONS  POUR PROTEGER CET ENSEMBLE UNIQUE Venez nombreux nous rencontrer à l'étang de la Galiotte et contempler cet endroit exceptionnel, en observant, dans le silence, les hérons, les cygnes, les foulques macroules, les poules d'eau et de nombreux autres oiseaux... Signez la pétition !  Votre signature peut faire la différence. MERCI de nous aider à sauver ce joyau du Patrimoine des Yvelines!     www.galiotte.net                                                 [email protected]
    3,691 of 4,000 Signatures
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  • Transports publics Gratuits & Performants - Grand Poitiers
    🚌 Des transports publics performants et gratuits à Grand Poitiers : une nécessité 🌍 À Grand Poitiers, le réseau de bus Vitalis a bien des défauts : • ⏰ Horaires de vacances scolaires inadaptés aux travailleur•euses et étudiant•es • 💸 Tarifs ne correspondant pas à la réalité sociale et démographique de Grand Poitiers • 📍 Quartiers et communes périphériques mal desservies • ♿ Accessibilité incertaine pour les personnes en situation de handicap, notamment en heures de pointe • 🌙 Service réduit voire absent en soirée, la nuit et en fin de semaine... Pourtant, le droit au déplacement est un droit inaliénable. Pouvoir aller où l’on veut, quand on veut, pour exercer une activité scolaire, professionnelle, associative, culturelle ou pour se promener librement doit être garanti et défendu ! 🆓 La gratuité des transports donnerait ces possibilités à tous et toutes. Mais prise seule, elle serait insuffisante. Il faut développer un réseau de transports publics : • 🚍 Accessibles • 🕒 Denses et fréquents • ⚡ Rapides • 🆓 Gratuits • 🤝 Définis par et pour les habitant•es en concertation avec les travailleur•ses du réseau. 📈 La gratuité du service permettrait : • 🏫 Une meilleure accessibilité aux services publics • 👫 Une plus grande participation à la vie collective et aux évènements culturels • 🌱 Des bienfaits écologiques et de santé publique (🚶‍♂️ Une ville sans voiture = une ville apaisée !) 🚲 Le vélo c'est bien, mais... tout le monde ne peut pas en posséder ou en faire, pour des raisons de logistique de stockage, coût économique ou problèmes de santé. Nous réclamons : • 🔄 Une meilleure desserte des quartiers et communes périphériques • 🌙 Un meilleur service de soirée/nuit et le dimanche (plus de fréquence et meilleure desserte) • 🆓 La gratuité des transports publics pour une égalité d'accès ! 🌍 Et oui, la gratuité c’est possible ! De nombreuses villes ont déjà fait ce choix : Dunkerque, Montpellier, Aubagne, Calais, Châteauroux... À Grand Poitiers, cela pourrait être financé en grande partie par le Versement Mobilité des entreprises qui existe déjà. En 2020, Poitiers Collectif (liste élue à la municipalité) déclarait vouloir changer Poitiers : “Nous devons tendre vers la gratuité des bus” et “plus aucune décision politique ne doit être prise qui n’irait pas dans le sens de la transition écologique”. Face à l’urgence sociale et climatique, nous demandons que ces engagements soient tenus !  🌍🔥 N'hésitez pas à interpeller vos élu•es municipaux pour que le sujet soit abordé en conseil de Grand Poitiers.
