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Pour une vraie démocratie participative à Marseille : signez pour la votation citoyenne !Cette initiative s’inscrit dans le cadre de La Cité des possibles - Arrivée du Tour Alternatiba, qui a pour objectif la transformation des territoires. Nous demandons l'instauration de votations citoyennes à minima annuelles à Marseille. Marseille, un besoin essentiel d'adaptation au dérèglement climatique Notre constat alors que les enjeux liés au changement climatique sont gigantesques et participent à l'effondrement de la biodiversité : • La prise de conscience collective est présente mais les actions restent largement insuffisantes pour répondre à ce défi. • Les habitantes et habitants ont pourtant envie de participer. • Au niveau national, la Convention Citoyenne pour le Climat a été un modèle d'implication mais ses préconisations ont été bafouées par un pouvoir qui privilégie l'économie à la vie alors que ces mesures auraient pu être soumises à un référendum. En ces temps où les atteintes à la démocratie se renforcent, il faut accélérer la participation citoyenne, ne pas se contenter de proposer aux électrices et aux électeurs un vote de temps en temps et redonner plus de pouvoir de décision aux habitantes et habitants. Pas de transition écologique et sociale sans véritable démocratie Localement, il y a des améliorations notables dans les concertations et des expériences commencent à voir le jour, avec notamment la création de l'Assemblée Citoyenne du Futur, le budget participatif ou le Conseil de Développement de la Métropole, mais il faut aller plus loin et plus vite ! Ailleurs (Paris, Poitiers, Grenoble, Quimper, ..) la démocratie participative est bien plus avancée et donne de bons résultats quand la population est consultée. Notre proposition • Les Marseillaises et les Marseillais se prononceront sur une votation citoyenne par an concernant la ville et une votation citoyenne par an concernant chacun des 8 secteurs de la ville. • Les propositions soumises à la votation citoyenne seront formulées par une assemblée citoyenne chargée d'en évaluer le caractère non discriminatoire et la faisabilité, appuyée par des expertes et experts, associations, comités de quartier et autres collectifs. • Nous demandons que les institutions concernées s'engagent à respecter le résultat de ces votes et les mette en application dans les deux ans. • Nous demandons que la Mairie organise les votations citoyennes, et que la 1re édition le soit d'ici octobre 2025. Remarque : l'assemblée citoyenne pourrait être l'Assemblée Citoyenne du Futur ou une assemblée populaire auto organisée Initialement, nous espérions obtenir les 10 000 signatures rapidement. Nous continuons la campagne pour atteindre un premier palier de 5000 signatures pour transmettre celles ci aux collectivités locales avant la réserve électorale qui surviendra au mois de septembre 2025. L'objectif D'après le règlement intérieur de la Ville de Marseille, pour que l'instauration de votations citoyennes soit débattue en conseil municipal, il suffit de réunir 10 000 signatures d'électrices et électeurs de la Ville de Marseille ! Si cet objectif est atteint, nous veillerons à ce que la Métropole en débatte également en conseil métropolitain. Pour une vraie démocratie participative: signez pour la votation citoyenne à Marseille ! Quelque soit votre lieu de vote ou de résidence, même si vous ne votez pas à Marseille, votre signature est très importante pour signifier votre soutien. Mise à jour: Cette pétition a été initiée lors du lancement de la Cité des possibles - Arrivée du Tour Alternatiba qui s'est déroulé à Marseille du 4 au 6 octobre 2024. Nous avons décidé à la suite de constituer une coalition composée d'associations, de collectifs et d'habitant.es. Nous avons décidé de l'appeler Comm'un Possible Marseille. Nous avons déterminé une raison d'être "Créer un pouvoir citoyen en catalysant et valorisant les nombreuses luttes et alternatives et en atteignant une masse critique permettant de transformer Marseille pour qu'elle s'affirme vivante, populaire, et vivable pour les générations présentes et futures."4 085 sur 5 000 SignaturesCréée par La Cité des possibles
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La Ferme-Cueillette de Servigny à Lieusaint (77) en danger !En apportant votre signature, vous soutenez notre action pour la conservation de terres agricoles fertiles, le maintien d’une exploitation de proximité, vertueuse et engagée pour les générations à venir. Pétition proposée par un collectif de quatorze associations : * FNE Grand Paris Sud * FNE Seine-et-Marne * Essonne Nature Environnement * Alternatiba Sénart * Groupe Local LPO Grand Paris Sud * ADE (Association de Défense de l’Environnement de Sénart et environs) * ARNASSEN (Association pour la reconnaissance de Noisement) * C-E-E (Corbeil-Essonnes-Environnement) * SEE (Soisy-Etiolles- Environnement) * TESSA (Transition Écologique et Sociale de Sénart et Alentours) * Vergers Vivants de Lieusaint, * ABC (Association des Bois du Canton) * GABI (Groupement des Apiculteurs de Bréviande) * Les Coquelicombs8 641 sur 9 000 SignaturesCréée par Sauvons S.
