• POUR UNE EAU POTABLE, SANS PESTICIDES
    Septembre 2023 : Dans le département de la Vienne, les deux distributeurs d’eau, « Eaux de Vienne » et « Grand Poitiers », décèlent et quantifient dans l’eau du robinet la présence d’un métabolite (un résidu après épandage) du Chlorothalonil (le Chlorothalonil-R471811). Sa concentration dépasse les normes sanitaires de l’eau potable (1). Le Chlorothalonil a des effets sur la santé humaine très inquiétants. Il peut engendrer un risque sanitaire inacceptable pour le consommateur » (définition 2019 de l’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire de l’alimentation, de l’Environnement et du travail). Il est suspecté par l’ANSES de présenter un risque cancérigène (2). Dans les deux tiers du territoire de la Vienne, les concentrations relevées ne répondent plus aux critères d’une eau potable (maximum 0,1µg par litre d’eau pour une molécule de pesticide). Pour les 330 000 habitants concernés, l’eau du robinet n’est plus « potable » : elle est dite « consommable », tant qu’elle ne dépasse pas une « valeur sanitaire maximale » fixée par l’ANSES à 3µg par litre. https://www.greenvoice.fr/assets/uploads/2024/01/Schema-petition-eau.jpg 👉 Une situation ubuesque dans la Vienne, une préfiguration dans toute la France ? Les 13 installations de traitement sur charbon actif dans la Vienne sont inadaptées à cette pollution massive : les deux producteurs d’eau de la Vienne ont déclaré qu’ils n’avaient pas les moyens financiers de mettre en œuvre les technologies complexes qui seraient efficaces (ultrafiltration ou osmose inverse) et qu’ils refusaient de faire payer la note – considérable – aux consommateurs.  Pour toute réponse, l’Agence Régionale de Santé leur a demandé de solliciter du Préfet une dérogation pour distribuer une eau non potable, dérogation aussitôt accordée avec un délai de 3 ans renouvelable. Ces arrêtés préfectoraux de « dérogation » vont entériner légalement cette situation sans que les producteurs d’eau n’aient les moyens techniques et financiers de dépolluer à cette échelle et dans ce délai. 👉 Comment en est-on arrivé là ? Le fongicide Chorothalonil, imprudemment autorisé par l’État, a été épandu sur les terres agricoles durant trente ans avant d’être interdit en Europe en 2019, avec usage autorisé en France jusqu’en 2020.  Les concentrations de ce métabolite ne devraient pas baisser dans les années à venir, mais au contraire augmenter compte tenu de la lenteur d’infiltration des eaux de pluie vers les nappes. De plus, d’autres métabolites du Chlorothalonil, non recherchés, pourraient aggraver la situation. Les deux tiers de la France et d’autres pays sont touchés. La Suisse, par exemple, a recherché et trouvé 8 métabolites du Chlorothalonil ! Pour rappel, « l’usage de l’eau appartient à tous et chaque personne physique, pour son alimentation et son hygiène, a le droit d’accès à l’eau potable dans des conditions économiquement acceptables par tous » (3). 👉 Par cette pétition, nous demandons : ➡️ Que l’État prenne ses responsabilités : il a donné, contre tout principe de précaution, une autorisation de mise sur le marché de ces substances. Il doit organiser une action curative immédiate, concrètement : L’Agence de l’Eau Loire Bretagne et l’État doivent fournir aux deux producteurs publics d’eau potable de la Vienne les moyens techniques et financiers pour dépolluer sans alourdir la facture d’eau de nos concitoyens. ➡️ Que le préfet de la Vienne prenne ses responsabilités de manière préventive : Il a les moyens règlementaires de limiter les risques qu’un autre pesticide reproduise demain la situation actuelle, concrètement : - Il peut restreindre ou interdire l’usage des produits phytosanitaires en cas de risque exceptionnel et justifié (en application de l’article 5 de l’arrêté du 4 mai 2017 relatif à l’utilisation de ces produits) - Il peut interdire les pesticides dans les périmètres de protection de ces captages s’ils sont déjà définis.  - Il peut réviser tous ses arrêtés de DUP (Demande d’Utilité Publique) et en prendre de nouveaux pour les captages qui en sont dépourvus afin de prescrire des périmètres de protection correspondant aux zones vulnérables aux pollutions diffuses et interdire les pesticides dans ces zones. ➡️ Que les législateurs – nos député.es et sénateurs-rices – renforcent et simplifient la prévention des pollutions par nitrates et pesticides en inscrivant dans la loi :  - L’obligation pour les préfets de définir pour tous les captages d’eau potable les Aires d’Alimentation de Captage (AAC) et d’y prescrire la cartographie de leurs zones vulnérables.  - L’obligation d’interdire les pesticides dans les zones vulnérables des AAC et d’y limiter les apports en azote. ➡️ Que le gouvernement accompagne techniquement et financièrement l’ensemble de la filière agricole dans des pratiques agricoles soucieuses de la santé de tous et respectueuses de l’environnement dans les aires d’alimentation et de captage. Nous proposons que les producteurs d’eau, en difficulté pour fournir une eau potable : - Organisent, en coopération avec les agriculteurs, un programme d’actions volontaires agroécologiques pour chaque captage en limite ou en dépassement des normes de qualité. - Qu’en cas d’échec patent au bout de deux programmes, ils demandent au préfet le classement de l’Aire d’Alimentation en « Zone Soumise à Contraintes Environnementales » (ZSCE). Ainsi, l’État pourra alors interdire les pesticides dans les secteurs vulnérables de ces aires. Toutes ces mesures sont urgentes, notre santé à tous est en jeu. Le financement d’usines de dépollution risque de faire exploser le prix de l’eau, c’est pourquoi il est essentiel de la protéger par une agriculture durable sans intrants chimiques. Signez la pétition. Faites la circuler. On compte sur vous. Groupe local Greenpeace Poitiers Vienne Nature [France Nature Environnement]
    6 193 sur 7 000 Signatures
    Créée par Greenpeace Poitiers et Vienne Nature
  • NON A LA DESTRUCTION DES FORETS DU CENTRE-FRANCE : NON AU PROJET BIOSYL
    NON A LA DESTRUCTION DES FORETS DU CENTRE-FRANCE NON AU PROJET BIOSYL  La préfète de la Creuse se prépare à valider l’implantation d’une usine à pellets du groupe BYOSIL à Guéret via une simple formalité d’enregistrement administratif, sans enquête publique ni étude d’impact. Selon ses propres promoteurs, cette usine s’approvisionnerait à 80% dans les forêts de feuillus dans un rayon de 130 km autour de Guéret, avec la nécessité de 40 camions par jour et 130 000 T de bois par an, impactant de fait, l’ensemble de la Creuse et les départements limitrophes. Le code forestier et les certifications mises en avant par l’entreprise BIOSYL ne permettent pas de garantir l’absence de bois issus de coupes rases pour la fabrication de granulés de bois. Ainsi, dans la Nièvre, des camions chargés de chênes centenaires issus de la destruction des dernières forêts de feuillus du Morvan approvisionnent encore aujourd’hui l’usine Biosyl de Cosne sur Loire.  Il ne faut pas oublier qu’en parallèle sur le territoire, les coupes rases se multiplient. Plusieurs projets bois énergies, l’agrandissement de la scierie Farges à Egletons et l’export de nos beaux bois vers la Chine mettent déjà en danger la ressource forestière. Etant donné la configuration de ce massif forestier extrêmement morcelé et en l'absence de réglementation forestière adaptée et de contraintes , il est difficilement imaginable que l'usine Biosyl, comme les autres utilisateurs de la ressource déjà en place, s'approvisionnent de façon vertueuse. Comment pourrions-nous laisser faire un tel projet, qui par l’accaparement massif d’une ressource sous tension, ne pourra qu’amplifier les difficultés d’approvisionnement pour les petites et moyennes entreprises de la filière bois ? Destinées initialement à gérer les sous produits de la transformation du bois, les entreprises du bois-énergie sont largement soutenues par de l'argent public en raison de la « transition énergétique » alors que leur production est destinée à brûler et relâcher des gaz à effets de serre. Les unités de production de bois d’œuvre et de construction, qui vont permettre le stockage de carbone dans les maisons sont moins soutenues. Il ne s'agit pas de s'opposer au développement économique et de mettre nos forêts sous cloche. Il s'agit bien au contraire de redonner à nos forêts un statut alliant patrimoine naturel, patrimoine de biodiversité et patrimoine économique. Comment pourrions-nous agréer une décision aussi arbitraire sans qu’aucune étude d’impact ne soit réalisée, sans que les populations concernées ne soient vraiment informées et invitées à donner des avis  éclairés ? L’une des premières missions régaliennes de Mme la Préfète est d’assurer la sécurité de ses concitoyens. Pourtant, en refusant de le soumettre à autorisation ICPE, la question des nuisances sonores, du niveau des émissions de particules fines aussi bien que des potentiels risques d’incendies en zone SEVESO, la Préfecture se refuse inconsidérément d’évaluer et par conséquent de prévenir les risques réels encourus par la ville de Guéret et par tous les habitants de son agglomération. Comment pourrions-nous ne pas nous opposer à une dégradation planifiée de la forêt qui conduira inévitablement à des risques sanitaires majeurs ? Une étude de l’Université de Limoges a ainsi mis en lumière que plusieurs communes du Limousin ne peuvent d’ores-et-déjà plus s’alimenter en eau du réseau à cause de la pollution des sources par l’aluminium, phénomène dû aux coupes rases. Dans l’urgence climatique, il est primordial de préserver la qualité de nos sols, de nos eaux et de préserver la capacité de puits carbone de nos forêts. Le reboisement après coupes rases, avancé par les industriels, ne