    2,148 of 3,000 Signatures
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  • Sauvons Novethic, menacé de fermeture
    Depuis 20 ans, Novethic est un acteur essentiel de la transition écologique et sociale en France, qui participe à une mission d'intérêt général plus que jamais essentielle : informer et former les acteurs économiques et le grand public sur les enjeux du réchauffement climatique, de la crise de la biodiversité ou encore de la transformation durable de l'économie.  A travers son média, son centre de recherche et de formation, et ses activités de labellisation, Novethic a contribué à sensibiliser des dizaines de millions de personnes et contribue chaque jour aux progrès de la transformation durable de notre économie. Mais depuis plusieurs mois maintenant, cette mission d'intérêt général est menacée de disparaître. La Caisse des Dépôts et Consignations (CDC) actionnaire unique de Novethic menace en effet de mettre fin à la subvention qu'elle accorde à Novethic pour remplir sa mission depuis plus de 20 ans. Or depuis des mois, des informations parcellaires sont envoyées aux salariés de manière plus ou moins officielles, la plus récente mentionnant la mise au vote, lors d’un comité d’engagement, d’une provision pour la possible fermeture de Novethic.  Une situation d’autant plus incompréhensible que Novethic répond à la raison d’être de la CDC, c’est-à-dire "accélérer la transformation écologique". La CDC doit d’ailleurs investir plus de 100 milliards d'euros dans les cinq prochaines années pour la transition écologique et sociale, alors pourquoi laisser mourir Novethic ?  A l’heure où la crise climatique et environnementale doit nous pousser à agir et transformer nos modèles socio-économiques, nous rappelons la pertinence d’un média et d’un centre de recherche comme le nôtre, ni militant ni orienté politiquement, et reconnu dans le secteur comme un acteur clé, portant depuis 2001 le sujet de la transition écologique et sociale. Nous rappelons par ailleurs que des métiers, moins visibles mais tout aussi cruciaux pour le maintien de Novethic sont en danger : les communicants, commerciaux, formateurs… effectuent un travail remarquable pour maintenir nos activités. Les salariés ne peuvent être sacrifiés et payer les pots cassés d’une stratégie court-termiste. Nous, salariés, de Novethic, lançons un mouvement de grève ce mercredi 16 octobre et réclamons : • La transparence de la CDC sur les scénarios envisagés pour l’avenir de Novethic  • D’être intégrés dès aujourd’hui au processus de discussion avec les personnes décisionnaires de notre avenir à la CDC via nos représentants CSE et nos représentants de la société des journalistes de Novethic   Nous rappelons par ailleurs que :  • Novethic a été créé en 2001 pour répondre à une mission d’intérêt général qu’il remplit avec succès. Les discussions ne peuvent se fonder uniquement sur la rentabilité des activités non subventionnées. Un autre modèle peut advenir.  • La situation financière dans laquelle se trouve Novethic ne peut être imputée aux salariés qui n’ont pas été impliqués dans la stratégie et les décisions de la direction de Novethic et de la CDC ces 20 dernières années.   Nous dénonçons enfin :  • Les tentatives d’intimidation envers des salariés avec lesquels nous sommes tous solidaires • Une situation irrespirable qui participe à une recrudescence des risques psychosociaux   Nous avons besoin de vous, de votre soutien. N'hésitez pas à relayer sur les réseaux sociaux notre appel et à interpeller la Caisse des dépôts. On compte sur vous !
    9,098 of 10,000 Signatures
    Created by Marina F.
  • Trains trop chers, la solution : taxons l'avion ✈️
    Vous est-il déjà arrivé de prendre l’avion plutôt que le train pour des raisons de budget ? Avez-vous déjà eu envie de réduire, voire d'arrêter de prendre l’avion par conviction écologique même si pour certains déplacements importants (comme retrouver votre famille à noël) vous n’en avez pas toujours les moyens ? Et bien figurez vous que si l'avion coûte si peu cher comparé au train, c'est avant tout le résultat d'un choix politique. Un choix politique sur lequel on peut aujourd’hui revenir.  Car le gouvernement est en ce moment même en train de peaufiner son nouveau projet de loi finances. L’occasion de rétablir des mesures justes et efficaces, comme le relèvement de la taxe de solidarité sur les billets d’avion, dite « Taxe Chirac ».  