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TERRAIN DE RUGBY : SAUVONS LA DERNIERE GRANDE PELOUSE DE TAVERNY !PETITION TERRAIN DE RUGBY : SAUVONS LA DERNIERE GRANDE PELOUSE DE TAVERNY ! Pourquoi le terrain du rugby de Pontalis, un des derniers grands espaces verts en accès libre, risque-t-il de disparaître ? La mairie a annoncé la vente de ce terrain communal au privé et sa bétonisation pour du foot en salle et du padel. Ce poumon vert est un espace important pour les familles qui peuvent l’utiliser à leur guise : sa destruction va une fois de plus fortement baisser la surface des espaces verts à Taverny. C’est mauvais pour l’environnement, la biodiversité, la santé des habitants, le bien-être. Les bâtiments construits sur le terrain de rugby devraient être d’imposants hangars : des verrues dans le paysage, à côté du bois de Boissy. 16 900 m2 d’espaces naturels seraient ainsi détruits ! Le padel sera opéré par une entreprise privée et non par l’association du club de Tennis de Taverny (Cosmo). Le foot en salle également sera géré par cette entreprise privée Urban Soccer : alors qu’il existe déjà une entreprise de foot et padel en salle à Beauchamp à 3000 m. Celle-ci s’est d’ailleurs installée en zone d’activité de Beauchamp et non en centre-ville pour limiter les nuisances. Tandis qu’avec ce projet à Taverny les nuisances seront fortes, jusqu’à une heure du matin et les voitures nombreuses. Le terrain est situé à proximité des lycées et des collèges, entre les deux quartiers prioritaires de la ville. Il est utilisé pour les évènements, forum associatif, festival, course solidaire « Lisa Forever », rencontres sportives inter établissements. Il est donc préférable pour la commune et ses habitants de garder ce dernier grand terrain libre d’accès : Pourquoi cet acharnement de la maire et de sa majorité à vouloir tout bétonner et marchandiser ? Plus d'informations et les plans d'implantations sur : https://changeonsderetaverny.fr/2024/05/19/petition-terrain-de-rugby-sauvons-la-derniere-grande-pelouse-de-taverny/ Contact : [email protected] Avec les places de stationnement et la voie d’accès, la majeure partie du terrain est sacrifiée. Stop à la marchandisation : la ville a déjà vendu pour plus de 10 millions d’euros de terrains communaux. Nous nous appauvrissons : ce patrimoine nous apparatient à toutes et tous or il est cédé de façon irreversible à des promoteurs. Cette grande pelouse en accès libre est un bien commun : elle doit rester dans le patrimoine public ! Elle ne doit pas être vendue. Les activités sportives peuvent être organisées par nos associations : il n’est pas nécessaire de les privatiser. Ce sera cher, réservé à quelques uns et d’autant plus aberrant que tout près des terrains de foot et padel en salle sont déjà présents en nombre à Beauchamp. Mme le maire et sa majorité doivent abandonner ce projet délirant et toxique : le terrain doit au contraire être valorisé. 16 900 m2 d'espaces verts publics en milieu urbain, c'est un joyaux à préserver, à valoriser, à garder dans le patrimoine public : et non à vendre au privé et à bétonner. Sauvons cette pépite tabernacienne !5 348 sur 6 000 SignaturesCréée par Thomas C.
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Droit à l'alimentation - pour l'ouverture de Conseils Locaux de l'AlimentationPourquoi la Sécurité Sociale de l'Alimentation Durable ? La Déclaration Universelle des Droits de l’Homme de 1948 déclare, en son paragraphe 1 de l’article 25, que : “Toute personne a droit à un niveau de vie suffisant pour assurer sa santé, son bien-être et ceux de sa famille, notamment pour l’alimentation”. Par ailleurs, le droit à l’alimentation est reconnu en France par l’article L1 du Code rural précisant que : “Dans le cadre de la politique de l'alimentation définie par le Gouvernement, d'assurer à la population l'accès à une alimentation sûre, saine, diversifiée, de bonne qualité et en quantité suffisante, produite dans des conditions économiquement et socialement acceptables par tous, favorisant l'emploi, la protection de l'environnement et des paysages et contribuant à l'atténuation et à l'adaptation aux effets du changement climatique”. Aucune de ces garanties ne sont respectées aujourd’hui par le gouvernement ! Une France qui a faim : • 1/3 des Français·es ne mange pas 3 repas équilibrés par jour, faute de moyens. • En 2020, 7 millions de personnes ont dû avoir recours à l’aide alimentaire. Un système agricole qui broie les agriculteur·ice : • 1 à 2 paysan·nes se suicide tous les jours en France. • Les agriculteur.ices sont aussi les premières victimes des pesticides Un système agricole qui ne respecte pas les limites planétaires et menace notre sécurité alimentaire : • Le secteur agricole représente 1/5 des émissions de gaz à effet de serre de la France. • L’agriculture est la première activité utilisatrice d’eau douce, avec 58% du volume total consommé. • En 2022, les épisodes de sécheresse ont entraîné des pertes allant de 10 à 30% pour de nombreuses cultures Ce système agro-industriel capitaliste est à bout de souffle. Il est à la fois dangereux et contraire à la logique d'adaptation au dérèglement climatique. Notre gouvernement, par ses choix criminels délibérés, par son soutien à l’agro-business et par la guerre sociale qu’il impose aux plus pauvres, laisse une partie de sa population dans la faim, mine la santé des plus précaires, tue ses paysan.nes, détruit les terres qui nous nourrissent et menace notre sécurité alimentaire. Pourtant, des solutions justes et démocratiques existent et montrent déjà leur efficacité ! Pour que cesse l’ensemble de ces violences dont sont victimes les producteur·ices, les consommateur·ices et l’environnement, nous demandons la mise en place de Conseils Locaux de l’Alimentation (CLA). Ces conseils, initiés par les collectivités, seront ensuite gérés de manière démocratique par les citoyen·nes. Ces instances collectives sont une occasion de s’approprier les questions alimentaires et de rencontrer des producteur·ices locaux pour favoriser une agriculture durable. Au sein de ces conseils, les citoyen.nes pourront sélectionner et conventionner des aliments, des points de vente et des producteur.ices selon différents critères définis démocratiquement. Les Conseils Locaux de l’Alimentation ont pour objectif d’initier la mise en place d’une Sécurité Sociale de l’Alimentation Durable (SSAD). Actuellement, une trentaine d’initiatives locales de SSAD existent dans différents territoires en France. Notre objectif est qu’à terme, la SSAD soit étendue à tout le pays. Cette solution permettrait à chaque habitant.e, indépendamment de sa condition sociale, de bénéficier d’une carte vitale de l’alimentation d’un montant de 150€ tous les mois. Cette carte permettra d’acheter des produits sélectionnés et conventionnés préalablement par les citoyen.nes de manière démocratique. Comme pour la Sécurité sociale de la santé de 1946, le financement se fera par un système de cotisations, avec des caisses autogérées par les citoyen.nes, assurant ainsi une juste répartition. La SSAD permettra à la fois aux citoyen·nes de se réapproprier leur alimentation, de garantir une plus juste rémunération aux producteur.ices et d’amorcer une transition agricole vers un modèle plus durable. Parce que nous allons nous battre pour que notre droit à l’alimentation choisie soit respecté, signons cette pétition !100 sur 200 SignaturesCréée par Riposte Alimentaire Tours
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Les trottoirs pour les piétons et une vraie piste pour les cyclistes sur le pont Saint-Esprit !En effet, depuis les travaux de 2018 liés au Tram’bus, les expérimentations de circulation en place donnent lieu à une cohabitation malheureuse et dangereuse entre piétons et cyclistes, tandis que les bus sont régulièrement bloqués dans les embouteillages avec les voitures. Cette situation, qui dure depuis près de six ans, met en péril la sécurité de tous les usagers et nuit à la qualité de vie dans nos quartiers. C’est pourquoi nous demandons sans attendre des espaces séparés et sûrs pour les piétons et cyclistes, afin de faire du pont Saint-Esprit un véritable lieu de passage dynamique, bénéfique à toute la communauté. Il est temps de rendre le pont Saint-Esprit accessible, sûr et accueillant pour tous les Bayonnais.1 251 sur 2 000 SignaturesCréée par Txirrind'Ola
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Stop aux liens plastiques des poubelles, protégeons notre santé et l'environnementCes liens causent des dommages irréparables; il est temps d'agir, en mettant fin à cette pollution évitable. 1. Impact Environnemental Grave Les liens détachables des sacs poubelles, souvent non-recyclables, augmentent significativement notre empreinte plastique. Leur petite taille les rend difficiles à ramasser et à recycler, favorisant ainsi leur accumulation dans l'environnement. Ces liens en plastique ne se dégradent pas et peuvent subsister dans l'environnement pendant des siècles, contaminant nos sols et nos cours d'eau. Chaque année, 8 millions de tonnes de plastique finissent dans nos océans. Les créatures marines, y compris des espèces en danger comme les tortues marines et les cétacés, confondent souvent ces liens avec de la nourriture. Leur ingestion peut être fatale. Les oiseaux, pris au piège, peuvent subir des mutilations ou mourir d'épuisement et de faim. La sécurité de notre biodiversité est en jeu. Ce n'est pas seulement une pollution visuelle, c'est une crise écologique. 2. Danger pour la santé humaine Pour nous, les humains, ces liens représentent un risque direct. Les liens en plastique peuvent causer des coupures et des blessures, en particulier pour les enfants. Ils peuvent également être ingérés accidentellement par des jeunes enfants, ce qui peut entraîner des étouffements ou des occlusions intestinales. Ils sont potentiellement dangereux pour les Seniors provoquant des chutes accidentelles par amoncellement sur les trottoirs. De plus, en se décomposant, ils se transforment en microplastiques, infiltrant la chaîne alimentaire et impactant notre santé de manière encore inconnue et imprévisible. Selon l'étude menée par l'université de Newcastle en 2019, 52.000 microparticules de plastique finissent dans nos assiettes chaque année. Malgré ça, la production de plastique augmente de 4% par an depuis 2000. Chaque lien abandonné peut devenir une menace invisible mais persistante. 3. Difficultés de recyclage Actuellement, le recyclage des liens en plastique est complexe et coûteux, et la plupart finissent dans nos décharges ou incinérateurs, libérant des toxines dans l'air et le sol. Beaucoup d'entre eux sont irrécupérables, car dispersés en fragments dans nos campagnes. Nous avons des alternatives viables et respectueuses de l'environnement, telles que des liens en matériaux biodégradables ou des sacs avec fermetures intégrées. 4. Existence d'alternatives Des solutions existent déjà : de nombreux fabricants proposent des sacs poubelles équipés de liens biodégradables ou compostables. Ces alternatives sont non seulement efficaces mais aussi bénéfiques pour notre environnement. Déjà, grâce à la Directive (UE) 2019/904, les fabricants sont tenus de solidariser les bouchons aux bouteilles en plastique. Adopter ces alternatives est un pas vers un mode de vie plus sûr et durable pour chacun de nous. Conclusion L'interdiction des liens en plastique dans les sacs poubelles est une action cruciale pour protéger notre planète et assurer un avenir sain pour les générations à venir. Votre signature sur cette pétition peut pousser l'Union européenne à agir à la veille des élections européennes. Ensemble, faisons entendre notre voix pour un changement positif. Signez cette pétition maintenant et partagez-la largement. Chaque signature compte, chaque action compte – et rapproche notre communauté d'un environnement plus propre et plus sûr pour nous tous.119 sur 200 SignaturesCréée par Bianca M.
