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To: Maire de Montpellier - Michael Delafosse
Montpellier - Stop au gaspillage énergétique !
Nous, habitantes et habitants de la Métropole de Montpellier, demandons expressément la mise en place de mesures de bon sens et d’économie d’énergie. Un cadre légal existe mais il est mal appliqué et largement insuffisant face aux enjeux de sobriété auxquels nous faisons face. Pour le climat et pour nos factures d’électricité, Montpellier se doit d’être exemplaire !
Why is this important?
Pourquoi faut-il agir maintenant ?
À l’heure où l’on nous appelle, collectivement et individuellement, à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. L’effort fourni doit être réparti de façon juste et ne pas peser uniquement sur les citoyens et citoyennes. Aussi, l’effort ne doit pas affecter en premier lieu des services publics essentiels comme l’éducation ou le sport, mais bien commencer par interroger nos usages de la publicité superflue !
⚡️Actuellement, le gouvernement prévoit l’interdiction des publicités lumineuses entre 1 heure et 6 heures du matin. De son côté, la Métropole de Montpellier a voté en mars 2021 : "la publicité lumineuse est éteinte entre 23 heures et 7 heures, à l'exception de celle supportée par un abri destiné au public installé sur le domaine public". C'est une avancée comparée à la demande du gouvernement, mais les publicitaires tardent à se mettre en conformité avec le RLPi voté en 2021.
Nous ne pouvons attendre face au nombre croissant de ces panneaux inutiles qui n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété.
Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme en moyenne l’équivalent des besoins d’ un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager* : laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique est donc absurde !
En plus de l'électricité, ces panneaux nécessitent des ressources polluantes pour leur fabrication (cadre en acier, verre anti-vandalisme, métaux, etc ...), produisent des déchets électroniques que nous ne savons pas recycler, et leur usage même, qui est d'inciter les gens à acheter des choses dont ils n'ont pas besoin, est à contre-courant de la transition écologique.
👉 En mars 2021, le Conseil de Métropole a approuvé un RLPi insuffisant, mais s'est engagé à le revoir. Or cette révision n'a pas eu lieu, et le contrat commercial reliant la Métropole et les publicitaires doit être renégocié en 2025. C'est donc le moment d'agir et de nous faire entendre.
Nous demandons :
- L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés
- L’extinction des panneaux lumineux et écrans publicitaires en continu, sans exception
- L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin
- La limitation à 1m² de la taille des écrans localisés derrière les vitrines
- Une meilleure gestion de l’éclairage public
- L’extinction des lumières des bureaux dès leur fermeture
💡De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées au-delà de la période de tension hivernale, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre.
D’autres villes comme Lyon ou Paris ont déjà mis en place des mesures plus fortes pour réduire leur consommation énergétique et s’inscrire dans le sens d’une sobriété choisie et responsable.
🌟 Notre ville aussi doit s’inscrire dans le sens de l’Histoire et mettre en place des solutions ambitieuses !
Source : *Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer)
À l’heure où l’on nous appelle, collectivement et individuellement, à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. L’effort fourni doit être réparti de façon juste et ne pas peser uniquement sur les citoyens et citoyennes. Aussi, l’effort ne doit pas affecter en premier lieu des services publics essentiels comme l’éducation ou le sport, mais bien commencer par interroger nos usages de la publicité superflue !
⚡️Actuellement, le gouvernement prévoit l’interdiction des publicités lumineuses entre 1 heure et 6 heures du matin. De son côté, la Métropole de Montpellier a voté en mars 2021 : "la publicité lumineuse est éteinte entre 23 heures et 7 heures, à l'exception de celle supportée par un abri destiné au public installé sur le domaine public". C'est une avancée comparée à la demande du gouvernement, mais les publicitaires tardent à se mettre en conformité avec le RLPi voté en 2021.
Nous ne pouvons attendre face au nombre croissant de ces panneaux inutiles qui n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété.
Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme en moyenne l’équivalent des besoins d’ un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager* : laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique est donc absurde !
En plus de l'électricité, ces panneaux nécessitent des ressources polluantes pour leur fabrication (cadre en acier, verre anti-vandalisme, métaux, etc ...), produisent des déchets électroniques que nous ne savons pas recycler, et leur usage même, qui est d'inciter les gens à acheter des choses dont ils n'ont pas besoin, est à contre-courant de la transition écologique.
👉 En mars 2021, le Conseil de Métropole a approuvé un RLPi insuffisant, mais s'est engagé à le revoir. Or cette révision n'a pas eu lieu, et le contrat commercial reliant la Métropole et les publicitaires doit être renégocié en 2025. C'est donc le moment d'agir et de nous faire entendre.
Nous demandons :
- L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés
- L’extinction des panneaux lumineux et écrans publicitaires en continu, sans exception
- L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin
- La limitation à 1m² de la taille des écrans localisés derrière les vitrines
- Une meilleure gestion de l’éclairage public
- L’extinction des lumières des bureaux dès leur fermeture
💡De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées au-delà de la période de tension hivernale, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre.
D’autres villes comme Lyon ou Paris ont déjà mis en place des mesures plus fortes pour réduire leur consommation énergétique et s’inscrire dans le sens d’une sobriété choisie et responsable.
🌟 Notre ville aussi doit s’inscrire dans le sens de l’Histoire et mettre en place des solutions ambitieuses !
Source : *Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer)