100 signatures atteintes
Destinataire(s) : Proviseur du lycée Le Dantec, Lannion - Jean Bernard Goubert
Alternatives végétariennes au lycée de lannion!
Deux fois trop de viande est consommée dans les cantines scolaires en France. Une aberration dangereuse pour la santé et dévastatrice pour la planète. Nous, parents, élèves et citoyens de Lannion demandons l’instauration d'alternatives végétariennes tous les jours de la semaine et de privilégier les produits de qualité, frais, locaux et biologiques !
Pourquoi faut-il agir maintenant ?
Aujourd’hui, deux fois trop de viande et de produits laitiers sont servis aux enfants dans les cantines scolaires, en comparaison des quantités recommandées par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES). Lannion n'échappe pas à ce constat. De la viande et du poisson sont servis quotidiennement aux 2000 élèves et 320 membres de personel!
La surconsommation de viande et de produits industriels peut entraîner une augmentation des maladies, comme l’obésité, le diabète, des maladies cardio-vasculaires… Cette surconsommation a également des effets dévastateurs sur la planète (déforestation, émissions de gaz à effet de serre, pollution des eaux…). Au contraire, diminuer la quantité de viande peut permettre de réduire le coût des repas, et en conséquence augmenter la part des produits de qualité, pour que valeurs nutritionnelles et plaisirs gustatifs soient également au menu.
Face à ce constat, il est grand temps d’agir! Nous demandons d'introduire dès maintenant:
- Un menu sans viande ni poisson pour tou.te.s par semaine ( comme le prévoit la loi)
- Des alternatives végétariennes tous les jours afin de garantir des repas équilibrés aux personnes ne mangeant pas de porc ou étant flexitariennes, végétariennes ou véganes.
- Une majorité de produits frais, bio et locaux.
Certaines villes ont déjà pris les devants, comme c’est le cas à Lille, Grenoble, Paris 2 ou encore Mouans-Sartoux qui ont entre 20 et 50 % de produits bio et déjà 2 menus végétariens par semaine en moyenne. Si ces villes ont déjà opéré une transition végétale des cantines scolaires pourquoi pas Lannion? OUI, Lannion doit être exemplaire. Notre lycée doit jouer son rôle dans la lutte contre le réchauffement climatique et faire de la santé des enfants une priorité.
* La nouvelle loi “Agriculture et Alimentation” prévoit uniquement l'introduction d’un repas végétarien hebdomadaire dans les cantines scolaires, à titre d’expérimentation, pour une durée de deux ans.
La surconsommation de viande et de produits industriels peut entraîner une augmentation des maladies, comme l’obésité, le diabète, des maladies cardio-vasculaires… Cette surconsommation a également des effets dévastateurs sur la planète (déforestation, émissions de gaz à effet de serre, pollution des eaux…). Au contraire, diminuer la quantité de viande peut permettre de réduire le coût des repas, et en conséquence augmenter la part des produits de qualité, pour que valeurs nutritionnelles et plaisirs gustatifs soient également au menu.
Face à ce constat, il est grand temps d’agir! Nous demandons d'introduire dès maintenant:
- Un menu sans viande ni poisson pour tou.te.s par semaine ( comme le prévoit la loi)
- Des alternatives végétariennes tous les jours afin de garantir des repas équilibrés aux personnes ne mangeant pas de porc ou étant flexitariennes, végétariennes ou véganes.
- Une majorité de produits frais, bio et locaux.
Certaines villes ont déjà pris les devants, comme c’est le cas à Lille, Grenoble, Paris 2 ou encore Mouans-Sartoux qui ont entre 20 et 50 % de produits bio et déjà 2 menus végétariens par semaine en moyenne. Si ces villes ont déjà opéré une transition végétale des cantines scolaires pourquoi pas Lannion? OUI, Lannion doit être exemplaire. Notre lycée doit jouer son rôle dans la lutte contre le réchauffement climatique et faire de la santé des enfants une priorité.
* La nouvelle loi “Agriculture et Alimentation” prévoit uniquement l'introduction d’un repas végétarien hebdomadaire dans les cantines scolaires, à titre d’expérimentation, pour une durée de deux ans.