5,000 signatures atteintes
Destinataire(s) : À l’attention de Madame Agnès Pannier –Runacher (Ministre de la Transition Énergetique)et Monsieur Bernard Doroszczuk (Président de l’Autorité de Sureté Nucléaire)
NOUVEAU NUCLÉAIRE :NON À L’IMPLANTATION D’EPR2 AU TRICASTIN, ZONE SISMIQUE ACTIVE
Des élus en vallée du Rhône veulent prolonger l’aventure nucléaire sur notre territoire et font du forcing auprès d’EDF pour obtenir que le site du Tricastin soit choisi pour l’implantation de la troisième paire d’EPR2.
Pour l’instant les réacteurs EPR sont un fiasco industriel et économique.
Les industriels sont dans le déni, les politiques qui les promeuvent ou les réclament n’y connaissent rien. Tous surfent sur l’argument de la lutte contre le changement climatique pour promouvoir la filière. Or , trop lent, trop lourd, trop cher et trop compliqué le « nouveau nucléaire » ne sauvera pas le climat .
Pour l’instant les réacteurs EPR sont un fiasco industriel et économique.
Les industriels sont dans le déni, les politiques qui les promeuvent ou les réclament n’y connaissent rien. Tous surfent sur l’argument de la lutte contre le changement climatique pour promouvoir la filière. Or , trop lent, trop lourd, trop cher et trop compliqué le « nouveau nucléaire » ne sauvera pas le climat .
Pourquoi faut-il agir maintenant ?
Est-il bien raisonnable qu’EDF veuille implanter deux EPR 2 au TRICASTIN , situé en zone sismique ? Le risque existe déjà avec les 4 réacteurs actuels , pourquoi vouloir le prolonger encore pendant 40 ou 50 ans supplémentaires ?
CONTEXTE :
la digue du canal de Donzére-Mondragon qui refroidit les réacteurs est en terre, elle a résisté en 2019 à un tremblement de terre de force 5,4 sur l’échelle de Richter , mais qui nous dit qu’elle résisterait à un nouveau séisme de force 7 ?
De plus la digue du canal de Donzére-Mondragon est une digue en terre fragilisée qui à été réparée par EDF en 2017 (4 réacteurs à l’arrêt pendant 3 mois à la demande de l’ASN) de façon incomplète puisque l’ASN à demandé que ces travaux soient repris et completés avant fin 2022 (les travaux viennent juste de s’achever).
La centrale est en contre-bas du canal, à 6m en dessous du plan d’eau , en cas de rupture de la digue ce sont des milliers de m3/s d’eau qui débouleraient sur la centrale , les 4 réacteurs seraient noyés et nous serions potentiellement dans la même situation qu’à FUKUSHIMA. Et ce n’est pas une vue de l’esprit, un délire de militants écologistes, ce risque est aussi admis par l’ancien président de l’ASN (2012-2018) Pierre Franck Chevet dont voici la déclaration sur Tricastin lors d’une interwiew en 2018 cité dans le livre de Thierry Gadault et Hugues Demeude, NUCLÉAIRE, DANGER IMMÉDIAT :
“En cas de séisme fort on pourrait aller vers une situation avec 4 réacteurs simultanés en fusion , qui ressemble potentiellement à un accident de type Fukushima.”
NOUS REFUSONS UNE TELLE PRISE DE RISQUES POUR LA POPULATION
NOUS DISONS STOP, PAS D’EPR2 À TRICASTIN
NI AILLEURS
CONTEXTE :
la digue du canal de Donzére-Mondragon qui refroidit les réacteurs est en terre, elle a résisté en 2019 à un tremblement de terre de force 5,4 sur l’échelle de Richter , mais qui nous dit qu’elle résisterait à un nouveau séisme de force 7 ?
De plus la digue du canal de Donzére-Mondragon est une digue en terre fragilisée qui à été réparée par EDF en 2017 (4 réacteurs à l’arrêt pendant 3 mois à la demande de l’ASN) de façon incomplète puisque l’ASN à demandé que ces travaux soient repris et completés avant fin 2022 (les travaux viennent juste de s’achever).
La centrale est en contre-bas du canal, à 6m en dessous du plan d’eau , en cas de rupture de la digue ce sont des milliers de m3/s d’eau qui débouleraient sur la centrale , les 4 réacteurs seraient noyés et nous serions potentiellement dans la même situation qu’à FUKUSHIMA. Et ce n’est pas une vue de l’esprit, un délire de militants écologistes, ce risque est aussi admis par l’ancien président de l’ASN (2012-2018) Pierre Franck Chevet dont voici la déclaration sur Tricastin lors d’une interwiew en 2018 cité dans le livre de Thierry Gadault et Hugues Demeude, NUCLÉAIRE, DANGER IMMÉDIAT :
“En cas de séisme fort on pourrait aller vers une situation avec 4 réacteurs simultanés en fusion , qui ressemble potentiellement à un accident de type Fukushima.”
NOUS REFUSONS UNE TELLE PRISE DE RISQUES POUR LA POPULATION
NOUS DISONS STOP, PAS D’EPR2 À TRICASTIN
NI AILLEURS