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TOUJOURS NON AUX FORAGES PÉTROLIERS DANS LE SUD SEINE-ET-MARNE COMME AILLEURSLa société Bridge Énergies (ex Bridgeoil) exploite depuis 2012 une concession d’hydrocarbures à Nonville, près de la forêt de Fontainebleau. À trois reprises, en 2017, 2019 et 2020, elle a demandé d’étendre sa concession aux communes voisines*. Peine perdue à l’époque grâce à la mobilisation d’Environnement Bocage Gâtinais (EBG), des élus, de la population et de la régie Eau de Paris qui s’inquiétait des risques de pollution de l’eau potable distribuée aux habitants locaux et à quelque 180 000 Parisiens. Hélas, le 27 décembre 2023, Bridge Énergies a remporté la mise : la superficie de sa concession peut être multipliée par cinq ! Ainsi en a décidé en octobre 2023 le tribunal administratif de Poitiers saisi par le Conseil d’État et cette décision a été entérinée par le gouvernement. EBG, affiliée à France Nature Environnement Seine-et-Marne, continue de s’opposer aux projets de Bridge Énergies potentiellement dangereux pour la nappe phréatique et pour les habitants qui subissent des odeurs nauséabondes et des nuisances sonores lors des forages. Par ailleurs, ce projet engendrera inévitablement une augmentation des émissions des gaz à effet de serre, aggravant encore plus le réchauffement climatique. Notre association soutient fermement la démarche d’Eau de Paris qui veut préserver la qualité de l’eau et vous demande de marquer votre solidarité en signant notre pétition qui sera transmise à la préfecture de Seine-et-Marne et aux services de l’État. Mise à jour : Le 21 juin 2025, nous avons créé le collectif Stop pétrole Île-de-France pour rassembler toutes les associations qui oeuvraient depuis déjà des mois aux côtés d'EBG. Stop pétrole Île-de-France est une coalition d’acteurs engagés contre le projet d’extension du forage pétrolier de Nonville (77), et contre l’ouverture de tout nouveau forage pétrolier sur le territoire français. Elle est composée des structures suivantes et de leurs représentant.es : Action Justice Climat Paris Coordination eau Île-de-France Environnement Bocage Gâtinais France Nature Environnement Île-de-France France Nature Environnement Seine-et-Marne Greenpeace France Greenpeace Île-de-France Les Amis de la Terre France Les Amis de la Terre Paris Notre Affaire À Tous Réseau Action Climat -------- * Nonville, Darvault, La Genevraye, Nanteau-sur-Lunain, Treuzy-Levelay, Villemaréchal, Villemer… Voici la QR code à imprimer pour relayer la pétition : https://www.greenvoice.fr/assets/uploads/2024/06/qr-code-agir-greenvoice.png39 439 sur 40 000 SignaturesCréée par Environnement Bocage Gâtinais et le Collectif Stop Pétrole Île-de-France
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NON à la construction du nouveau terminal croisière au Havre !Actuellement, nul ne peut nier le dérèglement climatique, lié aux activités humaines. Depuis des dizaines d’années, de nombreux traités internationaux préconisent la réduction des émissions des gaz à effet de serre, responsables de ces catastrophes climatiques. Pourtant de nombreux projets, tributaires des énergies fossiles, nocifs pour la planète, sont à l’ordre du jour. Notamment, ce projet de nouveau terminal croisière au Havre, porté par le Groupement d’Intérêt Public (GIP) Le Havre Croisière. Ce projet, voulu par la communauté urbaine Le Havre Seine Métropole et HAROPA, sera financé avec le soutien de la Région Normandie, par des fonds publics à hauteur de 100 millions d’euros. Ce projet augmenterait de manière significative, le nombre de navires en escale au Havre passant