Cette taxe, qui existe depuis 2005, est calculée selon la destination finale et la classe de voyage (économique ou classe affaires). Prélevée auprès des compagnies aériennes, elle aurait exactement le même effet qu’une taxe sur le kérosène mais sans attendre que tous les pays se mettent d’accord au niveau européen ou international. Aujourd’hui son montant est dérisoire et ne permet absolument pas ni de remplacer une taxe sur le kérosène ni de financer le ferroviaire (2,50 € pour les vols vers l’Europe et 7€ pour les vols à l’autre bout du monde). Quand, dans d’autres pays européens comme le Royaume-Uni, elle va jusqu’à 100 euros pour un voyage transatlantique. Ce que nous demandons, c’est qu’elle soit aujourd’hui réévaluée selon les recommandations de la Convention citoyenne pour le climat à :  • 30 euros pour les courts courriers • 60 euros pour les longs courriers Bien sûr, il n’est pas question de pénaliser les Ultramarins qui n’ont souvent pas d’autre alternative que l’avion. Les vols vers les Outre-mer bénéficieraient ainsi d’un statut fiscal particulier, et seraient donc entièrement exonérés. Ce relèvement de la « Taxe Chirac » réduirait les émissions du secteur aérien de 8 %, en ciblant en priorité les plus aisés, et en générant près de 4 milliards d’euros supplémentaires de recettes, qui seraient ensuite directement fléchés vers le secteur ferroviaire, selon les modélisations du Réseau Action Climat.  En utilisant encore plus spécifiquement cet argent pour les projets de régénération et de modernisation du réseau ferroviaire, on pourrait démultiplier l’offre ferroviaire, et diminuer le coût d’un voyage en train. Une partie de ces recettes pourrait également être utilisée pour offrir un billet de train par an à très petit prix pour tous les Français A plus long terme, il nous semble également indispensable que les députés étudient une autre mesure qui pourrait s’avérer encore plus juste et efficace et qui pourrait se substituer à la « Taxe Chirac » : la taxation des grands voyageurs (TGVA). Nous refusons de cautionner une année de plus ce régime fiscal d’exception qui profite toujours aux mêmes personnes et qui alimente la crise climatique. C’est pourquoi nous demandons à nos députés de prendre cette mesure fiscale simple, socialement juste, crédible et facile à mettre en place, qui permettra de réduire les émissions du secteur aérien et de financer le ré-investissement dans le secteur ferroviaire. Signez la pétition et interpellez les parlementaires à nos côtés, nous n’avons que quelques jours pour prendre un tournant plus juste et durable. Signataires : Camille Etienne avec le Réseau Action Climat (RAC), Rester sur Terre et Fridays For Future France. Références :  • Rapport du réseau action climat “Comment réduire le trafic aérien de manière juste et efficace”, 2024  : https://reseauactionclimat.org/wp-content/uploads/2024/09/rac-trafic-aerien-web.pdf  • Scénarios de décarbonation du trafic aérien, ADEME 2022 : https://librairie.ademe.fr/mobilite-et-transports/5815-elaboration-de-scenarios-de-transition-ecologique-du-secteur-aerien.html • Décryptage “Rester sur Terre”, “L’aviation, c’est bien plus que 2 % du réchauffement ! Comment le secteur aérien minimise son impact climatique” : https://rester-sur-terre.org/aviation-bien-plus-que-2pourcent-du-rechauffement-comment-le-secteur-aerien-minimise-son-impact-climatique/
    26,346 of 30,000 Signatures
    Created by Camille Etienne
  • Bassin et étang de Thau : STOP au droit à polluer des milieux aquatiques et marins
    Cette priorité accordée à l’urbanisation a conduit à une forte augmentation de l’artificialisation des sols, compromettant l’équilibre écologique et économique du bassin de Thau.  Les professionnels de la mer, associations protectrice de l'environnement en tant que véritables sentinelles de cet écosystème, constatent chaque jour l’agonie de l’étang de Thau, entraînant avec elle la disparition progressive de ses usages et de ses usagers. Face à cette situation critique, il est urgent de reconsidérer la stratégie de développement du territoire.  Après dix années le SMVL n'a été que propice à aggraver la situation de l'écosystème du bassin et étang de Thau. Tout comme les priorités politiques ont évolué par le passé, il est impératif de redonner la prééminence au SMVM afin de rétablir un équilibre durable entre protection de l’environnement et développement économique.  Il en va de la survie même de l’étang et de ses acteurs. Le collectif "CHOEUR de THAU" sur telegram androïd ou PC https://t.me/+lsdA50T10L4xNzhk Contact : [email protected]
    3,875 of 4,000 Signatures
    Created by Collectif "CHŒUR DE THAU"
  • Non aux EPR2 à Gravelines : danger pour les habitants et les générations futures
    Dangers environnementaux et industriels : Un cocktail explosif 1. Le risque de crue dans le delta de l'Aa   Le site de Gravelines est situé dans une zone particulièrement vulnérable aux inondations, notamment le polder du delta de l’Aa, connu sous le nom de "Pays des Wateringues". Ce polder est une terre basse entourée de digues, qui repose sur un équilibre hydrologique précaire, rendu encore plus instable par la montée des eaux liée au changement climatique. Si en 1953, une inondation historique a déjà frappé cette zone, il y a également eu des inondations début 2024, rappelant la fragilité du littoral face aux phénomènes naturels extrêmes, par ailleurs amenés à s’accentuer, au risque des tempêtes, potentiellement accentué par grandes marées, s’ajoute désormais la montée des eaux marines liée au dérèglement climatique... 2. La proximité des sites Seveso : une zone à hauts risques industriels Le Dunkerquois est une région déjà fortement industrialisée, avec une concentration de sites classés dangereux (sites Seveso), dont plusieurs se trouvent à proximité immédiate de la zone retenue pour la construction des deux nouveaux réacteurs. Ajouter une centrale nucléaire au cœur de cette zone particulièrement sensible constitue un risque supplémentaire majeur. En cas d'incident sur l'un de ces sites Seveso, les conséquences pourraient être aggravées par la proximité du réacteur nucléaire, augmentant la probabilité d'un scénario catastrophe. La sécurité des habitants du Dunkerquois, ainsi que celle des travailleurs de ces installations, serait gravement compromise par la cohabitation entre une nouvelle centrale nucléaire et ces infrastructures à haut risque.   3.  Un territoire sur-nucléarisé : le plus grand pôle nucléaire au monde Le projet de construction de deux réacteurs EPR2 à Gravelines ferait de cette zone le premier pôle nucléaire mondial, avec une concentration unique de réacteurs. Actuellement, la centrale de Gravelines compte déjà six réacteurs de 900 MW chacun. Si deux nouveaux réacteurs EPR de 1600 MW chacun venaient s’y ajouter, cela porterait la capacité totale à un niveau jamais atteint dans une seule et même localité. Ce niveau de concentration nucléaire est extrêmement préoccupant pour la sécurité régionale et nationale. Les répercussions en cas d’incident seraient d’une ampleur inédite. Il est inadmissible de faire de notre région un laboratoire nucléaire à ciel ouvert, en ignorant les leçons des catastrophes passées, telles que Fukushima ou Tchernobyl. 4. Vieillissement des infrastructures : une coexistence dangereuse   L'installation des EPR2 à Gravelines se ferait en parallèle du vieillissement des six réacteurs existants, dont certains, déjà en fin de vie, sont ou seront prolongés. Ils sont amenés à être démantelés selon un processus long et complexe (le démantèlement d'un réacteur nucléaire peut durer jusqu'à 40 ans), pendant lesquels des déchets radioactifs hautement dangereux, comme les générateurs de vapeur irradiés, restent sur le site. Face à ces risques majeurs (submersion marine et fluviale, concentration de sites industriels classés comme dangereux et coexistence entre réacteurs vieillissants et nouveaux), et comptant l’impact potentiel sur la biodiversité marine et la pêche artisanale, nous demandons à l’Etat une réponse appropriée, ambitieuse et sans ambiguïté.  Nous demandons au gouvernement d’abandonner ce projet dangereux et de privilégier des solutions énergétiques plus sûres et durables comme les énergies renouvelables. Une transition énergétique avec un mix basé sur les énergies renouvelables est possible, et essentiel pour assurer un avenir sûr et durable à notre région, tout en étant rapide à mettre en œuvre et générant de nouveaux emplois. 💥 Citoyen·es du Dunkerquois et des Hauts-de-France, nous devons pouvoir choisir l'avenir énergétique de notre région et pays, avec l'objectif de laisser un territoire sûr et viable à nos enfants. Mobilisez-vous à nos côtés pour dire NON à ce projet nucléaire imposé ! Nous avons l’opportunité d’affirmer notre opposition au projet et de faire prendre conscience largement des dangers qui pèsent sur notre territoire en participant largement à l’enquête de la Commission Nationale du Débat Public (CNDP), ouverte du 17 septembre 2024 au 17 janvier 2025. L’enjeu est de taille, mobilisons-nous !   👉 Vite, il y a urgence, signez la pétition et partagez-la autour de vous. 
    14,095 of 15,000 Signatures
    Created by Collectif régional STOP EPR Hauts-de-France
  • Pour la désinstallation immédiate du terminal méthanier du Havre
    Poussé par TotalEnergies, le terminal méthanier flottant du Havre a été installé en septembre 2023, dans l’urgence, sans pour autant répondre à un réel enjeu de sécurité énergétique (1,2). Au-delà des risques et des émissions considérables de gaz à effet de serre, cette installation renforce notre dépendance aux énergies fossiles, dont nous devons pourtant nous extraire progressivement. Signez la pétition pour demander la désinstallation immédiate du terminal méthanier du Havre ! 👉 Une installation conduite sous l’influence de TotalEnergies, dans l’urgence, et sans évaluation environnementale Dans son rapport de juin 2023, Greenpeace indique que TotalEnergies a influencé l'Etat afin d'augmenter les importations de GNL et pousser l'installation d'une nouvelle infrastructure. La crise liée à la guerre en Ukraine n’était qu’un prétexte, car, paradoxalement en 2022 TotalEnergies continue ses importations de GNL provenant de Russie (1,3).  Le projet de terminal méthanier a été intégré dans le cadre de la loi « pouvoir d’achat » votée le 3 août 2022 et promulguée le 16 août 2022 en procédure accélérée. En raison de son classement d’intérêt public, le terminal méthanier flottant a été installé, sans enquête publique, par  décision administrative accélérée et sans évaluation environnementale.  👉 Des risques industriels  Ce  terminal méthanier situé derrière l'écluse François 1er, à proximité du quartier des Neiges et des sites SEVESO, présente, en cas de fuite de méthane voire d’explosion, un danger imminent pour les résidents, usagers et salariés de l’agglomération Havre Seine Métropole. Une plainte au TA de Rouen est déposée sur ce point. 👉 Une infrastructure loin d’être indispensable, et contraire aux objectifs européens Du point de vue de la sécurité énergétique de la France, on constate que les installations existantes ne souffrent pas de pénurie et que les réserves sont suffisantes sans l’apport du terminal méthanier du Havre (2). Il est donc légitime de s’interroger sur les raisons de ce projet. Cette question se pose d’autant plus que le taux d’utilisation du terminal n’a pas dépassé 37% (4).  À ces éléments s’ajoute le cap pris au niveau européen visant une réduction de la consommation de gaz de 30% d’ici 2030. Par ailleurs, en France, celle-ci a baissé de 11% entre 2022 et 2023 (niveau le plus bas depuis au moins 20 ans) et les importations de GNL ont diminué de 15% durant cette même période (1). 👉 Un impact carbone lourd Si le GNL est souvent vanté comme une alternative aux autres énergies fossiles, il contient principalement du méthane, un gaz à effet de serre 84 fois plus puissant que le CO2 sur vingt ans. Une étude impliquant la NASA, Harvard et Duke a montré qu'un taux de fuite de seulement 0,2 % pourrait rendre le GNL plus dommageable pour le climat que le charbon (5). Par un tour de passe-passe, le terminal méthanier considéré comme une usine "à quai" est régi par le code maritime. Il échappe ainsi à la réglementation des installations classées pour l'environnement (ICPE), qui impose des quotas de CO2 aux infrastructures terrestres. Or, l'injection prévue au Havre de 5 milliards de m3 de GNL (par an) générera, sur le site, environ 200 000 tonnes d'équivalent CO2 (6). Sur cinq ans d'exploitation, cela représenterait un million de tonnes, équivalent aux émissions territoriales moyennes de 45 000 français·es. De plus, l’approvisionnement par liquéfaction du gaz en GNL (comprenant son transport maritime et sa regazéification) est plus énergivore et émet plus du double de gaz à effet de serre que la livraison par gazoduc international. 👉 Pendant ce temps-là, l’industrie pétro-gazière continue de s’enrichir Alors que 2023 a été une année marquée par des records de chaleur touchant 12 millions de précaires énergétiques en France et des factures d'énergie en hausse pour de nombreux ménages, TotalEnergies a accumulé un bénéfice net record de près de 20 milliards d'euros. Malgré ses engagements dans les énergies renouvelables, l'entreprise a alloué trois fois plus d'argent aux actionnaires qu'aux investissements "bas carbone" (7). L’importation de plus de GNL, justifiée pour garantir la sécurité énergétique, semble en réalité avoir favorisé l’augmentation des marges de TotalEnergies au détriment de la sécurité, de la santé des Havrais et de la lutte contre le réchauffement climatique. ❌ Pour toutes ces raisons, nous demandons à Emmanuel Macron et à ses ministres de s’engager en faveur d'une désinstallation immédiate du terminal méthanier. Au-delà des problèmes que pose ce terminal méthanier à l’échelle locale, il est l’expression d’une politique énergétique absurde et dangereuse.  Signez cette pétition aujourd’hui et partagez-la autour de vous 🙏 Références 1) « Terminal méthanier flottant du Havre : symbole d’une politique climatique et énergétique à la dérive » Rapport GreenPeace; Juin 2023 2)  « Au Havre, l’installation d’un nouveau terminal méthanier repose sur un mensonge d’État» Pierre Leibovici chez Disclose; Juin 2023. 3) « TotalEnergies inonde la France de gaz russe » Mickaël Correia chez Mediapart; Février 2023. 4) Ce taux a été calculé entre décembre 2023 et Mars 2024. 5) Gordon, D., Reuland, F., Jacob, D. J., Worden, J. R., Shindell, D., & Dyson, M. (2023). Evaluating net life-cycle greenhouse gas emissions intensities from gas and coal at varying methane leakage rates. Environmental Research Letters, 18(8), 084008 6) « CO2 et paradis fiscaux, la face cachée du terminal méthanier flottant du Havre » Vincent Rondreux (Le Poulpe) chez Mediapart; Février 2023. 7) « 21,4 milliards de dollars : les profits records de Total en 2023»  En bref-Énergie, Reporterre; Février 2023.
