1,000 signatures atteintes
Destinataire(s) : Catherine Seguin préfète de la LOIRE,Dino Cineri député de la Loire,Jean-Claude Tissot Sénateur de France,Agnès Pannier-Runacher, Emmanuel Macron président de la république,
Soutenez-nous dans notre lutte contre un massacre écologique
Nous souhaitons que soit respectée une décision de justice et que la carrière des Gottes cessent son activité dévastatrice, que le profit d'un privé ne justifie plus le sacrifice de la santé, de la sécurité, de la biodiversité, et du paysage voisin de cette carrière.
Pourquoi faut-il agir maintenant ?
Stop au massacre de la biodiversité dans le Pilat ! Fermeture de la carrière des Gottes à Saint-Julien-Molin-Molette !
Nous sommes nombreu.x.ses à lutter contre le carnage engendré par cette carrière ; Une association, un collectif, la municipalité du village et le Parc naturel régional du Pilat.
Cela fait 50 ans que St-Julien-Molin-Molette contribue à l’enrichissement d'une société privée – Delmonico-Dorel - en sacrifiant sa sécurité, avec un passage de camions violent et incessant ; sa tranquillité, avec des explosions, des tirs de mines, le bruit insupportable du concasseur ; sa santé, avec un impact sur la ressource en eau, la présence de poussières contenant du radon (son taux d’uranium 238 est élevé, [cf expertise CRIIRAD n17-61 et norme Euratom 2013/59]), les fissures dans les maisons ; son paysage avec une montagne défigurée par l’appétit toujours plus grandissant de cet industriel.
A l’heure où nos dirigeants parlent de conscience écologique, de sobriété, comment se fait-il que la préfecture de la Loire soutienne la destruction de l’habitat de 43 espèces menacées et le développement d'une zone d’exploitation qui représenterait 38 hectares dans un parc naturel !
STOP AU MEPRIS ! LA JUSTICE NOUS DONNE RAISON !
Le 28/02/22 le tribunal administratif de Lyon a jugé illégal l’arrêté d’exploitation de janvier 2020 autorisant l’extension de l’exploitation, pour ces raisons :
• Le service général rendu ne justifie pas la destruction d’espèces protégées ;
• Le réseau routier est inadapté et inadaptable à un tel trafic de poids lourds.
• Sa roche n’a pas de qualité exceptionnelle ;
• Elle ne génère pas suffisamment d’emplois face aux nuisances qu’elle engendre.
La carrière s’est arrêtée quelques jours… Mais hélas ! Le 21 mars 2022 un nouvel arrêté de la préfecture caché derrière une mise en demeure permet le redémarrage de l'exploitation avec toutefois quelques restrictions et obligations. Nous avons également dénoncé cet arrêté qui fait fi sur le fond du jugement du 28 février 22.
Aujourd’hui, l’industriel dépose une nouvelle demande d’autorisation, avec de petits aménagements ridicules qui ne dupent personne, car elle masque grossièrement une exploitation et des préjudices identiques à celle rejetée.
Désormais nous attendons le jugement en appel, et une énième enquête publique ! En signant cette pétition aidez-nous à faire entendre notre voix, pour que soient respectées par l'Etat et par la préfecture de la Loire la démocratie locale, les chartes environnementales et a fortiori les décisions de justice.
Plus d’info sur : https://stopcarriere.noblogs.org/
Nous sommes nombreu.x.ses à lutter contre le carnage engendré par cette carrière ; Une association, un collectif, la municipalité du village et le Parc naturel régional du Pilat.
Cela fait 50 ans que St-Julien-Molin-Molette contribue à l’enrichissement d'une société privée – Delmonico-Dorel - en sacrifiant sa sécurité, avec un passage de camions violent et incessant ; sa tranquillité, avec des explosions, des tirs de mines, le bruit insupportable du concasseur ; sa santé, avec un impact sur la ressource en eau, la présence de poussières contenant du radon (son taux d’uranium 238 est élevé, [cf expertise CRIIRAD n17-61 et norme Euratom 2013/59]), les fissures dans les maisons ; son paysage avec une montagne défigurée par l’appétit toujours plus grandissant de cet industriel.
A l’heure où nos dirigeants parlent de conscience écologique, de sobriété, comment se fait-il que la préfecture de la Loire soutienne la destruction de l’habitat de 43 espèces menacées et le développement d'une zone d’exploitation qui représenterait 38 hectares dans un parc naturel !
STOP AU MEPRIS ! LA JUSTICE NOUS DONNE RAISON !
Le 28/02/22 le tribunal administratif de Lyon a jugé illégal l’arrêté d’exploitation de janvier 2020 autorisant l’extension de l’exploitation, pour ces raisons :
• Le service général rendu ne justifie pas la destruction d’espèces protégées ;
• Le réseau routier est inadapté et inadaptable à un tel trafic de poids lourds.
• Sa roche n’a pas de qualité exceptionnelle ;
• Elle ne génère pas suffisamment d’emplois face aux nuisances qu’elle engendre.
La carrière s’est arrêtée quelques jours… Mais hélas ! Le 21 mars 2022 un nouvel arrêté de la préfecture caché derrière une mise en demeure permet le redémarrage de l'exploitation avec toutefois quelques restrictions et obligations. Nous avons également dénoncé cet arrêté qui fait fi sur le fond du jugement du 28 février 22.
Aujourd’hui, l’industriel dépose une nouvelle demande d’autorisation, avec de petits aménagements ridicules qui ne dupent personne, car elle masque grossièrement une exploitation et des préjudices identiques à celle rejetée.
Désormais nous attendons le jugement en appel, et une énième enquête publique ! En signant cette pétition aidez-nous à faire entendre notre voix, pour que soient respectées par l'Etat et par la préfecture de la Loire la démocratie locale, les chartes environnementales et a fortiori les décisions de justice.
Plus d’info sur : https://stopcarriere.noblogs.org/