de 131 escales en 2019 à 200/240 à l’horizon 2030 (source :Autorité Environnementale). "Vitrine pour le territoire et le port" ce projet se dit "global et vertueux". Laissant seulement 27% de zones végétalisées, il aura une emprise au sol de 73% de bétonisation: bâti, voirie, parking nécessaires pour garer les 80 cars qui emmèneront les croisiéristes dans les lieux touristiques normands déjà saturés Étretat, Mont Saint Michel, Giverny... ou à Paris pour quelques heures. Les bateaux de croisières polluent : Une étude de Transport et Environnement (T&E) montre qu’en 2022, les 218 navires de croisière situés en Europe ont émis autant d’oxydes de soufre (SOx) qu’un milliard de véhicules sur la même période. Entre 2019 et 2022, le nombre de navires en service a augmenté de près d’un quart. Parallèlement, les émissions de SOx liées à ces bateaux ont augmenté de 9%, celles d’oxydes d’azote (NOx) de 18% et celles de particules fines (PM 2.5) de 25%. Les bateaux de croisières ignorent la sobriété : -L’électrification des quais, imposée par l’Europe pour 2030, ne supprimera pas la pollution des navires à quai non équipés pour ce branchement. -Actuellement, dans les ports déjà électrifiés de nombreux bateaux équipés refusent ce branchement pour des raisons d’économie. Comme de nombreux ports: Amsterdam, Venise, Barcelone, Marseille… Nous, citoyens du Havre et des environs, refusons l’augmentation des escales de ces géants des mers, énergivores et hyper-polluants. L’activité de croisière ne peut constituer une perspective d’avenir pour notre territoire. Plus nous accueillerons ces immeubles flottants au Havre, plus il y aura de pollution atmosphérique et marine et plus la consommation d’électricité augmentera au détriment des besoins de la population. Qu’en est-il de la recommandation de sobriété énergétique, prônée par le gouvernement? Il est d’intérêt général de concevoir des projets qui, sur le long terme, prennent en compte la sobriété énergétique et le respect de la nature. L’argent public ne doit pas financer ce projet néfaste à la planète. Il faut y renoncer !4 504 sur 5 000 SignaturesCréée par Collectif Stop Croisières
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CONTRE les coupes d'arbres excessives ! Forêt sinistrée !Depuis 4 ans, 18 parcelles sur 95 se retrouvent ainsi déboisées et replantées. Si cette logique persiste, on peut craindre que près de la moitié de la forêt de La Malmaison sera rasée dans les cinq ans à venir ! II y a URGENCE car les prélèvements de l'ONF et les coupes excèdent la croissance naturelle de la forêt et mettent à mal la reconstitution du couvert végétal pourtant vital pour réguler les températures, filtrer les polluants aériens, capturer le CO2... C'est vital pour le bien-être et la santé des populations des zones urbaines à proximité et protéger la biodiversité. Le dérèglement climatique (températures élevées, sécheresse, inondations et maladies qui en découlent..) compromet la croissance naturelle et l'efficacité des replantations massives. Nous demandons aussi la mise en place d'une sylviculture plus douce qui favorise le maintien d'un couvert végétal continu et préserve la biodiversité, au moyen de coupes plus sélectives c'est à dire : - le ciblage des coupes sur les arbres malades repérés individuellement comme dangereux, sans écrasements des sols, ni broyage, ni labourage - le maintien de tous les arbres sains sur pied. - la suppression de l’objectif assigné à l’ONF d’exploitation économique des forêts péri-urbaines pour alimenter la filière bois énergie et l’exportation des grumes.525 sur 600 SignaturesCréée par DOMINIQUE D.