peut répondre à la problématique environnementale. Pourtant, il existe une gestion durable de la forêt, il est temps de faire connaître et encourager ces pratiques de sylviculture à couvert continu, comme les futaies irrégulières ou jardinées. Elus ou simples citoyens de Creuse, du Berry, de Sologne, du Bourbonnais, d’Auvergne et d’ailleurs, nous sommes tous concernés par l’installation du projet Biosyl . Nous signons cette pétition pour demander à Mme la Préfète de la Creuse de ne pas donner son autorisation pour ce projet dangereux et délétère et nous lui demandons de faire en sorte qu’il soit abandonné pour le bien de toutes et tous. Soutenu par : Canopée Forêts Vivantes - Collectif Forêts SyVa - Groupe Forêt du Syndicat de la Montagne Limousine - Comité de Défense du Bois du Chat - Thierry Thevenin adhérent GNSA - Le Syndicat Simples - Faîte et Racines - Le Comité creusois des Soulèvements de la Terre - Michel Barataud (auteur d’études sur l’écologie forestière) - Sauvons la Goutte Molle - Collectif Forêt Debout - Les Mouvements du Thaurion - Le Champ des Possibles - Les Enforestés - Auprès de Nos arbres
    7 437 sur 8 000 Signatures
    Créée par Collectif SyVa
  • Rennes : Zéro Watt pour la pub
    À l’heure où l’on nous appelle, collectivement et individuellement, à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. L’effort fourni doit être réparti de façon juste et ne pas peser uniquement sur les citoyens et citoyennes. Aussi, l’effort ne doit pas affecter en premier lieu des services publics essentiels comme l’éducation ou le sport, mais bien commencer par interroger nos usages de la publicité superflue ! ⚡️ Alors que le gouvernement prévoit l’interdiction des publicités lumineuses entre 01H00 et 06H00 du matin (à l'exception des aéroports, gares ou stations de métro), cette mesure est loin d’être suffisante face au nombre croissant de ces panneaux inutiles qui n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. ⚡️ Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme en moyenne l’équivalent des besoins d’ un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager* : laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique est donc absurde ! Notre territoire a le pouvoir d’aller plus loin à travers le règlement local de publicité et de montrer l’exemple pour être à la hauteur des enjeux. Notre métropole doit prendre les mesures suivantes de manière urgente, et sans attendre le pic de l’hiver où les tensions énergétiques se feront ressentir. 🛑👉Nous demandons : - Zéro panneau électrifié dans l’espace public - Re-municipaliser la gestion des abribus - Affichage uniquement associatif, culturel et d’intérêt public - L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’extinction des lumières des bureaux dès leur fermeture 💡 De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées au-delà de la période de tension hivernale, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. D’autres villes comme Lyon ou Paris ont déjà mis en place des mesures plus fortes pour réduire leur consommation énergétique et s’inscrire dans le sens d’une sobriété choisie et responsable. 🌟 Notre ville aussi doit s’inscrire dans le sens de l’Histoire et mettre en place des solutions ambitieuses ! Source : *Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer)
    384 sur 400 Signatures
    Créée par Alternatiba Rennes Picture
  • Zone d'activités du Plessis 44 : la biodiversité est en danger !
    Nous, le Collectif Environnement Sèvre et Loire, contestons l'arrêté préfectoral du 3 juillet 2023 qui autorise la destruction de 36,5 ha de terres agricoles dont 2,5 ha de zones humides et d’une douzaine d’espèces protégées sur la ZAC du Plessis au Loroux-Bottereau (44). Aujourd'hui, il est très urgent de préserver : - Les espèces protégées et leur habitat : par exemple la grenouille agile, le faucon crécerelle la couleuvre d'esculape, le lérot Elimys quercinus ... - Les zones humides, les haies : réservoirs de biodiversité, régulateurs d'eau et de carbone. - Les terres nourricières qui alimentent actuellement, en circuit court, la restauration scolaire. La nature ne peut pas être déménagée. Aujourd'hui il est urgent de penser la transition écologique plutôt que le développement économique à outrance. Demain, au Plessis, les travaux peuvent commencer ... Pour mettre fin au projet nous avons déposé un recours juridique contentieux le 31 octobre 2023. Malheureusement en attendant une décision de la justice, les travaux peuvent commencer à tout moment et de manière irréversible. Une entreprise a déjà obtenu de premières autorisations... Il est urgent et encore possible d'agir. Si nous ne stoppons pas ce projet aberrant : -Demain, le risque d'inondations sera accru. -Demain, un flot de poids lourds encombrera des routes inadaptées aux entrepôts prévus. -Demain, nos agriculteurs ne pourront plus cultiver sur ces terres bétonnées. Sauver la biodiversité c'est ici et maintenant grâce à vous ! 1/ Votre signature nous donnera de la force et de l’énergie, 2/ Vos dons nous aideront à payer l’avocat, spécialisé en droit de l’environnement 3/ Si toutefois, les travaux débutent, il sera nécessaire de déposer un référé-suspension. Un grand merci pour votre aide indispensable à la préservation du vivant. Nos soutiens dans cette lutte : Greenpeace Nantes et France Nature Environnement 44 Don sur la cagnotte HelloAsso : https://helloasso.com/associations/collectif-environnement-sevre-et-loire
    3 068 sur 4 000 Signatures
    Créée par Collectif Environnement Sèvre et Loire C. Picture
  • 2ème pétition Saint-Sauveur - Tout le monde veut que la friche devienne un très grand parc
    Petit rappel des faits : À Lille, tout le monde connaît le dossier Saint-Sauveur et le bras de fer que la MEL, la Ville de Lille et des associations de défense de l’environnement ont entamé.  👀 Deux visions s’affrontent :  → 🔴 Celle de la concentration urbaine, de la destruction de l’existant et de la gentrification portée par les collectivités. 2500 logements (soit 5000 habitants) sur 23 hectares, 30 000 m2 de bureaux, 20 000 m2 de commerce, un centre aquatique avec une piscine olympique (désormais sans fosse de plongée) ainsi qu’un espace vert de 3,5 hectares, soit la taille du parc rouge (JB Lebas)... Cette densité dont rêvent les aménageurs, copiée-collée de la Porte de Valenciennes ou du Bois Habité (bd Hoover), les Lilloises et les Lillois n’en veulent pas, et n’en ont jamais voulu ! De plus, sous couvert d’un projet à caractère social permettant à l’avenir de lutter contre la crise du logement, nos décideurs ont permis ici et maintenant, sur la friche,  l’expulsion de personnes exilées et sans domicile fixe, sans solution de relogement. Nul doute, au regard des nouveaux aménagements de la gare Saint-Sauveur, que le futur quartier s'adressera demain davantage aux cadres supérieurs qu’aux ménages dans le besoin. →✅ Celle de l’égalité environnementale et de la préservation du site. Portée par les défenseurs et défenseuses de la friche, cette vision exprime la nécessité d’un très grand parc (23 hectares) sur ce site dont sont dépourvus les quartiers populaires de Wazemmes et de Moulins.  🌳🌳🌳 Les arguments en faveur du parc sont multiples :  - ce secteur souffre d’une très mauvaise qualité de l’air (et les voitures des 5 000 nouveaux habitants vont l’aggraver, sans compter les déplacements liés aux nouveaux bureaux, commerces et centre aquatique), - le nombre de m2 d’espaces verts à Lille est un des plus mauvais scores des villes françaises et de plus, ces m2 sont très inégalement répartis sur la ville, quasiment absents des quartiers les plus pauvres et les plus peuplés, - la crise du logement et notamment du logement social ne sera nullement réglée avec ce projet, moins de 200 logements dits très sociaux (PLAI) seront en effet construits sur les 2500 programmés. Rappelons que 240 logements PLAI ont par ailleurs été détruits récemment côté Parc JB Lebas. Les 500 autres logements sociaux prévus seront ouverts aux populations à revenus moyens et échapperont ainsi à ceux qui en ont le plus besoin, - la crise de l’eau interroge le modèle de développement de la Métropole Européenne de Lille et ses projets luxueux de centre aquatique en lieu et place des piscines dont ont besoin les habitants. La rénovation de Marx Dormoy aurait déjà dû être faite depuis longtemps au lieu de poursuivre de telles chimères. - dans les 5 dernières années, les bureaux n’ont cessé de sortir de terre (Porte d’Arras, Porte des Postes, Bois-Blancs) et nombre d’entre eux n’ont pas trouvé preneurs, - le nombre de logements vacants est important, - les grandes opérations de renouvellement urbain (Aviateurs, Concorde) détruisent des milliers de logements dits très sociaux sans que cette offre soit reconstituée, 🌍 À l’heure du dérèglement climatique, ce modèle urbain proposé par les collectivités est dépassé. Il n’est plus question de concentrer toujours en les mêmes lieux, et toujours pour les mêmes, les investissements et les équipements qui au contraire devraient se répartir sur l’ensemble du territoire métropolitain voire régional.  Les Lillois.es l’ont compris. Le fragile équilibre de leur territoire (circulation saturée, mauvaise qualité de l’air, espaces verts réduits, transports publics insuffisants, immense déficit de logements très sociaux) ne peut continuer de se dégrader encore en poursuivant les mêmes politiques qui ont conduit à cette situation. ⚖️ Enfin, malgré ce que les collectivités veulent faire croire, la partie n’est pas terminée sur le front juridique. Plusieurs recours ne sont pas encore jugés notamment celui qui conteste la dernière délibération déclarant l’intérêt général du projet qu’a votée la Métropole Européenne de Lille en octobre 2022… Et les associations sont déterminées à aller jusqu’au bout, jusqu’à ce qu’enfin, une ou un élu.e éclairé.e prenne la décision attendue d’abandonner ce projet dépassé et d’offrir un grand parc aux Lilloises et Lillois qui n’attendent que cela.  🌳 C’est dans une vision solidaire des autres territoires que le projet du grand Parc Saint-Sauveur doit voir le jour, annonçant l’émergence d’une nouvelle vision urbaine, celle de la recherche de la juste répartition des ressources naturelles à l’échelle d’un territoire élargi. Le grand parc Saint-Sauveur doit désormais faire un tout avec le parc JB Lebas et permettre de sortir de Lille en vélo en reliant Fives, Ronchin et Villeneuve d'Ascq et son lac. Il ne faudrait pas grand chose pour que cette friche devienne un parc, que la faune et la flore qui y ont déjà trouvé refuge n’en soient pas chassées, que les initiatives solidaires et démarches collectives puissent y prendre forme.  👉 Nous comptons sur votre soutien pour que vive le futur parc Saint-Sauveur. Cette pétition permet de dire et de redire quelles sont véritablement les attentes des habitants de Lille pour cet espace. 🌟 Les associations et collectifs engagé.e.s dans la défense du futur parc Saint-Sauveur : - P.A.R.C Saint-Sauveur - Soulèvements de la Terre Lille - Alternatiba Lille - NADA - Non à l’Agrandissement De l’Aéroport de Lille-Lesquin - Aut’Mel - XR Lille - Robin des Bios - Entrelianes - Les Amis de la Terre Nord - ANV COP 21 Lille - Youth for Climate Lille
    3 340 sur 4 000 Signatures
    Créée par Friche Saint-Sauveur
  • ISOLA 2000 : NON A LA RETENUE COLLINAIRE, NE SACRIFIONS PAS NOS MONTAGNES !
    Le projet de retenue s’implanterait au sud-est de la station du massif du Mercantour dans les Alpes-maritimes, dans le secteur Sistron, à une altitude de 2400 m et les travaux, d’un coût prévisionnel de 8 690 000 euros, devraient débuter en 2027. Elle stockerait l’eau exclusivement pour la production de neige de culture. Le volume prévu est énorme : 215 000 m3 (!!), venant s’ajouter aux 140 000 m3 déjà existants dans la retenue actuellement utilisée par la station…. Il serait soi-disant nécessaire pour alimenter les futurs projets d’enneigement artificiels. Ce projet démesuré viendrait détruire un secteur d’une grande richesse environnementale et paysagère au cœur d'un massif montagneux unique. Enfin, il porterait atteinte au paysage exceptionnel qui s’étend sur une grande partie du Parc National du Mercantour et plébiscité par de nombreux randonneurs. La zone concernée est en effet une zone de combes à neige regroupant une cinquantaine d’espèces de fleurs (recensement de juin 2023) dont certaines endémiques du massif du Mercantour ou des Alpes-Maritimes. Parmi elles, on y trouve de nombreuses espèces remarquables des Alpes sud-occidentales telles que la gentiane de Villars, le gaillet de Tende ou la joubarbe de Burnat, parmi de nombreuses autres. Deux espèces encore plus rares ont été signalées : - La saxifrage du Piémont : endémique du massif du Mercantour ; - La violette à feuilles de nummulaire : endémique des Alpes-Maritimes et de la Corse. A l’heure du dérèglement climatique et des sécheresses qui vulnérabilisent et raréfient de manière récurrente nos ressources en eau, à l’heure où la protection de notre environnement et de la biodiversité deviennent un enjeu vital pour l’avenir, nous nous opposons fermement à ce type de projet mal adapté, régulièrement remis en cause et ouvertement dénoncé, comme en témoigne l’exemple récent de la construction stoppée de la retenue d’eau de La Clusaz (74). La création d’une retenue collinaire pour la production de neige de culture est illusoire, irréversible, très coûteuse et non pérenne à court et moyen terme. La station d’Isola 2000 propose encore à ses visiteurs des secteurs sauvages d’une grande richesse naturelle pour la marche en montagne et le ski de randonnée par exemple. C’est un atout indéniable dans la cadre d’une démarche touristique éco-responsable, préservons-les ! EVITONS CETTE DEGRADATION ENVIRONNEMENTALE ET TOURNONS - NOUS VERS DES SOLUTIONS PLUS SOBRES, PLUS RESPECTUEUSES DE LA NATURE ET PLUS CONFORMES AUX ATTENTES DE TOUS ! Pétition soutenue par Alternatiba06, Mountain wilderness France
    2 664 sur 3 000 Signatures
    Créée par Greenpeace Nice et Vigilance Mercantour
  • Espace naturel menacé à Pessac !
    Ce terrain est la dernière zone naturelle boisée et humide à l'Est de Pessac. Le reste se compose de vignes, de zones pavillonnaires et plus au Sud, du domaine universitaire. Avec un parc municipal voisin ( bien tondu hélas... ) et une prairie avec des orchidées, il forme un ensemble de milieux complémentaires de près de 2 hectares. Tous les habitants de ce terrain tendent vers vous leurs pattes implorantes : signez cette pétition ! Merci d'avance pour eux !
    539 sur 600 Signatures
    Créée par marie-claude s.
  • NON aux nouveaux puits de pétrole sur le bassin d'Arcachon !
    🔥 Au même endroit, lors de l'été 2022, les forêts de la Teste de Buch (Bassin d'Arcachon - Gironde) et alentours ont été dévastées par d'immenses incendies. Si le changement climatique n’est pas une cause directe d’incendie, il influe sur les conditions d’éclosion et de propagation des incendies. Ainsi le changement climatique et l'exploitation des hydrocarbures sont en grande partie responsables de ces drames. Les habitants l'ont vécu comme un traumatisme et refusent de rendre leur territoire complice. 🛢️ Malgré les injonctions du GIEC à refuser tout nouveau projet d'exploitation d'énergies fossiles et la Loi de 2017 interdisant la production d'hydrocarbures en France à partir de 2040 et l'ouverture de nouveaux projets d'ici là, la compagnie pétrolière Vermillion prévoit l'ouverture de 8 nouveaux puits de pétrole dans la forêt de la Teste, derrière la dune du Pyla. Ce projet engendrera inévitablement une augmentation des émissions des Gaz à Effet de Serre (GES), contribuant ainsi au réchauffement climatique qui est déjà une réalité alarmante. Selon les données du GIEC, les activités humaines ont déjà provoqué environ 1,0°C d'élévation globale des températures depuis l'époque préindustrielle. Les accords de Paris prévoient de maintenir la température moyenne globale en dessous de 1,5°C. Le GIEC le répète : NON A TOUT NOUVEAU PROJET DE PRODUCTION D'ENERGIES FOSSILES ! Ces matières doivent rester dans nos sols pour espérer respecter les Accords de Paris sur le Climat. ✋ Certains voient dans ce projet un moyen pour la France de gérer sa propre production de pétrole et de contrôler les risques industriels localement. Mais il est important de souligner que ce projet n'influencera en rien le prix du pétrole en France car il est indexé sur le marché mondial. De plus, il ne modifiera pas non plus de manière significative l'indépendance énergétique de la France. En effet, l'ensemble de la production de pétrole sur le sol français ne représente qu'1% de la consommation française en pétrole. Rappelons une nouvelle fois que nous devons interdire tout nouveau projet de production d'hydrocarbures. 🌍 Dans ce contexte critique pour notre planète et nos générations futures, il est impensable que nous permettions un tel projet. Le 20 novembre 2023, la Commissaire Enquêtrice sur le dossier a émis un avis favorable à l'exploitation de ces nouveaux puits en ignorant les retours de la consultation publique qui comprenait davantage d'avis négatifs que positifs. Une consultation publique peu diffusée en regard de l'enjeu sous-jacent et du nombre d'habitants locaux (seulement une centaine de participations) Aujourd'hui, seul le préfet de Gironde Etienne Guyot a légalement la possibilité d'empêcher ce projet écocidaire. Nous demandons donc au Préfet d'user de ses pouvoirs pour empêcher cette exploitation destructrice. Liste des associations / collectifs signataires : Écocitoyens du Bassin d'Arcachon, Greenpeace Bordeaux, STOP Total Bordeaux, XR Bordeaux, Soulèvements de la Terre Pessac
    42 957 sur 45 000 Signatures
    Créée par Stop Pétrole Bassin d'Arcachon
  • Non aux taxis volants énergivores et bruyants, non à l'expérimentation d'ADP (Aéroport de Paris)
    Car ces taxis volants, hélicoptères électriques, dit e-VTOL, ce sont 0,7 tonnes de métal, 12 mètres de long, 18 hélices, pour transporter 1 passager (2 en version drone) + 1 bagage à 100 km/h sur une distance maximale de 35 km ! On nous annonce un « vertiport » à Austerlitz pour accueillir l’animal pendant les JO. Un simple gadget pour l’occasion ? Non, c’est une avant-première, l’objectif est de pérenniser l’équipement pour accueillir des e-VTOL venant de 23 aérodromes et de 9 hélistations. C’est donc dans cette perspective d’une noria d’e-VTOL venant des aéroports et héliports de la région qu'il faut décider si c’est un rêve ou un cauchemar. A la lecture du rapport de l’Autorité Environnementale, 4 adjectifs viennent à l’esprit pour qualifier ce projet : 🔴 TOXIQUE - l’e-VTOL n’est pas neutre carbone. Il consomme 12 fois plus d’énergie qu’une voiture électrique et émet ainsi à l’utilisation l’équivalent d’une voiture thermique, ce sans compter l’impact de sa construction et de son démantèlement, sur lequel le constructeur reste muet. 🔴 NUISIBLE - l’e-VTOL volera à 150 mètres d’altitude et il est bruyant, de l’ordre de 70dB, c’est-à-dire un niveau largement suffisant pour avoir des effets sérieux sur la santé humaine. 🔴 DANGEREUX - il est facile de détourner un e-VTOL, et le projeter de 150 mètres d’altitude sur un lieu touristique, ce qui ne contribuerait pas à renforcer l’attractivité de notre capitale. 🔴 PERVERS - l’eVTOL ne s’adresse ni aux super-riches (pas assez confortable), ni aux touristes (pas assez de place), mais vise en réalité le marché des cadres supérieurs, banquiers, consultants, comme moyen commode de relier aéroport et centre ville sans perdre de temps dans les embouteillages. De ce fait, il lève un frein à l’utilisation de l’avion pour les courtes durées, au détriment du train… Nous rejetons aussi ce projet pour des questions de : ❌ Régression environnementale : Depuis 1948, la ville de Paris et ses habitants sont protégés par une réglementation interdisant le survol de la ville à moins de 2.000 mètres d’altitude sauf dérogations spécifiques. Aujourd’hui, ce sont les aéronefs en service de mission médicale d’urgence qui desservent les hôpitaux et ceux de la sécurité civile qui bénéficient de telles dérogations. Permettre le survol de Paris par des aéronefs de type “taxis volants” à 150 mètres d’altitude pour le transport de personnes souhaitant éviter les transports en commun ou les embouteillages constitue une régression environnementale. ❌ Impact financier : L'impact pour les finances publiques n'est pas renseigné mais il laisse supposer un support public. Avec le CDG Express, bien trop d’argent public a été consacré à des transports réservés à une petite minorité. La priorité doit être donnée aux transports collectifs. ❌ Déni de démocratie : Nous dénonçons la carence de consultation des citoyens dans un processus de décision très lourd de conséquences pour l'avenir de la collectivité puisqu’il s’agit de pérenniser un nouveau mode de déplacement inter aéroportuaire individuel. Les oppositions se multiplient et s’organisent : - l’Autorité Environnementale juge l’étude d’impact incomplète et critique le projet - l’opposition des communes périphériques survolées : https://act.gp/4a2P39e - Le Conseil de Paris a refusé le projet le 14 novembre 2023 : https://act.gp/4a2mHvF 👉 Signez et relayez notre pétition Alors que l’Autorité Environnementale juge l’étude d’impact incomplète, et que le Conseil de Paris comme les communes survolées ont rendu un avis négatif, le projet, soutenu par l’Etat et la région Ile-de-France pourrait malgré tout voir le jour. 💥 Mobilisons-nous tous de toute urgence pour enterrer cette aberration écologique. Vous êtes Parisien, Francilien, Français ou simplement amoureux de la Ville Lumière et soucieux de la préservation de notre environnement et notre patrimoine alors signez notre pétition et surtout relayez-la autour de vous. Il est encore temps de faire machine arrière ! Associations signataires : UFCNA (Union Française Contre les Nuisances des Aéronefs), ADERA (pour le respect de l’environnement à Beauvais-Tillé), FNE Paris, FNE IDF, Val de Marne Environnement, SOS Paris, ADA 13, InCOPruptibles, Environnement 92, Chaville Environnement.
    15 287 sur 20 000 Signatures
    Créée par FNE Paris
  • Non à l’extension de la Mine de Glomel en plein cœur de la Bretagne !
    ⚠️ Cette extension aggraverait des pollutions et nuisances qui sont déjà trop importantes ⚠️  💧 Sur la ressource en eau : o Le Centre Bretagne est le château d’eau de la Bretagne. La carrière, implantée en tête des bassins versants du Blavet et de l’Ellé, a déjà entraîné la destruction de plus de 40 hectares de zones humides et de plusieurs cours d’eau. L’extension de la fosse 4 aboutirait à la destruction des zones humides de Kerroué. o Aucune des fosses existantes n’est étanchéifiée, ce qui cause un risque de pollution des eaux souterraines par infiltration, idem pour les eaux de pluie pénétrant dans les verses. Il en sera de même pour la fosse 4 en projet. ☠️ Sur la santé, dont nous, habitant-es aux alentours de la Mine, subissons déjà les conséquences : o Pollution de l’air avec les poussières générées par l’usine, les verses de stériles et les résidus de traitement. o Le bruit subi (tirs de mines, travail de la roche, sirènes et passage de camions) dépasse régulièrement les niveaux autorisés, aucune étude acoustique indépendante n’a été menée. 🌱 Sur la biodiversité : o La destruction de dizaines d'hectares de milieux naturels impacte fortement les conditions de vie des espèces et leur circulation (la carrière constitue déjà une barrière étanche qui rompt les corridors écologiques) ; ⛰️ Sur les paysages : o Si la fosse 4 se réalisait, deux verses atteindraient 300m, autant que les points culminants du Morbihan et des Côtes d'Armor situés à proximité (Minez Du et Calotte St Joseph) ; 🌡️ Sur le climat : o il faut beaucoup d’énergies, fossiles en particulier, pour extraire, raffiner, transporter les minerais. Continuer à étendre et faire durer cette exploitation contribue à l’augmentation des émissions de gaz à effet de serre et au dérèglement climatique. Pour justifier son activité, IMERYS invoque le maintien et la création d’emploi. Ce chantage à l’emploi démontre une vision court-termiste de l’économie locale et pourrait laisser penser qu’écologie et emplois s’opposent. Il est en réalité temps de penser la transition écologique et sociale ensemble, et sur le long-terme : pour des emplois aujourd’hui ET demain, sur une planète vivable et pourvoyeuse de terres agricoles et d’eau saine pour toutes et tous, nous devons refuser l’extension nocive de la mine de Glomel. 1️⃣ Signez cette pétition pour aider à stopper l’extension de ce projet destructeur ! 2️⃣ Dans le cadre de l'enquête publique sur l'autorisation environnementale le vendredi 15 décembre nous avons déposé la pétition avec le nombre de signataires (plus de 1400) à la commissaire enquêtrice qui rendra son rapport dans la deuxième quinzaine de février. D'ici là la mobilisation continue ! Relayez cette pétition autour de vous ! 3️⃣ Partagez la vidéo https://www.youtube.com/watch?v=McyZ2jUv1Wo Bascule Argoat, Douar Bev, Refrac'terres SIGNATAIRES : Bascule Argoat Blavet 2050 Collectif Riverains St Bonnet de Rochefort Douar Bev Eau & rivières Bretagne FNE Bretagne LPO Bretagne OzACTES Refrac'terres Réseau Cohérence Soulèvements de la terre Quimperlé Stop Mine 03 Stop mine 23 Terres de luttes VIVARMOR Nature XR Kreiz Breizh
    6 356 sur 7 000 Signatures
    Créée par Bascule Argoat, Douar Bev, Refrac'terres
  • NON AU PROJET DE SABLIÈRE À LORETZ D’ARGENTON
    Nous sommes opposés à ce projet pour plusieurs raisons : - Suppression de terres agricoles et dégradation de l’environnement. - Hausse du trafic routier : passages très fréquents de poids lourds, 44 T, dans les bourgs avec détérioration des routes et mise en danger des piétons, en particulier des enfants (proximité d'écoles). Passage de camions prévus à la sortie d'un parc. - Détérioration de la nappe phréatique : mise à ciel ouvert de la nappe phréatique, modification du ruissellement souterrain qui alimente l'Argenton, avec risque d'assèchement des terrains voisins de certains puits. - Enfouissement de matériaux inertes : cailloux, briques, déchets du BTP. - Partie sud du projet située en zone inondable. - Nuisances sonores sur le site et sur les routes empruntées par les camions. - Poussières impactant les riverains et mettant à mal les terres labellisées bio d'un exploitant agricole. - Remise en cause de camping d'Argenton l'Eglise en cours de classement Eco Tourisme. - Baisse de la valeur immobilière des terrains, maisons de Loretz d'Argenton. Une enquête publique va s’ouvrir : il n’est donc pas trop tard pour influer sur le cours des choses et nous positionner contre ce mauvais projet au mauvais endroit. Notre mobilisation peut faire la différence. Signez cette pétition dès maintenant. Faites la connaître et partagez la avec votre entourage et vos réseaux. Pour plus de précisions sur le projet ou sur l’association La Vallée de l’Argenton en Danger (VAD), à l’origine de cette pétition. Contact : [email protected] Facebook : Vallée de l'Argenton en Danger
    1 986 sur 2 000 Signatures
    Créée par La Vallée de l’Argenton en Danger
  • 🛒 Des Tickets-Restaurants pour payer ses courses et consommer plus de BIO ? Agissons ! 🌍
    🛒 Face à l’urgence sociale, nous exigeons la pérennisation (sans restriction à certains types de produits transformés) de la possibilité de faire des courses alimentaires avec nos Tickets-Restaurants. 🌍Parce que nous n’oublions pas l’urgence écologique, nous demandons une mesure audacieuse et complémentaire en faveur de la planète. Nous proposons d’inclure dans cette pérennisation, une mesure coup de pouce en faveur d’une consommation responsable et de l'agriculture biologique. 🧑‍🌾L’Etat doit offrir une réduction de 10% pour l'achat de produits bio avec un Ticket-Restaurant. Cette mesure simple serait un soutien aux agriculteurs en bio qui souffrent de la crise actuelle. Ce serait également un soutien aux restaurateurs qui font le choix d’utiliser des produits BIO. Ce serait au final une possibilité de nous aider à faire des choix alimentaires en accord avec nos convictions et de contribuer, à notre échelle, à des pratiques alimentaires plus durables. ✊Vous aussi, vous pensez que nous devons pouvoir continuer de faire nos courses alimentaires avec des Tickets-Restaurants et également bénéficier d’un soutien à une consommation responsable ? Pour cette mesure concrète de justice sociale et environnementale, signez et partagez cette pétition ! Nous pouvons y arriver car le gouvernement doit prendre une mesure en urgence d’ici la fin de l’année. Ensemble, faisons entendre notre voix pour sauvegarder notre pouvoir d'achat et promouvoir une consommation responsable !
    6 432 sur 7 000 Signatures
    Créée par Clara, Frédérique & Sylvain