• On veut du fret ferroviaire
    Alors que le transport est le secteur le plus polluant au monde, le ferroviaire est notre meilleur allié pour aider à réduire nos émissions de gaz à effet de serre. Pourtant, le gouvernement déraille et roule une fois de plus à contresens de toute logique. Son nouveau projet ? Liquider Fret SNCF, l’acteur historique du fret ferroviaire, le transport de marchandises sur rail à faibles émissions. Avec comme seul crédo la concurrence, le gouvernement est en train de dilapider un outil clé de la transition écologique. Liquider Fret SNCF, c’est : - Menacer 5 000 emplois. 500 postes vont être supprimés et le reste va être fortement bousculé par la disparition de l’entreprise Fret SNCF. - Augmenter les camions sur les routes. Faute de repreneurs sur certains flux, les entreprises préféreront changer de moyen de transport et repasser sur les routes. - Privatiser les profits, socialiser les pertes. Les flux les plus intéressants seront repris par des entreprises étrangères mais l’entretien restera à la charge du contribuable. Aux côtés de SUD-Rail, l’Alliance écologique et sociale et Alternatiba Paris demandent de : - Créer un service public unifié et cohérent du transport ferroviaire et routier des marchandises ; - Prélever 1  milliard d’euros par an sur les profits réalisés sur les sociétés d’autoroutes pour les investir dans le développement des infrastructures ferroviaires fret ; - Fixer une écotaxe pour les poids lourds en transit qui refuseraient la solution du report modal, destinée à alimenter un fonds national d’investissement à destination de projets de fret ferroviaire et maritime ; - Interdire les nouvelles constructions de zones logistiques si celles-ci ne sont pas embranchées au réseau ferré. Vite, il y a urgence à agir : Fret SNCF pourrait disparaître d’ici la fin de l’année 2024 ! Pour le climat et pour l’emploi, je défends le fret ferroviaire et signe la pétition !
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  • SNCF Réseau - STOP au massacre des arbres et du vivant !
    SNCF Réseau Occitanie est en chantier d' "entretien" de la voie ferrée Toulouse-Mazamet depuis plusieurs semaines (il en est de même sur d'autres lignes à travers l’Occitanie et la France, par exemple dans le Val d'Oise(1) ou dans l'Eure(2). Sous prétexte de sécurisation des voies, il y a en réalité une destruction aveugle de tous les arbres, arbustes, haies, végétaux, plantes... sur des centaines de mètres de voie, parfois jusqu'à 10 mètres à l'écart de la voie (et à proximité de la zone Natura 2000 bordant les ripisylves de l’Agout). Cf. vidéo GNSA décembre 2023 : https://youtu.be/qpVaRyWsRKo?si=3xMpYnQrxaImFFSZ Des arbres sont sauvagement scalpés, broyés sur pieds. Des arbres appartenant aux riverains sont détruits... alors même que sur son site internet(3) SNCF Réseau prétend "Préserver les ressources et la biodiversité". Le végétal est indispensable à toute vie sur Terre. Les arbres produisent l'oxygène que l'on respire, captent le CO2 que nous rejetons, mais ils protègent aussi le sol du soleil, donnent de l'humus, sont essentiels pour le cycle de l'eau et la génération de la pluie. Ils servent d'habitats aux insectes, chiroptères, oiseaux, reptiles, batraciens, mammifères, plantes. Sans arbre il n'y a pas de vie ! Les enjeux écologiques sont maintenant connus : changements climatiques, effondrement de la biodiversité, appauvrissement des sols... - Comment une grande entreprise nationale comme la SNCF peut-elle agir ainsi ? - Comment SNCF Réseau peut-elle continuer son greenwashing en disant "préserver les ressources et la biodiversité" ou encore "innover pour réduire nos émissions de CO2" ? - Comment SNCF Réseau peut-elle recommencer ce type de pratique après avoir été condamné à 450.000 € d'amende en août 2023* ? Nous habitants et riverains de la ligne ferroviaire Toulouse-Mazamet demandons aux élus des communes concernées, à l'Office Français de la Biodiversité et à toute autorité compétente, d'intervenir auprès de SNCF Réseau pour faire cesser ces pratiques d'un autre âge. Sources : (1) Change.org : https://www.change.org/p/sncf-r%C3%A9seau-abattage-des-arbres-le-long-des-voies-sncf-dans-le-val-d-oise-arr%C3%AAtons-le-massacre?source_location=search (2) Actu.fr : https://actu.fr/normandie/saint-pierre-la-garenne_27599/eure-lentretien-des-bords-de-voies-par-la-sncf-pose-question_60164969.html?fbclid=IwAR21GyUmFxGpQzr8kiJa1U123ewq3NqQooUZYN6LmCLOz8RADACDbEj6lLo (3) SNCF : https://www.sncf.com/fr/engagements/developpement-durable/engagement-grand-groupe-pour-la-planete?fbclid=IwAR2jcX6U2mT2QGfrHwJ-iJ1O4azYRdJXhqyWrbQtTt0EGii6m3FUWzULN0w (4) Condamnation SNCF Réseau : https://www.actu-environnement.com/ae/news/especes-protegees-habitats-atteinte-condamnation-sncf-reseau-42413.php4 et aussi https://www.autorite-transports.fr/wp-content/uploads/2023/04/cs-2023-001-decision-du-27062023-vnc.pdf #GNSA #GroupeNationalDeSurveillanceDesArbres #GNSAlavaur #Arbres #SNCF #SNCFréseau #Massacre #Saccage #Arbres #Biodiversité #Greenwashing #VoiesFerrées
    2,555 of 3,000 Signatures
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  • Les trains de nuit ont besoin d’itinéraires bis en cas de travaux
    Les horaires sont dégradés sur Paris-Rodez/Aurillac Depuis 2014 et au moins jusqu'en 2030 la voie ferrée Paris-Orléans-Limoges-Toulouse (POLT) est fermée plusieurs nuits par semaine. Pour éviter les travaux, le Paris-Rodez/Aurillac circule avec des horaires de jour : il part de Paris entre 18h21 et 19h30. Dans l'autre sens, il arrive à Paris entre 8h30 et 10h53 le matin. Ces horaires sont peu attractifs. L'horizon s'obscurcit pour le Paris – Toulouse – Latour-de-Carol Le 24 mai 2023, le ministère des transports a confirmé « le cumul des travaux fait craindre une forte limitation ou une suppression à longueur d’année dès 2025 ». En effet, en 2025, les horaires du train de nuit Paris-Toulouse se dégradent fortement, avec un départ de Toulouse à 19h46 plusieurs jours par semaine. Le Paris-Latour-de-Carol sera supprimé ces jours-là, sur plusieurs mois par an. Réaliser les travaux sur une voie pour maintenir les trains sur l'autre Pour certaines catégories de travaux, une solution consiste à ne fermer qu’une seule voie sur deux pour maintenir les circulations sur la voie contigüe. Cette méthode historique est à nouveau occasionnellement pratiquée par SNCF Réseau et sa généralisation est en débat, particulièrement pour l'axe POLT. C'est la solution optimale car l’itinéraire le plus court reste disponible et les horaires sont peu perturbés. Prévoir des itinéraires bis quand les itinéraires principaux sont entièrement coupés Quand les travaux nécessitent de couper la circulation sur les deux voies simultanément, des itinéraires de détournement sont nécessaires pour maintenir les circulations. Cette solution est largement mise en œuvre pour les trains de nuit vers Toulouse/Latour-de-Carol, avec une alternance entre les itinéraires via Limoges ou via Bordeaux. Malheureusement, l’ampleur des travaux de nuit au Sud de Bordeaux sur 2025-2032 paralyse l’itinéraire via Bordeaux. De plus, cet itinéraire ne bénéficiait pas aux trains vers Rodez/Aurillac. Ouvrir les itinéraires bis Coutras-Brive, Poitiers-Limoges et Figeac-Toulouse Un autre itinéraire a été mis en œuvre en 2017 pour contourner les travaux via Coutras (Gironde)-Brive. Point positif : en 2022, SNCF Réseau a ouvert l'itinéraire bis Limoges-Périgueux-Brive. Cet itinéraire gagnera à être complété à l'avenir par d'autres itinéraire bis comme Poitiers-Limoges et Figeac-Toulouse. Le 24 mai 2023, l'État a déclaré avoir "commandé une étude à SNCF Réseau pour étudier les itinéraires alternatifs". Cette étude est pour l'instant maintenue confidentielle. Elle gagnerait au contraire à être publiée pour éclairer le débat public. L’actualisation du contrat de performance de SNCF Réseau : l’occasion d’agir Signé en avril 2022, le contrat de performance de SNCF Réseau définit les moyens alloués pour la régénération et modernisation du réseau ferroviaire. De nombreux acteurs ont critiqué l'insuffisance des financements.  En février 2023, l’État a annoncé d’un investissement de 100 Milliards d’euros. Depuis, le contrat de performance reste en attente d'actualisation pour inclure ce financement. Les trains de nuit du Sud-Est sont aussi fragilisés Pour les trains de nuit du Sud-Est (vers Cerbère-Portbou, Nice et Briançon), des itinéraires bis sont également à déployer, par exemple via Moulins. L’État a demandé à SNCF Réseau d'étudier l'itinéraire Grenoble-Veynes pour le Paris-Briançon. Là aussi, l'étude reste à publier pour éclairer le débat public. SNCF Réseau serait incapable d’ouvrir les itinéraires la nuit par manque d’agents Les études sur les itinéraires bis sont restées confidentielles, mais elles révéleraient que SNCF Réseau manque de personnel et serait donc contrainte de fermer de nombreuses voies ferrées la nuit. Cela impacte dramatiquement les trains de nuit et les trains de fret qui ont un besoin commun : parcourir de longues distances, la nuit, malgré les travaux. Besoin de commander des locomotives bimodes Pour que les trains de nuit puissent circuler sur ces itinéraires bis souvent non électrifiés, il est nécessaire que l’État commande sans délais des locomotives bimodes. Cette commande est d'autant plus urgente que le vieillissement des locomotives actuelles induit de nombreuses suppressions de train et que les délais de livraison sont d'environ 3 ans. Nous, signataires de la pétition, demandons à l’État de : 1) publier les études de SNCF Réseau sur les itinéraires bis Coutras - Brive, Poitiers-Limoges et Grenoble-Veynes. 2) donner les moyens à SNCF Réseau de maintenir des itinéraires bis pour les trains de nuit et de fret, afin de mailler à nouveau le réseau ferroviaire. 3) commander des locomotives bimodes pour emprunter plus facilement les itinéraires bis. Et à la SNCF de : 4) réaliser les travaux sur une voie de façon à maintenir les circulations sur la voie contiguë. 5) maintenir les circulations quotidiennes et des horaires optimisés pour les trains de nuit
    3,295 of 4,000 Signatures
    Created by Oui au train de nuit !. Picture
  • Sauvegardons les 200 arbres de l'avenue Bollée au Mans
     Dans un contexte de dérèglement climatique il est nécessaire de garder ces arbres (et de restreindre la circulation des voitures thermiques). Le projet actuel doit donc être revu.     Argumentation sur la nécessité des arbres 🌳  Francis Hallé, grand spécialiste des arbres, docteur en botanique et biologique, ancien professeur de l’université de Montpellier, nous donne les arguments dans son petit livre "Du bon usage des arbres - Un plaidoyer à l’attention des élus et des énarques".   • Un vieil arbre ne se remplace pas : les plantations prévues en remplacement des arbres abattus ne seront équivalentes que dans 25 ans. Francis Hallé écrit : "remplacer un vieil arbre par dix jeunes arbres est une arnaque écologique".   • Ces grands arbres humidifient l’air en diminue la température.  Un excellent climatiseur en période de canicule !   • Ces grands arbres purifient l’air, le dépolluent. «  La fonction de purification ne concerne pas uniquement le CO2, mais aussi  les particules de métaux lourds, plomb, cadmium, manganèse, ...." Ces pollutions sont sources d'importantes nuisances pour la santé humaine. Les grands arbres stockent trente à soixante-cinq fois plus de polluants atmosphériques que ne peuvent le faire les jeunes arbres dont le tronc n'atteint pas 10 centimètres de diamètre ».
    8,915 of 9,000 Signatures
    Created by Collectif de défense des arbres de l’avenue Bollée
  • Vaulx en Velin : Stop au gaspillage énergétique !
    À l’heure où l’on nous appelle, collectivement et individuellement, à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. L’effort fourni doit être réparti de façon juste et ne pas peser uniquement sur les citoyens et citoyennes. Aussi, l’effort ne doit pas affecter en premier lieu des services publics essentiels comme l’éducation ou le sport, mais bien commencer par interroger nos usages de la publicité superflue ! ⚡️ Alors que le gouvernement prévoit l’interdiction des publicités lumineuses entre 01H00 et 06H00 du matin (à l'exception des aéroports, gares ou stations de métro), cette mesure est loin d’être suffisante face au nombre croissant de ces panneaux inutiles qui n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. ⚡️ Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme en moyenne l’équivalent des besoins d’ un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager* : laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique est donc absurde ! Notre territoire a le pouvoir d’aller plus loin à travers le règlement local de publicité et de montrer l’exemple pour être à la hauteur des enjeux. Notre ville doit prendre les mesures suivantes de manière urgente, et sans attendre le pic de l’hiver où les tensions énergétiques se feront ressentir. 🛑👉Nous demandons : - L’extinction des panneaux lumineux et écrans publicitaires en continu, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés - Une meilleure gestion de l’éclairage public - L’extinction des lumières des bureaux dès leur fermeture 💡 De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées au-delà de la période de tension hivernale, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. D’autres villes comme Lyon ou Paris ont déjà mis en place des mesures plus fortes pour réduire leur consommation énergétique et s’inscrire dans le sens d’une sobriété choisie et responsable. 🌟 Notre ville aussi doit s’inscrire dans le sens de l’Histoire et mettre en place des solutions ambitieuses ! Source : *Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer)
    95 of 100 Signatures
    Created by Axel D.
  • Falaise : Stop au gaspillage énergétique !