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[Auxerre] Stop à l'agression publicitaire et au gaspillage énergétique !Il est plus que temps de nous interroger sur nos usages de publicités superflues, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. ⚡️ Les panneaux publicitaires sont inutiles, n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. ⚡️ Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme en moyenne l’équivalent des besoins d’un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager(1) : laisser tous ces écrans allumés est un gaspillage absurde, en plus d’une atteinte à la biodiversité. Notre territoire a le pouvoir d’aller plus loin à travers le règlement local de publicité et les contrats qu'elle signe avec les afficheurs afin de montrer l’exemple pour être à la hauteur des enjeux environnementaux. 🛑Auxerre doit prendre les mesures suivantes. 👉Nous demandons : - Le retrait de tous les panneaux publicitaires de 2m2 rétro-éclairés, dans le nouveau contrat à venir avec un afficheur en janvier 2025. - Le retrait des écrans LED publicitaires quelque soit leur taille dans l'agglomération auxerroise. - L’extinction des panneaux lumineux des arrêts de bus en continu. - L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture des magasins. - L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés. 💡 Nous demandons ces mesures, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre dans le cadre du renouvellement de l'afficheur de la ville en janvier 2025. D’autres villes comme Lyon ou Paris ont déjà mis en place des mesures fortes pour réduire leur consommation énergétique et s’inscrire dans le sens d’une sobriété choisie et responsable. 🌟 Auxerre aussi doit s’inscrire dans le sens de l’Histoire et mettre en place des solutions ambitieuses ! Source : 1 - Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer).2 252 sur 3 000 SignaturesCréée par Extinction Rebellion Auxerre
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Non à la navette autonome Beti à Crest & en Vallée de la Drôme, pour d'autres projets de sociétéAu lieu de subir constamment les décisions unilatérales des élus locaux et de se soumettre aux logiques capitalistes et technologiques sans avenir, il est important de se réunir pour lutter ensemble et faire grandir des projets de sociétés vivables et désirables, socialement justes et écologiquement soutenables. Les catastrophes sociales, écologiques, climatiques en cours méritent bien mieux que du solutionnisme technologique. On a besoin de vraies améliorations sociales et politiques, pas de robots « high tech ». Et si on mettait fin à la résignation et la soumission par rapport à tous ces projets présentés abusivement comme bons et inéluctables ? Ce projet aberrant de navette autonome Beti est une bonne occasion pour commencer à se relever, réfléchir et agir. Une pétition n’est qu’un (très) modeste début en ce sens. C’est à nous toustes d’aller beaucoup plus loin ensemble, le plus loin possible.165 sur 200 SignaturesCréée par Groupe écolo e.
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La Mer commence ICILes mers et les océans paient déjà un lourd tribut en étant fortement impactés par les hausses des températures. Comme nous le savons les 3/4 des déchets marins sont au fond, invisibles, formant un tapis qui asphyxie la vie sous-marine, en l'anéantissant. Ce sont aujourd’hui des milliers de tonnes de déchets qui menacent les écosystèmes. Ces écosystèmes sont essentiels pour l'équilibre climatique, la biodiversité et les populations locales. Nous ne pouvons pas ignorer cette destruction sans agir, il n’y a pas une minute à perdre ! La bonne nouvelle, c’est que des solutions existent ! Nous demandons à la métropole d’agir à nos côtés : => sur l’axe préventif, avec : > des campagnes d’information efficaces sur la question du plastique, le seul déchet qui ne disparait jamais, mais qui se fragmente en micro plastiques, que l’on retrouve par transport atmosphérique jusqu’aux lacs isolés en altitude, et que nous devons impérativement arrêter d’utiliser au maximum, > une campagne d’information et de sensibilisation sur la différence entre égout et réseau pluvial urbain, réseaux unitaires et séparatifs, et les conséquences d’une pollution des réseaux pluviaux > des interventions dans les écoles, > une sensibilisation auprès des commerçants et des industriels, > et surtout en en priorité immédiate, un travail de réduction à la source des déchets en limitant sur le territoire tous les emballages, entre autres, et en mettant en place une vraie politique zéro déchet. => Sur l’axe correctif également, avec : > un état des lieux sur la pollution chimique, et un plan d’action précis pour limiter les rejets des industriels, > des actions montrant une vraie prise de conscience collective sur les conséquences de l’eutrophisation (rejet de matière organique dans les cours d’eau qui tue littéralement toute la vie qui s’y trouve par prolifération végétale et consommation de tout l’oxygène, appelé plus communément : pollution aux eaux usées), > des ramassages et quantification de déchets réguliers, > l'installation de filets récupérateurs de déchets solides sur les exutoires et avaloirs stratégiques, > une aide au développement de la filière « gestion et tri » des flux récupérés par ces filets, > l’adaptation des bassins d’orages pour gérer les volumes d’eau colossaux et éviter la saturation des stations d’épuration mais aussi le débordement des réseaux unitaires dans les cours d’eau, > la remise en état des réseaux d’eaux usées pour diminuer la pollution des nappes phréatiques, > une meilleure surveillance des réseaux pour identifier les ruptures de canalisation et des interventions plus rapides, > la suppression des trop nombreux rejets d’eaux usées directement dans les cours d’eaux, ou encore sur les réseaux pluviaux, > la mise en sécurité des réseaux d’évacuation des eaux usés simplement posés dans le fond de ces cours d’eau … > une étude technique systématique de faisabilité de réemploi des eaux grises (eaux de la douche ou de vaisselles pour alimenter les WC par exemple) devrait être systématiquement envisagé pour les constructions neuves des collectivités, tant le sujet de l’eau potable et notre responsabilité à en préserver la ressource est cruciale. > des récupérateurs d’eau de pluie et panneaux solaires en collectivité, Il y a tant de sujets à aborder, tant de mesures à mettre en place, il est temps de se mettre ensemble en mouvement ! Afin d’entrer en action à vos côtés, collectivement et efficacement sur des sujets aussi variés que transversaux, nous demandons la création en urgence d’un CONSEIL DE PROTECTION ENVIRONNEMENTAL, déjà validé pour certains élu.e.s, constitué d’élus et d’associations de protections environnementales. Ce format de réunion de travail régulières est indispensable pour une communication efficace entre les services municipaux qui ont à gérer tous ces sujets transversaux, mais aussi pour permettre aux problématiques locales de remonter : les comités de quartiers, association de riverain.es sont les premiers témoins de ces problématiques locales, et pourront d'une façon extrêmement efficace, les faire remonter et constater aux services municipaux via les associations, qui pourront ainsi mieux anticiper les mesures à envisager, et les rendre efficaces. Les associations sont disponibles et compétentes, volontaires et investies dans leur rôle, à la hauteur de l’urgence à laquelle nous devons tous faire face. Nous avons déjà échangé avec les élus locaux sur ce sujet et aimerions que le projet, ambitieux et novateur, voit le jour rapidement dans la métropole de Montpelier. Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin !3 197 sur 4 000 SignaturesCréée par Collectif B.A.M. B.
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