• Biodiversité et agriculture menacées à Simiane Collongue par un projet de ZA
    La région PACA, les Boûches du Rhône et plus particulièrement Simiane souffrent terriblement de l'artificialisation des sols. La proximité de zones en tout genre, commerciales et autres, ne justifie pas ce énième projet, sachant que, par ailleurs, les espaces agricoles sont insuffisants. Dans son rapport de présentation, pour la démarche PLU de 2021, la commune spécifiait que :"L’agriculture à Simiane-Collongue tient une part très faible dans l’économie générale de la commune." Cherchons la cohérence. Ainsi, ce projet aura pour conséquences: - la destruction de terres actuellement à vocation agricole et qui pourraient être destinées au développement d'une agriculture de proximité, - la disparition d'espèces protégées comme la Chouette Chevêche d'Athéna : la zone en question est aussi un habitat important pour la Chevêche d‘Athéna, classée sur la liste rouge mondiale des espèces menacées, répertoriée dans l'Atlas de la Biodiversité Communautaire comme une espèce avec un enjeu fort (source bulletin municipal Simiane Info octobre-novembre 2022).  Trois couples fréquentent le site pour se nourrir et se reproduire. Ils seraient voués à disparaître si le projet aboutissait. Enfin, la protection de la chouette chevêche, animal nocturne, et la mise en place d'une trame noire décrétée par la municipalité, ne vont pas être non plus en cohérence avec l'implantation d'un site qui a toutes les chances de rester éclairé la nuit. - l'artificialisation d'une zone riche en biodiversité, - l'augmentation des nuisances pour les riverains. Face à l'incohérence de ce projet, quels sont les moyens d'action : 1. Signer cette pétition et la diffuser largement, 2. Rester informé grâce à notre page Facebook : Terres Environnement Simiane Pour des informations complémentaires, n'hésitez pas à nous contacter : [email protected] Notre combat évolue, se précise et avant de devenir association notre collectif change de nom : Vivre à Simiane devient Terres Environnement Simiane
    1 673 sur 2 000 Signatures
    Créée par Vivre à Simiane
  • Pour la dissolution de la FNSEA
    Qu’est-ce que la FNSEA ? Je ne sais pas si on doit encore présenter ce “syndicat”, mais la FNSEA ou Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles se veut comme le syndicat représentatif des agriculteurs, enfin d’un certain type d’agriculture. C’est surtout une organisation qui défend les pesticides (1) et un modèle d’agriculture du passé, un modèle intensif (2) au passé (et présent) sulfureux. Pourquoi demander sa dissolution ? Il y a quelques semaine-nes, on a appris avec stupeur (ou pas) la dissolution des soulèvements de la terre, ce collectif écologiste qui se mobilise contre l'accaparement des terres et lutte contre certains projets d'aménagement, notamment les « méga-bassines », des autoroutes, ou encore le projet de ligne à grande vitesse Lyon-Turin. Le 21 juin le gouvernement a décidé de dissoudre les SDLT pour avoir appelé et commis des dégradations matérielles lors de diverses manifestations. Et c’est là que ça fait écho avec la FNSEA. En effet, je vis près de la Rochelle et il y a quelques semaines, des agriculteurs de la FNSEA ont mené une action qu’on pourrait qualifier de violente. En effet, en marge d’une manifestation, ces agriculteurs de la FNSEA ont choisi de saccager une maison d’un militant écologiste, qui n'est autre que le vice président de France Nature Environnement 17. Jets de pierre, insultes (notamment homophobes), menaces, etc… tout y est passé. (3) En me renseignant, je me suis rendu compte que ce n’était pas la première fois et pas la plus violente. En effet, il existe de nombreux “faits violents” qui sont à rattacher à des agriculteurs de la FNSEA ou proches 23 août 1990 : Des moutons brûlés vifs lors d’une manifestation de la FNSEA 19 septembre 2014 : Le centre des impôts et le bâtiment de la Mutualité sociale agricole incendiés à Morlaix 17 février 2023 : Les locaux de l’association France nature environnement pris pour cible 12 avril 2023 : Une permanence parlementaire ciblée pour la troisième fois en six mois par la FNSEA Ce ne sont ici que des exemples et voici une liste plus complète (4) des agissements qui sont à reprocher à des membres de ce syndicat agricole. Je me pose donc la question, comme de nombreuses personnes : faut-il, au vu de ses dérives et des discours offensifs de ses dirigeant-es qui jettent de l'huile sur le feu, dissoudre la FNSEA ? Si l'Etat fait preuve de cohérence, la réponse est OUI. Alors signez cet appel pour faire réagir le gouvernement ! Celui-ci préfère dissoudre les mouvements écologistes, allant à l'encontre de la liberté d'expression, mais laisse l'agri-terrorisme agir impunément. Merci pour votre mobilisation. (1) https://www.bfmtv.com/economie/economie-social/social/diminution-des-pesticides-les-agriculteurs-appeles-a-manifester-en-tracteur-a-paris-mercredi_AD-202302030717.html (2) https://www.ladepeche.fr/2023/03/30/business-huile-et-agriculture-intensive-qui-est-arnaud-rousseau-le-futur-nouveau-leader-de-la-fnsea-11097483.php (3) https://france3-regions.francetvinfo.fr/nouvelle-aquitaine/charente-maritime/la-rochelle/la-maison-d-un-militant-ecologiste-saccagee-par-des-agriculteurs-en-marge-d-une-manifestation-de-la-fnsea-a-la-rochelle-2738562.html) (4) https://basta.media/chronologie-60-ans-d-actions-violentes-faut-il-pour-autant-dissoudre-la-FNSEA https://www.lemonde.fr/economie-francaise/article/2016/02/03/crise-des-eleveurs-sans-violence-la-presse-nationale-n-en-parle-pas_4858348_1656968.html https://twitter.com/SebastienM/status/1671842175867297792
    4 290 sur 5 000 Signatures
    Créée par Mathieu R.
  • DITES NON A LA FERME-USINE DE LA COLOMBE !
    Le projet d’extension de l’élevage industriel de l’EARL de la Fieffe, c’est : - plus de 400 truies maintenues environ la moitié de leur vie dans des cages individuelles étroites qui ne leur permettent pas de se retourner : cages de gestation (durant 4 semaines après la saillie puis 1 semaine avant la mise bas) et cages de maternité (durant la période de mise bas et d’allaitement des porcelets qui dure 3 à 4 semaines). - 5400 cochons à l’engraissement gardés dans des enclos présentant des densités extrêmement fortes. Alors que les observations en refuge montrent qu’ils pourraient vivre entre 15 et 20 ans, les cochons à l’engraissement sont envoyés à l’abattoir à l’âge de 6 mois, encore « adolescents ». - Près de 1700 porcelets en sevrage pour aller ensuite à l’engraissement - Du lisier épandu sur 240 Ha autour de La Colombe - De l'eau potable captée à 46 mètres de profondeur 21600m3/an - Un trafic routier augmenté minimum 6 passages de semi-remorques/semaine Nous dénonçons aujourd’hui l’aberration écologique et sociale que cet élevage représente : + d'odeurs dû au lisier, + de bruit et de danger, camions sur nos petites routes et les tonnes à lisier + d'argent public pour entretenir les infrastructures autoroutières dégradées + d'eau potable pompée alors que les scientifiques alertent le monde sur les futures sécheresses et les besoins en eau des populations + de pollution et notamment de l'eau par ruissellement + de souffrance animale, alors que ce modèle économique d'élevage est de plus en plus décrié, sans compter la question du transport des animaux à l'abattoir qui n'est pas abordée dans le projet. Une mobilisation citoyenne s’impose pour lutter contre ce projet aberrant ! Dites non à l’extension de cette ferme-usine, signez la pétition !
    10 160 sur 15 000 Signatures
    Créée par XR Sud Manche -.
  • Monetier les Bains, STOP à la bétonisation!
    Un projet démesuré de 10 000 m2 qui prévoit*: -1 hôtel 5 étoiles de 80 chambres (180 lits) -1 résidence hôtelière 5 étoiles de 15 suites (100 lits) -1 résidence hôtelière 4 étoiles de 108 appartements (600 lits) -2 piscines et des espaces "bien être et sensoriel" -1 parking sous terrain de 390 places -47 logements saisonniers -350 m2 d'espace commercial Un projet "mirifique" sans prise en compte de la réalité climatique : Artificialistation de 10 000 m2 de prés de fauche, au départ des pistes de ski et des chemins de randonnée. En compensation de ce massacre, on nous vante un retour de la faune (installation de nichoirs), des potagers en permaculture et la plantation d'arbres qui ne remplacerons jamais cet espace unique, que nous ont laissé nos anciens. Nous sommes très inquiets de savoir que le projet comporte 2 piscines et leurs lots de jacuzzis, saunas et hammams... A l'heure ou tous les voyants sont au rouge quant à l'utilisation de l'eau, ce projet nous parait déplacé et rétrograde par rapport aux enjeux climatiques actuels. Un projet "mirobolant" Comme à chaque gros projet immobilier, on nous promet à minima 300 jours d'ouverture par an et toujours plus de développement economique. Ceci risque de n'être qu'un mirage. De part sa démesure ce projet ne nous ressemble pas. Nous voulons rester un village authentique et à taille humaine. C'est ce que nos hôtes nous disent: "Nous avons choisi de venir et revenir au Monetier pour ce village te ses hameaux typiques et encore préservés au coeur de la nature." Un Projet incohérent face aux besoins des locaux. Alors que le nombre d'habitants ne cesse de baisser par manque de logements, la municipalité encourage la construction de lits touristiques au détriment de logements permanents et d'une vie à l'année. * sources: Site de la mairie du Monetier Les Bains-projet hôtelier le HAMO Dossier de presse de l'office du tourisme de Serre Chevalier-2023
    1 792 sur 2 000 Signatures
    Créée par Monetier notre village
  • Un ticket de train illimité pour les jeunes
    Les billets de trains sont trop chers pour les jeunes, ce qui implique : - que certains jeunes ne peuvent pas du tout partir en vacances, par exemple pour se mettre au frais pendant les vagues de chaleur dans leur région - qu'il est plus difficile d'avoir accès à des expériences courtes pour s'engager ou développer ses compétences professionnelles - que certains jeunes prennent l'avion plutôt que le train, ce qui est une aberration écologique Nous sommes des jeunes de la région Bourgogne, et nous avons tous constaté qu'il est difficile de financer nos voyages en train. L'une d'entre nous a par exemple dû payer 100 euros son aller-retour Dijon-Fécamp, ce qui rend impossible d'envisager plusieurs voyages à l'année. C'est pourquoi nous voulons que la France mette en place un ticket illimité pour que tous les jeunes puissent avoir accès au réseau ferré français. Ce modèle a été mis en place en Allemagne avec succès. Face à l'urgence climatique et aux inégalités sociales, et alors que nous risquons encore de battre des records de chaleur cet été, nous exigeons que cette mesure soit prise dès que possible et au plus tard à partir de septembre 2023.
    185 sur 200 Signatures
    Créée par Irène C.
  • Blois: STOP au gaspillage énergetique !!!
    À l’heure où l’on nous appelle, collectivement et individuellement, à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. L’effort fourni doit être réparti de façon juste et ne pas peser uniquement sur les citoyens et citoyennes. Aussi, l’effort ne doit pas affecter en premier lieu des services publics essentiels comme l’éducation ou le sport, mais bien commencer par interroger nos usages de la publicité superflue !
    78 sur 100 Signatures
    Créée par Nathanaël B.
  • Alerte : avant le 21 juin, disons non à l'incinérateur de Planguenoual (Bretagne)
    ► Climaticide Le bilan carbone d'un incinérateur est catastrophique, sans doute plus mauvais qu'une centrale électrique à gaz. Pour 80 000 tonnes de déchets ménagers incinérés, c'est autour de 80 000 tonnes de CO2 émis, le principal gaz à effet de serre. Dans 25 ans, chaque individu aura un budget carbone de 2,1 tonnes à ne pas dépasser.  L'incinérateur de Planguenoual va "manger" plus de la moitié du budget carbone individuel des habitants de Lamballe Terre et Mer. Pour tous les nouveaux projets d'incinérateurs estimer et rendre public le bilan carbone est obligatoire. ► Coûteux : UN PROJET RUINEUX POUR LES CITOYENS Coût du nouvel incinérateur : 107 millions € Contrat de Délégation de Service Public sur 20 ans : la collectivité ne gérera pas en direct cet équipement et laissera les pleins pouvoirs  à l’entreprise délégataire. Elle sera cependant en charge du recouvrement des taxes auprès des contribuables. La facture sera payée par les contribuables et entreprises du territoire. Les dividendes seront perçus, sans risque, par les actionnaires et entreprises telles que Véolia/Suez. De plus, le budget sera grevé de près de 100€ de taxe carbone par tonne d'équivalent C02 soit 8 millions d'euros/an. ► AUCUN RÉSEAU DE CHALEUR ASSOCIE Aucun besoin local, pas de réseau de chaleur associé ni à proximité. La plus grande partie de l'énergie, sous forme de chaleur, issue de l'incinération, n'est pas donc pas valorisable.  En milieu rural, il n'y a pas possibilité de mettre en place un réseau de chaleur et aucun projet permettant d'utiliser cette énergie n'a été présenté. ►UN OBSTACLE A LA RÉDUCTION DES DÉCHETS Un incinérateur demande un feu permanent, Il faut un apport constant et continu de déchets pendant toute sa durée de vie.  "Il faut nourrir la bête" C'est un verrou qui engage la collectivité à produire suffisamment de déchets. C'est un outil industriel qui vient à l'encontre de toute politique de réduction des déchets sur notre territoire. En plus des gaz à effet de serre, les incinérateurs produisent des polluants en sortie de cheminée, résidus solides toxiques, les «mâchefers » et des résidus dangereux d’épuration des fumées (REFIOM) . Pour 80 000 tonnes de déchets incinérés annuels, il restera près de 20 000 tonnes de mâchefers et 2400 tonnes de REFIOM ! ► UN PROJET DU PASSÉ A l'heure du dérèglement climatique, de la chute de  biodiversité, d'une pollution plastique généralisée, il est impensable de s'engager pour 20 ans dans une incinération massive et continue de déchets produisant massivement des gaz à effet de serre !  L'urgence est de : 1. Réduire fortement l'usage du plastique et interdire les plastiques à usage unique 2. Mettre en place une solution de collecte après tri à la source et un traitement vertueux des biodéchets 3. Adopter une tarification incitative : une taxe ou mieux une redevance qui tiennent compte de la quantité de déchets résiduels produits (à incinérer ou à enfouir). Le citoyen est ainsi encouragé à mieux trier et réduire ses déchets. 4. Développer la réutilisation et le réemploi 5. S'attaquer au gaspillage alimentaire Des projets de nouveaux incinérateurs ou d’extensions s’annoncent un peu partout en Bretagne : Dinan-Taden, Gueltas, Pontivy, Brest, Vannes, Auray, Vitré, Retiers…   Planguenoual est le 1er projet à sortir : Il est d’autant plus important de le contrer !!! L’enjeu touche toute la Bretagne. Ces projets très contraignants seront lourds de conséquences environnementales, sanitaires et financières jusqu'en 2050. Il est possible de faire autrement !  Travaillons ensemble à l'émergence d'un nouveau monde désirable, respirable, riche de biodiversité, sobre en consommation d'énergie, de matières premières et ressources !  NOUS DEMANDONS aux élus de Kerval : ►des mesures de pollution sérieuses et complètes, effectuées par un bureau d’études indépendant, permettant de faire un état des lieux au terme de 30 ans de fonctionnement de l’outil actuel ; ►une politique ambitieuse, concrète et conforme aux enjeux nationaux et européens (Stratégie Nationale Bas Carbone visant à lutter contre le règlement climatique, économie circulaire.. ) de réduction des déchets avec les moyens humains et financiers à la hauteur des enjeux environnementaux et sanitaires. Il s'agit notamment de mettre en œuvre sur tout le territoire de Kerval (141 communes), concomitamment le tri à la source des biodéchets avec collecte séparée ET une redevance incitative, assortis des moyens nécessaires pour accompagner avec pédagogie ces démarches ; ►la constitution de groupes de travail composés de citoyens, d'associations, de techniciens et d'élus pour mettre en place, ensemble, cette politique de réduction des déchets sur les sujets suivants en priorité : - tri à la source des biodéchets et collecte en porte à porte - redevance incitative - le réemploi et la consigne pour réemploi - élaboration du Programme Local de Prévention des Déchets Ménagers et Assimilés (PLPDMA) des collectivités pour les territoires qui ne l'ont pas encore écrit. (obligatoire depuis 2012) ►une pause dans la prise de décision concernant concernant le devenir de l'incinérateur de Planguenoual ; ►que soit réexaminée l’alternative de la mise aux normes de l'incinérateur existant, sans augmentation de capacité, avec l'objectif de ne pas obérer l’avenir sur 25 ans et se donner 10 ans pour prendre en compte les évolutions en cours ; ►à être reçus par Kerval. Contact : [email protected] Sources :  - Dossier du projet : https://drive.google.com/file/d/1QclukuJorUShOtq2z8DbHZ90Af7nX8ju/view Pour plus d'infos sur : - Cas de Besançon : https://www.zerowastefrance.org/wp-content/uploads/2018/03/cs9-besancon-fr.pdf - Article Incinération : https://www.zerowastefrance.org/lincineration-des-dechets/ - L'histoire de Milan : https://www.zerowastefrance.org/wp-content/uploads/2022/01/milan-etude-de-cas.pdf
    1 450 sur 2 000 Signatures
    Créée par ZERO WASTE FRANCE / ZERO WASTE BAIE DE SAINT-BRIEUC / URGENCE CLIMATIQUE 22 / STOP METHANE PLOUHA / ERQUY PLURIEN ENVIRONNEMENT / GLAZ Natur / ARPE / EXTINCTION REBELLION SAINT-BRIEUC / EAUX & RIVIERES DE BRETAGNE
  • Non à la plateforme logistique de 9ha à Coutras !
    La création de ces entrepôts géants est dangereuse, que ce soit pour notre territoire comme pour notre environnement. Les clients de ces entrepôts sont secrets à ce jour mais nous pouvons deviner qu’ils serviront au secteur du e-commerce qui est le principal client de ces plateformes. Nous dénonçons : 👷 la destruction de centaines d’emplois locaux Alors que la création d’emplois est brandie comme étendard de ce projet, il est aujourd’hui avéré que chaque emploi dans la logistique et le e-commerce en détruit 2 dans les commerces de proximité, localement et aussi nationalement. 🏫 la mort programmée de nos commerces de proximité et centre-villes Les plateformes de logistique servent aujourd’hui principalement au développement du e-commerce qui est la menace principale des commerces de proximité. Il est aberrant de porter des programmes de revitalisation des centre-villes tout en développant de telles plateformes. A l’opposé de ce projet, nous défendons les commerces locaux et les circuits courts. 🏡 la perte de qualité de vie pour les riverain.e.s Ces entrepôts sont situés à proximité immédiate d’habitations et ces plateformes sont malheureusement connues pour leurs nuisances induites : nuisances sonores (bruits de moteurs, klaxons…) comme lumineuses, hausse du trafic (nombreux poids lourds, incidence sur la sécurité routière), pollution aux particules fines… Une hausse du trafic avec ses nuisances (stationnement, embouteillages, particules fines, sécurité routière…) est par ailleurs à prévoir bien au-delà de Coutras mais sur l’ensemble du territoire. 🌿 l'artificialisation de près de 15 ha de prairies Si les entrepôts font 9 ha, il est probable que la totalité des 15 ha de parcelle soit artificialisée. Les effets dévastateurs de l'artificialisation des sols sont pourtant bien connus : extinction de la biodiversité, îlots de chaleur, imperméabilisation des sols, appauvrissement des nappes phréatiques, destruction des espaces agricoles… L'artificialisation de cette surface est complètement démesurée par rapport aux objectifs de limitation de l’artificialisation fixés par l’Etat, les ⅔ de ce que la CALI peut artificialiser en 10 ans seraient ainsi gaspillés par ce projet absurde ! 🌍 la promotion d’un mode de vie incompatible avec la préservation de notre environnement La Stratégie Nationale Bas Carbone vise une réduction des Gaz à Effet de Serre de 55% par rapport 1990 d’ici 2030. Alors que le secteur de la logistique représente près de 10% des émissions mondiales de Gaz à Effet de Serre, il faut envisager la réduction de l’impact de ce secteur et non son développement. Par ailleurs, alors qu’il est urgent de moins consommer d’objets neufs pour respecter l’accord de Paris, ce projet promeut au contraire une (sur)consommation débridée. Ces entrepôts ne servent plus aujourd’hui à desservir le territoire pour le secteur de la logistique, ils servent à assurer des délais de livraison toujours plus courts (24-48h), déconnectés des besoins réels des habitant.e.s. 🚛 le développement d’un secteur qui est déjà voué à décliner Le secteur de la logistique n’est pas un secteur d’avenir. Côté emploi, la robotisation va s’accélérer ces prochaines années et les emplois réellement créés sur la zone ne seront pas à la hauteur des promesses. Par ailleurs, nous savons qu’à moyen terme, le secteur n’a pas d’avenir et est voué à décliner dans un monde où la consommation et le transport doivent se réduire. Dans quelques années, ces entrepôts deviendront des friches industrielles dont nous ne saurons que faire. Ce projet fait suite au projet de Village des Marques qui avait été abandonné grâce aux avis défavorables des Commissions Départementale et Nationale d’Aménagement Commercial. Si l’on lit les rapports de ces commissions, la plupart des arguments restent valables : artificialisation des sols, mise en danger des commerces locaux et des centre-villes… Le développement d’une plateforme logistique n’est pas soumis à l’avis de ces commissions mais reste néanmoins dangereux pour le territoire ! Il existe par ailleurs de nombreuses alternatives pour développer l’emploi et même le secteur de la logistique tout en restant respectueux des emplois locaux et de l’environnement. Par exemple, pourraient être développés le secteur du réemploi du bâtiment ou encore la multimodalité et la mutualisation des livraisons grâce à la création d'Espaces Logistiques de Proximité desquels partiraient des véhicules plus adaptés (électriques et de tailles différentes dont des cycles), la proximité et l'usage du fret ferroviaire et fluvial… La CALI doit favoriser ces alternatives vertueuses et non créer des infrastructures vouées à l’abandon d’ici quelques années. Pour toutes ces raisons, nous nous opposons à ce projet anachronique. Partout en France, de telles plateformes logistiques sont abandonnées face à la pression citoyenne, nous ne laisserons pas le secteur de la logistique imposer sa vision des choses, la plateforme de Coutras sera le prochain abandonné ! Par cette pétition, nous souhaitons alerter les élu.e.s de notre opposition à ce projet, d’autres actions auront lieu les semaines à venir. Les Braises et les Soulèvements de la Terre du Grand Libournais Les Braises est une association qui est née de la lutte contre l'extension de l'aérodrome des Artigues de Lussac en aéroport de jets prives, elle lutte pour la préservation du vivant dans le Grand Libournais. Les Soulèvements de la Terre du Libournais est le collectif local du mouvement des Soulèvements de la Terre. Soutiens : SEPANSO Gironde La Confédération Paysanne 33 Mène Ta Pomme ANV Cop21 Bordeaux Extinction Rebellion Bordeaux EELV Blayais et Libournais LFI Laruscade et Libourne
    4 641 sur 5 000 Signatures
    Créée par Les Braises .. Picture
  • Vite, un moratoire sur les fermes-usines !
    Vous avez dit "ferme-usine"? Dans une logique productiviste, en appliquant des méthodes industrielles intensives (monocultures, élevages industriels) les fermes-usines accaparent les sols et dégradent les conditions de vie sur terre. Qu'il s'agisse de gigantesques serres, chauffées en hiver et éclairées la nuit, produisant des fruits ou légumes en toutes saisons au prix d'émissions massives de gaz à effet de serre, qu'il s'agisse d'élevages intensifs hors sol concentrant et maltraitant des milliers d'animaux dans des espaces fermés réduits, ou qu'il s'agisse de vastes étendues détournées de leur vocation alimentaire pour approvisionner les méthaniseurs, l'agriculture productiviste cumule les dégâts sur le vivant. Pendant ce temps, une poignée de financiers et d'actionnaires de groupes industriels se frottent les mains. Quels sont ces dégâts ? • Ce modèle productiviste est responsable de pollutions de l'eau, de l'air et des terres et rejette massivement des gaz à effet de serre • Les impacts néfastes sur la biodiversité et la santé végétale, animale et humaine sont massifs. • Les risques pour la santé humaine sont multiples : affections dues aux pesticides, émergence de zoonoses et d'antibiorésistances, morts prématurées imputables aux particules fines, obésité et risques cardiovasculaires engendrés par la malbouffe agro-industrielle. • Ce système de production aggrave encore l'effondrement de la biodiversité par la destruction de haies l'uniformisation des cultures, l'emploi de pesticides, l'eutrophisation des milieux causée par les rejets excessifs d'azote. Il maltraite les animaux considérés comme des marchandises. • C'est un modèle agricole qui, dégrade les emplois paysans, et détruit le tissu économique local dans un marché mondialisé. • Et les riverains des fermes-usines voient leur qualité de vie nettement dégradée ! Nous sommes des citoyens et citoyennes, des associations, des collectifs, inquiets pour notre santé, pour notre avenir, celui de nos enfants, celui du monde vivant, et celui de notre Terre. Que faire? "Il faut bien nourrir les gens" répètent les tenants de l'agro-industrie. Certes ! Mais il faut aussi les nourrir bien . Or, ce système agro-industriel est en échec : non seulement il est sous perfusion, il ne survit que par les aides publiques, mais de plus, il ne parvient pas à nourrir correctement la population, en France 5 à 7 millions de personnes ont recours à l'aide alimentaire. Nous nous opposons donc aux autorisations si facilement accordées par l'état aux exploitations intensives. NOUS EXIGEONS UN MORATOIRE sur les projets d'établissements agricoles aux méthodes industrielles (extensions ou créations), pour laisser place au débat public, à l'information juste et loyale et à la réflexion quant à l'avenir du modèle agricole et alimentaire que nous souhaitons pour notre pays. C'est maintenant ! Une nouvelle loi d'orientation agricole doit voir le jour à l'automne 2023. Signez et faites signer cette pétition pour que cette loi intègre le moratoire, c'est une urgence absolue ! Nous voulons des campagnes vivrières et vivantes, dans lesquelles l'avenir paysan existe ! Soutenez-nous, Signez la pétition ! Les premier.es signataires : - REI (Refus élevage industriel) – Avesnois/Thiérache - FLANER (Flandre-Lys-Alloeu Nature et environnement respectés) - Bretagne contre les fermes-usines - Stop méthane Plouha - Douriou Gouez - Sauve qui poules, Plestin les Grèves - Bocage -environnement Avesnois "les agités du bocage" - Les soulèvements Sèvre-niortaise - Bassines non merci 79 - BNM 29 - Sauvegarde du Trégor-Goëlo-Penthièvre - Minga – Faire ensemble - Nous voulons des coquelicots – Grand Châtellerault - La ruche de l'écologie des monts du Lyonnais - Halte aux Marées vertes (HAMV) - Confédération paysanne 59 - Association Anor Environnement - Association AIVES - Collectif "Non à la mégaporcherie de Feusines-Perassay" Des personnalités - Morel-Darleux Corinne, autrice - Cohen Aurélien-Gabriel , chercheur en géographie et en philosophie des sciences - Tordjman Hélène, économiste, université Sorbonne Paris-nord - Dessein Mickaël, auteur réalisateur permaculteur amateur Des élu.es - De Marci Monique, sénatrice de Gironde - Garin Marie-Charlotte, députée du Rhöne - Satouri Mounir, député européen - Mariel Océane, conseillère communataire de la Rochelle - Biteau Benoît paysan et député européen EELV - Combres Maryse, conseillère régionale de Nouvelle-Aquitaine - Moncond'huy Léonore, maire de Poitiers - Chapuis Gauthier, adjoint au maire de Lyon - Poix Julien, conseiller régional Hauts-de-France
    10 921 sur 15 000 Signatures
    Créée par Coalition des résistances aux fermes usines
  • Destruction d'un hectare de forêt et mort de la faune
    Nous habitons un quartier de la commune de Saint-Leu Roche Café à l'Ile de la Réunion. En 2010 ce quartier est devenu une ZAC : immeubles, lotissements et villas cohabitent dans la mixité sociale. Il ne reste plus qu'un seul hectare de forêt, dernier refuge de la faune qui a vu son espace se réduire considérablement : des oiseaux protégés et des chauve-souris y nichent. Le Maire a décidé de raser 30% de l'hectare boisé sans tenir compte de l'avis des riverains (les 70% restant sont inconstructibles car dans une ravine). Il estime qu' une maison de quartier et un terrain multi sports , en construisant une voie en béton et des parkings et en mettant des projecteurs autour du stade en gazon artificiel est le mieux pour ses administrés. Or, Les riverains, très nombreux, réclament une révision de ce projet inadapté et aberrant. En effet, à 500 mètres de là une maison de quartier existe déjà bien que peu utilisée ainsi qu'un terrain de foot artificiel qui n'est d'ailleurs pas entretenu. Nous craignons la disparition d'espèces protégées comme les pailles en queue, les papangues, les chauve souris, et également les nuisances sonores et le réchauffement d'une zone déjà très ensoleillée : il fait 35 à 38° sous les arbres durant l'été. Les riverains tiennent à avoir en face de chez eux un espace tranquille sans pollution et sans nuisance sonore Nous voulons que Monsieur le Maire modifie son projet, en restant dans la logique d'une ZAC. Nous réclamons un parcours de santé avec des équipements sportifs adaptés à la forêt, et la plantation d'arbres endémiques avec les associations qui nous soutiennent et une aire de jeux pour les petits, sous les arbres avec des bancs. Toutes les générations sont ainsi concernées et la faune garde son dernier espace vital Notre commune est la mieux équipée du département : 5 terrains de sports, 1 mur d'escalade, une piscine, des salles de karaté et judo, un terrain de skate. Aussi plutôt que d'ajouter des structures qui ne serviraient qu'à des jeunes , nous demandons de laisser ce lieu aux tout petits, aux adolescents, aux parents, ainsi qu'aux seniors qui sont pour le moment oubliés par la commune Pour compenser ,le maire et le TCO pourraient mettre à la disposition des jeunes du quartier un bus qui desservirait toutes les structures sportives de la commune .Il existe d'autres terrains dans la ZAC sans arbres ,plats aptes à recevoir ce que désire le maire alors pourquoi détruire la dernière forêt ?
    995 sur 1 000 Signatures
    Créée par Collectif Rocacristal
  • Greenpeace Narbonne et l'Association La Sagne contre l'artificialisation des sols à Gruissan
    La Mairie de Gruissan a décidé de construire 830 logements sur 43 ha de terres agricoles, jardins potagers et zones humides. Ce projet se trouve au sein d'une ZNIEFF de type 2 à enjeux écologiques forts. Ce projet c'est la perte irréversible d'habitats méditerranéens d'intérêts communautaire et d'une mosaïque unique de jardins, vergers et milieux naturels Une autorisation préfectorale dérogatoire va entraîner la destruction de 58 espèces protégées : 👉 Parmi les espèces les plus remarquables, on citera : La Magicienne dentelée, 10 espèces de reptiles dont le Lézard ocellé, 9 espèces de mammifères dont 7 chiroptères, 36 espèces d’oiseaux dont la Pie-grièche à tête rousse, le Pipit rousseline, le Coucou geai, la Fauvette passerinette, la Fauvette orphée, et bien d’autres. 2 espèces d’Amphibiens, en ignorant: - la présence de quatre autres espèces dont trois à enjeu fort (Grenouille de Pérez, Pélodyte ponctué) à très fort (Pélobate cultripède) - l’abondance sur le site d’Arthropodes et plantes protégés, comme l’Ophrys bombyx ou le Limonium de Legrand Le Conseil National de la Protection de la Nature (CNPN), composé d’experts scientifiques a dénoncé le projet à l’unanimité. https://www.avis-biodiversite.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/2023-01-29x-00014_zac_ecoquartier_de_la_sagne_guissan_11.pdf 👉 Ce projet est prévu sur des espaces nourriciers (vignes et jardins potagers) actuellement utilisés par les habitants ainsi que sur les 40 puits qui sont d'importants réservoirs d’eau douce. 👉 Cet aménagement immobilier est réalisé dans une zone très basse et donc sujette, à terme, à la montée des eaux marines dans le cadre des effets prévisibles du changement climatique. 👉 Ce projet va à l’encontre des objectifs en matière de sobriété énergétique, en accroissant la dépendance à la voiture et l’éloignement des commerces, et contredit ainsi la stratégie nationale bas carbone. Des alternatives au projet existent : 👉 En 2012-2013 une étude a été réalisée par les architectes Amiot –Fernandes – Nicolas – Romane avec pour objectif d’identifier les terrains constructibles sur la commune de Gruissan. Cette étude résultait d’une commande de la Direction Départementale des Territoires et de la Mer et de la Mairie de Gruissan. Le rapport répertorie toutes les possibilités de zones constructibles et insiste sur la nécessité de préserver la Sagne https://paris-est.archi.fr/publications/cahiers-du-dsa/vivre-avec-le-risque-br-la-submersion-marine-a-gruissan 👉 Les municipalités qui ont créé des régies communales ont réalisé l’objectif d’une alimentation bio et locale. Exemple : Mouans-Sartroux (Alpes Maritimes) la règle communale produit sur 6 ha des légumes de saison pour 1000 repas / jour (crèches, écoles primaires). Paray-Vieille-Poste (Essonne) sur 13 ha en permaculture a atteint son objectif de combler les besoins de 3 cantines 1100 repas/ jour (3 cantines scolaires), réduction de prix aux familles les moins aisés, distribution de paniers aux séniors. Leurs constats : moins de gaspillage, moins cher. Cultiver et distribuer localement « c’est vivre l’écologie », donner une dimension sociale et pédagogique, sensibiliser les enfants aux enjeux environnementaux, et de ce fait aux questions du bien-être et de la santé. Notre lutte pour la préservation des espaces naturels concerne l'avenir de tous. De nombreuses associations ont rejoint la lutte : Association SAGNE, Greenpeace Narbonne, Terres de lutte, Reporterre, Sites et Monuments. Pour arrêter ce projet destructeur votre soutien est indispensable, manifestez le en signant cette pétition ! Vous pouvez également nous aider en apportant votre contribution afin de financer les frais judiciaires et les contre expertises. https://www.helloasso.com/associations/association-sagne/collectes/contre-l-artificialisation-des-sols-a-gruissan/
    4 746 sur 5 000 Signatures
    Créée par Greenpeace Narbonne Picture
  • Let’s tax fossil fuel companies: our lives before their profits!
    The need to completely phase out from fossil fuels and the climate debt that rich countries owe to the Global South will be at the heart of the COP28 negotiations in November. While the Summit for a New Global Financing Pact paved the way towards establishing a levy on the most polluting sectors, political leaders did not make any concrete commitments in this regard. Committed to fight for climate justice, our organizations reiterate the need for fossil fuel companies, the main contributors to CO2 emissions, to pay for the climate chaos their activities have unleashed. This is why we are calling on political leaders who will be meeting in Dubaï in November to tax the big polluters: oil, gas and coal companies that are destroying the planet while getting richer and richer Why? It is high time for the fossil fuel industry to start repairing the damage it has caused by funding the response to the worst climate impacts experienced by populations in the Global South. The latest report from the Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) makes it clear that further expansion of oil, gas and coal must urgently be stopped if we want to stand a chance of staying below 1.5°C of global warming (1). WHY TARGETING FOSSIL FUEL COMPANIES? Since the 1970s, many of these companies have publicly denied the catastrophic impact of their actions on the environment and public health, even though internal reports from their own scientific experts concurred with the IPCC's findings. This industry has chosen to ignore such reports and the damage, sometimes irreversible, caused by their activities, particularly in the Global South: loss of human lives, destruction of schools and roads, forced displacement of populations, etc. In 20 years, 55 of the most climate-vulnerable countries have suffered a total of US$500 billion in climate-induced economic losses. Meanwhile, the fossil fuel industry made enough super-profits to cover these costs nearly 60 times over (2)! Not to mention that these companies continue to largely benefit from public subsidies: they receive more than US$500 billion a year from G20 governments(1)! YES, BUT HOW? In 2022, at COP 27, we won a historic battle! Governments agreed to create a fund dedicated to loss and damage to provide financial support to countries most vulnerable to climate change that are regularly hit by cyclones, floods, droughts or relentless sea-level rise. At COP28, Governmentshave the difficult task of turning hope into reality by agreeing on how the Fund will operate, in particular who will benefit from it and who will have to contribute to it. Taxing fossil fuel companies would raise some of the money needed to fill the Fund. Concrete solutions must be found without delay to secure large amounts of money so that this fund does not remain an empty shell. It would be possible to tax fossil fuel extraction and export as well as the windfall profits made by the fossil fuel industries. Such taxes could generate between US$ 200 (2) to 300 billion(3) a year. This is not a matter of solidarity or charity but a debt that these companies owe to the people of the Global South and the rest of humanity. Taxing fossil fuel companies is key to achieving climate justice. TODAY, WE CALL ON POLITICAL LEADERS TO TAX FOSSIL FUEL COMPANIES. LET'S PUT OUR LIVES BEFORE THEIR PROFITS! Time is running out. We will be taking this petition to COP28, to be held from November 30 to December 12 in Dubaï, United Arab Emirates. Sign the petition today, and together we'll make our voices heard. List of signatories: - Action Non-Violente COP21 (ANV-COP21) - Alternatiba - CARE France - CARE International - Climate Action Network International - Greenpeace France - Greenpeace International - Oxfam France - Réseau Action Climat France - Terre des Hommes France - 350.org (1) https://www.iisd.org/system/files/2020-11/g20-scorecard-report.pdf (2) https://www.theguardian.com/environment/2023/may/19/fossil-fuel-firms-owe-climate-reparations-of-209bn-a-year-says-study (3) https://www.stampoutpoverty.org/live2019/wp-content/uploads/2019/06/CDT_guide_web23.pdf
    84 999 sur 100 000 Signatures
    Créée par Greenpeace International, CARE International