    20,122 of 25,000 Signatures
    Created by Collectif Climat le Havre
  • 12 Milliards de nos impôts pour 140 km de tunnels inutiles
    Dans le cadre du projet Lyon-Turin, sur la partie française entre Lyon et Saint Jean de Maurienne, il est envisagé pour le fret ferroviaire, d’abandonner la voie actuelle pour creuser près de 140 km de tunnels en traversant entre autre les montagnes de la Chartreuse, de Belledonne et du Glandon. Cette solution : ·         est démesurée, avec 6 doubles tunnels inutiles, ·         provoque un gaspillage de plus de 12 milliards d’euros, ·         va détruire de multiples écosystèmes, assécher des communes, et pénaliser lourdement les agriculteurs.          Il existe une alternative économisant 12 Milliards et respectant les souhaits des habitants et préservant les écosystèmes : ·         Economiser 12 milliards de dépenses inutiles pour creuser les tunnels du Glandon, de Belledonne et de la Chartreuse, ·         Se contenter du double tunnel prévu entre la Tour-du-Pin et Chambéry (tunnel de Dullin-L’épine) car il s’agit de la partie où les trains ne roulent qu’à 59 km/h, ·         Abandonner les 104,8 km des doubles tunnels intitulés Chartreuse, Belledonne et Glandon ·         Abandonner les 35,2 km des doubles tunnels (Bourgoin-Ruy , Sainte Blandine, La-Bâtie-Montgascon) car ils sont dans une zone de plaine où les TER roule déjà à une moyenne de 97 km/h, ·         Réinvestir vers des projets plus performants écologiquement, et qui correspondent aux besoins des français : ·         Réinvestir dans les trains régionaux afin de diminuer rapidement les flots de  véhicules en Rhône Alpes,  ·         Satisfaire les besoins des usagers qui constatent une fiabilité très incertaine (84,7 % des TER arrivent à l’heure en Rhône Alpes) et des temps de transports trop important entre La Tour-du-Pin et Chambéry,  ·         Pénaliser lourdement les transports par poids lourds pour inciter au fret ferroviaire (comme l’a fait la Suisse), ·         Livrer la solution dès 2030 et non pas en 2040 voire 2050 selon le projet Lyon-Turin qui dérape constamment.   Question : quels sont les besoins des habitants ? ·         Améliorer les trains régionaux (*) car ils sont très peu fiables, et sont particulièrement lents dans le  secteur La Tour-du-Pin - Chambéry, ·         Supprimer le plus possible la circulation autoroutière dans les différentes vallées qui provoque de multiples pollutions (CO2 et particules fines) en la reportant très rapidement (pour les camions) sur le fret ferroviaire, ·         Ne pas attendre 2040/2050 comme le prévoit le Lyon -Turin pour avoir des camions sur les trains, ·         Ne pas abimer la montagne, notamment les sources d’eau, les forêts, et les ressources des agriculteurs. (*) les trains régionaux : Lyon-Chambéry, Lyon-Grenoble, Chambéry-Annecy, Chambéry-Saint Jean de Maurienne) Question : Pourquoi le coût est-il pharaonique ? L'estimation du coût global du Lyon-Turin est passée : ·         de 12 milliards d'euros en 2002, ·         à 26,1 milliards d'euros, en 2012 (Cour des Comptes Française), ·         à environ 30 milliards avec l’inflation en 2020 (cour des comptes européenne) ·         estimation sommaire à 34 milliards. Le coût du seul tunnel de base (*1) est passé :  ·         de 5,2 milliards d’euros en 2002, ·         à 9,6 milliards d'euros au printemps 2023  ·         à 11,4 milliards d’euros selon TELT en juillet 2024. L’aménagement des voies françaises (entre Lyon et Saint Jean de Maurienne)  ·         est estimée à 15 milliards d'euros, en juillet 2022, par Jean Castex, ·         actualisation à 16,38 milliards (inflation