    À l’heure où l’on nous appelle, collectivement et individuellement, à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. L’effort fourni doit être réparti de façon juste et ne pas peser uniquement sur les citoyens et citoyennes. Aussi, l’effort ne doit pas affecter en premier lieu des services publics essentiels comme l’éducation ou le sport, mais bien commencer par interroger nos usages de la publicité superflue ! ⚡️ Alors que le gouvernement prévoit l’interdiction des publicités lumineuses entre 01H00 et 06H00 du matin (à l'exception des aéroports, gares ou stations de métro), cette mesure est loin d’être suffisante face au nombre croissant de ces panneaux inutiles qui n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. ⚡️ Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme en moyenne l’équivalent des besoins d’ un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager* : laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique est donc absurde ! Notre territoire a le pouvoir d’aller plus loin à travers le règlement local de publicité et de montrer l’exemple pour être à la hauteur des enjeux. Notre ville doit prendre les mesures suivantes de manière urgente, et sans attendre le pic de l’hiver où les tensions énergétiques se feront ressentir. 🛑👉Nous demandons : - L’extinction des panneaux lumineux et écrans publicitaires en continu, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés - Une meilleure gestion de l’éclairage public - L’extinction des lumières des bureaux dès leur fermeture 💡 De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées au-delà de la période de tension hivernale, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. D’autres villes comme Lyon ou Paris ont déjà mis en place des mesures plus fortes pour réduire leur consommation énergétique et s’inscrire dans le sens d’une sobriété choisie et responsable. 🌟 Notre ville aussi doit s’inscrire dans le sens de l’Histoire et mettre en place des solutions ambitieuses ! Source : *Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer)
    69 of 100 Signatures
    Created by Déborah L.
  • Urgence pour les trains en Loire-Atlantique : exigeons un service de qualité, tous les 1/4h au + tôt
    Face à la crise sociale (flambée des prix) et climatique (nécessité de diminuer notre empreinte carbone), nous, habitantes et habitants de Nantes Métropole et des communes environnantes demandons une amélioration urgente du service, de l'attractivité et l'accessibilité du réseau des trains de proximité : fréquence/régularité, nouvelles dessertes, fiabilité/sécurité, élargissement des horaires, maillage avec le réseau Aléop. Notre réseau actuel est inadapté aux besoins des habitantes et habitants du territoire qui veulent se déplacer en polluant moins, en dépensant moins, en participant et en bénéficiant d'un cadre de vie plus sain et sûr : ❌ Qualité de services dégradée (trains supprimés, surchargés, en retard, manque d'emplacements vélos,...). ❌ Manque d'ambition (fréquence, plages horaires). ❌ Infrastructures insuffisantes ou dégradées : entretien reporté, réseau saturé, fermetures de gares, de haltes et de guichets. ❌ Manque de matériel roulant et de personnel. ❌ Les propositions de création de nouvelles haltes ou gares, pôles multimodaux et les interconnexions avec les transports en commun existants s'avèrent notoirement insuffisantes. ❌ Le projet de Service Express Métropolitain actuellement présenté est insuffisant et manque d'ambitions. Nous demandons aux différentes autorités organisatrices des transports de s'engager immédiatement pour les mesures suivantes : ✅ Des trains toutes les 15 min en heures de pointe dans l'aire urbaine et 30 min en heures creuses avec un service de 5h à 00h tous les jours. Avec une population grandissante, des trains toutes les 15 minutes permettraient de désengorger significativement les axes routiers et d’offrir une alternative viable à la voiture. ✅ Accès à des transports collectifs de haute fréquence à moins de 5kms pour les communes hors zones urbaines. ✅ Création de nouvelles liaisons Nord/Sud et Est/Ouest avec la diamétralisation du réseau en étoile (c'est à dire sans changement de train en gare de Nantes) et la création de nouvelles gares multimodales comme à Sainte-Luce, Carquefou... ✅ Création de nouvelles haltes et gares, notamment sur l'île de Nantes, en plus de la gare prévue à Bouguenais. ✅ Étendre les services de vélos partagés, d'autopartage et les plateformes de covoiturage. ✅ Financement du matériel nécessaire et recrutement du personnel. ✅ Extension de la tarification unique et adaptée aux besoins. Agissons ensemble pour mettre notre avenir sur de bons rails ! Cette pétition est à l'initiative du collectif FerNantes composé de : Alternatiba Nantes, ANDE, Attac44, AVEC Nantes, CGT Cheminots Nantes, UL CGT Nantes, UD CGT 44, Collectif Transport, Convergence Nationale Rail, FNAUT Pays de la Loire, FSU44, La France Insoumise 44, EELV Nantes, Extinction Rébellion Nantes, Gauche démocratique et sociale, Génération Écologie 44, Génération-s 44, GIGNV, Greenpeace groupe local de Nantes, Collectif « Le livre blanc pour le climat », MNLE Pays de la Loire Naturellement, Nantes en commun, PCF 44, Rezé à Gauche Toute, Rue de l’Avenir Grand Ouest, Solidaires 44, Sud Loire Avenir, Sud Rail Pays de la Loire, UDB, 60 millions de piétons, Collectif Fer-Retz.
