100 signatures atteintes
Destinataire(s) : Mme la proviseur du Lycée Fresnel BERNAY
Lycée Fresnel de BERNAY : Pour des repas sains à la cantine !
Deux fois trop de viande est consommée dans les cantines scolaires en France. Une aberration dangereuse pour la santé et dévastatrice pour la planète. Nous, parents et citoyens de Bernay et de ses alentours demandons l’instauration de deux menus végétariens obligatoires par semaine et de privilégier les produits de qualité, frais, locaux et bio !
Pourquoi faut-il agir maintenant ?
Aujourd’hui, deux fois trop de viande et de produits laitiers sont servis aux enfants dans les cantines scolaires, en comparaison des quantités recommandées par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES). Notre Lycée n'échappe pas à ce constat et nous avons commencé à faire ces demandes en commissions cantine, sans pour le moment beaucoup de résultat !
La surconsommation de viande et de produits industriels peut entraîner une augmentation des maladies, comme l’obésité, le diabète, des maladies cardio-vasculaires… Cette surconsommation a également des effets dévastateurs sur la planète (déforestation, émissions de gaz à effet de serre, pollution des eaux…). Au contraire, diminuer la quantité de viande peut permettre de réduire le coût des repas, et en conséquence augmenter la part des produits de qualité, pour que valeurs nutritionnelles et plaisirs gustatifs soient également au menu.
Face à ce constat, il est grand temps d’agir ! Mme JAMELIN, nous vous demandons d'introduire dès maintenant :
- Deux menus sans viande ni poisson pour tou.te.s par semaine, dont un exclusivement végétal (composé de céréales, légumineuses…mais sans fromage ni oeuf)* ;
- Une option menu sans viande ni poisson les autres jours de la semaine ;
- Une majorité de produits frais, bio et locaux.
Certaines villes ont déjà pris les devants, comme c’est le cas à Lille, Grenoble, Paris 2 ou encore Mouans-Sartoux qui ont entre 20 et 50 % de produits bio et déjà 2 menus végétariens par semaine en moyenne. Si ces villes ont déjà opéré une transition végétale des cantines scolaires pourquoi pas BERNAY ? OUI, BERNAY doit être exemplaire. Notre lycée doit jouer son rôle dans la lutte contre le réchauffement climatique et faire de la santé des enfants une priorité.
* La nouvelle loi “Agriculture et Alimentation” prévoit uniquement l'introduction d’un repas végétarien hebdomadaire dans les cantines scolaires, à titre d’expérimentation, pour une durée de deux ans.
La surconsommation de viande et de produits industriels peut entraîner une augmentation des maladies, comme l’obésité, le diabète, des maladies cardio-vasculaires… Cette surconsommation a également des effets dévastateurs sur la planète (déforestation, émissions de gaz à effet de serre, pollution des eaux…). Au contraire, diminuer la quantité de viande peut permettre de réduire le coût des repas, et en conséquence augmenter la part des produits de qualité, pour que valeurs nutritionnelles et plaisirs gustatifs soient également au menu.
Face à ce constat, il est grand temps d’agir ! Mme JAMELIN, nous vous demandons d'introduire dès maintenant :
- Deux menus sans viande ni poisson pour tou.te.s par semaine, dont un exclusivement végétal (composé de céréales, légumineuses…mais sans fromage ni oeuf)* ;
- Une option menu sans viande ni poisson les autres jours de la semaine ;
- Une majorité de produits frais, bio et locaux.
Certaines villes ont déjà pris les devants, comme c’est le cas à Lille, Grenoble, Paris 2 ou encore Mouans-Sartoux qui ont entre 20 et 50 % de produits bio et déjà 2 menus végétariens par semaine en moyenne. Si ces villes ont déjà opéré une transition végétale des cantines scolaires pourquoi pas BERNAY ? OUI, BERNAY doit être exemplaire. Notre lycée doit jouer son rôle dans la lutte contre le réchauffement climatique et faire de la santé des enfants une priorité.
* La nouvelle loi “Agriculture et Alimentation” prévoit uniquement l'introduction d’un repas végétarien hebdomadaire dans les cantines scolaires, à titre d’expérimentation, pour une durée de deux ans.