de 9,2% entre 07/2022 et 07/2024).Question : Quelles conséquences sur l’environnement ? On constate actuellement, avec seulement 22% des tunnels  creusés entre Saint Jean de Maurienne et l’Italie (Suze) : ->  Un asséchement des sources de plusieurs villages rendant l’agriculture problématique, -> Le creusement d’un tunnel en 2019, a selon Médiapart, vidé de son eau un pan de montagne dans la vallée de la Maurienne, en Savoie, provoquant l’accélération de l’affaissement du barrage du Pont des chèvres, situé à Orelle en Maurienne, -> Pour creuser les 6 doubles tunnels que nous jugeons inutiles, soit au total 140 km de tunnels, 800.000 poids lourds devront évacuer les 8,5 millions de m3 de gravats.  Question : Pourquoi la ligne actuelle n’est pas satisfaisante ? Actuellement, les trains sont particulièrement lents entre La tour du Pin  et Chambéry. Moyennes actuelles constatées : ·         59 km/h par TER entre la Tour-du-Pin et Chambéry (*1) ·         97 km/h: par TER entre Lyon et la Tour-du-Pin (*2) ·         109 km/h par TGV entre Chambéry et Saint Jean de Maurienne (*3) Actuellement, le trajet Lyon Chambéry- Saint Jean de Maurienne dure 2h10  ·         En train, 181 km, en 2h10, soit une moyenne de 83 km/heure ·         En voiture (selon Mappy), 1h55 heures soit une moyenne de 94 km/h (avec 23,2 euros de péage)   Hypothèse 1 : Rénovation des lignes existantes avec le nouveau double tunnel de Dullin-l’épine : 1h49 Scénario où l’on n’ajoute que le double tunnel Dullin-L’épine sur la partie où aujourd’hui les trains sont anormalement lents. Hypothèse des nouveaux temps de transport : ·         Lyon - Chambéry : 1h10 pour 105 km, (moyenne de 90 km/h), ·         Chambéry - Saint Jean de Maurienne : 39 minutes par TGV pour 75 km (moyenne de 115 km/h), ·         il faudrait donc 1heure 49 entre Lyon et Saint Jean de Maurienne, ·         Donc 6 minutes plus rapide qu’en voiture ! ·         30,4 km de tunnels creusés dans ce scénario (tunnel de Dullin doublé pour fret et voyageurs)   Hypothèse 2 avec les nouveaux tunnels (*1): 1h14 ·         on suppose qu’une hypothétique ligne plus directe ne ferait que 160 km avec 6 doubles tunnels ·         on suppose que le train pourrait rouler à une vitesse moyenne de 130 km/h ·         il faudrait donc 1heure 14 entre Lyon et Saint Jean de Maurienne  ·         170,4 km de tunnels creusés dans ce scénario (30,4 pour Dullin-L’épine et 140 km pour les 6 autres) Différence entre les 2 scénarios environ 35 minutes  (*1) les 7 tunnels prévus dans le projet Lyon-Turin entre Lyon et Saint Jean de Maurienne sont  des tunnels doubles pour les voyageurs et le fret : Le double tunnel qui nous semble utile (30,4 km): Dullin-L'Épine de 15,2 km débouchant sur la cluse de Chambéry, Les 6 doubles tunnels qui nous semblent inutiles (140 km): Bourgoin-Ruy (7,1 km), Sainte Blandine (2,1 km), La-Bâtie-Montgascon (8,4 km),  Chartreuse (24,7 km), Belledonne (19,7 km), Glandon (8km).
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    Created by philippe S.
  • Soutien à Paul Watson
    La justice Danoise détient Paul Watson, fondateur de Sea Shepherd Conservation Society, depuis le 21 Juillet 2024. La justice Danoise doit se prononcer sur l'expulsion de Paul Watson vers le Japon suite à un mandat d'arrêt international lancé par le Japon en2012. Paul Watson risque jusqu'à 15 ans de prison pour s'être opposé aux baleiniers japonais qui massacrent tous les ans des milliers de baleines. Expulser Paul Watson.vers le Japon reviendrait à le condamner à mort vu son âge (74 ans). Il est urgent de signer car les Danois se sont donnés jusqu'au 2 octobre pour se prononcer.
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    Created by Pascal A.
  • Pas de port fluvial de plaisance à Anse !
    “Un budget pharaonique, pour un projet climaticide” Un budget total de 39,5 millions d'euros dont le montage financier est pour le moment annoncé comme suit :  • 3 millions d’€ de la commune d’Anse • 1,5 million d’€ du Département • 1,5 million d’€ de la Communauté de communes Beaujolais Pierres Dorées • 300 000€ de l'agglomération de Villefranche-sur-Saône • 1,2 million d’€ de la Région par un “Contrat Plan État-Région” La métropole de Lyon, qui devait contribuer à hauteur de 300 milles euros, s’est désengagée suite à l’arrivée des Écologistes au pouvoir en 2020.  “« Aller creuser un port dans une zone humide ne nous paraissait écologiquement pas une bonne chose. D’autant que les zones humides sont parmi les milieux naturels les plus impactés ces dernières décennies. » ”  Pierre Athanaze, vice-président de la Métropole, à Rue 89 Lyon Déjà 6 millions d’€ ont été engagés pour le retroussement et diverses études. Et le projet prévoit pour la suite 32 millions d’euros d’investissement pour les travaux d’infrastructure de la zone (électricité, eau, réseau égouts, accès etc....) et les compensations écologiques. Ils n’incluent ni les logements, ni bâtiments commerciaux ou industriels... Une destruction du fragile écosystème reconstruit * La roselière et des peupliers centenaires  détruits pour creuser l’entrée du port * des espèces menacées : Lèche à épis noirs, fritillaire pintade, gratiole officinale, euphorbe des marais, hérissons, castors, tritons, guêpier d’Europe, chiroptères et divers oiseaux migrateurs… la liste des espèces qui sont menacées par le projjet, faite par la LPO, est tristement longue...  Et avec le million de visiteurs attendus par an, il y a de quoi émettre des réserves quant à la considération de la disparition de la biodiversité…
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    Created by Alternatiba VBS Picture
  • Sauvons le Bois de la Tannerie
       Protégeons les arbres en espace urbain. Empêchons l'abattage du Bois à Waremme • Votre signature donnera du poids à notre action auprès des élus. • Votre don  https://donorbox.org/tannerie nous aidera à sauver le bois. Votre don est utilisé à 100% pour la défense du Bois de la Tannerie au Conseil d'Etat. Pétition adressée au Collège échevinal de Waremme et au Gouvernement Wallon pour sauver l'abattage du dernier bois, en centre-ville de Waremme, jouxtant l'étang et en bord de rivière "le Geer". Nous, le  Collectif "Sauvons de Bois de la Tannerie", contestons l'arrêté ministériel du 09 juillet 2024,  délivré par le SPW Territoire, Logement, Patrimoine, Energie; qui autorise la construction d'un immeuble de 4 étages, sur des terrains situés à 4300 Waremme, rue de la Tannerie cadastrés 1ère division section C, parcelles   893 g 3 / 894 y 2 / 894 w. ; octroyé par l'arrêté ministériel du 09 juillet 2024, délivré par le SPW Territoire, Logement, Patrimoine, Energie. Ne laissons pas ce milieu aux fonctions vitales pour la ville disparaître au profit d'un projet immobilier inadapté aux enjeux climatiques actuels, causant un impact direct sur notre qualité de vie. 1. Le projet est destructeur du paysage urbain, à l'entrée de la ville de Waremme. 2. Le projet est particulièrement destructeur pour le maintien de la qualité de l'air effectué par les arbres. 3. Le projet prive les citoyens de l'effet "climatisatiseur" offert par l'écosystème du bois. 4. Ce projet supprime un habitat de plus pour les oiseaux à Waremme.  5. Le projet situé en zone inondable nous prive du drainage de l'eau effectué par les arbres.  6. Cette construction n'est économiquement pas justifiée.   Nous demandons :  • Que l'autorisation de construction de l'immeuble, rue de la Tannerie à Waremme soit annulé, afin de permettre la sauvegarde du bois. • Que tous les espaces végétalisés de la commune de Waremme soient préservés et que la ville de Waremme procède à la mise en oeuvre rapide d'un Plan Climat qui traite les enjeux environnementaux auxquels nous et les générations futures faisons et feront face. Nous espérons être entendus par le collège échevinal et le gouvernement wallon  Un grand merci pour votre aide indispensable à la préservation du vivant! 
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    Created by Ann H.