    5,480 of 6,000 Signatures
    Created by Fer Nantes Picture
  • POUR UNE EAU POTABLE, SANS PESTICIDES
    Septembre 2023 : Dans le département de la Vienne, les deux distributeurs d’eau, « Eaux de Vienne » et « Grand Poitiers », décèlent et quantifient dans l’eau du robinet la présence d’un métabolite (un résidu après épandage) du Chlorothalonil (le Chlorothalonil-R471811). Sa concentration dépasse les normes sanitaires de l’eau potable (1). Le Chlorothalonil a des effets sur la santé humaine très inquiétants. Il peut engendrer un risque sanitaire inacceptable pour le consommateur » (définition 2019 de l’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire de l’alimentation, de l’Environnement et du travail). Il est suspecté par l’ANSES de présenter un risque cancérigène (2). Dans les deux tiers du territoire de la Vienne, les concentrations relevées ne répondent plus aux critères d’une eau potable (maximum 0,1µg par litre d’eau pour une molécule de pesticide). Pour les 330 000 habitants concernés, l’eau du robinet n’est plus « potable » : elle est dite « consommable », tant qu’elle ne dépasse pas une « valeur sanitaire maximale » fixée par l’ANSES à 3µg par litre. https://www.greenvoice.fr/assets/uploads/2024/01/Schema-petition-eau.jpg 👉 Une situation ubuesque dans la Vienne, une préfiguration dans toute la France ? Les 13 installations de traitement sur charbon actif dans la Vienne sont inadaptées à cette pollution massive : les deux producteurs d’eau de la Vienne ont déclaré qu’ils n’avaient pas les moyens financiers de mettre en œuvre les technologies complexes qui seraient efficaces (ultrafiltration ou osmose inverse) et qu’ils refusaient de faire payer la note – considérable – aux consommateurs.  Pour toute réponse, l’Agence Régionale de Santé leur a demandé de solliciter du Préfet une dérogation pour distribuer une eau non potable, dérogation aussitôt accordée avec un délai de 3 ans renouvelable. Ces arrêtés préfectoraux de « dérogation » vont entériner légalement cette situation sans que les producteurs d’eau n’aient les moyens techniques et financiers de dépolluer à cette échelle et dans ce délai. 👉 Comment en est-on arrivé là ? Le fongicide Chorothalonil, imprudemment autorisé par l’État, a été épandu sur les terres agricoles durant trente ans avant d’être interdit en Europe en 2019, avec usage autorisé en France jusqu’en 2020.  Les concentrations de ce métabolite ne devraient pas baisser dans les années à venir, mais au contraire augmenter compte tenu de la lenteur d’infiltration des eaux de pluie vers les nappes. De plus, d’autres métabolites du Chlorothalonil, non recherchés, pourraient aggraver la situation. Les deux tiers de la France et d’autres pays sont touchés. La Suisse, par exemple, a recherché et trouvé 8 métabolites du Chlorothalonil ! Pour rappel, « l’usage de l’eau appartient à tous et chaque personne physique, pour son alimentation et son hygiène, a le droit d’accès à l’eau potable dans des conditions économiquement acceptables par tous » (3). 👉 Par cette pétition, nous demandons : ➡️ Que l’État prenne ses responsabilités : il a donné, contre tout principe de précaution, une autorisation de mise sur le marché de ces substances. Il doit organiser une action curative immédiate, concrètement : L’Agence de l’Eau Loire Bretagne et l’État doivent fournir aux deux producteurs publics d’eau potable de la Vienne les moyens techniques et financiers pour dépolluer sans alourdir la facture d’eau de nos concitoyens. ➡️ Que le préfet de la Vienne prenne ses responsabilités de manière préventive : Il a les moyens règlementaires de limiter les risques qu’un autre pesticide reproduise demain la situation actuelle, concrètement : - Il peut restreindre ou interdire l’usage des produits phytosanitaires en cas de risque exceptionnel et justifié (en application de l’article 5 de l’arrêté du 4 mai 2017 relatif à l’utilisation de ces produits) - Il peut interdire les pesticides dans les périmètres de protection de ces captages s’ils sont déjà définis.  - Il peut réviser tous ses arrêtés de DUP (Demande d’Utilité Publique) et en prendre de nouveaux pour les captages qui en sont dépourvus afin de prescrire des périmètres de protection correspondant aux zones vulnérables aux pollutions diffuses et interdire les pesticides dans ces zones. ➡️ Que les législateurs – nos député.es et sénateurs-rices – renforcent et simplifient la prévention des pollutions par nitrates et pesticides en inscrivant dans la loi :  - L’obligation pour les préfets de définir pour tous les captages d’eau potable les Aires d’Alimentation de Captage (AAC) et d’y prescrire la cartographie de leurs zones vulnérables.  - L’obligation d’interdire les pesticides dans les zones vulnérables des AAC et d’y limiter les apports en azote. ➡️ Que le gouvernement accompagne techniquement et financièrement l’ensemble de la filière agricole dans des pratiques agricoles soucieuses de la santé de tous et respectueuses de l’environnement dans les aires d’alimentation et de captage. Nous proposons que les producteurs d’eau, en difficulté pour fournir une eau potable : - Organisent, en coopération avec les agriculteurs, un programme d’actions volontaires agroécologiques pour chaque captage en limite ou en dépassement des normes de qualité. - Qu’en cas d’échec patent au bout de deux programmes, ils demandent au préfet le classement de l’Aire d’Alimentation en « Zone Soumise à Contraintes Environnementales » (ZSCE). Ainsi, l’État pourra alors interdire les pesticides dans les secteurs vulnérables de ces aires. Toutes ces mesures sont urgentes, notre santé à tous est en jeu. Le financement d’usines de dépollution risque de faire exploser le prix de l’eau, c’est pourquoi il est essentiel de la protéger par une agriculture durable sans intrants chimiques. Signez la pétition. Faites la circuler. On compte sur vous. Groupe local Greenpeace Poitiers Vienne Nature [France Nature Environnement]
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    Created by Greenpeace Poitiers et Vienne Nature
  • NON A LA DESTRUCTION DES FORETS DU CENTRE-FRANCE : NON AU PROJET BIOSYL
    NON A LA DESTRUCTION DES FORETS DU CENTRE-FRANCE NON AU PROJET BIOSYL  La préfète de la Creuse se prépare à valider l’implantation d’une usine à pellets du groupe BYOSIL à Guéret via une simple formalité d’enregistrement administratif, sans enquête publique ni étude d’impact. Selon ses propres promoteurs, cette usine s’approvisionnerait à 80% dans les forêts de feuillus dans un rayon de 130 km autour de Guéret, avec la nécessité de 40 camions par jour et 130 000 T de bois par an, impactant de fait, l’ensemble de la Creuse et les départements limitrophes. Le code forestier et les certifications mises en avant par l’entreprise BIOSYL ne permettent pas de garantir l’absence de bois issus de coupes rases pour la fabrication de granulés de bois. Ainsi, dans la Nièvre, des camions chargés de chênes centenaires issus de la destruction des dernières forêts de feuillus du Morvan approvisionnent encore aujourd’hui l’usine Biosyl de Cosne sur Loire.  Il ne faut pas oublier qu’en parallèle sur le territoire, les coupes rases se multiplient. Plusieurs projets bois énergies, l’agrandissement de la scierie Farges à Egletons et l’export de nos beaux bois vers la Chine mettent déjà en danger la ressource forestière. Etant donné la configuration de ce massif forestier extrêmement morcelé et en l'absence de réglementation forestière adaptée et de contraintes , il est difficilement imaginable que l'usine Biosyl, comme les autres utilisateurs de la ressource déjà en place, s'approvisionnent de façon vertueuse. Comment pourrions-nous laisser faire un tel projet, qui par l’accaparement massif d’une ressource sous tension, ne pourra qu’amplifier les difficultés d’approvisionnement pour les petites et moyennes entreprises de la filière bois ? Destinées initialement à gérer les sous produits de la transformation du bois, les entreprises du bois-énergie sont largement soutenues par de l'argent public en raison de la « transition énergétique » alors que leur production est destinée à brûler et relâcher des gaz à effets de serre. Les unités de production de bois d’œuvre et de construction, qui vont permettre le stockage de carbone dans les maisons sont moins soutenues. Il ne s'agit pas de s'opposer au développement économique et de mettre nos forêts sous cloche. Il s'agit bien au contraire de redonner à nos forêts un statut alliant patrimoine naturel, patrimoine de biodiversité et patrimoine économique. Comment pourrions-nous agréer une décision aussi arbitraire sans qu’aucune étude d’impact ne soit réalisée, sans que les populations concernées ne soient vraiment informées et invitées à donner des avis  éclairés ? L’une des premières missions régaliennes de Mme la Préfète est d’assurer la sécurité de ses concitoyens. Pourtant, en refusant de le soumettre à autorisation ICPE, la question des nuisances sonores, du niveau des émissions de particules fines aussi bien que des potentiels risques d’incendies en zone SEVESO, la Préfecture se refuse inconsidérément d’évaluer et par conséquent de prévenir les risques réels encourus par la ville de Guéret et par tous les habitants de son agglomération. Comment pourrions-nous ne pas nous opposer à une dégradation planifiée de la forêt qui conduira inévitablement à des risques sanitaires majeurs ? Une étude de l’Université de Limoges a ainsi mis en lumière que plusieurs communes du Limousin ne peuvent d’ores-et-déjà plus s’alimenter en eau du réseau à cause de la pollution des sources par l’aluminium, phénomène dû aux coupes rases. Dans l’urgence climatique, il est primordial de préserver la qualité de nos sols, de nos eaux et de préserver la capacité de puits carbone de nos forêts. Le reboisement après coupes rases, avancé par les industriels, ne peut répondre à la problématique environnementale. Pourtant, il existe une gestion durable de la forêt, il est temps de faire connaître et encourager ces pratiques de sylviculture à couvert continu, comme les futaies irrégulières ou jardinées. Elus ou simples citoyens de Creuse, du Berry, de Sologne, du Bourbonnais, d’Auvergne et d’ailleurs, nous sommes tous concernés par l’installation du projet Biosyl . Nous signons cette pétition pour demander à Mme la Préfète de la Creuse de ne pas donner son autorisation pour ce projet dangereux et délétère et nous lui demandons de faire en sorte qu’il soit abandonné pour le bien de toutes et tous. Soutenu par : Canopée Forêts Vivantes - Collectif Forêts SyVa - Groupe Forêt du Syndicat de la Montagne Limousine - Comité de Défense du Bois du Chat - Thierry Thevenin adhérent GNSA - Le Syndicat Simples - Faîte et Racines - Le Comité creusois des Soulèvements de la Terre - Michel Barataud (auteur d’études sur l’écologie forestière) - Sauvons la Goutte Molle - Collectif Forêt Debout - Les Mouvements du Thaurion - Le Champ des Possibles - Les Enforestés - Auprès de Nos arbres
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  • Rennes : Zéro Watt pour la pub
    À l’heure où l’on nous appelle, collectivement et individuellement, à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. L’effort fourni doit être réparti de façon juste et ne pas peser uniquement sur les citoyens et citoyennes. Aussi, l’effort ne doit pas affecter en premier lieu des services publics essentiels comme l’éducation ou le sport, mais bien commencer par interroger nos usages de la publicité superflue ! ⚡️ Alors que le gouvernement prévoit l’interdiction des publicités lumineuses entre 01H00 et 06H00 du matin (à l'exception des aéroports, gares ou stations de métro), cette mesure est loin d’être suffisante face au nombre croissant de ces panneaux inutiles qui n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. ⚡️ Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme en moyenne l’équivalent des besoins d’ un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager* : laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique est donc absurde ! Notre territoire a le pouvoir d’aller plus loin à travers le règlement local de publicité et de montrer l’exemple pour être à la hauteur des enjeux. Notre métropole doit prendre les mesures suivantes de manière urgente, et sans attendre le pic de l’hiver où les tensions énergétiques se feront ressentir. 🛑👉Nous demandons : - Zéro panneau électrifié dans l’espace public - Re-municipaliser la gestion des abribus - Affichage uniquement associatif, culturel et d’intérêt public - L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’extinction des lumières des bureaux dès leur fermeture 💡 De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées au-delà de la période de tension hivernale, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. D’autres villes comme Lyon ou Paris ont déjà mis en place des mesures plus fortes pour réduire leur consommation énergétique et s’inscrire dans le sens d’une sobriété choisie et responsable. 🌟 Notre ville aussi doit s’inscrire dans le sens de l’Histoire et mettre en place des solutions ambitieuses ! Source : *Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer)
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  • Zone d'activités du Plessis 44 : la biodiversité est en danger !
    Nous, le Collectif Environnement Sèvre et Loire, contestons l'arrêté préfectoral du 3 juillet 2023 qui autorise la destruction de 36,5 ha de terres agricoles dont 2,5 ha de zones humides et d’une douzaine d’espèces protégées sur la ZAC du Plessis au Loroux-Bottereau (44).  Aujourd'hui, il est très urgent de préserver : - Les espèces protégées et leur habitat : par exemple la grenouille agile, le faucon crécerelle la couleuvre d'esculape, le lérot Elimys quercinus ... - Les zones humides, les haies : réservoirs de biodiversité, régulateurs d'eau et de carbone.  - Les terres nourricières qui alimentent actuellement, en circuit court, la restauration scolaire. La nature ne peut pas être déménagée. Aujourd'hui il est urgent de penser la transition écologique plutôt que le développement économique à outrance. Demain, au Plessis, les travaux peuvent commencer ... Pour mettre fin au projet nous avons déposé un recours juridique contentieux le 31 octobre 2023. Malheureusement en attendant une décision de la justice, les travaux peuvent commencer à tout moment et de manière irréversible. Une entreprise a déjà obtenu de premières autorisations... Il est urgent et encore possible d'agir. Si nous ne stoppons pas ce projet aberrant :  -Demain, le risque d'inondations sera accru. -Demain, un flot de poids lourds encombrera des routes inadaptées aux entrepôts prévus. -Demain, nos agriculteurs ne pourront plus cultiver sur ces terres bétonnées. Sauver la biodiversité c'est ici et maintenant grâce à vous ! 1/ Votre signature nous donnera de la force et de l’énergie, 2/ Vos dons nous aideront à payer l’avocat, spécialisé en droit de l’environnement  3/ Si toutefois, les travaux débutent, il sera nécessaire de déposer un référé-suspension. Un grand merci pour votre aide indispensable à la préservation du vivant. Nos soutiens dans cette lutte : Greenpeace Nantes et France Nature Environnement 44 Don sur la cagnotte HelloAsso :  https://helloasso.com/associations/collectif-environnement-sevre-et-loire
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  • 2ème pétition Saint-Sauveur - Tout le monde veut que la friche devienne un très grand parc
    Petit rappel des faits : À Lille, tout le monde connaît le dossier Saint-Sauveur et le bras de fer que la MEL, la Ville de Lille et des associations de défense de l’environnement ont entamé.  👀 Deux visions s’affrontent :  → 🔴 Celle de la concentration urbaine, de la destruction de l’existant et de la gentrification portée par les collectivités. 2500 logements (soit 5000 habitants) sur 23 hectares, 30 000 m2 de bureaux, 20 000 m2 de commerce, un centre aquatique avec une piscine olympique (désormais sans fosse de plongée) ainsi qu’un espace vert de 3,5 hectares, soit la taille du parc rouge (JB Lebas)... Cette densité dont rêvent les aménageurs, copiée-collée de la Porte de Valenciennes ou du Bois Habité (bd Hoover), les Lilloises et les Lillois n’en veulent pas, et n’en ont jamais voulu ! De plus, sous couvert d’un projet à caractère social permettant à l’avenir de lutter contre la crise du logement, nos décideurs ont permis ici et maintenant, sur la friche,  l’expulsion de personnes exilées et sans domicile fixe, sans solution de relogement. Nul doute, au regard des nouveaux aménagements de la gare Saint-Sauveur, que le futur quartier s'adressera demain davantage aux cadres supérieurs qu’aux ménages dans le besoin. →✅ Celle de l’égalité environnementale et de la préservation du site. Portée par les défenseurs et défenseuses de la friche, cette vision exprime la nécessité d’un très grand parc (23 hectares) sur ce site dont sont dépourvus les quartiers populaires de Wazemmes et de Moulins.  🌳🌳🌳 Les arguments en faveur du parc sont multiples :  - ce secteur souffre d’une très mauvaise qualité de l’air (et les voitures des 5 000 nouveaux habitants vont l’aggraver, sans compter les déplacements liés aux nouveaux bureaux, commerces et centre aquatique), - le nombre de m2 d’espaces verts à Lille est un des plus mauvais scores des villes françaises et de plus, ces m2 sont très inégalement répartis sur la ville, quasiment absents des quartiers les plus pauvres et les plus peuplés, - la crise du logement et notamment du logement social ne sera nullement réglée avec ce projet, moins de 200 logements dits très sociaux (PLAI) seront en effet construits sur les 2500 programmés. Rappelons que 240 logements PLAI ont par ailleurs été détruits récemment côté Parc JB Lebas. Les 500 autres logements sociaux prévus seront ouverts aux populations à revenus moyens et échapperont ainsi à ceux qui en ont le plus besoin, - la crise de l’eau interroge le modèle de développement de la Métropole Européenne de Lille et ses projets luxueux de centre aquatique en lieu et place des piscines dont ont besoin les habitants. La rénovation de Marx Dormoy aurait déjà dû être faite depuis longtemps au lieu de poursuivre de telles chimères. - dans les 5 dernières années, les bureaux n’ont cessé de sortir de terre (Porte d’Arras, Porte des Postes, Bois-Blancs) et nombre d’entre eux n’ont pas trouvé preneurs, - le nombre de logements vacants est important, - les grandes opérations de renouvellement urbain (Aviateurs, Concorde) détruisent des milliers de logements dits très sociaux sans que cette offre soit reconstituée, 🌍 À l’heure du dérèglement climatique, ce modèle urbain proposé par les collectivités est dépassé. Il n’est plus question de concentrer toujours en les mêmes lieux, et toujours pour les mêmes, les investissements et les équipements qui au contraire devraient se répartir sur l’ensemble du territoire métropolitain voire régional.  Les Lillois.es l’ont compris. Le fragile équilibre de leur territoire (circulation saturée, mauvaise qualité de l’air, espaces verts réduits, transports publics insuffisants, immense déficit de logements très sociaux) ne peut continuer de se dégrader encore en poursuivant les mêmes politiques qui ont conduit à cette situation. ⚖️ Enfin, malgré ce que les collectivités veulent faire croire, la partie n’est pas terminée sur le front juridique. Plusieurs recours ne sont pas encore jugés notamment celui qui conteste la dernière délibération déclarant l’intérêt général du projet qu’a votée la Métropole Européenne de Lille en octobre 2022… Et les associations sont déterminées à aller jusqu’au bout, jusqu’à ce qu’enfin, une ou un élu.e éclairé.e prenne la décision attendue d’abandonner ce projet dépassé et d’offrir un grand parc aux Lilloises et Lillois qui n’attendent que cela.  🌳 C’est dans une vision solidaire des autres territoires que le projet du grand Parc Saint-Sauveur doit voir le jour, annonçant l’émergence d’une nouvelle vision urbaine, celle de la recherche de la juste répartition des ressources naturelles à l’échelle d’un territoire élargi. Le grand parc Saint-Sauveur doit désormais faire un tout avec le parc JB Lebas et permettre de sortir de Lille en vélo en reliant Fives, Ronchin et Villeneuve d'Ascq et son lac. Il ne faudrait pas grand chose pour que cette friche devienne un parc, que la faune et la flore qui y ont déjà trouvé refuge n’en soient pas chassées, que les initiatives solidaires et démarches collectives puissent y prendre forme.  👉 Nous comptons sur votre soutien pour que vive le futur parc Saint-Sauveur. Cette pétition permet de dire et de redire quelles sont véritablement les attentes des habitants de Lille pour cet espace. 🌟 Les associations et collectifs engagé.e.s dans la défense du futur parc Saint-Sauveur : - P.A.R.C Saint-Sauveur - Soulèvements de la Terre Lille - Alternatiba Lille - NADA - Non à l’Agrandissement De l’Aéroport de Lille-Lesquin - Aut’Mel - XR Lille - Robin des Bios - Entrelianes - Les Amis de la Terre Nord - ANV COP 21 Lille - Youth for Climate Lille
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